- Speaker #0
Bonjour et bienvenue, je suis ravie de t'accueillir sur Exploration Soft Skills. Je suis Morgane Ansperger, je suis une entrepreneuse créative depuis 2020. Je vais recevoir ici des invités inspirants qui tous les quinze jours ont partagé leur histoire. Toi, je t'invite à faire comme mes invités, un petit pas vers de nouvelles habitudes pour un grand pas qui va développer des Soft Skills. Ça va, Nico ?
- Speaker #1
Bonjour,
- Speaker #0
je suis ravie aujourd'hui de vous présenter Hélène Plassoux, que je connais bien parce qu'on est pratiquement voisine, elle habite de l'autre côté du pont, elle habite à Plougastel d'Aoulas. Bonjour Hélène !
- Speaker #1
Bonjour Morgane !
- Speaker #0
Alors, je vous présente Hélène rapidement parce qu'elle va le faire bien mieux que moi. Hélène, c'est une entrepreneuse. elle est coach professionnel certifié, formatrice, facilitatrice. Elle fait encore plus de choses que ça. Mais je vous laisse écouter comment elle, elle se présente. Ça va être beaucoup plus clair. Hélène, qui es-tu et que fais-tu ?
- Speaker #1
Oui Morgane, c'est vrai que dit comme ça, si tu prends par rapport à toutes les pratiques que je fais, les différentes postures, ça paraît complexe. Moi j'aime dire que je suis Hélène Tassou, tu l'as très bien dit, donc je suis à Brest, enfin plus Gastel, mais j'interviens sur toute la Bretagne au-delà, parce que comme toi je fais beaucoup d'accompagnement à distance. Moi j'aime bien dire que je facilite les changements organisationnels et relationnels. Alors, soit à destination des entreprises, soit à destination des personnes, parce qu'on verra tout à l'heure dans la discussion, mais j'ai une approche plutôt système. Donc, en fonction de la demande qui m'est faite, soit je vais les accompagner, les personnes ou les collectifs, par du coaching, de la formation, de la facilitation, et puis maintenant, du bilan de compétences depuis peu.
- Speaker #0
Donc, en fait, tu as une grosse boîte à outils et tu sors l'outil qui est le plus adapté à la personne que tu as, enfin, toi ou du collectif, c'est bien ça ?
- Speaker #1
Alors, c'est vrai que moi, j'ai une relation particulière avec la question de l'outil. Je considère que je n'ai pas une entrée outil, justement, j'ai une entrée système. Donc c'est vrai que je ne sais pas la différence entre une organisation qui a un système vivant ou une personne qui a un système aussi vivant, mais tout dépend de quelle est la problématique. Alors les gens, ils ne viennent pas toujours avec un problème, parce qu'ils n'aiment pas dire ça. Mais en fait, s'ils font appel à un tiers, c'est qu'il y a bien quelque chose qu'ils n'arrivent pas à faire tout seuls. Et c'est ça que j'essaye de démêler. Et en fait, mon intention, c'est de faire différemment. pour arrêter que les personnes fassent toujours de la même chose. Parce que quand on fait de l'approche systémique, ou des pratiques narratives qui en découlent, souvent les problèmes sont liés à ce qu'on fait toujours de la même chose.
- Speaker #0
Super intéressant. Et comment est-ce que tu as découvert ça ? Comment tu en es arrivé à cette création finalement qui est unique, qui est la tienne ?
- Speaker #1
Oh là là, ça vient de tout, je ne suis pas toute jeune, ça vient de tout un parcours. Donc moi, déjà, je suis ingénieure agronome. Donc déjà, les questions de système, l'homéostasie, c'est quelque chose qui est proche. Même si je suis ingénieure agronome, les ingénieurs du vivant, justement, ils ont l'habitude des systèmes complexes. Et puis bon, je ne vais pas revenir sur tout ce parcours divers, on va dire. J'ai passé à peu près dix ans dans l'agroalimentaire, responsable de production. Et puis ensuite, j'ai été dans la banque. Et puis ensuite, j'ai fait du service. aux entreprises. Et puis j'ai découvert, en fait, je suis rentrée, alors, paradoxalement, je suis rentrée dans tout ça par l'outil. En fait, j'étais curieuse, voilà, c'est surtout la curiosité, c'est aussi ce qui nous... c'est notre point commun, parce qu'en fait, j'ai découvert la PNL, la programmation neurolinguistique. Alors moi, au départ, j'ai été formée dans... mes premières formations dans l'accompagnement, c'était par la PNL. En 2011, j'ai commencé, tu vois, et finalement, j'ai été coach en 2016. Donc, je suis rentrée par PNL, puis après la PNL, ça modélise des choses. Donc, j'ai découvert l'approche systémique de Palo Alto, qui m'a passionnée. Et puis, je suis coach solidaire. Et c'est vrai que l'approche systémique, c'est assez confrontant. Et les personnes qui s'adressaient à moi étaient parfois en fragilité ou des personnes qui avaient eu des expériences de discrimination, puisque je suis très engagée sur ces sujets-là. Et notamment, j'ai découvert les pratiques narratives avec l'équipe des coachs solidaires, parce que le coach solidaire, le MCC, qui est une des fédérations des coachs. avait un dispositif qui est finalement l'arbre de vie, qu'on a appelé l'arbre à parole, et nous ont formés. Et donc j'ai rencontré Dina Scherer. pendant une journée, je me suis dit, c'est vraiment ça. Et ça utilise la métaphore. Et comme tu le sais, les auditeurs ne le savent pas, mais on s'est connu aussi par la facilitation graphique. Et en fait, ça utilise la métaphore. Donc finalement, les pratiques narratives, pour moi, ça relie à la fois mon approche système, la documentation et les pratiques visuelles, et puis aussi ma volonté de vouloir... comme on dit, sortir les personnes du ruisseau dans lequel ils sont. Des fois, ils se débattent avec leurs problèmes quand ils viennent en coaching et ils sont parfois en incapacité de formuler un objectif. Donc, ils ne sont pas encore prêts à être accompagnés vers un objectif comme on le fait en coaching. Donc, voilà l'histoire de ma rencontre avec les pratiques narratives qui colorent vraiment beaucoup maintenant les pratiques, que ce soit... en accompagnement individuel ou même collectif.
- Speaker #0
C'est super intéressant. Est-ce que tu peux nous dire exactement qu'est-ce que c'est les pratiques narratives, comment ça se déroule et ce que ça apporte aux participants ?
- Speaker #1
Alors, les pratiques narratives, c'est des méthodes, on peut dire, thérapeutiques de coaching qui sont en fait basées sur le fait qu'on est multihistoire, les personnes sont Et quand on a un événement problématique, quand on vit des choses, des turbulences dans la vie, en fait, il y a des histoires de problèmes qui vont devenir dominantes et qui peuvent, du coup, devenir presque identitaires. Je donne un exemple, quelqu'un qui a vécu un burn-out, etc. En fait, cette expérience de souffrance au travail va devenir son histoire et elle va oublier tout le reste avant. Donc nous, les personnes qui ne se qualifient pas de coach ou de thérapeute, tout dépend du problème qu'on est en capacité nous-mêmes d'assouplir. Et en fait, ça a été développé dans les années 80 par Michael White et David Epson. Donc, c'est relativement récent. Ils sont australiens et néo-zélandais. Ils viennent du travail social au départ. Donc, c'est pour ça que ça a été fait pour ça, pour des personnes qui étaient minorisées, on va dire. Et c'est une pratique qui est engagée, qui est relationnelle, c'est-à-dire qu'elle va s'occuper de la relation qu'ont les personnes avec leurs problèmes. Et en fait, c'est l'art de questionnement et qui permet de redonner la personne du pouvoir d'agir parce qu'on va essayer de trouver les exceptions dans les histoires que ces personnes racontent de leur vie. Les exceptions, et c'est ça qu'on va faire grandir. créent cette histoire alternative qui va venir se substituer à l'histoire dominante de leur vie qui fait problème, qui fait souffrance. Voilà en gros les principes, mais finalement, c'est assez complexe à... à... comment... On n'a jamais cessé de développer puisque tout repose dans la posture qu'on appelle décentrée et influente. Alors décentrée et influente, pour t'expliquer un peu, c'est peut-être pas clair, pas très concret. Par exemple, quand tu accompagnes, toi qui accompagnes, par exemple, quand on dit si j'étais à ta place, voilà ce que je ferais On peut le faire quand on est coach, mais là on va être centré et influent, on part de soi. Si je dis par exemple, moi aussi c'est comme ça, j'ai également des enfants, j'ai également eu cette histoire, là je vais être centrée et non influente, je vais raconter mon histoire à moi. Et par exemple, si je n'apporte rien de particulier, je fais juste humm j'écoute, comme c'est une posture d'écoute, donc je suis vraiment dans l'accueil et dans l'écoute, un peu comme on peut l'avoir dans certaines thérapies, là je vais être décentrée et non-influent. C'est vraiment un parti pris. La décentrer, je vais être décentre influent par exemple si je te dis Morgane, qu'est-ce qui est précieux pour toi quand tu fais ces podcasts ? Qu'est-ce que tu veux honorer en faisant cela ? tu vois, je vais aller chercher, je vais être décentrée, influente, je ne vais parler que de toi. Donc, c'est tout l'art de poser des questions qui rendent les personnes plus grandes et les problèmes plus petits.
- Speaker #0
C'est ça. En fait, tu mets en lumière ce qui est beau. La personne va même elle-même mettre en lumière ce qui est beau, en fait,
- Speaker #1
dans sa histoire. Exactement. En fait, tu te concentres sur le plein. Même si, effectivement, on dit, ben voilà, on veut résoudre, dissoudre des problèmes. on dissout les problèmes en se centrant sur ce que la personne a de plein. et on essaye de faire plein de plein. On ne fait pas disparaître les problèmes, ils sont toujours là, mais disons que ce n'est plus l'histoire dominante et ce n'est plus identitaire. La personne, elle ne va pas parler de son expérience. Moi, je travaille beaucoup avec des sujets, des problèmes ou des objectifs professionnels. Il y a quand même beaucoup de personnes qui viennent en coaching parce qu'elles ont eu des souffrances au travail. Donc j'aime bien dire que j'aide à restaurer les histoires professionnelles abîmées. Je ne suis pas thérapeute parce que je ne soigne pas les personnes, je ne m'occupe pas des personnes, mais par contre je répare des problèmes qui parfois pourraient être... posé dans un cabinet de thérapie. Donc je suis un peu à l'entre-deux. C'est pour ça que si tu veux, quand j'ai du mal, on pourrait dire je suis coach, formatrice, facilitatrice. On pourrait dire tout ça. Je suis d'abord praticienne narrative, et il faut bien aller chercher son identité. Je m'écoache parce que... évidemment les problèmes qu'on m'apporte sont contextualisés la plupart du temps et ne sont pas des choses de la psychopathologie même si c'est quelque chose que j'aimerais bien faire un jour je pense que ça va être ma dernière étape de ma vie je continue à me former pour ça mais je suis de plus en plus intéressée par les personnes par les gens et dans ce podcast on parle beaucoup des soft skills est-ce que toi tu as des soft skills
- Speaker #0
que tu as l'impression que c'était soft skills fort.
- Speaker #1
Alors, tu sais, moi, c'est pareil. Il y a des mots comme ça, les soft skills, c'est anglo. Donc, je dirais les compétences relationnelles et comportementales, dans ma traduction à moi. Donc, c'est faire du lien entre les personnes, différentes disciplines, tu vois, différents champs, le champ des sciences sociales, les sciences de l'ingénieur, les méthodes, les disciplines, les postures. Et en fait, j'ai une spécificité aussi dont on n'a pas parlé, c'est que j'accompagne les personnes hautement sensibles, donc je suis formée pour ça. Et puis les personnes avec ou sans OQI. Mais il y a beaucoup de clients, en tout cas en accompagnement individuel, qui ont ces caractéristiques-là. Et puis c'est la pratique visuelle qui permet aussi de s'affranchir des différentes nationalités ou relations avec l'écrit. Quand j'interviens en entreprise, ça permet d'avoir un... un outil qui fait médiation entre les personnes pour mieux se parler, mieux discuter du travail.
- Speaker #0
Super. Quand j'écoute ce que tu racontes, j'ai entendu aussi une autre soft skills, qui est la modélisation, dont tu as parlé aussi tout au début, qui est une soft skills que j'aime beaucoup. Et moi, je sens beaucoup l'adaptabilité. J'ai vraiment l'impression que tu t'adaptes beaucoup.
- Speaker #1
Alors, oui, merci de le dire. Et c'est vrai que les auditeurs ne le voient pas, mais je suis métisse, ce qui est une caractéristique, une petite différence qui fait la différence quand on a vécu dans mon milieu social. qui est plutôt privilégié. Et en même temps, tu remarqueras que c'est peu fréquent, en tout cas à Brest, d'avoir des personnes qui font ce métier qui sont noires, puisque c'est comme ça qu'il faut le dire. Donc forcément, comme toutes les personnes qui ont des différences par rapport à une norme dominante j'ai changé beaucoup de métiers. J'ai aussi grandi au Burkina Faso, je suis arrivée petite en France. Mon père aussi était noir, mais vétérinaire, donc j'ai dû à chaque fois m'adapter aux cultures, aux personnes. Et comme je suis entre deux cultures, quand je vais au Burkina ou au Mali, je suis quand même blanche. Donc tu vois, je m'adapte et c'est la vie qui m'a permis de m'adapter et à changer de métier par rapport à ce que la vie nous... nous réserve.
- Speaker #0
Ah, super. Quels sont les projets que tu es en train de développer, les prochains projets qui viennent, qui sont importants pour toi ?
- Speaker #1
Alors, comme je t'ai dit, mon... Mon axe de développement professionnel, personnel à moyen long terme, c'est d'être plus centré sur les personnes, justement avec les pratiques narratives. C'est aussi pour ça que j'étais partie sur ce sujet. Ça plus l'approche systémique pour m'orienter vers l'accompagnement des personnes. Et l'étape intermédiaire et qui est actuelle, c'est le bilan de compétences. Au départ, je n'étais pas du tout bilan de compétences. Mais le marché de l'accompagnement et puis aussi les questions qui se posent dans le travail, les enjeux liés à la transition et l'adaptation des personnes, moi je me suis dit si je devais faire, j'en ai fait plein de transitions, et j'ai fait aussi des outplacements, des bilans de compétences, tout ça, je me disais mais si je devais rechercher quelque chose qui me conviendrait, j'aurais du mal à trouver, parce qu'aujourd'hui il y a beaucoup de personnes en sous-traitance avec des grosses marques, et donc j'ai voulu... J'ai voulu justement faire mon propre processus d'accompagnement qui mélange aussi différentes choses et où les pratiques narratives prennent bonne place, mais aussi la process communication, l'approche systémique, tout dépend aussi de la personne. Mais en tout cas, et les pratiques visuelles, bien sûr. Tout ça pour faciliter l'accompagnement. Donc ça, c'est tout nouveau. Je viens d'avoir, après trois mois de... de l'Use, je dirais, parce que c'est vraiment ça, ça y est, c'est dans la plateforme Mon Compte de Formation, donc les personnes peuvent bénéficier de leur compte personnel de formation pour être accompagnées. Donc ça, c'est important pour moi aussi que les personnes puissent, quel que soit leur milieu social, être accompagnées à un moindre coût, parce que c'est vrai qu'aujourd'hui, le coaching ou l'accompagnement individuel est réservé plutôt aux personnes privilégiées, et c'est important pour moi de pouvoir avoir des modes alternatifs d'accompagnement. Donc voilà, ça c'est toujours, ça s'appelle bilan de compétences IGIN. I-G-I-N, parce que Morgane, est-ce que tu sais ce que ça veut dire IGIN en breton ? Eh bien,
- Speaker #0
je sais qu'il y a un lien avec tout ce qui est les elfes ou les...
- Speaker #1
J'ai entendu ça. Alors c'est marrant parce que c'est Djin. Ça Djin et ça c'est Djin. Djin. Tu sais, je m'appelle en vrai, je m'appelle Hélène Djiga. Sous, c'est le nom de mon mari. Et Dji, le Dji... Le djinn, c'est Jiga, les elfes. Et c'est marrant parce que, justement, les personnes qui sont comme nous, avoir un peu de trouble d'ice, en fait, c'est très proche d'ivine. Et en breton, ça veut dire ressource, innovation et un peu aussi génie. Comme le génie, tu vois, les elfes, c'était nous, Ijinov, d'ailleurs. C'est pour ça que j'ai eu, de là qu'est venu le nom Ijinov, un espèce de métissage entre... le G de Giga et le IGIN breton qui veut dire un peu la même chose. Donc c'est ressources, innovation, créativité.
- Speaker #0
Franchement, c'est un nom fantastique,
- Speaker #1
bravo. Quand tu vois le regarder, si tu regardes la police, on a l'impression que je suis plutôt… de l'Europe de l'Est, il dit nov et les gens peuvent dire aussi idéginov Voilà, donc, ça, c'était beaucoup de réflexion. Tu vois, ça m'organe pour revenir à la créativité et l'adaptabilité. La créativité stimulée par le nécessaire adaptabilité. Eh bien, tu vois, quand j'ai créé mon entreprise, moi, j'aurais voulu dire Ellen Giga parce qu'en termes de référencement, je suis la seule, en France et ailleurs. Sinon, les autres gigas sont en général cousins. Mais tu vois, c'était ma lien. Et avec toute l'islamophobie, en fait, j'ai réfléchi longuement pour savoir quel est le don que j'allais trouver, qui était à la fois personnel, parce que je suis solo-entrepreneur. Donc c'est une différence, tu vois, qui fait la différence d'une personne à l'autre. Et c'est ça qui m'intéresse aussi, de soutenir les personnes qui sont aussi racisées, parce qu'on n'ayant pas peur de ce mot-là.
- Speaker #0
Et puis au lieu de pointer le... le côté qui pourrait te desservir, entre guillemets, tu pointes le côté qui te met en lumière.
- Speaker #1
Tout le monde la voit, mais parfois par tabou non dit. Parfois, j'aimerais bien qu'on me voit moins aussi. Mais maintenant qu'on me voit, autant que ça serve à quelque chose. Et c'est aussi ce que je dis aux personnes que j'accompagne racisées qui ne voient pas, en fait. Et c'est très soulageant de dire, ben oui, voilà, et ça ne changera pas, et oui, ça existe. Et en même temps, quelle stratégie de contournement ? Vous pouvez mettre pour dépasser ça parce que souvent les personnes elles continuent, elles vont se faire accompagner pour être encore meilleures qu'elles le sont mais en fait parce qu'on n'a pas mis en mots. On n'a pas posé le fait qu'effectivement elles étaient victimes de violences, de discriminations. En tout cas, leur différence faisait que ce n'était pas une croyance. C'était une croyance bien sûr qu'elle s'était construite, mais à partir d'une expérience, d'une histoire de vie qui était devenue dominante ou complètement niée en fait, mais qui revenait en fait. Leur propre, ça revenait souvent. Donc elles continuaient et en général je leur disais, mais vous, est-ce que vous vous rendez compte ? de vos compétences. C'est vrai pour les femmes, tu vois, en entreprise, souvent, elles ne se rendent pas compte des compétences à poste égal. Elles ont appris beaucoup plus, en fait, pour dépasser ces fameux plafonds de verre.
- Speaker #0
C'est génial. Dis-moi, où est-ce que les gens peuvent te retrouver ?
- Speaker #1
Eh bien, mon site, IG9, c'est facile. Du coup, c'est assez bien référencé pour cette raison. Sur LinkedIn, sur Instagram et puis sur Facebook.
- Speaker #0
Super. On va leur mettre tout ça en description. Comme ça, ils n'auront plus qu'à cliquer pour venir voir ton univers, te suivre sur LinkedIn, Instagram. Est-ce que tu as un petit mot de la fin que tu as envie de laisser à nos auditrices et auditeurs ?
- Speaker #1
Moi, j'ai envie d'honorer ton travail, Morgane, et te dire merci. Voilà, c'est plutôt ça, parce que je sais que tu y mets du cœur, de l'énergie, et puis que c'est aussi de ça dont on peut parler. Alors j'aimerais bien te dire, qu'est-ce que tu honores en faisant tout ça ? Comme valeur importante pour toi ?
- Speaker #0
Moi, ce que j'honore, c'est la transmission. C'est vraiment le fait de faire connaître... tous ces gens que j'interview et même ce que moi j'ai envie de partager de le transmettre, de laisser circuler cette information et que ça aille plus loin que mon petit bout de Bretagne et que ça circule, tu vois, j'ai envie de cette transmission et de cette circulation d'informations, d'énergie, de rencontres en fait.
- Speaker #1
Et bah du coup le mot de la fin ce sera générosité et merci pour ta générosité Morgane.
- Speaker #0
Merci beaucoup Hélène. Écoutez, je vous laisse sur ces mots et je vous dis à très bientôt. N'hésitez pas à mettre un max de commentaires, à faire buzzer cet épisode et à très vite. Je te remercie d'avoir écouté cet épisode. On se retrouve dans 15 jours. Si cet épisode t'a plu, je serais ravie de lire ton commentaire et de voir ton like. Toi aussi, tu peux faire rayonner les soft skills en partageant cet épisode. Et pour continuer à les explorer, tu peux t'abonner à cette chaîne ou me retrouver sur tous mes réseaux sociaux sous le nom Morgane Ansperger ou Morgane Facilitation. Je te souhaite une très belle journée.
- Speaker #1
A très vite !