- Speaker #0
Parce que quand on pense performance, très souvent, on pense souffrance. Il faut en baver, quoi. Il faut en baver, il faut en chier pour y arriver. Et ça, c'est une vraie fausse croyance. Quand on prend une orange et qu'on la presse, il ne peut sortir que du jus d'orange de cette orange. Il ne sortira jamais du jus de fraise ou du jus de céramique. Quand on prend une personne et qu'on la met sous pression, et que de cette personne, il sort du stress, il sort du mal-être, voire des inflammations, c'est que ce stress, ce mal-être, ces inflammations, la personne les a déjà intrinsèquement. Si je mets maintenant un pilote lambda dans une super McLaren ou Ferrari, il ne gagnera jamais le championnat. Pour gagner le championnat, il faut un super pilote dans une super machine. Cette machine, c'est notre physiologie.
- Speaker #1
Bienvenue sur Faites Entrer l'Expert, le podcast qui va littéralement vous métamorphoser en une meilleure version de vous-même. Je suis Laurent Pellé, ancien cadre dirigeant d'un grand groupe français reconverti dans la formation et la conférence professionnelle. Grâce à ce podcast, je vais pouvoir partir à la rencontre des meilleurs conférenciers, formateurs et meilleurs experts professionnels pour les questionner sur leur savoir et partager avec vous le fruit de nos échanges. Mon ambition sera de vous offrir une véritable boîte à outils que vous pourrez enrichir au fil des épisodes. A l'intérieur, des stratégies concrètes, des astuces et des méthodes éprouvées pour améliorer continuellement votre efficience et votre bien-être au travail comme dans la vie de tous les jours. Et maintenant, ouvrez grandes vos oreilles et faites entrer l'expert. Eh bien bonjour à tous, j'ai le plaisir aujourd'hui de vous retrouver avec Sylvère Caron. Bonjour Sylvère. Bonjour Grange. Alors si on est ensemble ce soir, c'est grâce à Cyril Darmon, qui est intervenu dans mon podcast sur le sujet de l'intelligence artificielle. Donc merci Cyril.
- Speaker #0
Merci Cyril, on l'embrasse.
- Speaker #1
Et donc aujourd'hui, tu vas venir nous parler d'un sujet particulier, que moi je trouve en tout cas particulier et très intéressant, qui est...
- Speaker #0
Les clés des sportifs, on va dire au service du management, c'est-à-dire manager comme un sportif.
- Speaker #1
Voilà, donc d'où le titre de cet épisode, qui est vraiment essayons de manager comme un athlète de haut niveau. Donc est-ce que tu peux, avant qu'on rentre dans le vif du sujet, nous raconter un petit peu aujourd'hui qui tu es pour pouvoir parler à nos auditeurs de cette thématique ?
- Speaker #0
Avec plaisir. Donc moi de formation, je suis kinésithérapeute et ostéopathe, ici du milieu du sport, du sport professionnel. d'où mon intervention, et après m'être occupé de grands sportifs, notamment de clubs en Ligue 1, Top 14, et puis même les catchers de la WWE, c'est les gros catchers américains. Et donc après m'être occupé d'eux, j'ai commencé à travailler, à mettre ces clés, on va dire, au service des entreprises, en tant que consultant, et à travailler d'abord dans la formation, bien sûr, et puis ensuite... Ensuite, j'ai basculé tout doucement vers la conférence et puis vers l'écriture pour écrire des livres.
- Speaker #1
Donc auteur, conférencier, formateur. Et ça depuis quelle année ?
- Speaker #0
Multipasse, comme on dit. Depuis 2013 réellement, suite à un événement dans ma vie, 2013, où là la bascule réellement s'est faite, j'étais déjà formateur avant, depuis 2003.
- Speaker #1
D'accord. Mais donc avant 2013, tu as eu un parcours également, je crois même à l'international ? Donc est-ce que ça tu peux nous en parler juste brièvement pour qu'on comprenne comment tu arrives en 2013 à faire ce changement et pourquoi ?
- Speaker #0
Alors j'ai un parcours très atypique, c'est vrai. C'est-à-dire que je suis étudiant kiné et à peine diplômé en fait, alors que je me destinais à devenir kiné, donc installé sur Bastia en Corse, puisque je suis donc Bastier. Et j'ai quitté la France pour aller m'installer en Thaïlande pour créer une société. une société qui existe aujourd'hui depuis plus de 35 ans maintenant. C'était une boîte d'export, on va dire, sur le textile en fait. Donc tu connais le monde de l'entreprise vraiment très bien. J'ai dirigé en tant que CEO cette boîte pendant deux ans. Deux ans après, je suis rentré en France. Et puis quand je suis rentré, j'ai rencontré mon épouse. Et là, je n'ai pas pu repartir. Donc j'ai vendu mes parts, j'ai cédé mes parts de la société. Je suis resté en France. Et puis voilà, tout simplement. J'ai démarré à ce moment-là mes études d'ostéo. Et puis en 92, un événement dramatique qui se passe, la catastrophe de Fouriagne, la tribune qui s'écroule. Et puis là, réunion de crise entre tous les kinés pour absorber les patients et les traumatismes. Quand même 78 morts, je crois, et plus de 3000 blessés. Et donc il faut les absorber dans les cabinets. Et là, lors de la réunion, je rencontre le kiné du club qui me dit, je fais une dépression, j'arrête, il faut que je trouve quelqu'un. Et je lui dis stop. ne cherche pas, tu as trouvé ton remplaçant et donc j'ai pris à la place de kinésithérapeute en titre officiel du Sporting Club de Bastia en juillet 92, juste après la catastrophe. Donc tout ça a impacté, on va dire, grandement mon devenir professionnel, puisque l'ostéo plus la kiné du sport a fait que je me suis construit une expérience, un vécu, avec des clés, avec des outils qu'on utilise, tant en ostéo qu'en kiné, et qui permettent de pouvoir performer ces athlètes de haut niveau.
- Speaker #1
Ok, donc le rapprochement entre Ostéo-Kiné et le monde de l'entreprise,
- Speaker #0
ça s'est fait ? Ça s'est fait après, ça s'est fait parce que j'ai travaillé, puis après j'ai quitté Bastia, je suis allé m'installer à Montpellier en tant qu'ostéopathe pur et dur, où je suis devenu l'ostéopathe attitré du Montpellier Aéro-Rugby Club. Et puis, à un moment donné, un ras-le-bol un petit peu de la kiné, de l'ostéo, etc., et l'envie de revenir vers le milieu de l'entreprise. Je crée mon entreprise en 2008, la LS International. Et 2010, trahison par mon plus proche collaborateur qui crée la même société que moi dans mon dos avec le même produit mais 30% moins cher et sans que je m'en rende compte, qui contacte tous mes clients. Et là, ma société se casse la gueule, tout s'écroule, tous mes clients basculent et je perds tout. 20 ans d'économie, ma maison, la santé et là, à ce moment-là, je fais un double infarctus et tout mon monde s'écroule autour de moi en 2010. Et là, je touche le fond de la piscine. Et pas d'autre moyen pour pouvoir remonter que de donner un coup de pied, de remonter, d'aller puiser dans toutes ces connaissances que j'avais à ce moment-là en tant que kiné-ostéopathe du sport pour essayer de comprendre pourquoi ça m'était arrivé. Et là, je donne un coup de pied, je remonte. Et c'est tout mon travail, en fait. C'est à partir de là où je décide de quitter le milieu du libéral pour me lancer dans le milieu de l'entreprise et du consulting en temps plein en 2013. Et la bascule se fait à ce moment-là.
- Speaker #1
OK, donc là, on voit vraiment que tu as... Vraiment cette double compétence ostéo-kiné du milieu médical et que tu le mets totalement au service de l'entreprise. Et donc là, on arrive à notre sujet justement qui est en fait, un manager est quelqu'un qui est fortement sous pression, comme peuvent être les athlètes qui se préparent et qui font de la haute compétition. Et donc moi, ce qui m'intéresse quand on a préparé cet épisode, c'est vraiment de voir qu'est-ce qu'on peut retirer de ces bonnes pratiques chez les athlètes de haut niveau. et qu'on pourrait adapter, puisque c'est un peu ce que tu fais avec tes conférences, tes formations, pour les managers qui sont aussi quelque part des athlètes de haut niveau. Et donc je te propose que ce soit l'intention de cet épisode, et qu'on se concentre là-dessus, ça te va ?
- Speaker #0
Avec grand plaisir, surtout que c'est un sujet qui me passionne, je suis très prolixe.
- Speaker #1
Donc l'idée c'est vraiment de se focusser là-dessus, et toujours avec, ça je le rappelle à tous mes invités, c'est vraiment de, moi je cherche vraiment des outils pratiques. L'idée c'est que nos auditeurs puissent repartir avec des clés, des outils, des méthodes qu'ils puissent appliquer tout de suite, comme on le verra avec les quick wins et les long shots à la fin. L'idée, pour commencer, c'est justement de comprendre, quand on regarde un peu dans sa globalité, un athlète c'est quoi ? Parce que moi, intuitivement, quand je me dis, si on regarde un athlète, c'est quoi ? C'est d'abord un corps hyper performant, donc il faut qu'il y ait quelque part la machine, qu'il fonctionne bien, mais ce n'est pas que ça, parce qu'à l'intérieur de ce corps, il faut qu'il y ait un mental. Et tout ça est influencé aussi par des émotions, par l'environnement. Donc, ça, c'est ma manière à moi de voir les choses, mais vraiment de très loin. Est-ce que toi, comment tu définirais ce qu'est un athlète de haut niveau qui performe ?
- Speaker #0
L'être humain est construit sur un principe de pyramide, on va dire. Pas la pyramide de Maslow, mais la pyramide bouddhiste. La pyramide bouddhiste, c'est une base qui est la physiologie, tout simplement.
- Speaker #1
Donc, la physiologie, on est d'accord, c'est tout ce qui est le corps, en fait. Tangible, matériel ?
- Speaker #0
Tangible, matériel, c'est le matériel. C'est l'horizontalité de l'humain.
- Speaker #1
C'est la machine ?
- Speaker #0
C'est la machine. C'est un petit peu... En fait, la pyramide, il y a trois niveaux. Il y a la physiologie, la base. Il y a le deuxième niveau qui est l'émotionnel. Et le deuxième niveau qui est la spiritualité. Et comme on parlait en préparation, pour passer de l'horizontalité à cette verticalité, pour passer de la matière au spirituel, pour se verticaliser, il faut déjà avoir une base stable. Et en fait, si je devais comparer cette pyramide-là métaphoriquement, une analogie avec par exemple un championnat du monde de Formule 1, la base, la physiologie, c'est la machine. C'est la Formule 1. La deuxième, l'émotionnelle, c'est le pilote. Et le troisième niveau, c'est la finalité, c'est le championnat du monde. La force. C'est le championnat du monde, c'est la finalité. Pour gagner ce grand prix, ce championnat du monde de Formule 1, Il faut qu'il y ait un super pilote, donc un super émotionnel. Mais si je mets un super pilote dans une voiture lambda, peut-être pas deux chevaux, dans une très mauvaise, dans la bas de gamme dans les Formules 1, le meilleur champion du monde, le meilleur pilote au monde ne gagnera jamais le championnat. Si je mets maintenant un pilote lambda dans une super McLaren ou Ferrari, il ne gagnera jamais le championnat. Pour gagner le championnat, il faut un super pilote dans une super machine. Cette machine, c'est notre physiologie, c'est nos besoins fondamentaux, c'est notre posture, la posture qui est un des bras de levier absolument fondamentaux dans la gestion de nos émotions. Quand on sait que 94% de nos décisions en tant que manager sont pris sous le coup de nos émotions. On a tout intérêt derrière à prendre conscience des clés posturales qui viennent impacter, c'est tous les travaux d'Amy Cuddy à Harvard en 2010, qui viennent impacter derrière nos schémas émotionnels. Et quand on comprend comment fonctionnent ces schémas émotionnels au travers des sécrétions neuro-hormonales, avec des mots très simples, eh bien on comprend pourquoi des personnes vont performer ou contre-performer rien qu'au travers de leur posture. Et la posture...
- Speaker #1
Est-ce que tu peux donner un exemple ? Je prends un exemple.
- Speaker #0
Je prends un exemple, par exemple, pour bien comprendre. On est tous avec des profils neurohormonaux différents. Les neurohormones, c'est quoi ? C'est la dopamine, l'acétylcholine, l'ocytocine, la sérotonine. Alors, la sérotonine, c'est l'hormone de la fierté, l'estime de soi. L'ocytocine, l'hormone du groupe. Moi, je l'appelle l'hormone Facebook, l'hormone de l'amour, des likes, l'appartenance au groupe.
- Speaker #1
Et donc, la posture, comment tu la relis avec ces hormones ?
- Speaker #0
Alors, je prends un exemple. Quelqu'un qui est sur prédominance. Dopamine, tu vas le mettre dans un environnement de travail, notamment un manager. Tu le mets dans un environnement de travail qui est un environnement open space, avec un poste non dédié. Le dopamine va s'éclater, il va être complètement optimisé au niveau de sa performance. Parce que ça vient répondre à son profil neuro-hormonal. Par contre, tu mets un acétylcholine, une prédominance acétylcholine, c'est le créateur, c'est le rêveur. C'est le web designer, etc. Tu le mets dans un environnement comme ça, s'il est sous acétylcholine, prédominance acétylcholine, il va perdre 40% de sa potentialité. Pourquoi ? Parce qu'on va le retrouver dans un coin du bureau en open space, avec un casque sur la tête, dans le coin, le dos tourné au groupe, etc. Parce qu'il a besoin d'être dans sa bulle, d'être assis, d'être, tu le mets sur un poste debout, il n'est pas bien du tout.
- Speaker #1
Mais donc là, ce que j'en suis en train de comprendre, c'est que tu dis que nos personnalités sont définies par nos... quantité d'hormones, notre cocktail d'hormones.
- Speaker #0
Mais pas que nos personnalités, toute notre vie est conditionnée par nos schémas neuro-hormonaux, comme tout mammifère qui est sur cette planète et depuis la mise en place.
- Speaker #1
Et je peux influencer, c'est un acquis ?
- Speaker #0
On peut l'influencer, on peut le moduler, on peut travailler dessus, on peut mettre en place des actions, on peut tout simplement développer et stimuler certaines sécrétions neuro-hormonales. pour atteindre par exemple des objectifs. Je prends un exemple, c'est la fameuse dopamine. Si j'ai besoin de dopamine, je vais pouvoir par exemple en tant que manager, moi, pour moi-même en tant que manager, me mettre des petits objectifs réalisables, fréquents, etc. de façon à pouvoir optimiser. Mais toute cette régulation, ce qu'il faut comprendre, c'est que cette régulation neuro-hormonale est dépendante de nos trois premiers besoins fondamentaux, c'est-à-dire notre respiration, notre alimentation et notre hydratation. Et on n'en a pas conscience. Et tout ça venant impacter le quatrième, qui est notre récupération, dont je parlerai un peu plus tard.
- Speaker #1
Donc le sommeil. J'essaie donc de synthétiser pour dire que nos besoins fondamentaux, donc tu l'as dit, c'est l'oxygène, l'eau. C'était quoi le troisième ?
- Speaker #0
L'oxygénation, l'hydratation. On va retrouver, mais dans laquelle on va retrouver l'oxygénation, parce que l'hydratation, c'est H2O, H2O, c'est molécule d'oxygène quand même. des atomes d'oxygène, pardon, et l'alimentation, l'alimentation qui est la base fondamentale. Quand on sait les chiffres de l'OMS, que 75%, 75% des pathologies dites de civilisation, notamment dans le domaine de l'entreprise, et presque 100% des TMS, c'est-à-dire des troubles musculo-squelettiques qui touchent donc les collaborateurs et les managers, sont en lien avec notre alimentation. Et ça... Les gens n'en ont pas conscience. Il y a des clés très simples d'utilisation qu'on va utiliser, notamment des clés sur les aspects toxiniques, les aspects de déséquilibre acido-basique, qui est une des bases fondamentales pour moi de la gestion de la performance, qu'on soit chez un sportif de haut niveau ou chez un manager. Dès lors qu'on est en acidose cellulaire, on crée des process inflammatoires. Je vais utiliser juste après une métaphore pour que les gens comprennent bien ce que je veux dire. Et puis d'autres clés dans l'alimentation, notamment les fameux index glycémiques, c'est-à-dire la capacité qu'on nous alimente à faire monter notre insuline. Pourquoi ? Parce que si je viens avoir une alimentation en tant que manager, comme un sportif de haut niveau, Si je viens avoir une alimentation qui est une alimentation index isémique élevée, c'est-à-dire je bois une bière en mangeant des chips, et puis je finis avec des madeleines que je tremble dans de la crème de marron. C'est le cumul. Ça fait sourire quand je le dis comme ça, mais c'est ce qu'on fait tout le temps. Tout le temps, tout le temps, à tous les instants. On n'en a même pas conscience. Et bien quand je fais ça, qu'est-ce qui va se passer ? Je vais avoir un pic d'insuline énorme pour pouvoir, on va dire, transformer ces glucides en lipides. Et là, qu'est-ce qui va se passer ? Il va y avoir une hypoglycémie derrière réactive qui va être colossale. Tous les gens qui mangent au restaurant la vivent au quotidien, cette hypoglycémie, le fameux coup de barre. Sauf que dès que j'ai une hypoglycémie réactive, pour mon cerveau reptilien qui gère ma survie, je suis en danger de mort. Pourquoi ? Parce que dès que j'ai une hypoglycémie, je ne peux plus combattre et je ne peux plus fuir. Et à partir de là, je suis en danger. Que fait mon cerveau reptilien ? Quasi immédiatement, il va sécréter. une autre hormone au travers des corticosurénales qui s'appelle le cortisol, qui est l'hormone du stress. Et pas du stress émotionnel, du stress cellulaire. Alors maintenant, je vais juste utiliser une métaphore pour que tout le monde comprenne. Quand on prend une orange et qu'on la presse, il ne peut sortir que du jus d'orange de cette orange. Il ne sortira jamais du jus de fraise ou du jus de cerise. Quand on prend une personne et qu'on la met sous pression, pression managériale, que cette pression soit physique, posturale, environnementale, sociétale, émotionnelle, peu importe, et que de cette personne il sort du stress, il sort du mal-être, voire des inflammations, c'est que ce stress, ce mal-être, ces inflammations, la personne les a déjà intrinsèquement au travers, du moins de part une cortisolémie trop élevée, c'est-à-dire trop de cortisol dans le sang, de part un état d'acidose, peu importe, tout ça, ça va créer l'inflammation cellulaire, le stress cellulaire. Et les autres, l'environnement, les circonstances, on va dire, Les contraintes ne sont que le presse-agrume qui vient appuyer là où ça fait mal.
- Speaker #1
Donc finalement, si je veux ne jamais inflammer ou ne jamais avoir de problème, il y a deux choix, c'est soit je rencontre jamais de presse-agrume, ce qui dans la vraie vie en fait, ça n'arrive jamais, soit intrinsèquement je ne crée pas les conditions internes physiologiques qui font que si je rencontre un presse-agrume qui va être sans doute ce qui va m'arriver. que je puisse inflammer.
- Speaker #0
M'adapter, adapter, que mon corps puisse m'adapter. Je vais juste finir avec une chose qui est très importante, qu'il faut comprendre. C'est que pour déclencher une pathologie, que cette pathologie soit physiologique, mécanique, bio, ou qu'elle soit émotionnelle, c'est-à-dire un burn-out, un stress, ou toute autre pathologie, peu importe, ce qu'il faut comprendre, c'est qu'on a coutume de dire, dans notre monde occidentalisé, que pour déclencher une pathologie, c'est le facteur déclencheur qui va déclencher. Je prends un exemple. Je suis manager. Je travaille devant mon ordinateur, je fais des gestes répétés avec ma souris, et je fais une tendinite au coude. Et je vais voir le médecin, et il me dit arrête de travail, 15 jours, un petit peu d'anti-inflammatoire, éventuellement des séances de kiné Pourquoi ? Parce que c'est la répétition, le facteur déclencheur, qui a créé la tendinite. Sauf que pour déclencher une pathologie, c'est beaucoup plus, et ça c'est quelque chose qu'on utilise au quotidien avec les sportifs de haut niveau, c'est beaucoup plus, on va dire, fin que ça. Pour déclencher une pathologie, il faut un cumul de trois vecteurs, et à la limite, le facteur déclencheur est le moins important. Le deuxième, beaucoup plus important que le facteur déclencheur, c'est ce qu'on appelle le terrain. Comme disait le Dr Hahnemann, le père fondateur de l'homéopathie dans les années 1800, c'est-à-dire 100 ans avant Pasteur, phrase qui a été reprise d'ailleurs par Pasteur, il disait à cette époque, la maladie n'est rien, le terrain fait tout. C'est le terrain qui va permettre à la pathologie de se mettre en place, à l'inflammation de se mettre en place. Et pour déclencher, il faut un troisième vecteur, et ce troisième vecteur, c'est ce qu'on appelle nos émotions. S'il n'y a pas un conflit émotionnel... la pathologie ne se mettra pas en place.
- Speaker #1
Ok. Et ce que tu appelles le terrain, c'est ce qu'on disait tout à l'heure, qui était l'oxygène, l'alimentation,
- Speaker #0
etc. Absolument, le terrain de la citroën, c'est pas compliqué.
- Speaker #1
Parce que je t'avoue que parfois, c'est pas facile, parce que quand on n'est pas scientifique, c'est pas toujours facile de suivre. Donc j'essaye un peu de simplifier, de synthétiser. Ce que je comprends, c'est avec l'histoire du pressagrume, donc ça c'est très clair. Et donc moi, je vais vouloir, en tant que manager, éviter de, un, de me faire presser, mais bon, ça, ça va arriver. Mais en revanche, si je suis pressé... par un presse-agrumes donc si je suis sous contrainte ce qui va m'arriver c'est comment faire donc pour éviter d'avoir un terrain qui va me créer ces inflammations et donc là concrètement quelle recommandation peut donner donc soit aux sportifs soit allons directement au manager de haut niveau qui travaille à haute intensité qu'est ce qu'on peut faire pour éviter de développer ces terrains là c'est exactement ce qu'on fait avec les sportifs ok qu'est sportif qu'est ce qu'on fait on évite je prends un exemple il ya un aliment ça très peu de gens le savent il ya un aliment qui est
- Speaker #0
Interdit. notamment de consommation dans les clubs de foot professionnels, par bon nombre de clubs, par les footballeurs professionnels. Pourquoi ? Parce qu'on sait que s'ils consomment cet aliment-là de façon trop récurrente, ils vont déclencher des tendinites, des pathologies musculo-tendineuses, des claquages, etc. Cet aliment, c'est la viande rouge.
- Speaker #1
J'avais peur que c'était le Nutella.
- Speaker #0
Non, tu peux y aller.
- Speaker #1
Je vais y aller.
- Speaker #0
Si ce n'est la cortisol, tu n'as pas grand risque. Ok. Mais la viande rouge, oui, parce que la viande rouge contient 100 grammes de viande rouge, contient quasiment 1 gramme d'acide urique. qui est une violente toxine.
- Speaker #1
C'est complètement contre-intuitif parce que viande rouge égale protéines, protéines égale muscles.
- Speaker #0
Et c'est l'inverse. Et en fait, ce qu'il faut comprendre, c'est que plus tu vas manger de viande rouge, plus tu vas avoir d'acide urique, plus tu vas avoir des pathologies musculo-articulaires. Et ce qu'il faut comprendre aussi, c'est que plus tu manges de viande rouge, plus tu vas créer un état d'acidose cellulaire. C'est quoi l'acidose cellulaire ? C'est la notion de pH. Le pH, c'est quoi ? C'est comme le pH d'une piscine.
- Speaker #1
Je baigne dans un liquide, en fait. Le corps est combien d'eau ? 80 ?
- Speaker #0
Alors, physiologique, c'est 70% de l'hésterienne. Mais si on va au niveau moléculaire, selon les travaux du professeur Marc-Henri, on est composé à plus de 99,1% d'eau moléculaire. Il faut savoir, en gros...
- Speaker #1
Donc, 80, c'est pas mal, c'est une moyenne.
- Speaker #0
On a 100 000 milliards de cellules dans notre vie. Et chacune de nos cellules contient 22 milliards de molécules d'eau.
- Speaker #1
Donc, on est de la flotte, quoi.
- Speaker #0
On est que d'eau.
- Speaker #1
Donc, on est de la flotte, et ce que tu dis, c'est que... C'est que le pH, c'est l'acidité de cette flotte.
- Speaker #0
Comme une piscine. Oui. Comme une piscine, c'est-à-dire que quand tu as une piscine, quand tu ne fais pas attention à ton pH, ta piscine, elle vire acide. Et en virant acide, elle devient toute verte.
- Speaker #1
Donc, quels sont les moyens que j'ai ? Et donc, en fait, le bon pH pour le corps, c'est quoi ?
- Speaker #0
Alors, le pH du corps, c'est 7,7,4.
- Speaker #1
OK. Et pour l'atteindre, quels sont...
- Speaker #0
Alors, il y a bien sûr des complémentations, etc. Mais ce qu'il faut comprendre, c'est que plus je vais dans une alimentation protéinique.
- Speaker #1
Oui.
- Speaker #0
D'accord ? Notamment protéines de lait, protéines animales. Oui. Plus je vais dans une alimentation protéinique, ça veut pas dire qu'il faut pas, ça veut juste dire qu'il faut pas être en excès. Que les choses soient très claires. Plus je vais dans une alimentation protéinique, plus je vais créer un état d'acide cellulaire. Plus je crée un état d'acide cellulaire.
- Speaker #1
Donc pH élevé.
- Speaker #0
Donc pH descend. Ah bas,
- Speaker #1
c'est basique.
- Speaker #0
Le pH descend en moins de 7,
- Speaker #1
c'est pH acide.
- Speaker #0
Sachant que tout notre corps est alcalin sauf deux organes, l'estomac et la peau.
- Speaker #1
L'estomac alcalin c'est ?
- Speaker #0
Tout notre corps est au dessus de 7. On se pique, d'accord. sauf notre estomac, qui est à 3, 3, 5, enfin 3, en moyenne, et notre peau qui est à 6. C'est les deux seuls organes qui sont acides. Sauf qu'une grande majorité de la population occidentale est en acidoses cellulaires.
- Speaker #1
Sur tout le reste, ce qui devrait être à 3.
- Speaker #0
Absolument, sans même s'en rendre compte. Et donc, dès que je suis en acidoses, que va faire le corps ? Comme l'acidoses crée l'inflammation, le corps met en place ce qu'on appelle les systèmes tampons, c'est-à-dire qu'il va venir tamponner pour faire remonter. l'alcalin, il n'y a pas assez d'alcalin, trop d'alcalin, il va faire chercher à faire...
- Speaker #1
Donc c'est toi comme quand dans la piscine tu balances...
- Speaker #0
Absolument, quand tu balances, du pH plus ou du pH moins. D'accord. Et donc, il va faire remonter. Et pour faire remonter, qu'est-ce qu'il fait le corps ? Il n'a qu'une seule solution, c'est d'aller puiser dans les minéraux alcalins, c'est-à-dire le magnésium, et je vais commencer à faire des problèmes musculo-tendineux, des problèmes de réaction et de gestion émotionnelle. Je vais puiser dans son calcium, je vais commencer à faire de l'ostéoporose.
- Speaker #1
Oui, il va dans le stock.
- Speaker #0
Il va puiser dans le stock, là où il y en a. Il va puiser dans le potassium. Et là, comme moi, à l'âge de 45 ans, tu fais un double infarct parce que tu fais une fibrillation. Si tu as de la chance...
- Speaker #1
Donc pour toi, c'était inéluctable en fait. Moi,
- Speaker #0
c'était inéluctable. J'étais en acidose plus, Mais je le sais, je l'ai su après.
- Speaker #1
Alors, sans aller trop dans le détail, maintenant je comprends que j'ai intérêt, que ce soit que je sois un grand sportif ou un grand manager, à réguler, on va dire, mon taux d'acidose, mon pH. Donc maintenant, concrètement, comment je fais pour...
- Speaker #0
Pour l'alimentation.
- Speaker #1
Parce que moi, je ne peux pas, comme la piscine, je ne peux pas aller mesurer mon pH.
- Speaker #0
Bien sûr, au niveau de l'alimentation, tu vas chercher principalement des aliments alcalins.
- Speaker #1
Mais comment je fais pour savoir si je suis en acidose ou si je suis... Enfin, quel est mon gap par rapport...
- Speaker #0
Alors, le gap, le meilleur moyen, bien sûr, tu as les tests avec le pH mètre. pH mètre, tu prends la moyenne des urines d'une journée, à laquelle tu retires celle du matin parce qu'elle est très acide, et tu fais sur toutes les autres, et tu fais la moyenne. C'est très représentatif de ton niveau, on va dire. Par contre, pour moi, en tant que thérapeute, le meilleur moyen de pouvoir diagnostiquer un état d'acidose, c'est tout simplement la symptomatologie. Les tremblements, les douleurs, les difficultés à dormir, les troubles du sommeil.
- Speaker #1
Donc c'est par les symptômes que j'en déduis que...
- Speaker #0
D'accord, ok.
- Speaker #1
Absolument. Et donc là, peut-être qu'on ne va pas avoir le temps...
- Speaker #0
Non, parfois on tient tout, on en parle.
- Speaker #1
Mais on peut être conscient que du coup, si j'ai une pathologie, un symptôme, c'est que forcément ça vient d'un problème...
- Speaker #0
Soit d'un sidos, soit une hypercortisolémie, soit une déshydratation. Juste deux mots sur l'hydratation. Il faut savoir que 95% de la population occidentale souffre de discopathie, ne serait-ce qu'au niveau C5, C6. C'est devenu tellement courant qu'on nous dit que dans notre formation médicale, que c'est une discopathie fonctionnelle, liée à la fonction de bouger la tête. Oui, sauf que quand tu vas passer des tests, des examens cliniques, radiologiques, et je l'ai fait en Asie, et j'ai des amis médecins qui l'ont fait en Afrique, à des Africaines ou à des Asiatiques qui travaillent dans les champs, dans les rizières ou dans les champs en Afrique, tu te rends compte qu'elles n'ont aucune discopathie. Pourtant elles bougent la tête comme nous, non seulement elles bougent la tête, mais elles portent 80 kilos sur la tête avec le bébé dans le dos. Et donc, elles n'ont aucune discopathie.
- Speaker #1
Donc, c'est lié à autre chose.
- Speaker #0
Mais bien sûr, c'est 95, et je le dis haut et fort, 95% des discopathies sont liées à une déshydratation. Parce qu'un disque, c'est quoi ? C'est 99, le nucleus pulposus, c'est 99,9% d'eau. C'est que de l'eau.
- Speaker #1
Buvez, buvez, buvez, buvez. Et de l'eau.
- Speaker #0
Buvez, c'est de l'eau.
- Speaker #1
Parce que les managers qui vont au resto, ils ne veulent pas de l'eau.
- Speaker #0
Tout à fait. Un petit verre de vin, ça fait plaisir, ça fait du bien.
- Speaker #1
Mais hydratez-vous.
- Speaker #0
Mais surtout, hydratez-vous. pour remettre de l'eau dans votre système, dans vos disques.
- Speaker #1
Donc il n'y a pas de risque de trop boire, on est d'accord ?
- Speaker #0
Alors si, tu peux trop boire, parce qu'il faut savoir, c'est particulier encore, l'eau n'hydrate qu'à 20%, donc ça veut dire qu'il faut en boire beaucoup pour compenser.
- Speaker #1
Mais on ne risque pas de faire une ouvert dose d'eau.
- Speaker #0
Tu peux faire une ouvert dose d'eau si tu bois trop, parce que tu vas fatiguer tes reins. D'accord.
- Speaker #1
Mais ça, il faut y aller, j'imagine, pour arriver à ce niveau-là.
- Speaker #0
À partir de 4 litres, 5 litres, tu commences à fatiguer. Mais il y en a qui le font. Par contre, ce que les gens doivent comprendre, c'est que... grande partie de notre hydratation doit provenir de notre alimentation et l'alimentation hydrique c'est quoi c'est les légumes et les légumes et les hommes sauf que les gens ne m'ont pas suffisait pas de durée des steaks on mange des céréales et des protéines donc
- Speaker #1
là ce qu'on comprend c'est que l'alimentation est fondamentale parce qu'en fait on va des problèmes de tendinite de mal au dos de disques etc mais en fait le la cause en fait est plutôt lié dans l'alimentation Donc l'alimentation, ça c'est un grand sujet.
- Speaker #0
Il y a le deuxième sujet qui est la gestion émotionnelle chez les sportifs. Et la gestion émotionnelle, elle est absolument fondamentale. On le sait aujourd'hui entre deux sportifs qui ont les mêmes niveaux, ce qui va faire différence entre quelqu'un qui finit sur le podium et celui qui ne finit pas. Ce n'est pas son niveau physique, c'est le mental. Et la gestion du mental véesse les émotions. Et quand on comprend l'aspect, l'impact de l'hydratation et de l'hydrique, Sur la gestion émotionnelle, nos émotions ne sont que le fruit de nos flux liquidiens. C'est-à-dire que c'est les mouvements liquidiens qu'on a dans le corps qui sont à l'origine de nos émotions. Et là,
- Speaker #1
ça ne fait rien de mental. Là, tu relis l'émotion à la physiologie.
- Speaker #0
À la physiologie. Et c'est ça qui est absolument extraordinaire. C'est quand tu t'intéresses et quand tu creuses, tu trouves, quand on cherche, on trouve, c'est que tu te rends compte que nos émotions sont en lien avec notre physiologie. Et c'est notre physiologie. Je prends juste un exemple pour comprendre. Et les gens comprennent, le connaissent. L'organe des émotions. Notre intestin, le second, le fameux second cerveau, c'est une grande endocrine qui fabrique 90% de notre sérotonine. La neurohormone, une des quatre neurohormones du bonheur, de la fierté, de l'estime de ce monde. C'est elle qui va déterminer si j'ai des pensées positives ou négatives. Quand je passe mon temps à maltraiter, mon intestin, au travers d'une respiration paradoxale inversée qui touche 95% de la population, ou au travers d'une alimentation, par exemple une alimentation trop riche en protéines, qui va venir dézinguer le complexe intestin-microbiote, je peux faire tout ce que je veux en coaching, en thérapie.
- Speaker #1
Je n'aurai pas le bon niveau de sérotonine et donc je...
- Speaker #0
Je n'ai pas le bon niveau de sérotonine et mes schémas émotionnels vont être délétères. Et ça, les gens n'en ont pas conscience.
- Speaker #1
Donc moi, si je... Enfin, vraiment, il y a ce que je retire de tout ça. C'est qu'en fait la part du physiologique qui elle-même vient de la nutrition et de l'alimentation et de l'hydratation est beaucoup plus importante qu'on le pense. Parce que c'est vrai qu'on va tout de suite sur travailler le mental. Mais oui, bien sûr. En fait, tu bosses déjà ton hydratation, ton alimentation et tu auras déjà fait 80, je ne sais pas combien de pourcents du boulot, mais un gros part.
- Speaker #0
Alors non, oui bien sûr, parce que ça va venir impacter. Par contre, ça ne suffit pas pour avoir. C'est-à-dire qu'il faut un travail, un travail sur les émotions, sur la gestion des peurs, sur la libération. D'accord.
- Speaker #1
Et là, on est dans la thérapie, on est au niveau de...
- Speaker #0
La conscientisation, absolument. La conscientisation de nos émotions, la libération, l'acceptation de nos émotions, etc.
- Speaker #1
La montagne paraît énorme, quand tu parles de tout ça, c'est vraiment...
- Speaker #0
C'est dur de résumer 3 jours, 3-4 jours, toute une vie de travail, ou 3 jours de séminaire sur...
- Speaker #1
C'est pour ça que je mets bien l'attention au début, en disant vraiment qu'il faut qu'on aille sur des trucs qui soient simples et pratiques. Et donc, il y a un troisième ingrédient pour moi qui me paraît important, c'est le repos. Tu en as un petit peu parlé à un moment donné. Donc là aussi, j'imagine qu'à un moment donné, la machine, il faut qu'elle se repose.
- Speaker #0
Absolument, c'est une des clés fondamentales dans la gestion de la performance d'un sportif. Un sportif ne peut pas performer s'il ne récupère pas. Et ce qui va permettre, en gros, la récupération, c'est entre autres nos besoins fondamentaux. Mais ça, si tu veux bien, j'en reparlerai dans ton tip, on va dire.
- Speaker #1
Alors, on va y aller tout de suite parce que là, le temps file. Donc, on va passer à la conclusion avec les pépites de l'expert. Donc là, l'idée, c'est... Alors maintenant, ce qu'on a compris en fait, moi ce que je retiens de tout ça, c'est que c'est, je l'ai un peu résumé, mais c'est quand même quelque chose d'hyper complexe. Et donc l'idée de cette partie-là, ça serait vraiment de dire, ok, même si vous n'avez pas compris la théorie, essayons de trouver un quick win et un long shot. Donc le quick win, c'est vraiment, on peut mettre ça en place tout de suite et je vais avoir des effets bénéfiques. Après, si on veut comprendre pourquoi c'est cet effet bénéfique, il faut réécouter l'épisode pour essayer de comprendre. Mais donc concrètement, qu'est-ce qu'on peut faire là tout de suite ? en quick win qui permet qui permet à un manager qui est sous pression et donc qui a en permanence entre le presse agrume de pouvoir pouvoir améliorer sa condition physique mentale physiologique et alors sans aucune hésitation je veux dire la cohérence cardiaque je vais expliquer pourquoi donc
- Speaker #0
tu peux juste expliquer c'est quoi la cohérence cardiaque c'est un travail respiratoire qui se fait sur une certaine rythmique mais et mais citer mais qui a pour objectif pour moi en tant que thérapeute principalement déjà première action c'est de rééquilibrer tout notre système neurovégétatif. Le système neurovégétatif, c'est quoi ? C'est tout le système nerveux, autonome, indépendant de notre volonté. C'est ce qui régule la chair de poule, le flux cardiaque.
- Speaker #1
Parce qu'on ne contrôle pas, en fait. Je n'ai pas besoin de mon...
- Speaker #0
La rythmicité cardiaque, etc. Ce qui se fait tout seul, automatiquement. Ça, c'est ce qu'on appelle le système neurovégétatif. Il y a deux systèmes, le parasympathique et l'orthosympathique. Le frein et l'accélérateur. Oui. Et ce qui nous permet de pouvoir avoir une vie pleine, avec une... potentiel optimal, c'est tout simplement d'avoir un système équilibré. Le problème, c'est que la plupart des gens sont, notamment les managers, ce qu'on appelle en dystonie, c'est-à-dire en déséquilibre neurovégétatif. Soit trop d'orthos, soit trop de paras, etc.
- Speaker #1
Donc soit trop de freins, soit trop d'accélérateurs. Absolument.
- Speaker #0
Pas trop de freins et donc du coup, ils jouent sans arrêt entre les deux et ils ne se font pas bien. D'accord. Et donc, il faut rééquilibrer ça. Et le meilleur outil pour rééquilibrer ça, c'est la cohérence cardiaque. Et la cohérence cardiaque va avoir un autre impact absolument extraordinaire. C'est qu'elle nous permet de nous remettre dans le moment présent. Le seul moment, et ça c'est fondamental dans le rôle d'un manager, où on est submergé par les contraintes émotionnelles, c'est que le stress n'a d'emprise sur nous, on le sait, que quand on pense au passé, au futur ou aux autres. Et dès lors qu'on est dans le moment présent, le stress n'a absolument aucune emprise sur nous. Et l'autre avantage de la cohérence cardiaque, c'est de se remettre dans le moment présent. C'est quelque chose quoi. J'ai utilisé dans le milieu de la boxe, avec des boxeurs, et tout le monde l'a déjà vu dans les vidéos, quand un boxeur va monter sur un ring, il se met dans un coin, la main sur le ventre et il respire. Il se met en cohérence cardiaque, il se ressent sur sa respiration. Et les artistes, avant de monter sur scène, quand j'étais à l'aréna ou au Zénith, faisaient exactement la même chose. La main sur le ventre, dans les backstage, avant de monter sur scène.
- Speaker #1
Alors, est-ce qu'on a le temps ? Donc là, en cohérence cardiaque, il y a... Il y a donc revenir sur le présent et se synchroniser au niveau neurovégétatif. Neurovégétatif, ok. Est-ce que c'est facile d'expliquer là ?
- Speaker #0
C'est très facile d'expliquer. C'est une respiration qui se fait sur 10 secondes. J'ai les yeux fermés pour me centrer sur le moment présent, j'ai les mains sur le ventre et j'inspire pendant 1, 2, 3. 4, 5, entre 4 et 5 secondes, et j'expire.
- Speaker #1
Nez, bouche,
- Speaker #0
j'inspire. Je commence pour plus de facilité, inspirer par le nez, souffler par la bouche. Et dès que je sais faire, et que je me suis réglé, j'inspire par le nez. et j'expire par le nez. Je fais inspire-expire, pourquoi ? Parce qu'au niveau du nez, des cloisons nasales, on a énormément de récepteurs de ganglions, de zones neurovégétatives qui vont venir réguler.
- Speaker #1
Donc c'était 5 inspirations par le nez, et combien d'expirations ?
- Speaker #0
Alors, non, c'est inspire-expire, c'est-à-dire sur 10 secondes. Pourquoi ? Parce que... 6 fois 10 secondes par minute, ça régule et ça vient réguler le rythme cardiaque à peu près à 60 et ça vient réguler le système neurovisualatif. Et donc on le fait, c'est le principe du 365, on le fait 3 fois par jour.
- Speaker #1
Alors vas-y, reprends depuis le début.
- Speaker #0
j'ai un peu perdu donc j'inspire 1 2 3 4 5 j'expire 6 7 8 9 10 j'inspire 1 2 3 4 5 j'expire 6 7 8 9 10 à coran pierre 1 2 3 4 5 et je le fais pendant cinq minutes cinq minutes et la main sur le ventre la main sur le ventre parce que c'est pour sentir mon ventre le ventre on fait c'est au niveau du ventre et ce pas du thorax un peu au niveau du thorax que ça va bouger c'est au niveau du ventre j'inspire j'expire et je le fais pendant cinq minutes et je le fais trois fois par jour
- Speaker #1
Ok, c'est tout simplement ça alors ?
- Speaker #0
C'est tout simplement ça. Ça va venir, un, vous remettre dans le moment présent, faire lâcher, et puis dès que j'ai un coup de stress, je me remets la main sur le ventre et je me remets en conscience dans cette respiration en cohérence. Et ça va immédiatement, à l'instant T, parce que plus vous allez le faire, plus vous allez vous mettre dans le moment présent. dans ce moment présent plus vous allez vous mettre dans un état de non stress plus elle est programmée votre cerveau de cerveau est dans cet état de non stress et après avec la main sur le ventre vous créez ce qu'on appelle un ancrage le cerveau fait le lien entre la main sur le ventre le contact
- Speaker #1
la main sur le ventre pour qu'automatiquement je me mets dans la main.
- Speaker #0
Et au bout d'un certain moment de programmation, il suffit de mettre la main sur le ventre pour se remettre dans les temps qui refusent.
- Speaker #1
Super, mon super quick win. Facile à faire et avec des grands effets. Long shot ?
- Speaker #0
Long shot, alors je vais parler du sommeil. Les clés du sommeil. Je vais juste donner quelques types pour les clés du sommeil. Des erreurs que l'on fait. La plupart des gens vont prendre un bon bain chaud avant d'aller se coucher. Boire une tisane bien chaude. Laisser passer les fenêtres du sommeil. La fameuse fenêtre qui arrive. Oui,
- Speaker #1
moi j'appelle ça le...
- Speaker #0
le train aussi. Qui ne dure pas longtemps, 5 minutes. Et si on attend la fenêtre pour se lever, pour aller se laver les dents, ranger la vaisselle, etc. Et donc, il faut déjà avoir tout fait avant pour pouvoir, à ce moment-là, fermer les yeux, se mettre dans le lit et fermer les yeux. L'alimentation. L'alimentation, pourquoi ? Parce que on a tendance à manger associé le soir. C'est-à-dire qu'on ne dissocie pas. On va manger des protéines et des céréales. Et le problème, c'est que dès qu'on mange protéines qui doivent être digérées dans un... acide et céréales qui peuvent être digérés que dans un environnement alcalin, notre corps ne peut pas être lait dans le même temps. Ça veut dire qu'il va d'abord digérer l'un et après digérer l'autre. Ça veut dire qu'au lieu de digérer en quatre heures de temps, il va mettre huit heures.
- Speaker #1
Donc tu digères, tu ne dors pas. Et non,
- Speaker #0
ce n'est pas que tu ne dors pas. C'est que tu vas aller dormir quand tu manges le soir mais pendant que tu dors ton corps lui continue à travailler mais gérer ça veut dire que la température corporelle ne chute pas oui sauf que pour descendre dans un sommeil profond à récupérer tu as besoin de descendre en temps pas le choix il faut descendre d'un minimum d'un degré en température ce que tu empêche de faire résultat tu vas dormir sur les sommeils superficiels paradoxaux et tu vas descendre en profond mais tu vas pas rester tu peux aller dormir dehors non et en fait ce qu'il faut comprendre c'est que tout ce qui fait mon garder la température le sport le soir, les bains chauds le soir, on le sait tous, l'été, quand on a envie de bien dormir, on fait un pouf dans une piscine bien fraîche, après on dort super bien. On dort beaucoup mieux quand on fait baisser la température du corps. Donc du coup,
- Speaker #1
ma blague, c'est une demi-blague, parce que si tu dors dans une chambre où tu fais baisser la température, ça va aider.
- Speaker #0
Ah mais moi, chez moi, il n'y a jamais de chauffage dans la chambre.
- Speaker #1
Dormir fait à la planche ouverte.
- Speaker #0
Le jour à température ambiante. ok toujours ok donc ça ça aide en quoi c'était une blague en fait non mais c'est quelque chose que vous allez mettre en place progressivement parce que ça va pas se faire l'alimentation gestion alimentation ça veut pas dire qu'il faut tout le temps dissocier parce que c'est très dur de tout le temps d'association d'ici aussi tout le temps on devient un autre on vit plus, on n'est plus invité à manger, on mange plus parce qu'on dissocie tout le temps, on devient casse-bonbons comme on dit, et on n'est plus invité, on va dire bah non, lui il mange pas ça, il mange pas ça.
- Speaker #1
Donc dans la mesure du possible, essayez de manger tôt, si vous n'êtes pas chez les autres, essayez de manger plutôt un seul type, que des légumes par exemple.
- Speaker #0
Absolument, alors les sportifs ont très très bien compris ça. Pour dissocier le soir, les sportifs ont une habitude, notamment dans les sports de l'extrême, c'est que dès qu'ils sont en compétition, ils se mettent sur un jeûne intermittent. pour éviter justement de créer cette association le soir. Pour monsieur et madame tout le monde, je ne vais pas dire d'aller dans le jeûne intermittent, même s'ils le font déjà, c'est bien de le faire. Par contre, de dissocier au moins trois soirs dans la semaine, pour se garder trois jours, quatre jours, on va dire, de plaisir, de bien-être, avec les amis, les relations d'affaires, les repas d'affaires, etc. Par contre, trois soirs dans la semaine, dissocier, c'est-à-dire, pour dissocier, je donne juste un conseil, pas de protéines. le soir ok que les légumes légumes céréales ce que vous voulez aussi n'est pas de protéines à des pratiques n'ont pas produit pas oeufs papas de paris par un jeune homme fraîche pas de produits laitiers ok donc moi et c'est mais juste trois soirs dans la semaine donc c'est vous ça de ce soir on est tranquille à la maison on peut choisir voilà tout à fait et puis et puis et puis pour ceux qui le peuvent un jeune intermittent c'est extraordinaire ok donc
- Speaker #1
on résume c'est essayer de manger tôt essayer de faire trois jeux 3 3 dissociation par par semaine m aller se préparer à l'avance pour pas louper le train et prendre un bain après,
- Speaker #0
prendre une douche ou un bain frais, une douche,
- Speaker #1
un bain frais, en être ouverte et rebaisser la température. Et ça,
- Speaker #0
l'impact, alors c'est facile à faire comme ça, mais l'impact n'est pas immédiat, l'impact va être très progressif.
- Speaker #1
C'est pour ça que c'est un long choix, j'allais te dire, mais ça en fait on peut le faire dès ce soir.
- Speaker #0
Mais c'est du long terme,
- Speaker #1
c'est l'impact. Tu ne ressens pas les bénéfices tout de suite ?
- Speaker #0
Pas tout de suite. Tu vas sentir les bénéfices au bout de quelques semaines.
- Speaker #1
Alors que la cohérence cardiaque c'est immédiat. C'est immédiat. Donc ensuite on arrive au bon plan de l'expert. Donc là est-ce que tu as des... des ressources particulières que tu peux... On voit que le sujet est très vaste. Qu'est-ce que tu peux recommander ? Alors,
- Speaker #0
ressources d'abord, bien sûr, charité bien ordonnée, commence par soi-même. Je vais d'abord parler de mon livre, le fameux... Enfin, Mon bébé, le pouvoir de tout changer. Qui est une véritable bible, on va dire, pour moi. Enfin, j'ai mis tout ce que je savais, tout ce que j'ai appris dans ma vie professionnelle.
- Speaker #1
Et c'est accessible ? Parce que là, quand on parle...
- Speaker #0
C'est très accessible. C'est écrit avec des mots très simples. C'est raconté, il y a plein de métaphores, il y a plein d'histoires de vie, etc. Et puis, des livres comme Les Accords Toltec, bien sûr,
- Speaker #1
Donc ça c'est pas toi qui l'as écrit mais c'est des livres qui t'ont... C'est Don Miguel Ruiz,
- Speaker #0
les accords Toltec de Don Miguel Ruiz.
- Speaker #1
Qui a déjà été recommandé je crois par un invité précédent. Ah t'es fabuleux. Et moi pareil, il m'a marqué donc je ne peux qu'appuyer ta recommandation. Ok, un autre peut-être ?
- Speaker #0
Oui, le grand livre d'Oponopono du docteur Luc Baudin qui est absolument extraordinaire. Moi c'est lui qui a changé ma vie en 2013 quand j'ai touché le fond de la piscine. Si j'avais pas eu le grand livre d'Oponopono du docteur Baudin, je le dis, j'étais six étages plus bas sur un trottoir.
- Speaker #1
Ah ouais, à ce point-là ?
- Speaker #0
Ah ouais, j'ai pensé en 2012, j'ai pensé au suicide. Et c'est ce livre, en grande partie ce livre, qui m'a redonné l'espoir et qui m'a donné l'envie, on va dire, de changer de chemin.
- Speaker #1
Ensuite, j'aimerais te demander la pépite de la postérité. Donc là, tu es sur ton lit de mort, tu as toute ta descendance autour de toi et tu as envie de leur donner un conseil qui peut changer leur vie. Tu leur recommanderais quoi ?
- Speaker #0
Je leur ai donné plein de clés pendant toute leur vie, mais sur mon lit de mort... je vais leur juste leur dire un truc, n'attendez pas de toucher le fond de la piscine pour donner un coup de pied. Changez avant. C'est là toute l'importance. Et changer, ça ne veut pas dire changer tout, ça veut dire changer un peu. J'adore parler du principe de Pareto dans mes formations, dans mes séminaires, c'est changer 20% de vos habitudes de vie, dans tout ce que je transmets au niveau du livre, au niveau de mon blog, au niveau de ma chaîne YouTube, etc. Changez 20% de ça et ça impactera 80%. de votre vie au quotidien. Parce que 20% à l'instant T, c'est pas grand-chose, mais après, semaine après semaine, mois après mois, année après année, ça devient colossal. Donc, n'attendez pas de toucher le fond et changez un peu. Mais prenez la décision.
- Speaker #1
J'ai une autre métaphore qui est dans la voile, que quand tu changes le cap de sur les premières distances, ça fait rien, par contre, sur des milliers de kilomètres,
- Speaker #0
c'est énorme.
- Speaker #1
Ok, donc faites entrer l'expert. C'est bon, ben là, on a... On a eu l'information, mais comme tu l'as dit au début, tu interviens dans les entreprises. Donc est-ce que tu peux rapidement nous dire sous quel format et comment est-ce que les gens qui ont aimé le thème... Oui,
- Speaker #0
plusieurs formats. J'interviens d'abord bien sûr sous forme de conférences.
- Speaker #1
D'accord.
- Speaker #0
Je fais pas mal de... Un grand nombre de mes parties, de mes conférences sont des conférences corporate. Après, j'interviens beaucoup aussi en entreprise, bien sûr dans le domaine de la santé, du travail, tout ce qui est TMS, etc. Mais surtout et surtout, plus que tout, de plus en plus sur un item, un séminaire qui s'appelle Bien-être et performance. Pourquoi ? Parce que quand on pense performance, donc l'intitule du thème c'est bien-être et performance, de point, oui c'est possible. Parce que quand on pense performance, très souvent on pense souffrance. Il faut en baver quoi. Il faut en chier pour y arriver. Et ça, c'est une vraie fausse croyance. C'est-à-dire qu'au contraire, plus on va aller dans une notion de bien-être, de respect de son corps et de bien-être de son corps, plus on va lui donner l'opportunité et l'occasion de pouvoir performer derrière. Plus on va être dans un mal-être, dans une souffrance, dans une inflammation, dans un process délétère, plus on va contreperformer derrière. Mais ça ne peut se faire qu'au travers de la conscientisation des choses. On ne peut pas changer quelque chose que l'on ignore. Pour pouvoir changer, il faut déjà en avoir conscience. Et tout mon rôle à moi, c'est de montrer les portes, c'est de donner les clés, et c'est de donner l'envie derrière aux gens d'aller ouvrir ces portes avec ces clés.
- Speaker #1
Ok, très bien.
- Speaker #0
Et puis bien sûr, mon livre. Et puis mon site internet, enfin j'ai plein de...
- Speaker #1
Il y a plein de choses. Mais on mettra tout ça dans le descriptif. Et enfin, est-ce que tu aurais une recommandation pour un expert que je peux inviter sur mon podcast ?
- Speaker #0
Avec grand plaisir. Un monsieur que j'aime beaucoup, qui a été en grande partie à l'origine de mon changement, on va dire, dans le travail que j'ai fait sur moi, qui s'appelle Paul Pironnet. Paul Pironnet, c'est le fondateur de la Paul Pironnet Institute. C'est un des spécialistes en France de l'énéagramme. et de la PNL.
- Speaker #1
D'accord.
- Speaker #0
Qui a une école de formation à Lyon en PNL.
- Speaker #1
Donc sur quelle thématique tu le verrais ?
- Speaker #0
La PNL.
- Speaker #1
La PNL ? Oui,
- Speaker #0
absolument. Il est extraordinaire en PNL. D'accord. Quelqu'un qui a une compétence et qui a un savoir énorme. J'ai beaucoup, beaucoup, beaucoup de, on va dire, de gratitude pour lui parce qu'il a été vraiment... Il ne sait pas, enfin on se connaît, parce qu'on s'est connus après, mais il ne sait pas à quel point il a été à l'origine, on va dire, des changements.
- Speaker #1
Paul, j'espère vous voir ou te voir bientôt il est très sympa merci beaucoup franchement c'était vraiment un moment je t'avoue que la première partie on est parti un peu dans des sujets qui étaient pas faciles à suivre mais on comprend qu'il y a plein de choses et surtout que les effets sont vraiment importants et qu'il y a beaucoup d'idées reçues j'ai l'impression et comme tu as dit la conscientisation de certaines choses moi j'avais pas conscience que j'avais pas conscience que l'alimentation, l'hydratation avaient un impact aussi grand, y compris sur le mental en fait, sur nos émotions. Donc ça, c'est une découverte. Et voilà, avec ces quick-ins, ces quelques pépites que tu nous livres, je sens qu'il y a vraiment de quoi faire. Et donc, je dirais, mission accomplie par rapport à l'intention du début. Et voilà, je te remercie pour ce bon moment. Et je dis à tous nos éditeurs, à très bientôt pour un nouvel épisode.
- Speaker #0
Merci à toi Laurent, et puis belle continuation à tous. Prenez soin de vous, vous êtes précieux. Voilà,
- Speaker #1
merci beaucoup. Bye bye.
- Speaker #2
Voilà, j'espère que cet épisode vous a plu et vous aura permis de garnir encore un peu plus votre boîte à outils qui vous aidera à devenir progressivement une meilleure version de vous-même. Si vous suivez et aimez ce podcast, alors soyez généreux et partagez-le avec vos proches, vos collègues et vos équipes pour qu'eux aussi puissent profiter de ces pépites d'experts. Un autre moyen pour en faire profiter le plus grand nombre est de le faire augmenter en visibilité en le faisant remonter dans les classements.
- Speaker #1
Pour faire ça, c'est très simple.
- Speaker #2
Mettez simplement 5 étoiles et un commentaire qui donnera envie à d'autres de nous écouter.
- Speaker #1
Enfin,
- Speaker #2
je vous rappelle que vous pouvez aussi vous abonner à ma newsletter dont j'ai mis le lien dans le descriptif. Grâce à ça, vous serez avertis avant tout le monde de la sortie d'un nouvel épisode et vous pourrez aussi bénéficier d'infos introuvables ailleurs. Alors maintenant, à vous de jouer !