Speaker #1Cinquième épisode, nous sommes toujours à interroger Pianemcille comme science, et il s'agit de la seconde partie. du cinquième épisode consacré à la science, qui s'appelle à la question « En quelle mesure peut-on dire de la médecine ? » La médecine ne se limite pas à la relation individuelle entre le patient et le médecin. Elle s'inscrit également dans un cadre social, politique et économique plus large où les décisions médicales influencent et sont influencées à la dynamique sociale. les inégalités d'accès aux soins et les structures de santé publiques et privées. La dimension sociale de la médecine englobe l'impact de la santé sur la société, l'organisation des systèmes de soins, la prévention des maladies à l'échelle collective et les efforts pour réduire les inégalités sociales de soins. Posons-le, la médecine est aussi une science sociale qui vise à améliorer non seulement le bien-être des âges. mais aussi selon les communautés et les populations. En effet, la médecine ne se contente pas de traiter des individus malades. Elle est aussi à prévenir la survenue des maladies au sein de la population. La médecine préventive repose sur des stratégies à l'échelle collective pour prévenir les maladies, promouvoir la santé et améliorer la qualité de vie de la population. Elle s'inscrit dans la médecine sociale car elle agit en amont. sur des facteurs environnementaux, sociaux et alimentaux. Un exemple fondamental de la médecine préventive est la lutte contre les maladies infectieuses. Des politiques publiques, comme la vaccination, permettent de lutter contre des maladies graves et potentiellement mortelles, comme la polio ou la fraiole, que récemment on a su à la COVID-19. La vaccination, en étant pratiquée à grande échelle, permet de réduire l'incidence de certaines maladies dans la population. en tant que protégé de taille générale, en particulier ceux qui ne peuvent pas être vaccinés pour des raisons médicales. Prenons également l'exemple de la lutte contre le tabagisme. Les campagnes de prévention, la régulation de la publicité pour le tabac, ainsi que du programme d'aide à l'arrêt du tabac, ont permis de réduire de manière significative le nombre de fumeurs dans le monde européen. La législation anti-tabac a été renforcée avec des mesures telles que la protection du flux dans les espaces publics et la position d'adaptissement sanitaire sur les paquets de cité. Ces actions de santé publique s'inscrivent dans un effort collectif à améliorer la santé globale de la population. Cécile Adams, dans son oise The Social Medicine of Prevention, souligne que les efforts de prévention de maladies sont essentielles, non seulement pour améliorer la santé des animaux, mais aussi pour réduire les problèmes sociaux associés aux maladies chroniques et aux soins de santé. En d'autres termes, les actions préventives permettent non seulement de réduire les soins des humains, mais aussi de réduire les ressources économiques allouées aux soins de santé. Un autre aspect crucial de la médecine en tant que science sociale est la prise en compte des inégalités sociales. En effet, les inégalités techniques, sociales et géographiques offrent profondément l'accès aux soins et l'état de santé des hommes. Les personnes issues de milieux défavorisés sont souvent confrontées à des obstacles et à l'accès aux soins de qualité, ce qui entraîne une surmortalité et une morbidité plus élevées dans ces populations. Des études ont démontré que des facteurs tels que le revenu, l'éducation, le logement, même vos stètes sociales, ont un impact direct sur l'aspect syndical. Les personnes vivant dans des quartiers défavorisés ont tendance à présenter des taux plus élevés de maladies croques, un diabète, une hypertension et des espérances faibles en raison de la combinaison de facteurs environnementaux. d'accès limité aux soins et de coûte de nos arrêts. L'un des exemples les plus parlants de ces inégalités sociales est l'accès aux soins dans les pays à revenus faibles ou intermédiaires. Dans ces pays, les inégalités économiques et géographiques exercent des problèmes de soins. Les personnes vivant dans des régions rurales ou éloignées peuvent avoir un accès très limité à des soins de santé de qualité, ce qui acte par une totalité de l'UFML évitable. Par exemple, les soins prénatales qui sont essentiels pour la santé des mères et les nourrissons sont souvent insuffisants, en disant une brûleur de pays en développement. Paul Farmer, médecin et anthropologue, a mis en évidence cette réalité dans son ouvrage Pathologies of Power, soulignant que la pauvreté tue les gens de la société moderne. souvent de manière silencieuse et invisible. La manière dont un système de santé est organisé joue un rôle central dans la façon dont les soins sont dispensés à la population. Les systèmes de santé peuvent être divisés en fonction de plusieurs modèles, comme le modèle de santé public, où les soins sont financés par l'État, ou le modèle privé, où les soins sont financés par les patients, ou des assurances privées. L'organisation des soins dans chaque pays influence directement. l'accès aux traitements, la qualité des soins et les coûts associés. Un exemple pertinent est l'assurance maladie universelle, qui permet à l'ensemble de la population d'avoir accès aux soins de santé sans se soucier du mal. Dans des pays comme le Royaume-Uni, avec son système de santé NHS, chez l'ASA-SALRIS, tous les résidents ont accès aux soins de santé, à du mal ou largement subventionné, quel que soit leur statut économe. Un autre exemple est celui de la couverture sanitaire universelle en France, qui s'insulte où un large pourcentage des frémineux est pris en charge par la sécurité sociale. Cependant, cette scène de santé, comme ceux aux États-Unis, repose en grande partie sur des assurances et des coûts, ce qui peut entraîner une inégalité d'accès, soit en fonction du statut social commun, et des personnes sans couverture d'assurance ont une couverture insuffisante. constamment qu'une difficulté à accéder aux soins de qualité s'occupe d'une traîne d'immunité, notamment une détection tardive de maladies, voire une mortalité évitable. Le rapport Lalonde de 1974, publié par le ministre de la Santé canadien, a montré que les inégalités sociales et économiques jouent un rôle majeur dans la santé de la population. Une approche systémique de santé est essentielle pour réduire ces inégalités. En ce sens, la médecine sociale plaît à être une meilleure organisation du système de soins pour garantir l'accès légal à la santé de tous. Bien que la médecine repose en grande partie sur des principes scientifiques et utilise des outils récoltes pour diagnostiquer et traiter les maladies, elle présente aussi des limites importantes qui l'empêchent de se qualifier de science exacte, à l'instar de la physique ou des mathématiques. La médecine peut être une science sociale. Voyons maintenant comment elle peine à devenir une science exacte. Ses limites s'expriment à différents niveaux, dans le diagnostic, le traitement, dans la compréhension des maladies et dans l'adaptation des soins à chaque patient. Un des aspects majeurs de la médecine qui la distingue des sciences exactes est la variabilité humaine. Chaque individu est unique, ce qui rend les réponses physiologiques et cliniques aux maladies et aux traitements très difficiles à prévenir avec cette maladie. Par exemple, deux patients atteints de la même maladie peuvent réagir différemment à un même traitement en raison de leurs antécédents médicaux, de leur génétique, de leur état de santé général ou même de facteurs psychosociaux. Le cancer, par exemple, est une maladie complexe et diversifiée où la progression et la réponse au traitement peuvent varier considérablement. Les thérapies ciblées ou les myothérapies, bien qu'efficaces, pour certains ne produisent pas les mêmes résultats chez les patients. Selon C.S. Berkeley, l'acteur général de Gally, de Science for Vaccine and Immunization, la médecine n'est pas une science exacte, elle doit prendre en compte l'individuité de chaque patient, l'adapter au traitement. Voilà pourquoi la médecine doit proposer avec une grande part d'incertitude, ce qui l'empêche d'être une science. régime et déterminant. En tant que sens clinique, elle repose sur l'observation et l'interprétation des symptômes d'un petit premier parti de cette vie. Mais ces éléments doivent être en milieu et difficiles à analyser de manière exacte. Par exemple, les symptômes de nombreuses maladies sont similaires et se chevauchent, ce qui complique le processus de la vie. Le patient qui présente des murs thoraciques peut souffrir d'une simple ingestion d'un reflux gastro-phagien ou être victime d'une certaine connotation des signes géniques et des tests diagnostiques liés que fondés sur une base scientifique solide. restent sujettes à des erreurs doubles. Un diagnostic différentiel, nous l'avons déjà dit, est un processus qui consiste à éliminer les différentes causes possibles, symptômes, en fonction des preuves distantes. Cependant, ce processus n'est pas toujours exact et certaines conditions peuvent ne pas être diagnostiquées à temps, peuvent être mal interprétées. Prenons l'exemple de l'optisme. Les signes cliniques peuvent être subtils et souvent mal compris. Ce qui nous doit entraîner à retard dans le psychiatrie, qui sont tellement souvent difficiles à diagnostiquer, car ils sont aussi influencés par des facteurs subjectifs, émotionnels et culturels. Soria Mosler, toujours lui, qui a contribué à l'avancement de la médecine clinique moderne, a écrit « L'écoute du patient est le premier principe. » Mais cela ne suffit pas. Il faut également savoir interpréter avec discernement, car le diagnostic repose souvent sur l'intuition et l'expérience, sur les certitudes absolues. Même lorsqu'un diagnostic égoïste est posé, les traitements médicaux ou chirurgicaux ne produisent pas toujours les résultats attendus. Chers patients, on réagit différemment à un traitement en fonction de son âge, de son état de vie, de son âge professionnel. Nous l'avons dit, ces facteurs qui échappent en grande partie à la prédiction scientifique exergue font que les traitements médicaments ne sont pas universellement efficaces. Prenons l'exemple des antibiotiques. Si ces médicaments sont très efficaces contre les infections bactériennes, nous le demandons au cas, leur efficacité varie en fonction de la résistance bactérienne. La résistance aux outils scientifiques a augmenté au fil des décennies, rendant sa traite de tente totalement inefficace, voire inutile dans certaines situations. Comme le souligne Yann Serva avec le Marmotte, l'expert en santé publique, les traitements ne sont pas seulement des outils scientifiques, c'est aussi une question de contexte, d'environnement et de facteurs externes. Par conséquent, ce qui fonctionne pour un patient peut ne pas fonctionner pour un autre, même si l'homme le dit. De plus, de nombreux traitements présentent des effets secondaires qui peuvent avoir un impact négatif sur la qualité de vie du patient. Par exemple, les traitements chimiothérapeutiques, bien qu'efficaces pour tuer des cellules cancéreuses, peuvent provoquer des effets secondaires graves, comme la malade de cheveux, la nausée, des complications cardiaques. Antoine Barbelle-Sinoussi, prix Nobel de médecine pour son état sur le VIH, a souligné que la science est une caractéristique. progresse, mais que chaque traitement implique toujours un compromis entre l'immunité et les risques. La médecine, même lorsqu'il repose son débat scientifique solide, se heurte à des questions éthiques qui ne doivent pas être résolues de manière scientifique. Exact. Les décisions médicales incluent souvent des considérations morales concernant la vie, la souffrance, la mort, et ces décisions varient en fonction des valeurs culturelles. religieuses, philosophiques, sociales. Un exemple dynamétique est celui de la fin de vie, l'euthanasie, l'arrêt des traitements de maintien en vie et le suicide assisté. Ces questions suscitent de nombreux débats sur le droit de création, le rôle de médecine et les principes de la médecine en France. La loi Claes-Levetti de 2016 autorise la création de la médecine. Les médecins restent confrontés à des dilemmes moraux dans des cas complexes, où la frontière entre l'action légale et l'action contraire à l'éthique peut être floue. Le médecin Albert Schweitzer, qui est une nouvelle de la paix, écrivait « La médecine n'est pas seulement une science, c'est aussi un art de prendre des décisions. C'est moral. » Cela souligne le fait que, même lorsque les connaissances scientifiques sont en jeu, Les décisions cliniques ne peuvent pas être réduites à des quelques objectifs, mais elles doivent aussi prendre en compte les éléments subjectifs et éthiques. Enfin, la médecine est confrontée à une autre grande limitation, l'imprévisibilité des maladies. De nombreuses maladies sont mal comprises, et de nouvelles pathologies peuvent émerger à tout moment. nous ont un défi de taille à la pratique médicale. L'exemple récent, le plus marquant, c'est bien sûr celui de la pandémie de Covid-19 qui a bouleversé la médecine mondiale. En 2020, les médecins et les chercheurs ont dû réagir rapidement à une maladie qui était alconique. et même avec les meilleures ressources scientifiques, les règles scientifiques ont évolué avec le temps. L'épidémiologiste Antoine Flau a souligné que, je cite, « les pandémies rémèlent l'incertitude fondamentale à laquelle les systèmes de santé sont confrontés malgré les problèmes scientifiques. » En effet, face à l'émergence rapide d'un nouveau virus, la médecine se trouve souvent dans une position d'improvisation. Il faut donc comprendre et traiter une pathologie qui défie. des connaissances existantes. L'un des aspects fondamentaux de la médecine est donc son évolution constante. Apparemment, une discipline comme la théorétique ou la physique a un système de durée relativement stable au fil du temps, la médecine étant permettée à la révision en raison de la déclaration de ce type de traitement de nouvelles technologies théoriques sur les maladies et de nouvelles façons de comprendre le corps humain. La médecine est ainsi un domaine dynamique où l'acquisition de nouvelles connaissances ne cesse de redéfinir les pratiques et les traitements. Cette évolution est un atout majeur, mais elle présente également des défis, notamment en termes de gestion du changement, d'adaptation des pratiques cliniques et de prise en charge du patient. L'une des raisons pour lesquelles la médecine évolue constamment est donc l'amélioration de la compréhension des maladies. Ce qui était considéré comme une maladie incurable il y a quelques décennies, peut devenir traité avec succès grâce à un scientifique exemple, et un exemple frappant, celui de l'oxygène. Lorsque, effectivement, le sida est apparu dans les années 1990, cette maladie a été perçue comme une condamnation. Cependant, avec la découverte des anticiagulaires, les patients atteints du VIH peuvent désormais mener une vie. presque normalement, pour que le traitement soit finit. La médecine génétique est un autre domaine où l'évolution des connaissances a permis des avancées considérables. La découverte du génome humain, en 2003, a ouvert de nouvelles perspectives dans le diagnostic et le traitement des maladies génétiques, telles que la prépacoptose ou la mucomyciteuse, ou certains cancers héréditaires, thérapies géniques, qui visent à modifier ou à remplacer. les gènes des ventures ont commencé à être mis en place, pouvant à la fois arrêter le traitement potentiel de toutes les maladies jusqu'à l'heure considérées comme incurable. Francis Collins, le généticien responsable du projet de séquençage Géno-Mu1, a écrit en 2006 ce livre, The Language of Life, je cite, « La génétique transforme le médecin, non seulement en nous offrant des traitements plus personnalisés, mais aussi en nous permettant de mieux comprendre les origines et le mécanisme des maladies. L'un des développements les plus importants de ces dernières décennies dans le domaine médical est l'émergence de la médecine personnalisée. Ce concept repose sur l'idée que chaque patient est unique et que le traitement est plus efficace au lieu. Il doit être spécifiquement adapté à ses caractéristiques biologiques, génétiques et environnementales. La médecine personnalisée intègre les avancées génétiques. biomédecine, immunothérapie, qui permettent de cibler plus précisément les pathologies. Prenons l'exemple du cancer. Traditionnellement, le traitement du cancer consistait en chiotérapie, radiothérapie ou chirurgie, souvent avec des effets secondaires graves. Aujourd'hui, grâce au progrès de la génétique humaine, traitements comme l'immunothérapie ou la thérapie ciblée sont capables de s'attaquer spécifiquement aux cellules mencéreuses en épargnant les déficits. pour certaines formes de cancer du monde, le cancer du sein, pose désormais sur les tests génétiques pour identifier les mutations spécifiques permettant d'orienter les traitements vers ceux qui auront les meilleures chances de succès. Eric Le Paul, professeur de médecine et auteur de Pressure Medicine Now en 2015, explique que la médecine personnalisée change le paradigme de la santé. Elle permet de prédire, prévenir, traiter les maladies de manière beaucoup plus précise, mais aussi de mieux comprendre les individus dans leur globalité. Ainsi, l'évolution continue de nos connaissances génétiques en biotechnologie et en data science conduit à une approche plus intelligente et individuelle. La technologie et l'intelligence artificielle vont révolutionner la partie médicale. En effet, les problèmes en informatique, en imagerie médicale et en robotique permettent de diagnostiquer des maladies de plus en plus de manière plus précise et moins invasive. Les algorithmes, le TIA, sont désormais utilisés pour interpréter des images médicales, comme les radiographies. les IRN et les échographies, en détectant des anomalies invisibles à l'œil humain. Un exemple significatif est celui des systèmes de diagnostic assistés par IARP, qui sont utilisés pour détecter des cancers dans le cancer du sein. Les chercheurs ont démontré qu'un système d'IA pourrait égaler ou absurder ces précisions irradionales dans l'interprétation des mammographies. Ces technologies permettent également de notifier les pathologies ARP ou complexes. Le même des médecins expérimentés pourraient avoir une maladie physique. L'intelligence artificielle peut aussi être utilisée pour avoir la réponse d'un patient à un traitement particulier et donc ainsi une médecine. L'option est la plus adaptée. Le docteur Daphne Collor, fondatrice d'InCitro, une entreprise spécialisée en biotechnologie, affirme que l'intelligence artificielle en associant des milliards de points de données, permet à la médecine de devenir une science prédictive, ce qui était inimaginable au milieu des quelques années. Les technologies avancées redéfinissent ainsi la manière d'aborder le diagnostic, le traitement et même la prévention. Cependant, l'évolution d'appui des connaissances médicales peut également entraîner des défis importants, notamment dans la désagére des pratiques cliniques. traitement ou d'un projet d'apprentissage de trois points de l'épreuve solide, pour furent et à mesure que le domaine des classes est fait. Or, l'intégration de ces nouvelles connaissances de la pratique n'est pas toujours immédiate. Les mises à jour des guidelines cliniques qui guident les solutions médicales peuvent prendre des années avant d'être largement adoptées, créant une stupéfiante dégolexion entre la recherche des pointes et la pratique positive. Un exemple récent de cette difficulté est le traitement de la maladie d'Alzheimer. Pendant des décès, des recherches ont principalement tenté sur des traitements visant à réduire la plaque amyloïde, mais ces traitements n'ont pas apporté des résultats esclatants. La découverte récente de l'importance des microbiotes dans la progression de la maladie a conduit à une révision complète de la stratégie graphique. Pourtant, les changements dans les protocoles cliniques doivent être mis en oeuvre lentement, et certains médecins continuent à utiliser des traitements qui sont désormais considérés comme dépassés. Le professeur Michael Leipron, spécialiste des systèmes de santé, souligne que, même si la recherche évolue rapidement, la capacité du système de santé à intégrer ces nouvelles connaissances est un défi. Il est essentiel de maintenir une équipe entre innovation et pratique clinique. L'évolution constante des connaissances en médecine exige donc une mise à jour par l'allemand, formation médicale, des lignes directrices et des pratiques personnelles. Cette évolution constante des connaissances fait de la médecine une science dynémique en perpétuelle progression. Si cela permet des avancées majeures, notamment dans la compréhension des maladies et dans l'application de traitements discipulés et personnalisés, cela soulève évidemment de nombreuses difficultés et des défis. La médecine doit non seulement intégrer les nouvelles découvertes rapidement, mais aussi faire face aux questions de mises à jour de pratiques, de gestion des risques et d'adaptation de nos groupes en constante mutation de patients. Ainsi, la médecine est une discipline à la fois en constante révision et adaptation, où la science, l'innovation et les connaissances humaines s'entrelacent pour offrir les meilleurs soins possibles dans un monde en capacitation.