Speaker #0Bonjour, bonsoir, bienvenue. Vous écoutez Galien Philosophes, un podcast proposé par Cour Galien, la prépa de référence aux études de santé. Il vous est présenté par notre directeur de la communication académique. Au cours de ce quatrième épisode, ça crée la notion de liberté. Eh bien, nous allons interroger, je sens cette liberté, mais sur le texte médical et hospitalier, c'est-à -dire la liberté du patient. quelle est notre liberté pour le patient ? Alors cette question est complexe parce qu'elle soulève plusieurs enjeux éthiques, philosophiques et sociaux. En effet, être libre, cela peut prendre plusieurs significations, entre la liberté d'agir, la liberté de choisir, de consentir, ou même d'ailleurs de s'opposer à des traitements. Alors il faut rappeler que dans l'exception la plus large, liberté signifie tout simplement absence de contraintes. Pour répondre donc à cette question, la question de la liberté du patient dans le contexte hospitalier, on va prendre en compte plusieurs dimensions. Il y a la juridique, les contraintes physiques, mentales, qui peuvent influencer le comportement du patient, ainsi que la dynamique du pouvoir des patients et des professionnels. On va bien expliquer ce sera. ou par développement sans tabou. Alors, nous avons une tente qui est le cadre juridique et comment se définit la liberté du choix du patient. La liberté d'un patient commence avant tout par son droit à l'autonomie qui est un principe fondamental de l'éthique médicale. Dans de nombreux pays, les patients ont le droit de prendre des décisions concernant leur traitement à condition qu'ils souhaitent informer les conséquences de cette décision. Le consentement éclairé est une règle clé dans le domaine médical. Chaque patient doit être en effet informé de manière complète des alternatives qui s'offrent à lui et des risques associés à chaque option. En théorie, cela garde aussi une forme de liberté pour la prise de décision. Souvent, cette liberté est parfois remise en question. Certaines conditions médicales, certaines situations d'urgence peuvent réduire évidemment l'autonomie d'un patient. Par exemple, si un patient est inconscient, dans un état mental altéré, il ne peut pas consentir, refuser un traitement de manière informe. Dans ce cas, des décisions peuvent être prises par les proches ou par le médecin sur la base de ce qui serait dans l'intérêt du patient, ce qui cause la question de la privation de l'identité et de l'autonomie, et donc limitée non seulement par l'état de santé du patient, mais aussi par des principes de... de bienfaisance et de justice. C'est notre liberté et notre condition. Il existe aussi des situations où des patients peuvent être contraints de se rendre dans des établissements médicaux, dans un cas comme la psychiatrie, des hospitalisations, où ils peuvent se faire sans consentement. La loi permet, dans ces cas, une hospitalisation contrainte, notamment en raison de la santé publique ou de la dangerosité pour soi ou pour autre. Ces mesures de privation de liberté en outil de nos justifications par la protection de l'individu et de la société, soulève la question de l'équilibre entre sécurité et liberté individuelle. Alors, quelle est l'influence des structures médicales et hospitalières sur la liberté des patients ? Au-delà du cadre juridique, il est essentiel de réfléchir à la manière dont l'environnement hospitalier lui-même peut impacter la liberté des patients. L'hôpital ou la clinique est une institution de ce qu'on appelle ce qu'on appelle... lieu de soins, il pourrait être fort bien sûr, mais également prime un espace de régulation et de contrôle qui entraîne par nature une subordination des patients. Ce serait l'architecture des hôpitaux, les horaires stricts, les relations entre patients et personnels médicaux, ainsi que les normes sanitaires et sécuritaires peuvent influencer la manière dont les patients se sentent dans certaines circonstances, notamment dans les unités où ce sera intensif. psychiatrines, les patients sont souvent soumis à des contraintes très strictes qui n'impactent pas chaque aspect de leur vie. Les patients sont alors pris en charge par des professionnels qui définissent l'ensemble de l'emploi du temps, de l'heure des repas à la gestion des études. L'aspect coercitif de ce système, bien que visant à garantir la santé et la sécurité des patients, réduit considérablement sa liberté d'action. Ce phénomène est particulièrement visible dans les unités psychiatriques, où l'on peut se retrouver dans un environnement fortement normé, avec des numéros qui sont des sms, qui sont très restreints, et qui sont en train de faire le tour de l'homme. sur les isolés. Les patients dans ces situations doivent élever un sentiment de la déconcession, de leur entour. Par ailleurs, la médicalisation des corps et des esprits dans un environnement hospitalier peut créer une forme de soumission, de traité médical. L'influence du médecin qui prend des décisions sur les traitements administrés peut induire une forme de pacifité chez le patient, et il s'agit de la même moitié, la même attaque à tireur. Et c'est là surtout dans des contextes où la relation de pouvoir entre le soignant et le soigné est évidemment par nature inégalitaire. Si le médecin est perçu comme un expert détenteur de la vérité médicale, le patient peut être amené à accepter des traitements sans oser les faire. sous voie à la contestation. Cela soulève la question du consentement réel. Est-ce que le patient consent librement au traitement ou bien est-ce qu'il ne se suit pas toujours une pression implicite ? Et à l'autorité du médecin. Quelles sont les dimensions psychologiques et sociales de la liberté du patient ? La question de la liberté du patient ne se limite pas seulement à un cadre juridique ou institutionnel. Elle englobe également des dimensions psychologiques et sociales. En effet, la maladie elle-même, qu'elle soit physique ou totale, peut avoir un impact profond sur l'autonomie et sur la perception de la liberté de l'individu. Les personnes malades, surtout dans un état grave ou chronique, vont ressentir une grande dépendance, vous allez le décevoir, et ce qui débite ce pouvoir de la situation. Les patients peuvent aussi se sentir alliés dans un environnement médical qui semble leur imposer un cadre étranger et strict. L'hôpital, qui peut être perçu comme un espace de soins et de réalisme, peut également devenir un lieu de domination symbolique. Les patients se sentent réduits à leur maladie, privés de leur inutilité. Cette alienation peut être exacerbée par la façon dont la médecine parfois pathologise les individus, en les réduisant à des symptômes ou des conditions médicales, plutôt que de les considérer dans leur totalité et dans leurs aspirations. En plus, le statut social du patient joue un rôle crucial dans son expérience de la liberté dans le système de soins. Les personnes issues de merveilles sociaux défavorisées peuvent être plus susceptibles de se soumettre à une prescription médicale sans être testées. Rien d'autre représente un manque d'information. Les inégalités sociales, dont l'accès à la santé, les différences de statut socio-économiques et les barrières culturelles ou linguistiques peuvent jouer en effet un rôle très important dans la manière dont les patients exercent leur liberté dans le cadre médical. Quel est le rôle des patients dans leur traitement ? C'est la question de l'articulation de l'autonomie et de la responsabilité. La liberté des patients doit également en effet être forcée en tant que responsabilité personnelle. Il y a du consentement éclairé, les patients ont parfois un rôle actif à jouer dans leur traitement. Cela peut être particulièrement vrai dans le cas de maladies chroniques. La gestion de la santé devient une responsabilité partagée entre le médecin et le patient. Dans ces cas, la liberté du patient se manifeste par son engagement à se faire en sorte que la maladie ne se déroule pas. à suivre les recommandations médicales, mais aussi par sa capacité à chercher des alternatives ou à choisir un traitement qui lui semble le plus adapté à ses valeurs personnelles. La liberté se joue ici non seulement sur la capacité de choisir, mais aussi sur la possibilité d'assumer ses choix, parfois difficiles, au nom de son propre mémoire. Pour les patients atteints de maladies graves ou incurables, la question de la liberté devient encore plus intense. Certains pays, des pratiques comme l'euthanasie ou le suicide assisté, posent de nouvelles questions sur l'adopter d'une patiente à choisir la fin de leur vie. Ce sujet se docteure des lois éthiques pour commun, car il touche au droit d'un individu à prendre des décisions concernant la faute de sa propre existence, au cadre de contrats de l'appel des personnalités. Alors on a bien compris, la question de savoir si les patients, les médecins et les capitaux sont libres était indignement une question complexe. Si sur le plan juridique, en cible comme le consentement éclairé et l'autonomie permettent aux patients de faire des choix éclairés pour sa vie, c'est souvent en train de m'étonner par des facteurs sociétés, psychologiques et sociaux. L'hôpital, qui devait être un lieu de soins, peut devenir un espace de contrôle et de régulation qui limite la liberté des patients. En plus, les inégalités d'accès aux soins et les dynamiques de pouvoir dans la relation médecin-patient jouent indéniablement un rôle important. Dans une vision idéale, un patient devrait pouvoir exercer une véritable liberté, cadre de son part-promotion, en ayant la possibilité d'exprimer ses désirs, ses doutes, et de prendre des décisions en toute connaissance de cause. Toutefois, dans de nombreuses situations, la liberté des patients se trouve réduite par des contraintes externes, et il appartient à la société et aux professionnels de santé. et veiller à ce que cette liberté soit respectée et protégée dans la milieu des patients. Pour développer l'avantage de cette réflexion, il est nécessaire de suivre une exploration dans le questionnement de la réduction, car on a parvenu à certains aspects qui sont évidemment à leur avant, qu'on explore en nous aidant. Nous allons ainsi examiner plus en détail l'impact des contraintes sociales, économiques et culturelles sur la milieu des patients. l'évolution des relations de patient et professionnel, ainsi que les implications des programmes et des programmes dans la gestion de la liberté à l'éducation, cette relation continuera à se préserver sur l'enchevêtre de la liberté juridique, institutionnelle et subjectiviste, en cas de handicap, étant en lien avec le paradoxe idéal à cette question. Revenons sur le conflit de la liberté et des compensations à l'éducation. Une des dimensions les plus complexes entre la négation et le système de soins est l'influence des inégalités sociales que les extracteurs conditionnent non seulement la séance de soins, mais aussi la manière dont un patient peut exercer son autodidacte et sa liberté, dans le cadre de ses traitements. Une personne issue d'un milieu désinhibité peut ne pas avoir accès aux mêmes ressources médicales, ni bénéficier des mêmes options pour traitement. Dans de nombreux systèmes de santé, l'accès à des soins de qualité, même appelés traitements innovants, dépend largement des ressources économiques et du statut social. Cette situation crée une forme d'inégalité de liberté, où certains patients, en raison de leur situation socio-économique, peuvent être amenés à accepter des traitements moins adaptés ou moins efficaces, pour pouvoir s'offrir une alternative. Ces inégalités peuvent se manifester à différents niveaux, qu'elles soient préventives ou très conspécialisées, en passant par l'accès à l'information ou à des consultations de spécialistes. Par exemple, dans de nombreux pays, les populations les plus pauvres sont celles qui souffrent le plus de l'absence de clôture médicale complète, au corps de la nécessité de recourir à des soins d'urgence, tout qu'à des soins programmés et de la suite. Outre, les inégalités culturelles et linguistiques peuvent également restreindre la liberté de certains patients, notamment dans des contextes multinationaux où la langue, les croyances et les pratiques culturelles peuvent être des obstacles à une communication claire et à un consentement équilibré. Les professionnels de santé doivent donc être conscients de ces facteurs. Car une mauvaise communication où des malentendus peuvent conduire à une restriction de tenue au patient, qui peut accepter donc des traitements qu'il ne comprend pas, qui ne correspond pas à ses valeurs. Les personnes issues de ces groupes vulnérables peuvent également être confrontées à des stéréotypes, ou à des discriminations, on en parle professionnellement, qui peuvent diminuer leur capacité à exercer pleinement leur alcool. Ces patients-là peuvent se sentir dévalorisés ou avoir peur de remettre en question les décisions médicales par exemple, mal perçues, ce qui est bien sûr un gênisme davantage de leur atelier. Alors, revenons sur le rôle du patient dans sa propre prise en charge, justement. La question de son autonomie et la question de sa participation active. Il est essentiel en effet de reconnaître que la liberté des patients au cadre médical ne se limite pas seulement à la possibilité de refuser un traitement ou d'accepter un diagnostic. Elle inclut également la manière dont le patient est impliqué dans le processus décisionnel en concernant sa santé. En ce sens, l'autonomie du patient a évolué au fil du passé, parfois perçue essentiellement comme un réceptacle passif. La décision médicale, le patient est désormais considéré comme un acteur à part entière. Cette émission a vu le développement du modèle de la médecine participative, la médecine partagée, sur la médecine consacrée. Cette médecine partagée, entre guillemets, qui met l'accent sur la collaboration entre patient et spectre. Dans ce modèle, la liberté du patient prend la forme d'une prise de décision conjointe. Le médecin fournit des informations médicales, expose les risques, les bénéfices de l'on est aussi, que le patient partage ses bonnes et mauvaises pensées. et c'est prioritaire, c'est-à -dire que l'on a la même passion d'avoir un rôle actif et décisionnel. Cependant, cette forme d'autonomie n'est pas toujours pleinement réalisée. C'est impatient, on manque de confiance, on ne se met pas à se mettre à se mettre, par pression, mais la part du tourniquet, ils peuvent encore hésiter à explorer leur pays. Dans certains cas, la relation médicale-patient peut être encore marquée par un déséquilibre où le médecin est perçu comme un expert infaillible. Et le patient, en tant qu'individu, est un peu en question. Nous ne sommes pas en position de remettre en question les choix professionnels. Cette dynamique lui est en lumière le fait que les experts et les patients ont la prise de décision d'être comme Forrel, pour nous, pour une société, La liberté formelle et la liberté réelle. La liberté en droit, la liberté en fait. A l'intérieur du temple, les patients ne se sont pas habitués à participer à la vie. Il fut aussi abordé la question de la responsabilité du patient dans la gestion de sa santé. Le modèle traditionnel de la médecine a souvent été centré sur l'idée que le médecin savait ce qui était mieux pour le patient. Cependant, avec l'essor de la médecine de précision, de la génétique et de la médecine personnalisée, les patients sont de plus en plus appelés à prendre une barre active dans la gestion de leur santé. Le engagement positif, l'adoption du comportement de santé, l'autosurveillance, deviennent des éléments fondamentaux pour l'immunité des patients. Néanmoins, c'est comme je l'ai dit, le but aussi se transforme en une sorte de progression. Les patients sont parfois poussés à être responsables dans l'état de santé, ce qui peut engendrer des culpabilités et des angoisses face à des maladies que l'on ne maîtrise pas. Par exemple, un patient atteint de diabète est tenu d'adopter un mode de virigoure pour éviter les complications. Ce qui en théorie peut augmenter sa liberté de choix, en particulier en tant qu'entraîné à un stress considérable. et une pression qui entrave sa capacité à gérer de manière sereine sa pression. De ce point, il y a aussi la question des implications des problèmes éthiques et technologiques sur la liberté. Les problèmes technologiques dans le domaine médical, qui ont en fait une nouvelle possibilité de la pratique, posent en effet des questions sur la liberté. Ces nouvelles technologies, comme l'intelligence artificielle, la robotique et les applications de santé, permettent de personnaliser davantage les traitements. et de suivre les patients de manière continue, même à distance. Si ces innovations peuvent améliorer l'efficacité des soins, elles soulèvent également des questions sur la surveillance et la vie privée. La science de surveillance constante, que ce soit à l'hôpital ou à travers les spécialités, est une pousse entière en effet, constamment en nombre sérieux, selon tout le monde, selon toutes les essentielles légalités. Ailleurs, l'introduction de l'intelligence artificielle en est processus de diagnostic. Et le traitement peut avoir des conséquences sur la manière dont les décisions médicales sont prises. S'il y a un lien avec l'acte, c'est pas un signe. Les patients peuvent se retrouver dans des situations où la machine, le médecin, ont des décisions médicales. Cela peut avoir pour effet de réduire la liberté de choix d'un patient, qui peut se dire exclu de la prise de décision. et de son propre destin de santé. Cette dimension pose un vrai défi à l'équilibre entre autonomie et bien-être. Alors, pour terminer, il est important de ne pas éviter un cas extrême de liberté d'impression qui est celui de la décision à la fin de vie. Par des moments, la liberté d'impression est particulièrement mise à l'épreuve des faits et celui de la fin de vie. Dans certains pays, l'euthanasie ou le suicide assisté font l'objet d'une importance sur la question de savoir si un individu a le droit d'être sauvé, de la faire de sa vie, particulièrement s'il souffre d'une maladie grave ou incurable. Le droit de mourir dans la dignité est un aspect fondamental de la liberté individuelle, mais il est aussi soumis à des considérations éthiques. La question de la souffrance ou de la douleur psychologique, mais aussi des pressions sociales ou familiales entrent dans cette réflexion. En plus, il convient de souligner que même dans les pays où l'euthanasie est légale, l'accès à cette option n'est pas toujours garanti, et les patients doivent passer par des procédures rigoureuses pour pouvoir y arriver. Cela soulève la question de savoir dans quelle mesure un patient est réellement libre dans la gestion de sa propre famille, ou si cette liberté est limitée par le contact légal, social et éthique. Alors, en conclusion, revenons sur cette question de la liberté des patients entre l'autonomie et les contraintes. Au final, la liberté des patients dans le domaine médical est un équilibre délicat, précisément entre autonomie et libre. Si le cadre juridique et les progrès de la médecine participative permettent une plus grande nomination, il demeure que ces scénarios qui sont modulés par des facteurs institutionnels sont suréconomiques et psychologiques. Les patients sont libres, mais dans une certaine mesure. Et cette liberté est parfois limitée par des contraintes externes et internes, qui soulignent, il faut bien le dire, les paradoxes de la médecine moderne. Celle-ci cherche à soigner et à libérer, mais elle peut également enfermer dans des structures la liberté de choix et d'action, hérédite, voire annuelle. Le défi est donc de concilier la recherche de l'un être radical, avec le respect de sa liberté individuelle, et ce, en tenant compte des particularités de chaque situation. Venez d'écouter un podcast proposé par Cours Galien, la prépa de référence aux études de santé dans 13 villes en France.