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Greenence Attitude - Conseils écolo beauté bien-être cosmétique vegan

Comment se libérer du regard des autres ? (quand on est écolo) - Episode 15 - Développement personnel

Comment se libérer du regard des autres ? (quand on est écolo) - Episode 15 - Développement personnel

10min |30/05/2024
Play
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10min |30/05/2024
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Description

On est souvent confronté au regard 👀 des autres, et surtout quand on a décidé de faire différemment et de changer son mode de vie, en étant ou en devenant plus écolo.

Le jugement des autres devient un problème, s’il nous fait nous sentir mal, et s’il nous freine dans nos actions. Si tu as du mal à t’en libérer, je te donne ici 3 clés pour t’y aider.


Bonne écoute 💚


✨ Autres épisodes:

https://podcast.ausha.co/green-attitude/13-ecolo-l-etiquette-qui-colle-a-la-peau


Pour échanger ensemble rendez-vous sur instagram à greenence_cosmetic https://instagram.com/greenence_cosmetic/


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Conseils bien-être - beauté - écolo - Zéro déchet - astuces - tips - Changer de vie - cosmétique éco-responsable - cosmétique - minimaliste - développement personnel - consommation responsable - organisation - mindset - astuces écolo - astuces mamans - mamans


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans l'épisode 15. Dans cet épisode, je te donne trois clés qui vont t'aider à te détacher du regard des autres, notamment quand tu es écolo. Bienvenue sur le podcast Greenence Attitude. Je suis Delphine, fondatrice de Greenence, une marque cosmétique et éco-responsable. Ici, tu trouveras des astuces pratiques et rapides pour un mode de vie plus écolo, des conseils beauté et bien-être, et bien plus encore. Bonne écoute ! Pour tout grand changement dans notre vie, ou toute affirmation de qui nous sommes, changement de carrière, coming out, divorce, devenir végétarien, déménager à l'autre bout du monde, on sera confronté au regard des autres. Que cela soit fictif, c'est-à-dire dans notre tête, avoir peur et se demander ce que vont penser les autres de nous, ou réel, se sentir jugé par l'attitude ou les regards, ou par des propos. On est toutes et tous touchés par ce phénomène dans notre vie, et peut-être encore plus quand on est une femme et une mère. Alors, quand on a décidé de changer de mode de vie, d'être plus responsable dans notre quotidien, d'être écolo en quelque sorte, on va devoir faire face au regard des autres. Mais pourquoi le regard des autres est si important ? Pourquoi ils nous freinent ? Sur quoi est-on réellement jugé ? Et comment s'en libérer ? Apparemment, la peur du jugement remonterait à la préhistoire, où on devait être en groupe pour survivre, et où le fait de ne pas correspondre au groupe était synonyme de rejet et donc de mort quasi certaine. La peur du rejet serait donc une peur très ancrée chez nous, mais je n'ai pas la certitude que ça vienne complètement de la préhistoire. Il y a quand même eu des périodes de l'histoire, pas si lointaines, où être soi-même et différent aussi du groupe imposé par les puissants était synonyme de bûcher. On avait plutôt intérêt de rentrer dans le rang et d'y rester. Aujourd'hui, malgré une plus grande liberté, il arrive toujours à un moment ou à un autre d'être confronté au regard des autres, à rechercher l'appréciation et la validation de nos actions. Mais lorsqu'on s'inquiète de ce que les autres pourraient penser de nos choix, En vérité, on remet en question nos propres choix, nos propres décisions, parce que ce n'est jamais facile de mener la vie que l'on souhaite vraiment, de réaliser ses rêves, et on est fatalement confronté à des doutes. Et quand on prend la décision de changer de mode de vie, de se tourner vers une vie plus écolo et respectueuse du vivant, nos doutes peuvent être accentués par certaines réactions, comme des réflexions plus ou moins sympathiques, des questionnements sur notre choix, une totale incompréhension, mais aussi soi-même ne plus vraiment se sentir en phase avec son entourage. Se sentir obligé parfois de faire comme les autres, pour éviter le rejet des personnes qu'on a l'habitude de côtoyer, et pour ne pas être vu comme un boulet. Ne pas oser s'affirmer, et quitte à préférer être seul, ce qui en soi peut être une force, mais qui est censé être une simple phase. Nous sommes des êtres sociaux et nous avons besoin de contacts avec les autres, et ce même si nous sommes introvertis et que nous limitons ces contacts. Chacun réagit différemment, et perso, quand j'ai décidé de vivre autrement, j'ai été confrontée à cette peur d'être jugée, au point que j'en parlais vraiment très peu autour de moi. Je n'osais même pas en parler. De peur de passer pour une écolo, une chieuse, bon. L'écolo de service rabat-joie. Et puis j'en ai eu ma claque et j'ai décidé d'en parler et d'aller jusqu'au bout de ce que je voulais faire. Parce que je ne fais rien qui embête les autres. Je fais juste ce que j'ai envie de faire et en plus je fais en sorte d'avoir un impact positif. Sur quoi est-on réellement jugé quand on devient ou quand on est écolo ? Sur cette partie-là, je me permets de forcer un petit peu le trait, mais c'est quand même pas loin d'être ça. Bon, on va te juger donc sur tes changements alimentaires. C'est, je crois, la pire partie. D'un coup, la personne en face de toi se transforme en nutritionniste, a peur pour ton avenir et pense que tu devrais consulter un psychiatre. On peut même passer pour une mère irresponsable. Sur ton austérité, surtout quand on est minimaliste, et on se transforme alors en huguenot des temps modernes. Bon, en d'autres termes, tu passes pour une radine ou un grape-sous. Sur le fait d'être reboussier, comme on dit dans le sud, alors ça veut dire qu'on va aller à l'inverse de ce que font les autres, mais plus par principe que par réelle conviction. Bon, en gros pour faire chier le monde. Faire des choses qui sont inutiles, c'est-à-dire que toi tu le fais ok, c'est cool, mais la grande majorité non, donc ça ne sert à rien. C'est ce qui minimise complètement tes actions. Être vu comme un plouc, manquant d'hygiène, Ce qui est quand même assez drôle quand on sait qu'à l'étranger les français sont vus comme sales alors qu'ils ne sont pas du tout écolos. Et sur le fait d'être un bisounours. J'en oublie sans doute mais ça me semble être sur ça qu'on est principalement jugé. Aller vers une nouvelle façon de vivre peut susciter différents sentiments pas toujours agréables chez les autres comme la peur. Et on peut avoir en face de nous des personnes qui ne souhaitent pas du tout changer et qui sont dérangées par ce qu'on peut faire. Et puis on peut avoir aussi en face de nous des personnes qui ne souhaitent pas du tout faire d'effort. Et il n'y a rien de négatif à ça, mais encore faut-il pleinement assumer qu'on ne veut pas faire d'effort. Donc voici trois clés pour t'aider à te libérer du regard des autres. La première clé, c'est travailler sur son estime de soi et sa confiance en soi. L'estime de soi, c'est la perception de sa propre valeur et la confiance en soi, c'est reconnaître ses capacités et avoir la conviction qu'on est capable de surmonter ce qui va arriver. La première personne qui doit nous donner de la reconnaissance, notre premier fan en quelque sorte, c'est nous-mêmes. Sois fier de ce que tu fais, des changements que tu opères dans ta vie. Ne l'impose pas aux autres, mais fais-le pour te sentir mieux, pour te sentir bien avec toi-même. Les autres ne peuvent pas t'aider avec ça. Et encore plus s'ils ne sont pas d'accord avec tes choix de vie et les décisions que tu as prises pour avancer sur le chemin que tu as choisi. Pour t'aider, note tes trois fiertés quotidiennes, ou trois choses pour lesquelles tu ressens de la gratitude. Ça va permettre d'augmenter ta confiance en toi. Parce que même si on a eu une journée de merde, il y a toujours quelque chose qui nous a fait sourire ou qui nous a rendu contentes de nous-mêmes. Même si c'est une toute petite action, c'est pas grave. Par exemple, j'ai réussi à supprimer une mauvaise habitude de consommation aujourd'hui, j'ai pu trouver du temps pour moi, j'ai pu aller au sport, faire une balade ou boire un verre avec des amis. Bref, il y a de multiples raisons d'être contentes de soi ou de ce qu'on a autour de soi. Donc la deuxième clé, c'est arrêter de juger les autres. Et oui, on ne fait pas aux autres ce qu'on n'aimerait pas qu'ils nous fassent. Et si on a si peur du jugement, c'est peut-être que nous jugeons aussi les autres et surtout nous-mêmes. Donc prends conscience de quand tu juges une autre personne. Pourquoi tu la juges et pourquoi tu te juges ? Ça fait du bien aussi de se foutre la paix. La troisième clé, c'est passer à l'action et sortir de sa zone de confort. Et c'est à ce moment-là qu'on surmonte sa peur. Pas besoin de tout remettre en question, on peut faire la méthode des petits pas. On y va tranquille, mais une petite action après l'autre va nous permettre d'avancer et d'atteindre les objectifs qu'on s'est fixés. C'est bien de se donner une limite dans le temps et de ne pas se surcharger. Bien sûr, chacune sa méthode. Par exemple, J'ai l'objectif de devenir végétarienne ou végane avant la fin de l'année. Le premier mois, je teste deux jours par semaine avec des menus végés. Ça permet de voir qu'est-ce qu'on est capable de faire, comment on gère cette nouveauté. Et chaque mois, je rajoute un jour de plus. Autre exemple, un exemple perso, j'avais peur d'être jugée lorsque j'ai enregistré l'épisode 14. parce que j'ai utilisé des couches lavables et des cotons lavables, j'avais peur qu'on pense que c'est un manque d'hygiène, alors que c'est faux, et qu'en plus je n'ai pas à me justifier du moment que mes enfants sont propres, en bonne santé et épanouis. Pour résumer, le regard des autres est important car nous sommes des êtres sociaux qui ont besoin de vivre en communauté. Quand on change de vie, cela provoque des sentiments plus ou moins forts chez les autres, comme chez nous, qui peuvent entraîner des réflexions parfois désagréables à entendre. Mais il existe des solutions pour ne pas se sentir blessé et continuer dans notre choix de vie. Grâce à ces 3 clés. 1ère clé, être fier de soi et de ce qu'on est capable d'accomplir et noter chaque jour ce qu'on a réussi et ce qu'on a aimé dans notre journée. 2ème clé, arrêter de juger les autres et être attentif quand on se met en mode jugement afin de s'arrêter. 3ème clé, passer à l'action et sortir de sa zone de confort en dépassant ses peurs et en planifiant ses étapes. Finalement, le fait de se sentir rejeté par les autres et d'être même réellement rejeté par un groupe n'a jamais été facile, mais ça n'a pas toujours conduit à la mort de la personne rejetée. C'est aussi parce que certains ont changé, ont fait des choses qui sortaient de l'ordinaire, que l'être humain a pu évoluer. Ceux qui ont été rejetés d'un groupe ont potentiellement pu intégrer un autre groupe ou créer le leur. Ce que je veux dire, c'est qu'il y a toujours des personnes qui iront sur le même chemin que nous. Je ne suis pas la seule à faire des efforts pour impacter positivement le monde. Il n'y a donc pas de raison de rester seule ou de se sentir seule. Il est important d'aller vers des personnes qui ont déjà fait un bout du chemin ou qui souhaitent le faire. Et il est possible de maintenir les relations déjà existantes si chacun se respecte. J'espère que tu as apprécié écouter cet épisode. Et si tu aimes ce podcast et que tu veux le soutenir, tu peux le noter, laisser un commentaire pour donner ton avis et le partager autour de toi. Et pense à t'abonner pour ne pas rater les nouveaux épisodes qui sortent deux fois par mois les jeudis.

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On est souvent confronté au regard 👀 des autres, et surtout quand on a décidé de faire différemment et de changer son mode de vie, en étant ou en devenant plus écolo.

Le jugement des autres devient un problème, s’il nous fait nous sentir mal, et s’il nous freine dans nos actions. Si tu as du mal à t’en libérer, je te donne ici 3 clés pour t’y aider.


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  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans l'épisode 15. Dans cet épisode, je te donne trois clés qui vont t'aider à te détacher du regard des autres, notamment quand tu es écolo. Bienvenue sur le podcast Greenence Attitude. Je suis Delphine, fondatrice de Greenence, une marque cosmétique et éco-responsable. Ici, tu trouveras des astuces pratiques et rapides pour un mode de vie plus écolo, des conseils beauté et bien-être, et bien plus encore. Bonne écoute ! Pour tout grand changement dans notre vie, ou toute affirmation de qui nous sommes, changement de carrière, coming out, divorce, devenir végétarien, déménager à l'autre bout du monde, on sera confronté au regard des autres. Que cela soit fictif, c'est-à-dire dans notre tête, avoir peur et se demander ce que vont penser les autres de nous, ou réel, se sentir jugé par l'attitude ou les regards, ou par des propos. On est toutes et tous touchés par ce phénomène dans notre vie, et peut-être encore plus quand on est une femme et une mère. Alors, quand on a décidé de changer de mode de vie, d'être plus responsable dans notre quotidien, d'être écolo en quelque sorte, on va devoir faire face au regard des autres. Mais pourquoi le regard des autres est si important ? Pourquoi ils nous freinent ? Sur quoi est-on réellement jugé ? Et comment s'en libérer ? Apparemment, la peur du jugement remonterait à la préhistoire, où on devait être en groupe pour survivre, et où le fait de ne pas correspondre au groupe était synonyme de rejet et donc de mort quasi certaine. La peur du rejet serait donc une peur très ancrée chez nous, mais je n'ai pas la certitude que ça vienne complètement de la préhistoire. Il y a quand même eu des périodes de l'histoire, pas si lointaines, où être soi-même et différent aussi du groupe imposé par les puissants était synonyme de bûcher. On avait plutôt intérêt de rentrer dans le rang et d'y rester. Aujourd'hui, malgré une plus grande liberté, il arrive toujours à un moment ou à un autre d'être confronté au regard des autres, à rechercher l'appréciation et la validation de nos actions. Mais lorsqu'on s'inquiète de ce que les autres pourraient penser de nos choix, En vérité, on remet en question nos propres choix, nos propres décisions, parce que ce n'est jamais facile de mener la vie que l'on souhaite vraiment, de réaliser ses rêves, et on est fatalement confronté à des doutes. Et quand on prend la décision de changer de mode de vie, de se tourner vers une vie plus écolo et respectueuse du vivant, nos doutes peuvent être accentués par certaines réactions, comme des réflexions plus ou moins sympathiques, des questionnements sur notre choix, une totale incompréhension, mais aussi soi-même ne plus vraiment se sentir en phase avec son entourage. Se sentir obligé parfois de faire comme les autres, pour éviter le rejet des personnes qu'on a l'habitude de côtoyer, et pour ne pas être vu comme un boulet. Ne pas oser s'affirmer, et quitte à préférer être seul, ce qui en soi peut être une force, mais qui est censé être une simple phase. Nous sommes des êtres sociaux et nous avons besoin de contacts avec les autres, et ce même si nous sommes introvertis et que nous limitons ces contacts. Chacun réagit différemment, et perso, quand j'ai décidé de vivre autrement, j'ai été confrontée à cette peur d'être jugée, au point que j'en parlais vraiment très peu autour de moi. Je n'osais même pas en parler. De peur de passer pour une écolo, une chieuse, bon. L'écolo de service rabat-joie. Et puis j'en ai eu ma claque et j'ai décidé d'en parler et d'aller jusqu'au bout de ce que je voulais faire. Parce que je ne fais rien qui embête les autres. Je fais juste ce que j'ai envie de faire et en plus je fais en sorte d'avoir un impact positif. Sur quoi est-on réellement jugé quand on devient ou quand on est écolo ? Sur cette partie-là, je me permets de forcer un petit peu le trait, mais c'est quand même pas loin d'être ça. Bon, on va te juger donc sur tes changements alimentaires. C'est, je crois, la pire partie. D'un coup, la personne en face de toi se transforme en nutritionniste, a peur pour ton avenir et pense que tu devrais consulter un psychiatre. On peut même passer pour une mère irresponsable. Sur ton austérité, surtout quand on est minimaliste, et on se transforme alors en huguenot des temps modernes. Bon, en d'autres termes, tu passes pour une radine ou un grape-sous. Sur le fait d'être reboussier, comme on dit dans le sud, alors ça veut dire qu'on va aller à l'inverse de ce que font les autres, mais plus par principe que par réelle conviction. Bon, en gros pour faire chier le monde. Faire des choses qui sont inutiles, c'est-à-dire que toi tu le fais ok, c'est cool, mais la grande majorité non, donc ça ne sert à rien. C'est ce qui minimise complètement tes actions. Être vu comme un plouc, manquant d'hygiène, Ce qui est quand même assez drôle quand on sait qu'à l'étranger les français sont vus comme sales alors qu'ils ne sont pas du tout écolos. Et sur le fait d'être un bisounours. J'en oublie sans doute mais ça me semble être sur ça qu'on est principalement jugé. Aller vers une nouvelle façon de vivre peut susciter différents sentiments pas toujours agréables chez les autres comme la peur. Et on peut avoir en face de nous des personnes qui ne souhaitent pas du tout changer et qui sont dérangées par ce qu'on peut faire. Et puis on peut avoir aussi en face de nous des personnes qui ne souhaitent pas du tout faire d'effort. Et il n'y a rien de négatif à ça, mais encore faut-il pleinement assumer qu'on ne veut pas faire d'effort. Donc voici trois clés pour t'aider à te libérer du regard des autres. La première clé, c'est travailler sur son estime de soi et sa confiance en soi. L'estime de soi, c'est la perception de sa propre valeur et la confiance en soi, c'est reconnaître ses capacités et avoir la conviction qu'on est capable de surmonter ce qui va arriver. La première personne qui doit nous donner de la reconnaissance, notre premier fan en quelque sorte, c'est nous-mêmes. Sois fier de ce que tu fais, des changements que tu opères dans ta vie. Ne l'impose pas aux autres, mais fais-le pour te sentir mieux, pour te sentir bien avec toi-même. Les autres ne peuvent pas t'aider avec ça. Et encore plus s'ils ne sont pas d'accord avec tes choix de vie et les décisions que tu as prises pour avancer sur le chemin que tu as choisi. Pour t'aider, note tes trois fiertés quotidiennes, ou trois choses pour lesquelles tu ressens de la gratitude. Ça va permettre d'augmenter ta confiance en toi. Parce que même si on a eu une journée de merde, il y a toujours quelque chose qui nous a fait sourire ou qui nous a rendu contentes de nous-mêmes. Même si c'est une toute petite action, c'est pas grave. Par exemple, j'ai réussi à supprimer une mauvaise habitude de consommation aujourd'hui, j'ai pu trouver du temps pour moi, j'ai pu aller au sport, faire une balade ou boire un verre avec des amis. Bref, il y a de multiples raisons d'être contentes de soi ou de ce qu'on a autour de soi. Donc la deuxième clé, c'est arrêter de juger les autres. Et oui, on ne fait pas aux autres ce qu'on n'aimerait pas qu'ils nous fassent. Et si on a si peur du jugement, c'est peut-être que nous jugeons aussi les autres et surtout nous-mêmes. Donc prends conscience de quand tu juges une autre personne. Pourquoi tu la juges et pourquoi tu te juges ? Ça fait du bien aussi de se foutre la paix. La troisième clé, c'est passer à l'action et sortir de sa zone de confort. Et c'est à ce moment-là qu'on surmonte sa peur. Pas besoin de tout remettre en question, on peut faire la méthode des petits pas. On y va tranquille, mais une petite action après l'autre va nous permettre d'avancer et d'atteindre les objectifs qu'on s'est fixés. C'est bien de se donner une limite dans le temps et de ne pas se surcharger. Bien sûr, chacune sa méthode. Par exemple, J'ai l'objectif de devenir végétarienne ou végane avant la fin de l'année. Le premier mois, je teste deux jours par semaine avec des menus végés. Ça permet de voir qu'est-ce qu'on est capable de faire, comment on gère cette nouveauté. Et chaque mois, je rajoute un jour de plus. Autre exemple, un exemple perso, j'avais peur d'être jugée lorsque j'ai enregistré l'épisode 14. parce que j'ai utilisé des couches lavables et des cotons lavables, j'avais peur qu'on pense que c'est un manque d'hygiène, alors que c'est faux, et qu'en plus je n'ai pas à me justifier du moment que mes enfants sont propres, en bonne santé et épanouis. Pour résumer, le regard des autres est important car nous sommes des êtres sociaux qui ont besoin de vivre en communauté. Quand on change de vie, cela provoque des sentiments plus ou moins forts chez les autres, comme chez nous, qui peuvent entraîner des réflexions parfois désagréables à entendre. Mais il existe des solutions pour ne pas se sentir blessé et continuer dans notre choix de vie. Grâce à ces 3 clés. 1ère clé, être fier de soi et de ce qu'on est capable d'accomplir et noter chaque jour ce qu'on a réussi et ce qu'on a aimé dans notre journée. 2ème clé, arrêter de juger les autres et être attentif quand on se met en mode jugement afin de s'arrêter. 3ème clé, passer à l'action et sortir de sa zone de confort en dépassant ses peurs et en planifiant ses étapes. Finalement, le fait de se sentir rejeté par les autres et d'être même réellement rejeté par un groupe n'a jamais été facile, mais ça n'a pas toujours conduit à la mort de la personne rejetée. C'est aussi parce que certains ont changé, ont fait des choses qui sortaient de l'ordinaire, que l'être humain a pu évoluer. Ceux qui ont été rejetés d'un groupe ont potentiellement pu intégrer un autre groupe ou créer le leur. Ce que je veux dire, c'est qu'il y a toujours des personnes qui iront sur le même chemin que nous. Je ne suis pas la seule à faire des efforts pour impacter positivement le monde. Il n'y a donc pas de raison de rester seule ou de se sentir seule. Il est important d'aller vers des personnes qui ont déjà fait un bout du chemin ou qui souhaitent le faire. Et il est possible de maintenir les relations déjà existantes si chacun se respecte. J'espère que tu as apprécié écouter cet épisode. Et si tu aimes ce podcast et que tu veux le soutenir, tu peux le noter, laisser un commentaire pour donner ton avis et le partager autour de toi. Et pense à t'abonner pour ne pas rater les nouveaux épisodes qui sortent deux fois par mois les jeudis.

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Le jugement des autres devient un problème, s’il nous fait nous sentir mal, et s’il nous freine dans nos actions. Si tu as du mal à t’en libérer, je te donne ici 3 clés pour t’y aider.


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  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans l'épisode 15. Dans cet épisode, je te donne trois clés qui vont t'aider à te détacher du regard des autres, notamment quand tu es écolo. Bienvenue sur le podcast Greenence Attitude. Je suis Delphine, fondatrice de Greenence, une marque cosmétique et éco-responsable. Ici, tu trouveras des astuces pratiques et rapides pour un mode de vie plus écolo, des conseils beauté et bien-être, et bien plus encore. Bonne écoute ! Pour tout grand changement dans notre vie, ou toute affirmation de qui nous sommes, changement de carrière, coming out, divorce, devenir végétarien, déménager à l'autre bout du monde, on sera confronté au regard des autres. Que cela soit fictif, c'est-à-dire dans notre tête, avoir peur et se demander ce que vont penser les autres de nous, ou réel, se sentir jugé par l'attitude ou les regards, ou par des propos. On est toutes et tous touchés par ce phénomène dans notre vie, et peut-être encore plus quand on est une femme et une mère. Alors, quand on a décidé de changer de mode de vie, d'être plus responsable dans notre quotidien, d'être écolo en quelque sorte, on va devoir faire face au regard des autres. Mais pourquoi le regard des autres est si important ? Pourquoi ils nous freinent ? Sur quoi est-on réellement jugé ? Et comment s'en libérer ? Apparemment, la peur du jugement remonterait à la préhistoire, où on devait être en groupe pour survivre, et où le fait de ne pas correspondre au groupe était synonyme de rejet et donc de mort quasi certaine. La peur du rejet serait donc une peur très ancrée chez nous, mais je n'ai pas la certitude que ça vienne complètement de la préhistoire. Il y a quand même eu des périodes de l'histoire, pas si lointaines, où être soi-même et différent aussi du groupe imposé par les puissants était synonyme de bûcher. On avait plutôt intérêt de rentrer dans le rang et d'y rester. Aujourd'hui, malgré une plus grande liberté, il arrive toujours à un moment ou à un autre d'être confronté au regard des autres, à rechercher l'appréciation et la validation de nos actions. Mais lorsqu'on s'inquiète de ce que les autres pourraient penser de nos choix, En vérité, on remet en question nos propres choix, nos propres décisions, parce que ce n'est jamais facile de mener la vie que l'on souhaite vraiment, de réaliser ses rêves, et on est fatalement confronté à des doutes. Et quand on prend la décision de changer de mode de vie, de se tourner vers une vie plus écolo et respectueuse du vivant, nos doutes peuvent être accentués par certaines réactions, comme des réflexions plus ou moins sympathiques, des questionnements sur notre choix, une totale incompréhension, mais aussi soi-même ne plus vraiment se sentir en phase avec son entourage. Se sentir obligé parfois de faire comme les autres, pour éviter le rejet des personnes qu'on a l'habitude de côtoyer, et pour ne pas être vu comme un boulet. Ne pas oser s'affirmer, et quitte à préférer être seul, ce qui en soi peut être une force, mais qui est censé être une simple phase. Nous sommes des êtres sociaux et nous avons besoin de contacts avec les autres, et ce même si nous sommes introvertis et que nous limitons ces contacts. Chacun réagit différemment, et perso, quand j'ai décidé de vivre autrement, j'ai été confrontée à cette peur d'être jugée, au point que j'en parlais vraiment très peu autour de moi. Je n'osais même pas en parler. De peur de passer pour une écolo, une chieuse, bon. L'écolo de service rabat-joie. Et puis j'en ai eu ma claque et j'ai décidé d'en parler et d'aller jusqu'au bout de ce que je voulais faire. Parce que je ne fais rien qui embête les autres. Je fais juste ce que j'ai envie de faire et en plus je fais en sorte d'avoir un impact positif. Sur quoi est-on réellement jugé quand on devient ou quand on est écolo ? Sur cette partie-là, je me permets de forcer un petit peu le trait, mais c'est quand même pas loin d'être ça. Bon, on va te juger donc sur tes changements alimentaires. C'est, je crois, la pire partie. D'un coup, la personne en face de toi se transforme en nutritionniste, a peur pour ton avenir et pense que tu devrais consulter un psychiatre. On peut même passer pour une mère irresponsable. Sur ton austérité, surtout quand on est minimaliste, et on se transforme alors en huguenot des temps modernes. Bon, en d'autres termes, tu passes pour une radine ou un grape-sous. Sur le fait d'être reboussier, comme on dit dans le sud, alors ça veut dire qu'on va aller à l'inverse de ce que font les autres, mais plus par principe que par réelle conviction. Bon, en gros pour faire chier le monde. Faire des choses qui sont inutiles, c'est-à-dire que toi tu le fais ok, c'est cool, mais la grande majorité non, donc ça ne sert à rien. C'est ce qui minimise complètement tes actions. Être vu comme un plouc, manquant d'hygiène, Ce qui est quand même assez drôle quand on sait qu'à l'étranger les français sont vus comme sales alors qu'ils ne sont pas du tout écolos. Et sur le fait d'être un bisounours. J'en oublie sans doute mais ça me semble être sur ça qu'on est principalement jugé. Aller vers une nouvelle façon de vivre peut susciter différents sentiments pas toujours agréables chez les autres comme la peur. Et on peut avoir en face de nous des personnes qui ne souhaitent pas du tout changer et qui sont dérangées par ce qu'on peut faire. Et puis on peut avoir aussi en face de nous des personnes qui ne souhaitent pas du tout faire d'effort. Et il n'y a rien de négatif à ça, mais encore faut-il pleinement assumer qu'on ne veut pas faire d'effort. Donc voici trois clés pour t'aider à te libérer du regard des autres. La première clé, c'est travailler sur son estime de soi et sa confiance en soi. L'estime de soi, c'est la perception de sa propre valeur et la confiance en soi, c'est reconnaître ses capacités et avoir la conviction qu'on est capable de surmonter ce qui va arriver. La première personne qui doit nous donner de la reconnaissance, notre premier fan en quelque sorte, c'est nous-mêmes. Sois fier de ce que tu fais, des changements que tu opères dans ta vie. Ne l'impose pas aux autres, mais fais-le pour te sentir mieux, pour te sentir bien avec toi-même. Les autres ne peuvent pas t'aider avec ça. Et encore plus s'ils ne sont pas d'accord avec tes choix de vie et les décisions que tu as prises pour avancer sur le chemin que tu as choisi. Pour t'aider, note tes trois fiertés quotidiennes, ou trois choses pour lesquelles tu ressens de la gratitude. Ça va permettre d'augmenter ta confiance en toi. Parce que même si on a eu une journée de merde, il y a toujours quelque chose qui nous a fait sourire ou qui nous a rendu contentes de nous-mêmes. Même si c'est une toute petite action, c'est pas grave. Par exemple, j'ai réussi à supprimer une mauvaise habitude de consommation aujourd'hui, j'ai pu trouver du temps pour moi, j'ai pu aller au sport, faire une balade ou boire un verre avec des amis. Bref, il y a de multiples raisons d'être contentes de soi ou de ce qu'on a autour de soi. Donc la deuxième clé, c'est arrêter de juger les autres. Et oui, on ne fait pas aux autres ce qu'on n'aimerait pas qu'ils nous fassent. Et si on a si peur du jugement, c'est peut-être que nous jugeons aussi les autres et surtout nous-mêmes. Donc prends conscience de quand tu juges une autre personne. Pourquoi tu la juges et pourquoi tu te juges ? Ça fait du bien aussi de se foutre la paix. La troisième clé, c'est passer à l'action et sortir de sa zone de confort. Et c'est à ce moment-là qu'on surmonte sa peur. Pas besoin de tout remettre en question, on peut faire la méthode des petits pas. On y va tranquille, mais une petite action après l'autre va nous permettre d'avancer et d'atteindre les objectifs qu'on s'est fixés. C'est bien de se donner une limite dans le temps et de ne pas se surcharger. Bien sûr, chacune sa méthode. Par exemple, J'ai l'objectif de devenir végétarienne ou végane avant la fin de l'année. Le premier mois, je teste deux jours par semaine avec des menus végés. Ça permet de voir qu'est-ce qu'on est capable de faire, comment on gère cette nouveauté. Et chaque mois, je rajoute un jour de plus. Autre exemple, un exemple perso, j'avais peur d'être jugée lorsque j'ai enregistré l'épisode 14. parce que j'ai utilisé des couches lavables et des cotons lavables, j'avais peur qu'on pense que c'est un manque d'hygiène, alors que c'est faux, et qu'en plus je n'ai pas à me justifier du moment que mes enfants sont propres, en bonne santé et épanouis. Pour résumer, le regard des autres est important car nous sommes des êtres sociaux qui ont besoin de vivre en communauté. Quand on change de vie, cela provoque des sentiments plus ou moins forts chez les autres, comme chez nous, qui peuvent entraîner des réflexions parfois désagréables à entendre. Mais il existe des solutions pour ne pas se sentir blessé et continuer dans notre choix de vie. Grâce à ces 3 clés. 1ère clé, être fier de soi et de ce qu'on est capable d'accomplir et noter chaque jour ce qu'on a réussi et ce qu'on a aimé dans notre journée. 2ème clé, arrêter de juger les autres et être attentif quand on se met en mode jugement afin de s'arrêter. 3ème clé, passer à l'action et sortir de sa zone de confort en dépassant ses peurs et en planifiant ses étapes. Finalement, le fait de se sentir rejeté par les autres et d'être même réellement rejeté par un groupe n'a jamais été facile, mais ça n'a pas toujours conduit à la mort de la personne rejetée. C'est aussi parce que certains ont changé, ont fait des choses qui sortaient de l'ordinaire, que l'être humain a pu évoluer. Ceux qui ont été rejetés d'un groupe ont potentiellement pu intégrer un autre groupe ou créer le leur. Ce que je veux dire, c'est qu'il y a toujours des personnes qui iront sur le même chemin que nous. Je ne suis pas la seule à faire des efforts pour impacter positivement le monde. Il n'y a donc pas de raison de rester seule ou de se sentir seule. Il est important d'aller vers des personnes qui ont déjà fait un bout du chemin ou qui souhaitent le faire. Et il est possible de maintenir les relations déjà existantes si chacun se respecte. J'espère que tu as apprécié écouter cet épisode. Et si tu aimes ce podcast et que tu veux le soutenir, tu peux le noter, laisser un commentaire pour donner ton avis et le partager autour de toi. Et pense à t'abonner pour ne pas rater les nouveaux épisodes qui sortent deux fois par mois les jeudis.

Description

On est souvent confronté au regard 👀 des autres, et surtout quand on a décidé de faire différemment et de changer son mode de vie, en étant ou en devenant plus écolo.

Le jugement des autres devient un problème, s’il nous fait nous sentir mal, et s’il nous freine dans nos actions. Si tu as du mal à t’en libérer, je te donne ici 3 clés pour t’y aider.


Bonne écoute 💚


✨ Autres épisodes:

https://podcast.ausha.co/green-attitude/13-ecolo-l-etiquette-qui-colle-a-la-peau


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Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans l'épisode 15. Dans cet épisode, je te donne trois clés qui vont t'aider à te détacher du regard des autres, notamment quand tu es écolo. Bienvenue sur le podcast Greenence Attitude. Je suis Delphine, fondatrice de Greenence, une marque cosmétique et éco-responsable. Ici, tu trouveras des astuces pratiques et rapides pour un mode de vie plus écolo, des conseils beauté et bien-être, et bien plus encore. Bonne écoute ! Pour tout grand changement dans notre vie, ou toute affirmation de qui nous sommes, changement de carrière, coming out, divorce, devenir végétarien, déménager à l'autre bout du monde, on sera confronté au regard des autres. Que cela soit fictif, c'est-à-dire dans notre tête, avoir peur et se demander ce que vont penser les autres de nous, ou réel, se sentir jugé par l'attitude ou les regards, ou par des propos. On est toutes et tous touchés par ce phénomène dans notre vie, et peut-être encore plus quand on est une femme et une mère. Alors, quand on a décidé de changer de mode de vie, d'être plus responsable dans notre quotidien, d'être écolo en quelque sorte, on va devoir faire face au regard des autres. Mais pourquoi le regard des autres est si important ? Pourquoi ils nous freinent ? Sur quoi est-on réellement jugé ? Et comment s'en libérer ? Apparemment, la peur du jugement remonterait à la préhistoire, où on devait être en groupe pour survivre, et où le fait de ne pas correspondre au groupe était synonyme de rejet et donc de mort quasi certaine. La peur du rejet serait donc une peur très ancrée chez nous, mais je n'ai pas la certitude que ça vienne complètement de la préhistoire. Il y a quand même eu des périodes de l'histoire, pas si lointaines, où être soi-même et différent aussi du groupe imposé par les puissants était synonyme de bûcher. On avait plutôt intérêt de rentrer dans le rang et d'y rester. Aujourd'hui, malgré une plus grande liberté, il arrive toujours à un moment ou à un autre d'être confronté au regard des autres, à rechercher l'appréciation et la validation de nos actions. Mais lorsqu'on s'inquiète de ce que les autres pourraient penser de nos choix, En vérité, on remet en question nos propres choix, nos propres décisions, parce que ce n'est jamais facile de mener la vie que l'on souhaite vraiment, de réaliser ses rêves, et on est fatalement confronté à des doutes. Et quand on prend la décision de changer de mode de vie, de se tourner vers une vie plus écolo et respectueuse du vivant, nos doutes peuvent être accentués par certaines réactions, comme des réflexions plus ou moins sympathiques, des questionnements sur notre choix, une totale incompréhension, mais aussi soi-même ne plus vraiment se sentir en phase avec son entourage. Se sentir obligé parfois de faire comme les autres, pour éviter le rejet des personnes qu'on a l'habitude de côtoyer, et pour ne pas être vu comme un boulet. Ne pas oser s'affirmer, et quitte à préférer être seul, ce qui en soi peut être une force, mais qui est censé être une simple phase. Nous sommes des êtres sociaux et nous avons besoin de contacts avec les autres, et ce même si nous sommes introvertis et que nous limitons ces contacts. Chacun réagit différemment, et perso, quand j'ai décidé de vivre autrement, j'ai été confrontée à cette peur d'être jugée, au point que j'en parlais vraiment très peu autour de moi. Je n'osais même pas en parler. De peur de passer pour une écolo, une chieuse, bon. L'écolo de service rabat-joie. Et puis j'en ai eu ma claque et j'ai décidé d'en parler et d'aller jusqu'au bout de ce que je voulais faire. Parce que je ne fais rien qui embête les autres. Je fais juste ce que j'ai envie de faire et en plus je fais en sorte d'avoir un impact positif. Sur quoi est-on réellement jugé quand on devient ou quand on est écolo ? Sur cette partie-là, je me permets de forcer un petit peu le trait, mais c'est quand même pas loin d'être ça. Bon, on va te juger donc sur tes changements alimentaires. C'est, je crois, la pire partie. D'un coup, la personne en face de toi se transforme en nutritionniste, a peur pour ton avenir et pense que tu devrais consulter un psychiatre. On peut même passer pour une mère irresponsable. Sur ton austérité, surtout quand on est minimaliste, et on se transforme alors en huguenot des temps modernes. Bon, en d'autres termes, tu passes pour une radine ou un grape-sous. Sur le fait d'être reboussier, comme on dit dans le sud, alors ça veut dire qu'on va aller à l'inverse de ce que font les autres, mais plus par principe que par réelle conviction. Bon, en gros pour faire chier le monde. Faire des choses qui sont inutiles, c'est-à-dire que toi tu le fais ok, c'est cool, mais la grande majorité non, donc ça ne sert à rien. C'est ce qui minimise complètement tes actions. Être vu comme un plouc, manquant d'hygiène, Ce qui est quand même assez drôle quand on sait qu'à l'étranger les français sont vus comme sales alors qu'ils ne sont pas du tout écolos. Et sur le fait d'être un bisounours. J'en oublie sans doute mais ça me semble être sur ça qu'on est principalement jugé. Aller vers une nouvelle façon de vivre peut susciter différents sentiments pas toujours agréables chez les autres comme la peur. Et on peut avoir en face de nous des personnes qui ne souhaitent pas du tout changer et qui sont dérangées par ce qu'on peut faire. Et puis on peut avoir aussi en face de nous des personnes qui ne souhaitent pas du tout faire d'effort. Et il n'y a rien de négatif à ça, mais encore faut-il pleinement assumer qu'on ne veut pas faire d'effort. Donc voici trois clés pour t'aider à te libérer du regard des autres. La première clé, c'est travailler sur son estime de soi et sa confiance en soi. L'estime de soi, c'est la perception de sa propre valeur et la confiance en soi, c'est reconnaître ses capacités et avoir la conviction qu'on est capable de surmonter ce qui va arriver. La première personne qui doit nous donner de la reconnaissance, notre premier fan en quelque sorte, c'est nous-mêmes. Sois fier de ce que tu fais, des changements que tu opères dans ta vie. Ne l'impose pas aux autres, mais fais-le pour te sentir mieux, pour te sentir bien avec toi-même. Les autres ne peuvent pas t'aider avec ça. Et encore plus s'ils ne sont pas d'accord avec tes choix de vie et les décisions que tu as prises pour avancer sur le chemin que tu as choisi. Pour t'aider, note tes trois fiertés quotidiennes, ou trois choses pour lesquelles tu ressens de la gratitude. Ça va permettre d'augmenter ta confiance en toi. Parce que même si on a eu une journée de merde, il y a toujours quelque chose qui nous a fait sourire ou qui nous a rendu contentes de nous-mêmes. Même si c'est une toute petite action, c'est pas grave. Par exemple, j'ai réussi à supprimer une mauvaise habitude de consommation aujourd'hui, j'ai pu trouver du temps pour moi, j'ai pu aller au sport, faire une balade ou boire un verre avec des amis. Bref, il y a de multiples raisons d'être contentes de soi ou de ce qu'on a autour de soi. Donc la deuxième clé, c'est arrêter de juger les autres. Et oui, on ne fait pas aux autres ce qu'on n'aimerait pas qu'ils nous fassent. Et si on a si peur du jugement, c'est peut-être que nous jugeons aussi les autres et surtout nous-mêmes. Donc prends conscience de quand tu juges une autre personne. Pourquoi tu la juges et pourquoi tu te juges ? Ça fait du bien aussi de se foutre la paix. La troisième clé, c'est passer à l'action et sortir de sa zone de confort. Et c'est à ce moment-là qu'on surmonte sa peur. Pas besoin de tout remettre en question, on peut faire la méthode des petits pas. On y va tranquille, mais une petite action après l'autre va nous permettre d'avancer et d'atteindre les objectifs qu'on s'est fixés. C'est bien de se donner une limite dans le temps et de ne pas se surcharger. Bien sûr, chacune sa méthode. Par exemple, J'ai l'objectif de devenir végétarienne ou végane avant la fin de l'année. Le premier mois, je teste deux jours par semaine avec des menus végés. Ça permet de voir qu'est-ce qu'on est capable de faire, comment on gère cette nouveauté. Et chaque mois, je rajoute un jour de plus. Autre exemple, un exemple perso, j'avais peur d'être jugée lorsque j'ai enregistré l'épisode 14. parce que j'ai utilisé des couches lavables et des cotons lavables, j'avais peur qu'on pense que c'est un manque d'hygiène, alors que c'est faux, et qu'en plus je n'ai pas à me justifier du moment que mes enfants sont propres, en bonne santé et épanouis. Pour résumer, le regard des autres est important car nous sommes des êtres sociaux qui ont besoin de vivre en communauté. Quand on change de vie, cela provoque des sentiments plus ou moins forts chez les autres, comme chez nous, qui peuvent entraîner des réflexions parfois désagréables à entendre. Mais il existe des solutions pour ne pas se sentir blessé et continuer dans notre choix de vie. Grâce à ces 3 clés. 1ère clé, être fier de soi et de ce qu'on est capable d'accomplir et noter chaque jour ce qu'on a réussi et ce qu'on a aimé dans notre journée. 2ème clé, arrêter de juger les autres et être attentif quand on se met en mode jugement afin de s'arrêter. 3ème clé, passer à l'action et sortir de sa zone de confort en dépassant ses peurs et en planifiant ses étapes. Finalement, le fait de se sentir rejeté par les autres et d'être même réellement rejeté par un groupe n'a jamais été facile, mais ça n'a pas toujours conduit à la mort de la personne rejetée. C'est aussi parce que certains ont changé, ont fait des choses qui sortaient de l'ordinaire, que l'être humain a pu évoluer. Ceux qui ont été rejetés d'un groupe ont potentiellement pu intégrer un autre groupe ou créer le leur. Ce que je veux dire, c'est qu'il y a toujours des personnes qui iront sur le même chemin que nous. Je ne suis pas la seule à faire des efforts pour impacter positivement le monde. Il n'y a donc pas de raison de rester seule ou de se sentir seule. Il est important d'aller vers des personnes qui ont déjà fait un bout du chemin ou qui souhaitent le faire. Et il est possible de maintenir les relations déjà existantes si chacun se respecte. J'espère que tu as apprécié écouter cet épisode. Et si tu aimes ce podcast et que tu veux le soutenir, tu peux le noter, laisser un commentaire pour donner ton avis et le partager autour de toi. Et pense à t'abonner pour ne pas rater les nouveaux épisodes qui sortent deux fois par mois les jeudis.

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