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#10 [SOLO] - Démystifions le syndrome de l'imposteur cover
#10 [SOLO] - Démystifions le syndrome de l'imposteur cover
JUNKO - Évolution, transition pro et reconversion

#10 [SOLO] - Démystifions le syndrome de l'imposteur

#10 [SOLO] - Démystifions le syndrome de l'imposteur

08min |12/06/2025
Play
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Description

Démystifions le syndrome de l’imposteur


On en parle partout. Parfois trop.
Dans cet épisode, je vous propose un regard neuf et nuancé sur le fameux syndrome de l’imposteur.

Et si ce n’était pas un "syndrome" ?
Et si ce que vous ressentez cachait autre chose de plus intéressant à explorer ?


Je vous partage ici une grille de lecture différente, issue de mon expérience de coach en évolution professionnelle, pour vous aider à comprendre ce qui se joue vraiment… et surtout, en faire quelque chose d’utile.


Un épisode pour retrouver de la clarté, questionner vos croyances et reprendre le pouvoir sur vos doutes.


🎧 Disponible sur toutes les plateformes d’écoute !


Florence, coach en évolution et transition professionnelle.


▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ Me suivre ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬


  • Retrouvez mes accompagnements de coaching sur mon site internet.

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue sur JunKo, le podcast qui vous accompagne dans votre réflexion professionnelle et vous aide à construire une carrière qui vous ressemble. Je suis Florence Verdier, coach spécialisé en évolution et transition professionnelle. Dans chaque épisode, je partage avec vous des outils, des réflexions et des histoires inspirantes pour vous aider à clarifier vos aspirations et pour passer à l'action. Que vous soyez en quête d'idées, de motivation ou d'un nouveau départ, ce podcast est là pour vous accompagner, pour vous guider. Et si vous l'appréciez, pensez à lui donner un avis 5 étoiles et à laisser un joli commentaire sur votre plateforme d'écoute préférée. C'est la meilleure façon de soutenir d'une co et de permettre à d'autres de les découvrir. Je vous laisse maintenant avec l'épisode du jour et je vous souhaite une très belle écoute. Salut, salut, bienvenue dans ce nouvel épisode de TunePon. Alors, aujourd'hui, on va parler d'un terme qu'on entend partout, tout le temps, à toutes les sauces. Vous entendez un peu dans ma voix, du coup, mon ressenti déjà global sur le sujet, le sacro-saint syndrome de l'imposteur. Alors, ça va peut-être un petit peu remuer là, ça va peut-être un petit peu bousculer. on ne va pas être forcément dans un discours qui peut faire l'unanimité, qui peut être vraiment coucouning, réconfort. Pas du tout. Parce que c'est vrai qu'à force de l'entendre partout, ça pose question quand même. Sur ce mot un peu fourre-tout, sur ce syndrome. Un syndrome quand même de base, on parle quand même d'une maladie. Alors, pauvre de nous, nous avons le syndrome de l'imposteur. Donc voilà, j'ai eu envie de... traiter ce sujet-là pour voir un petit peu ce qu'on peut en faire et pour voir en fait quelle autre lecture on peut faire quand on ressent, quand on a l'impression d'avoir ce syndrome de l'imposteur. Tu sais, cette impression de ne pas être légitime, de ne pas être à la hauteur, de ne pas mériter sa place. Mais parfois, c'est peut-être aussi autre chose. Et justement, dans cet épisode, on va nuancer, on va décoder, on va faire baisser la pression. et peut-être t'ouvrir une nouvelle lecture de ce que tu ressens vraiment quand tu as l'impression d'avoir le syndrome de l'imposteur. Dès qu'on doute, en fait, dès qu'on a peur, dès qu'on a l'impression de ne pas être à la hauteur, bam, on sort la carte du syndrome de l'imposteur. C'est devenu presque, en fait, un passage obligé pour les personnes ambitieuses, créatives, sensibles, comme si ça faisait partie du package, comme si ça nous définissait à ce moment-là. Mais c'est vrai que ce terme, à force d'être utilisé partout, il va... il peut écraser parfois même une subtilité de ce que tu vis vraiment. Et c'est vraiment important de se le dire, ce n'est pas parce que tu doutes que c'est le cas, que tu as le syndrome de l'imposteur. Des fois, ce doute, c'est peut-être aussi autre chose, une invitation à mieux comprendre ce qui se passe. Et donc là, je vais te proposer quatre possibilités, quatre interprétations de ce qu'on peut appeler ce syndrome de l'imposteur. Quatre lectures différentes. La première chose, c'est un manque d'information. tu doutes parce que tu n'as peut-être pas encore tous les repères, mais pas parce que tu es incompétente. Par exemple, tu vas arriver dans un nouvel environnement, un nouveau rôle, et tu te compares à des gens installés depuis dix ans. Alors, c'est logique, bien sûr, de ne pas encore te sentir à l'aise. Et d'ailleurs, je pense que ça fera clairement l'objet d'un épisode de podcast en tant que tel, parce que dans ce que j'observe dans les coachings, et quand on est adulte, revenir du coup à être débutant et à réapprendre, Eh bien, dis donc, ça peut être vraiment compliqué et ça peut venir nous challenger. Et donc, du coup, on peut se dire « Ah, j'ai le syndrome de l'imposteur » . Mais non, en fait, c'est juste qu'on est en phase d'apprentissage et pas en imposture. La deuxième chose, deuxième interprétation, c'est un perfectionnisme déguisé. Le syndrome de l'imposteur va venir cacher une espèce d'exigence, mais à de hautes qualités. Et tu ne te sens pas légitime. tant qu'en fait, tu ne sais pas tout, tant que tu ne maîtrises pas tout à 100%, 1000%, allez hop, à 10 000%, et ça, c'est pas de l'imposture. C'est une exigence ultra haute envers toi-même. Et ce qu'il faut se dire, c'est que je peux être compétente même sans être experte absolue. Troisième interprétation, c'est la peur du jugement. En fait, t'as pas peur d'être mauvaise, mais t'as peur d'être perçue comme illégitime. Ouh là là ! Souvent, cette peur, elle est liée à un besoin d'être reconnue, validée. Tac, le tampon, c'est OK pour elle. Et ça, ce n'est pas un syndrome, en fait. C'est un enjeu relationnel. Et là, tu cherches à être acceptée dans un système, en fait, plus qu'à s'auto-évaluer objectivement. Quatrième interprétation, c'est l'écart entre ton identité d'aujourd'hui et celle que tu es en train de construire. Tu es peut-être dans une phase de transition, ou devrais-je dire d'évolution. Et là, c'est entre deux, ce flou. On a déjà parlé ici, dans ce podcast d'inconfort. Du coup, ce n'est pas une imposture, c'est que tu es en construction. Et ça, en fait, c'est super sain. Et donc, ce malaise est un signe que tu es en train de grandir, d'évoluer. Alors, OK, maintenant, qu'est-ce qu'on fait avec tout ça ? Ce que je te propose, c'est plus couteau que de te dire « Oh là là, ça y est, j'ai le syndrome de l'imposteur. » Et de rester... dans ta maladie, dans ce syndrome, et de ne pas réussir à sortir de là, parce que de se dire j'ai le syndrome de l'imposteur, on n'est pas vraiment orienté en fait aux compréhensions de ce qui se passe de la situation, et donc qu'est-ce qu'on en fait ? Je te propose dans ce cas-là de te poser une question simple. Qu'est-ce qui me ferait me sentir plus solide ? Est-ce que c'est une compétence à aller chercher ? Est-ce que c'est un retour constructif à aller chercher ? Est-ce que c'est un espace où tester en sécurité ? Est-ce que je dois faire un travail sur mes croyances d'origine ? Est-ce que j'ai besoin d'un moment pour reconnaître ce que je sais déjà faire ? Alors voilà, tu vois, c'est de changer de regard. Mais changer de regard, ce n'est pas forcément de nier ce qu'on ressent. C'est choisir une lecture plus fine, plus aidante et plus dynamique. Tu ne l'as pas forcément, le syndrome de l'imposteur. Tu vis peut-être juste un moment où ton identité professionnelle est en train d'évoluer, où tes repères sont en mouvement. Et ça, c'est OK. c'est même un super bon signe, c'est que tu bouges. Et comme tu le sais, chez Junko, on en est convaincus, le mouvement crée la chance. Alors, petit récap pour terminer les différentes lectures alternatives qu'on peut avoir quand on ressent un syndrome de l'imposteur. C'est, au lieu de se dire je suis un syndrome de l'imposteur, c'est je suis en phase d'apprentissage et pas en imposture. Je peux être compétente même sans être experte absolue. Je cherche à être acceptée. dans un système plutôt qu'à m'auto-évaluer objectivement. Et pour finir, ce malaise est un signe que je suis en train de grandir, d'évoluer. Je vous remercie beaucoup de m'avoir écoutée. J'espère que cet épisode un peu punchline vous a plu et vous aidera. Je vous remercie beaucoup en tout cas d'être là et d'être présent sur Junko. Je vous dis à très bientôt pour un nouvel épisode et en attendant, prenez soin de vous et de vos projets professionnels. Bye bye !

Description

Démystifions le syndrome de l’imposteur


On en parle partout. Parfois trop.
Dans cet épisode, je vous propose un regard neuf et nuancé sur le fameux syndrome de l’imposteur.

Et si ce n’était pas un "syndrome" ?
Et si ce que vous ressentez cachait autre chose de plus intéressant à explorer ?


Je vous partage ici une grille de lecture différente, issue de mon expérience de coach en évolution professionnelle, pour vous aider à comprendre ce qui se joue vraiment… et surtout, en faire quelque chose d’utile.


Un épisode pour retrouver de la clarté, questionner vos croyances et reprendre le pouvoir sur vos doutes.


🎧 Disponible sur toutes les plateformes d’écoute !


Florence, coach en évolution et transition professionnelle.


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Alors, aujourd'hui, on va parler d'un terme qu'on entend partout, tout le temps, à toutes les sauces. Vous entendez un peu dans ma voix, du coup, mon ressenti déjà global sur le sujet, le sacro-saint syndrome de l'imposteur. Alors, ça va peut-être un petit peu remuer là, ça va peut-être un petit peu bousculer. on ne va pas être forcément dans un discours qui peut faire l'unanimité, qui peut être vraiment coucouning, réconfort. Pas du tout. Parce que c'est vrai qu'à force de l'entendre partout, ça pose question quand même. Sur ce mot un peu fourre-tout, sur ce syndrome. Un syndrome quand même de base, on parle quand même d'une maladie. Alors, pauvre de nous, nous avons le syndrome de l'imposteur. Donc voilà, j'ai eu envie de... traiter ce sujet-là pour voir un petit peu ce qu'on peut en faire et pour voir en fait quelle autre lecture on peut faire quand on ressent, quand on a l'impression d'avoir ce syndrome de l'imposteur. Tu sais, cette impression de ne pas être légitime, de ne pas être à la hauteur, de ne pas mériter sa place. Mais parfois, c'est peut-être aussi autre chose. Et justement, dans cet épisode, on va nuancer, on va décoder, on va faire baisser la pression. et peut-être t'ouvrir une nouvelle lecture de ce que tu ressens vraiment quand tu as l'impression d'avoir le syndrome de l'imposteur. Dès qu'on doute, en fait, dès qu'on a peur, dès qu'on a l'impression de ne pas être à la hauteur, bam, on sort la carte du syndrome de l'imposteur. C'est devenu presque, en fait, un passage obligé pour les personnes ambitieuses, créatives, sensibles, comme si ça faisait partie du package, comme si ça nous définissait à ce moment-là. Mais c'est vrai que ce terme, à force d'être utilisé partout, il va... il peut écraser parfois même une subtilité de ce que tu vis vraiment. Et c'est vraiment important de se le dire, ce n'est pas parce que tu doutes que c'est le cas, que tu as le syndrome de l'imposteur. Des fois, ce doute, c'est peut-être aussi autre chose, une invitation à mieux comprendre ce qui se passe. Et donc là, je vais te proposer quatre possibilités, quatre interprétations de ce qu'on peut appeler ce syndrome de l'imposteur. Quatre lectures différentes. La première chose, c'est un manque d'information. tu doutes parce que tu n'as peut-être pas encore tous les repères, mais pas parce que tu es incompétente. Par exemple, tu vas arriver dans un nouvel environnement, un nouveau rôle, et tu te compares à des gens installés depuis dix ans. Alors, c'est logique, bien sûr, de ne pas encore te sentir à l'aise. Et d'ailleurs, je pense que ça fera clairement l'objet d'un épisode de podcast en tant que tel, parce que dans ce que j'observe dans les coachings, et quand on est adulte, revenir du coup à être débutant et à réapprendre, Eh bien, dis donc, ça peut être vraiment compliqué et ça peut venir nous challenger. Et donc, du coup, on peut se dire « Ah, j'ai le syndrome de l'imposteur » . Mais non, en fait, c'est juste qu'on est en phase d'apprentissage et pas en imposture. La deuxième chose, deuxième interprétation, c'est un perfectionnisme déguisé. Le syndrome de l'imposteur va venir cacher une espèce d'exigence, mais à de hautes qualités. Et tu ne te sens pas légitime. tant qu'en fait, tu ne sais pas tout, tant que tu ne maîtrises pas tout à 100%, 1000%, allez hop, à 10 000%, et ça, c'est pas de l'imposture. C'est une exigence ultra haute envers toi-même. Et ce qu'il faut se dire, c'est que je peux être compétente même sans être experte absolue. Troisième interprétation, c'est la peur du jugement. En fait, t'as pas peur d'être mauvaise, mais t'as peur d'être perçue comme illégitime. Ouh là là ! Souvent, cette peur, elle est liée à un besoin d'être reconnue, validée. Tac, le tampon, c'est OK pour elle. Et ça, ce n'est pas un syndrome, en fait. C'est un enjeu relationnel. Et là, tu cherches à être acceptée dans un système, en fait, plus qu'à s'auto-évaluer objectivement. Quatrième interprétation, c'est l'écart entre ton identité d'aujourd'hui et celle que tu es en train de construire. Tu es peut-être dans une phase de transition, ou devrais-je dire d'évolution. Et là, c'est entre deux, ce flou. On a déjà parlé ici, dans ce podcast d'inconfort. Du coup, ce n'est pas une imposture, c'est que tu es en construction. Et ça, en fait, c'est super sain. Et donc, ce malaise est un signe que tu es en train de grandir, d'évoluer. Alors, OK, maintenant, qu'est-ce qu'on fait avec tout ça ? Ce que je te propose, c'est plus couteau que de te dire « Oh là là, ça y est, j'ai le syndrome de l'imposteur. » Et de rester... dans ta maladie, dans ce syndrome, et de ne pas réussir à sortir de là, parce que de se dire j'ai le syndrome de l'imposteur, on n'est pas vraiment orienté en fait aux compréhensions de ce qui se passe de la situation, et donc qu'est-ce qu'on en fait ? Je te propose dans ce cas-là de te poser une question simple. Qu'est-ce qui me ferait me sentir plus solide ? Est-ce que c'est une compétence à aller chercher ? Est-ce que c'est un retour constructif à aller chercher ? Est-ce que c'est un espace où tester en sécurité ? Est-ce que je dois faire un travail sur mes croyances d'origine ? Est-ce que j'ai besoin d'un moment pour reconnaître ce que je sais déjà faire ? Alors voilà, tu vois, c'est de changer de regard. Mais changer de regard, ce n'est pas forcément de nier ce qu'on ressent. C'est choisir une lecture plus fine, plus aidante et plus dynamique. Tu ne l'as pas forcément, le syndrome de l'imposteur. Tu vis peut-être juste un moment où ton identité professionnelle est en train d'évoluer, où tes repères sont en mouvement. Et ça, c'est OK. c'est même un super bon signe, c'est que tu bouges. Et comme tu le sais, chez Junko, on en est convaincus, le mouvement crée la chance. Alors, petit récap pour terminer les différentes lectures alternatives qu'on peut avoir quand on ressent un syndrome de l'imposteur. C'est, au lieu de se dire je suis un syndrome de l'imposteur, c'est je suis en phase d'apprentissage et pas en imposture. Je peux être compétente même sans être experte absolue. Je cherche à être acceptée. dans un système plutôt qu'à m'auto-évaluer objectivement. Et pour finir, ce malaise est un signe que je suis en train de grandir, d'évoluer. Je vous remercie beaucoup de m'avoir écoutée. J'espère que cet épisode un peu punchline vous a plu et vous aidera. Je vous remercie beaucoup en tout cas d'être là et d'être présent sur Junko. Je vous dis à très bientôt pour un nouvel épisode et en attendant, prenez soin de vous et de vos projets professionnels. Bye bye !

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On en parle partout. Parfois trop.
Dans cet épisode, je vous propose un regard neuf et nuancé sur le fameux syndrome de l’imposteur.

Et si ce n’était pas un "syndrome" ?
Et si ce que vous ressentez cachait autre chose de plus intéressant à explorer ?


Je vous partage ici une grille de lecture différente, issue de mon expérience de coach en évolution professionnelle, pour vous aider à comprendre ce qui se joue vraiment… et surtout, en faire quelque chose d’utile.


Un épisode pour retrouver de la clarté, questionner vos croyances et reprendre le pouvoir sur vos doutes.


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Alors, aujourd'hui, on va parler d'un terme qu'on entend partout, tout le temps, à toutes les sauces. Vous entendez un peu dans ma voix, du coup, mon ressenti déjà global sur le sujet, le sacro-saint syndrome de l'imposteur. Alors, ça va peut-être un petit peu remuer là, ça va peut-être un petit peu bousculer. on ne va pas être forcément dans un discours qui peut faire l'unanimité, qui peut être vraiment coucouning, réconfort. Pas du tout. Parce que c'est vrai qu'à force de l'entendre partout, ça pose question quand même. Sur ce mot un peu fourre-tout, sur ce syndrome. Un syndrome quand même de base, on parle quand même d'une maladie. Alors, pauvre de nous, nous avons le syndrome de l'imposteur. Donc voilà, j'ai eu envie de... traiter ce sujet-là pour voir un petit peu ce qu'on peut en faire et pour voir en fait quelle autre lecture on peut faire quand on ressent, quand on a l'impression d'avoir ce syndrome de l'imposteur. Tu sais, cette impression de ne pas être légitime, de ne pas être à la hauteur, de ne pas mériter sa place. Mais parfois, c'est peut-être aussi autre chose. Et justement, dans cet épisode, on va nuancer, on va décoder, on va faire baisser la pression. et peut-être t'ouvrir une nouvelle lecture de ce que tu ressens vraiment quand tu as l'impression d'avoir le syndrome de l'imposteur. Dès qu'on doute, en fait, dès qu'on a peur, dès qu'on a l'impression de ne pas être à la hauteur, bam, on sort la carte du syndrome de l'imposteur. C'est devenu presque, en fait, un passage obligé pour les personnes ambitieuses, créatives, sensibles, comme si ça faisait partie du package, comme si ça nous définissait à ce moment-là. Mais c'est vrai que ce terme, à force d'être utilisé partout, il va... il peut écraser parfois même une subtilité de ce que tu vis vraiment. Et c'est vraiment important de se le dire, ce n'est pas parce que tu doutes que c'est le cas, que tu as le syndrome de l'imposteur. Des fois, ce doute, c'est peut-être aussi autre chose, une invitation à mieux comprendre ce qui se passe. Et donc là, je vais te proposer quatre possibilités, quatre interprétations de ce qu'on peut appeler ce syndrome de l'imposteur. Quatre lectures différentes. La première chose, c'est un manque d'information. tu doutes parce que tu n'as peut-être pas encore tous les repères, mais pas parce que tu es incompétente. Par exemple, tu vas arriver dans un nouvel environnement, un nouveau rôle, et tu te compares à des gens installés depuis dix ans. Alors, c'est logique, bien sûr, de ne pas encore te sentir à l'aise. Et d'ailleurs, je pense que ça fera clairement l'objet d'un épisode de podcast en tant que tel, parce que dans ce que j'observe dans les coachings, et quand on est adulte, revenir du coup à être débutant et à réapprendre, Eh bien, dis donc, ça peut être vraiment compliqué et ça peut venir nous challenger. Et donc, du coup, on peut se dire « Ah, j'ai le syndrome de l'imposteur » . Mais non, en fait, c'est juste qu'on est en phase d'apprentissage et pas en imposture. La deuxième chose, deuxième interprétation, c'est un perfectionnisme déguisé. Le syndrome de l'imposteur va venir cacher une espèce d'exigence, mais à de hautes qualités. Et tu ne te sens pas légitime. tant qu'en fait, tu ne sais pas tout, tant que tu ne maîtrises pas tout à 100%, 1000%, allez hop, à 10 000%, et ça, c'est pas de l'imposture. C'est une exigence ultra haute envers toi-même. Et ce qu'il faut se dire, c'est que je peux être compétente même sans être experte absolue. Troisième interprétation, c'est la peur du jugement. En fait, t'as pas peur d'être mauvaise, mais t'as peur d'être perçue comme illégitime. Ouh là là ! Souvent, cette peur, elle est liée à un besoin d'être reconnue, validée. Tac, le tampon, c'est OK pour elle. Et ça, ce n'est pas un syndrome, en fait. C'est un enjeu relationnel. Et là, tu cherches à être acceptée dans un système, en fait, plus qu'à s'auto-évaluer objectivement. Quatrième interprétation, c'est l'écart entre ton identité d'aujourd'hui et celle que tu es en train de construire. Tu es peut-être dans une phase de transition, ou devrais-je dire d'évolution. Et là, c'est entre deux, ce flou. On a déjà parlé ici, dans ce podcast d'inconfort. Du coup, ce n'est pas une imposture, c'est que tu es en construction. Et ça, en fait, c'est super sain. Et donc, ce malaise est un signe que tu es en train de grandir, d'évoluer. Alors, OK, maintenant, qu'est-ce qu'on fait avec tout ça ? Ce que je te propose, c'est plus couteau que de te dire « Oh là là, ça y est, j'ai le syndrome de l'imposteur. » Et de rester... dans ta maladie, dans ce syndrome, et de ne pas réussir à sortir de là, parce que de se dire j'ai le syndrome de l'imposteur, on n'est pas vraiment orienté en fait aux compréhensions de ce qui se passe de la situation, et donc qu'est-ce qu'on en fait ? Je te propose dans ce cas-là de te poser une question simple. Qu'est-ce qui me ferait me sentir plus solide ? Est-ce que c'est une compétence à aller chercher ? Est-ce que c'est un retour constructif à aller chercher ? Est-ce que c'est un espace où tester en sécurité ? Est-ce que je dois faire un travail sur mes croyances d'origine ? Est-ce que j'ai besoin d'un moment pour reconnaître ce que je sais déjà faire ? Alors voilà, tu vois, c'est de changer de regard. Mais changer de regard, ce n'est pas forcément de nier ce qu'on ressent. C'est choisir une lecture plus fine, plus aidante et plus dynamique. Tu ne l'as pas forcément, le syndrome de l'imposteur. Tu vis peut-être juste un moment où ton identité professionnelle est en train d'évoluer, où tes repères sont en mouvement. Et ça, c'est OK. c'est même un super bon signe, c'est que tu bouges. Et comme tu le sais, chez Junko, on en est convaincus, le mouvement crée la chance. Alors, petit récap pour terminer les différentes lectures alternatives qu'on peut avoir quand on ressent un syndrome de l'imposteur. C'est, au lieu de se dire je suis un syndrome de l'imposteur, c'est je suis en phase d'apprentissage et pas en imposture. Je peux être compétente même sans être experte absolue. Je cherche à être acceptée. dans un système plutôt qu'à m'auto-évaluer objectivement. Et pour finir, ce malaise est un signe que je suis en train de grandir, d'évoluer. Je vous remercie beaucoup de m'avoir écoutée. J'espère que cet épisode un peu punchline vous a plu et vous aidera. Je vous remercie beaucoup en tout cas d'être là et d'être présent sur Junko. Je vous dis à très bientôt pour un nouvel épisode et en attendant, prenez soin de vous et de vos projets professionnels. Bye bye !

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Démystifions le syndrome de l’imposteur


On en parle partout. Parfois trop.
Dans cet épisode, je vous propose un regard neuf et nuancé sur le fameux syndrome de l’imposteur.

Et si ce n’était pas un "syndrome" ?
Et si ce que vous ressentez cachait autre chose de plus intéressant à explorer ?


Je vous partage ici une grille de lecture différente, issue de mon expérience de coach en évolution professionnelle, pour vous aider à comprendre ce qui se joue vraiment… et surtout, en faire quelque chose d’utile.


Un épisode pour retrouver de la clarté, questionner vos croyances et reprendre le pouvoir sur vos doutes.


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    Bonjour et bienvenue sur JunKo, le podcast qui vous accompagne dans votre réflexion professionnelle et vous aide à construire une carrière qui vous ressemble. Je suis Florence Verdier, coach spécialisé en évolution et transition professionnelle. Dans chaque épisode, je partage avec vous des outils, des réflexions et des histoires inspirantes pour vous aider à clarifier vos aspirations et pour passer à l'action. Que vous soyez en quête d'idées, de motivation ou d'un nouveau départ, ce podcast est là pour vous accompagner, pour vous guider. Et si vous l'appréciez, pensez à lui donner un avis 5 étoiles et à laisser un joli commentaire sur votre plateforme d'écoute préférée. C'est la meilleure façon de soutenir d'une co et de permettre à d'autres de les découvrir. Je vous laisse maintenant avec l'épisode du jour et je vous souhaite une très belle écoute. Salut, salut, bienvenue dans ce nouvel épisode de TunePon. Alors, aujourd'hui, on va parler d'un terme qu'on entend partout, tout le temps, à toutes les sauces. Vous entendez un peu dans ma voix, du coup, mon ressenti déjà global sur le sujet, le sacro-saint syndrome de l'imposteur. Alors, ça va peut-être un petit peu remuer là, ça va peut-être un petit peu bousculer. on ne va pas être forcément dans un discours qui peut faire l'unanimité, qui peut être vraiment coucouning, réconfort. Pas du tout. Parce que c'est vrai qu'à force de l'entendre partout, ça pose question quand même. Sur ce mot un peu fourre-tout, sur ce syndrome. Un syndrome quand même de base, on parle quand même d'une maladie. Alors, pauvre de nous, nous avons le syndrome de l'imposteur. Donc voilà, j'ai eu envie de... traiter ce sujet-là pour voir un petit peu ce qu'on peut en faire et pour voir en fait quelle autre lecture on peut faire quand on ressent, quand on a l'impression d'avoir ce syndrome de l'imposteur. Tu sais, cette impression de ne pas être légitime, de ne pas être à la hauteur, de ne pas mériter sa place. Mais parfois, c'est peut-être aussi autre chose. Et justement, dans cet épisode, on va nuancer, on va décoder, on va faire baisser la pression. et peut-être t'ouvrir une nouvelle lecture de ce que tu ressens vraiment quand tu as l'impression d'avoir le syndrome de l'imposteur. Dès qu'on doute, en fait, dès qu'on a peur, dès qu'on a l'impression de ne pas être à la hauteur, bam, on sort la carte du syndrome de l'imposteur. C'est devenu presque, en fait, un passage obligé pour les personnes ambitieuses, créatives, sensibles, comme si ça faisait partie du package, comme si ça nous définissait à ce moment-là. Mais c'est vrai que ce terme, à force d'être utilisé partout, il va... il peut écraser parfois même une subtilité de ce que tu vis vraiment. Et c'est vraiment important de se le dire, ce n'est pas parce que tu doutes que c'est le cas, que tu as le syndrome de l'imposteur. Des fois, ce doute, c'est peut-être aussi autre chose, une invitation à mieux comprendre ce qui se passe. Et donc là, je vais te proposer quatre possibilités, quatre interprétations de ce qu'on peut appeler ce syndrome de l'imposteur. Quatre lectures différentes. La première chose, c'est un manque d'information. tu doutes parce que tu n'as peut-être pas encore tous les repères, mais pas parce que tu es incompétente. Par exemple, tu vas arriver dans un nouvel environnement, un nouveau rôle, et tu te compares à des gens installés depuis dix ans. Alors, c'est logique, bien sûr, de ne pas encore te sentir à l'aise. Et d'ailleurs, je pense que ça fera clairement l'objet d'un épisode de podcast en tant que tel, parce que dans ce que j'observe dans les coachings, et quand on est adulte, revenir du coup à être débutant et à réapprendre, Eh bien, dis donc, ça peut être vraiment compliqué et ça peut venir nous challenger. Et donc, du coup, on peut se dire « Ah, j'ai le syndrome de l'imposteur » . Mais non, en fait, c'est juste qu'on est en phase d'apprentissage et pas en imposture. La deuxième chose, deuxième interprétation, c'est un perfectionnisme déguisé. Le syndrome de l'imposteur va venir cacher une espèce d'exigence, mais à de hautes qualités. Et tu ne te sens pas légitime. tant qu'en fait, tu ne sais pas tout, tant que tu ne maîtrises pas tout à 100%, 1000%, allez hop, à 10 000%, et ça, c'est pas de l'imposture. C'est une exigence ultra haute envers toi-même. Et ce qu'il faut se dire, c'est que je peux être compétente même sans être experte absolue. Troisième interprétation, c'est la peur du jugement. En fait, t'as pas peur d'être mauvaise, mais t'as peur d'être perçue comme illégitime. Ouh là là ! Souvent, cette peur, elle est liée à un besoin d'être reconnue, validée. Tac, le tampon, c'est OK pour elle. Et ça, ce n'est pas un syndrome, en fait. C'est un enjeu relationnel. Et là, tu cherches à être acceptée dans un système, en fait, plus qu'à s'auto-évaluer objectivement. Quatrième interprétation, c'est l'écart entre ton identité d'aujourd'hui et celle que tu es en train de construire. Tu es peut-être dans une phase de transition, ou devrais-je dire d'évolution. Et là, c'est entre deux, ce flou. On a déjà parlé ici, dans ce podcast d'inconfort. Du coup, ce n'est pas une imposture, c'est que tu es en construction. Et ça, en fait, c'est super sain. Et donc, ce malaise est un signe que tu es en train de grandir, d'évoluer. Alors, OK, maintenant, qu'est-ce qu'on fait avec tout ça ? Ce que je te propose, c'est plus couteau que de te dire « Oh là là, ça y est, j'ai le syndrome de l'imposteur. » Et de rester... dans ta maladie, dans ce syndrome, et de ne pas réussir à sortir de là, parce que de se dire j'ai le syndrome de l'imposteur, on n'est pas vraiment orienté en fait aux compréhensions de ce qui se passe de la situation, et donc qu'est-ce qu'on en fait ? Je te propose dans ce cas-là de te poser une question simple. Qu'est-ce qui me ferait me sentir plus solide ? Est-ce que c'est une compétence à aller chercher ? Est-ce que c'est un retour constructif à aller chercher ? Est-ce que c'est un espace où tester en sécurité ? Est-ce que je dois faire un travail sur mes croyances d'origine ? Est-ce que j'ai besoin d'un moment pour reconnaître ce que je sais déjà faire ? Alors voilà, tu vois, c'est de changer de regard. Mais changer de regard, ce n'est pas forcément de nier ce qu'on ressent. C'est choisir une lecture plus fine, plus aidante et plus dynamique. Tu ne l'as pas forcément, le syndrome de l'imposteur. Tu vis peut-être juste un moment où ton identité professionnelle est en train d'évoluer, où tes repères sont en mouvement. Et ça, c'est OK. c'est même un super bon signe, c'est que tu bouges. Et comme tu le sais, chez Junko, on en est convaincus, le mouvement crée la chance. Alors, petit récap pour terminer les différentes lectures alternatives qu'on peut avoir quand on ressent un syndrome de l'imposteur. C'est, au lieu de se dire je suis un syndrome de l'imposteur, c'est je suis en phase d'apprentissage et pas en imposture. Je peux être compétente même sans être experte absolue. Je cherche à être acceptée. dans un système plutôt qu'à m'auto-évaluer objectivement. Et pour finir, ce malaise est un signe que je suis en train de grandir, d'évoluer. Je vous remercie beaucoup de m'avoir écoutée. J'espère que cet épisode un peu punchline vous a plu et vous aidera. Je vous remercie beaucoup en tout cas d'être là et d'être présent sur Junko. Je vous dis à très bientôt pour un nouvel épisode et en attendant, prenez soin de vous et de vos projets professionnels. Bye bye !

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