Description
Plongez au cœur de l’aventure Sémineige, un séjour unique qui réunit 300 étudiants pour une semaine intense mêlant ski, soirées festives et moments inoubliables. Entre défis organisationnels, anecdotes mémorables et ambiance électrique, vivez l'expérience où passion du sport et esprit de camaraderie s’entremêlent.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Transcription
Bonjour, je suis Zoé et je suis vice-présidente au Séminage 2024.
Bonjour, je suis Adrien et je suis président au Séminage 2024.
Bonjour, je suis Julien, ancien trésorier du Séminage 2022.
C'est une association qui organise un voyage au ski pendant à peu près une semaine, dix jours, pendant les vacances de février. Il y a à peu près en moyenne par an entre 300 et 400 personnes adhérentes à notre association. Du coup, ça fait à peu près, j'ai pu feuilleter, ça fait à peu près six ans que l'association existe. Donc là, aujourd'hui, on a pu avoir un ancien trésorier qui pourra nous dire aussi son expérience à lui. Mais en tout cas, pour nous, on va bientôt partir. Donc voilà, on va voir comment ça se passe.
C'est vraiment un kiff toute la semaine, donc tous les jours avec des activités qu'on organisera, des soirées, plein de choses. Ils pourront profiter aussi de ce qui est entre eux et aussi profiter de cette réunion entre étudiants afin d'approfondir leur amitié pour les années à venir. L'année dernière, j'étais au CEMI 2023 et j'ai eu la possibilité de staffer vraiment la même chose que l'on va faire cette année finalement. Et par exemple, Adrien, lui, il a participé en tant qu'étudiant. Donc vraiment, il a profité toute la semaine des activités qu'on proposait. Et là, maintenant, il fait vraiment partie du bureau. Donc il y a une évolution entre les deux.
Pour mon cas personnel, moi, l'année passée où j'étais étudiant pendant le séminaire, j'étais vice-président du BDE, donc Bureau des élèves. Et j'ai juste voulu changer. Moi, j'ai malheureusement redoublé la première année. Donc j'ai pu refaire une association. Et puis quand j'ai vu comment ça se passait au séminaire, j'ai l'organisation qui... qui avaient. Moi, j'adore le ski. Je pense qu'on a tous la même, en guillemets, passion, en tout cas le kiff. Et puis, du coup, je voulais essayer de voir avec des U1 aussi qui, du coup, reprenaient l'année d'après. On a pu en discuter et puis, on avait les mêmes objectifs, les mêmes envies. Donc, on s'est lancés ensemble. Ouais, on aime ça. Je pense qu'on y va tous depuis qu'on est petit. Donc là, c'est vraiment, on n'y va pas en tant qu'étudiant, on y va en tant qu'organisateur. C'est-à-dire qu'en même temps, on aime être au sport d'hiver et en même temps, on aime aussi organiser.
Oui, je pense que pour tous les membres qui participent à l'organisation du voyage, il y a une appétence pour le ski et pour les sports de glisse et qui aiment ça naturellement. Et en plus, lorsqu'un projet plaît et lorsque le sportif prend aussi le dessus, ça fait que les étudiants ressentent que tu aimes ce que tu es en train de faire et que tu donnes le maximum pour eux aussi leur faire plaisir lors de ce séjour.
Il y en a qui viennent vraiment juste pour faire la fête, d'autres viennent juste pour skier. Et il y a une partie aussi qui veut faire les deux, skier entre potes et profiter le soir avec tout le monde. C'est un peu à la bonne volonté de tout le monde, de ce qu'ils ont envie de faire chaque jour. On leur propose un programme, maintenant à eux de le suivre ou non, en fonction de leurs envies.
Il y a des amitiés qui se créent, mais en même temps des amitiés qui sont déjà présentes et qui sont renforcées par ce voyage au ski et par le fait de passer une semaine tous ensemble à profiter et à partager des moments. qui resteront toujours dans la tête des étudiants ?
Du coup, on commence par contacter un prestataire. Donc lui, il va nous aider, il nous accompagner tout au long du séjour jusqu'à la fin à organiser ce qui est réservation de logement. Il va nous proposer différentes stations, différentes résidences. Ensuite, on a vraiment monté le projet. On a monté une semaine type pour présenter ça devant le CEMI de l'année passée. On a essayé de trouver des partenariats. Vraiment, on a tout monté de A à Z. Et après, ça a été vraiment comme ce que parlait Adrien, c'était recruter les personnes, faire la com au maximum pour donner envie justement aux étudiants de venir pour pas qu'on se retrouve à finalement devoir annuler le voyage. Et vraiment, la semaine, c'est la conclusion de tout ce qu'on a fait. Et le meilleur cadeau à la fin, c'est de recevoir un merci des étudiants qui ont passé un super moment.
En 2022, lorsque nous, on a organisé le CIMNEJ, on a eu la chance d'avoir un bâtiment pour tous les élèves de l'EM. Donc, ça permettait d'être réunis tous au même endroit et de pouvoir partager des moments en communauté. Après, lorsqu'il y a 350 étudiants, c'est toujours difficile de réunir tout le monde. Donc... Et malheureusement, j'ai envie de dire, et c'est pour parler au nom de toute l'année de CEMENEJ 2022, c'était ce qui nous a manqué, c'était de créer une vraie unité entre les 350 personnes.
Cette année, nous, on a du coup tout un étage pour les étudiants. Donc c'est peut-être plus facile puisque nous, sur notre résidence, il y a quand même 10 étages. Donc on a eu la chance d'avoir tout un étage et un petit peu d'un étage juste au-dessus. Donc on pourra les réunir peut-être facilement et aussi à tout qui est en bas de la résidence, que ce soit... que ce soit les bars, que ce soit pour acheter de la nourriture, tout à fait la boîte de nuit. Donc ça peut être plutôt pas mal, je pense qu'on aura une facilité à pouvoir réunir les étudiants.
Nous, on s'était organisé pour avoir des roulements de personnel chaque jour. On était divisé en trois fois cinq. Ça faisait qu'il y avait toujours une équipe de cinq, que ce soit matinée, après-midi ou soir, qui avait free time. Et ça tournait tous les jours. Donc ça nous permettait de profiter en tant que personne pour ce qui est faire des activités et en même temps d'avoir la partie organisationnelle. Je dirais qu'en tant que participant, ce qui permettait de profiter et de décompresser et d'être avec tout le monde à la fin de la journée, c'est... les moments after-ski dans les bars sur les pistes, ça c'est tout le monde se retrouve, ça danse, ça chante, tout le monde est content et tout le monde se réunit dans un bar. Et ça permet de passer du temps avec tout le monde et faire de nouvelles rencontres aussi. Essayer d'élargir son cercle, parler à plus de personnes. Et en tant qu'organisateur, je dirais que sur place, c'est les différents événements qu'on réalise et qu'on met en place au dernier moment où l'organisation se joue sur la semaine, qui sont les plus challenging, les plus finissants. les plus intéressants. Nous, je sais qu'on avait fait des raclettes avec 100, 110 personnes qui participaient. Et ça, c'était des bons souvenirs aussi en tant qu'organisateur.
Quand on va expliquer quelque chose ou vouloir faire quelque chose, il faut qu'on le fasse. C'est-à-dire vraiment pour les étudiants, on sait que pour eux, ils vont payer une prestation de service qu'on va leur donner nous. Tout ce que nous, on leur dira qu'on va faire, il faut qu'on le fasse au mieux, il faut que ça soit réalisable, que ce soit possible et que ce ne soit pas utopique. Parce que sinon, pour eux, c'est... On peut comprendre que ça peut paraître un peu décevant. Donc c'est ça aussi, savoir s'évoluer par rapport aux années passées, réussir à trouver des choses que ceux de l'année dernière n'ont pas pu faire. Donc voilà, après ça, ça va aussi sur des négociations avec les prestataires. Ça aussi, c'est un élément assez important dans l'année. On a beaucoup négocié pour essayer d'avoir les meilleures choses possibles à bas prix, puisqu'on n'est pas un bureau au sein du campus UM Normandie. Donc on n'a pas d'argent donné directement par la Fédération des étudiants, qui est un peu, je dirais, la banque. des étudiants à l'UM Normandie. Donc, on a réussi aussi à négocier pour avoir des subventions de l'école. Enfin, il y a tout ça qui suit aussi comme cheminement. Donc, voilà. Mais pour en revenir au fait, c'est vrai que le plus important, je pense que c'est le plus sensible, c'est vraiment de faire ce qu'on dit.
Si on s'appuie sur cette année, on a eu 500 personnes qui ont participé au Shotgun. Et c'est du coup, premier arrivé, premier servi. En fonction, on fait une liste d'attente, donc ça va être vraiment si les gens annulent, est-ce que c'est pas possible de payer ou d'autres choses, on crée cette liste d'attente et ça remonte. Je pense que c'était la même chose en 2022 que vous avez fait. Donc oui, ça avance au fur et à mesure, c'est le shotgun.
L'étudiant, il part sur un pack de base. Après, il peut y avoir des options qu'il peut prendre. Donc c'est vraiment à lui de décider. On a laissé le choix aux étudiants de vouloir venir au ski sans forcément vouloir skier, parce que bien évidemment, sur le pack de base, il y a... Il y a aussi des coûts plus réduits pour les étudiants qui veulent venir sans skier. Donc déjà, on peut partir sur un pack de base sous ce trait sur un montant précis. Donc vraiment, on a essayé de tout faire. On a fait des coûts de marketing, etc. pour essayer de tout faire, pour faire venir les étudiants. Donc voilà, après, ils peuvent monter leur pack en fonction des options qu'ils prennent. Mais voilà, après, ce n'est pas non plus des options très élevées.
On va dire que le volume de personnes permet d'avoir des coûts assez bas. Ces dernières années, si on fait une moyenne, on va dire que c'est entre 600 et 800 euros pour transport, logement, forfait et location d'équipement de ski, compris. Et donc après, on va dire, on va rajouter 400 euros, j'allais dire, de dépenses là-bas, que ce soit en sortie, nourriture et encore, c'est large. Donc on va dire que c'est une semaine qui coûte... 1100, 1200 euros, on est plus large. Mais comparé aux tarifs classiques du ski, ça reste toujours avantageux. Ça permet aussi de s'adapter à un budget d'étudiants.
Cette semaine, la semaine prochaine, on organise... des Olympiades, par exemple, entre étudiants, ils vont gagner un cadeau à la fin. On aura la possibilité de faire un slalom, une descente au flambeau. On organise également avec des DJ de l'EM, un DJ set, où ils pourront du coup mixer eux-mêmes dans un bar d'altitude. Une descente de luge, une compétition de luge, ça c'est les principales activités qu'on propose. Après, il y aura des activités un peu moins organisées, et moins pas avoir besoin de réserver. ou juste se rassembler pour créer ces activités, mais c'est les principales que l'on a.
L'intérêt, c'est d'apporter une plus-value à ton séjour, et donc de proposer de nouvelles activités tous les ans, et aussi, ça permet de fédérer les étudiants, et de leur faire passer des moments tous ensemble, sans rester avec leur groupe de potes. Pour revenir à l'aspect financier, le but c'est qu'ils payent le package de base avec tout ce qui leur est nécessaire pour ce qui est pour aller à la station. Après, ils aient à payer leur course et leur sortie sur place, mais rien de plus. Toutes les activités, c'est censé être pris en charge et être programmé directement dans ce qu'ils payent. Comme ça, il n'y a rien à dépenser en plus. Je sais que nous, on avait fait une raclette, donc forcément on n'avait pas pu payer la raclette à tout le monde, mais on avait réussi à la descendre. 12 euros par personne pour Acclète à Volonté. Ça compte dans une dépense pour l'étudiant, mais en même temps, c'était un événement supplémentaire et qui ne pouvait pas se faire gratuitement. Mais donc, ce qui est descente au flambeau, luge, tout cela, c'est des événements qui sont intéressants à faire et qui sont gratuits pour l'étudiant. Donc, ça nous permet d'être encore plus convaincus par le séjour et se sentir intégrés par les organisateurs dans plein de compétitions et d'événements. En termes de choses qui sont les plus importantes et choses que souvent on peut négliger à notre âge lorsqu'on organise un voyage aussi important, c'est l'importance des assurances et de la bonne gestion budgétaire. Parce qu'on ne s'en rend pas compte et les étudiants ne sont peut-être pas forcément avertis directement, mais c'est ce qui permet... En cas de n'importe quel débordement, n'importe quel souci avec un quart, avec des affaires perdues, avec des blessures, ça permet de rester protégé et d'être pas inquiété légalement. Et après sinon c'est la gestion budgétaire. Parce que si... Comme le CEMINEJ c'est une association autofinancée, tout l'argent récolté c'est uniquement des partenariats, sources d'argent extérieur ou vente des places. Et à ce moment-là, si les calculs ne sont pas bons et les comptes ne sont pas bons, là, on peut avoir de réels soucis au niveau organisationnel.
L'année passée, moi, en tout cas, de ce que je sais, c'est qu'il y a eu un petit trou dans la caisse. Ils ont dû forcément aller voir la fédération qui ont pu les aider et leur avancer, donc leur faire un prêt, qu'on doit du coup rembourser sur trois ans, donc nous et les prochains séminaires aussi. Donc du coup, si jamais il y a un trou, je pense que la fédération, comme on avait dit tout à l'heure, pourront forcément venir nous aider, mais avec des donants en donnant. Donc forcément, on va devoir rembourser. Donc ceux de l'année dernière ont dû, si je ne dis pas de bêtises, OEM reprendra, mais ont dû tous payer quelque chose pour essayer de redonner à l'OM Normandie un petit peu. Donc je ne sais plus c'est quoi le montant exact, donc je n'ai pas envie de dire de bêtises. Mais en tout cas, je pense que la fédération sera là pour aider. Maintenant, ce n'est pas le but. Comme l'a dit Julien, on est un autofinancement, donc nous on aimerait rester comme ça et pas avoir besoin de l'aide extérieure, sauf en cas de critique comme ça. Alors tout se joue beaucoup sur déjà la communication, donc donner envie aux étudiants avec un bon plan de communication pour les prévenir de ce qu'ils vont avoir, ce qu'ils pourront avoir durant cette semaine. Donc ça c'est surtout à organiser en amont pour vraiment qu'ils soient sûrs parce qu'on sait que même si on a l'EM Normandie, c'est quand même un budget, c'est un montant, qu'il faut qu'ils voient avec surtout le trois quart des étudiants, voire 90% des étudiants avec leurs parents. Donc c'est sûr qu'il faut que ça leur donne envie, il faut que... Si le fait qu'ils aillent voir leurs parents, c'est pas pour rien quoi. Donc vraiment, nous, on joue là-dessus. Et puis aussi, ce qui est bien, c'est que durant l'année, il y a des petits stands où on a pu nous présenter. On a pu passer devant les étudiants aussi pour nous présenter, voir un peu ce qu'on propose. Puis il y a eu les recrutements, comme on avait dit avec Zoé tout à l'heure, qui a pu aussi montrer aux étudiants. Et puis il y a eu pas mal de bouche-oreille. Ça, c'est une certitude, puisque les U1 viennent de rentrer au sein du campus. Donc pour eux, tout ce qui est un peu les organisations d'associations, ils sont tous un peu... un peu, si je puis dire, en furie. Donc, on joue surtout pour tous ces aspects-là. Honnêtement, déjà, on était très stressés parce que c'était la première, on va dire, étape, grosse étape pour voir qui vraiment allait être intéressé puisqu'avant, on n'avait pas vraiment de retour des étudiants à part quelques mots de par-ci, par-là. Enfin, voilà, c'est un peu des choses pas concrètes. Donc, là, on a pu voir que quand on avait à peu près, tout en restant modeste, bien entendu, mais deux, trois personnes par seconde qui... qui défilait sur notre page Excel. C'était quelque chose qui était... On a tous bien vécu ça, on était tous super heureux. Et puis, c'était vraiment la première chose qui nous a soudés entre nous. C'était, comme je l'ai dit, la première expérience. Et puis là, directement, quand on a vu qu'on avait sold out dès les premières 30 minutes, une heure. Excuse-moi, je suis un peu trop modeste. Voilà, deux minutes. Mais du coup, c'était un moment qui était plus que fort, inoubliable. Donc déjà c'est nous et nous trois qui faisons le planning, ensuite on va le transférer du coup aux autres membres du staff. On n'est pas non plus une dictature c'est-à-dire que si jamais, pendant qu'on balance le planning, il y a des personnes qui auraient voulu avoir leur free time à ce moment-là pour x ou y raisons, ou ne pas vouloir être avec telle personne, parce que c'est sûr que pendant une année entière, il y a eu beaucoup de complicité, mais beaucoup d'engueulades aussi, ça c'est sûr. Donc il n'y a pas forcément des gens qui s'aiment, mais bon, ils savent dissocier le pro et le perso. Donc pas tous, mais en tout cas le trois-quarts. On leur laisse aussi un peu la... les choix pour savoir un peu que ça se passe le mieux possible. Voilà, très clairement, et qu'on évite tout engueulade, surtout au niveau du staff, parce que c'est un peu nous qui représentons tous les étudiants.
Pour compléter ce qu'a dit Adrien, par exemple, on va leur demander sur des activités assez grosses. Typiquement, là, on organise un slalom. On a demandé aux gens de l'équipe, si vous voulez, participer à slalom en tant que personne qui peut recevoir un prix à la fin. On a deux participants sur 17 de l'équipe qui veulent participer à celui-là. Donc forcément, on ne va pas les faire staffer à ce moment-là pile ou on va organiser une descente au flambeau aussi dans l'idéal. Et là, on demandera également qui veut participer à quoi pour que nous aussi, d'un côté, on profite et on puisse s'organiser chacun pour que personne ne soit frustré de ne pas avoir fait ce qu'il voulait pendant la semaine. Nous,
la chance qu'on avait, c'était... Avant le séminaire et avant même la création, c'était une bande de copains et qui deux trois personnes se sont greffés, dont moi, et donc ça permettait déjà de partir sur des bases solides et puis après il y a chacun qui aussi est assez intelligent pour faire des concessions et pour au milieu de la semaine dire cette personne avait envie de faire ça, c'est au dernier moment, ce n'était pas prévu, on échange de rôle. Après bien évidemment que à l'avance il faut définir des moments où telle personne, tel groupe s'occupe de tel événement ou de la gestion des étudiants parce que sinon c'est impossible et tout le monde va vouloir faire ce qu'il a veut et ce qu'il a envie de faire sur le moment et ça va tout bouleverser dans l'organisation de la semaine on avait aussi envie de profiter avec nos amis mais en même temps de voir les autres profiter par tout ce qu'on a fait et travaillé pour tout au long de l'année, c'est une réussite absolue Et puis quand après la semaine, on vient te remercier et te dire c'était génial, là ça fait chaud au cœur et c'est aussi un accomplissement personnel.
Je pense qu'il y a certains étudiants qui ne se rendent pas compte du travail et du temps qu'on a mis dans le projet. Et que sur place, ils peuvent nous considérer comme des personnes vraiment à leur service. Et ils ne se rendent pas compte que nous, ça nous affecte le fait que ça ne plaise pas aux étudiants, qu'ils ne considèrent pas vraiment le travail derrière. alors qu'on a vraiment investi un sacré temps et une sacrée envie derrière pour faire kiffer vraiment tout le monde au maximum. Là, c'est un peu le rush vu qu'on part en fin de semaine. Il faut vraiment gérer les derniers plannings de staff. Ça va être comment répartir, qui travaille, à quel moment dans la semaine. On doit acheter les derniers goodies ou les dernières choses pour leur faire des surprises sur place. Et on doit s'organiser, nous, après, par exemple, pour les cars, ce qu'on doit ramener. l'organisation de qui sera dans quel quart, de quel élève sera avec quel élève, tous les roomings des chambres, car c'est tout vraiment les éléments importants qui permettent que le voyage se passe bien ou en tout cas commence bien au début de la semaine. Là, c'est un peu le rush vu qu'on part en fin de semaine. Il faut vraiment gérer les derniers plannings de staff. Ça va être comment répartir, qui travaille, à quel moment dans la semaine. On doit acheter les derniers goodies ou les dernières choses pour leur faire des surprises sur place. Et on doit s'organiser, nous, après, par exemple, pour les cars, ce qu'on doit ramener, l'organisation de qui sera dans quel car, de quel élève sera avec quel élève, tous les roomings des chambres, roomings, car c'est tout vraiment les éléments importants qui permettent que le voyage se passe bien ou en tout cas commence bien au début de la semaine. Le prestataire, justement, ce n'est pas la première fois qu'il accueille autant d'étudiants. Par exemple, on a fait un week-end de repérage début janvier et c'était des Hollandais dans la résidence. Donc, c'était un sacré bazar. Donc, je pense qu'ils sont assez habitués à ce qu'il y ait tant d'étudiants dans la station et dans la résidence pour mettre l'animation.
Puis souvent, les stations de ce qui est choisi, Ce sont quand même assez des stations festives ou des stations où se rendent souvent beaucoup d'étudiants. Ce qui fait qu'on s'éloigne du côté un peu familial du ski. Il n'y a pas de surprise quand il y a autant d'étudiants sur les pistes ou dans les commerces.
On n'a par exemple pas accès à certaines stations. Les arcs, par exemple, on n'aura pas accès pendant les vacances scolaires. Mais uniquement si on est hors vacances scolaires, là, ça peut marcher. Mais il y a plusieurs stations qui privilégient le côté familial. où ce sera impossible d'organiser quelque chose avec 300 étudiants.
Bien sûr, on aura des brassards, donc des brassards staff et des brassards aussi VSS, donc pour s'il y a d'éventuels dangers ou problèmes durant la semaine, pour qu'on puisse se dissocier. Puis on aura des mégaphones aussi. Alors le week-end de repérage, ça consistait du coup d'aller voir... parce que du coup, nous, on est en contact avec un prestataire, mais le prestataire est en contact lui-même avec une autre organisation qui, eux, sont sur place directement. Donc, nous, on va les voir. On se présente tout d'abord. Ils nous présentent la station. Là, on va pouvoir se loger, etc. Donc, on va créer du coup les chambres pour les étudiants. Déjà, nous, on a un premier coup d'œil. Ça, c'est plutôt cool. Puis ensuite, directement, on profite. On peut skier un petit peu pour profiter quand même. On a fait le voyage aussi pour ça. Donc, c'était plutôt, c'est plutôt, voilà, pour tout organiser. tout bien faire en amont, vraiment, et être sûr de ne pas faire ça à l'arrache, vraiment, aux deux dernières semaines, trois dernières semaines. On a vraiment fait ça un mois et demi avant, et puis comme ça, au moins, on sait qu'on peut souffler sur pas mal de choses qu'on a déjà faites, et puis on peut s'occuper de ces dernières petites choses, donc que ce soit au niveau logistique, le transport, les goodies, comme à Dizowez, le truc qui manquait encore cette semaine, parce que sinon, on serait plus... Si on perd du temps, en fait, on peut oublier très vite quelque chose, et puis c'est vraiment pas le but.
C'est vraiment le premier contact avec... tout le staff et toute l'équipe qui aura sur place, avec qui on va vraiment partager toute la semaine avec eux. S'il y a un problème, on les appelle. Ils pourront nous aider, nous accompagner vraiment dans toute la semaine en plus de nous. Et ça permet aussi de découvrir un peu les pistes, voir en fait prendre nos marques, pour que sur place, on ne soit pas complètement en train de découvrir et se retrouver un peu perdu avec l'organisation, les pistes, les établissements qu'il y a là-bas. Donc vraiment qu'on puisse avoir le premier coup d'œil et après ne pas arriver en tant que touriste, entre guillemets. là-bas.
Moi, pour faire simple, je dirais aussi que le week-end de repérage pour l'équipe organisatrice permet d'avoir déjà des marques là-bas et de connaître les différents commerçants ou gérants de bars, de boîtes, etc. Parce que ça permet déjà de créer un premier lien, prévenir quand seront les 300 et quelques élèves. Et en plus, ça permet de négocier des partenariats aussi sur place. Nous, on avait fait un système de bracelet qui, lorsque le bracelet a été montré, il y avait Sur un restaurant d'altitude, il y avait moins de 2 euros sur le menu. Pour rentrer en boîte, c'était pareil grâce au bracelet. Ça permet aussi de prévenir et d'organiser et déterminer les petits détails qui feront que la semaine est plus facile pour les étudiants sur place. Dans l'aspect organisationnel et dans l'aspect prise de responsabilité, je pense que ça sert beaucoup pour quelqu'un, lorsqu'on est aussi jeune, à 19, 20, 21 ans, d'avoir autant de responsabilités, de comprendre comment fonctionne l'organisation d'un séjour et d'être aussi attentionné et rigoureux dans l'organisation du séjour. qu'il y ait un minimum de problèmes, parce qu'il y a forcément des problèmes sur place, mais qu'il y ait un minimum de problèmes ou alors qu'ils soient gérés. Et après, personnellement, je dirais que ça m'a permis de m'améliorer sur ma rigueur, mon organisation et ma manière de travailler. Et puis après, dans ma fonction de trésorier au séminaire, ça m'a aussi permis d'ajouter une expérience dans mon CV et de la valoriser lorsque je participe à des entretiens d'embauche. C'est ce dans quoi je travaille actuellement, on va dire, à la trésorerie. C'est que du plus d'un aspect personnel.
On a vraiment déjà super hâte de passer cette semaine qui va être, je pense, exceptionnelle. On l'espère. On a tout fait pour. Donc on verra comment ça va se passer. C'est vraiment... C'est du stress, mais c'est du bon stress. Donc c'est super cool. Et je pense que si tout se passe bien, comme on a dit Julien pour lui il y a deux ans, et que tout se passe à merveille, je pense que pour nous aussi, on l'a préparé. J'ai beaucoup de posées questions aussi aux prédécesseurs pour savoir un peu comment ils ont fait pour qu'on s'aide. Donc, on s'est beaucoup aidé, Zoé aussi avec l'expérience qu'elle a eue. Donc, je pense que tout ça, tout combiné, c'est que du bon stress. C'est normal, on a la prévention. Mais je pense que Zoé va être d'accord avec moi sur le fait que ça va être une bonne semaine et puis on va kiffer.
Un petit conseil que je veux leur donner, c'est de ne pas se prendre non plus trop la tête parce que quoi qu'il arrive, ils seront accompagnés et qu'ils doivent aussi, eux, profiter de leur semaine. C'est important. L'organisation, c'est une part de l'aventure, mais eux aussi, se permettre de skier, de sortir, d'être avec leurs potes, c'est le plus important. Vous n'allez pas beaucoup dormir, mais ce n'est pas grave. Prenez des vitamines, prenez du café, ça va bien se passer. Au final, si tout est bien géré, vous aurez... la satisfaction des étudiants et leur remerciement. Et ça, il n'y a rien de plus gratifiant.
On se préparait à avoir la tête sous l'eau pendant toute la semaine. Et quand on rentre, on se soucie, on dit, ah ouais, en vrai, j'ai kiffé. Même si on a organisé, qu'il y a eu des soucis, des choses, c'était vraiment une super semaine. Et pourquoi pas la refaire, en fait ?
Description
Plongez au cœur de l’aventure Sémineige, un séjour unique qui réunit 300 étudiants pour une semaine intense mêlant ski, soirées festives et moments inoubliables. Entre défis organisationnels, anecdotes mémorables et ambiance électrique, vivez l'expérience où passion du sport et esprit de camaraderie s’entremêlent.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Transcription
Bonjour, je suis Zoé et je suis vice-présidente au Séminage 2024.
Bonjour, je suis Adrien et je suis président au Séminage 2024.
Bonjour, je suis Julien, ancien trésorier du Séminage 2022.
C'est une association qui organise un voyage au ski pendant à peu près une semaine, dix jours, pendant les vacances de février. Il y a à peu près en moyenne par an entre 300 et 400 personnes adhérentes à notre association. Du coup, ça fait à peu près, j'ai pu feuilleter, ça fait à peu près six ans que l'association existe. Donc là, aujourd'hui, on a pu avoir un ancien trésorier qui pourra nous dire aussi son expérience à lui. Mais en tout cas, pour nous, on va bientôt partir. Donc voilà, on va voir comment ça se passe.
C'est vraiment un kiff toute la semaine, donc tous les jours avec des activités qu'on organisera, des soirées, plein de choses. Ils pourront profiter aussi de ce qui est entre eux et aussi profiter de cette réunion entre étudiants afin d'approfondir leur amitié pour les années à venir. L'année dernière, j'étais au CEMI 2023 et j'ai eu la possibilité de staffer vraiment la même chose que l'on va faire cette année finalement. Et par exemple, Adrien, lui, il a participé en tant qu'étudiant. Donc vraiment, il a profité toute la semaine des activités qu'on proposait. Et là, maintenant, il fait vraiment partie du bureau. Donc il y a une évolution entre les deux.
Pour mon cas personnel, moi, l'année passée où j'étais étudiant pendant le séminaire, j'étais vice-président du BDE, donc Bureau des élèves. Et j'ai juste voulu changer. Moi, j'ai malheureusement redoublé la première année. Donc j'ai pu refaire une association. Et puis quand j'ai vu comment ça se passait au séminaire, j'ai l'organisation qui... qui avaient. Moi, j'adore le ski. Je pense qu'on a tous la même, en guillemets, passion, en tout cas le kiff. Et puis, du coup, je voulais essayer de voir avec des U1 aussi qui, du coup, reprenaient l'année d'après. On a pu en discuter et puis, on avait les mêmes objectifs, les mêmes envies. Donc, on s'est lancés ensemble. Ouais, on aime ça. Je pense qu'on y va tous depuis qu'on est petit. Donc là, c'est vraiment, on n'y va pas en tant qu'étudiant, on y va en tant qu'organisateur. C'est-à-dire qu'en même temps, on aime être au sport d'hiver et en même temps, on aime aussi organiser.
Oui, je pense que pour tous les membres qui participent à l'organisation du voyage, il y a une appétence pour le ski et pour les sports de glisse et qui aiment ça naturellement. Et en plus, lorsqu'un projet plaît et lorsque le sportif prend aussi le dessus, ça fait que les étudiants ressentent que tu aimes ce que tu es en train de faire et que tu donnes le maximum pour eux aussi leur faire plaisir lors de ce séjour.
Il y en a qui viennent vraiment juste pour faire la fête, d'autres viennent juste pour skier. Et il y a une partie aussi qui veut faire les deux, skier entre potes et profiter le soir avec tout le monde. C'est un peu à la bonne volonté de tout le monde, de ce qu'ils ont envie de faire chaque jour. On leur propose un programme, maintenant à eux de le suivre ou non, en fonction de leurs envies.
Il y a des amitiés qui se créent, mais en même temps des amitiés qui sont déjà présentes et qui sont renforcées par ce voyage au ski et par le fait de passer une semaine tous ensemble à profiter et à partager des moments. qui resteront toujours dans la tête des étudiants ?
Du coup, on commence par contacter un prestataire. Donc lui, il va nous aider, il nous accompagner tout au long du séjour jusqu'à la fin à organiser ce qui est réservation de logement. Il va nous proposer différentes stations, différentes résidences. Ensuite, on a vraiment monté le projet. On a monté une semaine type pour présenter ça devant le CEMI de l'année passée. On a essayé de trouver des partenariats. Vraiment, on a tout monté de A à Z. Et après, ça a été vraiment comme ce que parlait Adrien, c'était recruter les personnes, faire la com au maximum pour donner envie justement aux étudiants de venir pour pas qu'on se retrouve à finalement devoir annuler le voyage. Et vraiment, la semaine, c'est la conclusion de tout ce qu'on a fait. Et le meilleur cadeau à la fin, c'est de recevoir un merci des étudiants qui ont passé un super moment.
En 2022, lorsque nous, on a organisé le CIMNEJ, on a eu la chance d'avoir un bâtiment pour tous les élèves de l'EM. Donc, ça permettait d'être réunis tous au même endroit et de pouvoir partager des moments en communauté. Après, lorsqu'il y a 350 étudiants, c'est toujours difficile de réunir tout le monde. Donc... Et malheureusement, j'ai envie de dire, et c'est pour parler au nom de toute l'année de CEMENEJ 2022, c'était ce qui nous a manqué, c'était de créer une vraie unité entre les 350 personnes.
Cette année, nous, on a du coup tout un étage pour les étudiants. Donc c'est peut-être plus facile puisque nous, sur notre résidence, il y a quand même 10 étages. Donc on a eu la chance d'avoir tout un étage et un petit peu d'un étage juste au-dessus. Donc on pourra les réunir peut-être facilement et aussi à tout qui est en bas de la résidence, que ce soit... que ce soit les bars, que ce soit pour acheter de la nourriture, tout à fait la boîte de nuit. Donc ça peut être plutôt pas mal, je pense qu'on aura une facilité à pouvoir réunir les étudiants.
Nous, on s'était organisé pour avoir des roulements de personnel chaque jour. On était divisé en trois fois cinq. Ça faisait qu'il y avait toujours une équipe de cinq, que ce soit matinée, après-midi ou soir, qui avait free time. Et ça tournait tous les jours. Donc ça nous permettait de profiter en tant que personne pour ce qui est faire des activités et en même temps d'avoir la partie organisationnelle. Je dirais qu'en tant que participant, ce qui permettait de profiter et de décompresser et d'être avec tout le monde à la fin de la journée, c'est... les moments after-ski dans les bars sur les pistes, ça c'est tout le monde se retrouve, ça danse, ça chante, tout le monde est content et tout le monde se réunit dans un bar. Et ça permet de passer du temps avec tout le monde et faire de nouvelles rencontres aussi. Essayer d'élargir son cercle, parler à plus de personnes. Et en tant qu'organisateur, je dirais que sur place, c'est les différents événements qu'on réalise et qu'on met en place au dernier moment où l'organisation se joue sur la semaine, qui sont les plus challenging, les plus finissants. les plus intéressants. Nous, je sais qu'on avait fait des raclettes avec 100, 110 personnes qui participaient. Et ça, c'était des bons souvenirs aussi en tant qu'organisateur.
Quand on va expliquer quelque chose ou vouloir faire quelque chose, il faut qu'on le fasse. C'est-à-dire vraiment pour les étudiants, on sait que pour eux, ils vont payer une prestation de service qu'on va leur donner nous. Tout ce que nous, on leur dira qu'on va faire, il faut qu'on le fasse au mieux, il faut que ça soit réalisable, que ce soit possible et que ce ne soit pas utopique. Parce que sinon, pour eux, c'est... On peut comprendre que ça peut paraître un peu décevant. Donc c'est ça aussi, savoir s'évoluer par rapport aux années passées, réussir à trouver des choses que ceux de l'année dernière n'ont pas pu faire. Donc voilà, après ça, ça va aussi sur des négociations avec les prestataires. Ça aussi, c'est un élément assez important dans l'année. On a beaucoup négocié pour essayer d'avoir les meilleures choses possibles à bas prix, puisqu'on n'est pas un bureau au sein du campus UM Normandie. Donc on n'a pas d'argent donné directement par la Fédération des étudiants, qui est un peu, je dirais, la banque. des étudiants à l'UM Normandie. Donc, on a réussi aussi à négocier pour avoir des subventions de l'école. Enfin, il y a tout ça qui suit aussi comme cheminement. Donc, voilà. Mais pour en revenir au fait, c'est vrai que le plus important, je pense que c'est le plus sensible, c'est vraiment de faire ce qu'on dit.
Si on s'appuie sur cette année, on a eu 500 personnes qui ont participé au Shotgun. Et c'est du coup, premier arrivé, premier servi. En fonction, on fait une liste d'attente, donc ça va être vraiment si les gens annulent, est-ce que c'est pas possible de payer ou d'autres choses, on crée cette liste d'attente et ça remonte. Je pense que c'était la même chose en 2022 que vous avez fait. Donc oui, ça avance au fur et à mesure, c'est le shotgun.
L'étudiant, il part sur un pack de base. Après, il peut y avoir des options qu'il peut prendre. Donc c'est vraiment à lui de décider. On a laissé le choix aux étudiants de vouloir venir au ski sans forcément vouloir skier, parce que bien évidemment, sur le pack de base, il y a... Il y a aussi des coûts plus réduits pour les étudiants qui veulent venir sans skier. Donc déjà, on peut partir sur un pack de base sous ce trait sur un montant précis. Donc vraiment, on a essayé de tout faire. On a fait des coûts de marketing, etc. pour essayer de tout faire, pour faire venir les étudiants. Donc voilà, après, ils peuvent monter leur pack en fonction des options qu'ils prennent. Mais voilà, après, ce n'est pas non plus des options très élevées.
On va dire que le volume de personnes permet d'avoir des coûts assez bas. Ces dernières années, si on fait une moyenne, on va dire que c'est entre 600 et 800 euros pour transport, logement, forfait et location d'équipement de ski, compris. Et donc après, on va dire, on va rajouter 400 euros, j'allais dire, de dépenses là-bas, que ce soit en sortie, nourriture et encore, c'est large. Donc on va dire que c'est une semaine qui coûte... 1100, 1200 euros, on est plus large. Mais comparé aux tarifs classiques du ski, ça reste toujours avantageux. Ça permet aussi de s'adapter à un budget d'étudiants.
Cette semaine, la semaine prochaine, on organise... des Olympiades, par exemple, entre étudiants, ils vont gagner un cadeau à la fin. On aura la possibilité de faire un slalom, une descente au flambeau. On organise également avec des DJ de l'EM, un DJ set, où ils pourront du coup mixer eux-mêmes dans un bar d'altitude. Une descente de luge, une compétition de luge, ça c'est les principales activités qu'on propose. Après, il y aura des activités un peu moins organisées, et moins pas avoir besoin de réserver. ou juste se rassembler pour créer ces activités, mais c'est les principales que l'on a.
L'intérêt, c'est d'apporter une plus-value à ton séjour, et donc de proposer de nouvelles activités tous les ans, et aussi, ça permet de fédérer les étudiants, et de leur faire passer des moments tous ensemble, sans rester avec leur groupe de potes. Pour revenir à l'aspect financier, le but c'est qu'ils payent le package de base avec tout ce qui leur est nécessaire pour ce qui est pour aller à la station. Après, ils aient à payer leur course et leur sortie sur place, mais rien de plus. Toutes les activités, c'est censé être pris en charge et être programmé directement dans ce qu'ils payent. Comme ça, il n'y a rien à dépenser en plus. Je sais que nous, on avait fait une raclette, donc forcément on n'avait pas pu payer la raclette à tout le monde, mais on avait réussi à la descendre. 12 euros par personne pour Acclète à Volonté. Ça compte dans une dépense pour l'étudiant, mais en même temps, c'était un événement supplémentaire et qui ne pouvait pas se faire gratuitement. Mais donc, ce qui est descente au flambeau, luge, tout cela, c'est des événements qui sont intéressants à faire et qui sont gratuits pour l'étudiant. Donc, ça nous permet d'être encore plus convaincus par le séjour et se sentir intégrés par les organisateurs dans plein de compétitions et d'événements. En termes de choses qui sont les plus importantes et choses que souvent on peut négliger à notre âge lorsqu'on organise un voyage aussi important, c'est l'importance des assurances et de la bonne gestion budgétaire. Parce qu'on ne s'en rend pas compte et les étudiants ne sont peut-être pas forcément avertis directement, mais c'est ce qui permet... En cas de n'importe quel débordement, n'importe quel souci avec un quart, avec des affaires perdues, avec des blessures, ça permet de rester protégé et d'être pas inquiété légalement. Et après sinon c'est la gestion budgétaire. Parce que si... Comme le CEMINEJ c'est une association autofinancée, tout l'argent récolté c'est uniquement des partenariats, sources d'argent extérieur ou vente des places. Et à ce moment-là, si les calculs ne sont pas bons et les comptes ne sont pas bons, là, on peut avoir de réels soucis au niveau organisationnel.
L'année passée, moi, en tout cas, de ce que je sais, c'est qu'il y a eu un petit trou dans la caisse. Ils ont dû forcément aller voir la fédération qui ont pu les aider et leur avancer, donc leur faire un prêt, qu'on doit du coup rembourser sur trois ans, donc nous et les prochains séminaires aussi. Donc du coup, si jamais il y a un trou, je pense que la fédération, comme on avait dit tout à l'heure, pourront forcément venir nous aider, mais avec des donants en donnant. Donc forcément, on va devoir rembourser. Donc ceux de l'année dernière ont dû, si je ne dis pas de bêtises, OEM reprendra, mais ont dû tous payer quelque chose pour essayer de redonner à l'OM Normandie un petit peu. Donc je ne sais plus c'est quoi le montant exact, donc je n'ai pas envie de dire de bêtises. Mais en tout cas, je pense que la fédération sera là pour aider. Maintenant, ce n'est pas le but. Comme l'a dit Julien, on est un autofinancement, donc nous on aimerait rester comme ça et pas avoir besoin de l'aide extérieure, sauf en cas de critique comme ça. Alors tout se joue beaucoup sur déjà la communication, donc donner envie aux étudiants avec un bon plan de communication pour les prévenir de ce qu'ils vont avoir, ce qu'ils pourront avoir durant cette semaine. Donc ça c'est surtout à organiser en amont pour vraiment qu'ils soient sûrs parce qu'on sait que même si on a l'EM Normandie, c'est quand même un budget, c'est un montant, qu'il faut qu'ils voient avec surtout le trois quart des étudiants, voire 90% des étudiants avec leurs parents. Donc c'est sûr qu'il faut que ça leur donne envie, il faut que... Si le fait qu'ils aillent voir leurs parents, c'est pas pour rien quoi. Donc vraiment, nous, on joue là-dessus. Et puis aussi, ce qui est bien, c'est que durant l'année, il y a des petits stands où on a pu nous présenter. On a pu passer devant les étudiants aussi pour nous présenter, voir un peu ce qu'on propose. Puis il y a eu les recrutements, comme on avait dit avec Zoé tout à l'heure, qui a pu aussi montrer aux étudiants. Et puis il y a eu pas mal de bouche-oreille. Ça, c'est une certitude, puisque les U1 viennent de rentrer au sein du campus. Donc pour eux, tout ce qui est un peu les organisations d'associations, ils sont tous un peu... un peu, si je puis dire, en furie. Donc, on joue surtout pour tous ces aspects-là. Honnêtement, déjà, on était très stressés parce que c'était la première, on va dire, étape, grosse étape pour voir qui vraiment allait être intéressé puisqu'avant, on n'avait pas vraiment de retour des étudiants à part quelques mots de par-ci, par-là. Enfin, voilà, c'est un peu des choses pas concrètes. Donc, là, on a pu voir que quand on avait à peu près, tout en restant modeste, bien entendu, mais deux, trois personnes par seconde qui... qui défilait sur notre page Excel. C'était quelque chose qui était... On a tous bien vécu ça, on était tous super heureux. Et puis, c'était vraiment la première chose qui nous a soudés entre nous. C'était, comme je l'ai dit, la première expérience. Et puis là, directement, quand on a vu qu'on avait sold out dès les premières 30 minutes, une heure. Excuse-moi, je suis un peu trop modeste. Voilà, deux minutes. Mais du coup, c'était un moment qui était plus que fort, inoubliable. Donc déjà c'est nous et nous trois qui faisons le planning, ensuite on va le transférer du coup aux autres membres du staff. On n'est pas non plus une dictature c'est-à-dire que si jamais, pendant qu'on balance le planning, il y a des personnes qui auraient voulu avoir leur free time à ce moment-là pour x ou y raisons, ou ne pas vouloir être avec telle personne, parce que c'est sûr que pendant une année entière, il y a eu beaucoup de complicité, mais beaucoup d'engueulades aussi, ça c'est sûr. Donc il n'y a pas forcément des gens qui s'aiment, mais bon, ils savent dissocier le pro et le perso. Donc pas tous, mais en tout cas le trois-quarts. On leur laisse aussi un peu la... les choix pour savoir un peu que ça se passe le mieux possible. Voilà, très clairement, et qu'on évite tout engueulade, surtout au niveau du staff, parce que c'est un peu nous qui représentons tous les étudiants.
Pour compléter ce qu'a dit Adrien, par exemple, on va leur demander sur des activités assez grosses. Typiquement, là, on organise un slalom. On a demandé aux gens de l'équipe, si vous voulez, participer à slalom en tant que personne qui peut recevoir un prix à la fin. On a deux participants sur 17 de l'équipe qui veulent participer à celui-là. Donc forcément, on ne va pas les faire staffer à ce moment-là pile ou on va organiser une descente au flambeau aussi dans l'idéal. Et là, on demandera également qui veut participer à quoi pour que nous aussi, d'un côté, on profite et on puisse s'organiser chacun pour que personne ne soit frustré de ne pas avoir fait ce qu'il voulait pendant la semaine. Nous,
la chance qu'on avait, c'était... Avant le séminaire et avant même la création, c'était une bande de copains et qui deux trois personnes se sont greffés, dont moi, et donc ça permettait déjà de partir sur des bases solides et puis après il y a chacun qui aussi est assez intelligent pour faire des concessions et pour au milieu de la semaine dire cette personne avait envie de faire ça, c'est au dernier moment, ce n'était pas prévu, on échange de rôle. Après bien évidemment que à l'avance il faut définir des moments où telle personne, tel groupe s'occupe de tel événement ou de la gestion des étudiants parce que sinon c'est impossible et tout le monde va vouloir faire ce qu'il a veut et ce qu'il a envie de faire sur le moment et ça va tout bouleverser dans l'organisation de la semaine on avait aussi envie de profiter avec nos amis mais en même temps de voir les autres profiter par tout ce qu'on a fait et travaillé pour tout au long de l'année, c'est une réussite absolue Et puis quand après la semaine, on vient te remercier et te dire c'était génial, là ça fait chaud au cœur et c'est aussi un accomplissement personnel.
Je pense qu'il y a certains étudiants qui ne se rendent pas compte du travail et du temps qu'on a mis dans le projet. Et que sur place, ils peuvent nous considérer comme des personnes vraiment à leur service. Et ils ne se rendent pas compte que nous, ça nous affecte le fait que ça ne plaise pas aux étudiants, qu'ils ne considèrent pas vraiment le travail derrière. alors qu'on a vraiment investi un sacré temps et une sacrée envie derrière pour faire kiffer vraiment tout le monde au maximum. Là, c'est un peu le rush vu qu'on part en fin de semaine. Il faut vraiment gérer les derniers plannings de staff. Ça va être comment répartir, qui travaille, à quel moment dans la semaine. On doit acheter les derniers goodies ou les dernières choses pour leur faire des surprises sur place. Et on doit s'organiser, nous, après, par exemple, pour les cars, ce qu'on doit ramener. l'organisation de qui sera dans quel quart, de quel élève sera avec quel élève, tous les roomings des chambres, car c'est tout vraiment les éléments importants qui permettent que le voyage se passe bien ou en tout cas commence bien au début de la semaine. Là, c'est un peu le rush vu qu'on part en fin de semaine. Il faut vraiment gérer les derniers plannings de staff. Ça va être comment répartir, qui travaille, à quel moment dans la semaine. On doit acheter les derniers goodies ou les dernières choses pour leur faire des surprises sur place. Et on doit s'organiser, nous, après, par exemple, pour les cars, ce qu'on doit ramener, l'organisation de qui sera dans quel car, de quel élève sera avec quel élève, tous les roomings des chambres, roomings, car c'est tout vraiment les éléments importants qui permettent que le voyage se passe bien ou en tout cas commence bien au début de la semaine. Le prestataire, justement, ce n'est pas la première fois qu'il accueille autant d'étudiants. Par exemple, on a fait un week-end de repérage début janvier et c'était des Hollandais dans la résidence. Donc, c'était un sacré bazar. Donc, je pense qu'ils sont assez habitués à ce qu'il y ait tant d'étudiants dans la station et dans la résidence pour mettre l'animation.
Puis souvent, les stations de ce qui est choisi, Ce sont quand même assez des stations festives ou des stations où se rendent souvent beaucoup d'étudiants. Ce qui fait qu'on s'éloigne du côté un peu familial du ski. Il n'y a pas de surprise quand il y a autant d'étudiants sur les pistes ou dans les commerces.
On n'a par exemple pas accès à certaines stations. Les arcs, par exemple, on n'aura pas accès pendant les vacances scolaires. Mais uniquement si on est hors vacances scolaires, là, ça peut marcher. Mais il y a plusieurs stations qui privilégient le côté familial. où ce sera impossible d'organiser quelque chose avec 300 étudiants.
Bien sûr, on aura des brassards, donc des brassards staff et des brassards aussi VSS, donc pour s'il y a d'éventuels dangers ou problèmes durant la semaine, pour qu'on puisse se dissocier. Puis on aura des mégaphones aussi. Alors le week-end de repérage, ça consistait du coup d'aller voir... parce que du coup, nous, on est en contact avec un prestataire, mais le prestataire est en contact lui-même avec une autre organisation qui, eux, sont sur place directement. Donc, nous, on va les voir. On se présente tout d'abord. Ils nous présentent la station. Là, on va pouvoir se loger, etc. Donc, on va créer du coup les chambres pour les étudiants. Déjà, nous, on a un premier coup d'œil. Ça, c'est plutôt cool. Puis ensuite, directement, on profite. On peut skier un petit peu pour profiter quand même. On a fait le voyage aussi pour ça. Donc, c'était plutôt, c'est plutôt, voilà, pour tout organiser. tout bien faire en amont, vraiment, et être sûr de ne pas faire ça à l'arrache, vraiment, aux deux dernières semaines, trois dernières semaines. On a vraiment fait ça un mois et demi avant, et puis comme ça, au moins, on sait qu'on peut souffler sur pas mal de choses qu'on a déjà faites, et puis on peut s'occuper de ces dernières petites choses, donc que ce soit au niveau logistique, le transport, les goodies, comme à Dizowez, le truc qui manquait encore cette semaine, parce que sinon, on serait plus... Si on perd du temps, en fait, on peut oublier très vite quelque chose, et puis c'est vraiment pas le but.
C'est vraiment le premier contact avec... tout le staff et toute l'équipe qui aura sur place, avec qui on va vraiment partager toute la semaine avec eux. S'il y a un problème, on les appelle. Ils pourront nous aider, nous accompagner vraiment dans toute la semaine en plus de nous. Et ça permet aussi de découvrir un peu les pistes, voir en fait prendre nos marques, pour que sur place, on ne soit pas complètement en train de découvrir et se retrouver un peu perdu avec l'organisation, les pistes, les établissements qu'il y a là-bas. Donc vraiment qu'on puisse avoir le premier coup d'œil et après ne pas arriver en tant que touriste, entre guillemets. là-bas.
Moi, pour faire simple, je dirais aussi que le week-end de repérage pour l'équipe organisatrice permet d'avoir déjà des marques là-bas et de connaître les différents commerçants ou gérants de bars, de boîtes, etc. Parce que ça permet déjà de créer un premier lien, prévenir quand seront les 300 et quelques élèves. Et en plus, ça permet de négocier des partenariats aussi sur place. Nous, on avait fait un système de bracelet qui, lorsque le bracelet a été montré, il y avait Sur un restaurant d'altitude, il y avait moins de 2 euros sur le menu. Pour rentrer en boîte, c'était pareil grâce au bracelet. Ça permet aussi de prévenir et d'organiser et déterminer les petits détails qui feront que la semaine est plus facile pour les étudiants sur place. Dans l'aspect organisationnel et dans l'aspect prise de responsabilité, je pense que ça sert beaucoup pour quelqu'un, lorsqu'on est aussi jeune, à 19, 20, 21 ans, d'avoir autant de responsabilités, de comprendre comment fonctionne l'organisation d'un séjour et d'être aussi attentionné et rigoureux dans l'organisation du séjour. qu'il y ait un minimum de problèmes, parce qu'il y a forcément des problèmes sur place, mais qu'il y ait un minimum de problèmes ou alors qu'ils soient gérés. Et après, personnellement, je dirais que ça m'a permis de m'améliorer sur ma rigueur, mon organisation et ma manière de travailler. Et puis après, dans ma fonction de trésorier au séminaire, ça m'a aussi permis d'ajouter une expérience dans mon CV et de la valoriser lorsque je participe à des entretiens d'embauche. C'est ce dans quoi je travaille actuellement, on va dire, à la trésorerie. C'est que du plus d'un aspect personnel.
On a vraiment déjà super hâte de passer cette semaine qui va être, je pense, exceptionnelle. On l'espère. On a tout fait pour. Donc on verra comment ça va se passer. C'est vraiment... C'est du stress, mais c'est du bon stress. Donc c'est super cool. Et je pense que si tout se passe bien, comme on a dit Julien pour lui il y a deux ans, et que tout se passe à merveille, je pense que pour nous aussi, on l'a préparé. J'ai beaucoup de posées questions aussi aux prédécesseurs pour savoir un peu comment ils ont fait pour qu'on s'aide. Donc, on s'est beaucoup aidé, Zoé aussi avec l'expérience qu'elle a eue. Donc, je pense que tout ça, tout combiné, c'est que du bon stress. C'est normal, on a la prévention. Mais je pense que Zoé va être d'accord avec moi sur le fait que ça va être une bonne semaine et puis on va kiffer.
Un petit conseil que je veux leur donner, c'est de ne pas se prendre non plus trop la tête parce que quoi qu'il arrive, ils seront accompagnés et qu'ils doivent aussi, eux, profiter de leur semaine. C'est important. L'organisation, c'est une part de l'aventure, mais eux aussi, se permettre de skier, de sortir, d'être avec leurs potes, c'est le plus important. Vous n'allez pas beaucoup dormir, mais ce n'est pas grave. Prenez des vitamines, prenez du café, ça va bien se passer. Au final, si tout est bien géré, vous aurez... la satisfaction des étudiants et leur remerciement. Et ça, il n'y a rien de plus gratifiant.
On se préparait à avoir la tête sous l'eau pendant toute la semaine. Et quand on rentre, on se soucie, on dit, ah ouais, en vrai, j'ai kiffé. Même si on a organisé, qu'il y a eu des soucis, des choses, c'était vraiment une super semaine. Et pourquoi pas la refaire, en fait ?
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Description
Plongez au cœur de l’aventure Sémineige, un séjour unique qui réunit 300 étudiants pour une semaine intense mêlant ski, soirées festives et moments inoubliables. Entre défis organisationnels, anecdotes mémorables et ambiance électrique, vivez l'expérience où passion du sport et esprit de camaraderie s’entremêlent.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Transcription
Bonjour, je suis Zoé et je suis vice-présidente au Séminage 2024.
Bonjour, je suis Adrien et je suis président au Séminage 2024.
Bonjour, je suis Julien, ancien trésorier du Séminage 2022.
C'est une association qui organise un voyage au ski pendant à peu près une semaine, dix jours, pendant les vacances de février. Il y a à peu près en moyenne par an entre 300 et 400 personnes adhérentes à notre association. Du coup, ça fait à peu près, j'ai pu feuilleter, ça fait à peu près six ans que l'association existe. Donc là, aujourd'hui, on a pu avoir un ancien trésorier qui pourra nous dire aussi son expérience à lui. Mais en tout cas, pour nous, on va bientôt partir. Donc voilà, on va voir comment ça se passe.
C'est vraiment un kiff toute la semaine, donc tous les jours avec des activités qu'on organisera, des soirées, plein de choses. Ils pourront profiter aussi de ce qui est entre eux et aussi profiter de cette réunion entre étudiants afin d'approfondir leur amitié pour les années à venir. L'année dernière, j'étais au CEMI 2023 et j'ai eu la possibilité de staffer vraiment la même chose que l'on va faire cette année finalement. Et par exemple, Adrien, lui, il a participé en tant qu'étudiant. Donc vraiment, il a profité toute la semaine des activités qu'on proposait. Et là, maintenant, il fait vraiment partie du bureau. Donc il y a une évolution entre les deux.
Pour mon cas personnel, moi, l'année passée où j'étais étudiant pendant le séminaire, j'étais vice-président du BDE, donc Bureau des élèves. Et j'ai juste voulu changer. Moi, j'ai malheureusement redoublé la première année. Donc j'ai pu refaire une association. Et puis quand j'ai vu comment ça se passait au séminaire, j'ai l'organisation qui... qui avaient. Moi, j'adore le ski. Je pense qu'on a tous la même, en guillemets, passion, en tout cas le kiff. Et puis, du coup, je voulais essayer de voir avec des U1 aussi qui, du coup, reprenaient l'année d'après. On a pu en discuter et puis, on avait les mêmes objectifs, les mêmes envies. Donc, on s'est lancés ensemble. Ouais, on aime ça. Je pense qu'on y va tous depuis qu'on est petit. Donc là, c'est vraiment, on n'y va pas en tant qu'étudiant, on y va en tant qu'organisateur. C'est-à-dire qu'en même temps, on aime être au sport d'hiver et en même temps, on aime aussi organiser.
Oui, je pense que pour tous les membres qui participent à l'organisation du voyage, il y a une appétence pour le ski et pour les sports de glisse et qui aiment ça naturellement. Et en plus, lorsqu'un projet plaît et lorsque le sportif prend aussi le dessus, ça fait que les étudiants ressentent que tu aimes ce que tu es en train de faire et que tu donnes le maximum pour eux aussi leur faire plaisir lors de ce séjour.
Il y en a qui viennent vraiment juste pour faire la fête, d'autres viennent juste pour skier. Et il y a une partie aussi qui veut faire les deux, skier entre potes et profiter le soir avec tout le monde. C'est un peu à la bonne volonté de tout le monde, de ce qu'ils ont envie de faire chaque jour. On leur propose un programme, maintenant à eux de le suivre ou non, en fonction de leurs envies.
Il y a des amitiés qui se créent, mais en même temps des amitiés qui sont déjà présentes et qui sont renforcées par ce voyage au ski et par le fait de passer une semaine tous ensemble à profiter et à partager des moments. qui resteront toujours dans la tête des étudiants ?
Du coup, on commence par contacter un prestataire. Donc lui, il va nous aider, il nous accompagner tout au long du séjour jusqu'à la fin à organiser ce qui est réservation de logement. Il va nous proposer différentes stations, différentes résidences. Ensuite, on a vraiment monté le projet. On a monté une semaine type pour présenter ça devant le CEMI de l'année passée. On a essayé de trouver des partenariats. Vraiment, on a tout monté de A à Z. Et après, ça a été vraiment comme ce que parlait Adrien, c'était recruter les personnes, faire la com au maximum pour donner envie justement aux étudiants de venir pour pas qu'on se retrouve à finalement devoir annuler le voyage. Et vraiment, la semaine, c'est la conclusion de tout ce qu'on a fait. Et le meilleur cadeau à la fin, c'est de recevoir un merci des étudiants qui ont passé un super moment.
En 2022, lorsque nous, on a organisé le CIMNEJ, on a eu la chance d'avoir un bâtiment pour tous les élèves de l'EM. Donc, ça permettait d'être réunis tous au même endroit et de pouvoir partager des moments en communauté. Après, lorsqu'il y a 350 étudiants, c'est toujours difficile de réunir tout le monde. Donc... Et malheureusement, j'ai envie de dire, et c'est pour parler au nom de toute l'année de CEMENEJ 2022, c'était ce qui nous a manqué, c'était de créer une vraie unité entre les 350 personnes.
Cette année, nous, on a du coup tout un étage pour les étudiants. Donc c'est peut-être plus facile puisque nous, sur notre résidence, il y a quand même 10 étages. Donc on a eu la chance d'avoir tout un étage et un petit peu d'un étage juste au-dessus. Donc on pourra les réunir peut-être facilement et aussi à tout qui est en bas de la résidence, que ce soit... que ce soit les bars, que ce soit pour acheter de la nourriture, tout à fait la boîte de nuit. Donc ça peut être plutôt pas mal, je pense qu'on aura une facilité à pouvoir réunir les étudiants.
Nous, on s'était organisé pour avoir des roulements de personnel chaque jour. On était divisé en trois fois cinq. Ça faisait qu'il y avait toujours une équipe de cinq, que ce soit matinée, après-midi ou soir, qui avait free time. Et ça tournait tous les jours. Donc ça nous permettait de profiter en tant que personne pour ce qui est faire des activités et en même temps d'avoir la partie organisationnelle. Je dirais qu'en tant que participant, ce qui permettait de profiter et de décompresser et d'être avec tout le monde à la fin de la journée, c'est... les moments after-ski dans les bars sur les pistes, ça c'est tout le monde se retrouve, ça danse, ça chante, tout le monde est content et tout le monde se réunit dans un bar. Et ça permet de passer du temps avec tout le monde et faire de nouvelles rencontres aussi. Essayer d'élargir son cercle, parler à plus de personnes. Et en tant qu'organisateur, je dirais que sur place, c'est les différents événements qu'on réalise et qu'on met en place au dernier moment où l'organisation se joue sur la semaine, qui sont les plus challenging, les plus finissants. les plus intéressants. Nous, je sais qu'on avait fait des raclettes avec 100, 110 personnes qui participaient. Et ça, c'était des bons souvenirs aussi en tant qu'organisateur.
Quand on va expliquer quelque chose ou vouloir faire quelque chose, il faut qu'on le fasse. C'est-à-dire vraiment pour les étudiants, on sait que pour eux, ils vont payer une prestation de service qu'on va leur donner nous. Tout ce que nous, on leur dira qu'on va faire, il faut qu'on le fasse au mieux, il faut que ça soit réalisable, que ce soit possible et que ce ne soit pas utopique. Parce que sinon, pour eux, c'est... On peut comprendre que ça peut paraître un peu décevant. Donc c'est ça aussi, savoir s'évoluer par rapport aux années passées, réussir à trouver des choses que ceux de l'année dernière n'ont pas pu faire. Donc voilà, après ça, ça va aussi sur des négociations avec les prestataires. Ça aussi, c'est un élément assez important dans l'année. On a beaucoup négocié pour essayer d'avoir les meilleures choses possibles à bas prix, puisqu'on n'est pas un bureau au sein du campus UM Normandie. Donc on n'a pas d'argent donné directement par la Fédération des étudiants, qui est un peu, je dirais, la banque. des étudiants à l'UM Normandie. Donc, on a réussi aussi à négocier pour avoir des subventions de l'école. Enfin, il y a tout ça qui suit aussi comme cheminement. Donc, voilà. Mais pour en revenir au fait, c'est vrai que le plus important, je pense que c'est le plus sensible, c'est vraiment de faire ce qu'on dit.
Si on s'appuie sur cette année, on a eu 500 personnes qui ont participé au Shotgun. Et c'est du coup, premier arrivé, premier servi. En fonction, on fait une liste d'attente, donc ça va être vraiment si les gens annulent, est-ce que c'est pas possible de payer ou d'autres choses, on crée cette liste d'attente et ça remonte. Je pense que c'était la même chose en 2022 que vous avez fait. Donc oui, ça avance au fur et à mesure, c'est le shotgun.
L'étudiant, il part sur un pack de base. Après, il peut y avoir des options qu'il peut prendre. Donc c'est vraiment à lui de décider. On a laissé le choix aux étudiants de vouloir venir au ski sans forcément vouloir skier, parce que bien évidemment, sur le pack de base, il y a... Il y a aussi des coûts plus réduits pour les étudiants qui veulent venir sans skier. Donc déjà, on peut partir sur un pack de base sous ce trait sur un montant précis. Donc vraiment, on a essayé de tout faire. On a fait des coûts de marketing, etc. pour essayer de tout faire, pour faire venir les étudiants. Donc voilà, après, ils peuvent monter leur pack en fonction des options qu'ils prennent. Mais voilà, après, ce n'est pas non plus des options très élevées.
On va dire que le volume de personnes permet d'avoir des coûts assez bas. Ces dernières années, si on fait une moyenne, on va dire que c'est entre 600 et 800 euros pour transport, logement, forfait et location d'équipement de ski, compris. Et donc après, on va dire, on va rajouter 400 euros, j'allais dire, de dépenses là-bas, que ce soit en sortie, nourriture et encore, c'est large. Donc on va dire que c'est une semaine qui coûte... 1100, 1200 euros, on est plus large. Mais comparé aux tarifs classiques du ski, ça reste toujours avantageux. Ça permet aussi de s'adapter à un budget d'étudiants.
Cette semaine, la semaine prochaine, on organise... des Olympiades, par exemple, entre étudiants, ils vont gagner un cadeau à la fin. On aura la possibilité de faire un slalom, une descente au flambeau. On organise également avec des DJ de l'EM, un DJ set, où ils pourront du coup mixer eux-mêmes dans un bar d'altitude. Une descente de luge, une compétition de luge, ça c'est les principales activités qu'on propose. Après, il y aura des activités un peu moins organisées, et moins pas avoir besoin de réserver. ou juste se rassembler pour créer ces activités, mais c'est les principales que l'on a.
L'intérêt, c'est d'apporter une plus-value à ton séjour, et donc de proposer de nouvelles activités tous les ans, et aussi, ça permet de fédérer les étudiants, et de leur faire passer des moments tous ensemble, sans rester avec leur groupe de potes. Pour revenir à l'aspect financier, le but c'est qu'ils payent le package de base avec tout ce qui leur est nécessaire pour ce qui est pour aller à la station. Après, ils aient à payer leur course et leur sortie sur place, mais rien de plus. Toutes les activités, c'est censé être pris en charge et être programmé directement dans ce qu'ils payent. Comme ça, il n'y a rien à dépenser en plus. Je sais que nous, on avait fait une raclette, donc forcément on n'avait pas pu payer la raclette à tout le monde, mais on avait réussi à la descendre. 12 euros par personne pour Acclète à Volonté. Ça compte dans une dépense pour l'étudiant, mais en même temps, c'était un événement supplémentaire et qui ne pouvait pas se faire gratuitement. Mais donc, ce qui est descente au flambeau, luge, tout cela, c'est des événements qui sont intéressants à faire et qui sont gratuits pour l'étudiant. Donc, ça nous permet d'être encore plus convaincus par le séjour et se sentir intégrés par les organisateurs dans plein de compétitions et d'événements. En termes de choses qui sont les plus importantes et choses que souvent on peut négliger à notre âge lorsqu'on organise un voyage aussi important, c'est l'importance des assurances et de la bonne gestion budgétaire. Parce qu'on ne s'en rend pas compte et les étudiants ne sont peut-être pas forcément avertis directement, mais c'est ce qui permet... En cas de n'importe quel débordement, n'importe quel souci avec un quart, avec des affaires perdues, avec des blessures, ça permet de rester protégé et d'être pas inquiété légalement. Et après sinon c'est la gestion budgétaire. Parce que si... Comme le CEMINEJ c'est une association autofinancée, tout l'argent récolté c'est uniquement des partenariats, sources d'argent extérieur ou vente des places. Et à ce moment-là, si les calculs ne sont pas bons et les comptes ne sont pas bons, là, on peut avoir de réels soucis au niveau organisationnel.
L'année passée, moi, en tout cas, de ce que je sais, c'est qu'il y a eu un petit trou dans la caisse. Ils ont dû forcément aller voir la fédération qui ont pu les aider et leur avancer, donc leur faire un prêt, qu'on doit du coup rembourser sur trois ans, donc nous et les prochains séminaires aussi. Donc du coup, si jamais il y a un trou, je pense que la fédération, comme on avait dit tout à l'heure, pourront forcément venir nous aider, mais avec des donants en donnant. Donc forcément, on va devoir rembourser. Donc ceux de l'année dernière ont dû, si je ne dis pas de bêtises, OEM reprendra, mais ont dû tous payer quelque chose pour essayer de redonner à l'OM Normandie un petit peu. Donc je ne sais plus c'est quoi le montant exact, donc je n'ai pas envie de dire de bêtises. Mais en tout cas, je pense que la fédération sera là pour aider. Maintenant, ce n'est pas le but. Comme l'a dit Julien, on est un autofinancement, donc nous on aimerait rester comme ça et pas avoir besoin de l'aide extérieure, sauf en cas de critique comme ça. Alors tout se joue beaucoup sur déjà la communication, donc donner envie aux étudiants avec un bon plan de communication pour les prévenir de ce qu'ils vont avoir, ce qu'ils pourront avoir durant cette semaine. Donc ça c'est surtout à organiser en amont pour vraiment qu'ils soient sûrs parce qu'on sait que même si on a l'EM Normandie, c'est quand même un budget, c'est un montant, qu'il faut qu'ils voient avec surtout le trois quart des étudiants, voire 90% des étudiants avec leurs parents. Donc c'est sûr qu'il faut que ça leur donne envie, il faut que... Si le fait qu'ils aillent voir leurs parents, c'est pas pour rien quoi. Donc vraiment, nous, on joue là-dessus. Et puis aussi, ce qui est bien, c'est que durant l'année, il y a des petits stands où on a pu nous présenter. On a pu passer devant les étudiants aussi pour nous présenter, voir un peu ce qu'on propose. Puis il y a eu les recrutements, comme on avait dit avec Zoé tout à l'heure, qui a pu aussi montrer aux étudiants. Et puis il y a eu pas mal de bouche-oreille. Ça, c'est une certitude, puisque les U1 viennent de rentrer au sein du campus. Donc pour eux, tout ce qui est un peu les organisations d'associations, ils sont tous un peu... un peu, si je puis dire, en furie. Donc, on joue surtout pour tous ces aspects-là. Honnêtement, déjà, on était très stressés parce que c'était la première, on va dire, étape, grosse étape pour voir qui vraiment allait être intéressé puisqu'avant, on n'avait pas vraiment de retour des étudiants à part quelques mots de par-ci, par-là. Enfin, voilà, c'est un peu des choses pas concrètes. Donc, là, on a pu voir que quand on avait à peu près, tout en restant modeste, bien entendu, mais deux, trois personnes par seconde qui... qui défilait sur notre page Excel. C'était quelque chose qui était... On a tous bien vécu ça, on était tous super heureux. Et puis, c'était vraiment la première chose qui nous a soudés entre nous. C'était, comme je l'ai dit, la première expérience. Et puis là, directement, quand on a vu qu'on avait sold out dès les premières 30 minutes, une heure. Excuse-moi, je suis un peu trop modeste. Voilà, deux minutes. Mais du coup, c'était un moment qui était plus que fort, inoubliable. Donc déjà c'est nous et nous trois qui faisons le planning, ensuite on va le transférer du coup aux autres membres du staff. On n'est pas non plus une dictature c'est-à-dire que si jamais, pendant qu'on balance le planning, il y a des personnes qui auraient voulu avoir leur free time à ce moment-là pour x ou y raisons, ou ne pas vouloir être avec telle personne, parce que c'est sûr que pendant une année entière, il y a eu beaucoup de complicité, mais beaucoup d'engueulades aussi, ça c'est sûr. Donc il n'y a pas forcément des gens qui s'aiment, mais bon, ils savent dissocier le pro et le perso. Donc pas tous, mais en tout cas le trois-quarts. On leur laisse aussi un peu la... les choix pour savoir un peu que ça se passe le mieux possible. Voilà, très clairement, et qu'on évite tout engueulade, surtout au niveau du staff, parce que c'est un peu nous qui représentons tous les étudiants.
Pour compléter ce qu'a dit Adrien, par exemple, on va leur demander sur des activités assez grosses. Typiquement, là, on organise un slalom. On a demandé aux gens de l'équipe, si vous voulez, participer à slalom en tant que personne qui peut recevoir un prix à la fin. On a deux participants sur 17 de l'équipe qui veulent participer à celui-là. Donc forcément, on ne va pas les faire staffer à ce moment-là pile ou on va organiser une descente au flambeau aussi dans l'idéal. Et là, on demandera également qui veut participer à quoi pour que nous aussi, d'un côté, on profite et on puisse s'organiser chacun pour que personne ne soit frustré de ne pas avoir fait ce qu'il voulait pendant la semaine. Nous,
la chance qu'on avait, c'était... Avant le séminaire et avant même la création, c'était une bande de copains et qui deux trois personnes se sont greffés, dont moi, et donc ça permettait déjà de partir sur des bases solides et puis après il y a chacun qui aussi est assez intelligent pour faire des concessions et pour au milieu de la semaine dire cette personne avait envie de faire ça, c'est au dernier moment, ce n'était pas prévu, on échange de rôle. Après bien évidemment que à l'avance il faut définir des moments où telle personne, tel groupe s'occupe de tel événement ou de la gestion des étudiants parce que sinon c'est impossible et tout le monde va vouloir faire ce qu'il a veut et ce qu'il a envie de faire sur le moment et ça va tout bouleverser dans l'organisation de la semaine on avait aussi envie de profiter avec nos amis mais en même temps de voir les autres profiter par tout ce qu'on a fait et travaillé pour tout au long de l'année, c'est une réussite absolue Et puis quand après la semaine, on vient te remercier et te dire c'était génial, là ça fait chaud au cœur et c'est aussi un accomplissement personnel.
Je pense qu'il y a certains étudiants qui ne se rendent pas compte du travail et du temps qu'on a mis dans le projet. Et que sur place, ils peuvent nous considérer comme des personnes vraiment à leur service. Et ils ne se rendent pas compte que nous, ça nous affecte le fait que ça ne plaise pas aux étudiants, qu'ils ne considèrent pas vraiment le travail derrière. alors qu'on a vraiment investi un sacré temps et une sacrée envie derrière pour faire kiffer vraiment tout le monde au maximum. Là, c'est un peu le rush vu qu'on part en fin de semaine. Il faut vraiment gérer les derniers plannings de staff. Ça va être comment répartir, qui travaille, à quel moment dans la semaine. On doit acheter les derniers goodies ou les dernières choses pour leur faire des surprises sur place. Et on doit s'organiser, nous, après, par exemple, pour les cars, ce qu'on doit ramener. l'organisation de qui sera dans quel quart, de quel élève sera avec quel élève, tous les roomings des chambres, car c'est tout vraiment les éléments importants qui permettent que le voyage se passe bien ou en tout cas commence bien au début de la semaine. Là, c'est un peu le rush vu qu'on part en fin de semaine. Il faut vraiment gérer les derniers plannings de staff. Ça va être comment répartir, qui travaille, à quel moment dans la semaine. On doit acheter les derniers goodies ou les dernières choses pour leur faire des surprises sur place. Et on doit s'organiser, nous, après, par exemple, pour les cars, ce qu'on doit ramener, l'organisation de qui sera dans quel car, de quel élève sera avec quel élève, tous les roomings des chambres, roomings, car c'est tout vraiment les éléments importants qui permettent que le voyage se passe bien ou en tout cas commence bien au début de la semaine. Le prestataire, justement, ce n'est pas la première fois qu'il accueille autant d'étudiants. Par exemple, on a fait un week-end de repérage début janvier et c'était des Hollandais dans la résidence. Donc, c'était un sacré bazar. Donc, je pense qu'ils sont assez habitués à ce qu'il y ait tant d'étudiants dans la station et dans la résidence pour mettre l'animation.
Puis souvent, les stations de ce qui est choisi, Ce sont quand même assez des stations festives ou des stations où se rendent souvent beaucoup d'étudiants. Ce qui fait qu'on s'éloigne du côté un peu familial du ski. Il n'y a pas de surprise quand il y a autant d'étudiants sur les pistes ou dans les commerces.
On n'a par exemple pas accès à certaines stations. Les arcs, par exemple, on n'aura pas accès pendant les vacances scolaires. Mais uniquement si on est hors vacances scolaires, là, ça peut marcher. Mais il y a plusieurs stations qui privilégient le côté familial. où ce sera impossible d'organiser quelque chose avec 300 étudiants.
Bien sûr, on aura des brassards, donc des brassards staff et des brassards aussi VSS, donc pour s'il y a d'éventuels dangers ou problèmes durant la semaine, pour qu'on puisse se dissocier. Puis on aura des mégaphones aussi. Alors le week-end de repérage, ça consistait du coup d'aller voir... parce que du coup, nous, on est en contact avec un prestataire, mais le prestataire est en contact lui-même avec une autre organisation qui, eux, sont sur place directement. Donc, nous, on va les voir. On se présente tout d'abord. Ils nous présentent la station. Là, on va pouvoir se loger, etc. Donc, on va créer du coup les chambres pour les étudiants. Déjà, nous, on a un premier coup d'œil. Ça, c'est plutôt cool. Puis ensuite, directement, on profite. On peut skier un petit peu pour profiter quand même. On a fait le voyage aussi pour ça. Donc, c'était plutôt, c'est plutôt, voilà, pour tout organiser. tout bien faire en amont, vraiment, et être sûr de ne pas faire ça à l'arrache, vraiment, aux deux dernières semaines, trois dernières semaines. On a vraiment fait ça un mois et demi avant, et puis comme ça, au moins, on sait qu'on peut souffler sur pas mal de choses qu'on a déjà faites, et puis on peut s'occuper de ces dernières petites choses, donc que ce soit au niveau logistique, le transport, les goodies, comme à Dizowez, le truc qui manquait encore cette semaine, parce que sinon, on serait plus... Si on perd du temps, en fait, on peut oublier très vite quelque chose, et puis c'est vraiment pas le but.
C'est vraiment le premier contact avec... tout le staff et toute l'équipe qui aura sur place, avec qui on va vraiment partager toute la semaine avec eux. S'il y a un problème, on les appelle. Ils pourront nous aider, nous accompagner vraiment dans toute la semaine en plus de nous. Et ça permet aussi de découvrir un peu les pistes, voir en fait prendre nos marques, pour que sur place, on ne soit pas complètement en train de découvrir et se retrouver un peu perdu avec l'organisation, les pistes, les établissements qu'il y a là-bas. Donc vraiment qu'on puisse avoir le premier coup d'œil et après ne pas arriver en tant que touriste, entre guillemets. là-bas.
Moi, pour faire simple, je dirais aussi que le week-end de repérage pour l'équipe organisatrice permet d'avoir déjà des marques là-bas et de connaître les différents commerçants ou gérants de bars, de boîtes, etc. Parce que ça permet déjà de créer un premier lien, prévenir quand seront les 300 et quelques élèves. Et en plus, ça permet de négocier des partenariats aussi sur place. Nous, on avait fait un système de bracelet qui, lorsque le bracelet a été montré, il y avait Sur un restaurant d'altitude, il y avait moins de 2 euros sur le menu. Pour rentrer en boîte, c'était pareil grâce au bracelet. Ça permet aussi de prévenir et d'organiser et déterminer les petits détails qui feront que la semaine est plus facile pour les étudiants sur place. Dans l'aspect organisationnel et dans l'aspect prise de responsabilité, je pense que ça sert beaucoup pour quelqu'un, lorsqu'on est aussi jeune, à 19, 20, 21 ans, d'avoir autant de responsabilités, de comprendre comment fonctionne l'organisation d'un séjour et d'être aussi attentionné et rigoureux dans l'organisation du séjour. qu'il y ait un minimum de problèmes, parce qu'il y a forcément des problèmes sur place, mais qu'il y ait un minimum de problèmes ou alors qu'ils soient gérés. Et après, personnellement, je dirais que ça m'a permis de m'améliorer sur ma rigueur, mon organisation et ma manière de travailler. Et puis après, dans ma fonction de trésorier au séminaire, ça m'a aussi permis d'ajouter une expérience dans mon CV et de la valoriser lorsque je participe à des entretiens d'embauche. C'est ce dans quoi je travaille actuellement, on va dire, à la trésorerie. C'est que du plus d'un aspect personnel.
On a vraiment déjà super hâte de passer cette semaine qui va être, je pense, exceptionnelle. On l'espère. On a tout fait pour. Donc on verra comment ça va se passer. C'est vraiment... C'est du stress, mais c'est du bon stress. Donc c'est super cool. Et je pense que si tout se passe bien, comme on a dit Julien pour lui il y a deux ans, et que tout se passe à merveille, je pense que pour nous aussi, on l'a préparé. J'ai beaucoup de posées questions aussi aux prédécesseurs pour savoir un peu comment ils ont fait pour qu'on s'aide. Donc, on s'est beaucoup aidé, Zoé aussi avec l'expérience qu'elle a eue. Donc, je pense que tout ça, tout combiné, c'est que du bon stress. C'est normal, on a la prévention. Mais je pense que Zoé va être d'accord avec moi sur le fait que ça va être une bonne semaine et puis on va kiffer.
Un petit conseil que je veux leur donner, c'est de ne pas se prendre non plus trop la tête parce que quoi qu'il arrive, ils seront accompagnés et qu'ils doivent aussi, eux, profiter de leur semaine. C'est important. L'organisation, c'est une part de l'aventure, mais eux aussi, se permettre de skier, de sortir, d'être avec leurs potes, c'est le plus important. Vous n'allez pas beaucoup dormir, mais ce n'est pas grave. Prenez des vitamines, prenez du café, ça va bien se passer. Au final, si tout est bien géré, vous aurez... la satisfaction des étudiants et leur remerciement. Et ça, il n'y a rien de plus gratifiant.
On se préparait à avoir la tête sous l'eau pendant toute la semaine. Et quand on rentre, on se soucie, on dit, ah ouais, en vrai, j'ai kiffé. Même si on a organisé, qu'il y a eu des soucis, des choses, c'était vraiment une super semaine. Et pourquoi pas la refaire, en fait ?
Description
Plongez au cœur de l’aventure Sémineige, un séjour unique qui réunit 300 étudiants pour une semaine intense mêlant ski, soirées festives et moments inoubliables. Entre défis organisationnels, anecdotes mémorables et ambiance électrique, vivez l'expérience où passion du sport et esprit de camaraderie s’entremêlent.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Transcription
Bonjour, je suis Zoé et je suis vice-présidente au Séminage 2024.
Bonjour, je suis Adrien et je suis président au Séminage 2024.
Bonjour, je suis Julien, ancien trésorier du Séminage 2022.
C'est une association qui organise un voyage au ski pendant à peu près une semaine, dix jours, pendant les vacances de février. Il y a à peu près en moyenne par an entre 300 et 400 personnes adhérentes à notre association. Du coup, ça fait à peu près, j'ai pu feuilleter, ça fait à peu près six ans que l'association existe. Donc là, aujourd'hui, on a pu avoir un ancien trésorier qui pourra nous dire aussi son expérience à lui. Mais en tout cas, pour nous, on va bientôt partir. Donc voilà, on va voir comment ça se passe.
C'est vraiment un kiff toute la semaine, donc tous les jours avec des activités qu'on organisera, des soirées, plein de choses. Ils pourront profiter aussi de ce qui est entre eux et aussi profiter de cette réunion entre étudiants afin d'approfondir leur amitié pour les années à venir. L'année dernière, j'étais au CEMI 2023 et j'ai eu la possibilité de staffer vraiment la même chose que l'on va faire cette année finalement. Et par exemple, Adrien, lui, il a participé en tant qu'étudiant. Donc vraiment, il a profité toute la semaine des activités qu'on proposait. Et là, maintenant, il fait vraiment partie du bureau. Donc il y a une évolution entre les deux.
Pour mon cas personnel, moi, l'année passée où j'étais étudiant pendant le séminaire, j'étais vice-président du BDE, donc Bureau des élèves. Et j'ai juste voulu changer. Moi, j'ai malheureusement redoublé la première année. Donc j'ai pu refaire une association. Et puis quand j'ai vu comment ça se passait au séminaire, j'ai l'organisation qui... qui avaient. Moi, j'adore le ski. Je pense qu'on a tous la même, en guillemets, passion, en tout cas le kiff. Et puis, du coup, je voulais essayer de voir avec des U1 aussi qui, du coup, reprenaient l'année d'après. On a pu en discuter et puis, on avait les mêmes objectifs, les mêmes envies. Donc, on s'est lancés ensemble. Ouais, on aime ça. Je pense qu'on y va tous depuis qu'on est petit. Donc là, c'est vraiment, on n'y va pas en tant qu'étudiant, on y va en tant qu'organisateur. C'est-à-dire qu'en même temps, on aime être au sport d'hiver et en même temps, on aime aussi organiser.
Oui, je pense que pour tous les membres qui participent à l'organisation du voyage, il y a une appétence pour le ski et pour les sports de glisse et qui aiment ça naturellement. Et en plus, lorsqu'un projet plaît et lorsque le sportif prend aussi le dessus, ça fait que les étudiants ressentent que tu aimes ce que tu es en train de faire et que tu donnes le maximum pour eux aussi leur faire plaisir lors de ce séjour.
Il y en a qui viennent vraiment juste pour faire la fête, d'autres viennent juste pour skier. Et il y a une partie aussi qui veut faire les deux, skier entre potes et profiter le soir avec tout le monde. C'est un peu à la bonne volonté de tout le monde, de ce qu'ils ont envie de faire chaque jour. On leur propose un programme, maintenant à eux de le suivre ou non, en fonction de leurs envies.
Il y a des amitiés qui se créent, mais en même temps des amitiés qui sont déjà présentes et qui sont renforcées par ce voyage au ski et par le fait de passer une semaine tous ensemble à profiter et à partager des moments. qui resteront toujours dans la tête des étudiants ?
Du coup, on commence par contacter un prestataire. Donc lui, il va nous aider, il nous accompagner tout au long du séjour jusqu'à la fin à organiser ce qui est réservation de logement. Il va nous proposer différentes stations, différentes résidences. Ensuite, on a vraiment monté le projet. On a monté une semaine type pour présenter ça devant le CEMI de l'année passée. On a essayé de trouver des partenariats. Vraiment, on a tout monté de A à Z. Et après, ça a été vraiment comme ce que parlait Adrien, c'était recruter les personnes, faire la com au maximum pour donner envie justement aux étudiants de venir pour pas qu'on se retrouve à finalement devoir annuler le voyage. Et vraiment, la semaine, c'est la conclusion de tout ce qu'on a fait. Et le meilleur cadeau à la fin, c'est de recevoir un merci des étudiants qui ont passé un super moment.
En 2022, lorsque nous, on a organisé le CIMNEJ, on a eu la chance d'avoir un bâtiment pour tous les élèves de l'EM. Donc, ça permettait d'être réunis tous au même endroit et de pouvoir partager des moments en communauté. Après, lorsqu'il y a 350 étudiants, c'est toujours difficile de réunir tout le monde. Donc... Et malheureusement, j'ai envie de dire, et c'est pour parler au nom de toute l'année de CEMENEJ 2022, c'était ce qui nous a manqué, c'était de créer une vraie unité entre les 350 personnes.
Cette année, nous, on a du coup tout un étage pour les étudiants. Donc c'est peut-être plus facile puisque nous, sur notre résidence, il y a quand même 10 étages. Donc on a eu la chance d'avoir tout un étage et un petit peu d'un étage juste au-dessus. Donc on pourra les réunir peut-être facilement et aussi à tout qui est en bas de la résidence, que ce soit... que ce soit les bars, que ce soit pour acheter de la nourriture, tout à fait la boîte de nuit. Donc ça peut être plutôt pas mal, je pense qu'on aura une facilité à pouvoir réunir les étudiants.
Nous, on s'était organisé pour avoir des roulements de personnel chaque jour. On était divisé en trois fois cinq. Ça faisait qu'il y avait toujours une équipe de cinq, que ce soit matinée, après-midi ou soir, qui avait free time. Et ça tournait tous les jours. Donc ça nous permettait de profiter en tant que personne pour ce qui est faire des activités et en même temps d'avoir la partie organisationnelle. Je dirais qu'en tant que participant, ce qui permettait de profiter et de décompresser et d'être avec tout le monde à la fin de la journée, c'est... les moments after-ski dans les bars sur les pistes, ça c'est tout le monde se retrouve, ça danse, ça chante, tout le monde est content et tout le monde se réunit dans un bar. Et ça permet de passer du temps avec tout le monde et faire de nouvelles rencontres aussi. Essayer d'élargir son cercle, parler à plus de personnes. Et en tant qu'organisateur, je dirais que sur place, c'est les différents événements qu'on réalise et qu'on met en place au dernier moment où l'organisation se joue sur la semaine, qui sont les plus challenging, les plus finissants. les plus intéressants. Nous, je sais qu'on avait fait des raclettes avec 100, 110 personnes qui participaient. Et ça, c'était des bons souvenirs aussi en tant qu'organisateur.
Quand on va expliquer quelque chose ou vouloir faire quelque chose, il faut qu'on le fasse. C'est-à-dire vraiment pour les étudiants, on sait que pour eux, ils vont payer une prestation de service qu'on va leur donner nous. Tout ce que nous, on leur dira qu'on va faire, il faut qu'on le fasse au mieux, il faut que ça soit réalisable, que ce soit possible et que ce ne soit pas utopique. Parce que sinon, pour eux, c'est... On peut comprendre que ça peut paraître un peu décevant. Donc c'est ça aussi, savoir s'évoluer par rapport aux années passées, réussir à trouver des choses que ceux de l'année dernière n'ont pas pu faire. Donc voilà, après ça, ça va aussi sur des négociations avec les prestataires. Ça aussi, c'est un élément assez important dans l'année. On a beaucoup négocié pour essayer d'avoir les meilleures choses possibles à bas prix, puisqu'on n'est pas un bureau au sein du campus UM Normandie. Donc on n'a pas d'argent donné directement par la Fédération des étudiants, qui est un peu, je dirais, la banque. des étudiants à l'UM Normandie. Donc, on a réussi aussi à négocier pour avoir des subventions de l'école. Enfin, il y a tout ça qui suit aussi comme cheminement. Donc, voilà. Mais pour en revenir au fait, c'est vrai que le plus important, je pense que c'est le plus sensible, c'est vraiment de faire ce qu'on dit.
Si on s'appuie sur cette année, on a eu 500 personnes qui ont participé au Shotgun. Et c'est du coup, premier arrivé, premier servi. En fonction, on fait une liste d'attente, donc ça va être vraiment si les gens annulent, est-ce que c'est pas possible de payer ou d'autres choses, on crée cette liste d'attente et ça remonte. Je pense que c'était la même chose en 2022 que vous avez fait. Donc oui, ça avance au fur et à mesure, c'est le shotgun.
L'étudiant, il part sur un pack de base. Après, il peut y avoir des options qu'il peut prendre. Donc c'est vraiment à lui de décider. On a laissé le choix aux étudiants de vouloir venir au ski sans forcément vouloir skier, parce que bien évidemment, sur le pack de base, il y a... Il y a aussi des coûts plus réduits pour les étudiants qui veulent venir sans skier. Donc déjà, on peut partir sur un pack de base sous ce trait sur un montant précis. Donc vraiment, on a essayé de tout faire. On a fait des coûts de marketing, etc. pour essayer de tout faire, pour faire venir les étudiants. Donc voilà, après, ils peuvent monter leur pack en fonction des options qu'ils prennent. Mais voilà, après, ce n'est pas non plus des options très élevées.
On va dire que le volume de personnes permet d'avoir des coûts assez bas. Ces dernières années, si on fait une moyenne, on va dire que c'est entre 600 et 800 euros pour transport, logement, forfait et location d'équipement de ski, compris. Et donc après, on va dire, on va rajouter 400 euros, j'allais dire, de dépenses là-bas, que ce soit en sortie, nourriture et encore, c'est large. Donc on va dire que c'est une semaine qui coûte... 1100, 1200 euros, on est plus large. Mais comparé aux tarifs classiques du ski, ça reste toujours avantageux. Ça permet aussi de s'adapter à un budget d'étudiants.
Cette semaine, la semaine prochaine, on organise... des Olympiades, par exemple, entre étudiants, ils vont gagner un cadeau à la fin. On aura la possibilité de faire un slalom, une descente au flambeau. On organise également avec des DJ de l'EM, un DJ set, où ils pourront du coup mixer eux-mêmes dans un bar d'altitude. Une descente de luge, une compétition de luge, ça c'est les principales activités qu'on propose. Après, il y aura des activités un peu moins organisées, et moins pas avoir besoin de réserver. ou juste se rassembler pour créer ces activités, mais c'est les principales que l'on a.
L'intérêt, c'est d'apporter une plus-value à ton séjour, et donc de proposer de nouvelles activités tous les ans, et aussi, ça permet de fédérer les étudiants, et de leur faire passer des moments tous ensemble, sans rester avec leur groupe de potes. Pour revenir à l'aspect financier, le but c'est qu'ils payent le package de base avec tout ce qui leur est nécessaire pour ce qui est pour aller à la station. Après, ils aient à payer leur course et leur sortie sur place, mais rien de plus. Toutes les activités, c'est censé être pris en charge et être programmé directement dans ce qu'ils payent. Comme ça, il n'y a rien à dépenser en plus. Je sais que nous, on avait fait une raclette, donc forcément on n'avait pas pu payer la raclette à tout le monde, mais on avait réussi à la descendre. 12 euros par personne pour Acclète à Volonté. Ça compte dans une dépense pour l'étudiant, mais en même temps, c'était un événement supplémentaire et qui ne pouvait pas se faire gratuitement. Mais donc, ce qui est descente au flambeau, luge, tout cela, c'est des événements qui sont intéressants à faire et qui sont gratuits pour l'étudiant. Donc, ça nous permet d'être encore plus convaincus par le séjour et se sentir intégrés par les organisateurs dans plein de compétitions et d'événements. En termes de choses qui sont les plus importantes et choses que souvent on peut négliger à notre âge lorsqu'on organise un voyage aussi important, c'est l'importance des assurances et de la bonne gestion budgétaire. Parce qu'on ne s'en rend pas compte et les étudiants ne sont peut-être pas forcément avertis directement, mais c'est ce qui permet... En cas de n'importe quel débordement, n'importe quel souci avec un quart, avec des affaires perdues, avec des blessures, ça permet de rester protégé et d'être pas inquiété légalement. Et après sinon c'est la gestion budgétaire. Parce que si... Comme le CEMINEJ c'est une association autofinancée, tout l'argent récolté c'est uniquement des partenariats, sources d'argent extérieur ou vente des places. Et à ce moment-là, si les calculs ne sont pas bons et les comptes ne sont pas bons, là, on peut avoir de réels soucis au niveau organisationnel.
L'année passée, moi, en tout cas, de ce que je sais, c'est qu'il y a eu un petit trou dans la caisse. Ils ont dû forcément aller voir la fédération qui ont pu les aider et leur avancer, donc leur faire un prêt, qu'on doit du coup rembourser sur trois ans, donc nous et les prochains séminaires aussi. Donc du coup, si jamais il y a un trou, je pense que la fédération, comme on avait dit tout à l'heure, pourront forcément venir nous aider, mais avec des donants en donnant. Donc forcément, on va devoir rembourser. Donc ceux de l'année dernière ont dû, si je ne dis pas de bêtises, OEM reprendra, mais ont dû tous payer quelque chose pour essayer de redonner à l'OM Normandie un petit peu. Donc je ne sais plus c'est quoi le montant exact, donc je n'ai pas envie de dire de bêtises. Mais en tout cas, je pense que la fédération sera là pour aider. Maintenant, ce n'est pas le but. Comme l'a dit Julien, on est un autofinancement, donc nous on aimerait rester comme ça et pas avoir besoin de l'aide extérieure, sauf en cas de critique comme ça. Alors tout se joue beaucoup sur déjà la communication, donc donner envie aux étudiants avec un bon plan de communication pour les prévenir de ce qu'ils vont avoir, ce qu'ils pourront avoir durant cette semaine. Donc ça c'est surtout à organiser en amont pour vraiment qu'ils soient sûrs parce qu'on sait que même si on a l'EM Normandie, c'est quand même un budget, c'est un montant, qu'il faut qu'ils voient avec surtout le trois quart des étudiants, voire 90% des étudiants avec leurs parents. Donc c'est sûr qu'il faut que ça leur donne envie, il faut que... Si le fait qu'ils aillent voir leurs parents, c'est pas pour rien quoi. Donc vraiment, nous, on joue là-dessus. Et puis aussi, ce qui est bien, c'est que durant l'année, il y a des petits stands où on a pu nous présenter. On a pu passer devant les étudiants aussi pour nous présenter, voir un peu ce qu'on propose. Puis il y a eu les recrutements, comme on avait dit avec Zoé tout à l'heure, qui a pu aussi montrer aux étudiants. Et puis il y a eu pas mal de bouche-oreille. Ça, c'est une certitude, puisque les U1 viennent de rentrer au sein du campus. Donc pour eux, tout ce qui est un peu les organisations d'associations, ils sont tous un peu... un peu, si je puis dire, en furie. Donc, on joue surtout pour tous ces aspects-là. Honnêtement, déjà, on était très stressés parce que c'était la première, on va dire, étape, grosse étape pour voir qui vraiment allait être intéressé puisqu'avant, on n'avait pas vraiment de retour des étudiants à part quelques mots de par-ci, par-là. Enfin, voilà, c'est un peu des choses pas concrètes. Donc, là, on a pu voir que quand on avait à peu près, tout en restant modeste, bien entendu, mais deux, trois personnes par seconde qui... qui défilait sur notre page Excel. C'était quelque chose qui était... On a tous bien vécu ça, on était tous super heureux. Et puis, c'était vraiment la première chose qui nous a soudés entre nous. C'était, comme je l'ai dit, la première expérience. Et puis là, directement, quand on a vu qu'on avait sold out dès les premières 30 minutes, une heure. Excuse-moi, je suis un peu trop modeste. Voilà, deux minutes. Mais du coup, c'était un moment qui était plus que fort, inoubliable. Donc déjà c'est nous et nous trois qui faisons le planning, ensuite on va le transférer du coup aux autres membres du staff. On n'est pas non plus une dictature c'est-à-dire que si jamais, pendant qu'on balance le planning, il y a des personnes qui auraient voulu avoir leur free time à ce moment-là pour x ou y raisons, ou ne pas vouloir être avec telle personne, parce que c'est sûr que pendant une année entière, il y a eu beaucoup de complicité, mais beaucoup d'engueulades aussi, ça c'est sûr. Donc il n'y a pas forcément des gens qui s'aiment, mais bon, ils savent dissocier le pro et le perso. Donc pas tous, mais en tout cas le trois-quarts. On leur laisse aussi un peu la... les choix pour savoir un peu que ça se passe le mieux possible. Voilà, très clairement, et qu'on évite tout engueulade, surtout au niveau du staff, parce que c'est un peu nous qui représentons tous les étudiants.
Pour compléter ce qu'a dit Adrien, par exemple, on va leur demander sur des activités assez grosses. Typiquement, là, on organise un slalom. On a demandé aux gens de l'équipe, si vous voulez, participer à slalom en tant que personne qui peut recevoir un prix à la fin. On a deux participants sur 17 de l'équipe qui veulent participer à celui-là. Donc forcément, on ne va pas les faire staffer à ce moment-là pile ou on va organiser une descente au flambeau aussi dans l'idéal. Et là, on demandera également qui veut participer à quoi pour que nous aussi, d'un côté, on profite et on puisse s'organiser chacun pour que personne ne soit frustré de ne pas avoir fait ce qu'il voulait pendant la semaine. Nous,
la chance qu'on avait, c'était... Avant le séminaire et avant même la création, c'était une bande de copains et qui deux trois personnes se sont greffés, dont moi, et donc ça permettait déjà de partir sur des bases solides et puis après il y a chacun qui aussi est assez intelligent pour faire des concessions et pour au milieu de la semaine dire cette personne avait envie de faire ça, c'est au dernier moment, ce n'était pas prévu, on échange de rôle. Après bien évidemment que à l'avance il faut définir des moments où telle personne, tel groupe s'occupe de tel événement ou de la gestion des étudiants parce que sinon c'est impossible et tout le monde va vouloir faire ce qu'il a veut et ce qu'il a envie de faire sur le moment et ça va tout bouleverser dans l'organisation de la semaine on avait aussi envie de profiter avec nos amis mais en même temps de voir les autres profiter par tout ce qu'on a fait et travaillé pour tout au long de l'année, c'est une réussite absolue Et puis quand après la semaine, on vient te remercier et te dire c'était génial, là ça fait chaud au cœur et c'est aussi un accomplissement personnel.
Je pense qu'il y a certains étudiants qui ne se rendent pas compte du travail et du temps qu'on a mis dans le projet. Et que sur place, ils peuvent nous considérer comme des personnes vraiment à leur service. Et ils ne se rendent pas compte que nous, ça nous affecte le fait que ça ne plaise pas aux étudiants, qu'ils ne considèrent pas vraiment le travail derrière. alors qu'on a vraiment investi un sacré temps et une sacrée envie derrière pour faire kiffer vraiment tout le monde au maximum. Là, c'est un peu le rush vu qu'on part en fin de semaine. Il faut vraiment gérer les derniers plannings de staff. Ça va être comment répartir, qui travaille, à quel moment dans la semaine. On doit acheter les derniers goodies ou les dernières choses pour leur faire des surprises sur place. Et on doit s'organiser, nous, après, par exemple, pour les cars, ce qu'on doit ramener. l'organisation de qui sera dans quel quart, de quel élève sera avec quel élève, tous les roomings des chambres, car c'est tout vraiment les éléments importants qui permettent que le voyage se passe bien ou en tout cas commence bien au début de la semaine. Là, c'est un peu le rush vu qu'on part en fin de semaine. Il faut vraiment gérer les derniers plannings de staff. Ça va être comment répartir, qui travaille, à quel moment dans la semaine. On doit acheter les derniers goodies ou les dernières choses pour leur faire des surprises sur place. Et on doit s'organiser, nous, après, par exemple, pour les cars, ce qu'on doit ramener, l'organisation de qui sera dans quel car, de quel élève sera avec quel élève, tous les roomings des chambres, roomings, car c'est tout vraiment les éléments importants qui permettent que le voyage se passe bien ou en tout cas commence bien au début de la semaine. Le prestataire, justement, ce n'est pas la première fois qu'il accueille autant d'étudiants. Par exemple, on a fait un week-end de repérage début janvier et c'était des Hollandais dans la résidence. Donc, c'était un sacré bazar. Donc, je pense qu'ils sont assez habitués à ce qu'il y ait tant d'étudiants dans la station et dans la résidence pour mettre l'animation.
Puis souvent, les stations de ce qui est choisi, Ce sont quand même assez des stations festives ou des stations où se rendent souvent beaucoup d'étudiants. Ce qui fait qu'on s'éloigne du côté un peu familial du ski. Il n'y a pas de surprise quand il y a autant d'étudiants sur les pistes ou dans les commerces.
On n'a par exemple pas accès à certaines stations. Les arcs, par exemple, on n'aura pas accès pendant les vacances scolaires. Mais uniquement si on est hors vacances scolaires, là, ça peut marcher. Mais il y a plusieurs stations qui privilégient le côté familial. où ce sera impossible d'organiser quelque chose avec 300 étudiants.
Bien sûr, on aura des brassards, donc des brassards staff et des brassards aussi VSS, donc pour s'il y a d'éventuels dangers ou problèmes durant la semaine, pour qu'on puisse se dissocier. Puis on aura des mégaphones aussi. Alors le week-end de repérage, ça consistait du coup d'aller voir... parce que du coup, nous, on est en contact avec un prestataire, mais le prestataire est en contact lui-même avec une autre organisation qui, eux, sont sur place directement. Donc, nous, on va les voir. On se présente tout d'abord. Ils nous présentent la station. Là, on va pouvoir se loger, etc. Donc, on va créer du coup les chambres pour les étudiants. Déjà, nous, on a un premier coup d'œil. Ça, c'est plutôt cool. Puis ensuite, directement, on profite. On peut skier un petit peu pour profiter quand même. On a fait le voyage aussi pour ça. Donc, c'était plutôt, c'est plutôt, voilà, pour tout organiser. tout bien faire en amont, vraiment, et être sûr de ne pas faire ça à l'arrache, vraiment, aux deux dernières semaines, trois dernières semaines. On a vraiment fait ça un mois et demi avant, et puis comme ça, au moins, on sait qu'on peut souffler sur pas mal de choses qu'on a déjà faites, et puis on peut s'occuper de ces dernières petites choses, donc que ce soit au niveau logistique, le transport, les goodies, comme à Dizowez, le truc qui manquait encore cette semaine, parce que sinon, on serait plus... Si on perd du temps, en fait, on peut oublier très vite quelque chose, et puis c'est vraiment pas le but.
C'est vraiment le premier contact avec... tout le staff et toute l'équipe qui aura sur place, avec qui on va vraiment partager toute la semaine avec eux. S'il y a un problème, on les appelle. Ils pourront nous aider, nous accompagner vraiment dans toute la semaine en plus de nous. Et ça permet aussi de découvrir un peu les pistes, voir en fait prendre nos marques, pour que sur place, on ne soit pas complètement en train de découvrir et se retrouver un peu perdu avec l'organisation, les pistes, les établissements qu'il y a là-bas. Donc vraiment qu'on puisse avoir le premier coup d'œil et après ne pas arriver en tant que touriste, entre guillemets. là-bas.
Moi, pour faire simple, je dirais aussi que le week-end de repérage pour l'équipe organisatrice permet d'avoir déjà des marques là-bas et de connaître les différents commerçants ou gérants de bars, de boîtes, etc. Parce que ça permet déjà de créer un premier lien, prévenir quand seront les 300 et quelques élèves. Et en plus, ça permet de négocier des partenariats aussi sur place. Nous, on avait fait un système de bracelet qui, lorsque le bracelet a été montré, il y avait Sur un restaurant d'altitude, il y avait moins de 2 euros sur le menu. Pour rentrer en boîte, c'était pareil grâce au bracelet. Ça permet aussi de prévenir et d'organiser et déterminer les petits détails qui feront que la semaine est plus facile pour les étudiants sur place. Dans l'aspect organisationnel et dans l'aspect prise de responsabilité, je pense que ça sert beaucoup pour quelqu'un, lorsqu'on est aussi jeune, à 19, 20, 21 ans, d'avoir autant de responsabilités, de comprendre comment fonctionne l'organisation d'un séjour et d'être aussi attentionné et rigoureux dans l'organisation du séjour. qu'il y ait un minimum de problèmes, parce qu'il y a forcément des problèmes sur place, mais qu'il y ait un minimum de problèmes ou alors qu'ils soient gérés. Et après, personnellement, je dirais que ça m'a permis de m'améliorer sur ma rigueur, mon organisation et ma manière de travailler. Et puis après, dans ma fonction de trésorier au séminaire, ça m'a aussi permis d'ajouter une expérience dans mon CV et de la valoriser lorsque je participe à des entretiens d'embauche. C'est ce dans quoi je travaille actuellement, on va dire, à la trésorerie. C'est que du plus d'un aspect personnel.
On a vraiment déjà super hâte de passer cette semaine qui va être, je pense, exceptionnelle. On l'espère. On a tout fait pour. Donc on verra comment ça va se passer. C'est vraiment... C'est du stress, mais c'est du bon stress. Donc c'est super cool. Et je pense que si tout se passe bien, comme on a dit Julien pour lui il y a deux ans, et que tout se passe à merveille, je pense que pour nous aussi, on l'a préparé. J'ai beaucoup de posées questions aussi aux prédécesseurs pour savoir un peu comment ils ont fait pour qu'on s'aide. Donc, on s'est beaucoup aidé, Zoé aussi avec l'expérience qu'elle a eue. Donc, je pense que tout ça, tout combiné, c'est que du bon stress. C'est normal, on a la prévention. Mais je pense que Zoé va être d'accord avec moi sur le fait que ça va être une bonne semaine et puis on va kiffer.
Un petit conseil que je veux leur donner, c'est de ne pas se prendre non plus trop la tête parce que quoi qu'il arrive, ils seront accompagnés et qu'ils doivent aussi, eux, profiter de leur semaine. C'est important. L'organisation, c'est une part de l'aventure, mais eux aussi, se permettre de skier, de sortir, d'être avec leurs potes, c'est le plus important. Vous n'allez pas beaucoup dormir, mais ce n'est pas grave. Prenez des vitamines, prenez du café, ça va bien se passer. Au final, si tout est bien géré, vous aurez... la satisfaction des étudiants et leur remerciement. Et ça, il n'y a rien de plus gratifiant.
On se préparait à avoir la tête sous l'eau pendant toute la semaine. Et quand on rentre, on se soucie, on dit, ah ouais, en vrai, j'ai kiffé. Même si on a organisé, qu'il y a eu des soucis, des choses, c'était vraiment une super semaine. Et pourquoi pas la refaire, en fait ?
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