- Speaker #0
Bonjour à toutes et tous,
- Speaker #1
c'est Céline, kinésithérapeute près de Lille. Bienvenue dans ce premier épisode de Kinecast de la FEDE, la communauté dynamique et innovante des kinésithérapeutes. Chaque semaine, vous découvrirez les témoignages, les conseils et les astuces de kinés passionnés et engagés sur des sujets qui vous interpellent dans votre pratique et aussi sur l'actualité. Ensemble et avec la FEDE, bougeons les lignes de la kinésithérapie. Bonne écoute !
- Speaker #2
Bonjour Céline, comment ça va ?
- Speaker #0
Bonjour Thomas, ça va super et toi ?
- Speaker #2
Ça va très bien, je suis ravi d'être présent pour ce premier podcast de la FFMKR, on va découvrir des choses.
- Speaker #0
On va se lancer dans ce format.
- Speaker #2
Exactement, c'est le grand plongeon pour nous, c'est le grand plongeon pour vous aussi peut-être qui nous écoutez, on va voir ce que ça donne. En tout cas, on est fier de lancer ce podcast et de vous faire découvrir des choses.
- Speaker #0
C'est... Vraiment dans un objectif de vous informer, de vous apporter une communication éclairée. On a envie aussi que ce soit dynamique. N'hésitez pas à nous faire de retour aussi sur les épisodes, à nous proposer des choses, des invités que vous souhaiteriez que l'on interview. Voilà, on a vraiment envie que ce soit pour vous.
- Speaker #2
Exactement, ce podcast, on a décidé de se lancer dedans pour... vraiment un échange avec vous. Alors évidemment, c'est enregistré, donc c'est difficile d'échanger en direct, mais avec le temps, avec vos commentaires, avec vos directions que vous allez nous donner, on pourra faire un podcast qui vous ressemble de plus en plus. Et ça, c'est vraiment l'idée qu'on a. On va en profiter aujourd'hui de ce premier podcast pour échanger nos rôles, puisque aujourd'hui, je ne suis pas l'invité et je vais interviewer Céline, qui va animer ce podcast pour vous par la suite. Et comme ça, vous allez apprendre à la connaître et on va vous présenter aussi ce podcast, un peu plus les contours de ce qui va être, ce qui deviendra. Alors Céline, comment ça va ? présentes-toi un petit peu.
- Speaker #0
Alors donc, moi c'est Céline, je suis kinésithérapeute depuis 2002. J'exerce dans les Hauts-de-France, tout là-haut, près de Lille. Donc ça fait bientôt 22 ans, même passé, les années passent vite. J'ai travaillé exclusivement en libéral. C'est seulement le deuxième cabinet auquel j'exerce et que je travaille. J'ai changé de cabinet, pas parce que je n'entendais pas, mais c'était plutôt... Une envie de me rapprocher de mon lieu d'habitation, perdre un peu moins de temps dans les bouchons de l'agglomération lilloise. Donc voilà, ça fait maintenant depuis 2014 que j'y suis.
- Speaker #2
Tu t'es formée sur lille ?
- Speaker #0
Alors non, je suis allée en Belgique. Je suis une expatriee, voilà. Et oui, je fais partie de cette congrégation de kinés formés en Belgique. Je suis originaire de la métropole lilloise. Alors pourquoi le choix de la Belgique ? Parce que je n'ai pas réussi les concours en France, pour être claire. Ah oui, voilà. Mais j'ai fait mes études en Belgique à Charleroi, mais il y avait quand même un concours, donc j'ai quand même réussi un examen pour rentrer dans cette école.
- Speaker #2
Alors moi, je suis formé à Lille, j'ai fait l'école Nord de France à Lille en 2011. Et quand on croisait des étudiants belges qui venaient en stage en France, France, etc., sur les livres de stage, et souvent c'était quand même, c'était pas les plus mauvais. Le niveau des écoles de Belgique n'a pas à rougir avec ceux de la France. Alors peut-être qu'on rate le concours pour rentrer dans l'école en France, mais quand on arrive à celui en Belgique, on n'a pas à rougir.
- Speaker #0
On a certains bagages aussi. Et d'ailleurs, moi j'ai fait partie de la première promotion, donc j'ai débuté mes études de kiné en 98. Donc de la première promotion qui est passée à 4 ans. J'ai été diplômée... en 2002, donc. Tu vois, en Belgique, c'était déjà le cas depuis plusieurs années.
- Speaker #2
Finalement, nous, on n'était que à trois ans, et toi, tu as eu plus d'expérience avant nous. Et donc, tu as travaillé sur Lille au départ, c'est ça ?
- Speaker #0
Oui, j'étais juste à côté de Lille, proximité à l'époque de chez mes parents, de papa, maman, évidemment. Et maintenant,
- Speaker #2
tu exerces où, déjà, tu m'as dit ?
- Speaker #0
Alors, je suis exactement à la Gorgue. Donc plutôt secteur Armentièrois, on est à 25 minutes de Lille. C'est assez proche, mais c'est 25 minutes quand tout va bien, quand il n'y a pas de bouchon.
- Speaker #2
Et aujourd'hui, tu as une pratique spécifique, tu as des préférences dans tes prises en charge ou tu es plutôt une pratique généraliste ?
- Speaker #0
Alors, assez généraliste. Je n'ai jamais souhaité les formations que j'ai pu réaliser tout au long de mon parcours me spécifier dans un domaine. J'ai commencé par une formation en pelvie-périnéologie. J'aime beaucoup la course à pied. J'ai pas mal fait de formations sur ces thèmes-là. Sur les épaules, c'est une articulation que j'aime beaucoup, qui paraît au départ un peu complexe. Et puis, c'est justement peut-être parce que c'est complexe que j'aime ça.
- Speaker #2
Quand tu dis que tu aimes bien la course à pied, on peut même aller plus loin. C'est quand même, tu as couru le marathon pour tous pendant la période des JO. On peut dire que c'est une pratique, moi à mon niveau, qui n'aime pas courir. Je dois dire que ça m'impressionne, les gens qui courent des marathons de façon régulière comme ça. Donc, c'est plus qu'un hobby là maintenant.
- Speaker #0
Oui, c'est aussi une passion, c'est vrai. C'est vrai que j'ai débuté, c'était aussi une façon au départ d'évacuer, de retrouver un petit peu la forme, de se dire voilà j'ai deux enfants, après mes maternités de se dire allez il faut que je reprenne un petit peu de sport, j'ai débuté la course à pied, les baskets.
- Speaker #2
Moi ça m'impressionne toujours, courir 40 kilomètres pendant 2-3 heures, je ne saurais pas le faire, alors félicitations. Merci. Et du coup, puisque tu es... tu seras derrière le micro de Kinecast. Est-ce que c'est quand tu cours que tu es une grande consommatrice de podcasts ?
- Speaker #0
Alors, pas du tout. Je suis une boulimique de podcasts, c'est vrai. Mais alors, quand je cours, je... Je suis seule. Mais dans la nature, au contraire. Par contre, je cogite beaucoup en courant. J'ai plein d'idées qui me viennent de projets, d'idées que je note après en rentrant d'avoir couru.
- Speaker #2
Et j'écoute pas de podcasts. Donc les deux trois heures où tu es seul à courir ton marathon, pas de podcast et quoi ? Un peu de musique ? Pas du tout. Rien ? Non. D'accord.
- Speaker #0
Moi avec moi-même.
- Speaker #2
C'est la période où tu fais le vide. D'accord. parce que je compare à moi. Moi je cours très peu mais quand je cours il me faut de la musique ou il me faut quelque chose sinon ça n'arrive pas. Alors tu m'impressionnes encore plus là. Félicitations.
- Speaker #0
C'est parce que je recherche en tout cas en cours. Peut-être que ça m'éviterait justement de réfléchir, donc c'est peut-être pour ça.
- Speaker #2
Et du coup, tu consommes quoi comme podcast ? Qu'est-ce qui te plaît comme type de podcast principalement ?
- Speaker #0
Alors, d'abord sur les contenus, de tout. Comme je te disais, je suis boulimique de podcast, donc que ce soit des contenus scientifiques, que ce soit sur l'histoire par exemple, l'actualité, le sport un peu, l'entrepreneuriat aussi. J'aime beaucoup. tout format. Alors, je préfère plutôt les formats longs, malgré tout. Je trouve que les formats, c'est intéressant entre deux domiciles qui sont assez proches, mais je préfère pour approfondir les sujets, en fait, les formats plutôt longs.
- Speaker #2
Et du coup, tu arrives à les écouter d'une traite ? Tu arrives à trouver un temps ?
- Speaker #0
Non, ça, je n'y arrive pas, par contre. En fait. Sur mon peu de temps de trajet, j'en ai quand même des formats longs, mais voilà. Quand je suis chez moi, le ménage, des choses comme ça,
- Speaker #2
les podcasts. Et ce qui est intéressant dans le podcast, c'est soit on les écoute dans les écouteurs, soit on les écoute via les enceintes. Tu les partages un peu avec ton entourage, tes podcasts ?
- Speaker #0
Oui, c'est vrai que parfois, oui, quand on cuisine, par exemple, quand c'est à la maison, oui, c'est vrai que ça les saoule peut-être, mais bon. Eux aussi, mes enfants sont aussi sur leurs écrans avec leurs écouteurs, donc finalement, je crois que c'est peut-être pour se protéger aussi.
- Speaker #2
Et à quel âge tes enfants en ont-ils ?
- Speaker #0
Alors, j'ai ma fille qui aura bientôt 15 ans le mois prochain et mon fils qui a 12 ans.
- Speaker #2
Alors, cette idée de podcast qui est née pour la FFMKR et que tu as accepté d'animer, elle est née du groupe de travail de la communication. Là, on a l'FFMKR et donc... Plusieurs personnes composent ce groupe, on va vous le décrire un petit peu. Donc il y a Céline qui nous a rejoint il n'y a pas longtemps. Ce groupe de travail, c'est lors d'un congrès où les départements ont demandé à ce que la partie Com appuie un peu plus. On a fait un appel à projet. Et donc au départ, il y avait moi qui menais le groupe de travail. Il y a Eva Settembre qui fait partie de ce groupe de travail qui vient de l'Hérault de Montpellier. Il y avait Stéphane Galinier qui vient du 66, pyrénées orientale. Nous avons rejoint plus récemment Fabien Lalot du 91, du 92. Faire taper sur les doigts parce que je crois... Région parisienne. Ouais, région parisienne. Mais il me semble que c'est 92. Il me reprendra si je commets une erreur. Et donc, toi Céline, qui nous a rejoints depuis une année.
- Speaker #0
Et Adriana.
- Speaker #2
Et Adriana, voilà, exactement, qui nous a rejoints encore plus récemment. Ouais. Qui vient de l'Eure... De l'orne, pardon, 61. Orne. Et qui nous a rejoints plus récemment. Alors chacun a un peu sa spécialité. Il y en a qui aiment bien les visuels, d'autres qui aiment bien les podcasts, les contenus. On est assez complémentaires au sein de ce groupe de travail, assez dynamiste, qui est plutôt intéressant. Et donc ça, c'est plutôt sympa. Et donc, c'est parmi les cadres syndicaux de la FFMKR, parmi les adhérents de la FFMKR qu'on est piochés. Et d'ailleurs, toi Céline, finalement, tu es à la FFMKR depuis assez récemment.
- Speaker #0
Très récemment, je suis toute jeune en fait finalement. Malgré mes rides, oui, j'y suis depuis en fait fin d'année dernière, fin 2023.
- Speaker #2
Et qu'est-ce qui t'a poussé, parce que j'imagine que tu t'intéressais un petit peu, peut-être un peu de loin, à la représentation on va dire, et qu'est-ce qui t'a poussé à aller plus loin en fin d'année dernière finalement, à passer le pas du syndicat, à t'engager, puisque si je ne me trompe pas tu es secrétaire de la FEDE 59 ?
- Speaker #0
Oui,
- Speaker #2
tout à fait. Il y a eu un élément déclencheur qui t'a laissé un peu aller plus en avant ?
- Speaker #0
Alors oui, il y a eu cette période avenant 7, que tous les kinésithérapeutes ont vécu différemment parfois. J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de mésinformations, d'un manque d'informations durant cette période-là. Peut-être trop parfois aussi, et parfois souvent des difficultés de faire le tri. On n'allait jamais en profondeur des sujets. Chacun défendait son petit bout de gras. Et finalement, cette période nous a plutôt divisés malheureusement, plutôt qu'essayer de nous souder. Et ça, j'ai trouvé ça tellement dommage. Justement, on aurait dû faire encore durant cette période-là. Et je trouve que ce manque d'informations a été parmi l'origine de... de cette période en fait.
- Speaker #2
Oui, je comprends ce que tu veux dire. Pour avoir vécu, moi qui suis en charge de la vie conventionnelle à la FFMKR et aussi un peu en charge de la communication, j'ai un peu cette double casquette. C'est vrai qu'il y a un équilibre qui est délicat à trouver, on a de l'information à donner, de l'information très factuelle sur ce qu'il y a dans les avenants, comment ça se passe, etc. qu'on doit transmettre au kiné et dans cette information il y a quand même des choses qui sont très techniques, très compliquées à expliquer et malheureusement les réseaux sociaux, puisque moi je m'occupe principalement des réseaux sociaux, c'est souvent des formats très courts, des infographies, des vidéos courtes, etc. Et c'est un peu frustrant parce qu'à la fois on a envie de donner une information et on a l'impression qu'on n'arrive pas à donner tout ce qu'il faut. D'où l'intérêt du podcast, c'est-à-dire qu'il y a un moment où on a besoin d'aller en profondeur des sujets et d'essayer d'expliquer ça de façon assez simple. Et il faut un temps plus long, je te rejoins là-dessus, et tout ça c'est complémentaire au final. Et c'est vrai qu'après, clairement, il y avait une sorte de guerre de communication, guerre gentille, mais de combat on va dire. de qui communique le mieux, qui donnera la bonne information à qui. Et nous, on s'est toujours attachés à vérifier tout ce qu'on dit, pas qu'on mette d'erreur parce que c'est... Après, une fois que l'erreur, elle est commise et propagée, comment corriger une erreur, c'est hyper compliqué. Donc, voilà. Et donc, toi, quand tu nous as rejoints dans le groupe de travail, le podcast, c'était une idée qu'on avait... Vaguement, depuis quelques temps déjà. Et je t'en avais parlé au moment de ta candidature. Oui, c'est ça.
- Speaker #0
Quand je t'envoyais le mail, alors, je pense que je t'en avais parlé à l'époque.
- Speaker #2
Exactement. Et c'est vrai que c'était intéressant. En fait, on se rejoignait. Donc, il y a Céline qui rejoint le groupe de travail. Ça va faire quoi ? Un an quasiment, maintenant ? Non, un peu moins, un an.
- Speaker #0
Un an.
- Speaker #2
Oui, ça devait être ce janvier, février. Oui,
- Speaker #0
au printemps.
- Speaker #2
Céline qui nous rejoint, qui parle podcast, nous on avait déjà cette idée. On a aussi notre délégué général qui est juriste de formation et qui à un moment dans l'échange nous dit... Il manque un format long, des podcasts ça pourrait être pas mal. En fait il y a une conjonction d'idées et de bonnes volontés qui ont fait qu'on est là aujourd'hui pour ce podcast et j'espère qu'il va aboutir et qu'il vous plaira. Toi Céline, dans ton idée, comment tu vois ce podcast FFMKR ? Qu'est-ce que tu aurais envie d'y mettre et d'y apporter ?
- Speaker #0
Il y a le fond et la forme. C'est-à-dire qu'il y a le contenu des sujets, l'actualité, et aussi tout le travail qui peut être fait en amont de la FFMKR. Et je pense que ce côté du miroir, on ne le connaît pas du tout. Le travail qui est fait en background, il y a cette partie émergée de l'iceberg et la partie immergée qu'on ne voit pas du tout. Je voudrais vraiment mettre ça en avant, en fait, montrer le travail qui est fait par toutes les équipes de la FEDE, que ce soit bien sûr au niveau local d'abord, par les adhérents, par leur présence, leurs adhésions, leur soutien, les idées qu'ils peuvent apporter au niveau du syndicat départemental, du conseil d'administration, le bureau. Et puis tout le travail qui est fait, bien sûr, sur le plan national aussi, mais montrer déjà que ça part de la base, que ça part décliné. Et puis voilà, c'est vraiment quelque chose de très ascendant.
- Speaker #2
C'est vrai que la FFMKR a ces structures qui partent de la base, les adhérents avec les syndicats départementaux, qui ensuite font remonter au national, à la structure nationale. C'est vrai que... Montrer d'où viennent les décisions, qui les prend et comment elles sont prises, je pense que c'est important. Parce qu'on a besoin de transparence aujourd'hui dans notre société en général et dans les structures qui vous représentent. Et je suis content que tu participes et qu'on participe à ça. On puisse montrer en effet toutes les coulisses. Les décisions sont prises via les départements, elles sont portées en congrès. Tu as vécu ton premier congrès cette année, en juin. Je me souviens très bien de ta première réaction en disant on ne se rend pas compte de tout ce qui est discuté, les échanges qu'il y a. Le faire savoir est compliqué et c'est vraiment un objectif d'arriver à faire savoir.
- Speaker #0
Pour revenir à cette période d'avenant 7, C'était ça, je me suis aussi syndiquée, c'était pour ça, pour comprendre en fait ce qui se passait derrière, entre guillemets se tramer, c'est pas vraiment le terme, c'est pas très adéquat, mais tout ce qui se passait derrière. Voilà, ça reste, c'est aucun survol et en fait on ne se rend pas compte de l'expertise qu'il peut y avoir derrière tout ça. Il y a un pôle très différent en fait, avec des personnes très compétentes dans chaque domaine. Ça, je l'ai énormément vu au sein du Congrès aussi. Ça s'est complètement reflété. Alors que ce soit de clé, mais aussi du monde politique, les institutions. On a eu un athlète aussi qui a fait une intervention très intéressante aussi. Donc, c'est vrai que cet enrichissement pluridisciplinaire est très présent au sein de la FEDE. Je pense que ça, c'est un des... des axes forts aussi.
- Speaker #2
Je pense que c'est aussi un des objectifs du podcast, c'est-à-dire montrer la diversité qu'on peut avoir au sein de notre profession. Déjà, on a tous des compétences un peu variées, mais aussi au sein de la FFMKR, parce que forcément, en face de nous, on a des interlocuteurs qui sont très spécialisés et très compétents. Et nous, on se doit, pour vous représenter correctement, d'être spécialisés chacun dans son domaine. Et donc, c'est important aussi de vous montrer les différentes personnes, leur parcours, comment ils en sont venus à s'indiquer, etc. et comment ils en sont venus à se spécialiser dans les contentieux, un autre dans l'exercice, dans la prévention, etc. Et vous montrer ça, je pense que c'est bien pour... et un peu comment le système fonctionne et comment on peut arriver à ce que les kinés tirent leur épingle du jeu dans tout ça. Ça c'est important. Et j'aime bien un peu... Moi, quand je suis devenu... parce que je suis devenu président, je suis président départemental de mon département de l'Aisne. Et quand j'ai commencé, j'ai dit, moi, je vais mettre un grand coup de pied dans la fourmilière de tout ça. Ces vieux croutons qui prennent des décisions sans nous, etc. Et je me souviens très bien de ma première réunion de président, du coup, qui était à Paris. Et je me suis fait tout petit parce que je me suis rendu compte qu'en fait c'était tous des gens, enfin une très grande partie des gens, très motivés, engagés pour la profession et qui étaient beaucoup plus compétents que moi. Et donc ça permet de remettre un peu les choses en perspective. On a des images et c'est bien de les casser aussi. Et que, en fait, si on ne montre pas, si on n'explique pas les choses, vous ne pouvez pas vous faire votre propre opinion sur des faits, elles en fait. Et ça, je pense que c'est important. C'est important. Aujourd'hui, c'est... C'est plus important que de bien montrer le décor et l'envers du décor. Comme ça, vous faites votre idée, vous prenez vos décisions. Et je pense que plus on sera de syndiqués, plus on sera d'adhérents, et mieux ce sera pour tout le monde. Et si on veut que les gens adhèrent à nos démarches, il faut montrer ce qu'on fait, tout simplement.
- Speaker #0
Donc, pas hésiter à y participer, justement. à toutes ces démarches et c'est vraiment pour ça qu'on a voulu ce podcast pour vous expliquer tous ces principes, tous ces fondements sur lesquels repose la FEDE. Je pense que l'outil du podcast va vraiment pouvoir nous appuyer.
- Speaker #2
Exactement. Franchement, j'espère que et puis comme on vous a dit, le podcast a vocation à évoluer selon ce que vous avez envie d'entendre, ce que vous avez envie de découvrir et... Faites-nous vos retours, faites-nous vos commentaires pour qu'on l'adapte et que Montre fasse écouter ce que vous avez envie de découvrir. Et nous, on le fera sans souci. On a vraiment cette envie de partager les choses avec vous. Et on ne sera pas à quelque chose que vous n'avez pas envie. Enfin, parce que c'est essentiel.
- Speaker #0
Voilà. On ne sera pas non plus consensuel. C'est pas d'entendre ce qu'on nous répète parfois en longueur de journée. Voilà, donc vous disiez que vous posiez des thèmes, vous proposez des personnes, des invités que vous souhaiteriez que l'on interview. Mais vous aussi, pourquoi pas, si vous avez des choses à nous dire. Pourquoi pas, ça pourrait être une idée aussi de podcast, de nous proposer une thématique et vous de venir et nous expliquer ce que vous avez envie de transmettre.
- Speaker #2
Je pense vraiment que ce podcast doit devenir votre podcast de tous les kinés. Et nous, on répondra à toutes vos demandes autant que possible. Évidemment, n'ayez pas des demandes trop farfelues. Quoique, on pourra s'adapter aussi. En tout cas, j'espère qu'on a fait le tour de la présentation du podcast, je pense. J'espère que vous y trouverez de quoi vous satisfaire, que ça vous plaira de l'écouter. J'espère qu'on débute, hein. Soyez indulgent quand même au début. À partir du troisième épisode, on est ouvert aux critiques, mais pas avant.
- Speaker #0
On est kiné, hein, avant tout. Fais ça en plus, hein.
- Speaker #2
Donc voilà, vraiment, j'espère que ce podcast va se développer, que vous allez y adhérer, et qu'il vous permettra de découvrir tout l'envers du décor, de découvrir des personnes, découvrir des sujets aussi, de mieux comprendre les choses peut-être, ce qui vous permettra... Peut-être encore plus révolté que vous l'êtes déjà, ou moins, peut-être, on verra. En tout cas, ce podcast a vocation à essayer de répondre à des questions et puis à vous présenter des personnes qui sont engagées et motivées pour vous, comme Céline, par exemple.
- Speaker #0
Et toi, Thomas. merci. Thomas.
- Speaker #2
Avec Plaisir.
- Speaker #0
Voilà. Merci à vous, les auditeurs et auditrices. Merci d'être allé au bout de ce premier épisode du podcast Kinecast de la FFMKR. Comme on vous a répété, n'hésitez pas à commenter, à le partager autour de vous. Si vous avez des suggestions, n'hésitez pas. On espère très bientôt vous retrouver lors du prochain épisode du podcast Kinecast de la FFMKR. Merci.
- Speaker #1
Lors du deuxième épisode de Kinecast, vous retrouverez l'interview de Vincent Dael. déléguée générale de la FFMKR. Nous discuterons ensemble du PLFSS, le projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Vincent nous expliquera en quoi le PLFSS est important pour les kinés et comment la FEDE se mobilise à ce sujet.
- Speaker #0
À la semaine prochaine sur Kinecast.