Speaker #0Ma santé mentale va ultra bien, vraiment ultra bien. Donc il n'y a pas de sujet là-dessus, je n'ai pas de sujet d'anxiété, je n'ai pas de sujet de burn-out, je ne travaille pas 65 heures semaine. Alors est-ce que mon cerveau est occupé 65 heures semaine à travailler ? Oui, plus que ça probablement, mais sur des choses passions et je ne m'oblige pas à travailler. Et si vous étiez capable de bien plus ? Et si cette personne que vous admirez vous ressemblait beaucoup plus que vous ne le pensez ? Et si... vous vous entouriez de personnes ordinaires qui se sont créées une vie extraordinaire. Je suis Steph, multi-entrepreneur passionné par l'épanouissement de soi sous toutes ses formes et ce depuis plus de 15 ans. J'interroge des personnes inspirantes qui sont sorties du rang pour se créer la vie qui leur plaisait à elles. Sont-elles spéciales ? Pas du tout. Mon objectif c'est vraiment de vous montrer que si elles elles ont réussi, si moi je réussis, vous pouvez tout à fait réussir aussi. Ici, pas de blabla, pas de monde des bisous mours, mes invités vous racontent leur succès mais aussi les leçons qu'ils ont tirées de leurs échecs pour que vous puissiez aller encore plus vite vers la vie qui vous inspire, vous. Je n'en dis pas plus, passons à cet épisode, j'espère que vous prendrez autant de plaisir à l'écouter que j'en ai eu à l'enregistrer. Bonjour à tous, alors aujourd'hui j'avais envie de faire une rétrospective de mon année 2024, je n'ai aucune idée de quand ce podcast va sortir. parce que le podcast Croissant sortira a priori en février et que forcément si je suis en train de faire une rétrospective de fin 2024, c'est que je suis en fin 2024, donc nous sommes exactement le lundi 30 décembre. Mais écoutez, c'est pas grave, j'ai tellement de choses à vous raconter qu'on y va. Je me rendais pas compte que ça allait être une grosse année comme ça. Il s'est passé énormément de choses, aussi bien au niveau professionnel qu'au niveau personnel, qu'au niveau... ce que je vais appeler ici développement, formation, apprentissage. Appelons ça apprentissage. Donc je vais commencer par le pro, je passerai au perso et ensuite aux apprentissages. Mon objectif ici, c'est de vous montrer que l'entrepreneuriat, en tout cas celui que moi je suis en train de vivre, il a des hauts, il a des bas. Jusque-là, tout le monde est d'accord et tout le monde suit. Il n'est pas obligé d'avoir des ultra bas, d'accord ? Donc ici, j'ai vécu une année ultra riche en événements, mais ma santé mentale va très très bien. Pas parce que je suis plus forte que quelqu'un d'autre, mais par contre, je suis beaucoup plus formée sur le sujet, ça c'est sûr. Ça fait 15 ans que je suis dans ce monde-là du développement personnel, quel qu'il soit, sans rentrer dans ces travers et dans ces clichés, parce que ça, j'y tiens. Voilà, développement personnel, on arrive à placer n'importe quoi derrière ce mot et je n'aime pas toujours la tournure que ça prend. Et en même temps, je n'ai pas trouvé de meilleur mot, donc je vais continuer à utiliser ce mot pour le moment. Allez, c'est parti. On passe au niveau professionnel. Donc mon objectif, c'est ici de vous montrer... tous les succès que j'ai réussi à atteindre, parce que c'est super important de se dire, en fait, cette fille qui est tout à fait normale, je suis tout à fait lambda, mais en effet passionnée par l'entrepreneuriat et le développement personnel, en fait, elle ne savait pas, mais elle a pu réussir ça, ça et ça. Pourquoi est-ce que je fais ça ? Pas pour vous montrer, pas pour faire un boost à mon égo, même si ça fait plaisir de se dire, OK, j'ai réussi à faire tout ça, c'est sûr que ça fait plaisir, mais... Je ne le ferai pas dans un podcast si ce n'était pas pour pouvoir vous inspirer aussi, à vous dire, en fait, si elle, qui est quand même Madame Normale, l'a fait, je peux le faire aussi. Parce que vous êtes capables de faire pareil, plus, on s'en fout. Vous êtes capables de faire ce que vous avez envie de faire. Donc, côté professionnel, il y a une première chose qu'on a atteint, c'est l'objectif. On s'était mis à un objectif. Je ne vais pas forcément vous donner l'objectif chiffré réel. Enfin, réel, si, mais... précis mais on l'a atteint en tout cas on a dépassé le million d'euros de chiffre d'affaires je répète on a dépassé le million d'euros de chiffre d'affaires c'est un truc énorme pour moi on est dans mon entreprise elle a trois ans donc la foutue à trois ans et j'ai commencé juste avec des petits patrons et on se moquait de moi pas qu'un peu on s'est vraiment moqué ou alors même les personnes qui ne se moquaient pas et qui était donc très bienveillante n'y croyait pas une seconde il ya vraiment pas grand monde qui a cru à part moi et et encore franchement même moi j'y croyais pas forcément Et mon mari, j'ai eu de la chance d'avoir un mari qui m'a dit de toute façon, vas-y, tu réussiras. En gros, même si je ne réussissais pas, c'était un lancement d'un petit projet à l'époque. Ça a changé évidemment. Mais à ce moment-là, je ne risquais pas grand-chose à part d'apprendre. Donc, je suis partie dans le sujet. Et finalement, on en fait une entreprise à plus d'un million d'euros de chiffre d'affaires. Trois ans plus tard, c'est quand même assez incroyable. On est d'accord que quand on dit ça, les gens ont toujours l'impression... que du coup, je suis ultra riche, etc. Alors, un jour, c'est dans mes projets d'être très riche de manière ultra éthique et de manière ultra fluide. Ce n'est pas le cas, tout va bien, mais je n'ai pas un million dans ma poche. Donc ça, c'est important aussi de le comprendre, parce que quand vous voyez les gens sur Internet qui disent « et donc, je fais un million de chiffres d'affaires » , ce qui est exactement ce que je viens de vous dire, parfois, ils ont envie de vous montrer qu'ils ont fait un million dans leur poche. C'est faux. S'ils ont fait un million de chiffres d'affaires, il n'y a pas du tout un million dans leur poche. Donc, il faut enlever en fonction de l'entreprise qu'ils ont, avec plus ou moins de charges. Dans Klafoutis, vous vous doutez bien qu'il y a beaucoup de charges de personnel et beaucoup de charges de tissus. Il faut se rendre compte aussi de ce que c'est. Quelqu'un qui vend des formations pour un million, il va avoir plus dans sa poche à la fin de l'année que quelqu'un qui vend des objets physiques pour un million. Ceci étant dit, la deuxième chose qu'on a faite, c'est qu'on a lancé... Je dis toujours on parce que j'ai une équipe. On est 13 ou 14 en interne pour le moment dans Klafoutis. C'est que j'ai lancé une marque de bijoux qui s'appelle Korail avec un K. Alors là, c'est le coup de... Sur un coup de tête, vraiment suite à une discussion avec une amie, je me suis dit en fait, lançons une marque de bijoux. Du coup, elle n'a pas été ultra bien réfléchie cette marque de bijoux. Donc je les porte évidemment. C'est une marque de bijoux en acier inoxydable. Donc le produit est vraiment top. C'est des bijoux qui ne vont pas s'abîmer avec les années. C'est des bijoux qui ne ternissent pas, qui peuvent aller dans l'eau. Vous pouvez dormir avec, vous pouvez aller dans la mer avec, vous pouvez transpirer avec. Peu importe, c'est de l'acier inoxydable, ça ne bouge pas. Par contre, moi, j'ai acheté des bijoux, j'ai poussé des bijoux sur un site, et donc la stratégie de communication derrière, à part les montrer à mes clients de Klafoutis, il n'y en a pas. D'accord ? Et donc, la marque n'est pas encore rentable, mais voilà, ce sera un petit peu une partie de mon focus de 2025, c'est de la faire connaître, parce qu'en fait, on n'a fait quasiment aucune communication dessus, à part des petites publications, etc. Mais il n'y a vraiment pas de stratégie de communication qui a été mise en place. Est-ce que c'est une erreur ou pas ? Je ne sais pas, parce que ça nous a permis de nous tester, de tester notre logistique, la façon dont on la gère. Et en fait, pour moi, c'est OK. Et en 2025, on va mettre plus d'énergie et plus d'intention sur cette marque, parce que franchement, elle vaut la peine d'être développée. Elle est très, très chouette. Un troisième gros, gros point de l'année 2024, c'est qu'on a déménagé. Là aussi, il y a du positif et du négatif. Pourquoi ? Parce qu'en fait... j'ai déménagé dans des bureaux de 800 mètres carrés, donc on a 400 mètres carrés d'entrepôt et 400 mètres carrés de bureaux, salles communes, etc. Donc ça, c'est vraiment très positif parce qu'on n'avait plus la place pour grandir dans l'ancien bâtiment. On avait un seul bureau qui servait, donc deux bureaux à tout le monde et de salles pour le temps de midi, donc de salles communes pour le temps de midi. Donc autant vous dire que ce n'était pas confortable, mais du tout, mais absolument pas, donc ça devenait infaisable. Ça, c'est du positif parce qu'on est sortis de là. Le négatif, c'est que le deuxième bâtiment, donc là, on est dans la troisième boutique, chaque fois, on a déménagé. La deuxième, je l'avais achetée. Et ça, c'est une grosse erreur de ma part parce que moi, je me retrouve maintenant avec un bâtiment qui a un bail commercial avec la foutue et en fait, il est en vente ou en location. Mais en attendant, ça fait quelques semaines, voire quelques mois qu'il est vide. Et à refaire, jamais je n'achète ce bâtiment, pas parce que c'est un bâtiment qui n'est pas intéressant. C'est un chouette bâtiment, mais c'était trop tôt. J'ai acheté ça en pleine croissance en me disant « Ah, c'est super grand, j'aurais jamais besoin de plus grand. » En fait, si. Donc, raté. Donc ça, c'est vraiment un raté. Donc, on va sûrement perdre des sous par rapport à ça ou pas. Je ne sais pas. Ça dépend à qui on va le louer, on va voir. Ou le vendre. Mais voilà, clairement, ce n'était pas la meilleure décision de ma vie parce que sur papier, se dire « Ah oui, j'arrête de payer un loyer et je paye un prêt et donc ce... » au final le bâtiment m'appartient, oui c'est vrai, mais ça veut dire aussi que j'étais beaucoup plus liée à ce bâtiment. Et donc voilà, j'ai décidé de déménager quand même avant de le relouer parce que ça me coûtait quand même moins cher au final de pouvoir agrandir la société et de pouvoir continuer à croître. Mais voilà, pas une grande idée d'acheter un bâtiment, je l'ai appris après, je ne le referai plus sous cette forme-là. En 2024, on a aussi sorti 14 nouveaux patrons de couture. Sortir un patron de couture, c'est pas comme sortir un livre, mais quand même, il y a du boulot. Donc voilà, je lance des fleurs à l'équipe qui s'occupe des patrons, donc bravo les filles. Ça veut aussi dire plein de shootings, etc. On a sorti 400 calendriers de l'Avent. Je croyais que ce serait le dernier. C'est très très très dur à faire un calendrier de l'Avent, vraiment très très très dur, parce qu'il faut arriver à un budget qui soit tenable, parce que parfois j'ai l'impression que les gens voudraient 3 mètres de tissu chaque jour. Je veux bien, mais mon calendrier va coûter 600 balles, donc ça ne va pas être possible. Il y a un chiffre au hasard, mais ce sera énorme. On reçoit parfois une critique comme quoi, ce jour-là, il n'y a qu'un fil. Oui, mais bon, deux jours plus tard, il y a trois mètres de tissu d'un tissu exclusif. Donc, en fait, oui, forcément qu'il faut qu'on étale. On doit choisir des tissus pour les gens. impossible d'arriver à du 100% de satisfaction parce que tout le monde n'achète pas le même tissu dans la boutique donc forcément si tout le monde reçoit le même il y en a qui vont le préférer et d'autres qui l'aimeront moins c'est le jeu il y en a qui comprennent le jeu et d'autres qui ont voilà plus envie de râler et je comprends et c'est ok et donc voilà je m'étais dit c'est le dernier j'essaye pour la dernière fois je l'avais mis en plus cher que l'année passée pour me pour pouvoir en fait mettre des choses beaucoup plus intéressantes dedans parce que j'avais eu des remarques par rapport à la valeur de ce qu'il y avait l'année passée, mais en fait, je n'arrivais pas à le faire avec le prix auquel il était l'année passée. Donc cette année, il était à 199 euros. On l'a vendu 400 fois. C'était le nombre que j'avais prévu. De toute façon, on ne pouvait pas en faire plus. Aussi, le nombre, je dois le décider à l'avance parce qu'après, il y a toute une chaîne logistique derrière qui est énorme, qui part dans un atelier de conditionnement, qui revient pour vérifier tout ça. Donc voilà, je suis très contente de ce calendrier de l'Avent, je suis très contente des retours qu'on a. Je n'ai pas encore décidé si on en ferait un en 2025. Il est possible qu'on le fasse, mais je n'ai pas encore décidé. En tout cas, on ne le fera pas moins cher que cette année, parce que je n'ai plus envie de devoir faire... Ici, j'avais vraiment envie de mettre des choses beaucoup plus intéressantes, et donc forcément, ça demande un peu plus de budget. Donc si on refait, on sera plus ou moins dans les mêmes zones de prix. On a aussi organisé deux Ladies' Night. de Ladies Night, c'est quoi ? C'était des soirées où les clientes pouvaient venir et alors il y avait à manger, à boire, de la musique et évidemment elles pouvaient acheter des tissus sur place, on sortait un nouveau patron ou en tout cas des nouveautés. On en a fait une en mai à la sortie du patron RL, qui est une robe, et on en a fait une le 2 novembre où là c'était vraiment la grosse Ladies Night, c'était un samedi, en mai c'était un mardi et on avait 150 places et pas plus. Elles ont toutes été vendues. C'était une demi-vente parce que les gens achetaient leur place, mais recevaient le montant de leur place en bon d'achat le jour même. Ce qui nous permettait d'éviter que des personnes s'inscrivent, mais ne viennent pas parce que la nourriture était prévue, les boissons étaient prévues. Ça s'est ultra bien passé. Ce n'était pas parfait parce qu'il y a eu un creux, parce que problème de timing, etc. L'ambiance est redescendue pendant une demi-heure à cause de moi. Mais dans l'ensemble, ça s'est super bien passé, on a eu de super bons retours. Et clairement, on va le refaire. Donc on va le refaire, à mon avis, au mois d'avril. Il y aura un patron qui sortira évidemment en même temps. Parce que c'est aussi un petit peu ça l'objectif. Et on le fera avec un peu moins de clientes par contre. Parce que tout le monde a été très compréhensif et a bien suivi les instructions. J'avais demandé aux personnes d'acheter à l'avance ce qu'elles savaient qu'elles allaient déjà acheter, de toute façon. Comme ça, on pouvait déjà préparer des sacs et ce qu'elles savaient devoir acheter. Elle l'avait déjà, elle le reprenait chez elle et c'était tout. Et elle ne prenait plus que les tissus, coup de cœur. Voilà, j'avais présenté les bijoux aussi. C'est la première fois qu'on montrait vraiment les bijoux. Je les avais un peu montrés deux semaines avant, mais là, c'était la première fois qu'on les montrait en grand. Donc voilà, super bien passé. Et le truc le plus incroyable de cette journée-là, c'est qu'on avait plein de Françaises, mais même des filles de Bordeaux, des filles de Lyon, qui sont venues en week-end, entre copines ou pas, ou en famille, pour venir à la porte ouverte, à la Ladies' Night de Klafoutis. Et ça, c'était... ultra incroyable donc ça c'est je crois que c'est la chose que je retiens le plus des gens qui font des heures et des heures et des heures de voiture pour venir dans au final un entrepôt de tissus parce que c'est un entrepôt de tissus donc ça c'était ultra cool donc ça c'était le côté professionnel il ya eu aussi des moments plus difficiles j'ai dû me séparer de plusieurs personnes dans le personnel c'est le plus difficile de voilà de ce qui m'arrive sur l'année et en même temps maintenant j'en ai pris mon parti parce qu'avant, j'attendais trop longtemps. Et j'essayais, j'essayais, j'essayais. Et donc, c'est bien d'essayer au début, mais à partir d'un moment donné où on se rend compte que ça ne va plus, je pense qu'il faut arrêter et que ça fait du bien à tout le monde. Et je pense même qu'à long terme, peut-être pas tout de suite, mais même les personnes qui ont dû partir sont dans une situation qui leur convient mieux parce que forcément, si j'ai dû les faire partir, c'est que ça ne fonctionnait pas en interne et que ça n'allait pas pouvoir continuer encore des années ou des mois comme ça. Mais bon, ce n'est pas pour ça que je l'ai fait. Je l'ai fait aussi parce que je me suis aussi rendue compte que d'abord, je devais protéger Klafoutis. Et dans Klafoutis, c'est Klafoutis, ses clientes, et un peu moi aussi quand même, et l'équipe qui veut être dans Klafoutis et qui veut donner son énergie à Klafoutis. Et qu'en fait, parfois, si je gardais certaines personnes trop longtemps, eh bien, ou plutôt si je laissais passer certains comportements et certaines façons de faire, eh bien, je faisais du mal à... beaucoup plus de gens que simplement la personne en, évidemment, lui demandant de quitter l'entreprise. Ce n'est pas le plus chouette à faire, franchement. Quand j'ai lancé ma boîte, ce n'était pas pour ça. Ce n'était pas pour ce genre de choses, ce n'était pas pour ce genre de discussions. Mais on apprend, on grandit et on relativise aussi. Et franchement... Voilà, je sais que ça m'arrivera encore maintenant. Chaque fois, je me dis « Ah, non, c'était la dernière fois. » Non, je sais que ça m'arrivera encore. Je sais que je ferai encore des erreurs de recrutement. Je sais qu'il y a des personnes, à un moment donné, qui n'auront plus forcément leur place dans Klafoutis et qu'à ce moment-là, il vaut mieux terminer les choses proprement. Donc, voilà. C'est le plus difficile et les plus gros plantages. Les plus gros plantages que je fais dans Klafoutis, c'est des recrutements qui, au final, ne fonctionnent pas parce que c'est du temps, de l'énergie. pour moi, qui sont perdus pour l'équipe et pour la personne qui a été engagée et qui doit après rechercher un autre travail. Donc non, l'entrepreneuriat, ce n'est pas tout le temps rose et ce n'est pas tout le temps gay. Il y a une chose aussi que je n'ai pas très bien fait, c'est que je n'ai pas très bien géré ma trésorerie sur la fin de l'année. Et donc, on va s'en sortir sans difficulté, mais j'ai vécu trois ans de trésorerie facile, vraiment facile. Aussi parce qu'il y a de l'argent à moi dans cette société et qu'il faudra un moment que je ressorte. Donc aussi parce que... je fais l'erreur de ne pas forcément me payer en premier. Donc ça, c'est important à comprendre aussi. Et donc sur la fin de l'année, j'étais un peu trop cool. J'ai beaucoup d'investissements à faire. Donc j'ai emprunté très, très peu. J'ai très, très peu d'emprunts. Sur Clafoutis, j'ai 20 000 euros d'emprunt. Donc c'est rien du tout. Par contre, la société me doit de l'argent, me doit bien plus que ça. Et donc, ce que ça m'a appris, c'est que je dois beaucoup mieux gérer ma trésorerie et pas uniquement mon chiffre d'affaires et mon bénéfice. Parce qu'en fait... Oui, c'est corrélé, mais pas complètement. Et on peut se planter. En fait, une entreprise qui se plante, ce n'est pas une entreprise qui est en perte, c'est une entreprise qui n'a plus de trésorerie. Alors ici, il n'y a pas de stress. Donc, on va descendre beaucoup plus bas que d'habitude, oui. Mais je sais quand ça va remonter, je sais comment. Et au pire, si on ne montait pas assez vite, j'ai d'autres ressources à pouvoir mettre dedans temporairement. Donc, il n'y a pas de souci. Mais ça m'a quand même appris que je devais mieux gérer ça. Au niveau du côté... personnel maintenant, donc j'ai fini le côté professionnel, même s'il y a quand même toujours évidemment des liens, parce que je suis fort liée à ma boîte. Niveau perso, j'ai couru mon premier semi-marathon. J'ai commencé à courir fin 2023. Techniquement, l'été 2023, mais après je me suis cassée bras et donc j'ai dû arrêter à un moment. Vraiment, fin 2023, je m'y suis mise correctement. Le 31 décembre 2023, je fais un jogging de 8 kilomètres et je finis difficilement, vraiment difficilement. je finis, mais difficilement et en fait 4 mois plus tard je crois que c'est en avril le marathon le semi pardon, là je fais un semi marathon, alors je suis clairement pas du tout dans les premiers, je suis bien peut-être pas dans les toutes dernières mais je suis loin, on s'en fout, je m'en fichais complètement moi mon objectif c'était de courir mes 21 kilomètres en profitant, donc en me sentant bien, en faisant un effort bien évidemment mais en me sentant bien du début à la fin et donc de ne pas me pousser dans mes retranchements pour faire un temps, ça ne m'adressait pas ... chacun a ses objectifs et je comprends tout à fait les personnes qui vont se pousser parce que elle c'est ça qui les fait vibrer moi ce qui me faisait vibrer c'était de profiter de mes 21 km de me dépasser clairement de faire un effort j'allais avoir mal je le savais logique mais de ne pas rentrer dans mes derniers retranchements et de ne pas en être dégoûté et donc j'ai réussi mon objectif je crois que je l'ai fait en 2h20 et quelque chose je sais pas ce qui est long pour un semi je m'en fous en été j'ai fait un triathlon de découverte donc là aussi c'est une environ deux heures, deux heures et quart de sport, où là, j'ai appris que je pouvais me noyer. J'ai appris que même en sachant nager, même avec une combinaison qui fait qu'on flotte quand même un peu plus facilement, j'étais tout à fait capable de me noyer. Parce que nager en eau libre, avec plein de gens autour, ou même tout seul, c'est pas du tout la même chose que de nager en piscine avec le bord tout près. Donc j'ai compris que je pouvais paniquer alors que je ne suis pas sujette à la panique. J'ai compris que je pouvais perdre mes moyens alors que je sais vraiment nager. Donc ma mère était prof de bébé nageur. enfin je veux dire, j'ai vécu dans une famille de sportifs, je sais nager, je ne me suis jamais retrouvée en situation difficile dans l'eau, et là je me suis fait peur, donc voilà, je l'ai fait, la partie piscine était horrible, la partie vélo je me suis éclatée, alors que je n'avais jamais fait de vélo de ma vie, donc comme quoi, voilà, c'était inattendu, et qu'il y avait une énorme côte, un mur comme ça pendant des kilomètres, et bien un pied après l'autre, une pédale après l'autre, un coup de pédale après l'autre, je l'ai fait, et là je me suis vraiment éclatée. Et puis le reste, c'était 5 km de course à pied. Donc là, ce n'était pas très difficile en sortant d'un semi-marathon. Donc ça, c'était mes gros défis. Sur la fin de l'année, j'ai repris un abonnement dans une salle de sport qui est juste à côté de la boutique. Et là, je suis assez fière. J'y vais aussi 2, 3, voire même parfois 4 fois par semaine. Surtout suivre des cours collectifs. Ce n'est pas ce qu'il y a de plus efficace, je crois, au niveau physique. Mais par contre, au niveau mental, ça fait vraiment du bien. Au niveau perso et professionnel aussi, j'ai voyagé 4 ou 5 fois. Donc le premier voyage, c'était le ski. Donc ça, je n'en parle pas. C'est juste un voyage complètement perso. Le deuxième voyage, c'était un voyage à Lyon où là, j'ai combiné... Le professionnel avec le privé. Comment ? Eh bien, en fait, j'ai fait un shooting à Lyon. C'était le suite Cacao qu'on a shooté cette année à Lyon. Parce que j'avais une personne que je connaissais, qui avait travaillé pour moi avant, et qui était partie vivre là-bas et qui était photographe. Donc, on a fait ça. J'ai vu aussi, du coup, on a fait une rencontre avec les filles de chez Klafoutis. Et aussi, enfin, les filles de chez Klafoutis, plein de clientes de chez Klafoutis. Et j'ai travaillé à distance. Donc, de Lyon, je voulais me tester. Donc, on a fait ça avec mon mari. On a testé le fait de pouvoir travailler avec dix. à distance avec un enfant de 4 ans et demi, à ce moment-là, de 4 ans, dans les pieds du matin jusqu'au soir. Donc, ce n'était pas l'expérience la plus réussie de ma vie. Déjà, il ne faisait pas beau. Donc, ça, ce n'était pas top. Il ne faisait pas horrible, mais ce n'était pas incroyable. On n'a même pas pu manger dehors une seule fois. Il faisait assez froid. Donc, ça, c'était dommage. Mais bon, c'était le risque, on le savait. Deuxièmement, l'organisation avec un enfant de 4 ans comme ça, ce n'est pas si simple. Et donc, là où je m'étais dit que je ne le ferais pas, plus de fois sur l'année, on a un petit peu repoussé ça au moment où elle serait notamment capable de lire. Cette année, on va le refaire mais moins longtemps et mon mari aura moins d'ambition sur la charge de travail qu'il pourra abattre pendant qu'on est là-bas. C'était le deuxième voyage qui était vraiment juste après le ski. On a profité de rester en France une dizaine de jours après le ski qui était en Italie. Puis on est partis trois jours aux Pays-Bas, mais là, de nouveau, c'est du privé. Et puis, alors... En septembre, là, j'ai fait un voyage moitié privé, moitié professionnel, où je prenais ma fille. Donc, en fait, le but, à la base, c'était d'aller faire un shooting à Florence, parce que ma photographe descendait à Florence, rejoindre Lola Troifontaine, qui est une amie qui crée des bijoux. Et donc, on allait faire un shooting tout ensemble. Chacune son shooting, évidemment, mais aux mêmes endroits. Moi, je shootais des vêtements et des bijoux pour Korail, et Lola shootait des bijoux pour sa marque de bijoux qui s'appelle Lola Troifontaine. Au lieu de prendre l'avion, j'aime bien d'éviter l'avion quand je peux. Donc je ne suis pas à zéro avion, mais si je peux l'éviter, je le fais dans des endroits où je peux le faire. Et donc là, je l'ai fait. Donc j'ai pris la voiture, je suis descendue avec la petite. J'ai d'abord dormi chez ma meilleure amie qui habite près du Luxembourg. Donc ça faisait déjà deux heures de gagné. Et puis j'ai dormi en Alsace chez Catherine. Coucou Catherine, si tu regardes ou si tu écoutes plutôt. Donc ça, c'est une cliente de Klafouti qui m'a proposé un appart au-dessus de chez elle qui sert à son fils. qui n'est pas là la plupart du temps pendant l'année. Et donc, elle m'a proposé de pouvoir venir dormir avec ma fille là-bas. Et on a fait une rencontre avec d'autres clientes clafoutis à Colmar. Donc ça, c'était vraiment chouette. Une seule chose un peu erreur, donc ça, je ne le ferai plus, même si je m'y attendais, mais c'est que pour que ce soit facile de manger pour tout le monde, parce qu'il y avait des restrictions alimentaires, on a choisi un restaurant buffet. Mais ça, je ne le ferai plus, je n'accepterai plus, parce qu'en fait, c'est impossible d'avoir une discussion suivie. Et donc, j'ai eu l'impression de manger. pouvoir dire trois phrases, aller se resservir, la personne en face va se resservir, etc. Donc j'avoue que le restaurant qu'on a fait à Lyon, où on n'a pas bougé de table, était beaucoup plus sympa pour moi que le restaurant à Colmar, où la discussion ne peut pas avoir lieu. Donc en général, je n'aime pas trop les restaurants buffet pour cette raison. Et donc la prochaine fois, je m'écouterai. Et donc, je prends la petite, on descend à Colmar, et puis on traverse la Suisse, et on arrive en Italie. Et là, je passe quelques jours avec elle. où je travaille aussi. Donc, il y avait une partie de la journée où je travaillais et une partie de la journée où j'étais uniquement avec elle. Donc, piscine, balade, bord de la mer, tout ça. Donc, on était fin septembre, donc il faisait encore beau. Pas ultra chaud, mais franchement, ça allait, il faisait correct. Donc, on a fait deux jours à la mer, deux jours à Vinci, dans un petit village où, franchement, on a eu bon. C'était chouette, très calme, très sage. Et puis, trois jours à Florence, où finalement, je me suis fait péter ma vitre. Heureusement, j'avais pris mon ordinateur pour une fois parce qu'on mangeait chez le compagnon de Lola et que c'était facile pour moi d'avoir mon ordinateur avec moi. Et heureusement, parce que là, ça ne m'aurait franchement pas fait rire. J'aurais perdu mon ordinateur, ma tablette et ma Remarkable, qui est la tablette que j'utilise pour écrire et prendre mes notes. Mais il n'empêche que ça s'est très bien passé. On est revenu en Belgique avec une fenêtre en plastique, avec du scotch. Ce n'était pas très grave. Je me suis arrêtée en Suisse, dans un endroit où ma voiture était en sécurité. Donc franchement, voilà. j'ai appris que ma voiture était assurée contre le bris de vitre ce que je ne savais pas et tant mieux donc pas de stress mais par contre ce que ça a fait c'est que ça a généré chez moi plus de confiance parce que je suis mariée et heureuse en couple et donc le fait de partir seule c'était pas un échappatoire c'était vraiment une expérience que j'avais envie de tenter avec ma fille c'était une période où mon mari ne pouvait pas partir parce que lui était déjà parti début septembre et on repartait en octobre en famille donc pour lui c'était pas possible de remettre encore 10 jours ... en Italie avec moi à ce moment là ça voulait dire que pendant un mois et demi il ne travaillait pas il est indépendant donc oui il peut mais en fait non à la fin du mois il faut payer plein de choses donc donc c'était pas possible C'est pour ça que je l'ai fait toute seule. Et puis je suis revenue. Trois jours après, on repartait au Maroc. Et là, on était partis pour un voyage personnel, sur lequel je ne vais pas revenir. On était vraiment complètement en voyage famille. C'était nos vacances annuelles. Alors, qu'est-ce qui s'est passé d'autre ? Une décision difficile en février. J'ai laissé partir mon cheval. C'était un rêve d'avoir un cheval. J'en ai eu un premier. Et puis, je l'ai laissé partir après ma grossesse, donc après mon accouchement, parce que le Covid est arrivé et là, ça faisait trop. Donc, devoir gérer ma fille, le monde entier qui se cloître chez lui pour le Covid, donc plus de beau-père pour venir garder ma fille pendant que j'allais voir mon cheval. Sachant que je ne conçois pas qu'un animal soit enfermé dans un box qui a la taille d'une toilette pour nous pendant 24 heures sur la journée, ce n'était pas possible. Donc, ça me demande plus de travail, évidemment, d'avoir un cheval qui a accès en tout ou en partie à des prairies, etc. Et donc, à ce moment-là, je l'avais laissé partir. Et puis, trois ans plus tard, je me dis « Ah, c'est bon, maintenant je peux » . reprendre un cheval, la petite est un peu plus grande, je passe mon permis van, qui est très pratique aussi pour aller faire les salons de tissu, mais je prends ce cheval qui est merveilleux, franchement, un super bon cheval, magnifique, vraiment un très bon cheval de balade, qui n'a jamais vu de piste de sa vie. Et en fait, je tombe après six mois, juste deux semaines avant de partir à la mer. Voilà. Je tombe, je me casse le poignet en mille morceaux, donc opération. Et là, je n'arrive pas plus à remonter à cheval. Donc je remonte à cheval et encore je remonte. Après quelques mois, une fois que le poignet est plus ou moins remis, je remonte, mais sans prendre aucun plaisir. Et là je me dis, en fait, mon cheval est devenu une charge. J'y vais le plus vite possible pour qu'il ait tout ce qu'il faut, mais ça ne m'amuse plus. Je n'ai vraiment pas peur de la chute, mais j'ai très peur des conséquences de la chute, parce que là je me suis dit, ok, tu t'es juste cassé le poignet dans une prairie parce qu'il a fait un écart et que je n'étais pas bien dans celle, et donc c'est ma faute. L'écart, j'aurais pu voir venir. Enfin voilà, le cheval n'a rien fait de mal et je... Voilà. Il n'a pas fait d'erreur, c'est moi qui tombe, bêtement, dans une prairie où je me casse juste le poignet. Je n'ai même pas une égratignure ou un bleu autre part. Pour le même prix, je me casse la colonne vertébrale, en fait. Et donc, là, je me suis dit, mais en fait, si maintenant, je me casse la colonne vertébrale, j'ai que la foutue qui fait faillite, parce que, voilà, ce serait trop lourd. Autant le poignet, ce n'était pas grave. Autant quelque chose de plus grave où je tombe sur la tête, même avec un casque, ce n'est pas garanti qu'on s'en sort. Je suis tombée sur une pierre, etc. Et j'ai une gamine de 4 ans. Et donc je me suis dit, c'est fini en fait. Et donc il est reparti chez son ancien propriétaire, qui était un gars ultra bien, qui s'en est toujours super bien occupé, qui juste avait d'autres priorités à ce moment-là, et qui m'a proposé de le reprendre. Et en fait, il n'est pas beaucoup monté avec lui, parce qu'il n'a plus le temps, mais par contre il est dans des conditions parfaites pour un cheval. Il vit dehors, il vit avec d'autres chevaux, il est parfait. Donc voilà, décision difficile, mais ça a fait du bien à tout le monde, probablement à Jump aussi. Parce que je crois que les chevaux sentent tout et qu'ils pouvaient sentir que je n'avais plus tellement envie. Donc voilà, mais super cheval. On a adopté du coup le jour où je remets mon cheval, là où il allait terminer sa vie chez moi, donc avant d'être repris par son ancien propriétaire. Il allait dans une prairie qui est gérée par une dame qui garde des chatons comme maison d'accueil pour les remettre sur pied, pour pouvoir les mettre à l'adoption. Et là, je flash sur deux chatons, moi qui ne suis pas très chat. Bref, donc on adopte deux chatons qui sont assortis à ma déco. Forcément, vous vous dites bien, ils sont roux. Et ils sont assortis au logo Clafoutis. Et voilà, deux chatons qui ont la particularité d'être frères, de super bien s'entendre et d'adorer prendre des bains chauds. Donc impossible de les laisser dans la salle de bain quand on prend un bain. Ils finissent dedans et ils en mettent partout. Bref, côté perso, j'ai aussi, même si c'est de nouveau très lié au côté pro, ma santé mentale. Donc je passe beaucoup de temps à écouter des podcasts, notamment de filles qui vont être... coachs, formatrices qui vont être entrepreneurs, etc., des hommes aussi, mais en général, les femmes parlent plus de santé mentale que les hommes, et je me rends compte qu'elles souffrent en général beaucoup, des influenceuses, des youtubeuses, etc., je me rends compte qu'il y a beaucoup de souffrance en termes de santé mentale, de ne pas arriver à déconnecter, de travailler énormément par semaine, etc., et en fait, je me suis rendue compte que moi, ma santé mentale, elle va très bien. Elle va vraiment très bien. Donc, oui, il y a des moments qui sont un peu plus difficiles sur l'année, mais je n'ai pas... pleuré cette année par exemple parce que quelque chose était difficile. Donc c'est quand même quand j'entends autour de moi, je vois des burn-out, je vois des personnes qui ont vraiment du mal et moi en fait je me rends compte que gratitude, ma santé mentale va ultra bien, vraiment ultra bien. Donc il n'y a pas de sujet là-dessus, je n'ai pas de sujet d'anxiété, je n'ai pas de sujet de burn-out, je ne travaille pas 65 heures semaine. Alors est-ce que mon cerveau est occupé 65 heures semaine à travailler ? Oui. Plus que ça, probablement. Mais sur des choses passion, et je ne m'oblige pas à travailler. Donc, j'ai pris des pauses. Je n'ai aucun problème à ne pas aller au boulot si j'ai envie de travailler de chez moi. Je travaille beaucoup, certes, mais ce n'est pas du tout trop. J'ai du temps avec ma fille. Après, ça fait aussi 15 ans que je me forme en bonheur. J'aime bien dire ça. Je préfère dire ça que développement personnel, mais ça fait... 15 ans que je suis passionnée par ça et que je vais lire plein de livres là-dessus, que je fais plein de formations sur des sujets qui y sont liés. Ça peut être la permaculture, ça peut être le feng shui, donc des trucs un peu plus perchés, même si je vous promets, ça marche ultra bien. Ça peut être le coaching comme j'ai fait ici ces dernières années. Ça peut être le home organizing, des formations que je trouve super cool, où je prends vraiment du temps pour moi et où j'évolue et j'apprends plein de choses. Plus évidemment, toutes les lectures et les podcasts inspirants. Et je crois que ça porte ses fruits et que ça aide énormément à terme. Au final, je vois que je suis ultra stable. Et donc ça, c'est quand même génial parce que mon boulot ne me mène pas forcément sur la route de l'ultra stabilité. En 2024, j'ai aussi fait un coaching de style. J'en avais fait un, mais j'en ai fait un deuxième plus poussé où j'ai vraiment passé deux jours avec Laetitia, qui s'appelle Laetitia Braham. Allez-y de ma part, les yeux fermés. Elle fait certaines choses à distance. Sinon, elle est dans la région de Liège où là, j'ai vraiment pris le temps avec elle de... revoir tout ça, parce que je me sentais plus bien dans mes vêtements, je me sentais plus bien dans mon style, j'ai quelques kilos qui m'embêtent et qui me bloquaient dans certaines choses, et donc le but c'était pas de se dire, ah oui mais si tu les avais pas, non, c'était de faire avec ce qu'on a pour le moment, et de me sentir bien avec ce que j'ai pour le moment, et c'est complètement réussi donc j'ai changé un peu au niveau du maquillage, un tout petit peu ça, j'ai changé pas mal au niveau des cheveux et beaucoup changé au niveau vraiment du style vestimentaire, j'ai trouvé que des styles que je n'osais pas utiliser avant. Il y en avait que j'aimais bien, mais il y avait des choses que je n'aimais plus dans ma garde-robe. Et j'ai trouvé des styles pour les remplacer. Donc ça, c'était vraiment super top. Et je me sens beaucoup mieux, beaucoup plus adulte comme ça. J'avais l'impression, je ne sais pas si vous avez la même chose, mais en tout cas, en tant que femme, il y a des périodes comme ça. Voilà, la maternité va faire qu'on change de style. Les changements de job, les changements d'âge, les changements de poids, les changements d'image de soi. vont faire en sorte qu'on a envie de changer de style et parfois la transition est difficile. Et moi, j'étais dans une transition difficile alors que j'ai des filles, j'ai une personne qui est à temps plein pour me coudre ma garde-robe. J'exagère parce que ce n'est pas vrai, elle crée les patrons, mais vu que c'est quand même moi qui fais souvent les shootings, elle passe beaucoup de temps à me coudre des vêtements. Et donc même avec ça, je n'arrivais pas à trouver ce que je voulais. Ça m'a aussi beaucoup inspirée pour les patrons, évidemment, de l'année prochaine, donc de 2025. Il y avait cet objectif-là derrière aussi de m'ouvrir à d'autres types de vêtements qui mettent en valeur la silhouette avec d'autres techniques. que celle que j'utilisais pour le moment parce que ça c'est ultra important pour moi dans Klafoutis et que les silhouettes soient mises en avant même si on a des poignées d'amour même si on a du ventre même si on a de la poitrine tout ça ou même si on n'en a pas côté perso il ya eu aussi une partie de remise en question au niveau du couple pas cataclysmique du tout mais on sait on a quand même pris du temps on s'est pris une formation j'aime beaucoup les formations s'est pris une formation en ligne qu'on a fait que commencer mais qui qui fonctionne déjà qui fonctionne déjà bien et surtout on a pris le temps de discuter On a pris le temps de ne pas être d'accord, parce que nous, on a la mauvaise habitude, quand on n'est pas d'accord, de couper la communication. Donc, on a pris le temps de recréer du lien, vraiment, et d'en discuter, et de mettre ça au centre des préoccupations. Ce n'est pas parfait, parce qu'on est deux personnes qui ont une vie bien remplie, chacun de nos occupations, etc. Et donc, on n'a pas toujours tendance à tout partager. Mais alors, on a remis ça vraiment sur la table, et ça fonctionne beaucoup mieux. On finit l'année en s'entendant super bien. Après, on a un problème de luxe et c'est chouette, mais on est un couple qui ne se dispute jamais. Et donc, on n'est pas habitué au conflit. Donc, on n'est pas habitué à résoudre des conflits. Ça aussi, il y a toujours deux faces à une même pièce. Donc, nous, quand on arrive en conflit, c'est plus long, c'est plus compliqué parce qu'on ne va pas rentrer dans le conflit. On va plutôt se taire et on est plutôt en mode guerre froide que guerre nucléaire. Vous voyez ce que je veux dire. Et la guerre froide, c'est long. Et donc, ça a pu être long. Il y a eu des mois, franchement, où on avait assez peu de contacts, même si on ne se disputait pas et ça roulait. la connexion n'était pas là et donc on a retravaillé sur cette connexion, j'ai eu la chance d'avoir un mari qui est très ouvert et qui peut entendre ce genre de choses et qui peut très bien se remettre en question et qui peut essayer que moi je me remette en question parce que je me remets en question beaucoup plus souvent de ma propre initiative et plus difficilement quand on me l'impose donc je l'avoue j'ai un tout petit peu têtu Donc je le fais de moi-même, mais quand on me demande de le faire, c'est plus compliqué. Lui, il ne le fait pas de lui-même, mais quand je lui demande, c'est plus simple. Donc voilà, chacun ses forces et ses faiblesses. On a capitalisé là-dessus et on finit en super équipe. Donc voilà, tout est bien, tout est chouette. Au niveau apprentissage maintenant, je suis dans le réseau Entreprendre comme lauréate depuis deux ans. Ça veut dire que j'ai eu droit à des mentors. Donc j'ai eu un premier mentor qui après a arrêté parce qu'il a changé de boulot et donc il ne pouvait plus. ne rentrer plus dans les conditions pour être mentor. Et à ce moment-là, j'ai demandé un second, ce qui, je ne savais même pas, était possible. Et donc, la personne qui s'occupe de Réseau d'entreprendre est vraiment chouette, c'est Virginie, Réseau d'entreprendre pour la Wallonie, où elle fait Liège. Pourquoi qu'elle fait Liège ? Je ne sais plus. Si elle fait Liège ou la Wallonie, tu m'excuseras. Et elle m'a trouvé un deuxième mentor, qui est un mentor qui est beaucoup plus... de plus haut niveau, au niveau financier. Et donc, j'ai pu... arriver avec des discussions un petit peu plus financières, parce que maintenant, j'ai une boîte de 13 personnes dans un entrepôt de 800 m2. J'ai d'autres préoccupations que quand je créais des patrons de chez moi. Et donc, j'ai un petit peu plus pris ça au sérieux. J'ai changé de comptable aussi. Certainement pas parce que j'avais un problème avec mon ancienne comptable. Elle est super. Mais en fait, autant adapter au style d'entreprise que j'ai maintenant. Et donc, il fallait changer. Donc, on vient de changer. Et voilà, on passe à la suite, mais évidemment en restant à un très très bon terme. C'est une décision que j'avais du mal à prendre, parce que côté affectif avec cette personne avec qui je travaille depuis des années, qui travaille avec mon mari depuis des années, et qui n'a rien à se reprocher. Je ne pars pas parce que je suis mécontente, je pars pour des raisons stratégiques, d'avoir aussi accès à plus de compétences dans une structure qui a plus ou moins la même taille que la mienne. plutôt que de passer par une seule personne, alors qu'au début, passer par une seule personne, c'était selon moi la meilleure option, et je pense vraiment que ça l'était. Je suis rentrée aussi dans le club APM Liège Ardente. Donc APM, ce sont des clubs pour le management, donc c'est des personnes qui se regroupent, c'est mondial, c'est génial. Et en fait, on a 10 séances par an, où on va avoir une partie de réflexion sur soi, sur nos business, de partage avec les membres du groupe, de hot seat, je crois que ça s'appelle comme ça, où, parce que je viens seulement de commencer, donc je ne connais pas encore tous les formats, mais où une personne va venir exposer son problème et le groupe se met autour d'elle, alors pas physiquement, mais je veux dire, vient apporter ses propres expériences pour pouvoir la faire avancer plus vite, donc ça c'est génial. Et les après-midi, on a des intervenants qui viennent parler de sujets ultra intéressants. Alors des fois, ça nous touche plus que d'autres. Ici, je l'ai eu sur l'intelligence artificielle, forcément, moi je l'utilise beaucoup. dans mon entreprise et en même temps il faut savoir bien l'utiliser parce que le but c'est pas de dénaturer ce qu'on fait par contre pour structurer mes idées etc ça je l'utilise beaucoup et je l'utilisais pas encore assez bien alors je l'utilise toujours pas assez bien il ya douze mille trucs que je connais pas mais j'ai quand même pris un niveau rien que cet après midi parfois il ya d'autres sujets on a eu un sujet sur les métaux rares pour mon pour ma culture générale c'est génial dans mon travail j'en ai pas besoin ce que j'ai fait d'autre en 2024 c'est que je venais de finir ma formation en coaching classique enfin le module 1 chez Une Touche de Joie et j'ai commencé le module 2 que j'ai interrompu et que je vais recontinuer en 2025 certainement pas parce que c'est pas bien parce que c'est génial mais parce que ça se mettait en plein pendant mon voyage en Italie mon voyage au Maroc des grosses périodes et donc ça n'allait pas pour moi en termes d'organisation et donc je recommence l'année prochaine donc voilà j'ai suivi une partie mais pas encore tout et alors en 2024 j'ai aussi enregistré mon premier et maintenant mon second podcast et donc podcast que je veux sortir en 2025. Qui va sortir, c'est pas que je veux, c'est qu'il sort en 2025. J'ai une podcast manager, donc je me suis entourée pour ce podcast parce que je n'ai pas le... Est-ce que c'est un luxe ? Non, je crois, justement, j'ai le luxe de pouvoir faire ça et aussi, je n'ai pas le luxe de pouvoir passer ma vie à faire des enregistrements de podcast. Alors ça, ça va. Mais par contre, après, ce n'est pas ça qui prend le plus de temps. Le plus de temps, c'est le montage. la publication, la mise en avant au niveau de la communication, etc. Et ça, je n'ai pas la possibilité de faire tout toute seule. Et donc, grâce à Klafoutis, je peux me permettre d'avoir déjà une podcast manager au lancement du podcast. Donc ça, c'est vraiment chouette. Ce que j'aurais été incapable de faire, parce que ça se paye évidemment, c'est tout à fait logique, mais j'aurais été incapable de le faire au début. En tout cas, ça n'aurait pas été ma priorité. Là, je peux me dire que je lance un podcast qui n'a pas pour but d'être rentable tout de suite. Il y a évidemment une... question de rentabilité derrière tous les podcasts, que ce soit via le podcast en lui-même, via de la pub, etc., ce qui n'est pas du tout mon objectif, ou que ce soit via d'autres choses. Moi, ça crée aussi de la visibilité pour mes entreprises. Et aussi, ce que j'adore dans le podcast, c'est que je vais pouvoir rencontrer plein de gens qui sont ultra inspirants et aller me nourrir de leurs histoires, de leur façon de voir, parce que je vais pouvoir choisir les personnes... Il faut qu'elles acceptent, évidemment, mais choisir les personnes avec lesquelles je vais travailler. Voilà, ça va me permettre aussi de voyager parce que je compte interviewer les gens en face à face et pas à distance sauf vraiment si ce n'est pas possible et donc je préfère reporter une interview mais la planifier à un moment où on peut se voir et donc je vais faire un petit peu le tour de la France et en fait à chacun de mes voyages maintenant il y aura vraiment une grosse composante business alors ça veut dire que je vais me permettre de voyager plus longtemps mais que pendant mes voyages il y aura une partie travail qui sera en fait d'aller interviewer des gens qui sont francophones, c'est plus facile. le faire tout le temps en français, mais qui vivent une vie un petit peu hors des clous classiques, en tout cas des clous qu'ils avaient au début de leur carrière. Donc ça, c'est des gens qui se trouvent absolument partout sur la planète, en France, en Belgique, bien évidemment, mais aussi à d'autres endroits. Alors, si je dois résumer cette année, je dirais que j'ai beaucoup travaillé, vraiment beaucoup travaillé, mais je me suis aussi octroyée beaucoup de... pauses, qui n'étaient jamais des pauses à 100% à part le Maroc, et encore, je passais les commandes, mais ça, c'était pas très grave. Par contre, ça m'a permis de mixer plus ma vie professionnelle et ma vie privée. Ça a aussi été un ajustement en couple, et là, je vois qu'en fait, ça fonctionne. Donc, aussi bien pour lui que pour moi, je crois qu'il a aussi intégré, parce que moi, j'ai changé fort, donc j'étais prof avant, donc j'étais pas du tout dans le même système professionnel, et donc il a dû s'adapter aussi, j'ai dû m'adapter aussi. Mais j'ai l'impression que là c'est fait et qu'en fait maintenant si je décide comme hier de travailler le dimanche soir parce que ça m'amuse, ça pose aucun problème. On en parle beaucoup plus et on va se dire qu'est-ce qui te fait plaisir à toi ? Qu'est-ce qui me fait plaisir à moi ? Ah bah ok alors on fait ça. Ah ok on passe la soirée ensemble. Ah ok toi t'as envie de faire ça ? Bah moi aussi je ferais bien un truc de mon côté, j'ai envie de faire ça. Et en fait ça fonctionne très bien sauf que maintenant on le dit et on ne part plus du principe que si un a commencé une activité, bah l'autre ne va pas venir l'interrompre. Si. D'abord, on se demande ce qu'on a envie de faire sur la soirée, parce que parfois, ça arrivait que, un, commencer l'activité, et en fait, attendez que le deuxième ait fini ce qu'il faisait, on s'attendait tous les deux, et finalement, pas de soirée ensemble, plusieurs jours par semaine, ça, c'était pas OK. Tandis que maintenant, c'est complètement OK de ne pas avoir une soirée, de ne pas passer la soirée ensemble, parce qu'on l'a décidé, et c'est OK, il n'y a pas de souci. Donc, beaucoup de boulot, mais une meilleure organisation entre ma vie privée et ma vie professionnelle depuis ces derniers mois. Donc ça, ça fait vraiment du bien. Je m'autorise aussi à faire moins de samedis, j'en fais plus à part les portes ouvertes de clafoutis. Il y a eu des moments parfois inconfortables, c'est clair. Donc au niveau du couple, même si pas catastrophique, vraiment pas, mais on est habitués nous à avoir facile et donc il y a eu des challenges, on n'est pas habitués aux challenges, donc on a relevé ces challenges et j'avoue que je suis très fière, c'est une de mes plus grandes fiertés de cette année, d'avoir un couple qui, ça fait quand même 11 ans, donc 11 ans, un enfant. de déménagement, deux indépendants, etc. Donc, c'est ultra important pour moi d'avoir ce socle-là. Donc, voilà, certains moments qui étaient inconfortables, mais qu'on a pris ensemble. Et donc, finalement, ça nous a rendus plus forts parce qu'on s'est rendu compte que, ah oui, quand on arrivait dans ce genre de période, en fait, on pouvait en sortir en faisant soit de ça, soit de ça, soit de ça. Et qu'en tout cas, tous les deux, on voulait que ça fonctionne parce qu'on s'est aussi posé la question. Mais oui, on voulait tous les deux que ça fonctionne. Donc, déjà, c'est un bon point. Il y a eu ces moments inconfortables au niveau de Klafoutis, mais... des rushs, des délais dans les envois, des personnes qu'il a fallu retirer de l'équipe, ce genre de choses. Mais il y a eu aussi tellement de joie. On a sorti notre première marque de tissu aussi, ça j'ai oublié de le dire tout à l'heure, ça c'est quand même assez incroyable. Même si c'est un peu moins compliqué que de faire un patron, c'est quand même un truc de dingue de sortir sa propre marque de tissu. La première collection est sortie et les autres vont sortir à partir de janvier. J'ai déjà la 2 et la 3 qui sont prêtes. Et je me dis, si je devais refaire 2024 maintenant, je pourrais vous la jouer philosophe, un peu fausse, et je dirais, je revivrais la même chose, surtout les échecs, parce que c'est ça qui m'a fait grandir. Et franchement, je le pense. Sauf que non, si je devais revivre 2024, j'irais revivre les moments sympas et pas les échecs, parce que franchement, sur le moment même, ce n'est pas très agréable, même si à terme... à la fin de l'année. Évidemment, on n'a appris que de ses échecs, on n'a jamais appris de ses succès. Qu'est-ce qui va se passer pour 2025 ? Je ne sais pas. Ce que je me souhaite pour 2025, c'est de continuer à voyager à peu près au même rythme que ce que j'ai fait en 2024, un peu plus, parce que j'aurai beaucoup plus de... J'aurai des podcasts à faire, et donc ça, je vais m'arranger pour pouvoir bouger en même temps. Donc ça, c'est une des choses que je me souhaite pour 2025. Je me souhaite une croissance dans Klafoutis, qui ne nous mette plus forcément trois semaines de délai dans la vue, mais on s'est organisé autrement, donc on a... une organisation qui fonctionne beaucoup mieux et qui est beaucoup plus rapide. Et donc, voilà, ça aide aussi en arrivant à envoyer beaucoup plus de colis par jour et à être beaucoup plus flexible. Ça, c'était mon gros, gros travail de 2024. Et alors, en 2025, je vais me focaliser sur l'argent. Ça a l'air sorti de nulle part, ce truc-là. Mais vu que fin 2024, je me suis fait un peu peur avec la trésorerie, de nouveau. Ce n'est jamais une période confortable pour nous, le début de l'année. Mais là, j'aurais pu mieux faire. De nouveau, on n'est pas en danger, mais j'aurais pu mieux faire. Et donc, je vais en fait plus regarder mes chiffres. Je vais avoir un objectif financier aussi, et pas juste de chiffre d'affaires. En fait, l'objectif, c'est aussi de gagner sa vie. Et j'apprends, je me forme aussi en état d'esprit par rapport à l'argent. que ce n'est pas sale de gagner de l'argent, parce que ça permet aussi de le redistribuer. Et donc, dans Croissant, je ne sais pas si je l'ai déjà annoncé au moment où je sors ce podcast ou pas, mais j'ai un gros objectif qui est de pouvoir coacher des personnes, gratuitement, mais des personnes qui en ont vraiment besoin. Pas les personnes qui ne veulent pas mettre le budget, parce que ça, c'est hors de question. Ce sont alors des personnes qui, si elles ont le budget, même si c'est limite, mais si elles ont le budget, et qu'elles ne le mettent pas, elles n'obtiendront pas de résultat. Ça ne fonctionnera pas. Je cherche vraiment à aller aider des personnes qui n'ont pas du tout le budget. Parce que grosse catastrophe dans le parcours, parce que ça peut arriver. Et donc, je n'ai pas encore calculé comment, je ne sais pas encore sous quelle forme, mais il va y avoir une partie des chiffres de Kroissant qui vont être alloués à ça. Donc les détails pratiques, je n'y suis pas encore, mais de toute façon, on va déjà lancer Kroissant doucement, parce que pour pouvoir faire ça, il faut déjà faire du bénéfice. Et ce n'est forcément pas encore le cas avec un premier podcast qui se lance, mais... C'est un de mes engagements. Avant la fin 2025, je veux au moins avoir offert un parcours de coaching complet à une personne. Et à partir de 2026, je veux que ça devienne quelque chose de récurrent. Sur 2025, je vais aussi très fortement développer Kroissant. Donc, il y a le podcast, mais il y a aussi de la formation et du mentorat. Donc, j'ai déjà des personnes que je suis en mentorat. En tout cas, une. La deuxième, on va voir, c'est en cours. J'en prends pas plus pour le moment. En tout cas, au moment où je... J'enregistre ce podcast parce que ce n'est pas mon objectif d'en avoir beaucoup, mais je trouve ça quand même gai et je trouve ça vraiment chouette de pouvoir vraiment venir aider de par mon expertise aussi bien en coaching, mais surtout en création d'entreprise. Mais je vais lancer une formation. Je ne vous dis pas encore exactement sur quoi, je ne vous dis pas encore exactement comment, j'en parlerai bientôt. Le but, c'est de venir mettre dans une formation. Je n'aime pas tellement ce terme formation, c'est plus un parcours. Tout ce qui, moi, me sert aujourd'hui à pouvoir vous dire haut et fort sur les réseaux en sachant que j'ai plein de gens qui m'entourent et qui pourraient dire le contraire si jamais je montais et que je racontais n'importe quoi, que j'arrive à atteindre ces objectifs-là en étant bien entourée, mais s'entourer correctement, c'est une compétence aussi, en étant bien entourée, en ayant une santé mentale qui est ultra bonne. Et ça, c'est ultra important pour moi. Je ne suis pas au bord du burn-out, je ne l'ai jamais été cette année. Ma santé mentale est ultra bien gérée. Pourquoi ? Parce que j'ai appris de ces trucs-là pendant les 15 années, parce que je suis obsédée de ce genre de sujets et que je n'ai que des livres là-dessus. Je crois que j'ai deux romans, je ne les ai pas lus et je n'ai que des livres sur le business, le développement personnel, la santé mentale, le bonheur, tout ce qui est épanouissement personnel, etc. Il y a des sujets qui me plaisent plus et d'autres qui me plaisent moins, évidemment, mais ça porte ses fruits et donc moi j'ai envie en fait... de vous épargner ces 15 ans-là, parce que ça prend du temps et beaucoup de plantages, et de vous mettre tout de suite dans le concret, de vous mettre tout de suite dans l'action, pour que vous puissiez avoir ce genre de mindset aussi, ce genre d'état d'esprit, qui permet vraiment de passer même les étapes un petit peu plus difficiles de la vie, avec plus de facilité. Ça n'annule pas les étapes difficiles de la vie, pas du tout, je ne suis pas magicienne, par contre, ça permet vraiment d'être beaucoup plus zen et beaucoup plus ancré, et d'aller beaucoup plus aussi dans l'action. des actions qui vont avoir forcément des résultats, sans action, pas de résultats, logique. Ok ? Je crois que j'ai assez parlé, je viens de vous faire un podcast de 50 minutes. Je vous souhaite en tout cas, je vais vous mettre la petite outro. Une outro, c'est pas une intro, c'est l'outro, c'est ce qui vient après. Donc je trouve ça encore toujours fun, parce que c'est le début, mais bref. Donc vous allez me réentendre parler juste après. En tout cas, je vous invite à partager cet épisode, si jamais ça peut aider quelqu'un à voir les choses un petit peu différemment, à partager le podcast, et évidemment à vous abonner. et à me laisser une note 5 étoiles, parce que c'est ultra important pour moi, même si je vais peut-être le répéter dans l'outro, c'est ultra important pour moi, parce que l'objectif, c'est de pouvoir toucher un maximum de personnes, parce que c'est un podcast qui va aider plein de gens, en fait. Il y a plein d'autres podcasts aussi qui peuvent aider plein de gens, mais en tout cas, celui-ci, le but, c'est de vraiment vous aider à être inspiré, à vous mettre en action, et à voir qu'en fait, c'est possible. Il y a plein de créances limitantes qu'on s'impose nous-mêmes. J'arrête de parler maintenant, et je vous laisse. Je vous embrasse très très fort, et on se dit à très vite. J'espère que vous avez trouvé cet épisode aussi inspirant que moi. 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