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L'appel du Calme

Comment créer le calme intérieur : 3 piliers pour réguler ses émotions et atteindre la sérénité au quotidien ? (Ep 50)

Comment créer le calme intérieur : 3 piliers pour réguler ses émotions et atteindre la sérénité au quotidien ? (Ep 50)

35min |04/11/2024
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Comment créer le calme intérieur : 3 piliers pour réguler ses émotions et atteindre la sérénité au quotidien ? (Ep 50)

35min |04/11/2024
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Description

Dans cet épisode de "L'appel du Calme", je vous invite à explorer un sujet qui nous touche tous : les émotions et leur impact sur notre quotidien.


Comment ces émotions, bien que naturelles, peuvent devenir des freins à la réalisation de vos objectifs et de votre épanouissement ?


Au cours de cet épisode, nous découvrons trois piliers pour réussir à réguler ses émotions au quotidien :
- la connaissance de soi,
- la pleine conscience,
- et la connexion au corps.


Ces outils issus du développement personnel sont des clés pour faciliter la gestion de nos émotions et aborder sa vie avec plus de sérénité.


En cultivant ces trois piliers, vous pouvez surmonter et prévenir des défis comme la procrastination, le découragement, le burn-out et retrouver force tranquille et calme intérieur.

Alors i vous cherchez à prendre du recul et améliorer votre bien-être, cet épisode est fait pour vous.


Rejoignez moi dès maintenant dans "L'appel du Calme" pour transformer votre regard sur vous-même et renforcer votre estime de vous.


N'hésitez pas à partager cet épisode avec vos proches et à me laisser vos impressions ⭐⭐⭐⭐⭐.

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Musiques utilisées dans ce podcast :

🎶Bande sonore jingle intro et outro :
Licensor's Author Username : Music_Beats
Item Title : Emotional Inspiring Piano
Licensee : Anne-Gaëlle MONTEIL 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans l'Appel du calme, le podcast dédié aux personnes en quête de calme intérieur et d'harmonie dans leur vie. Ensemble, nous allons explorer les solutions pour vivre votre quotidien plus librement, vos émotions plus sereinement et vous épanouir avec confiance. Je suis Anne-Gaëlle Monteil, coach professionnel pour les leaders atypiques et votre guide dans ce voyage vers plus de bien-être. issues de ma pratique professionnelle, à des partages inspirants tirés de mon laboratoire de vie personnelle, à des méditations guidées et à la pleine conscience, accédez à plus de sérénité, d'énergie positive et d'équilibre dans votre vie. Alors, pour rejoindre cette douce aventure, embarquez dès maintenant dans ce nouvel épisode. À tout de suite ! Hello, je suis très heureuse de vous retrouver aujourd'hui pour ce nouvel épisode du podcast L'Appel du Calme. J'espère que vous allez bien, que vous êtes en pleine forme. Aujourd'hui, j'avais envie de faire un épisode sur les émotions, parler des émotions. Parce que c'est un sujet central en accompagnement. C'est souvent ce qui fait qu'on peut se sentir bloqué par moment dans la réalisation de nos projets, l'atteinte de nos objectifs, le fait tout simplement de se sentir bloqué. bien, bien dans sa peau, bien dans sa tête, bien dans son corps. Et du coup, je me suis dit, ok, allons-y pour un épisode sur ce sujet-là. Ce sujet, c'est réellement devenu mon obsession. Savoir réguler mes émotions, c'est le travail que j'ai entrepris ces derniers mois, ces dernières années, pour réussir à surmonter notamment un trauma, mais aussi... pour réussir à ne plus me laisser dominer par mes émotions dans certaines situations et pour acquérir finalement la capacité à prendre du recul, à ne plus réagir à chaud aux choses et à pouvoir prendre du recul et réagir d'une façon, je n'ai pas envie de dire plus logique, mais en tout cas moins émotionnelle. Non pas que les émotions ce soit quelque chose qui soit mauvais, en soi, mais effectivement par moments elles peuvent prendre le dessus, notamment si on a un profil sensible, hypersensible, émotif. Je sais que ça peut être un réel frein et que ça peut nourrir des difficultés au quotidien. Et moi j'ai vraiment à cœur, parce que je sais que c'est possible, de vous transmettre ces outils. C'est devenu ma mission essentielle et petit à petit mon activité de coaching s'est réorientée vers cette spécificité d'accompagner les émotions de me mettre au service du bien-être émotionnel des leaders que j'accompagne, leur permettre en fait d'avoir un leadership conscient, posé et aligné finalement avec leur personnalité. On peut être un leader, on peut être quelqu'un qui est entrepreneur, entreprenant dans la vie, tout en étant hypersensible, émotif, introverti. On peut être un artiste, un créatif. et être un leader aussi. Et si je parle des créatifs, des personnes artistiques, qui ont une vocation artistique créative, quel que soit le domaine d'ailleurs, parce qu'on pourrait penser en premier lieu à un peintre, à un sculpteur, quelqu'un qui fait vraiment de l'art, mais être créatif, ça se retrouve dans beaucoup de domaines, la création de vidéos, la photographie par exemple, la création de contenus. La création de produits, d'offres, de bijoux par exemple aussi. Dans la création de services aussi, notamment dans les formations, il faut avoir aussi une part de créativité pour créer des programmes qui sont attractifs, ludiques et en même temps pédagogiques. La créativité elle est partout, donc finalement notre fibre artistique elle peut se retrouver partout et aussi dans notre communication quand on est entrepreneur. qu'on a des produits ou des services à développer, on peut avoir besoin aussi de cette part émotionnelle finalement dans notre communication. Donc les émotions ne sont pas mauvaises et le but n'est pas de se couper des émotions, mais bien d'apprendre à plutôt réguler les émotions quand elles sont trop fortes, quand elles ont pris le contrôle finalement. Et que dans la tour de contrôle, il n'y a plus personne à part les émotions qui font un petit peu ce qu'elles veulent. Et pour cela... J'ai intégré dans mon quotidien parce que j'ai pu le tester, j'ai fait de mon quotidien une sorte de laboratoire de développement personnel où j'expérimente des choses, je vois si ça marche, si ça marche pas, comment ça marche aussi et ce que ça apporte comme résultat. C'est non pas que ce soit une vérité absolue, que forcément ça va marcher pour vous aussi, parce qu'on est tous différents, on a tous aussi des besoins, des sensibilités différentes à certains outils. Donc peut-être que les outils, les méthodes, les piliers que je vais vous présenter, ce ne sont pas des choses qui vont vous parler, mais quand même. Je pense que ça peut être intéressant d'écouter ça avec curiosité et de se demander à quel point c'est présent dans votre vie, à quel point par exemple... Telle ou telle chose fonctionne ou pourrait être un petit peu plus intégrée dans votre quotidien pour amener cette sensation d'apaisement, de bien-être. Le but en fait, quelque part, c'est de développer une forme de force tranquille. J'emploie beaucoup cette expression ces derniers temps parce que c'est comme ça que je me sens. J'ai développé cette forme de force tranquille. Évidemment, il y a toujours des moments où je vais réagir, je vais me sentir piqué, je vais... avoir des émotions très très fortes parce que ça fait partie de moi. Je pense qu'il y a une première part d'acceptation aussi de qui l'on est à la base. Si on a une sensibilité exacerbée et que c'est ainsi depuis toujours, il n'est pas question de devenir quelqu'un d'autre, de se changer, de modifier ça, parce que c'est aussi un pouvoir, c'est aussi quelque chose de particulier, un petit truc en plus finalement que l'on a et dont on peut se servir selon les circonstances. Donc ça peut être quelque chose d'utile, sur lequel on peut s'appuyer, à condition de connaître finalement dans quelle mesure ça crée les émotions, des limites chez nous, des limitations, des obstacles. Si je reparle des objectifs, évidemment, par exemple, si j'ai un objectif important et que ça nécessite que je fasse des choses que je n'ai pas l'habitude de faire, que ça me mette dans des situations inhabituelles, confrontantes, challengeantes, ça va me provoquer du stress, des peurs. je vais peut-être obtenir des résultats différents de ceux auxquels j'aspirais et je vais peut-être me sentir en échec ou mis en danger. Mais ces émotions-là, du coup, elles peuvent être un frein à notre épanouissement professionnel, personnel. Et ça peut nous amener à nous replier sur nous, à procrastiner, à finalement faire des tâches qui n'ont pas de réel intérêt. pour notre objectif et qui visent plutôt à nous rassurer parce que c'est des choses qu'on sait faire, qu'on a l'habitude de faire ou qui ne sont pas trop compliquées à faire. Les émotions peuvent aussi nous conduire à surréagir, à prendre de mauvaises décisions parce qu'on va réagir à chaud. Par exemple, on peut décider d'abandonner un projet parce qu'on est extrêmement déçu, triste de ne pas réussir comme on voudrait. On peut aussi avoir... Peut-être des mots qui fâchent ou décider de mettre fin à une relation parce qu'on est très en colère contre quelqu'un ou déçu par quelqu'un ou très attristé par une situation. Et donc, on peut se dire, ok, j'arrête et je prends mes distances. Et bien sûr, par la suite, avoir des regrets par rapport à tout ça parce qu'on se dit, mais en fait, j'ai réagi immédiatement, j'ai réagi à chaud, etc. Au quotidien. on rencontre des situations dans lesquelles on peut se sentir submergé par une émotion. Ça peut être la colère parce qu'on est extrêmement frustré, d'avoir beaucoup de choses à faire, de ne pas réussir à les faire en temps et en heure, de se sentir submergé par des tâches et contraintes quotidiennes, vouloir par exemple que chez soi ce soit rangé, ce soit un espace agréable, et puis on a cet éternel recommencement avec les enfants qui jouent, qui dispersent des affaires. peut-être le conjoint qui en rajoute un petit peu et qui n'aide pas forcément ou qui ne se rend pas compte que pour nous, c'est important d'avoir cet espace clair, propre. Quand on rentre chez soi, ça peut être d'autres situations où par exemple, c'est la tristesse qui va nous submerger. On apprend une mauvaise nouvelle ou on vit quelque chose en fait qui nous est difficile à supporter, à intégrer, qui cause chez nous du chagrin, de la tristesse, peut-être un petit peu de mélancolie. À ce moment-là, on va plutôt avoir envie de se rouler en boule sur le canapé, ne rien faire, être complètement prostré, figé, dans l'inaction. Et ça, ça peut avoir une incidence, eh bien justement, sur nos objectifs quotidiens, mais aussi sur nos objectifs à long terme. On peut aussi, je parle souvent d'objectifs parce que c'est ce qui revient beaucoup en coaching, forcément j'accompagne des objectifs, mais aussi parfois les personnes, elles arrivent avec un projet. Avec l'envie de réaliser quelque chose. Elles ont une vision et elles savent ce qu'elles veulent accomplir. Elles savent quelque part où elles ont envie d'aller. Mais le comment on y va et comment je passe certaines étapes, c'est ça qui est difficile. Et surtout ça devient difficile quand je sais qu'il y a certaines étapes à travers ce projet qui ne sont pas forcément... dans ma zone de talent, dans ma zone de génie, dans ma zone de confort, que ça va me demander des efforts particuliers ou d'aller mobiliser des ressources que je n'ai pas encore, ça, ça peut effrayer. Et donc, les personnes, elles se mettent à procrastiner sur leur projet. Finalement, presque, elles s'auto-sabotent, mais c'est complètement inconscient, ce n'est pas volontaire, mais elles font des choses qui ne vont pas forcément les aider. Elles vont se conforter simplement dans des choses qui les rassurent. Et ce qui fait que le projet n'avance pas. Parfois même, elles ne font rien en faveur de leur projet. C'est-à-dire qu'elles savent qu'elles l'ont, elles le mettent de côté. Et elles se sentent frustrées parce qu'elles ont envie de le développer. Mais en même temps, elles s'en veulent parce qu'elles ne le font pas. Et c'est un cercle vicieux en fait. Et donc il y a beaucoup... d'émotions, c'est comme une espèce de marmite qui bouillonne pleine d'émotions et à un moment donné, on ne sait plus trop quoi faire de toutes ces émotions. Et ce qui se passe, c'est que quand il y en a trop, quand c'est trop fort, notre système nerveux va se déréguler et soit on va se mettre en mode protection totale rentrer dans une espèce de carapace, de figement, de paralysie, comme si on ne voulait plus rien ressentir. Donc en fait, on se met en mode pilotage automatique et on vit le quotidien en mode pilotage automatique. On commence à faire les choses simplement qui nous sont habituelles, que l'on doit faire, et on n'est plus, même plus conscient, on n'apporte plus de regard conscient sur les choix qu'on fait, sur ce qu'on est en train de faire, sur comment on le fait. Ce qui fait que parfois... En fait, on nourrit des situations qui nous sont inconfortables, qui nous sont désagréables. On sait pertinemment qu'on devrait en sortir, mais on continue. Il y a aussi un autre état du système nerveux qui fait que parfois c'est l'inverse. On va rentrer dans un mode... de combat vis-à-vis de ces émotions, on va rentrer en lutte contre notre propre colère, contre notre tristesse, on va générer quelque chose qui va être de l'ordre de la résistance en fait. Et comme on résiste à ces émotions qui sont là et qui quand même sont des indicateurs, En fait, on ne se permet pas de vivre la situation telle qu'elle est et d'avoir une forme de compréhension de cette situation. Si je comprends en fait que cet objectif me fait peur parce qu'à l'intérieur il y a des étapes que je ne me sens pas capable de réaliser moi-même et qui pourtant sont nécessaires pour que je puisse réaliser mon projet par exemple, créer mon activité ou lancer un nouveau produit par exemple. je vais être en lutte contre ça. Et je vais probablement faire des actions complètement inefficaces, inappropriées, au lieu de peut-être trouver des solutions créatives pour m'aider, m'appuyer dans la réalisation de ce projet, de ses objectifs. Ça peut être un mode aussi où on va rentrer dans une espèce d'hyperactivité. On va faire beaucoup, beaucoup de choses, histoire de ne pas penser aux choses essentielles que l'on devrait faire réellement, et histoire de ne pas penser surtout aux émotions que ça génère. en nous. Et ça, c'est assez commun en fait. C'est le mode fuite. Pour le coup, on va plutôt chercher à éviter les émotions. Cette fois-ci, non pas en se mettant une carapace, mais plutôt en faisant beaucoup, beaucoup d'actions pour les fuir. Et donc là, c'est pareil. Ça met une forme de distance avec nous-mêmes et aussi une forme de distance avec cet état de conscience qu'on pourrait avoir de nous. Donc, j'en reviens souvent à la conscience parce que c'est une clé majeure pour commencer à réguler ses émotions, avoir conscience. de nos émotions, de ce qu'elles sont, de ce qu'elles signifient, de leur impact sur nous. Et en fait, quand on commence à développer certaines facultés autour de l'intelligence émotionnelle, on réussit de plus en plus à prendre du recul, à ne plus réagir à chaud, à comprendre finalement les émotions quand elles surviennent, à comprendre ce qui se passe finalement dans notre tour de contrôle et à appuyer sur les bons boutons. Et parfois, appuyer sur le bon bouton, c'est... décider d'appuyer sur le bouton un petit peu plus tard. C'est décider de laisser passer un petit peu de temps par exemple. Donc moi j'avais envie vraiment de vous partager mes trois piliers qui peuvent vous aider à surfer avec vos émotions et à développer cette force tranquille. Donc le premier pilier sur lequel je m'appuie, c'est évidemment le fait de développer une très bonne connaissance de soi. Et ça, c'est à travers des outils tels que le coaching, qui est un outil très puissant pour développer une bonne connaissance de soi, par le biais d'un questionnement stratégique, de questions ouvertes qu'on n'a pas l'habitude de se poser finalement. Donc souvent, c'est quand un coach nous pose ces questions-là, ça nous surprend, ça vient chercher des réponses auxquelles On n'a pas forcément l'habitude, ça vient aussi débloquer certaines conceptions que l'on a autour de notre situation, certaines croyances. Et ça nous permet de mieux nous connaître aussi en nous écoutant parler. Capable au bout d'un moment, quand on a été accompagné en coaching, de s'auto-coacher aussi, de s'approprier ce questionnement stratégique et ensuite de s'auto-coacher au quotidien, de se poser ce type de questions pour sortir des cycles fermés et trouver des solutions plus créatives à nos difficultés, à nos blocages, etc. A comprendre aussi qu'est-ce qui se passe, quels sont les enjeux, quand telle émotion survient, etc. Donc développer une bonne connaissance de soi, ça peut passer à travers le coaching, mais aussi... Un outil que j'utilise beaucoup pour la connaissance de soi, c'est l'écriture intuitive et introspective. Encore une fois, c'est le simple fait d'ouvrir son journal et de déposer immédiatement ce qui survient comme pensée ou comme émotion. Voici ce qui s'est passé, voici ce que j'ai pensé, voici les émotions qui sont présentes, voici ce que je ressens dans mon corps. Ça paraît très basique, mais en fait, de découper ça, ça permet de voir... Quels sont finalement l'impact des pensées sur mes émotions ? Quel est l'impact de mes émotions sur mes comportements ? Quel est l'impact de mon comportement du coup dans le quotidien ? Et qu'est-ce que ça produit comme nouvelles pensées ? Et en fait, au fur et à mesure, on peut prendre de la distance déjà par rapport aux émotions. Elles sont déposées, on ne les a plus dans la tête. Ça permet un peu de justement faire retomber les choses. Et puis d'observer, d'être plus en observation. de ses émotions, de ses pensées, et du coup d'être peut-être plus neutre, plus objectif, presque comme si on observait les écrits de quelqu'un d'autre. Et on a, grâce à cette distance, la capacité à s'introspecter, à se poser de bonnes questions, pour essayer de modifier la situation. Bien sûr, écrire pour écrire, ça peut faire du bien, mais si j'écris sans essayer de changer quoi que ce soit, il se reproduira, a priori, toujours la même chose. Donc le but, c'est que quand je suis dans l'écriture intuitive, introspective, je peux déjà me poser la question, qu'est-ce que je peux changer, qu'est-ce qui est dans mon pouvoir, et si j'agissais différemment dans cette situation, donc si j'agissais de telle ou telle façon, qu'est-ce qui pourrait se produire, qu'est-ce que ça pourrait m'apporter, à quel besoin j'ai besoin de répondre, sur quoi j'ai besoin de porter de l'attention. Par exemple, qu'est-ce que ma colère vient raconter ? Qu'est-ce que ma frustration vient raconter ? Qu'est-ce que mes pleurs aujourd'hui sont venues dire ? Et de se comprendre, d'aller se comprendre avec beaucoup de compassion, beaucoup d'amour de soi, s'envelopper de douceur, de compassion, se prendre par la main, mais aussi être dans une forme de posture où on ne va pas tomber dans la victimisation, la plainte, l'autocomplaisance. histoire de ne pas rester enfermée justement dans cette situation qui nous crée des tensions, des soucis. Ce qu'on veut, c'est en sortir. Donc pour ça, il faut avoir cette posture de responsabilisation par rapport à ça et de se dire, ok, qu'est-ce que je peux faire ? Qu'est-ce qui est en mon pouvoir ? Parce qu'encore une fois, il y a des choses sur lesquelles on n'a pas d'emprise, on n'a pas de pouvoir. La seule chose sur laquelle on peut agir dans ces moments-là, subit une situation, parce que ça arrive de subir la situation, c'est de choisir comment finalement on va subir la situation. Est-ce que par exemple, par rapport à une crise économique qui nous est annoncée à la télévision par des politiques, est-ce que je vais rentrer en colère, en réaction ? Est-ce que je vais nourrir cette colère, cette réaction ? Être dans la rébellion ? Est-ce qu'au contraire, je vais prendre de la distance et je vais plutôt chercher à juste observer ce qui se passe réellement et concrètement dans les faits au quotidien ? Est-ce que je peux trouver des arguments qui viennent contredire ce qui est annoncé ? Est-ce que je peux rester calme, rester tranquille ? Voilà, et en fait, c'est là qu'on a du pouvoir. C'est sur notre façon de réagir. Mais pour ça, il faut avoir de la conscience sur comment je réagis à la base, spontanément, quand il se passe telle ou telle chose. Et d'être complètement honnête et transparent envers soi-même. Est-ce que c'est normal de réagir de cette façon ? Ça peut être tout à fait normal de se sentir en colère, il n'y a aucun problème. Ça peut être normal de se sentir triste ou dépourvu, démuni face à une situation, aucun problème là-dessus, c'est de le reconnaître. Mais quand je dis ça, c'est est-ce que c'est normal en fait que ça vienne me pourrir la vie derrière et que je vienne entretenir ça au point vraiment de laisser trop de place à ça dans ma vie ? Je ne pourrais pas inviter un petit peu autre chose aussi dans mon quotidien, histoire que je me sente mieux. Parce que quitte à vivre une crise économique, autant que je la vive en me sentant plutôt sereine et créative. Et peut-être justement trouver des opportunités finalement dans cette crise, plutôt que d'être juste. Juste dans la soumission, ou subir, ou être juste dans la colère, la rébellion, etc. Et ça, on le voit à des niveaux moindres. Là, je parle de choses assez grosses, extérieures, sur lesquelles on n'a pas d'emprise, mais sur des petites choses du quotidien, sur les petites crises qu'il peut y avoir à la maison, des disputes entre les enfants qu'il faut gérer, peut-être des conflits un peu enterrinés avec son conjoint et sur lesquels on a besoin de revenir pour mettre les choses à plat. Ça peut être sur des choses au niveau professionnel, au niveau personnel, enfin ça touche à beaucoup de choses. Et mieux on se connaît et mieux on est capable de répondre aux situations d'une façon qui est plus appropriée. Ensuite, le deuxième pilier sur lequel je m'appuie au quotidien, c'est la pleine conscience et la méditation. C'est aussi un outil de connaissance de soi, c'est aussi un outil... qui permet donc d'avoir une connexion à la fois son esprit à la fois son coeur à la fois son corps on devient plus conscient de ce que chaque chose au quotidien produit sur nous on devient conscient de nos pensées donc ça aide et participe à la connaissance de soi on devient conscient de ses émotions qu'on est capable d'observer on devient conscient des sensations que ça fait dans notre corps des impacts qu'on a au niveau corporel, parfois on identifie des douleurs qui sont en réalité complètement reliées plutôt à des pensées, des émotions, à partir du moment où on les identifie et où on commence à libérer cette émotion parce qu'on en a pris connaissance, parce qu'on l'accepte et on l'intègre, du coup la douleur se libère, s'apaise, et on peut observer tout ça en fait. Et quand on devient conscient de... De tout ceci, ça amène aussi une forme d'état d'apaisement, une forme d'état aussi où quand il se passe une situation qui nous stresse, qui nous met dans l'anxiété, limite on se sent un peu en panique, la pleine conscience et la méditation peuvent être des ancrages. Je peux, grâce à la pleine conscience, notamment certains outils de pleine conscience comme la respiration, revenir à un état de calme. Alors, parfois ce n'est pas du 100%, on est d'accord. Mais au lieu d'être dans une panique totale, je vais peut-être diminuer cette panique de 50%, ce sera déjà pas mal. Et au fur et à mesure que je vais m'entraîner à faire ça, j'y arriverai de plus en plus rapidement, de plus en plus facilement. Ça deviendra de nouveaux automatismes. Et donc pratiquer la pleine conscience et la méditation de façon très régulière, c'est-à-dire quasiment au quotidien, à travers soit le simple fait de méditer réellement, soit le fait... De prendre des moments de pleine conscience, ça peut être sous la douche, ça peut être en train de manger, ça peut être quand on contemple quelque chose à l'extérieur pendant quelques minutes. Ça peut être le temps d'un câlin à ses enfants, d'être vraiment pleinement conscient, présent à ce qu'on est en train de faire, d'observer nos pensées, nos émotions, nos sensations. Ça peut être à un moment donné où on est dans les bouchons, on est en stress, ça nous énerve. Pleine conscience, je touche le volant, j'observe ma voiture, j'observe les autres voitures, je commence à nommer des couleurs. À par exemple lire les plaques d'immatriculation et en étant pleinement conscient de ce que je vois, j'intègre finalement mon environnement, je suis plus totalement déconnectée, je suis connectée à mon environnement et je peux me calmer de cette façon. Il y a plein d'outils comme ça dans la pleine conscience qui peuvent réellement aider déjà à mieux se connaître, ensuite à réguler ses émotions et à développer cette forme de confiance en soi, cette forme de sérénité presque absolue. Dans certaines situations, encore une fois, ce n'est pas du 100%, il faut apprendre aussi à être flexible, à ne pas vouloir toujours obtenir tout tout de suite et à vouloir faire ce travail qui est progressif, qui est constant, qui est régulier. Le troisième pilier sur lequel je m'appuie moi au quotidien, qui a amené aussi beaucoup, beaucoup de bien-être, qui m'a permis de composer avec ce trauma, de surmonter certains défis, ça a été de remettre en fait mon corps en mouvement déjà. beaucoup plus que ce que je pouvais le faire auparavant, donc de pratiquer de l'activité physique. Alors ça peut être de la marche tout simplement, ça peut être aussi de la course à pied, ça peut être de la nage, de la danse. Je pratique de plus en plus la danse intuitive aussi, c'est-à-dire que je mets de la musique et je m'autorise à complètement laisser parler mon corps sur la musique. On s'en fout de la chorégraphie, je m'en fous du ridicule, je m'en fous de ce que les autres peuvent penser, même si j'avoue que... J'avoue que je fais ça la plupart du temps quand je suis toute seule et je peux me sentir ridicule même quand je suis toute seule, mais j'essaye très souvent de dépasser justement ce stade-là de la honte ou du ridicule parce que non, c'est tout à fait juste, mon corps a besoin de libérer des choses et quand ça passe par le corps, c'est... Un accélérateur aussi de libération des émotions, ça permet de s'apaiser aussi beaucoup plus vite. Et finalement, le corps, il va raconter des choses de façon très spontanée. Parfois, il va faire ressortir des choses qu'on avait oubliées ou mises sous le tapis ou qu'on ne veut pas exprimer. Et là, ça nous permet de les exprimer librement. Donc, ça peut être à travers plein de choses, plein d'activités, celles qui vous parlent. En tout cas, moi, je vous l'ai dit, je pratique beaucoup la marche et le fitness. et puis la danse, mais ça peut être à travers différentes activités physiques que vous appréciez, que vous aimez. Le tout, c'est encore une fois de le faire en pleine conscience, d'être présent à ce que vous faites au moment où vous le faites. Et ça, ça va vous amener une grande compréhension de votre corps, mais aussi une grande connexion avec votre corps, avec tout votre corps. De ce corps, justement, juste le mouvoir ne suffit pas, c'est très important, mais aussi reprendre contact avec lui à travers le toucher. Et là, vous pouvez le faire tout simplement en auto-soin, ce que j'appelle comme ça, je ne sais pas trop si ça se dit, mais l'auto-soin, c'est le simple fait, par exemple, de s'appliquer une crème sur le corps, sur le visage, en pleine conscience, de faire son shampoing en pleine conscience, de prendre sa douche et de ressentir l'eau sur son corps et de se savonner. En ressentant les sensations, les textures, la douceur, la chaleur de l'eau, la douceur d'un savon, le parfum, et de sentir vos doigts, des pressions aussi de vos doigts sur le corps. Et de vraiment être dans cette connexion du soin au corps. Parfois, vous pouvez accorder de l'attention à un certain point. de votre corps, par exemple faire un massage que des pieds ou faire un massage des mains ou demander un massage à quelqu'un ou aller vous faire masser, faire des soins beauté ou ce que vous voulez, le fait de se maquiller aussi, c'est de l'auto-soin, on prend soin de soi, on est content, le fait d'aller chez le coiffeur, le fait de se coiffer soi-même aussi, le fait de se vêtir, de choisir ses habits qui vont être en contact avec notre corps, est-ce que je choisis des habits dans lesquels je suis bien ? dans lesquels je me sens bien en termes d'état d'esprit, mais dans lesquels je me sens bien aussi au niveau corporel, dans lesquels je me sens à l'aise, dans lesquels ma peau est à l'aise. Si je choisis des habits qui tiraillent sur ma peau, qui me serrent, dans lesquels je ne suis pas confortable, qui me font transpirer, ce n'est pas bon en fait. On n'est pas dans le soin de son corps quand c'est comme ça. Donc dirigez-vous vers les choses qui font du bien aussi à votre enveloppe corporelle. parce que c'est votre véhicule aussi. Et vous développez comme ça aussi une très bonne connaissance de vous-même. Quand vous comprenez quels sont vos besoins, de quoi votre corps a besoin, qu'est-ce qu'il aime, qu'est-ce qu'il n'aime pas, à quoi il réagit positivement, à quoi il réagit négativement, tout ça, ça impacte aussi beaucoup l'énergie. Quand on n'est pas bien, quand on n'est pas à l'aise dans son corps parce que, par exemple, on a des chaussures qui nous font mal aux pieds, ça va pomper notre énergie. Donc... Il y a plein de choses comme ça qui ont une incidence. Quand elles sont cumulées, elles peuvent avoir une incidence très grande et notamment impacter, à une finie, les émotions. Pilier numéro un, c'est développer une bonne connaissance de soi, se comprendre, se connaître et savoir comment on se comporte finalement et pourquoi on se comporte de telle ou telle manière. Le deuxième pilier, c'est vivre en pleine conscience, c'est-à-dire avoir conscience. de soi, de son corps, de son état d'esprit, des voeux de son cœur aussi, savoir intégrer son environnement à soi, savoir vivre à travers son environnement et surtout se reconnecter aussi à la seule temporalité qui compte, c'est-à-dire le présent, et donc avoir une conscience aussi de ses choix dans le présent. Et le troisième pilier, c'est développer cette conscience corporelle. Prendre soin de son corps, faire bouger son corps et voilà, envelopper son corps de beaucoup d'attention et d'amour. Et quand on est du coup dans cette connaissance de soi, dans cette pleine conscience de la vie, quand on habite pleinement son corps, finalement on va beaucoup mieux réussir à réguler ses émotions au quotidien. C'est comme si on avait de nouveaux bouts. dans notre tour de contrôle sur lesquels on pouvait aller appuyer et jouer quand on est face à telle ou telle situation. Finalement on sort d'un mode pilotage automatique, c'est-à-dire le pilotage automatique que nos émotions enclenchent sur nous et on reprend finalement le contrôle de ses émotions. pour faire des choix qui sont beaucoup plus judicieux. Et attention, je l'ai bien exprimé tout au long de ce podcast, prendre le contrôle de ses émotions, ce n'est pas supprimer des émotions, c'est les accepter, les reconnaître. C'est juste vraiment avoir plus de maîtrise sur ses émotions dans certaines situations. Et parfois, c'est complètement nécessaire de laisser ses émotions s'exprimer, de libérer ses émotions, de vivre ses émotions. C'est juste de... chercher les curseurs, le bon niveau, de savoir quand ça doit s'arrêter, de savoir comment je peux reprendre pied dans certaines situations, de savoir comment je peux exprimer réellement ces émotions et de ne plus être complètement le jouet de nos émotions. C'est ça en fait le but quand je dis surfer sur ces émotions, réguler ces émotions, c'est ça, c'est de comprendre à quel niveau je me situe, comment réagit mon système nerveux et qu'est-ce que ça induit. Pour moi, si ça me rend davantage malheureux, c'est là en fait que je peux du coup développer mon intelligence émotionnelle, aller chercher les bons boutons, chercher, parfois c'est juste de tester des choses aussi, de s'autoriser à tester. Donc ça c'est réellement trois piliers qui font partie intégrante de ma vie et c'est autour de ça que je construis aujourd'hui tout ce que je vous propose. Le coaching, en coaching je ne vais pas me concentrer que sur... votre problématique, évidemment, il y a une dimension holistique. On va voir qu'est-ce qui se passe au niveau de l'état d'esprit. Ce qui est super important, c'est de développer l'état d'esprit qui va vous permettre d'évoluer et d'aller vers vos objectifs, de relever les challenges que vous vous relevez, que vous voulez relever, de surmonter les défis auxquels vous faites face, de vivre le quotidien plus sereinement. Mais on va aller voir aussi qu'est-ce qui, au niveau de votre corps et de votre cœur, a besoin d'être nourri. pour vous servir en fait, pour vous aider, pour vous soutenir, pour vous apporter du bien-être. Donc mes outils c'est le coaching, mais c'est aussi toute cette panoplie d'outils qui font partie de ces trois piliers dont je vous ai parlé. Et c'est pour ça que petit à petit j'en viens à parler de davantage de méditation, de pleine conscience, vous indiquer des pratiques bien-être aussi, que ce soit dans des... produits gratuits ou que ce soit à travers les offres que je vous propose. Donc aujourd'hui, quelque part, ce que je vous propose, c'est une boîte à outils et à l'intérieur, vous pouvez aller saisir des choses pour progresser, pour évoluer sur les points sur lesquels vous avez besoin d'évoluer, soit en autonomie, soit en vous faisant accompagner directement par moi. C'est vraiment en fait devenu pour moi essentiel de partager ça parce que j'ai vraiment à cœur que les personnes soient outillées Pour se sentir bien, c'est quelque chose qui fait défaut, qu'on ne nous apprend pas, qu'on ne nous partage pas quand on est plus jeune, et c'est dommage, parce que ça viendrait tellement nous aider au quotidien à nous sentir plus sereins, à aussi pouvoir vivre notre atypisme de façon plus sereine, à accepter le fait qu'on est peut-être plus introverti et que ça nourrit certains besoins. à accepter le fait qu'on est sensible et que là aussi, ça va nourrir des besoins différents des personnes qui sont moins sensibles. Et de bien se connaître comme ça, ça permet de mieux s'accepter et ça permet de plus facilement déployer les ressources qui sont les nôtres, le potentiel qui est le nôtre, de nous focaliser finalement sur nos forces plutôt que sur nos défauts, plutôt que sur tout ce qui va nourrir des émotions. peuvent être un frein, comme la colère, comme la peur, comme la tristesse, et de faire en sorte que ce soit plus facile de composer avec elle au quotidien. Ça va vous permettre de développer cette forme de confiance en vous, de stabilité, de sécurité. Vous vous connaissez tellement bien que vous savez ce dont vous avez besoin, ce dont au contraire vous avez besoin de vous séparer parfois. Donc je ne parle pas forcément de personne, je parle d'habitude. d'habitude, de comportements, de croyances aussi, qui vous limitent. Et de développer cette forme de ok, mais moi j'ai besoin de ça et c'est juste, ça vient juste nourrir mes valeurs, mes besoins, qui je suis sur le plan humain Et en faisant ça, vous allez beaucoup d'ailleurs vous respecter. Et en vous respectant davantage, vous allez complètement développer une forme d'estime de vous-même plus grande, un amour de soi plus grand. Et ça, ça va aussi contribuer et nourrir votre stabilité intérieure, cette forme de force tranquille. Voilà, donc j'espère que cet épisode vous a parlé. N'hésitez pas à me dire dans les commentaires qu'est-ce que vous retenez de cet épisode, comment ça vous a interpellé justement, sur quoi vous avez-vous envie et besoin peut-être d'évoluer. En tout cas, si ça a résonné pour vous, n'hésitez pas à me le dire. en commentaire encore une fois ou en laissant une jolie note sur le podcast ou en le partageant parce que ça soutient réellement le podcast, ça aide le podcast à se faire connaître et justement à faire bénéficier d'autres personnes de tous ces outils que je vous partage aujourd'hui. Donc j'espère que cet épisode vous a plu. Je vous retrouve très bientôt dans l'appel du calme. D'ici là, passez une très très belle semaine. A bientôt !

Chapters

  • Introduction au podcast

    00:00

  • L'importance des émotions dans notre quotidien

    00:55

  • Profils émotionnels et régulation des émotions : un enjeu central

    02:43

  • Développer une force tranquille face aux émotions

    05:38

  • Emotions fortes et auto-protection : quand le système nerveux s'affole

    10:50

  • Premier pilier : connaissance de soi

    14:17

  • Deuxième pilier : pleine conscience et méditation

    20:43

  • Troisième pilier : Connexion au corps par l'activité physique et les soins

    23:58

  • Conclusion et invitation à la réflexion

    29:21

Description

Dans cet épisode de "L'appel du Calme", je vous invite à explorer un sujet qui nous touche tous : les émotions et leur impact sur notre quotidien.


Comment ces émotions, bien que naturelles, peuvent devenir des freins à la réalisation de vos objectifs et de votre épanouissement ?


Au cours de cet épisode, nous découvrons trois piliers pour réussir à réguler ses émotions au quotidien :
- la connaissance de soi,
- la pleine conscience,
- et la connexion au corps.


Ces outils issus du développement personnel sont des clés pour faciliter la gestion de nos émotions et aborder sa vie avec plus de sérénité.


En cultivant ces trois piliers, vous pouvez surmonter et prévenir des défis comme la procrastination, le découragement, le burn-out et retrouver force tranquille et calme intérieur.

Alors i vous cherchez à prendre du recul et améliorer votre bien-être, cet épisode est fait pour vous.


Rejoignez moi dès maintenant dans "L'appel du Calme" pour transformer votre regard sur vous-même et renforcer votre estime de vous.


N'hésitez pas à partager cet épisode avec vos proches et à me laisser vos impressions ⭐⭐⭐⭐⭐.

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Musiques utilisées dans ce podcast :

🎶Bande sonore jingle intro et outro :
Licensor's Author Username : Music_Beats
Item Title : Emotional Inspiring Piano
Licensee : Anne-Gaëlle MONTEIL 


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Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans l'Appel du calme, le podcast dédié aux personnes en quête de calme intérieur et d'harmonie dans leur vie. Ensemble, nous allons explorer les solutions pour vivre votre quotidien plus librement, vos émotions plus sereinement et vous épanouir avec confiance. Je suis Anne-Gaëlle Monteil, coach professionnel pour les leaders atypiques et votre guide dans ce voyage vers plus de bien-être. issues de ma pratique professionnelle, à des partages inspirants tirés de mon laboratoire de vie personnelle, à des méditations guidées et à la pleine conscience, accédez à plus de sérénité, d'énergie positive et d'équilibre dans votre vie. Alors, pour rejoindre cette douce aventure, embarquez dès maintenant dans ce nouvel épisode. À tout de suite ! Hello, je suis très heureuse de vous retrouver aujourd'hui pour ce nouvel épisode du podcast L'Appel du Calme. J'espère que vous allez bien, que vous êtes en pleine forme. Aujourd'hui, j'avais envie de faire un épisode sur les émotions, parler des émotions. Parce que c'est un sujet central en accompagnement. C'est souvent ce qui fait qu'on peut se sentir bloqué par moment dans la réalisation de nos projets, l'atteinte de nos objectifs, le fait tout simplement de se sentir bloqué. bien, bien dans sa peau, bien dans sa tête, bien dans son corps. Et du coup, je me suis dit, ok, allons-y pour un épisode sur ce sujet-là. Ce sujet, c'est réellement devenu mon obsession. Savoir réguler mes émotions, c'est le travail que j'ai entrepris ces derniers mois, ces dernières années, pour réussir à surmonter notamment un trauma, mais aussi... pour réussir à ne plus me laisser dominer par mes émotions dans certaines situations et pour acquérir finalement la capacité à prendre du recul, à ne plus réagir à chaud aux choses et à pouvoir prendre du recul et réagir d'une façon, je n'ai pas envie de dire plus logique, mais en tout cas moins émotionnelle. Non pas que les émotions ce soit quelque chose qui soit mauvais, en soi, mais effectivement par moments elles peuvent prendre le dessus, notamment si on a un profil sensible, hypersensible, émotif. Je sais que ça peut être un réel frein et que ça peut nourrir des difficultés au quotidien. Et moi j'ai vraiment à cœur, parce que je sais que c'est possible, de vous transmettre ces outils. C'est devenu ma mission essentielle et petit à petit mon activité de coaching s'est réorientée vers cette spécificité d'accompagner les émotions de me mettre au service du bien-être émotionnel des leaders que j'accompagne, leur permettre en fait d'avoir un leadership conscient, posé et aligné finalement avec leur personnalité. On peut être un leader, on peut être quelqu'un qui est entrepreneur, entreprenant dans la vie, tout en étant hypersensible, émotif, introverti. On peut être un artiste, un créatif. et être un leader aussi. Et si je parle des créatifs, des personnes artistiques, qui ont une vocation artistique créative, quel que soit le domaine d'ailleurs, parce qu'on pourrait penser en premier lieu à un peintre, à un sculpteur, quelqu'un qui fait vraiment de l'art, mais être créatif, ça se retrouve dans beaucoup de domaines, la création de vidéos, la photographie par exemple, la création de contenus. La création de produits, d'offres, de bijoux par exemple aussi. Dans la création de services aussi, notamment dans les formations, il faut avoir aussi une part de créativité pour créer des programmes qui sont attractifs, ludiques et en même temps pédagogiques. La créativité elle est partout, donc finalement notre fibre artistique elle peut se retrouver partout et aussi dans notre communication quand on est entrepreneur. qu'on a des produits ou des services à développer, on peut avoir besoin aussi de cette part émotionnelle finalement dans notre communication. Donc les émotions ne sont pas mauvaises et le but n'est pas de se couper des émotions, mais bien d'apprendre à plutôt réguler les émotions quand elles sont trop fortes, quand elles ont pris le contrôle finalement. Et que dans la tour de contrôle, il n'y a plus personne à part les émotions qui font un petit peu ce qu'elles veulent. Et pour cela... J'ai intégré dans mon quotidien parce que j'ai pu le tester, j'ai fait de mon quotidien une sorte de laboratoire de développement personnel où j'expérimente des choses, je vois si ça marche, si ça marche pas, comment ça marche aussi et ce que ça apporte comme résultat. C'est non pas que ce soit une vérité absolue, que forcément ça va marcher pour vous aussi, parce qu'on est tous différents, on a tous aussi des besoins, des sensibilités différentes à certains outils. Donc peut-être que les outils, les méthodes, les piliers que je vais vous présenter, ce ne sont pas des choses qui vont vous parler, mais quand même. Je pense que ça peut être intéressant d'écouter ça avec curiosité et de se demander à quel point c'est présent dans votre vie, à quel point par exemple... Telle ou telle chose fonctionne ou pourrait être un petit peu plus intégrée dans votre quotidien pour amener cette sensation d'apaisement, de bien-être. Le but en fait, quelque part, c'est de développer une forme de force tranquille. J'emploie beaucoup cette expression ces derniers temps parce que c'est comme ça que je me sens. J'ai développé cette forme de force tranquille. Évidemment, il y a toujours des moments où je vais réagir, je vais me sentir piqué, je vais... avoir des émotions très très fortes parce que ça fait partie de moi. Je pense qu'il y a une première part d'acceptation aussi de qui l'on est à la base. Si on a une sensibilité exacerbée et que c'est ainsi depuis toujours, il n'est pas question de devenir quelqu'un d'autre, de se changer, de modifier ça, parce que c'est aussi un pouvoir, c'est aussi quelque chose de particulier, un petit truc en plus finalement que l'on a et dont on peut se servir selon les circonstances. Donc ça peut être quelque chose d'utile, sur lequel on peut s'appuyer, à condition de connaître finalement dans quelle mesure ça crée les émotions, des limites chez nous, des limitations, des obstacles. Si je reparle des objectifs, évidemment, par exemple, si j'ai un objectif important et que ça nécessite que je fasse des choses que je n'ai pas l'habitude de faire, que ça me mette dans des situations inhabituelles, confrontantes, challengeantes, ça va me provoquer du stress, des peurs. je vais peut-être obtenir des résultats différents de ceux auxquels j'aspirais et je vais peut-être me sentir en échec ou mis en danger. Mais ces émotions-là, du coup, elles peuvent être un frein à notre épanouissement professionnel, personnel. Et ça peut nous amener à nous replier sur nous, à procrastiner, à finalement faire des tâches qui n'ont pas de réel intérêt. pour notre objectif et qui visent plutôt à nous rassurer parce que c'est des choses qu'on sait faire, qu'on a l'habitude de faire ou qui ne sont pas trop compliquées à faire. Les émotions peuvent aussi nous conduire à surréagir, à prendre de mauvaises décisions parce qu'on va réagir à chaud. Par exemple, on peut décider d'abandonner un projet parce qu'on est extrêmement déçu, triste de ne pas réussir comme on voudrait. On peut aussi avoir... Peut-être des mots qui fâchent ou décider de mettre fin à une relation parce qu'on est très en colère contre quelqu'un ou déçu par quelqu'un ou très attristé par une situation. Et donc, on peut se dire, ok, j'arrête et je prends mes distances. Et bien sûr, par la suite, avoir des regrets par rapport à tout ça parce qu'on se dit, mais en fait, j'ai réagi immédiatement, j'ai réagi à chaud, etc. Au quotidien. on rencontre des situations dans lesquelles on peut se sentir submergé par une émotion. Ça peut être la colère parce qu'on est extrêmement frustré, d'avoir beaucoup de choses à faire, de ne pas réussir à les faire en temps et en heure, de se sentir submergé par des tâches et contraintes quotidiennes, vouloir par exemple que chez soi ce soit rangé, ce soit un espace agréable, et puis on a cet éternel recommencement avec les enfants qui jouent, qui dispersent des affaires. peut-être le conjoint qui en rajoute un petit peu et qui n'aide pas forcément ou qui ne se rend pas compte que pour nous, c'est important d'avoir cet espace clair, propre. Quand on rentre chez soi, ça peut être d'autres situations où par exemple, c'est la tristesse qui va nous submerger. On apprend une mauvaise nouvelle ou on vit quelque chose en fait qui nous est difficile à supporter, à intégrer, qui cause chez nous du chagrin, de la tristesse, peut-être un petit peu de mélancolie. À ce moment-là, on va plutôt avoir envie de se rouler en boule sur le canapé, ne rien faire, être complètement prostré, figé, dans l'inaction. Et ça, ça peut avoir une incidence, eh bien justement, sur nos objectifs quotidiens, mais aussi sur nos objectifs à long terme. On peut aussi, je parle souvent d'objectifs parce que c'est ce qui revient beaucoup en coaching, forcément j'accompagne des objectifs, mais aussi parfois les personnes, elles arrivent avec un projet. Avec l'envie de réaliser quelque chose. Elles ont une vision et elles savent ce qu'elles veulent accomplir. Elles savent quelque part où elles ont envie d'aller. Mais le comment on y va et comment je passe certaines étapes, c'est ça qui est difficile. Et surtout ça devient difficile quand je sais qu'il y a certaines étapes à travers ce projet qui ne sont pas forcément... dans ma zone de talent, dans ma zone de génie, dans ma zone de confort, que ça va me demander des efforts particuliers ou d'aller mobiliser des ressources que je n'ai pas encore, ça, ça peut effrayer. Et donc, les personnes, elles se mettent à procrastiner sur leur projet. Finalement, presque, elles s'auto-sabotent, mais c'est complètement inconscient, ce n'est pas volontaire, mais elles font des choses qui ne vont pas forcément les aider. Elles vont se conforter simplement dans des choses qui les rassurent. Et ce qui fait que le projet n'avance pas. Parfois même, elles ne font rien en faveur de leur projet. C'est-à-dire qu'elles savent qu'elles l'ont, elles le mettent de côté. Et elles se sentent frustrées parce qu'elles ont envie de le développer. Mais en même temps, elles s'en veulent parce qu'elles ne le font pas. Et c'est un cercle vicieux en fait. Et donc il y a beaucoup... d'émotions, c'est comme une espèce de marmite qui bouillonne pleine d'émotions et à un moment donné, on ne sait plus trop quoi faire de toutes ces émotions. Et ce qui se passe, c'est que quand il y en a trop, quand c'est trop fort, notre système nerveux va se déréguler et soit on va se mettre en mode protection totale rentrer dans une espèce de carapace, de figement, de paralysie, comme si on ne voulait plus rien ressentir. Donc en fait, on se met en mode pilotage automatique et on vit le quotidien en mode pilotage automatique. On commence à faire les choses simplement qui nous sont habituelles, que l'on doit faire, et on n'est plus, même plus conscient, on n'apporte plus de regard conscient sur les choix qu'on fait, sur ce qu'on est en train de faire, sur comment on le fait. Ce qui fait que parfois... En fait, on nourrit des situations qui nous sont inconfortables, qui nous sont désagréables. On sait pertinemment qu'on devrait en sortir, mais on continue. Il y a aussi un autre état du système nerveux qui fait que parfois c'est l'inverse. On va rentrer dans un mode... de combat vis-à-vis de ces émotions, on va rentrer en lutte contre notre propre colère, contre notre tristesse, on va générer quelque chose qui va être de l'ordre de la résistance en fait. Et comme on résiste à ces émotions qui sont là et qui quand même sont des indicateurs, En fait, on ne se permet pas de vivre la situation telle qu'elle est et d'avoir une forme de compréhension de cette situation. Si je comprends en fait que cet objectif me fait peur parce qu'à l'intérieur il y a des étapes que je ne me sens pas capable de réaliser moi-même et qui pourtant sont nécessaires pour que je puisse réaliser mon projet par exemple, créer mon activité ou lancer un nouveau produit par exemple. je vais être en lutte contre ça. Et je vais probablement faire des actions complètement inefficaces, inappropriées, au lieu de peut-être trouver des solutions créatives pour m'aider, m'appuyer dans la réalisation de ce projet, de ses objectifs. Ça peut être un mode aussi où on va rentrer dans une espèce d'hyperactivité. On va faire beaucoup, beaucoup de choses, histoire de ne pas penser aux choses essentielles que l'on devrait faire réellement, et histoire de ne pas penser surtout aux émotions que ça génère. en nous. Et ça, c'est assez commun en fait. C'est le mode fuite. Pour le coup, on va plutôt chercher à éviter les émotions. Cette fois-ci, non pas en se mettant une carapace, mais plutôt en faisant beaucoup, beaucoup d'actions pour les fuir. Et donc là, c'est pareil. Ça met une forme de distance avec nous-mêmes et aussi une forme de distance avec cet état de conscience qu'on pourrait avoir de nous. Donc, j'en reviens souvent à la conscience parce que c'est une clé majeure pour commencer à réguler ses émotions, avoir conscience. de nos émotions, de ce qu'elles sont, de ce qu'elles signifient, de leur impact sur nous. Et en fait, quand on commence à développer certaines facultés autour de l'intelligence émotionnelle, on réussit de plus en plus à prendre du recul, à ne plus réagir à chaud, à comprendre finalement les émotions quand elles surviennent, à comprendre ce qui se passe finalement dans notre tour de contrôle et à appuyer sur les bons boutons. Et parfois, appuyer sur le bon bouton, c'est... décider d'appuyer sur le bouton un petit peu plus tard. C'est décider de laisser passer un petit peu de temps par exemple. Donc moi j'avais envie vraiment de vous partager mes trois piliers qui peuvent vous aider à surfer avec vos émotions et à développer cette force tranquille. Donc le premier pilier sur lequel je m'appuie, c'est évidemment le fait de développer une très bonne connaissance de soi. Et ça, c'est à travers des outils tels que le coaching, qui est un outil très puissant pour développer une bonne connaissance de soi, par le biais d'un questionnement stratégique, de questions ouvertes qu'on n'a pas l'habitude de se poser finalement. Donc souvent, c'est quand un coach nous pose ces questions-là, ça nous surprend, ça vient chercher des réponses auxquelles On n'a pas forcément l'habitude, ça vient aussi débloquer certaines conceptions que l'on a autour de notre situation, certaines croyances. Et ça nous permet de mieux nous connaître aussi en nous écoutant parler. Capable au bout d'un moment, quand on a été accompagné en coaching, de s'auto-coacher aussi, de s'approprier ce questionnement stratégique et ensuite de s'auto-coacher au quotidien, de se poser ce type de questions pour sortir des cycles fermés et trouver des solutions plus créatives à nos difficultés, à nos blocages, etc. A comprendre aussi qu'est-ce qui se passe, quels sont les enjeux, quand telle émotion survient, etc. Donc développer une bonne connaissance de soi, ça peut passer à travers le coaching, mais aussi... Un outil que j'utilise beaucoup pour la connaissance de soi, c'est l'écriture intuitive et introspective. Encore une fois, c'est le simple fait d'ouvrir son journal et de déposer immédiatement ce qui survient comme pensée ou comme émotion. Voici ce qui s'est passé, voici ce que j'ai pensé, voici les émotions qui sont présentes, voici ce que je ressens dans mon corps. Ça paraît très basique, mais en fait, de découper ça, ça permet de voir... Quels sont finalement l'impact des pensées sur mes émotions ? Quel est l'impact de mes émotions sur mes comportements ? Quel est l'impact de mon comportement du coup dans le quotidien ? Et qu'est-ce que ça produit comme nouvelles pensées ? Et en fait, au fur et à mesure, on peut prendre de la distance déjà par rapport aux émotions. Elles sont déposées, on ne les a plus dans la tête. Ça permet un peu de justement faire retomber les choses. Et puis d'observer, d'être plus en observation. de ses émotions, de ses pensées, et du coup d'être peut-être plus neutre, plus objectif, presque comme si on observait les écrits de quelqu'un d'autre. Et on a, grâce à cette distance, la capacité à s'introspecter, à se poser de bonnes questions, pour essayer de modifier la situation. Bien sûr, écrire pour écrire, ça peut faire du bien, mais si j'écris sans essayer de changer quoi que ce soit, il se reproduira, a priori, toujours la même chose. Donc le but, c'est que quand je suis dans l'écriture intuitive, introspective, je peux déjà me poser la question, qu'est-ce que je peux changer, qu'est-ce qui est dans mon pouvoir, et si j'agissais différemment dans cette situation, donc si j'agissais de telle ou telle façon, qu'est-ce qui pourrait se produire, qu'est-ce que ça pourrait m'apporter, à quel besoin j'ai besoin de répondre, sur quoi j'ai besoin de porter de l'attention. Par exemple, qu'est-ce que ma colère vient raconter ? Qu'est-ce que ma frustration vient raconter ? Qu'est-ce que mes pleurs aujourd'hui sont venues dire ? Et de se comprendre, d'aller se comprendre avec beaucoup de compassion, beaucoup d'amour de soi, s'envelopper de douceur, de compassion, se prendre par la main, mais aussi être dans une forme de posture où on ne va pas tomber dans la victimisation, la plainte, l'autocomplaisance. histoire de ne pas rester enfermée justement dans cette situation qui nous crée des tensions, des soucis. Ce qu'on veut, c'est en sortir. Donc pour ça, il faut avoir cette posture de responsabilisation par rapport à ça et de se dire, ok, qu'est-ce que je peux faire ? Qu'est-ce qui est en mon pouvoir ? Parce qu'encore une fois, il y a des choses sur lesquelles on n'a pas d'emprise, on n'a pas de pouvoir. La seule chose sur laquelle on peut agir dans ces moments-là, subit une situation, parce que ça arrive de subir la situation, c'est de choisir comment finalement on va subir la situation. Est-ce que par exemple, par rapport à une crise économique qui nous est annoncée à la télévision par des politiques, est-ce que je vais rentrer en colère, en réaction ? Est-ce que je vais nourrir cette colère, cette réaction ? Être dans la rébellion ? Est-ce qu'au contraire, je vais prendre de la distance et je vais plutôt chercher à juste observer ce qui se passe réellement et concrètement dans les faits au quotidien ? Est-ce que je peux trouver des arguments qui viennent contredire ce qui est annoncé ? Est-ce que je peux rester calme, rester tranquille ? Voilà, et en fait, c'est là qu'on a du pouvoir. C'est sur notre façon de réagir. Mais pour ça, il faut avoir de la conscience sur comment je réagis à la base, spontanément, quand il se passe telle ou telle chose. Et d'être complètement honnête et transparent envers soi-même. Est-ce que c'est normal de réagir de cette façon ? Ça peut être tout à fait normal de se sentir en colère, il n'y a aucun problème. Ça peut être normal de se sentir triste ou dépourvu, démuni face à une situation, aucun problème là-dessus, c'est de le reconnaître. Mais quand je dis ça, c'est est-ce que c'est normal en fait que ça vienne me pourrir la vie derrière et que je vienne entretenir ça au point vraiment de laisser trop de place à ça dans ma vie ? Je ne pourrais pas inviter un petit peu autre chose aussi dans mon quotidien, histoire que je me sente mieux. Parce que quitte à vivre une crise économique, autant que je la vive en me sentant plutôt sereine et créative. Et peut-être justement trouver des opportunités finalement dans cette crise, plutôt que d'être juste. Juste dans la soumission, ou subir, ou être juste dans la colère, la rébellion, etc. Et ça, on le voit à des niveaux moindres. Là, je parle de choses assez grosses, extérieures, sur lesquelles on n'a pas d'emprise, mais sur des petites choses du quotidien, sur les petites crises qu'il peut y avoir à la maison, des disputes entre les enfants qu'il faut gérer, peut-être des conflits un peu enterrinés avec son conjoint et sur lesquels on a besoin de revenir pour mettre les choses à plat. Ça peut être sur des choses au niveau professionnel, au niveau personnel, enfin ça touche à beaucoup de choses. Et mieux on se connaît et mieux on est capable de répondre aux situations d'une façon qui est plus appropriée. Ensuite, le deuxième pilier sur lequel je m'appuie au quotidien, c'est la pleine conscience et la méditation. C'est aussi un outil de connaissance de soi, c'est aussi un outil... qui permet donc d'avoir une connexion à la fois son esprit à la fois son coeur à la fois son corps on devient plus conscient de ce que chaque chose au quotidien produit sur nous on devient conscient de nos pensées donc ça aide et participe à la connaissance de soi on devient conscient de ses émotions qu'on est capable d'observer on devient conscient des sensations que ça fait dans notre corps des impacts qu'on a au niveau corporel, parfois on identifie des douleurs qui sont en réalité complètement reliées plutôt à des pensées, des émotions, à partir du moment où on les identifie et où on commence à libérer cette émotion parce qu'on en a pris connaissance, parce qu'on l'accepte et on l'intègre, du coup la douleur se libère, s'apaise, et on peut observer tout ça en fait. Et quand on devient conscient de... De tout ceci, ça amène aussi une forme d'état d'apaisement, une forme d'état aussi où quand il se passe une situation qui nous stresse, qui nous met dans l'anxiété, limite on se sent un peu en panique, la pleine conscience et la méditation peuvent être des ancrages. Je peux, grâce à la pleine conscience, notamment certains outils de pleine conscience comme la respiration, revenir à un état de calme. Alors, parfois ce n'est pas du 100%, on est d'accord. Mais au lieu d'être dans une panique totale, je vais peut-être diminuer cette panique de 50%, ce sera déjà pas mal. Et au fur et à mesure que je vais m'entraîner à faire ça, j'y arriverai de plus en plus rapidement, de plus en plus facilement. Ça deviendra de nouveaux automatismes. Et donc pratiquer la pleine conscience et la méditation de façon très régulière, c'est-à-dire quasiment au quotidien, à travers soit le simple fait de méditer réellement, soit le fait... De prendre des moments de pleine conscience, ça peut être sous la douche, ça peut être en train de manger, ça peut être quand on contemple quelque chose à l'extérieur pendant quelques minutes. Ça peut être le temps d'un câlin à ses enfants, d'être vraiment pleinement conscient, présent à ce qu'on est en train de faire, d'observer nos pensées, nos émotions, nos sensations. Ça peut être à un moment donné où on est dans les bouchons, on est en stress, ça nous énerve. Pleine conscience, je touche le volant, j'observe ma voiture, j'observe les autres voitures, je commence à nommer des couleurs. À par exemple lire les plaques d'immatriculation et en étant pleinement conscient de ce que je vois, j'intègre finalement mon environnement, je suis plus totalement déconnectée, je suis connectée à mon environnement et je peux me calmer de cette façon. Il y a plein d'outils comme ça dans la pleine conscience qui peuvent réellement aider déjà à mieux se connaître, ensuite à réguler ses émotions et à développer cette forme de confiance en soi, cette forme de sérénité presque absolue. Dans certaines situations, encore une fois, ce n'est pas du 100%, il faut apprendre aussi à être flexible, à ne pas vouloir toujours obtenir tout tout de suite et à vouloir faire ce travail qui est progressif, qui est constant, qui est régulier. Le troisième pilier sur lequel je m'appuie moi au quotidien, qui a amené aussi beaucoup, beaucoup de bien-être, qui m'a permis de composer avec ce trauma, de surmonter certains défis, ça a été de remettre en fait mon corps en mouvement déjà. beaucoup plus que ce que je pouvais le faire auparavant, donc de pratiquer de l'activité physique. Alors ça peut être de la marche tout simplement, ça peut être aussi de la course à pied, ça peut être de la nage, de la danse. Je pratique de plus en plus la danse intuitive aussi, c'est-à-dire que je mets de la musique et je m'autorise à complètement laisser parler mon corps sur la musique. On s'en fout de la chorégraphie, je m'en fous du ridicule, je m'en fous de ce que les autres peuvent penser, même si j'avoue que... J'avoue que je fais ça la plupart du temps quand je suis toute seule et je peux me sentir ridicule même quand je suis toute seule, mais j'essaye très souvent de dépasser justement ce stade-là de la honte ou du ridicule parce que non, c'est tout à fait juste, mon corps a besoin de libérer des choses et quand ça passe par le corps, c'est... Un accélérateur aussi de libération des émotions, ça permet de s'apaiser aussi beaucoup plus vite. Et finalement, le corps, il va raconter des choses de façon très spontanée. Parfois, il va faire ressortir des choses qu'on avait oubliées ou mises sous le tapis ou qu'on ne veut pas exprimer. Et là, ça nous permet de les exprimer librement. Donc, ça peut être à travers plein de choses, plein d'activités, celles qui vous parlent. En tout cas, moi, je vous l'ai dit, je pratique beaucoup la marche et le fitness. et puis la danse, mais ça peut être à travers différentes activités physiques que vous appréciez, que vous aimez. Le tout, c'est encore une fois de le faire en pleine conscience, d'être présent à ce que vous faites au moment où vous le faites. Et ça, ça va vous amener une grande compréhension de votre corps, mais aussi une grande connexion avec votre corps, avec tout votre corps. De ce corps, justement, juste le mouvoir ne suffit pas, c'est très important, mais aussi reprendre contact avec lui à travers le toucher. Et là, vous pouvez le faire tout simplement en auto-soin, ce que j'appelle comme ça, je ne sais pas trop si ça se dit, mais l'auto-soin, c'est le simple fait, par exemple, de s'appliquer une crème sur le corps, sur le visage, en pleine conscience, de faire son shampoing en pleine conscience, de prendre sa douche et de ressentir l'eau sur son corps et de se savonner. En ressentant les sensations, les textures, la douceur, la chaleur de l'eau, la douceur d'un savon, le parfum, et de sentir vos doigts, des pressions aussi de vos doigts sur le corps. Et de vraiment être dans cette connexion du soin au corps. Parfois, vous pouvez accorder de l'attention à un certain point. de votre corps, par exemple faire un massage que des pieds ou faire un massage des mains ou demander un massage à quelqu'un ou aller vous faire masser, faire des soins beauté ou ce que vous voulez, le fait de se maquiller aussi, c'est de l'auto-soin, on prend soin de soi, on est content, le fait d'aller chez le coiffeur, le fait de se coiffer soi-même aussi, le fait de se vêtir, de choisir ses habits qui vont être en contact avec notre corps, est-ce que je choisis des habits dans lesquels je suis bien ? dans lesquels je me sens bien en termes d'état d'esprit, mais dans lesquels je me sens bien aussi au niveau corporel, dans lesquels je me sens à l'aise, dans lesquels ma peau est à l'aise. Si je choisis des habits qui tiraillent sur ma peau, qui me serrent, dans lesquels je ne suis pas confortable, qui me font transpirer, ce n'est pas bon en fait. On n'est pas dans le soin de son corps quand c'est comme ça. Donc dirigez-vous vers les choses qui font du bien aussi à votre enveloppe corporelle. parce que c'est votre véhicule aussi. Et vous développez comme ça aussi une très bonne connaissance de vous-même. Quand vous comprenez quels sont vos besoins, de quoi votre corps a besoin, qu'est-ce qu'il aime, qu'est-ce qu'il n'aime pas, à quoi il réagit positivement, à quoi il réagit négativement, tout ça, ça impacte aussi beaucoup l'énergie. Quand on n'est pas bien, quand on n'est pas à l'aise dans son corps parce que, par exemple, on a des chaussures qui nous font mal aux pieds, ça va pomper notre énergie. Donc... Il y a plein de choses comme ça qui ont une incidence. Quand elles sont cumulées, elles peuvent avoir une incidence très grande et notamment impacter, à une finie, les émotions. Pilier numéro un, c'est développer une bonne connaissance de soi, se comprendre, se connaître et savoir comment on se comporte finalement et pourquoi on se comporte de telle ou telle manière. Le deuxième pilier, c'est vivre en pleine conscience, c'est-à-dire avoir conscience. de soi, de son corps, de son état d'esprit, des voeux de son cœur aussi, savoir intégrer son environnement à soi, savoir vivre à travers son environnement et surtout se reconnecter aussi à la seule temporalité qui compte, c'est-à-dire le présent, et donc avoir une conscience aussi de ses choix dans le présent. Et le troisième pilier, c'est développer cette conscience corporelle. Prendre soin de son corps, faire bouger son corps et voilà, envelopper son corps de beaucoup d'attention et d'amour. Et quand on est du coup dans cette connaissance de soi, dans cette pleine conscience de la vie, quand on habite pleinement son corps, finalement on va beaucoup mieux réussir à réguler ses émotions au quotidien. C'est comme si on avait de nouveaux bouts. dans notre tour de contrôle sur lesquels on pouvait aller appuyer et jouer quand on est face à telle ou telle situation. Finalement on sort d'un mode pilotage automatique, c'est-à-dire le pilotage automatique que nos émotions enclenchent sur nous et on reprend finalement le contrôle de ses émotions. pour faire des choix qui sont beaucoup plus judicieux. Et attention, je l'ai bien exprimé tout au long de ce podcast, prendre le contrôle de ses émotions, ce n'est pas supprimer des émotions, c'est les accepter, les reconnaître. C'est juste vraiment avoir plus de maîtrise sur ses émotions dans certaines situations. Et parfois, c'est complètement nécessaire de laisser ses émotions s'exprimer, de libérer ses émotions, de vivre ses émotions. C'est juste de... chercher les curseurs, le bon niveau, de savoir quand ça doit s'arrêter, de savoir comment je peux reprendre pied dans certaines situations, de savoir comment je peux exprimer réellement ces émotions et de ne plus être complètement le jouet de nos émotions. C'est ça en fait le but quand je dis surfer sur ces émotions, réguler ces émotions, c'est ça, c'est de comprendre à quel niveau je me situe, comment réagit mon système nerveux et qu'est-ce que ça induit. Pour moi, si ça me rend davantage malheureux, c'est là en fait que je peux du coup développer mon intelligence émotionnelle, aller chercher les bons boutons, chercher, parfois c'est juste de tester des choses aussi, de s'autoriser à tester. Donc ça c'est réellement trois piliers qui font partie intégrante de ma vie et c'est autour de ça que je construis aujourd'hui tout ce que je vous propose. Le coaching, en coaching je ne vais pas me concentrer que sur... votre problématique, évidemment, il y a une dimension holistique. On va voir qu'est-ce qui se passe au niveau de l'état d'esprit. Ce qui est super important, c'est de développer l'état d'esprit qui va vous permettre d'évoluer et d'aller vers vos objectifs, de relever les challenges que vous vous relevez, que vous voulez relever, de surmonter les défis auxquels vous faites face, de vivre le quotidien plus sereinement. Mais on va aller voir aussi qu'est-ce qui, au niveau de votre corps et de votre cœur, a besoin d'être nourri. pour vous servir en fait, pour vous aider, pour vous soutenir, pour vous apporter du bien-être. Donc mes outils c'est le coaching, mais c'est aussi toute cette panoplie d'outils qui font partie de ces trois piliers dont je vous ai parlé. Et c'est pour ça que petit à petit j'en viens à parler de davantage de méditation, de pleine conscience, vous indiquer des pratiques bien-être aussi, que ce soit dans des... produits gratuits ou que ce soit à travers les offres que je vous propose. Donc aujourd'hui, quelque part, ce que je vous propose, c'est une boîte à outils et à l'intérieur, vous pouvez aller saisir des choses pour progresser, pour évoluer sur les points sur lesquels vous avez besoin d'évoluer, soit en autonomie, soit en vous faisant accompagner directement par moi. C'est vraiment en fait devenu pour moi essentiel de partager ça parce que j'ai vraiment à cœur que les personnes soient outillées Pour se sentir bien, c'est quelque chose qui fait défaut, qu'on ne nous apprend pas, qu'on ne nous partage pas quand on est plus jeune, et c'est dommage, parce que ça viendrait tellement nous aider au quotidien à nous sentir plus sereins, à aussi pouvoir vivre notre atypisme de façon plus sereine, à accepter le fait qu'on est peut-être plus introverti et que ça nourrit certains besoins. à accepter le fait qu'on est sensible et que là aussi, ça va nourrir des besoins différents des personnes qui sont moins sensibles. Et de bien se connaître comme ça, ça permet de mieux s'accepter et ça permet de plus facilement déployer les ressources qui sont les nôtres, le potentiel qui est le nôtre, de nous focaliser finalement sur nos forces plutôt que sur nos défauts, plutôt que sur tout ce qui va nourrir des émotions. peuvent être un frein, comme la colère, comme la peur, comme la tristesse, et de faire en sorte que ce soit plus facile de composer avec elle au quotidien. Ça va vous permettre de développer cette forme de confiance en vous, de stabilité, de sécurité. Vous vous connaissez tellement bien que vous savez ce dont vous avez besoin, ce dont au contraire vous avez besoin de vous séparer parfois. Donc je ne parle pas forcément de personne, je parle d'habitude. d'habitude, de comportements, de croyances aussi, qui vous limitent. Et de développer cette forme de ok, mais moi j'ai besoin de ça et c'est juste, ça vient juste nourrir mes valeurs, mes besoins, qui je suis sur le plan humain Et en faisant ça, vous allez beaucoup d'ailleurs vous respecter. Et en vous respectant davantage, vous allez complètement développer une forme d'estime de vous-même plus grande, un amour de soi plus grand. Et ça, ça va aussi contribuer et nourrir votre stabilité intérieure, cette forme de force tranquille. Voilà, donc j'espère que cet épisode vous a parlé. N'hésitez pas à me dire dans les commentaires qu'est-ce que vous retenez de cet épisode, comment ça vous a interpellé justement, sur quoi vous avez-vous envie et besoin peut-être d'évoluer. En tout cas, si ça a résonné pour vous, n'hésitez pas à me le dire. en commentaire encore une fois ou en laissant une jolie note sur le podcast ou en le partageant parce que ça soutient réellement le podcast, ça aide le podcast à se faire connaître et justement à faire bénéficier d'autres personnes de tous ces outils que je vous partage aujourd'hui. Donc j'espère que cet épisode vous a plu. Je vous retrouve très bientôt dans l'appel du calme. D'ici là, passez une très très belle semaine. A bientôt !

Chapters

  • Introduction au podcast

    00:00

  • L'importance des émotions dans notre quotidien

    00:55

  • Profils émotionnels et régulation des émotions : un enjeu central

    02:43

  • Développer une force tranquille face aux émotions

    05:38

  • Emotions fortes et auto-protection : quand le système nerveux s'affole

    10:50

  • Premier pilier : connaissance de soi

    14:17

  • Deuxième pilier : pleine conscience et méditation

    20:43

  • Troisième pilier : Connexion au corps par l'activité physique et les soins

    23:58

  • Conclusion et invitation à la réflexion

    29:21

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Description

Dans cet épisode de "L'appel du Calme", je vous invite à explorer un sujet qui nous touche tous : les émotions et leur impact sur notre quotidien.


Comment ces émotions, bien que naturelles, peuvent devenir des freins à la réalisation de vos objectifs et de votre épanouissement ?


Au cours de cet épisode, nous découvrons trois piliers pour réussir à réguler ses émotions au quotidien :
- la connaissance de soi,
- la pleine conscience,
- et la connexion au corps.


Ces outils issus du développement personnel sont des clés pour faciliter la gestion de nos émotions et aborder sa vie avec plus de sérénité.


En cultivant ces trois piliers, vous pouvez surmonter et prévenir des défis comme la procrastination, le découragement, le burn-out et retrouver force tranquille et calme intérieur.

Alors i vous cherchez à prendre du recul et améliorer votre bien-être, cet épisode est fait pour vous.


Rejoignez moi dès maintenant dans "L'appel du Calme" pour transformer votre regard sur vous-même et renforcer votre estime de vous.


N'hésitez pas à partager cet épisode avec vos proches et à me laisser vos impressions ⭐⭐⭐⭐⭐.

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Musiques utilisées dans ce podcast :

🎶Bande sonore jingle intro et outro :
Licensor's Author Username : Music_Beats
Item Title : Emotional Inspiring Piano
Licensee : Anne-Gaëlle MONTEIL 


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Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans l'Appel du calme, le podcast dédié aux personnes en quête de calme intérieur et d'harmonie dans leur vie. Ensemble, nous allons explorer les solutions pour vivre votre quotidien plus librement, vos émotions plus sereinement et vous épanouir avec confiance. Je suis Anne-Gaëlle Monteil, coach professionnel pour les leaders atypiques et votre guide dans ce voyage vers plus de bien-être. issues de ma pratique professionnelle, à des partages inspirants tirés de mon laboratoire de vie personnelle, à des méditations guidées et à la pleine conscience, accédez à plus de sérénité, d'énergie positive et d'équilibre dans votre vie. Alors, pour rejoindre cette douce aventure, embarquez dès maintenant dans ce nouvel épisode. À tout de suite ! Hello, je suis très heureuse de vous retrouver aujourd'hui pour ce nouvel épisode du podcast L'Appel du Calme. J'espère que vous allez bien, que vous êtes en pleine forme. Aujourd'hui, j'avais envie de faire un épisode sur les émotions, parler des émotions. Parce que c'est un sujet central en accompagnement. C'est souvent ce qui fait qu'on peut se sentir bloqué par moment dans la réalisation de nos projets, l'atteinte de nos objectifs, le fait tout simplement de se sentir bloqué. bien, bien dans sa peau, bien dans sa tête, bien dans son corps. Et du coup, je me suis dit, ok, allons-y pour un épisode sur ce sujet-là. Ce sujet, c'est réellement devenu mon obsession. Savoir réguler mes émotions, c'est le travail que j'ai entrepris ces derniers mois, ces dernières années, pour réussir à surmonter notamment un trauma, mais aussi... pour réussir à ne plus me laisser dominer par mes émotions dans certaines situations et pour acquérir finalement la capacité à prendre du recul, à ne plus réagir à chaud aux choses et à pouvoir prendre du recul et réagir d'une façon, je n'ai pas envie de dire plus logique, mais en tout cas moins émotionnelle. Non pas que les émotions ce soit quelque chose qui soit mauvais, en soi, mais effectivement par moments elles peuvent prendre le dessus, notamment si on a un profil sensible, hypersensible, émotif. Je sais que ça peut être un réel frein et que ça peut nourrir des difficultés au quotidien. Et moi j'ai vraiment à cœur, parce que je sais que c'est possible, de vous transmettre ces outils. C'est devenu ma mission essentielle et petit à petit mon activité de coaching s'est réorientée vers cette spécificité d'accompagner les émotions de me mettre au service du bien-être émotionnel des leaders que j'accompagne, leur permettre en fait d'avoir un leadership conscient, posé et aligné finalement avec leur personnalité. On peut être un leader, on peut être quelqu'un qui est entrepreneur, entreprenant dans la vie, tout en étant hypersensible, émotif, introverti. On peut être un artiste, un créatif. et être un leader aussi. Et si je parle des créatifs, des personnes artistiques, qui ont une vocation artistique créative, quel que soit le domaine d'ailleurs, parce qu'on pourrait penser en premier lieu à un peintre, à un sculpteur, quelqu'un qui fait vraiment de l'art, mais être créatif, ça se retrouve dans beaucoup de domaines, la création de vidéos, la photographie par exemple, la création de contenus. La création de produits, d'offres, de bijoux par exemple aussi. Dans la création de services aussi, notamment dans les formations, il faut avoir aussi une part de créativité pour créer des programmes qui sont attractifs, ludiques et en même temps pédagogiques. La créativité elle est partout, donc finalement notre fibre artistique elle peut se retrouver partout et aussi dans notre communication quand on est entrepreneur. qu'on a des produits ou des services à développer, on peut avoir besoin aussi de cette part émotionnelle finalement dans notre communication. Donc les émotions ne sont pas mauvaises et le but n'est pas de se couper des émotions, mais bien d'apprendre à plutôt réguler les émotions quand elles sont trop fortes, quand elles ont pris le contrôle finalement. Et que dans la tour de contrôle, il n'y a plus personne à part les émotions qui font un petit peu ce qu'elles veulent. Et pour cela... J'ai intégré dans mon quotidien parce que j'ai pu le tester, j'ai fait de mon quotidien une sorte de laboratoire de développement personnel où j'expérimente des choses, je vois si ça marche, si ça marche pas, comment ça marche aussi et ce que ça apporte comme résultat. C'est non pas que ce soit une vérité absolue, que forcément ça va marcher pour vous aussi, parce qu'on est tous différents, on a tous aussi des besoins, des sensibilités différentes à certains outils. Donc peut-être que les outils, les méthodes, les piliers que je vais vous présenter, ce ne sont pas des choses qui vont vous parler, mais quand même. Je pense que ça peut être intéressant d'écouter ça avec curiosité et de se demander à quel point c'est présent dans votre vie, à quel point par exemple... Telle ou telle chose fonctionne ou pourrait être un petit peu plus intégrée dans votre quotidien pour amener cette sensation d'apaisement, de bien-être. Le but en fait, quelque part, c'est de développer une forme de force tranquille. J'emploie beaucoup cette expression ces derniers temps parce que c'est comme ça que je me sens. J'ai développé cette forme de force tranquille. Évidemment, il y a toujours des moments où je vais réagir, je vais me sentir piqué, je vais... avoir des émotions très très fortes parce que ça fait partie de moi. Je pense qu'il y a une première part d'acceptation aussi de qui l'on est à la base. Si on a une sensibilité exacerbée et que c'est ainsi depuis toujours, il n'est pas question de devenir quelqu'un d'autre, de se changer, de modifier ça, parce que c'est aussi un pouvoir, c'est aussi quelque chose de particulier, un petit truc en plus finalement que l'on a et dont on peut se servir selon les circonstances. Donc ça peut être quelque chose d'utile, sur lequel on peut s'appuyer, à condition de connaître finalement dans quelle mesure ça crée les émotions, des limites chez nous, des limitations, des obstacles. Si je reparle des objectifs, évidemment, par exemple, si j'ai un objectif important et que ça nécessite que je fasse des choses que je n'ai pas l'habitude de faire, que ça me mette dans des situations inhabituelles, confrontantes, challengeantes, ça va me provoquer du stress, des peurs. je vais peut-être obtenir des résultats différents de ceux auxquels j'aspirais et je vais peut-être me sentir en échec ou mis en danger. Mais ces émotions-là, du coup, elles peuvent être un frein à notre épanouissement professionnel, personnel. Et ça peut nous amener à nous replier sur nous, à procrastiner, à finalement faire des tâches qui n'ont pas de réel intérêt. pour notre objectif et qui visent plutôt à nous rassurer parce que c'est des choses qu'on sait faire, qu'on a l'habitude de faire ou qui ne sont pas trop compliquées à faire. Les émotions peuvent aussi nous conduire à surréagir, à prendre de mauvaises décisions parce qu'on va réagir à chaud. Par exemple, on peut décider d'abandonner un projet parce qu'on est extrêmement déçu, triste de ne pas réussir comme on voudrait. On peut aussi avoir... Peut-être des mots qui fâchent ou décider de mettre fin à une relation parce qu'on est très en colère contre quelqu'un ou déçu par quelqu'un ou très attristé par une situation. Et donc, on peut se dire, ok, j'arrête et je prends mes distances. Et bien sûr, par la suite, avoir des regrets par rapport à tout ça parce qu'on se dit, mais en fait, j'ai réagi immédiatement, j'ai réagi à chaud, etc. Au quotidien. on rencontre des situations dans lesquelles on peut se sentir submergé par une émotion. Ça peut être la colère parce qu'on est extrêmement frustré, d'avoir beaucoup de choses à faire, de ne pas réussir à les faire en temps et en heure, de se sentir submergé par des tâches et contraintes quotidiennes, vouloir par exemple que chez soi ce soit rangé, ce soit un espace agréable, et puis on a cet éternel recommencement avec les enfants qui jouent, qui dispersent des affaires. peut-être le conjoint qui en rajoute un petit peu et qui n'aide pas forcément ou qui ne se rend pas compte que pour nous, c'est important d'avoir cet espace clair, propre. Quand on rentre chez soi, ça peut être d'autres situations où par exemple, c'est la tristesse qui va nous submerger. On apprend une mauvaise nouvelle ou on vit quelque chose en fait qui nous est difficile à supporter, à intégrer, qui cause chez nous du chagrin, de la tristesse, peut-être un petit peu de mélancolie. À ce moment-là, on va plutôt avoir envie de se rouler en boule sur le canapé, ne rien faire, être complètement prostré, figé, dans l'inaction. Et ça, ça peut avoir une incidence, eh bien justement, sur nos objectifs quotidiens, mais aussi sur nos objectifs à long terme. On peut aussi, je parle souvent d'objectifs parce que c'est ce qui revient beaucoup en coaching, forcément j'accompagne des objectifs, mais aussi parfois les personnes, elles arrivent avec un projet. Avec l'envie de réaliser quelque chose. Elles ont une vision et elles savent ce qu'elles veulent accomplir. Elles savent quelque part où elles ont envie d'aller. Mais le comment on y va et comment je passe certaines étapes, c'est ça qui est difficile. Et surtout ça devient difficile quand je sais qu'il y a certaines étapes à travers ce projet qui ne sont pas forcément... dans ma zone de talent, dans ma zone de génie, dans ma zone de confort, que ça va me demander des efforts particuliers ou d'aller mobiliser des ressources que je n'ai pas encore, ça, ça peut effrayer. Et donc, les personnes, elles se mettent à procrastiner sur leur projet. Finalement, presque, elles s'auto-sabotent, mais c'est complètement inconscient, ce n'est pas volontaire, mais elles font des choses qui ne vont pas forcément les aider. Elles vont se conforter simplement dans des choses qui les rassurent. Et ce qui fait que le projet n'avance pas. Parfois même, elles ne font rien en faveur de leur projet. C'est-à-dire qu'elles savent qu'elles l'ont, elles le mettent de côté. Et elles se sentent frustrées parce qu'elles ont envie de le développer. Mais en même temps, elles s'en veulent parce qu'elles ne le font pas. Et c'est un cercle vicieux en fait. Et donc il y a beaucoup... d'émotions, c'est comme une espèce de marmite qui bouillonne pleine d'émotions et à un moment donné, on ne sait plus trop quoi faire de toutes ces émotions. Et ce qui se passe, c'est que quand il y en a trop, quand c'est trop fort, notre système nerveux va se déréguler et soit on va se mettre en mode protection totale rentrer dans une espèce de carapace, de figement, de paralysie, comme si on ne voulait plus rien ressentir. Donc en fait, on se met en mode pilotage automatique et on vit le quotidien en mode pilotage automatique. On commence à faire les choses simplement qui nous sont habituelles, que l'on doit faire, et on n'est plus, même plus conscient, on n'apporte plus de regard conscient sur les choix qu'on fait, sur ce qu'on est en train de faire, sur comment on le fait. Ce qui fait que parfois... En fait, on nourrit des situations qui nous sont inconfortables, qui nous sont désagréables. On sait pertinemment qu'on devrait en sortir, mais on continue. Il y a aussi un autre état du système nerveux qui fait que parfois c'est l'inverse. On va rentrer dans un mode... de combat vis-à-vis de ces émotions, on va rentrer en lutte contre notre propre colère, contre notre tristesse, on va générer quelque chose qui va être de l'ordre de la résistance en fait. Et comme on résiste à ces émotions qui sont là et qui quand même sont des indicateurs, En fait, on ne se permet pas de vivre la situation telle qu'elle est et d'avoir une forme de compréhension de cette situation. Si je comprends en fait que cet objectif me fait peur parce qu'à l'intérieur il y a des étapes que je ne me sens pas capable de réaliser moi-même et qui pourtant sont nécessaires pour que je puisse réaliser mon projet par exemple, créer mon activité ou lancer un nouveau produit par exemple. je vais être en lutte contre ça. Et je vais probablement faire des actions complètement inefficaces, inappropriées, au lieu de peut-être trouver des solutions créatives pour m'aider, m'appuyer dans la réalisation de ce projet, de ses objectifs. Ça peut être un mode aussi où on va rentrer dans une espèce d'hyperactivité. On va faire beaucoup, beaucoup de choses, histoire de ne pas penser aux choses essentielles que l'on devrait faire réellement, et histoire de ne pas penser surtout aux émotions que ça génère. en nous. Et ça, c'est assez commun en fait. C'est le mode fuite. Pour le coup, on va plutôt chercher à éviter les émotions. Cette fois-ci, non pas en se mettant une carapace, mais plutôt en faisant beaucoup, beaucoup d'actions pour les fuir. Et donc là, c'est pareil. Ça met une forme de distance avec nous-mêmes et aussi une forme de distance avec cet état de conscience qu'on pourrait avoir de nous. Donc, j'en reviens souvent à la conscience parce que c'est une clé majeure pour commencer à réguler ses émotions, avoir conscience. de nos émotions, de ce qu'elles sont, de ce qu'elles signifient, de leur impact sur nous. Et en fait, quand on commence à développer certaines facultés autour de l'intelligence émotionnelle, on réussit de plus en plus à prendre du recul, à ne plus réagir à chaud, à comprendre finalement les émotions quand elles surviennent, à comprendre ce qui se passe finalement dans notre tour de contrôle et à appuyer sur les bons boutons. Et parfois, appuyer sur le bon bouton, c'est... décider d'appuyer sur le bouton un petit peu plus tard. C'est décider de laisser passer un petit peu de temps par exemple. Donc moi j'avais envie vraiment de vous partager mes trois piliers qui peuvent vous aider à surfer avec vos émotions et à développer cette force tranquille. Donc le premier pilier sur lequel je m'appuie, c'est évidemment le fait de développer une très bonne connaissance de soi. Et ça, c'est à travers des outils tels que le coaching, qui est un outil très puissant pour développer une bonne connaissance de soi, par le biais d'un questionnement stratégique, de questions ouvertes qu'on n'a pas l'habitude de se poser finalement. Donc souvent, c'est quand un coach nous pose ces questions-là, ça nous surprend, ça vient chercher des réponses auxquelles On n'a pas forcément l'habitude, ça vient aussi débloquer certaines conceptions que l'on a autour de notre situation, certaines croyances. Et ça nous permet de mieux nous connaître aussi en nous écoutant parler. Capable au bout d'un moment, quand on a été accompagné en coaching, de s'auto-coacher aussi, de s'approprier ce questionnement stratégique et ensuite de s'auto-coacher au quotidien, de se poser ce type de questions pour sortir des cycles fermés et trouver des solutions plus créatives à nos difficultés, à nos blocages, etc. A comprendre aussi qu'est-ce qui se passe, quels sont les enjeux, quand telle émotion survient, etc. Donc développer une bonne connaissance de soi, ça peut passer à travers le coaching, mais aussi... Un outil que j'utilise beaucoup pour la connaissance de soi, c'est l'écriture intuitive et introspective. Encore une fois, c'est le simple fait d'ouvrir son journal et de déposer immédiatement ce qui survient comme pensée ou comme émotion. Voici ce qui s'est passé, voici ce que j'ai pensé, voici les émotions qui sont présentes, voici ce que je ressens dans mon corps. Ça paraît très basique, mais en fait, de découper ça, ça permet de voir... Quels sont finalement l'impact des pensées sur mes émotions ? Quel est l'impact de mes émotions sur mes comportements ? Quel est l'impact de mon comportement du coup dans le quotidien ? Et qu'est-ce que ça produit comme nouvelles pensées ? Et en fait, au fur et à mesure, on peut prendre de la distance déjà par rapport aux émotions. Elles sont déposées, on ne les a plus dans la tête. Ça permet un peu de justement faire retomber les choses. Et puis d'observer, d'être plus en observation. de ses émotions, de ses pensées, et du coup d'être peut-être plus neutre, plus objectif, presque comme si on observait les écrits de quelqu'un d'autre. Et on a, grâce à cette distance, la capacité à s'introspecter, à se poser de bonnes questions, pour essayer de modifier la situation. Bien sûr, écrire pour écrire, ça peut faire du bien, mais si j'écris sans essayer de changer quoi que ce soit, il se reproduira, a priori, toujours la même chose. Donc le but, c'est que quand je suis dans l'écriture intuitive, introspective, je peux déjà me poser la question, qu'est-ce que je peux changer, qu'est-ce qui est dans mon pouvoir, et si j'agissais différemment dans cette situation, donc si j'agissais de telle ou telle façon, qu'est-ce qui pourrait se produire, qu'est-ce que ça pourrait m'apporter, à quel besoin j'ai besoin de répondre, sur quoi j'ai besoin de porter de l'attention. Par exemple, qu'est-ce que ma colère vient raconter ? Qu'est-ce que ma frustration vient raconter ? Qu'est-ce que mes pleurs aujourd'hui sont venues dire ? Et de se comprendre, d'aller se comprendre avec beaucoup de compassion, beaucoup d'amour de soi, s'envelopper de douceur, de compassion, se prendre par la main, mais aussi être dans une forme de posture où on ne va pas tomber dans la victimisation, la plainte, l'autocomplaisance. histoire de ne pas rester enfermée justement dans cette situation qui nous crée des tensions, des soucis. Ce qu'on veut, c'est en sortir. Donc pour ça, il faut avoir cette posture de responsabilisation par rapport à ça et de se dire, ok, qu'est-ce que je peux faire ? Qu'est-ce qui est en mon pouvoir ? Parce qu'encore une fois, il y a des choses sur lesquelles on n'a pas d'emprise, on n'a pas de pouvoir. La seule chose sur laquelle on peut agir dans ces moments-là, subit une situation, parce que ça arrive de subir la situation, c'est de choisir comment finalement on va subir la situation. Est-ce que par exemple, par rapport à une crise économique qui nous est annoncée à la télévision par des politiques, est-ce que je vais rentrer en colère, en réaction ? Est-ce que je vais nourrir cette colère, cette réaction ? Être dans la rébellion ? Est-ce qu'au contraire, je vais prendre de la distance et je vais plutôt chercher à juste observer ce qui se passe réellement et concrètement dans les faits au quotidien ? Est-ce que je peux trouver des arguments qui viennent contredire ce qui est annoncé ? Est-ce que je peux rester calme, rester tranquille ? Voilà, et en fait, c'est là qu'on a du pouvoir. C'est sur notre façon de réagir. Mais pour ça, il faut avoir de la conscience sur comment je réagis à la base, spontanément, quand il se passe telle ou telle chose. Et d'être complètement honnête et transparent envers soi-même. Est-ce que c'est normal de réagir de cette façon ? Ça peut être tout à fait normal de se sentir en colère, il n'y a aucun problème. Ça peut être normal de se sentir triste ou dépourvu, démuni face à une situation, aucun problème là-dessus, c'est de le reconnaître. Mais quand je dis ça, c'est est-ce que c'est normal en fait que ça vienne me pourrir la vie derrière et que je vienne entretenir ça au point vraiment de laisser trop de place à ça dans ma vie ? Je ne pourrais pas inviter un petit peu autre chose aussi dans mon quotidien, histoire que je me sente mieux. Parce que quitte à vivre une crise économique, autant que je la vive en me sentant plutôt sereine et créative. Et peut-être justement trouver des opportunités finalement dans cette crise, plutôt que d'être juste. Juste dans la soumission, ou subir, ou être juste dans la colère, la rébellion, etc. Et ça, on le voit à des niveaux moindres. Là, je parle de choses assez grosses, extérieures, sur lesquelles on n'a pas d'emprise, mais sur des petites choses du quotidien, sur les petites crises qu'il peut y avoir à la maison, des disputes entre les enfants qu'il faut gérer, peut-être des conflits un peu enterrinés avec son conjoint et sur lesquels on a besoin de revenir pour mettre les choses à plat. Ça peut être sur des choses au niveau professionnel, au niveau personnel, enfin ça touche à beaucoup de choses. Et mieux on se connaît et mieux on est capable de répondre aux situations d'une façon qui est plus appropriée. Ensuite, le deuxième pilier sur lequel je m'appuie au quotidien, c'est la pleine conscience et la méditation. C'est aussi un outil de connaissance de soi, c'est aussi un outil... qui permet donc d'avoir une connexion à la fois son esprit à la fois son coeur à la fois son corps on devient plus conscient de ce que chaque chose au quotidien produit sur nous on devient conscient de nos pensées donc ça aide et participe à la connaissance de soi on devient conscient de ses émotions qu'on est capable d'observer on devient conscient des sensations que ça fait dans notre corps des impacts qu'on a au niveau corporel, parfois on identifie des douleurs qui sont en réalité complètement reliées plutôt à des pensées, des émotions, à partir du moment où on les identifie et où on commence à libérer cette émotion parce qu'on en a pris connaissance, parce qu'on l'accepte et on l'intègre, du coup la douleur se libère, s'apaise, et on peut observer tout ça en fait. Et quand on devient conscient de... De tout ceci, ça amène aussi une forme d'état d'apaisement, une forme d'état aussi où quand il se passe une situation qui nous stresse, qui nous met dans l'anxiété, limite on se sent un peu en panique, la pleine conscience et la méditation peuvent être des ancrages. Je peux, grâce à la pleine conscience, notamment certains outils de pleine conscience comme la respiration, revenir à un état de calme. Alors, parfois ce n'est pas du 100%, on est d'accord. Mais au lieu d'être dans une panique totale, je vais peut-être diminuer cette panique de 50%, ce sera déjà pas mal. Et au fur et à mesure que je vais m'entraîner à faire ça, j'y arriverai de plus en plus rapidement, de plus en plus facilement. Ça deviendra de nouveaux automatismes. Et donc pratiquer la pleine conscience et la méditation de façon très régulière, c'est-à-dire quasiment au quotidien, à travers soit le simple fait de méditer réellement, soit le fait... De prendre des moments de pleine conscience, ça peut être sous la douche, ça peut être en train de manger, ça peut être quand on contemple quelque chose à l'extérieur pendant quelques minutes. Ça peut être le temps d'un câlin à ses enfants, d'être vraiment pleinement conscient, présent à ce qu'on est en train de faire, d'observer nos pensées, nos émotions, nos sensations. Ça peut être à un moment donné où on est dans les bouchons, on est en stress, ça nous énerve. Pleine conscience, je touche le volant, j'observe ma voiture, j'observe les autres voitures, je commence à nommer des couleurs. À par exemple lire les plaques d'immatriculation et en étant pleinement conscient de ce que je vois, j'intègre finalement mon environnement, je suis plus totalement déconnectée, je suis connectée à mon environnement et je peux me calmer de cette façon. Il y a plein d'outils comme ça dans la pleine conscience qui peuvent réellement aider déjà à mieux se connaître, ensuite à réguler ses émotions et à développer cette forme de confiance en soi, cette forme de sérénité presque absolue. Dans certaines situations, encore une fois, ce n'est pas du 100%, il faut apprendre aussi à être flexible, à ne pas vouloir toujours obtenir tout tout de suite et à vouloir faire ce travail qui est progressif, qui est constant, qui est régulier. Le troisième pilier sur lequel je m'appuie moi au quotidien, qui a amené aussi beaucoup, beaucoup de bien-être, qui m'a permis de composer avec ce trauma, de surmonter certains défis, ça a été de remettre en fait mon corps en mouvement déjà. beaucoup plus que ce que je pouvais le faire auparavant, donc de pratiquer de l'activité physique. Alors ça peut être de la marche tout simplement, ça peut être aussi de la course à pied, ça peut être de la nage, de la danse. Je pratique de plus en plus la danse intuitive aussi, c'est-à-dire que je mets de la musique et je m'autorise à complètement laisser parler mon corps sur la musique. On s'en fout de la chorégraphie, je m'en fous du ridicule, je m'en fous de ce que les autres peuvent penser, même si j'avoue que... J'avoue que je fais ça la plupart du temps quand je suis toute seule et je peux me sentir ridicule même quand je suis toute seule, mais j'essaye très souvent de dépasser justement ce stade-là de la honte ou du ridicule parce que non, c'est tout à fait juste, mon corps a besoin de libérer des choses et quand ça passe par le corps, c'est... Un accélérateur aussi de libération des émotions, ça permet de s'apaiser aussi beaucoup plus vite. Et finalement, le corps, il va raconter des choses de façon très spontanée. Parfois, il va faire ressortir des choses qu'on avait oubliées ou mises sous le tapis ou qu'on ne veut pas exprimer. Et là, ça nous permet de les exprimer librement. Donc, ça peut être à travers plein de choses, plein d'activités, celles qui vous parlent. En tout cas, moi, je vous l'ai dit, je pratique beaucoup la marche et le fitness. et puis la danse, mais ça peut être à travers différentes activités physiques que vous appréciez, que vous aimez. Le tout, c'est encore une fois de le faire en pleine conscience, d'être présent à ce que vous faites au moment où vous le faites. Et ça, ça va vous amener une grande compréhension de votre corps, mais aussi une grande connexion avec votre corps, avec tout votre corps. De ce corps, justement, juste le mouvoir ne suffit pas, c'est très important, mais aussi reprendre contact avec lui à travers le toucher. Et là, vous pouvez le faire tout simplement en auto-soin, ce que j'appelle comme ça, je ne sais pas trop si ça se dit, mais l'auto-soin, c'est le simple fait, par exemple, de s'appliquer une crème sur le corps, sur le visage, en pleine conscience, de faire son shampoing en pleine conscience, de prendre sa douche et de ressentir l'eau sur son corps et de se savonner. En ressentant les sensations, les textures, la douceur, la chaleur de l'eau, la douceur d'un savon, le parfum, et de sentir vos doigts, des pressions aussi de vos doigts sur le corps. Et de vraiment être dans cette connexion du soin au corps. Parfois, vous pouvez accorder de l'attention à un certain point. de votre corps, par exemple faire un massage que des pieds ou faire un massage des mains ou demander un massage à quelqu'un ou aller vous faire masser, faire des soins beauté ou ce que vous voulez, le fait de se maquiller aussi, c'est de l'auto-soin, on prend soin de soi, on est content, le fait d'aller chez le coiffeur, le fait de se coiffer soi-même aussi, le fait de se vêtir, de choisir ses habits qui vont être en contact avec notre corps, est-ce que je choisis des habits dans lesquels je suis bien ? dans lesquels je me sens bien en termes d'état d'esprit, mais dans lesquels je me sens bien aussi au niveau corporel, dans lesquels je me sens à l'aise, dans lesquels ma peau est à l'aise. Si je choisis des habits qui tiraillent sur ma peau, qui me serrent, dans lesquels je ne suis pas confortable, qui me font transpirer, ce n'est pas bon en fait. On n'est pas dans le soin de son corps quand c'est comme ça. Donc dirigez-vous vers les choses qui font du bien aussi à votre enveloppe corporelle. parce que c'est votre véhicule aussi. Et vous développez comme ça aussi une très bonne connaissance de vous-même. Quand vous comprenez quels sont vos besoins, de quoi votre corps a besoin, qu'est-ce qu'il aime, qu'est-ce qu'il n'aime pas, à quoi il réagit positivement, à quoi il réagit négativement, tout ça, ça impacte aussi beaucoup l'énergie. Quand on n'est pas bien, quand on n'est pas à l'aise dans son corps parce que, par exemple, on a des chaussures qui nous font mal aux pieds, ça va pomper notre énergie. Donc... Il y a plein de choses comme ça qui ont une incidence. Quand elles sont cumulées, elles peuvent avoir une incidence très grande et notamment impacter, à une finie, les émotions. Pilier numéro un, c'est développer une bonne connaissance de soi, se comprendre, se connaître et savoir comment on se comporte finalement et pourquoi on se comporte de telle ou telle manière. Le deuxième pilier, c'est vivre en pleine conscience, c'est-à-dire avoir conscience. de soi, de son corps, de son état d'esprit, des voeux de son cœur aussi, savoir intégrer son environnement à soi, savoir vivre à travers son environnement et surtout se reconnecter aussi à la seule temporalité qui compte, c'est-à-dire le présent, et donc avoir une conscience aussi de ses choix dans le présent. Et le troisième pilier, c'est développer cette conscience corporelle. Prendre soin de son corps, faire bouger son corps et voilà, envelopper son corps de beaucoup d'attention et d'amour. Et quand on est du coup dans cette connaissance de soi, dans cette pleine conscience de la vie, quand on habite pleinement son corps, finalement on va beaucoup mieux réussir à réguler ses émotions au quotidien. C'est comme si on avait de nouveaux bouts. dans notre tour de contrôle sur lesquels on pouvait aller appuyer et jouer quand on est face à telle ou telle situation. Finalement on sort d'un mode pilotage automatique, c'est-à-dire le pilotage automatique que nos émotions enclenchent sur nous et on reprend finalement le contrôle de ses émotions. pour faire des choix qui sont beaucoup plus judicieux. Et attention, je l'ai bien exprimé tout au long de ce podcast, prendre le contrôle de ses émotions, ce n'est pas supprimer des émotions, c'est les accepter, les reconnaître. C'est juste vraiment avoir plus de maîtrise sur ses émotions dans certaines situations. Et parfois, c'est complètement nécessaire de laisser ses émotions s'exprimer, de libérer ses émotions, de vivre ses émotions. C'est juste de... chercher les curseurs, le bon niveau, de savoir quand ça doit s'arrêter, de savoir comment je peux reprendre pied dans certaines situations, de savoir comment je peux exprimer réellement ces émotions et de ne plus être complètement le jouet de nos émotions. C'est ça en fait le but quand je dis surfer sur ces émotions, réguler ces émotions, c'est ça, c'est de comprendre à quel niveau je me situe, comment réagit mon système nerveux et qu'est-ce que ça induit. Pour moi, si ça me rend davantage malheureux, c'est là en fait que je peux du coup développer mon intelligence émotionnelle, aller chercher les bons boutons, chercher, parfois c'est juste de tester des choses aussi, de s'autoriser à tester. Donc ça c'est réellement trois piliers qui font partie intégrante de ma vie et c'est autour de ça que je construis aujourd'hui tout ce que je vous propose. Le coaching, en coaching je ne vais pas me concentrer que sur... votre problématique, évidemment, il y a une dimension holistique. On va voir qu'est-ce qui se passe au niveau de l'état d'esprit. Ce qui est super important, c'est de développer l'état d'esprit qui va vous permettre d'évoluer et d'aller vers vos objectifs, de relever les challenges que vous vous relevez, que vous voulez relever, de surmonter les défis auxquels vous faites face, de vivre le quotidien plus sereinement. Mais on va aller voir aussi qu'est-ce qui, au niveau de votre corps et de votre cœur, a besoin d'être nourri. pour vous servir en fait, pour vous aider, pour vous soutenir, pour vous apporter du bien-être. Donc mes outils c'est le coaching, mais c'est aussi toute cette panoplie d'outils qui font partie de ces trois piliers dont je vous ai parlé. Et c'est pour ça que petit à petit j'en viens à parler de davantage de méditation, de pleine conscience, vous indiquer des pratiques bien-être aussi, que ce soit dans des... produits gratuits ou que ce soit à travers les offres que je vous propose. Donc aujourd'hui, quelque part, ce que je vous propose, c'est une boîte à outils et à l'intérieur, vous pouvez aller saisir des choses pour progresser, pour évoluer sur les points sur lesquels vous avez besoin d'évoluer, soit en autonomie, soit en vous faisant accompagner directement par moi. C'est vraiment en fait devenu pour moi essentiel de partager ça parce que j'ai vraiment à cœur que les personnes soient outillées Pour se sentir bien, c'est quelque chose qui fait défaut, qu'on ne nous apprend pas, qu'on ne nous partage pas quand on est plus jeune, et c'est dommage, parce que ça viendrait tellement nous aider au quotidien à nous sentir plus sereins, à aussi pouvoir vivre notre atypisme de façon plus sereine, à accepter le fait qu'on est peut-être plus introverti et que ça nourrit certains besoins. à accepter le fait qu'on est sensible et que là aussi, ça va nourrir des besoins différents des personnes qui sont moins sensibles. Et de bien se connaître comme ça, ça permet de mieux s'accepter et ça permet de plus facilement déployer les ressources qui sont les nôtres, le potentiel qui est le nôtre, de nous focaliser finalement sur nos forces plutôt que sur nos défauts, plutôt que sur tout ce qui va nourrir des émotions. peuvent être un frein, comme la colère, comme la peur, comme la tristesse, et de faire en sorte que ce soit plus facile de composer avec elle au quotidien. Ça va vous permettre de développer cette forme de confiance en vous, de stabilité, de sécurité. Vous vous connaissez tellement bien que vous savez ce dont vous avez besoin, ce dont au contraire vous avez besoin de vous séparer parfois. Donc je ne parle pas forcément de personne, je parle d'habitude. d'habitude, de comportements, de croyances aussi, qui vous limitent. Et de développer cette forme de ok, mais moi j'ai besoin de ça et c'est juste, ça vient juste nourrir mes valeurs, mes besoins, qui je suis sur le plan humain Et en faisant ça, vous allez beaucoup d'ailleurs vous respecter. Et en vous respectant davantage, vous allez complètement développer une forme d'estime de vous-même plus grande, un amour de soi plus grand. Et ça, ça va aussi contribuer et nourrir votre stabilité intérieure, cette forme de force tranquille. Voilà, donc j'espère que cet épisode vous a parlé. N'hésitez pas à me dire dans les commentaires qu'est-ce que vous retenez de cet épisode, comment ça vous a interpellé justement, sur quoi vous avez-vous envie et besoin peut-être d'évoluer. En tout cas, si ça a résonné pour vous, n'hésitez pas à me le dire. en commentaire encore une fois ou en laissant une jolie note sur le podcast ou en le partageant parce que ça soutient réellement le podcast, ça aide le podcast à se faire connaître et justement à faire bénéficier d'autres personnes de tous ces outils que je vous partage aujourd'hui. Donc j'espère que cet épisode vous a plu. Je vous retrouve très bientôt dans l'appel du calme. D'ici là, passez une très très belle semaine. A bientôt !

Chapters

  • Introduction au podcast

    00:00

  • L'importance des émotions dans notre quotidien

    00:55

  • Profils émotionnels et régulation des émotions : un enjeu central

    02:43

  • Développer une force tranquille face aux émotions

    05:38

  • Emotions fortes et auto-protection : quand le système nerveux s'affole

    10:50

  • Premier pilier : connaissance de soi

    14:17

  • Deuxième pilier : pleine conscience et méditation

    20:43

  • Troisième pilier : Connexion au corps par l'activité physique et les soins

    23:58

  • Conclusion et invitation à la réflexion

    29:21

Description

Dans cet épisode de "L'appel du Calme", je vous invite à explorer un sujet qui nous touche tous : les émotions et leur impact sur notre quotidien.


Comment ces émotions, bien que naturelles, peuvent devenir des freins à la réalisation de vos objectifs et de votre épanouissement ?


Au cours de cet épisode, nous découvrons trois piliers pour réussir à réguler ses émotions au quotidien :
- la connaissance de soi,
- la pleine conscience,
- et la connexion au corps.


Ces outils issus du développement personnel sont des clés pour faciliter la gestion de nos émotions et aborder sa vie avec plus de sérénité.


En cultivant ces trois piliers, vous pouvez surmonter et prévenir des défis comme la procrastination, le découragement, le burn-out et retrouver force tranquille et calme intérieur.

Alors i vous cherchez à prendre du recul et améliorer votre bien-être, cet épisode est fait pour vous.


Rejoignez moi dès maintenant dans "L'appel du Calme" pour transformer votre regard sur vous-même et renforcer votre estime de vous.


N'hésitez pas à partager cet épisode avec vos proches et à me laisser vos impressions ⭐⭐⭐⭐⭐.

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Musiques utilisées dans ce podcast :

🎶Bande sonore jingle intro et outro :
Licensor's Author Username : Music_Beats
Item Title : Emotional Inspiring Piano
Licensee : Anne-Gaëlle MONTEIL 


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Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans l'Appel du calme, le podcast dédié aux personnes en quête de calme intérieur et d'harmonie dans leur vie. Ensemble, nous allons explorer les solutions pour vivre votre quotidien plus librement, vos émotions plus sereinement et vous épanouir avec confiance. Je suis Anne-Gaëlle Monteil, coach professionnel pour les leaders atypiques et votre guide dans ce voyage vers plus de bien-être. issues de ma pratique professionnelle, à des partages inspirants tirés de mon laboratoire de vie personnelle, à des méditations guidées et à la pleine conscience, accédez à plus de sérénité, d'énergie positive et d'équilibre dans votre vie. Alors, pour rejoindre cette douce aventure, embarquez dès maintenant dans ce nouvel épisode. À tout de suite ! Hello, je suis très heureuse de vous retrouver aujourd'hui pour ce nouvel épisode du podcast L'Appel du Calme. J'espère que vous allez bien, que vous êtes en pleine forme. Aujourd'hui, j'avais envie de faire un épisode sur les émotions, parler des émotions. Parce que c'est un sujet central en accompagnement. C'est souvent ce qui fait qu'on peut se sentir bloqué par moment dans la réalisation de nos projets, l'atteinte de nos objectifs, le fait tout simplement de se sentir bloqué. bien, bien dans sa peau, bien dans sa tête, bien dans son corps. Et du coup, je me suis dit, ok, allons-y pour un épisode sur ce sujet-là. Ce sujet, c'est réellement devenu mon obsession. Savoir réguler mes émotions, c'est le travail que j'ai entrepris ces derniers mois, ces dernières années, pour réussir à surmonter notamment un trauma, mais aussi... pour réussir à ne plus me laisser dominer par mes émotions dans certaines situations et pour acquérir finalement la capacité à prendre du recul, à ne plus réagir à chaud aux choses et à pouvoir prendre du recul et réagir d'une façon, je n'ai pas envie de dire plus logique, mais en tout cas moins émotionnelle. Non pas que les émotions ce soit quelque chose qui soit mauvais, en soi, mais effectivement par moments elles peuvent prendre le dessus, notamment si on a un profil sensible, hypersensible, émotif. Je sais que ça peut être un réel frein et que ça peut nourrir des difficultés au quotidien. Et moi j'ai vraiment à cœur, parce que je sais que c'est possible, de vous transmettre ces outils. C'est devenu ma mission essentielle et petit à petit mon activité de coaching s'est réorientée vers cette spécificité d'accompagner les émotions de me mettre au service du bien-être émotionnel des leaders que j'accompagne, leur permettre en fait d'avoir un leadership conscient, posé et aligné finalement avec leur personnalité. On peut être un leader, on peut être quelqu'un qui est entrepreneur, entreprenant dans la vie, tout en étant hypersensible, émotif, introverti. On peut être un artiste, un créatif. et être un leader aussi. Et si je parle des créatifs, des personnes artistiques, qui ont une vocation artistique créative, quel que soit le domaine d'ailleurs, parce qu'on pourrait penser en premier lieu à un peintre, à un sculpteur, quelqu'un qui fait vraiment de l'art, mais être créatif, ça se retrouve dans beaucoup de domaines, la création de vidéos, la photographie par exemple, la création de contenus. La création de produits, d'offres, de bijoux par exemple aussi. Dans la création de services aussi, notamment dans les formations, il faut avoir aussi une part de créativité pour créer des programmes qui sont attractifs, ludiques et en même temps pédagogiques. La créativité elle est partout, donc finalement notre fibre artistique elle peut se retrouver partout et aussi dans notre communication quand on est entrepreneur. qu'on a des produits ou des services à développer, on peut avoir besoin aussi de cette part émotionnelle finalement dans notre communication. Donc les émotions ne sont pas mauvaises et le but n'est pas de se couper des émotions, mais bien d'apprendre à plutôt réguler les émotions quand elles sont trop fortes, quand elles ont pris le contrôle finalement. Et que dans la tour de contrôle, il n'y a plus personne à part les émotions qui font un petit peu ce qu'elles veulent. Et pour cela... J'ai intégré dans mon quotidien parce que j'ai pu le tester, j'ai fait de mon quotidien une sorte de laboratoire de développement personnel où j'expérimente des choses, je vois si ça marche, si ça marche pas, comment ça marche aussi et ce que ça apporte comme résultat. C'est non pas que ce soit une vérité absolue, que forcément ça va marcher pour vous aussi, parce qu'on est tous différents, on a tous aussi des besoins, des sensibilités différentes à certains outils. Donc peut-être que les outils, les méthodes, les piliers que je vais vous présenter, ce ne sont pas des choses qui vont vous parler, mais quand même. Je pense que ça peut être intéressant d'écouter ça avec curiosité et de se demander à quel point c'est présent dans votre vie, à quel point par exemple... Telle ou telle chose fonctionne ou pourrait être un petit peu plus intégrée dans votre quotidien pour amener cette sensation d'apaisement, de bien-être. Le but en fait, quelque part, c'est de développer une forme de force tranquille. J'emploie beaucoup cette expression ces derniers temps parce que c'est comme ça que je me sens. J'ai développé cette forme de force tranquille. Évidemment, il y a toujours des moments où je vais réagir, je vais me sentir piqué, je vais... avoir des émotions très très fortes parce que ça fait partie de moi. Je pense qu'il y a une première part d'acceptation aussi de qui l'on est à la base. Si on a une sensibilité exacerbée et que c'est ainsi depuis toujours, il n'est pas question de devenir quelqu'un d'autre, de se changer, de modifier ça, parce que c'est aussi un pouvoir, c'est aussi quelque chose de particulier, un petit truc en plus finalement que l'on a et dont on peut se servir selon les circonstances. Donc ça peut être quelque chose d'utile, sur lequel on peut s'appuyer, à condition de connaître finalement dans quelle mesure ça crée les émotions, des limites chez nous, des limitations, des obstacles. Si je reparle des objectifs, évidemment, par exemple, si j'ai un objectif important et que ça nécessite que je fasse des choses que je n'ai pas l'habitude de faire, que ça me mette dans des situations inhabituelles, confrontantes, challengeantes, ça va me provoquer du stress, des peurs. je vais peut-être obtenir des résultats différents de ceux auxquels j'aspirais et je vais peut-être me sentir en échec ou mis en danger. Mais ces émotions-là, du coup, elles peuvent être un frein à notre épanouissement professionnel, personnel. Et ça peut nous amener à nous replier sur nous, à procrastiner, à finalement faire des tâches qui n'ont pas de réel intérêt. pour notre objectif et qui visent plutôt à nous rassurer parce que c'est des choses qu'on sait faire, qu'on a l'habitude de faire ou qui ne sont pas trop compliquées à faire. Les émotions peuvent aussi nous conduire à surréagir, à prendre de mauvaises décisions parce qu'on va réagir à chaud. Par exemple, on peut décider d'abandonner un projet parce qu'on est extrêmement déçu, triste de ne pas réussir comme on voudrait. On peut aussi avoir... Peut-être des mots qui fâchent ou décider de mettre fin à une relation parce qu'on est très en colère contre quelqu'un ou déçu par quelqu'un ou très attristé par une situation. Et donc, on peut se dire, ok, j'arrête et je prends mes distances. Et bien sûr, par la suite, avoir des regrets par rapport à tout ça parce qu'on se dit, mais en fait, j'ai réagi immédiatement, j'ai réagi à chaud, etc. Au quotidien. on rencontre des situations dans lesquelles on peut se sentir submergé par une émotion. Ça peut être la colère parce qu'on est extrêmement frustré, d'avoir beaucoup de choses à faire, de ne pas réussir à les faire en temps et en heure, de se sentir submergé par des tâches et contraintes quotidiennes, vouloir par exemple que chez soi ce soit rangé, ce soit un espace agréable, et puis on a cet éternel recommencement avec les enfants qui jouent, qui dispersent des affaires. peut-être le conjoint qui en rajoute un petit peu et qui n'aide pas forcément ou qui ne se rend pas compte que pour nous, c'est important d'avoir cet espace clair, propre. Quand on rentre chez soi, ça peut être d'autres situations où par exemple, c'est la tristesse qui va nous submerger. On apprend une mauvaise nouvelle ou on vit quelque chose en fait qui nous est difficile à supporter, à intégrer, qui cause chez nous du chagrin, de la tristesse, peut-être un petit peu de mélancolie. À ce moment-là, on va plutôt avoir envie de se rouler en boule sur le canapé, ne rien faire, être complètement prostré, figé, dans l'inaction. Et ça, ça peut avoir une incidence, eh bien justement, sur nos objectifs quotidiens, mais aussi sur nos objectifs à long terme. On peut aussi, je parle souvent d'objectifs parce que c'est ce qui revient beaucoup en coaching, forcément j'accompagne des objectifs, mais aussi parfois les personnes, elles arrivent avec un projet. Avec l'envie de réaliser quelque chose. Elles ont une vision et elles savent ce qu'elles veulent accomplir. Elles savent quelque part où elles ont envie d'aller. Mais le comment on y va et comment je passe certaines étapes, c'est ça qui est difficile. Et surtout ça devient difficile quand je sais qu'il y a certaines étapes à travers ce projet qui ne sont pas forcément... dans ma zone de talent, dans ma zone de génie, dans ma zone de confort, que ça va me demander des efforts particuliers ou d'aller mobiliser des ressources que je n'ai pas encore, ça, ça peut effrayer. Et donc, les personnes, elles se mettent à procrastiner sur leur projet. Finalement, presque, elles s'auto-sabotent, mais c'est complètement inconscient, ce n'est pas volontaire, mais elles font des choses qui ne vont pas forcément les aider. Elles vont se conforter simplement dans des choses qui les rassurent. Et ce qui fait que le projet n'avance pas. Parfois même, elles ne font rien en faveur de leur projet. C'est-à-dire qu'elles savent qu'elles l'ont, elles le mettent de côté. Et elles se sentent frustrées parce qu'elles ont envie de le développer. Mais en même temps, elles s'en veulent parce qu'elles ne le font pas. Et c'est un cercle vicieux en fait. Et donc il y a beaucoup... d'émotions, c'est comme une espèce de marmite qui bouillonne pleine d'émotions et à un moment donné, on ne sait plus trop quoi faire de toutes ces émotions. Et ce qui se passe, c'est que quand il y en a trop, quand c'est trop fort, notre système nerveux va se déréguler et soit on va se mettre en mode protection totale rentrer dans une espèce de carapace, de figement, de paralysie, comme si on ne voulait plus rien ressentir. Donc en fait, on se met en mode pilotage automatique et on vit le quotidien en mode pilotage automatique. On commence à faire les choses simplement qui nous sont habituelles, que l'on doit faire, et on n'est plus, même plus conscient, on n'apporte plus de regard conscient sur les choix qu'on fait, sur ce qu'on est en train de faire, sur comment on le fait. Ce qui fait que parfois... En fait, on nourrit des situations qui nous sont inconfortables, qui nous sont désagréables. On sait pertinemment qu'on devrait en sortir, mais on continue. Il y a aussi un autre état du système nerveux qui fait que parfois c'est l'inverse. On va rentrer dans un mode... de combat vis-à-vis de ces émotions, on va rentrer en lutte contre notre propre colère, contre notre tristesse, on va générer quelque chose qui va être de l'ordre de la résistance en fait. Et comme on résiste à ces émotions qui sont là et qui quand même sont des indicateurs, En fait, on ne se permet pas de vivre la situation telle qu'elle est et d'avoir une forme de compréhension de cette situation. Si je comprends en fait que cet objectif me fait peur parce qu'à l'intérieur il y a des étapes que je ne me sens pas capable de réaliser moi-même et qui pourtant sont nécessaires pour que je puisse réaliser mon projet par exemple, créer mon activité ou lancer un nouveau produit par exemple. je vais être en lutte contre ça. Et je vais probablement faire des actions complètement inefficaces, inappropriées, au lieu de peut-être trouver des solutions créatives pour m'aider, m'appuyer dans la réalisation de ce projet, de ses objectifs. Ça peut être un mode aussi où on va rentrer dans une espèce d'hyperactivité. On va faire beaucoup, beaucoup de choses, histoire de ne pas penser aux choses essentielles que l'on devrait faire réellement, et histoire de ne pas penser surtout aux émotions que ça génère. en nous. Et ça, c'est assez commun en fait. C'est le mode fuite. Pour le coup, on va plutôt chercher à éviter les émotions. Cette fois-ci, non pas en se mettant une carapace, mais plutôt en faisant beaucoup, beaucoup d'actions pour les fuir. Et donc là, c'est pareil. Ça met une forme de distance avec nous-mêmes et aussi une forme de distance avec cet état de conscience qu'on pourrait avoir de nous. Donc, j'en reviens souvent à la conscience parce que c'est une clé majeure pour commencer à réguler ses émotions, avoir conscience. de nos émotions, de ce qu'elles sont, de ce qu'elles signifient, de leur impact sur nous. Et en fait, quand on commence à développer certaines facultés autour de l'intelligence émotionnelle, on réussit de plus en plus à prendre du recul, à ne plus réagir à chaud, à comprendre finalement les émotions quand elles surviennent, à comprendre ce qui se passe finalement dans notre tour de contrôle et à appuyer sur les bons boutons. Et parfois, appuyer sur le bon bouton, c'est... décider d'appuyer sur le bouton un petit peu plus tard. C'est décider de laisser passer un petit peu de temps par exemple. Donc moi j'avais envie vraiment de vous partager mes trois piliers qui peuvent vous aider à surfer avec vos émotions et à développer cette force tranquille. Donc le premier pilier sur lequel je m'appuie, c'est évidemment le fait de développer une très bonne connaissance de soi. Et ça, c'est à travers des outils tels que le coaching, qui est un outil très puissant pour développer une bonne connaissance de soi, par le biais d'un questionnement stratégique, de questions ouvertes qu'on n'a pas l'habitude de se poser finalement. Donc souvent, c'est quand un coach nous pose ces questions-là, ça nous surprend, ça vient chercher des réponses auxquelles On n'a pas forcément l'habitude, ça vient aussi débloquer certaines conceptions que l'on a autour de notre situation, certaines croyances. Et ça nous permet de mieux nous connaître aussi en nous écoutant parler. Capable au bout d'un moment, quand on a été accompagné en coaching, de s'auto-coacher aussi, de s'approprier ce questionnement stratégique et ensuite de s'auto-coacher au quotidien, de se poser ce type de questions pour sortir des cycles fermés et trouver des solutions plus créatives à nos difficultés, à nos blocages, etc. A comprendre aussi qu'est-ce qui se passe, quels sont les enjeux, quand telle émotion survient, etc. Donc développer une bonne connaissance de soi, ça peut passer à travers le coaching, mais aussi... Un outil que j'utilise beaucoup pour la connaissance de soi, c'est l'écriture intuitive et introspective. Encore une fois, c'est le simple fait d'ouvrir son journal et de déposer immédiatement ce qui survient comme pensée ou comme émotion. Voici ce qui s'est passé, voici ce que j'ai pensé, voici les émotions qui sont présentes, voici ce que je ressens dans mon corps. Ça paraît très basique, mais en fait, de découper ça, ça permet de voir... Quels sont finalement l'impact des pensées sur mes émotions ? Quel est l'impact de mes émotions sur mes comportements ? Quel est l'impact de mon comportement du coup dans le quotidien ? Et qu'est-ce que ça produit comme nouvelles pensées ? Et en fait, au fur et à mesure, on peut prendre de la distance déjà par rapport aux émotions. Elles sont déposées, on ne les a plus dans la tête. Ça permet un peu de justement faire retomber les choses. Et puis d'observer, d'être plus en observation. de ses émotions, de ses pensées, et du coup d'être peut-être plus neutre, plus objectif, presque comme si on observait les écrits de quelqu'un d'autre. Et on a, grâce à cette distance, la capacité à s'introspecter, à se poser de bonnes questions, pour essayer de modifier la situation. Bien sûr, écrire pour écrire, ça peut faire du bien, mais si j'écris sans essayer de changer quoi que ce soit, il se reproduira, a priori, toujours la même chose. Donc le but, c'est que quand je suis dans l'écriture intuitive, introspective, je peux déjà me poser la question, qu'est-ce que je peux changer, qu'est-ce qui est dans mon pouvoir, et si j'agissais différemment dans cette situation, donc si j'agissais de telle ou telle façon, qu'est-ce qui pourrait se produire, qu'est-ce que ça pourrait m'apporter, à quel besoin j'ai besoin de répondre, sur quoi j'ai besoin de porter de l'attention. Par exemple, qu'est-ce que ma colère vient raconter ? Qu'est-ce que ma frustration vient raconter ? Qu'est-ce que mes pleurs aujourd'hui sont venues dire ? Et de se comprendre, d'aller se comprendre avec beaucoup de compassion, beaucoup d'amour de soi, s'envelopper de douceur, de compassion, se prendre par la main, mais aussi être dans une forme de posture où on ne va pas tomber dans la victimisation, la plainte, l'autocomplaisance. histoire de ne pas rester enfermée justement dans cette situation qui nous crée des tensions, des soucis. Ce qu'on veut, c'est en sortir. Donc pour ça, il faut avoir cette posture de responsabilisation par rapport à ça et de se dire, ok, qu'est-ce que je peux faire ? Qu'est-ce qui est en mon pouvoir ? Parce qu'encore une fois, il y a des choses sur lesquelles on n'a pas d'emprise, on n'a pas de pouvoir. La seule chose sur laquelle on peut agir dans ces moments-là, subit une situation, parce que ça arrive de subir la situation, c'est de choisir comment finalement on va subir la situation. Est-ce que par exemple, par rapport à une crise économique qui nous est annoncée à la télévision par des politiques, est-ce que je vais rentrer en colère, en réaction ? Est-ce que je vais nourrir cette colère, cette réaction ? Être dans la rébellion ? Est-ce qu'au contraire, je vais prendre de la distance et je vais plutôt chercher à juste observer ce qui se passe réellement et concrètement dans les faits au quotidien ? Est-ce que je peux trouver des arguments qui viennent contredire ce qui est annoncé ? Est-ce que je peux rester calme, rester tranquille ? Voilà, et en fait, c'est là qu'on a du pouvoir. C'est sur notre façon de réagir. Mais pour ça, il faut avoir de la conscience sur comment je réagis à la base, spontanément, quand il se passe telle ou telle chose. Et d'être complètement honnête et transparent envers soi-même. Est-ce que c'est normal de réagir de cette façon ? Ça peut être tout à fait normal de se sentir en colère, il n'y a aucun problème. Ça peut être normal de se sentir triste ou dépourvu, démuni face à une situation, aucun problème là-dessus, c'est de le reconnaître. Mais quand je dis ça, c'est est-ce que c'est normal en fait que ça vienne me pourrir la vie derrière et que je vienne entretenir ça au point vraiment de laisser trop de place à ça dans ma vie ? Je ne pourrais pas inviter un petit peu autre chose aussi dans mon quotidien, histoire que je me sente mieux. Parce que quitte à vivre une crise économique, autant que je la vive en me sentant plutôt sereine et créative. Et peut-être justement trouver des opportunités finalement dans cette crise, plutôt que d'être juste. Juste dans la soumission, ou subir, ou être juste dans la colère, la rébellion, etc. Et ça, on le voit à des niveaux moindres. Là, je parle de choses assez grosses, extérieures, sur lesquelles on n'a pas d'emprise, mais sur des petites choses du quotidien, sur les petites crises qu'il peut y avoir à la maison, des disputes entre les enfants qu'il faut gérer, peut-être des conflits un peu enterrinés avec son conjoint et sur lesquels on a besoin de revenir pour mettre les choses à plat. Ça peut être sur des choses au niveau professionnel, au niveau personnel, enfin ça touche à beaucoup de choses. Et mieux on se connaît et mieux on est capable de répondre aux situations d'une façon qui est plus appropriée. Ensuite, le deuxième pilier sur lequel je m'appuie au quotidien, c'est la pleine conscience et la méditation. C'est aussi un outil de connaissance de soi, c'est aussi un outil... qui permet donc d'avoir une connexion à la fois son esprit à la fois son coeur à la fois son corps on devient plus conscient de ce que chaque chose au quotidien produit sur nous on devient conscient de nos pensées donc ça aide et participe à la connaissance de soi on devient conscient de ses émotions qu'on est capable d'observer on devient conscient des sensations que ça fait dans notre corps des impacts qu'on a au niveau corporel, parfois on identifie des douleurs qui sont en réalité complètement reliées plutôt à des pensées, des émotions, à partir du moment où on les identifie et où on commence à libérer cette émotion parce qu'on en a pris connaissance, parce qu'on l'accepte et on l'intègre, du coup la douleur se libère, s'apaise, et on peut observer tout ça en fait. Et quand on devient conscient de... De tout ceci, ça amène aussi une forme d'état d'apaisement, une forme d'état aussi où quand il se passe une situation qui nous stresse, qui nous met dans l'anxiété, limite on se sent un peu en panique, la pleine conscience et la méditation peuvent être des ancrages. Je peux, grâce à la pleine conscience, notamment certains outils de pleine conscience comme la respiration, revenir à un état de calme. Alors, parfois ce n'est pas du 100%, on est d'accord. Mais au lieu d'être dans une panique totale, je vais peut-être diminuer cette panique de 50%, ce sera déjà pas mal. Et au fur et à mesure que je vais m'entraîner à faire ça, j'y arriverai de plus en plus rapidement, de plus en plus facilement. Ça deviendra de nouveaux automatismes. Et donc pratiquer la pleine conscience et la méditation de façon très régulière, c'est-à-dire quasiment au quotidien, à travers soit le simple fait de méditer réellement, soit le fait... De prendre des moments de pleine conscience, ça peut être sous la douche, ça peut être en train de manger, ça peut être quand on contemple quelque chose à l'extérieur pendant quelques minutes. Ça peut être le temps d'un câlin à ses enfants, d'être vraiment pleinement conscient, présent à ce qu'on est en train de faire, d'observer nos pensées, nos émotions, nos sensations. Ça peut être à un moment donné où on est dans les bouchons, on est en stress, ça nous énerve. Pleine conscience, je touche le volant, j'observe ma voiture, j'observe les autres voitures, je commence à nommer des couleurs. À par exemple lire les plaques d'immatriculation et en étant pleinement conscient de ce que je vois, j'intègre finalement mon environnement, je suis plus totalement déconnectée, je suis connectée à mon environnement et je peux me calmer de cette façon. Il y a plein d'outils comme ça dans la pleine conscience qui peuvent réellement aider déjà à mieux se connaître, ensuite à réguler ses émotions et à développer cette forme de confiance en soi, cette forme de sérénité presque absolue. Dans certaines situations, encore une fois, ce n'est pas du 100%, il faut apprendre aussi à être flexible, à ne pas vouloir toujours obtenir tout tout de suite et à vouloir faire ce travail qui est progressif, qui est constant, qui est régulier. Le troisième pilier sur lequel je m'appuie moi au quotidien, qui a amené aussi beaucoup, beaucoup de bien-être, qui m'a permis de composer avec ce trauma, de surmonter certains défis, ça a été de remettre en fait mon corps en mouvement déjà. beaucoup plus que ce que je pouvais le faire auparavant, donc de pratiquer de l'activité physique. Alors ça peut être de la marche tout simplement, ça peut être aussi de la course à pied, ça peut être de la nage, de la danse. Je pratique de plus en plus la danse intuitive aussi, c'est-à-dire que je mets de la musique et je m'autorise à complètement laisser parler mon corps sur la musique. On s'en fout de la chorégraphie, je m'en fous du ridicule, je m'en fous de ce que les autres peuvent penser, même si j'avoue que... J'avoue que je fais ça la plupart du temps quand je suis toute seule et je peux me sentir ridicule même quand je suis toute seule, mais j'essaye très souvent de dépasser justement ce stade-là de la honte ou du ridicule parce que non, c'est tout à fait juste, mon corps a besoin de libérer des choses et quand ça passe par le corps, c'est... Un accélérateur aussi de libération des émotions, ça permet de s'apaiser aussi beaucoup plus vite. Et finalement, le corps, il va raconter des choses de façon très spontanée. Parfois, il va faire ressortir des choses qu'on avait oubliées ou mises sous le tapis ou qu'on ne veut pas exprimer. Et là, ça nous permet de les exprimer librement. Donc, ça peut être à travers plein de choses, plein d'activités, celles qui vous parlent. En tout cas, moi, je vous l'ai dit, je pratique beaucoup la marche et le fitness. et puis la danse, mais ça peut être à travers différentes activités physiques que vous appréciez, que vous aimez. Le tout, c'est encore une fois de le faire en pleine conscience, d'être présent à ce que vous faites au moment où vous le faites. Et ça, ça va vous amener une grande compréhension de votre corps, mais aussi une grande connexion avec votre corps, avec tout votre corps. De ce corps, justement, juste le mouvoir ne suffit pas, c'est très important, mais aussi reprendre contact avec lui à travers le toucher. Et là, vous pouvez le faire tout simplement en auto-soin, ce que j'appelle comme ça, je ne sais pas trop si ça se dit, mais l'auto-soin, c'est le simple fait, par exemple, de s'appliquer une crème sur le corps, sur le visage, en pleine conscience, de faire son shampoing en pleine conscience, de prendre sa douche et de ressentir l'eau sur son corps et de se savonner. En ressentant les sensations, les textures, la douceur, la chaleur de l'eau, la douceur d'un savon, le parfum, et de sentir vos doigts, des pressions aussi de vos doigts sur le corps. Et de vraiment être dans cette connexion du soin au corps. Parfois, vous pouvez accorder de l'attention à un certain point. de votre corps, par exemple faire un massage que des pieds ou faire un massage des mains ou demander un massage à quelqu'un ou aller vous faire masser, faire des soins beauté ou ce que vous voulez, le fait de se maquiller aussi, c'est de l'auto-soin, on prend soin de soi, on est content, le fait d'aller chez le coiffeur, le fait de se coiffer soi-même aussi, le fait de se vêtir, de choisir ses habits qui vont être en contact avec notre corps, est-ce que je choisis des habits dans lesquels je suis bien ? dans lesquels je me sens bien en termes d'état d'esprit, mais dans lesquels je me sens bien aussi au niveau corporel, dans lesquels je me sens à l'aise, dans lesquels ma peau est à l'aise. Si je choisis des habits qui tiraillent sur ma peau, qui me serrent, dans lesquels je ne suis pas confortable, qui me font transpirer, ce n'est pas bon en fait. On n'est pas dans le soin de son corps quand c'est comme ça. Donc dirigez-vous vers les choses qui font du bien aussi à votre enveloppe corporelle. parce que c'est votre véhicule aussi. Et vous développez comme ça aussi une très bonne connaissance de vous-même. Quand vous comprenez quels sont vos besoins, de quoi votre corps a besoin, qu'est-ce qu'il aime, qu'est-ce qu'il n'aime pas, à quoi il réagit positivement, à quoi il réagit négativement, tout ça, ça impacte aussi beaucoup l'énergie. Quand on n'est pas bien, quand on n'est pas à l'aise dans son corps parce que, par exemple, on a des chaussures qui nous font mal aux pieds, ça va pomper notre énergie. Donc... Il y a plein de choses comme ça qui ont une incidence. Quand elles sont cumulées, elles peuvent avoir une incidence très grande et notamment impacter, à une finie, les émotions. Pilier numéro un, c'est développer une bonne connaissance de soi, se comprendre, se connaître et savoir comment on se comporte finalement et pourquoi on se comporte de telle ou telle manière. Le deuxième pilier, c'est vivre en pleine conscience, c'est-à-dire avoir conscience. de soi, de son corps, de son état d'esprit, des voeux de son cœur aussi, savoir intégrer son environnement à soi, savoir vivre à travers son environnement et surtout se reconnecter aussi à la seule temporalité qui compte, c'est-à-dire le présent, et donc avoir une conscience aussi de ses choix dans le présent. Et le troisième pilier, c'est développer cette conscience corporelle. Prendre soin de son corps, faire bouger son corps et voilà, envelopper son corps de beaucoup d'attention et d'amour. Et quand on est du coup dans cette connaissance de soi, dans cette pleine conscience de la vie, quand on habite pleinement son corps, finalement on va beaucoup mieux réussir à réguler ses émotions au quotidien. C'est comme si on avait de nouveaux bouts. dans notre tour de contrôle sur lesquels on pouvait aller appuyer et jouer quand on est face à telle ou telle situation. Finalement on sort d'un mode pilotage automatique, c'est-à-dire le pilotage automatique que nos émotions enclenchent sur nous et on reprend finalement le contrôle de ses émotions. pour faire des choix qui sont beaucoup plus judicieux. Et attention, je l'ai bien exprimé tout au long de ce podcast, prendre le contrôle de ses émotions, ce n'est pas supprimer des émotions, c'est les accepter, les reconnaître. C'est juste vraiment avoir plus de maîtrise sur ses émotions dans certaines situations. Et parfois, c'est complètement nécessaire de laisser ses émotions s'exprimer, de libérer ses émotions, de vivre ses émotions. C'est juste de... chercher les curseurs, le bon niveau, de savoir quand ça doit s'arrêter, de savoir comment je peux reprendre pied dans certaines situations, de savoir comment je peux exprimer réellement ces émotions et de ne plus être complètement le jouet de nos émotions. C'est ça en fait le but quand je dis surfer sur ces émotions, réguler ces émotions, c'est ça, c'est de comprendre à quel niveau je me situe, comment réagit mon système nerveux et qu'est-ce que ça induit. Pour moi, si ça me rend davantage malheureux, c'est là en fait que je peux du coup développer mon intelligence émotionnelle, aller chercher les bons boutons, chercher, parfois c'est juste de tester des choses aussi, de s'autoriser à tester. Donc ça c'est réellement trois piliers qui font partie intégrante de ma vie et c'est autour de ça que je construis aujourd'hui tout ce que je vous propose. Le coaching, en coaching je ne vais pas me concentrer que sur... votre problématique, évidemment, il y a une dimension holistique. On va voir qu'est-ce qui se passe au niveau de l'état d'esprit. Ce qui est super important, c'est de développer l'état d'esprit qui va vous permettre d'évoluer et d'aller vers vos objectifs, de relever les challenges que vous vous relevez, que vous voulez relever, de surmonter les défis auxquels vous faites face, de vivre le quotidien plus sereinement. Mais on va aller voir aussi qu'est-ce qui, au niveau de votre corps et de votre cœur, a besoin d'être nourri. pour vous servir en fait, pour vous aider, pour vous soutenir, pour vous apporter du bien-être. Donc mes outils c'est le coaching, mais c'est aussi toute cette panoplie d'outils qui font partie de ces trois piliers dont je vous ai parlé. Et c'est pour ça que petit à petit j'en viens à parler de davantage de méditation, de pleine conscience, vous indiquer des pratiques bien-être aussi, que ce soit dans des... produits gratuits ou que ce soit à travers les offres que je vous propose. Donc aujourd'hui, quelque part, ce que je vous propose, c'est une boîte à outils et à l'intérieur, vous pouvez aller saisir des choses pour progresser, pour évoluer sur les points sur lesquels vous avez besoin d'évoluer, soit en autonomie, soit en vous faisant accompagner directement par moi. C'est vraiment en fait devenu pour moi essentiel de partager ça parce que j'ai vraiment à cœur que les personnes soient outillées Pour se sentir bien, c'est quelque chose qui fait défaut, qu'on ne nous apprend pas, qu'on ne nous partage pas quand on est plus jeune, et c'est dommage, parce que ça viendrait tellement nous aider au quotidien à nous sentir plus sereins, à aussi pouvoir vivre notre atypisme de façon plus sereine, à accepter le fait qu'on est peut-être plus introverti et que ça nourrit certains besoins. à accepter le fait qu'on est sensible et que là aussi, ça va nourrir des besoins différents des personnes qui sont moins sensibles. Et de bien se connaître comme ça, ça permet de mieux s'accepter et ça permet de plus facilement déployer les ressources qui sont les nôtres, le potentiel qui est le nôtre, de nous focaliser finalement sur nos forces plutôt que sur nos défauts, plutôt que sur tout ce qui va nourrir des émotions. peuvent être un frein, comme la colère, comme la peur, comme la tristesse, et de faire en sorte que ce soit plus facile de composer avec elle au quotidien. Ça va vous permettre de développer cette forme de confiance en vous, de stabilité, de sécurité. Vous vous connaissez tellement bien que vous savez ce dont vous avez besoin, ce dont au contraire vous avez besoin de vous séparer parfois. Donc je ne parle pas forcément de personne, je parle d'habitude. d'habitude, de comportements, de croyances aussi, qui vous limitent. Et de développer cette forme de ok, mais moi j'ai besoin de ça et c'est juste, ça vient juste nourrir mes valeurs, mes besoins, qui je suis sur le plan humain Et en faisant ça, vous allez beaucoup d'ailleurs vous respecter. Et en vous respectant davantage, vous allez complètement développer une forme d'estime de vous-même plus grande, un amour de soi plus grand. Et ça, ça va aussi contribuer et nourrir votre stabilité intérieure, cette forme de force tranquille. Voilà, donc j'espère que cet épisode vous a parlé. N'hésitez pas à me dire dans les commentaires qu'est-ce que vous retenez de cet épisode, comment ça vous a interpellé justement, sur quoi vous avez-vous envie et besoin peut-être d'évoluer. En tout cas, si ça a résonné pour vous, n'hésitez pas à me le dire. en commentaire encore une fois ou en laissant une jolie note sur le podcast ou en le partageant parce que ça soutient réellement le podcast, ça aide le podcast à se faire connaître et justement à faire bénéficier d'autres personnes de tous ces outils que je vous partage aujourd'hui. Donc j'espère que cet épisode vous a plu. Je vous retrouve très bientôt dans l'appel du calme. D'ici là, passez une très très belle semaine. A bientôt !

Chapters

  • Introduction au podcast

    00:00

  • L'importance des émotions dans notre quotidien

    00:55

  • Profils émotionnels et régulation des émotions : un enjeu central

    02:43

  • Développer une force tranquille face aux émotions

    05:38

  • Emotions fortes et auto-protection : quand le système nerveux s'affole

    10:50

  • Premier pilier : connaissance de soi

    14:17

  • Deuxième pilier : pleine conscience et méditation

    20:43

  • Troisième pilier : Connexion au corps par l'activité physique et les soins

    23:58

  • Conclusion et invitation à la réflexion

    29:21

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