Speaker #0D'après toi, qu'est-ce qu'il y a vraiment de la valeur dans la vie ? Si tu te poses la question, si tu prends n'importe qui dans la rue et tu leur poses la question, qu'est-ce qu'il y a vraiment de la valeur dans la vie d'après vous ? Ils ne te parleront pas d'argent, ils ne te parleront pas de carrière, ils ne te parleront pas de succès. Je pense que toi, comme moi, comme tout le monde dehors, on parlera de santé, de famille, de relations. On parlera de choses peut-être immatérielles. Peut-être que tu connais cette infirmière australienne qui est... relativement connue maintenant, qui s'appelle Brownie Ware. Elle a été infirmière pendant 8 ans dans un service de soins palliatifs. Elle a donc vu passer plusieurs centaines de patients. Et elle a écrit un livre qui est sorti en 2011, traduit en français en 2012, qui s'appelle, le titre français, c'est « Les 5 regrets des personnes en fin de vie » . Et les 3 plus importants regrets qui sont nommés encore et encore et encore par les gens qui voient la mort arriver dans quelques jours, quelques semaines. C'est numéro 1. J'aurais aimé avoir eu le courage de vivre la vie que je voulais, et non pas celle que les autres attendaient de moi. Numéro 2, j'aurais aimé ne pas avoir tant travaillé. Numéro 3, j'aurais aimé avoir eu le courage d'exprimer mes sentiments. Réussir, ça ne devrait pas nous coûter notre santé, ni physique, ni mentale. Ça ne devrait pas nous coûter notre vie. Ça ne devrait pas nous amener à sacrifier notre santé. notre équilibre personnel, familial, quand il est possible de s'épanouir personnellement dans son activité professionnelle. Et c'est de ça dont on va parler dans cet épisode. Bienvenue dans l'art et la science de la performance équilibrée. Il est temps d'en finir avec cette culture absurde du sacrifice, alors on va découvrir les mécanismes qui vont te permettre de créer une vie géniale à tout point de vue. Tu bâtiras chaque jour un peu plus le plus bel héritage que tu vas léguer à tes enfants, l'art et la science de la performance équilibrée. 53% des français c'est plus de 30 millions de personnes en 2025 déclare avoir vécu déjà un épisode de souffrance psychique au cours des douze derniers mois la santé mentale est un vrai de sujet qui est tabou qui est pas qui est sous le tapis parce que tout le monde a honte tout le monde a peur sauf que il ya la moitié des gens qui sont concernés à 30 millions de personnes et Et d'après ? PSSM France, donc Premier Secours de Santé Mentale, ça existe, il y a des secouristes en Premier Secours de Santé Mentale qui sont formés, plusieurs centaines de milliers de personnes. Il y a presque 2000 formateurs en France. La moitié des salariés, donc c'est-à-dire à peu près 15 millions de personnes, se disent en détresse psychologique, mais la moitié d'entre eux, 56% d'entre eux, préfèrent ne pas en parler à leur N plus 1, à leur boss, à leur cadre. Il y a une auto-censure qui est... ultra forte là-dessus. Les gens ont honte parce que c'est un tabou, parce que c'est mal vu, parce qu'il est probable que dans l'esprit d'un français, si on parle de santé mentale, on parle d'asile psychiatrique. Il y a une espèce de confusion comme ça. Alors que faire une insomnie toutes les nuits, avoir mal au ventre le dimanche soir, c'est déjà de la santé mentale. Et la santé mentale n'est pas une maladie, j'ai entendu ça. La santé mentale, c'est une maladie. Non ! La santé mentale, c'est de la santé. La santé physique, c'est de la santé. La santé mentale, et de la santé. C'est un domaine. Une maladie, c'est une maladie. Il se trouve que les managers aussi sont souvent isolés dans leur souffrance et ils font partie des 50% de salariés qui préfèrent se taire pour ne pas paraître faible ou être mal vu ou être critiqué par leur supérieur ou par leur entourage. Ça, c'est un article qui est sorti dans Le Monde. Et voilà ce que j'ai envie de te partager aujourd'hui, c'est comment est-ce qu'on répond à ces besoins pour aller vers de l'épanouissement ? personnel dans son activité professionnelle. Parce qu'il est effectivement question de ne pas aller sur les domaines qui nous mettent en vrac au niveau santé mentale. Et en fait, il y a un processus que j'ai mis au point, simplifié pour rendre ultra digeste et accessible le concept. Je l'ai appelé SEC. S-E-C, ça veut dire sécurité, épanouissement, contribution. Si tu veux aller t'épanouir, tu vas avoir besoin de passer par la case sécurité avant. De quelle sécurité on parle ? On parle des lois naturelles de la croissance humaine ici. En fait, tous les êtres humains, s'ils veulent pouvoir grandir sainement, s'ils veulent pouvoir être utiles au groupe au sein duquel ils appartiennent, que ce soit un groupe familial, ethnique, culturel, peu importe, il y a à respecter cette séquence. Sécurité, épanouissement, contribution. On ne peut pas s'épanouir... si on est en insécurité. On ne peut pas contribuer si on est en manque, si on se sent vide. Donc c'est une loi organique. Oui, c'est un concept, mais c'est une loi organique. Ça fonctionne comme ça depuis des dizaines de milliers d'années. L'être humain est archaïquement câblé à l'intérieur pour survivre, et ça, ça se passe à partir de la sécurité d'un groupe. C'est tribal, mais c'est comme ça que ça marche. Et donc on doit se sentir en sécurité. C'est un peu comme une plante si tu veux. Si tu nourris la terre, si tu lui donnes de l'eau, si tu lui donnes le bon climat, la plante elle pousse toute seule. Donc il y a vraiment besoin d'un environnement. Mais la plante a besoin d'avoir des racines fortes et d'un feuillage bien fourni. Ça c'est son équipement interne. Et donc le principe de la sécurité, c'est un ensemble de combinaisons d'éléments internes et externes qui constituent les éléments requis pour qu'une plante pousse et pour qu'un humain s'épanouisse. De la même façon, nous sommes des éléments organiques, pareil qu'une plante. Le modèle SEC, c'est pas une intuition, c'est ce qui est sorti quand j'ai fait le travail d'essayer de comprendre pour quelles raisons est-ce qu'il y avait autant de gens qui venaient nous complimenter avec mon épouse sur nos enfants et sur notre famille. Il se trouve que je suis en couple avec ma femme depuis 28 ans, 19 ans mariés, on a deux filles de 15 et 18 ans. Et en fait, on a des compléments tout le temps sur notre couple, sa longévité, le fait que l'on est au quotidien, et puis sur l'attitude, la maturité de nos filles. Et en fait, à force, j'ai fini par faire tout un travail d'introspection, et j'ai fini par en faire émerger ça. C'est le contexte qu'on a créé dans notre famille qui rend ces deux humaines là, mes deux filles, nos deux filles, aussi dégourdies d'aplomb et qui semblent être épanouies dans tous les domaines de leur vie, que ce soit à l'école, dans leurs relations, dans leur santé, voilà. Et en fait, ce SEC est sorti de ça. Je me suis aperçu après qu'il s'appuyait sur des choses très connues, comme la théorie polyvagale. parce que la sécurité, si tu veux, c'est perçu comme le système nerveux, comme la condition biologique nécessaire de l'engagement relationnel, de l'apprentissage, de la créativité, de la régulation émotionnelle, bref, tout se passe par le fait d'avoir un système nerveux en sécurité. Maslow, la pyramide de Maslow, aussi critiquée soit-elle, place la sécurité quasiment tout en bas, juste après les besoins physiologiques de manger et de dormir, juste après ça, il y a... le besoin d'avoir un toit sur la tête et de se sentir protégé. Il y en a d'autres, je ne vais pas tous les citer, mais voilà pour les principaux qui viennent confirmer que le SEC est une sorte de pyramide de Maslow simplifiée, si tu veux. Voilà, donc je disais, la sécurité, c'est pour la plante, de l'interne et de l'externe. C'est racines et feuilles, ça c'est l'interne, et puis l'externe, c'est le climat de l'air et puis la richesse du sol. Donc il y a la sécurité interne, c'est... ta capacité en gros à toi à te sentir stable, calme et légitime, même quand autour ça brasse. Quand il y a de l'agressivité à l'extérieur, par exemple tu as un client qui n'est pas content, qui t'envoie un mail hyper agressif, toi tu te sens calme, tu prends du recul, tu restes lucide, tu ne remets pas ta valeur personnelle en question, tu ne prends pas tout personnellement, tu n'es pas en train de te demander si tu es puni par un signe du destin. Tu ne réfléchis pas à... à comment tu prends tes décisions dans ta vie. Tu es juste en train de dire, bon, il y a quelqu'un qui n'est pas content, on va s'occuper de ça. Ça, ça ne peut se faire qu'à partir d'un état de sécurité interne. Tu n'es pas en train de paniquer devant un imprévu, ton estime de toi ne dépend pas de comment les gens te parlent. Tu sais rester calme, même quand il y a de la pression autour, tout va bien se passer, on va y arriver, tu vois. Voilà, ça c'est la sécurité interne qui permet ça. La sécurité externe, c'est quand ton environnement t'enveloppe, et te soutient au lieu de te menacer ou de t'épuiser. En gros, si on te demande une surcharge de travail, tu peux dire non, et tu te sens légitime et capable de dire « Non, ce n'est pas possible, là, ce soir, je pars, j'ai prévu d'aller avec mes enfants, je vais faire je ne sais pas quoi. » Et tu ne te sens pas menacé dans ton job, jugé par tes collègues, mal regardé par ton boss. Donc ça, c'est la sécurité externe. Tes relations sont stables et respectueuses. Quand je dis « tes relations » , c'est professionnel. personnel, familial. Ton cadre de travail est sain, il est clair, il est prévisible. Tu sais poser des limites sans crainte de te sentir rejeté. Tu sais... choisir ton environnement de manière à ce que ça soit de la sécurité externe. Et ça, c'est le premier pilier, si tu veux, la première étape du SEC. Sans ça, pas d'épanouissement. Si la sécurité n'est pas garantie, interne et externe, tu ne peux pas basculer vers l'épanouissement personnel. Et donc certainement pas vers l'épanouissement professionnel. Avance-moi avec ça, parce que ça serait très tentant de faire un détour par à quoi ça ressemble. l'environnement culturel dans lequel on travaille, la plupart d'entre nous. C'est un environnement dans lequel la culture est mécaniquement câblée sur « il faut en chier pour réussir, il faut souffrir pour avoir du succès, il faut faire des sacrifices pour monter les échelons » et que sans ça, tu ne peux pas y arriver. D'une certaine façon, ils ont raison. Il y a effectivement des choses à faire. On ne peut pas passer sa vie sur le canapé à jouer à la PlayStation et espérer avoir une carrière professionnelle prolifique. Évidemment, ce n'est pas ça le sujet. Le sujet, c'est jusqu'à quel point tu es capable de consentir à de la souffrance pour réussir. À quel point tu es prêt à sacrifier les choses qui ont vraiment de la valeur dans ta vie, ta santé, ta famille, tes relations, pour de l'argent, de la reconnaissance professionnelle, un titre. ou une opportunité. Et je ferme la parenthèse là-dessus parce que j'ai déjà fait des épisodes dans ce podcast à propos de ça, comment réussir sans se cramer, ce genre de choses, reprendre du plaisir au travail. Il y en a déjà plein, donc je passe à la partie épanouissement qui était le sujet de cet épisode en particulier. L'épanouissement personnel, c'est un luxe, c'est devenu rare, mais la bonne nouvelle c'est que toutes les nouvelles générations nous poussent à aller par là. Tous ceux qui me disent « les jeunes ne veulent plus bosser » se rendent compte d'un phénomène qui n'est pas que les jeunes ne veulent plus bosser, c'est qu'ils ne veulent plus bosser comme ça se faisait avant. Autrement dit, les nouvelles générations, et c'est assez vague, il n'y a pas un âge ou une tranche d'âge particulière, parce qu'en fait, ils ont tendance à nous contaminer, mais la tendance est de plus en plus forte, surtout chez les plus jeunes. Mais moi qui ai 47 ans, je me sens concerné aussi par ça, c'est que l'épanouissement, ce n'est pas un bonus à atteindre plus tard. C'est des choses qui sont nécessaires, c'est un état interne nécessaire pour se sentir heureux. Comme disait, je crois que c'était Bouddha, le bonheur n'est pas la destination, le bonheur c'est le chemin. Qu'est-ce que ça veut dire ? C'est que le bonheur c'est quelque chose à chercher tous les jours, et pas comme je vais consentir à tant de sacrifices jusqu'à un jour peut-être, quand j'aurai atteint ceci, je serai enfin heureux. Et l'épanouissement personnel, il est nourri par deux grands piliers si tu veux. L'alignement et la vitalité. L'alignement, c'est faire des choix qui ont du sens pour toi, des choix qui te correspondent, des choix qui te sont profitables et favorables en faisant des actions qui te nourrissent, c'est-à-dire ce que tu fais la plupart du temps sur des choses qui te remplissent, qui te remplissent ce, qui t'épanouissent plutôt qu'ils te vident. Je pense que tu sais qu'il y a certaines tâches, en 15 minutes, t'en peux plus, t'en as marre, t'es obligé de serrer les dents pour finir. Et d'autres tâches, tu peux passer 2h, 3h, 4h, tu peux même oublier de manger. tellement tu es absorbé par le truc. Ça, cette dernière tâche, c'est celle qui te nourrit. Celle d'avant, c'est celle qui te vide. Lorsque tu sais identifier, et là-dessus, j'ai une grille de lecture qui est absolument géniale, qui est la théorie des natures et intelligence multiples de Stephen Rudolph, qui est un Américain, c'est absolument indispensable de savoir ce qui nous nourrit comme tâche, comme action, comme activité. et ce qui nous vide. Et quand ça nous vide, c'est absolument à déléguer à quelqu'un que ça va nourrir. Parce que si remplir un tableau Excel ou faire du reporting, c'est un truc qui te tue, il y a quelqu'un à côté de toi, ou pas très loin, qui attend qu'une chose, c'est de pouvoir le faire pour toi, parce que lui ou elle, ça l'a fait kiffer, ou ça le fait kiffer d'exécuter ce genre de tâches. Donc ça, c'était l'alignement. Numéro 2, la vitalité, c'est ressentir le plaisir, la notion de... de s'amuser, de respirer dans sa vie. Mais la base de la vitalité, c'est d'abord et avant tout l'énergie métabolique. C'est-à-dire se sentir vivant, se sentir avec de l'énergie à l'intérieur plutôt. Ça, ça passe par l'alimentation, ça passe par la qualité du sommeil, ça passe par plein de choses qu'un naturopathe ou des gens formés en médecine chinoise traditionnelle vont savoir t'aider là-dessus, sur ta vitalité. Quand tu te réveilles le matin fatigué, La vitalité n'est pas là. Voilà. Alimentation, sommeil, tout ça. Donc naturopathe, médecine chinoise traditionnelle, tu peux y aller les yeux fermés. L'alignement, je te recommande les travaux sur les natures et intelligences multiples. Mais tout ça, c'est l'épanouissement. Et ça ne peut fonctionner que si la sécurité est d'abord remplie. Et puis, après, il y a la contribution. Si tu te sens en sécurité, si tu te sens épanoui, automatiquement, sans offrir aucun effort, la contribution va apparaître. Il faudrait, pour qu'elle n'apparaisse pas, que tu te retiennes. Si les deux premières étapes sont remplies, il faudrait que tu te retiennes de ne pas avoir envie de contribuer. Parce qu'un humain qui va bien, un humain qui se sent bien, qui est tout ok dans sa vie partout, ou presque, il va avoir envie de donner. Il va avoir envie de participer, il va avoir envie d'offrir. Le problème, c'est que bien souvent, on a des gens qui veulent contribuer pour avoir du sens ou quelque chose comme ça, mais ça part pas du plein. Quand la contribution part de sécurité et épanouissement, ok, on est sur une contribution mécanique de réciprocité. Si je vis dans de la gratitude, j'ai envie à mon tour d'aider le monde à aller bien aussi. Le problème, c'est qu'il y en a plein qui font ça depuis le manque ou depuis la peur. Depuis le manque, il y a une espèce de phénomène de compensation qui est « si je donne, on va voir que je suis une bonne personne et il y a quelqu'un qui va bien vouloir m'aider » . ou m'aimer, peut-être. Si c'est depuis la peur, il y a une espèce de transaction qui se fait. Je te donne ça, et quelque part, j'attends en échange quelque chose aussi. Donc, dans les deux cas, le manque ou la peur, on se retrouve avec une contribution transactionnelle, et pas une contribution généreuse, vraiment, qui n'attend rien, altruiste, tu vois. L'alignement dans la contribution est vraiment la seule façon d'être... sûr qu'on est dans le plus haut niveau de l'accomplissement humain. Voilà. Juste pour terminer cet épisode, j'ai trois questions que je t'ai préparées qui peuvent te permettre d'avancer un petit peu dans ton auto-évaluation. La première question, c'est est-ce que tu te sens libre de poser tes limites sans avoir peur d'abîmer la relation, qu'elle soit personnelle ou professionnelle ? Est-ce que tu te sens libre de poser tes limites, c'est-à-dire dire oui à des trucs qu'on te dit « Ah, tu ne devrais pas, si, je vais le faire. » et de dire non à des trucs où on dit « tu devrais, ben non, je vais pas le faire » . Et que, en posant ce oui ou ce non, donc tu poses tes limites, tu poses ton cadre, t'as pas peur d'être critiqué, t'as pas peur d'abîmer la relation, t'as pas peur que ça te coûte quelque chose. Ça veut dire qu'à l'intérieur, tu te sens bien, et ton extérieur est safe aussi. Numéro 2, question, c'est quand ça s'agite autour de toi, quand ton environnement autour de toi, encore une fois, ça peut être professionnel, ça peut être culturel. politique, peu importe, est-ce que tu arrives à rester calme et centré quand c'est le bordel autour ? Si ce n'est pas le cas, c'est peut-être que ta sécurité interne est un petit peu fragile et repose peut-être encore sur le fait d'être nourri par l'extérieur. Et numéro 3, est-ce que ton environnement, là encore, global, familial, professionnel, ton lieu de vie, te permet vraiment de te reposer et de te régénérer ? On est vraiment sur se reposer, se ressourcer, c'est deux choses différentes. Se reposer, c'est dormir. Se ressourcer, c'est faire des choses qui nous nourrissent, qui nous remplissent. Je fais des activités qui me font du bien au lieu des activités qui me vident. On en a parlé juste avant. Pourquoi cette question est importante ? Parce que si tu ne peux jamais relâcher la pression, c'est que tu ne vis pas dans un cadre de sécurité, même si ça a l'air de fonctionner en apparence. Et c'est vraiment ça qui est ultra important. Et c'est parce que ces questions-là... ne sont pas posées, parce que la plupart des gens ne sont pas en train de faire ce que t'es en train de faire, c'est-à-dire de se renseigner sur comment fonctionne mécaniquement, psychologiquement, métaboliquement, l'épanouissement humain et le fait d'être heureux, notamment à travers son épanouissement professionnel. C'est parce que la plupart des gens ne font pas ça qu'ils se retrouvent dans des situations de santé mentale un peu dégradées, si tu veux. Donc, je vais simplement terminer en te disant que... Si le modèle du SEC te parle, si cette logique de fonctionnement t'appelle, sache qu'il y a très bientôt une formation complète sur la performance équilibrée qui s'appellera Performance équilibrée. Elle va arriver très bientôt dans la description de cet épisode. Le lien sera mis en place dès que la formation sera disponible, probablement aux alentours du mois de décembre 2025. Deux autres informations, si tu te sens concerné par des difficultés de santé mentale, sache qu'il y a deux sites web référence. Le PSSM France, Premier Secours de Santé Mentale France, PSSM, si tu tapes ça dans Google, tu vas trouver leur site web. Et le site officiel, santémentale-info-service.fr, service au singulier, site national de référence à destination du grand public, avec des outils de prévention et de soutien. évidemment Je t'invite à prendre grand soin de toi parce que sans ça, si toi t'es pas bien, t'es utile à personne et je sais qu'être utile à quelqu'un est forcément important pour toi, à commencer par ta propre famille. Donc c'est ça, prends bien soin de toi, je te souhaite une excellente fin de journée et puis à très bientôt sur ce podcast.