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L'Industrie qui fait Envie : Recrutement, Fidélisation des Talents, Marque Employeur et Stratégies RH pour les Professionnels de l'Industrie

[Hors Sérié] Faut-il être fou pour entreprendre dans l'industrie en 2025 ?

[Hors Sérié] Faut-il être fou pour entreprendre dans l'industrie en 2025 ?

06min |20/04/2025|

51

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Description

➡️ Racheter une fonderie en 2023, c’est courageux. En faire un lieu d’attractivité RH en 2025, c’est presque fou.

[📉 Marre de subir le turnover ? ] Télécharge mon workbook gratuit ici 👉 https://claire-tenailleau.systeme.io/ee272bc7


Et pourtant, c’est exactement ce qu’a fait Jean-Yves GANNARD, dirigeant de la Fonderie Charles-Losier, que j’ai rencontré à Global Industrie.

Avec 40 ans de carrière industrielle, Jean-Yves est la preuve vivante qu’on peut commencer technicien et finir dirigeant. Il croit en la fonderie, au concret, aux savoir-faire, et surtout à l'humain au cœur de l'industrie.

Dans ce HORS-SÉRIE express, on parle de :
❌ L’image poussiéreuse de la fonderie
❌ Le regard que porte encore la société sur les métiers industriels
❌ La difficulté de recruter sur les métiers en tension

Mais surtout, Jean-Yves nous partage sa vision :

✅ L’industrie, c’est de l’évolution permanente : on ne fait plus le même métier toute sa vie
✅ L’industrie, c’est du concret, c’est fabriquer ce qu’on utilise au quotidien
✅ L’industrie, c’est des métiers variés, bien payés, avec des perspectives
✅ Et surtout, l’industrie a besoin de visibilité et de fierté

Alors, faut-il être un peu givré pour entreprendre dans l’industrie aujourd’hui ?
Jean-Yves répond avec humilité, expérience et une énergie communicative 💥

📍 Un épisode enregistré sur le terrain, au cœur d’un site industriel
🎧 À écouter absolument si vous croyez encore que la fonderie, c’est fini.

Bonne écoute 🎧

💖 Vous avez aimé l’épisode ?

Abonnez-vous pour ne rien manquer.
Laissez un avis.
Mettez 5 ⭐⭐⭐⭐⭐ sur Spotify, Deezer ou Apple Podcast.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Jean-Yves, bonjour ! Bonjour ! Est-ce que tu peux te présenter ? Parle-nous de toi.

  • Speaker #1

    Oh, alors, Jean-Yves Gana, donc moi j'ai 60 ans, je fais 40 ans de vie industrielle essentiellement, et j'ai racheté la fonderie Charles-Losier en 2023. J'ai toujours passé ma vie dans l'industrie, soit pour servir essentiellement l'automobile ou la grande distribution, et... J'ai beaucoup aimé ce milieu industriel.

  • Speaker #0

    Et tu es l'illustration d'ailleurs parfaite d'une belle carrière dans l'industrie avec une évolution quand même impressionnante. Donc pour toi, tu connais un peu le slogan peut-être du podcast, le nom du podcast. Pour toi, c'est quoi l'industrie qui fait envie ?

  • Speaker #1

    Alors l'industrie qui fait envie, c'est l'industrie qui allie à la fois la gestion de personnes humaine et relations humaines c'est à la fois qui allie aussi la gestion de clients une offre de services une offre de produits donc une création et puis à la fois c'est une gestion financière aussi c'est d'être performant c'est donc c'est l'arrivée à avoir ces trois piliers de l'industrie, je l'appelle souvent ces piliers de l'industrie qu'on vit, les ressources humaines les ressources clients les ressources financières et d'en faire une meilleure agglomération pour en tirer le meilleur profit. C'est ça qui fait envie d'être dans l'industrie, c'est tirer le profit, de tirer le meilleur de chacun.

  • Speaker #0

    C'est très chouette. Alors toi, tu es entrepreneur sur la filière Amon, l'industrie. On en a besoin de préserver cette filière. Je sais que les sujets aussi du Made in France, de la souveraineté sont importants pour toi, mais quelque part, est-ce qu'il ne faut pas être un peu flou pour entreprendre dans l'industrie aujourd'hui, en 2025 ?

  • Speaker #1

    Peut-être, peut-être, mais vous n'êtes pas la seule à me dire ça. Ça se voit des... Il faut peut-être un peu un grain de folie, mais je crois que pour faire certaines choses, il faut toujours avoir un peu un grain de folie. Autrement, on reste assez immobilier et assez immobile. J'ai beaucoup travaillé, comme je l'ai dit, 40 ans dans l'industrie. Pendant ces 40 ans dans l'industrie, on m'a beaucoup poussé, amené à réfléchir pour aller chercher de l'industrie dans le mercant de source. Je me rappelle les premières réunions avec l'automobile. puis après en Asie, puis après la grande distribution dans les pays de l'Est. J'ai un peu la faiblesse de penser qu'on peut réindustrialiser un peu en France aujourd'hui, en France ou en Europe, avec sûrement des façons différentes d'approche industrielle, d'approche d'entreprise. Et donc j'ai voulu aussi avoir apporté ma petite pierre à l'édifice, un peu comme le colibri, pour pouvoir essayer de faire partie de cet engagement, d'essayer de partir de cette aventure. Donc, peut-être un grain de folie, mais beaucoup d'envie.

  • Speaker #0

    Et alors, dis-moi, tu sais qu'ici, on parle des enjeux de l'attractivité, de la marque employeur, des enjeux RH. Pour toi, ton plus gros défi RH, et qu'est-ce que tu fais pour que ça s'améliore ?

  • Speaker #1

    Alors, racheter une fonderie, quand on dit qu'on va aller racheter une fonderie, on va plutôt avoir des gens qui vont dire, ça existe encore, ou alors… C'était du tonzola, non ? Et moi, mon plus grand jeu, c'est ce que je dis souvent à mes collaborateurs, peut-être aussi mes banquiers, c'est de leur dire qu'il faut amener l'attractivité. L'attractivité, je crois déjà la première des choses, c'est qu'on ne connaît plus ce qui se passe dans les entreprises, c'est déjà d'ouvrir nos portes dans les entreprises, d'inviter les gens à venir voir que dans les entreprises, c'est ce qu'on fabrique, c'est ce qu'on utilise tous les jours, et que les gens sont fiers de pouvoir fournir. une pièce, un produit, un service à tous ses collègues, son beau-frère, son épouse, ses enfants. Et donc, c'est déjà d'ouvrir les portes. Ça, c'est une des premières choses. Deuxièmement, je veux dire, il faut aussi faire évoluer notre entreprise, notre industrie. Et je pense qu'elle a quand même bien évolué depuis des années, mais sur les formations, sur les conditions de travail, sur la polycompétence, l'employabilité des gens. Ça, c'est un sujet qui m'est à cœur aussi. Les gens ne vont plus être... On ne va pas chercher des gens qui vont rester 20 ans, 30 ans chez nous, chez Charles-Losiers, qui vont être de passage. Donc, il faut aussi leur projeter sur un futur qui reste au présent. Donc, ça, je suis bien. Donc, il faut vraiment ouvrir, intéresser. Et c'est de concret, l'industrie. C'est de concret. Mon trôneur. Mon trôneur. Mon trôneur. Et je pense qu'ils sont fiers. J'ai toujours rencontré... des gens dans les entreprises que j'ai gérées, où j'ai été, ils étaient fiers des produits qu'ils faisaient. Ce n'était pas assez connu et ce n'était pas assez mis en avant. On ne va pas revenir faire le débat des 20-30 dernières années où dans les lycées, dans les écoles, dans les politiques, dans les parents, on disait si ce n'était pas bon, on va tirer à l'entreprise, tirer à l'industrie. Aujourd'hui, ce qui vient de l'industrie, c'est souvent ce qui… On y trouve des salaires intéressants, on y trouve des possibilités de développement intéressantes. L'entreprise offre une quantité industrielle de métiers, méthodes, B.E., qualité, gestion, la diversité. Donc, il y a des passerelles. Moi, j'en suis un exemple. Je suis rentré technicien maintenant. J'ai fini des jets de société. Je suis entrepreneur. Je suis passé par les achats, la supply chain, la direction de production. J'ai fait plusieurs métiers. Et donc, c'est ça l'intérêt aussi.

  • Speaker #0

    Donc, pour conclure, c'est ce que tu dirais à un jeune ou à un moins jeune, d'ailleurs, pour se lancer dans l'industrie.

  • Speaker #1

    Oui, je dirais ça. Je dis, viens voir, viens regarder. L'industrie se concrète. Premièrement, c'est du concret. Je n'ai rien contre des informaticiens, il y a des infos, des choses comme ça. Mais nous, on sort des pièces, on les voit tous les jours dans la vie commune. C'est du concret. Deuxièmement, c'est des possibilités d'évolution. Même si aujourd'hui ton métier ne te plaît pas, tu as la possibilité dans l'industrie de retrouver un métier qui te plaît. Il y a de grandes chances que tu puisses trouver quelque chose qui te plaît. Troisièmement, il n'y a plus de chances que tu sois en manque d'emploi. plus jour et nuit, mais quatrièmement, c'est plutôt bien payé.

  • Speaker #0

    Ça fait de très bonnes raisons de rejoindre l'industrie. Jean-Yves, merci en tout cas. Merci de nous avoir accueillis. On vous partagera quelques éléments de cette belle visite qu'on a eu l'occasion de faire. Merci, Clé. Merci. À bientôt. Au revoir.

Description

➡️ Racheter une fonderie en 2023, c’est courageux. En faire un lieu d’attractivité RH en 2025, c’est presque fou.

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Et pourtant, c’est exactement ce qu’a fait Jean-Yves GANNARD, dirigeant de la Fonderie Charles-Losier, que j’ai rencontré à Global Industrie.

Avec 40 ans de carrière industrielle, Jean-Yves est la preuve vivante qu’on peut commencer technicien et finir dirigeant. Il croit en la fonderie, au concret, aux savoir-faire, et surtout à l'humain au cœur de l'industrie.

Dans ce HORS-SÉRIE express, on parle de :
❌ L’image poussiéreuse de la fonderie
❌ Le regard que porte encore la société sur les métiers industriels
❌ La difficulté de recruter sur les métiers en tension

Mais surtout, Jean-Yves nous partage sa vision :

✅ L’industrie, c’est de l’évolution permanente : on ne fait plus le même métier toute sa vie
✅ L’industrie, c’est du concret, c’est fabriquer ce qu’on utilise au quotidien
✅ L’industrie, c’est des métiers variés, bien payés, avec des perspectives
✅ Et surtout, l’industrie a besoin de visibilité et de fierté

Alors, faut-il être un peu givré pour entreprendre dans l’industrie aujourd’hui ?
Jean-Yves répond avec humilité, expérience et une énergie communicative 💥

📍 Un épisode enregistré sur le terrain, au cœur d’un site industriel
🎧 À écouter absolument si vous croyez encore que la fonderie, c’est fini.

Bonne écoute 🎧

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Transcription

  • Speaker #0

    Jean-Yves, bonjour ! Bonjour ! Est-ce que tu peux te présenter ? Parle-nous de toi.

  • Speaker #1

    Oh, alors, Jean-Yves Gana, donc moi j'ai 60 ans, je fais 40 ans de vie industrielle essentiellement, et j'ai racheté la fonderie Charles-Losier en 2023. J'ai toujours passé ma vie dans l'industrie, soit pour servir essentiellement l'automobile ou la grande distribution, et... J'ai beaucoup aimé ce milieu industriel.

  • Speaker #0

    Et tu es l'illustration d'ailleurs parfaite d'une belle carrière dans l'industrie avec une évolution quand même impressionnante. Donc pour toi, tu connais un peu le slogan peut-être du podcast, le nom du podcast. Pour toi, c'est quoi l'industrie qui fait envie ?

  • Speaker #1

    Alors l'industrie qui fait envie, c'est l'industrie qui allie à la fois la gestion de personnes humaine et relations humaines c'est à la fois qui allie aussi la gestion de clients une offre de services une offre de produits donc une création et puis à la fois c'est une gestion financière aussi c'est d'être performant c'est donc c'est l'arrivée à avoir ces trois piliers de l'industrie, je l'appelle souvent ces piliers de l'industrie qu'on vit, les ressources humaines les ressources clients les ressources financières et d'en faire une meilleure agglomération pour en tirer le meilleur profit. C'est ça qui fait envie d'être dans l'industrie, c'est tirer le profit, de tirer le meilleur de chacun.

  • Speaker #0

    C'est très chouette. Alors toi, tu es entrepreneur sur la filière Amon, l'industrie. On en a besoin de préserver cette filière. Je sais que les sujets aussi du Made in France, de la souveraineté sont importants pour toi, mais quelque part, est-ce qu'il ne faut pas être un peu flou pour entreprendre dans l'industrie aujourd'hui, en 2025 ?

  • Speaker #1

    Peut-être, peut-être, mais vous n'êtes pas la seule à me dire ça. Ça se voit des... Il faut peut-être un peu un grain de folie, mais je crois que pour faire certaines choses, il faut toujours avoir un peu un grain de folie. Autrement, on reste assez immobilier et assez immobile. J'ai beaucoup travaillé, comme je l'ai dit, 40 ans dans l'industrie. Pendant ces 40 ans dans l'industrie, on m'a beaucoup poussé, amené à réfléchir pour aller chercher de l'industrie dans le mercant de source. Je me rappelle les premières réunions avec l'automobile. puis après en Asie, puis après la grande distribution dans les pays de l'Est. J'ai un peu la faiblesse de penser qu'on peut réindustrialiser un peu en France aujourd'hui, en France ou en Europe, avec sûrement des façons différentes d'approche industrielle, d'approche d'entreprise. Et donc j'ai voulu aussi avoir apporté ma petite pierre à l'édifice, un peu comme le colibri, pour pouvoir essayer de faire partie de cet engagement, d'essayer de partir de cette aventure. Donc, peut-être un grain de folie, mais beaucoup d'envie.

  • Speaker #0

    Et alors, dis-moi, tu sais qu'ici, on parle des enjeux de l'attractivité, de la marque employeur, des enjeux RH. Pour toi, ton plus gros défi RH, et qu'est-ce que tu fais pour que ça s'améliore ?

  • Speaker #1

    Alors, racheter une fonderie, quand on dit qu'on va aller racheter une fonderie, on va plutôt avoir des gens qui vont dire, ça existe encore, ou alors… C'était du tonzola, non ? Et moi, mon plus grand jeu, c'est ce que je dis souvent à mes collaborateurs, peut-être aussi mes banquiers, c'est de leur dire qu'il faut amener l'attractivité. L'attractivité, je crois déjà la première des choses, c'est qu'on ne connaît plus ce qui se passe dans les entreprises, c'est déjà d'ouvrir nos portes dans les entreprises, d'inviter les gens à venir voir que dans les entreprises, c'est ce qu'on fabrique, c'est ce qu'on utilise tous les jours, et que les gens sont fiers de pouvoir fournir. une pièce, un produit, un service à tous ses collègues, son beau-frère, son épouse, ses enfants. Et donc, c'est déjà d'ouvrir les portes. Ça, c'est une des premières choses. Deuxièmement, je veux dire, il faut aussi faire évoluer notre entreprise, notre industrie. Et je pense qu'elle a quand même bien évolué depuis des années, mais sur les formations, sur les conditions de travail, sur la polycompétence, l'employabilité des gens. Ça, c'est un sujet qui m'est à cœur aussi. Les gens ne vont plus être... On ne va pas chercher des gens qui vont rester 20 ans, 30 ans chez nous, chez Charles-Losiers, qui vont être de passage. Donc, il faut aussi leur projeter sur un futur qui reste au présent. Donc, ça, je suis bien. Donc, il faut vraiment ouvrir, intéresser. Et c'est de concret, l'industrie. C'est de concret. Mon trôneur. Mon trôneur. Mon trôneur. Et je pense qu'ils sont fiers. J'ai toujours rencontré... des gens dans les entreprises que j'ai gérées, où j'ai été, ils étaient fiers des produits qu'ils faisaient. Ce n'était pas assez connu et ce n'était pas assez mis en avant. On ne va pas revenir faire le débat des 20-30 dernières années où dans les lycées, dans les écoles, dans les politiques, dans les parents, on disait si ce n'était pas bon, on va tirer à l'entreprise, tirer à l'industrie. Aujourd'hui, ce qui vient de l'industrie, c'est souvent ce qui… On y trouve des salaires intéressants, on y trouve des possibilités de développement intéressantes. L'entreprise offre une quantité industrielle de métiers, méthodes, B.E., qualité, gestion, la diversité. Donc, il y a des passerelles. Moi, j'en suis un exemple. Je suis rentré technicien maintenant. J'ai fini des jets de société. Je suis entrepreneur. Je suis passé par les achats, la supply chain, la direction de production. J'ai fait plusieurs métiers. Et donc, c'est ça l'intérêt aussi.

  • Speaker #0

    Donc, pour conclure, c'est ce que tu dirais à un jeune ou à un moins jeune, d'ailleurs, pour se lancer dans l'industrie.

  • Speaker #1

    Oui, je dirais ça. Je dis, viens voir, viens regarder. L'industrie se concrète. Premièrement, c'est du concret. Je n'ai rien contre des informaticiens, il y a des infos, des choses comme ça. Mais nous, on sort des pièces, on les voit tous les jours dans la vie commune. C'est du concret. Deuxièmement, c'est des possibilités d'évolution. Même si aujourd'hui ton métier ne te plaît pas, tu as la possibilité dans l'industrie de retrouver un métier qui te plaît. Il y a de grandes chances que tu puisses trouver quelque chose qui te plaît. Troisièmement, il n'y a plus de chances que tu sois en manque d'emploi. plus jour et nuit, mais quatrièmement, c'est plutôt bien payé.

  • Speaker #0

    Ça fait de très bonnes raisons de rejoindre l'industrie. Jean-Yves, merci en tout cas. Merci de nous avoir accueillis. On vous partagera quelques éléments de cette belle visite qu'on a eu l'occasion de faire. Merci, Clé. Merci. À bientôt. Au revoir.

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➡️ Racheter une fonderie en 2023, c’est courageux. En faire un lieu d’attractivité RH en 2025, c’est presque fou.

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Et pourtant, c’est exactement ce qu’a fait Jean-Yves GANNARD, dirigeant de la Fonderie Charles-Losier, que j’ai rencontré à Global Industrie.

Avec 40 ans de carrière industrielle, Jean-Yves est la preuve vivante qu’on peut commencer technicien et finir dirigeant. Il croit en la fonderie, au concret, aux savoir-faire, et surtout à l'humain au cœur de l'industrie.

Dans ce HORS-SÉRIE express, on parle de :
❌ L’image poussiéreuse de la fonderie
❌ Le regard que porte encore la société sur les métiers industriels
❌ La difficulté de recruter sur les métiers en tension

Mais surtout, Jean-Yves nous partage sa vision :

✅ L’industrie, c’est de l’évolution permanente : on ne fait plus le même métier toute sa vie
✅ L’industrie, c’est du concret, c’est fabriquer ce qu’on utilise au quotidien
✅ L’industrie, c’est des métiers variés, bien payés, avec des perspectives
✅ Et surtout, l’industrie a besoin de visibilité et de fierté

Alors, faut-il être un peu givré pour entreprendre dans l’industrie aujourd’hui ?
Jean-Yves répond avec humilité, expérience et une énergie communicative 💥

📍 Un épisode enregistré sur le terrain, au cœur d’un site industriel
🎧 À écouter absolument si vous croyez encore que la fonderie, c’est fini.

Bonne écoute 🎧

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Jean-Yves, bonjour ! Bonjour ! Est-ce que tu peux te présenter ? Parle-nous de toi.

  • Speaker #1

    Oh, alors, Jean-Yves Gana, donc moi j'ai 60 ans, je fais 40 ans de vie industrielle essentiellement, et j'ai racheté la fonderie Charles-Losier en 2023. J'ai toujours passé ma vie dans l'industrie, soit pour servir essentiellement l'automobile ou la grande distribution, et... J'ai beaucoup aimé ce milieu industriel.

  • Speaker #0

    Et tu es l'illustration d'ailleurs parfaite d'une belle carrière dans l'industrie avec une évolution quand même impressionnante. Donc pour toi, tu connais un peu le slogan peut-être du podcast, le nom du podcast. Pour toi, c'est quoi l'industrie qui fait envie ?

  • Speaker #1

    Alors l'industrie qui fait envie, c'est l'industrie qui allie à la fois la gestion de personnes humaine et relations humaines c'est à la fois qui allie aussi la gestion de clients une offre de services une offre de produits donc une création et puis à la fois c'est une gestion financière aussi c'est d'être performant c'est donc c'est l'arrivée à avoir ces trois piliers de l'industrie, je l'appelle souvent ces piliers de l'industrie qu'on vit, les ressources humaines les ressources clients les ressources financières et d'en faire une meilleure agglomération pour en tirer le meilleur profit. C'est ça qui fait envie d'être dans l'industrie, c'est tirer le profit, de tirer le meilleur de chacun.

  • Speaker #0

    C'est très chouette. Alors toi, tu es entrepreneur sur la filière Amon, l'industrie. On en a besoin de préserver cette filière. Je sais que les sujets aussi du Made in France, de la souveraineté sont importants pour toi, mais quelque part, est-ce qu'il ne faut pas être un peu flou pour entreprendre dans l'industrie aujourd'hui, en 2025 ?

  • Speaker #1

    Peut-être, peut-être, mais vous n'êtes pas la seule à me dire ça. Ça se voit des... Il faut peut-être un peu un grain de folie, mais je crois que pour faire certaines choses, il faut toujours avoir un peu un grain de folie. Autrement, on reste assez immobilier et assez immobile. J'ai beaucoup travaillé, comme je l'ai dit, 40 ans dans l'industrie. Pendant ces 40 ans dans l'industrie, on m'a beaucoup poussé, amené à réfléchir pour aller chercher de l'industrie dans le mercant de source. Je me rappelle les premières réunions avec l'automobile. puis après en Asie, puis après la grande distribution dans les pays de l'Est. J'ai un peu la faiblesse de penser qu'on peut réindustrialiser un peu en France aujourd'hui, en France ou en Europe, avec sûrement des façons différentes d'approche industrielle, d'approche d'entreprise. Et donc j'ai voulu aussi avoir apporté ma petite pierre à l'édifice, un peu comme le colibri, pour pouvoir essayer de faire partie de cet engagement, d'essayer de partir de cette aventure. Donc, peut-être un grain de folie, mais beaucoup d'envie.

  • Speaker #0

    Et alors, dis-moi, tu sais qu'ici, on parle des enjeux de l'attractivité, de la marque employeur, des enjeux RH. Pour toi, ton plus gros défi RH, et qu'est-ce que tu fais pour que ça s'améliore ?

  • Speaker #1

    Alors, racheter une fonderie, quand on dit qu'on va aller racheter une fonderie, on va plutôt avoir des gens qui vont dire, ça existe encore, ou alors… C'était du tonzola, non ? Et moi, mon plus grand jeu, c'est ce que je dis souvent à mes collaborateurs, peut-être aussi mes banquiers, c'est de leur dire qu'il faut amener l'attractivité. L'attractivité, je crois déjà la première des choses, c'est qu'on ne connaît plus ce qui se passe dans les entreprises, c'est déjà d'ouvrir nos portes dans les entreprises, d'inviter les gens à venir voir que dans les entreprises, c'est ce qu'on fabrique, c'est ce qu'on utilise tous les jours, et que les gens sont fiers de pouvoir fournir. une pièce, un produit, un service à tous ses collègues, son beau-frère, son épouse, ses enfants. Et donc, c'est déjà d'ouvrir les portes. Ça, c'est une des premières choses. Deuxièmement, je veux dire, il faut aussi faire évoluer notre entreprise, notre industrie. Et je pense qu'elle a quand même bien évolué depuis des années, mais sur les formations, sur les conditions de travail, sur la polycompétence, l'employabilité des gens. Ça, c'est un sujet qui m'est à cœur aussi. Les gens ne vont plus être... On ne va pas chercher des gens qui vont rester 20 ans, 30 ans chez nous, chez Charles-Losiers, qui vont être de passage. Donc, il faut aussi leur projeter sur un futur qui reste au présent. Donc, ça, je suis bien. Donc, il faut vraiment ouvrir, intéresser. Et c'est de concret, l'industrie. C'est de concret. Mon trôneur. Mon trôneur. Mon trôneur. Et je pense qu'ils sont fiers. J'ai toujours rencontré... des gens dans les entreprises que j'ai gérées, où j'ai été, ils étaient fiers des produits qu'ils faisaient. Ce n'était pas assez connu et ce n'était pas assez mis en avant. On ne va pas revenir faire le débat des 20-30 dernières années où dans les lycées, dans les écoles, dans les politiques, dans les parents, on disait si ce n'était pas bon, on va tirer à l'entreprise, tirer à l'industrie. Aujourd'hui, ce qui vient de l'industrie, c'est souvent ce qui… On y trouve des salaires intéressants, on y trouve des possibilités de développement intéressantes. L'entreprise offre une quantité industrielle de métiers, méthodes, B.E., qualité, gestion, la diversité. Donc, il y a des passerelles. Moi, j'en suis un exemple. Je suis rentré technicien maintenant. J'ai fini des jets de société. Je suis entrepreneur. Je suis passé par les achats, la supply chain, la direction de production. J'ai fait plusieurs métiers. Et donc, c'est ça l'intérêt aussi.

  • Speaker #0

    Donc, pour conclure, c'est ce que tu dirais à un jeune ou à un moins jeune, d'ailleurs, pour se lancer dans l'industrie.

  • Speaker #1

    Oui, je dirais ça. Je dis, viens voir, viens regarder. L'industrie se concrète. Premièrement, c'est du concret. Je n'ai rien contre des informaticiens, il y a des infos, des choses comme ça. Mais nous, on sort des pièces, on les voit tous les jours dans la vie commune. C'est du concret. Deuxièmement, c'est des possibilités d'évolution. Même si aujourd'hui ton métier ne te plaît pas, tu as la possibilité dans l'industrie de retrouver un métier qui te plaît. Il y a de grandes chances que tu puisses trouver quelque chose qui te plaît. Troisièmement, il n'y a plus de chances que tu sois en manque d'emploi. plus jour et nuit, mais quatrièmement, c'est plutôt bien payé.

  • Speaker #0

    Ça fait de très bonnes raisons de rejoindre l'industrie. Jean-Yves, merci en tout cas. Merci de nous avoir accueillis. On vous partagera quelques éléments de cette belle visite qu'on a eu l'occasion de faire. Merci, Clé. Merci. À bientôt. Au revoir.

Description

➡️ Racheter une fonderie en 2023, c’est courageux. En faire un lieu d’attractivité RH en 2025, c’est presque fou.

[📉 Marre de subir le turnover ? ] Télécharge mon workbook gratuit ici 👉 https://claire-tenailleau.systeme.io/ee272bc7


Et pourtant, c’est exactement ce qu’a fait Jean-Yves GANNARD, dirigeant de la Fonderie Charles-Losier, que j’ai rencontré à Global Industrie.

Avec 40 ans de carrière industrielle, Jean-Yves est la preuve vivante qu’on peut commencer technicien et finir dirigeant. Il croit en la fonderie, au concret, aux savoir-faire, et surtout à l'humain au cœur de l'industrie.

Dans ce HORS-SÉRIE express, on parle de :
❌ L’image poussiéreuse de la fonderie
❌ Le regard que porte encore la société sur les métiers industriels
❌ La difficulté de recruter sur les métiers en tension

Mais surtout, Jean-Yves nous partage sa vision :

✅ L’industrie, c’est de l’évolution permanente : on ne fait plus le même métier toute sa vie
✅ L’industrie, c’est du concret, c’est fabriquer ce qu’on utilise au quotidien
✅ L’industrie, c’est des métiers variés, bien payés, avec des perspectives
✅ Et surtout, l’industrie a besoin de visibilité et de fierté

Alors, faut-il être un peu givré pour entreprendre dans l’industrie aujourd’hui ?
Jean-Yves répond avec humilité, expérience et une énergie communicative 💥

📍 Un épisode enregistré sur le terrain, au cœur d’un site industriel
🎧 À écouter absolument si vous croyez encore que la fonderie, c’est fini.

Bonne écoute 🎧

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    Jean-Yves, bonjour ! Bonjour ! Est-ce que tu peux te présenter ? Parle-nous de toi.

  • Speaker #1

    Oh, alors, Jean-Yves Gana, donc moi j'ai 60 ans, je fais 40 ans de vie industrielle essentiellement, et j'ai racheté la fonderie Charles-Losier en 2023. J'ai toujours passé ma vie dans l'industrie, soit pour servir essentiellement l'automobile ou la grande distribution, et... J'ai beaucoup aimé ce milieu industriel.

  • Speaker #0

    Et tu es l'illustration d'ailleurs parfaite d'une belle carrière dans l'industrie avec une évolution quand même impressionnante. Donc pour toi, tu connais un peu le slogan peut-être du podcast, le nom du podcast. Pour toi, c'est quoi l'industrie qui fait envie ?

  • Speaker #1

    Alors l'industrie qui fait envie, c'est l'industrie qui allie à la fois la gestion de personnes humaine et relations humaines c'est à la fois qui allie aussi la gestion de clients une offre de services une offre de produits donc une création et puis à la fois c'est une gestion financière aussi c'est d'être performant c'est donc c'est l'arrivée à avoir ces trois piliers de l'industrie, je l'appelle souvent ces piliers de l'industrie qu'on vit, les ressources humaines les ressources clients les ressources financières et d'en faire une meilleure agglomération pour en tirer le meilleur profit. C'est ça qui fait envie d'être dans l'industrie, c'est tirer le profit, de tirer le meilleur de chacun.

  • Speaker #0

    C'est très chouette. Alors toi, tu es entrepreneur sur la filière Amon, l'industrie. On en a besoin de préserver cette filière. Je sais que les sujets aussi du Made in France, de la souveraineté sont importants pour toi, mais quelque part, est-ce qu'il ne faut pas être un peu flou pour entreprendre dans l'industrie aujourd'hui, en 2025 ?

  • Speaker #1

    Peut-être, peut-être, mais vous n'êtes pas la seule à me dire ça. Ça se voit des... Il faut peut-être un peu un grain de folie, mais je crois que pour faire certaines choses, il faut toujours avoir un peu un grain de folie. Autrement, on reste assez immobilier et assez immobile. J'ai beaucoup travaillé, comme je l'ai dit, 40 ans dans l'industrie. Pendant ces 40 ans dans l'industrie, on m'a beaucoup poussé, amené à réfléchir pour aller chercher de l'industrie dans le mercant de source. Je me rappelle les premières réunions avec l'automobile. puis après en Asie, puis après la grande distribution dans les pays de l'Est. J'ai un peu la faiblesse de penser qu'on peut réindustrialiser un peu en France aujourd'hui, en France ou en Europe, avec sûrement des façons différentes d'approche industrielle, d'approche d'entreprise. Et donc j'ai voulu aussi avoir apporté ma petite pierre à l'édifice, un peu comme le colibri, pour pouvoir essayer de faire partie de cet engagement, d'essayer de partir de cette aventure. Donc, peut-être un grain de folie, mais beaucoup d'envie.

  • Speaker #0

    Et alors, dis-moi, tu sais qu'ici, on parle des enjeux de l'attractivité, de la marque employeur, des enjeux RH. Pour toi, ton plus gros défi RH, et qu'est-ce que tu fais pour que ça s'améliore ?

  • Speaker #1

    Alors, racheter une fonderie, quand on dit qu'on va aller racheter une fonderie, on va plutôt avoir des gens qui vont dire, ça existe encore, ou alors… C'était du tonzola, non ? Et moi, mon plus grand jeu, c'est ce que je dis souvent à mes collaborateurs, peut-être aussi mes banquiers, c'est de leur dire qu'il faut amener l'attractivité. L'attractivité, je crois déjà la première des choses, c'est qu'on ne connaît plus ce qui se passe dans les entreprises, c'est déjà d'ouvrir nos portes dans les entreprises, d'inviter les gens à venir voir que dans les entreprises, c'est ce qu'on fabrique, c'est ce qu'on utilise tous les jours, et que les gens sont fiers de pouvoir fournir. une pièce, un produit, un service à tous ses collègues, son beau-frère, son épouse, ses enfants. Et donc, c'est déjà d'ouvrir les portes. Ça, c'est une des premières choses. Deuxièmement, je veux dire, il faut aussi faire évoluer notre entreprise, notre industrie. Et je pense qu'elle a quand même bien évolué depuis des années, mais sur les formations, sur les conditions de travail, sur la polycompétence, l'employabilité des gens. Ça, c'est un sujet qui m'est à cœur aussi. Les gens ne vont plus être... On ne va pas chercher des gens qui vont rester 20 ans, 30 ans chez nous, chez Charles-Losiers, qui vont être de passage. Donc, il faut aussi leur projeter sur un futur qui reste au présent. Donc, ça, je suis bien. Donc, il faut vraiment ouvrir, intéresser. Et c'est de concret, l'industrie. C'est de concret. Mon trôneur. Mon trôneur. Mon trôneur. Et je pense qu'ils sont fiers. J'ai toujours rencontré... des gens dans les entreprises que j'ai gérées, où j'ai été, ils étaient fiers des produits qu'ils faisaient. Ce n'était pas assez connu et ce n'était pas assez mis en avant. On ne va pas revenir faire le débat des 20-30 dernières années où dans les lycées, dans les écoles, dans les politiques, dans les parents, on disait si ce n'était pas bon, on va tirer à l'entreprise, tirer à l'industrie. Aujourd'hui, ce qui vient de l'industrie, c'est souvent ce qui… On y trouve des salaires intéressants, on y trouve des possibilités de développement intéressantes. L'entreprise offre une quantité industrielle de métiers, méthodes, B.E., qualité, gestion, la diversité. Donc, il y a des passerelles. Moi, j'en suis un exemple. Je suis rentré technicien maintenant. J'ai fini des jets de société. Je suis entrepreneur. Je suis passé par les achats, la supply chain, la direction de production. J'ai fait plusieurs métiers. Et donc, c'est ça l'intérêt aussi.

  • Speaker #0

    Donc, pour conclure, c'est ce que tu dirais à un jeune ou à un moins jeune, d'ailleurs, pour se lancer dans l'industrie.

  • Speaker #1

    Oui, je dirais ça. Je dis, viens voir, viens regarder. L'industrie se concrète. Premièrement, c'est du concret. Je n'ai rien contre des informaticiens, il y a des infos, des choses comme ça. Mais nous, on sort des pièces, on les voit tous les jours dans la vie commune. C'est du concret. Deuxièmement, c'est des possibilités d'évolution. Même si aujourd'hui ton métier ne te plaît pas, tu as la possibilité dans l'industrie de retrouver un métier qui te plaît. Il y a de grandes chances que tu puisses trouver quelque chose qui te plaît. Troisièmement, il n'y a plus de chances que tu sois en manque d'emploi. plus jour et nuit, mais quatrièmement, c'est plutôt bien payé.

  • Speaker #0

    Ça fait de très bonnes raisons de rejoindre l'industrie. Jean-Yves, merci en tout cas. Merci de nous avoir accueillis. On vous partagera quelques éléments de cette belle visite qu'on a eu l'occasion de faire. Merci, Clé. Merci. À bientôt. Au revoir.

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