Speaker #0Bienvenue dans le podcast La Musique, notre miroir. Je m'appelle Marc-Catherine Nicole et mon talent est de te transmettre une nouvelle vision de la musique pour mieux te comprendre et te propulser plus Ausha l'aide de ce domaine au multiple potentiel. Tout au long des épisodes, tu pourras percevoir, t'amaturé ton histoire à l'aide de ton propre miroir musical. Bonjour tout le monde, bienvenue dans le cinquième épisode de La Musique, notre miroir. Aujourd'hui, on va parler d'évasion ou de connexion avec la musique, c'est-à-dire comment on utilise la musique pour répondre à nos besoins en fonction de nos émotions. Comment la musique peut nous parler de comment on gère nos émotions, comment qu'on les vit, et comment qu'on a notre dynamique personnelle avec nos émotions. On va en parler, mais avant même de parler de musique, On va parler aussi des courants de façon de penser puis d'interagir avec nos émotions depuis quelques années. En fait, d'où nous vient certains réflexes par rapport à nos émotions ? Parce qu'on va carrément parler de réflexes. Dans certains cas, il y a des comportements qui sont faits consciemment, puis dans d'autres, pas tant conscients. Donc, c'est un peu le but de l'épisode aujourd'hui, de te regarder, toi, ça ressemble à quoi la gestion de tes émotions ? Puis une fois que tu en as pris conscience... Est-ce que c'est vraiment ça que tu veux encore ? Est-ce qu'il y a des choses à modifier ou est-ce que ça te convient complètement et c'est comme ça qu'on avance ? C'est correct aussi. En fait, le but de ce podcast-là, c'est tout simplement de faire des prises de conscience pour qu'après, en tant qu'adulte, tu puisses choisir consciemment ce que tu aimes, ce que tu n'aimes pas et modifier les choses aussi selon ce que je vais te conseiller ou pas. Tout est dans tout. Moi, ça ne me dérange pas. L'expérience humaine, ça me fascine. Donc, ce n'est vraiment pas des obligations que je vais présenter ici, mais vraiment plus des possibilités et des conseils. Donc, la première chose qu'on va parler en termes d'émotions, c'est tous les préjugés qu'on a entendu parler, les croyances par rapport aux émotions dans les dernières années. En fait, si on remonte à l'époque, dans les années 1900-1930, Les émotions, c'était vraiment pas si bien vu que ça. En fait, le courant populaire à cette époque-là, c'était si tu montres des émotions, tu montres de la faiblesse. Et donc, il y a des gens qui peuvent te manipuler avec ça. Ça peut se revirer contre toi et tout. Puis je pense bien que ça remonte plus loin que cette époque-là. Je pourrais pas mettre de date précise, mais clairement, quand j'ai parlé avec des gens qui ont grandi à cette époque-là, c'était très répandu. Et je parle aussi des gens qui sont encore vivants sur la planète, donc qui sont nés à peu près dans ces époques-là. Donc, c'est un courant de pensée qui continue d'époque en époque, d'année en année. C'est des choses que j'entends beaucoup. Par contre, ici en 2020-2024, on l'entend un peu plus du côté des gars. C'est sûr qu'il y a eu des stéréotypes par rapport aux émotions, beaucoup, beaucoup, par rapport aux gars, par rapport aux filles. Mais les gars, les émotions, il ne fallait pas les montrer parce que justement, vu que j'ai mentionné tout à l'heure la faiblesse, ce n'était pas quelque chose qu'il fallait valoriser du côté des garçons. Il fallait qu'ils soient forts, il fallait qu'ils soient robustes, capables d'affronter tous les obstacles, capables de protéger tout le monde, surtout la famille, les plus faibles, les enfants, les femmes, leurs femmes. Donc, c'était un peu le courant de pensée de tout ça. Mais contrairement aux femmes, où est-ce qu'à cause de la maternité et de notre côté un peu plus sensible, bien, c'était permis d'avoir des émotions. Puis encore là, si on recule aux époques où est-ce que j'ai parlé tout à l'heure, pas tant. On pouvait vivre, OK, mais il ne fallait pas que ça sorte de la famille, il ne fallait pas que ça sorte de, il ne fallait pas que ça atteigne la réputation de la famille ou de la personne. Et là, pourquoi je monte aussi loin dans l'histoire, c'est que des fois... Ces courants de pensée-là se sont transmis de bouche à bouche dans les familles et encore aujourd'hui, c'est des choses qui font partie peut-être de ta vie encore. S'il y a des choses qui t'allument et que tu te dis « ah ouais, ça, ça ressemble vraiment à moi » , bien, note-les sur une feuille. Et des fois, quand on a des outils de libération, on peut venir guérir ça ou adresser ça assez rapidement. Donc, c'est le type de choses que j'ai appris à faire. pour moi et pour mes clients tout simplement parce que j'ai compris qu'évoluer et changer, ce n'était pas si difficile que ça et ce n'était pas si long que ça. Donc, c'est des réflexions qui m'ont justement permis de me changer et de changer les autres que j'aime autour de moi et les clients qu'ils souhaitaient. Donc, tout ce discours-là des émotions, c'est nocif autant pour moi que pour les autres. Je peux me faire manipuler, ça peut se revirer contre moi. Ça montre un signe de faiblesse. Donc, tout ça, c'est des discours qu'il y avait beaucoup avant. Aujourd'hui, on en retrouve un peu moins. Je vais être franche avec vous dans le discours des jeunes enfants, des ados, même des adultes de 30-40 ans. J'entends un discours qui est complètement différent et je me suis amusée à faire une petite recherche et on est dans un courant où est-ce que, justement, on donne droit aux émotions D'ailleurs, c'est la ligne conductrice pour les écoles. On apprend beaucoup aux enfants à accepter leurs émotions, donc à les reconnaître surtout. Donc, une fois qu'on les a reconnus, maintenant, c'est comme un peu une patate chaude. C'est-à-dire que c'est pas tout le monde qui est outillé pour après, ben, y faire face ou les gérer ou encore mieux... les adresser, les accepter, puis qu'ils puissent passer plus sainement. C'est comme si, OK, on a comme reviré un peu la balance. Avant, on n'avait pas du tout le droit d'en parler, de le faire voir et de les vivre. Et là, aujourd'hui, c'est connu, c'est accepté. Tout le monde veut révéler un peu qui ils sont, leur identité, leur état d'âme, leur état d'esprit. C'est bien correct, il fallait que ça se fasse, sauf que là, on est rendu un peu dans un extrême, selon moi, ma perception. Où est-ce que les gens, OK, font face au phénomène, mais ils ne savent pas comment les gérer. Donc, c'est un peu le but de cet épisode-ci. Je vais vous donner des outils avec la musique pour adresser un peu cette bibitte-là qu'on a eu peur pendant si longtemps, mais qui est au primordial dans une vie. En fait, je vais vous donner une image. La musique, dans mon cheminot personnel et surtout dans ma pratique, je me suis rendue compte qu'en fait, c'était comme un peu des légumes dans un frigidaire. Je m'explique. Quand on les achète, les légumes ont une place dans nos vies, ont plein de bienfaits, on peut les utiliser puis avoir un bénéfice à ça. Et là, plus qu'on les laisse dans le frigidaire, plus ils se mettent à pourrir. plus ils se mettent en fait à même envahir tout ce qui se trouve dans le frigidaire, à un point tel que ce qui était sain à la base devient complètement envahissant et destructeur. Les émotions, c'est un peu la même chose. C'est que les émotions, ça a été... En fait, on les vit dans notre corps pour nous donner des messages, pour nous donner une réaction du corps sur ce qui ne va pas. Donc, la colère... pour ne nommer que peut-être juste elle, signale qu'il y a quelque chose de toi ou de ce que tu penses ou de ce que tu es qui est réprimé, qui n'est pas exprimé et qu'on brime d'une certaine façon. Et c'est principalement ça, des fois, qui pousse à la colère. Un manque d'être vu et écouté, en fait. C'est une des sources de la colère. qui en englobe quand même beaucoup. Donc, quand je vous parle de messages derrière l'émotion, moi, j'ai fait, dans mon cheminement personnel, ça fait maintenant presque 16 ans que je chemine de manière personnelle presque à tous les jours, à toutes les semaines, parce que je suis une personne qui aime beaucoup transcender la souffrance. J'en ai vécu énormément dans mon cheminement personnel et j'ai appris à y faire face, mais pendant longtemps, je pensais qu'il fallait souffrir pour guérir, puis je me suis rendue compte que ce n'était pas la seule voie. Qu'on avait aussi plein d'autres outils pour accueillir ces vagues-là, ces messages-là du corps qu'on appelle les émotions, et y faire face beaucoup plus facilement, beaucoup plus paisiblement, beaucoup plus rapidement. La musique est mon outil fort pour ça. Donc, et là, comment je pourrais dire ? La musique, en fait, vient jouer le rôle du surfeur. Si les émotions étaient des vagues... la musique va venir propulser ou atténuer une vague qui était trop grosse ou une vague qui n'est pas assez grosse pour venir aller juste au bon niveau et faire passer le message à la bonne intensité. Donc, je vais en même en parler dans les prochains épisodes, comment on choisit une musique pour aller chercher tout ça de manière précise, soit avec... la musique, les instruments, les paramètres musicaux ou avec le langage, les textes, parce que les deux ont un rôle très précis, les deux on les utilise dans un contexte bien précis. Donc si on revient à notre sujet de base qui est évasion ou connexion, pose-toi la question, la plupart du temps, est-ce que tu vas faire face à l'émotion si tu es dans un contexte, si tu es chez vous, contexte relativement sécuritaire, relativement accepté et il y a une grosse émotion qui monte. Est-ce que tu as le réflexe, conscient ou inconscient, de venir faire face à cette émotion-là et de la laisser passer, ou de vouloir avoir un réflexe d'évasion, donc de vouloir te changer les idées, faire autre chose, te mettre en action. Dans certains cas, c'est super utile. L'émotion, si elle dure pendant trois jours, cinq jours, c'est trop long. Encore une fois, c'est toujours des cas… très individuelle, mais jusqu'à un certain point, l'émotion, si on se roule dedans tous les jours, ça vient malsain. Donc, je vais décrire dans ce podcast-ci les avantages et les déconvénients de chacun des principes de connexion et évasion, parce que ce n'est pas tout blanc, tout noir. C'est vraiment un propre à vous, parce que vous êtes unique, mais il y a des grandes tendances. Donc, si on va chercher la connexion, on va... adresser notre émotion aussitôt qu'elle arrive avec la musique ou avec d'autres moyens. Moi, je vous présente la musique puisque c'est propre de mon podcast, mais il y a plein d'autres moyens. Un des avantages, c'est de diminuer la durée de l'émotion. Parce que si on regarde un enfant qui fait une crise, la plupart du temps, une crise va durer entre 3 à 5 minutes. Ça va être intense, je vous le dis. La plupart du temps, les enfants n'ont pas de... de réglage d'intensité, donc c'est que juste intense. Et donc, d'écouter une musique qui va venir coller à l'émotion, donc en connexion, va venir diminuer la durée. Va aussi donner un sentiment de sécurité à la personne qui vit l'émotion parce que la musique, c'est comme un bon vieil ami qui nous écoute, qui sait ce qu'on vit et qui a vécu exactement la même chose. La musique vient vraiment jouer ce rôle-là, donc on s'en écoute. on se sent compris par la musique. Donc ça donne de la sécurité et on se sent compris, donc ça donne de l'empathie. Et finalement, ça a un sentiment de partage aussi, comme si on partageait la même chose avec quelqu'un, avec le compositeur, avec l'interprète. Donc on ne se sent plus tout seul à vivre ça. Un des inconvénients à la connexion, c'est que des fois, ce n'est pas toujours le bon moment. On se rappelle, on a tous des vies chargées. Si, mettons, c'est en plein milieu d'une réunion qu'on vit une grosse émotion par rapport à un deuil ou quelque chose comme ça, qui est quand même intense, on se dit « c'est pas le bon moment de connecter avec ça » . Ça peut être aussi pas le bon endroit. Donc, s'il y a des gens autour de nous avec qui on ne se sent pas particulièrement à l'aise, ça peut être ça aussi. Et ça demande de la recherche pour avoir la bonne chanson, pour la bonne situation, pour aider tout ça. Moi, avec le temps, c'est devenu quasiment un réflexe. Je me suis même bâti des playlists, des listes de lecture sur des musiques dans certains contextes, où est-ce que quand je sens l'émotion monter, je peux tout de suite aller chercher ça. Et dans ma pratique, j'ai rendu ça accessible gratuitement, différentes playlists sur ma chaîne YouTube, parce que je me suis dit, attends là, si moi c'est un besoin, probablement que les autres aussi ont un besoin de par rapport à ça. c'est pour la connexion. Je vais vous faire écouter quelques musiques de connexion pour vous donner une idée de où est-ce qu'on peut s'en aller quand on utilise la musique pour connecter à nos émotions. Donc, la première, là, on va aller un peu plus up la vie, parce que oui, on peut connecter aussi à de la joie. On peut connecter à des sentiments de « Hey, mais ça va-tu bien, ma vie, en ce moment ? » C'est aussi une forme de connexion. Donc, dans Presque toutes les catégories, je vais essayer d'aller chercher une chanson anglophone, un peu plus québécoise et français ou français de France, parce qu'il y a de tout pour faire un monde et encore une fois... J'aimerais connaître toutes les musiques du monde. Ça serait un petit fantasme pour moi, mais ce n'est pas le cas. Donc, gardez toujours à l'esprit que ce qui fonctionne pour moi peut fonctionner pour vous, mais vous avez probablement d'autres choses aussi qui fonctionnent pour vous. Il suffit seulement de venir revoir est-ce que tous les critères sont là pour que ça fonctionne pour moi aussi. Donc, la première, c'est une chanson de Michael Bublé. It's a beautiful day. Donc,
Speaker #0Mais aussi, il y a un phénomène où est-ce que les gens vont aller, oui, vont aller en fait de manière complètement inconsciente aller chercher la bonne musique par instinct, par... Par feeling, juste parce qu'ils en ont besoin, puis ils ne savent pas, ils ne peuvent pas mettre les mots dessus, puis c'est bien correct. En fait, aujourd'hui, c'est tout simplement ça que je viens faire. Mettre des mots sur des comportements ou des situations, c'est probablement passer ça avec vous et vous ne saviez pas pourquoi. Alors, ou que vous voudriez, vous êtes pris avec cette patate chaude-là, il y a plein d'émotions qui montent, je ne sais pas quoi en faire, je n'ai pas les outils, bien ça, c'est un outil qui est complètement accessible. vraiment très efficace. Donc, si on va un peu plus du côté de la fuite, encore une fois, il y a des avantages à la fuite, à l'évasion, et il y a des inconvénients. L'avantage, c'est de changer rapidement d'état émotionnel. Une musique, ça permet ça. Si je mets une musique comme « Je suis en feu » et quand je vis beaucoup de colère, si je me force un petit peu, ça se peut que je connecte à cette joie-là et ça vient atténuer ma colère. C'est un des avantages. On peut goûter, explorer l'inconnu, donc la vie de quelqu'un d'autre, sortir de notre souffrance pour aller voir qu'est-ce qu'un autre vit dans un autre contexte. Donc, des fois, ça permet de prendre un repos sur une souffrance qui est peut-être trop longue, trop intense, un deuil, par exemple. On peut aussi retarder le moment difficile. Quand je disais tantôt, c'est peut-être pas le moment. On change les idées le temps qu'on trouve un moment ou un lieu. qui est approprié pour ça. Et on peut aussi s'encourager et se rappeler que le meilleur qui a existé existe encore. C'est-à-dire que les gens qui sont déprimés, des fois, ils voient tout noir et ils se demandent comment je vais faire. De se reconnecter à la musique que vous aimez avant peut justement donner un message à votre cerveau de ça a déjà existé, ça va exister encore. Même si en ce moment, ce n'est pas facile. Par contre, les inconvénients de « freer » ou d'être en mode évasion par rapport à l'émotion, c'est de faire amplifier parce qu'on a refoulé le message qui devait être là. Bien, finalement, il n'a pas été écouté, fait que le corps dit « bien, c'est bien beau, mais... » il va quand même ressortir un jour. Donc, souvent, pourquoi on a peur de nos émotions, c'est parce que le fait de l'avoir gardé aussi en silence longtemps nous fait un peu redouter le moment où est-ce qu'on devra y goûter, où est-ce qu'on devra y refaire face. Et ça, c'est quelque chose que j'ai vu beaucoup chez les personnes âgées, justement, qui ont été, qui ont grandi dans un contexte où est-ce qu'ils ne pouvaient pas affronter, mais vivre. Leurs émotions de manière saine. Donc là arrive une époque où est-ce qu'ils veulent être en paix avec eux, ils sont rendus là dans leur vie, puis là ils redoutent le moment où est-ce qu'ils doivent faire face avec ça. Et certains, il n'y arrivera juste pas. Et ça, je trouve ça triste de passer à côté d'une paix parce qu'on ne sait juste pas comment aller faire face. Donc ça, c'est un des inconvénients, le faire trop souvent ou systématiquement à chaque fois qu'on a une émotion désagréable. Ça nous fait faire aussi du surplace dans nos vies. C'est comme si certains dossiers n'ont jamais évolué. Donc, ça nous empêche d'évoluer d'une certaine façon, de grandir. Les émotions, c'est aussi ça. Si on connecte avec leurs messages, ça nous permet d'avancer. Si on fait aussi beaucoup de fuite ou de déni envers ces émotions, des fois, on a même peur. oui de l'émotion, mais de nous-mêmes, de notre réaction, de comment on peut le devenir si la colère a été reflée pendant trop longtemps, des comportements et tout, et bien une peur du changement, des défis, une peur de souffrir, bref, les peurs peuvent être multiples. Encore une fois, s'il y en a qui vous parlent plus que d'autres, faites juste les noter, sans vous réprimer ou sans être fâché après vous, des fois, de juste prendre conscience, bien, je fonctionne comme ça à l'heure actuelle. Est-ce que ça me satisfait ? Est-ce que je suis bien là-dedans ? Si la réponse est oui, vous continuez. Si la réponse est non, il y a plusieurs, plusieurs, plusieurs outils qui existent. Je vous en présente quelques-uns aujourd'hui, mais ça prend plusieurs outils, plusieurs méthodes pour toutes les personnes différentes qu'il y a sur la planète. Donc, vous allez trouver votre voie. Vous allez trouver la façon d'adresser tout ça, j'en suis certaine. Et donc, ça arrive un peu à la fin de notre podcast qui adressait un sujet relativement délicat, mais je l'ai fait avec beaucoup de cœur, avec beaucoup de compassion. J'espère que vous l'avez senti. Le but ici n'est pas de vous juger. Le but est plus de te dire, bien, même si ça a l'air intense, il y a plein de façons de rendre ça plus doux. Puis on n'est pas obligé de se rouler dans la souffrance pendant des années. pour guérir, puis avancer, évoluer. Donc, la musique est un merveilleux outil, c'est pour ça que je vous le présente aujourd'hui. Et probablement quelque chose que tu fais déjà, ou pas, mais qui est super accessible. Et la plupart du temps, c'est la magie de YouTube et de toutes nos plateformes d'écoute, c'est même gratuit. Donc, essaie-le, et tu pourras ensuite voir comment ça se passe. D'ailleurs, un des exercices que je vous... recommande, c'est de regarder quel pourcentage à quel pourcentage tu écoutes la musique pour te connecter à toi au moment présent, donc peut-être aux émotions qui sont là ou qui ont été là, et à quel pourcentage tu écoutes la musique pour t'évader, pour peut-être fuir, avoir un petit peu de déni, ou des fois juste explorer autre chose. Tu sais, quand je vous ai dit, il n'y a pas de jugement, ça va jusque-là. Je vous ai nommé les avantages et les inconvénients de chacun. Maintenant, c'est à vous de voir avec votre propre vie. Qu'est-ce qui est plus aligné avec votre ici maintenant ? Moi, qu'est-ce que je veux dans ma vie ici ? C'est tout pour moi. J'espère que vous avez apprécié. C'est un sujet qui est plus délicat, mais j'ai adoré le faire. Et si jamais vous voulez aller plus loin de ce que tu as, il y a d'autres épisodes. Merci. ppvd.nc.ca.ca pour d'autres informations. Donc, je vous souhaite une belle journée, une belle soirée et à tout bientôt tout le monde. Au revoir.