- Speaker #0
Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonus. Aujourd'hui, je te présente une nouvelle mini-série, 5 épisodes express, à binger, pour progresser vite et bien sur un thème business incontournable. Allez, c'est parti pour le premier épisode de la série.
- Speaker #1
Bonjour à toutes et à tous et bienvenue dans cette nouvelle mini-série. Aujourd'hui, je suis trop contente du thème qu'on va aborder avec ma nouvelle membre du board puisque c'est une salariée diversifiée et solopreneur à succès. En même temps, elle combine les deux casquettes. On pourrait dire que c'est vraiment une wonder woman et ça tombe bien parce qu'en plus, c'est aussi le sujet de son expertise, des conseils qu'elle donne. Vous la connaissez sans doute si vous traînez sur Instagram parce qu'elle a un nombre de followers incalculable. Elle m'a, par le passé, donné, sans le savoir, plein de conseils carrières. C'est Power ta carrière, Sarah Zitouni. Salut Sarah, bienvenue au board.
- Speaker #2
Merci beaucoup de ton invitation Flavie.
- Speaker #1
Donc j'adore ton travail d'empowerment des femmes sur la workplace, on va dire, dans le monde du travail. Je ne sais pas comment toi tu le décrirais, moi c'est comme ça que je le perçois en tout cas. J'adore vraiment ta création de contenu, tes produits et tout ça, tu vas nous raconter. Alors, qu'est-ce que tu fais aujourd'hui comme service ? et avec quoi tu combines ça comme travail ? Parce que souvent, les gens sont étonnés qu'on puisse combiner deux casquettes comme ça d'entrepreneur et de salarié.
- Speaker #2
Moi, je suis donc la patronne fondatrice de Power Ta Carrière qui est, comme tu l'as expliqué, une entreprise qui aide les femmes à reprendre le pouvoir sur leur vie professionnelle et en particulier si elles sont salariées. L'idée de Power Ta Carrière, c'est vraiment d'expliquer qu'en fait, on n'est pas impuissante face à une situation qui est fondamentalement injuste. et qu'il y a toujours des hacks, des codes, des outils, des éléments qu'on peut apprendre pour s'en sortir de toutes les situations difficiles qu'on peut vivre au travail et donc s'épanouir et progresser. Et d'un côté de ça, je suis la directrice de la stratégie dans une grande entreprise de l'automobile en Suède, ce qui veut dire qu'en fait mon métier c'est de choisir le futur moteur qui ira dans les futures voitures que vous allez avoir dans 3-4 ans.
- Speaker #1
Hyper intéressant en plus et hyper rare parce que des postes de direction qui sont diversifiés en entrepreneurs. Toi, ton background, c'est ingénieur en plus, si je ne me trompe pas ?
- Speaker #2
Oui, moi, je suis ingénieur motoriste. En fait, je suis spécialiste du moteur et j'arrive à la stratégie par la compréhension du produit, pas par le côté business financier, etc.
- Speaker #1
J'allais dire double dose de rareté pour ce Pokémon parce que je ne suis pas sûre que les métiers ingénieurs, tu vois, j'en sois forcément les plus... les plus amènes m'a se lancé notamment sur Instagram ou des univers comme ça où il y a beaucoup d'histoires de vente aussi quand on crée un produit ou une entreprise, donc hyper bien. J'avais noté 150 000 abonnés, mais c'est peut-être plus sur ton Insta ?
- Speaker #2
165 000 à l'heure actuelle.
- Speaker #1
Donc trop classe. Et un solo business à 6 chiffres dans ces eaux-là. Je ne sais pas après si tu commences sur un chiffre public ou pas.
- Speaker #2
Ouais, non, mais en fait l'an dernier, on a atteint les 100 000 euros pour la première fois de l'histoire de PowerTag Carrière. 3 ans.
- Speaker #1
Hyper intéressant. Alors, tu vas nous raconter. Là, le but de cette mini-série, c'est de vous embarquer avec Sarah. Elle va vous donner tous les conseils pour vous lancer vous-même dans l'aventure sans tomber dans les chausses-trappes du salarié diversifié parce qu'on a fait ce parcours toutes les deux. Il y a quand même des galères, on ne va pas se mentir. Sinon, tous les salariés auraient un business à 6 chiffres à côté. Donc, ce n'est pas ça l'histoire. Peut-être, ce premier épisode, j'aimerais qu'on parle des avantages parce que évidemment, on conçoit les avantages pour soi. et sa future boîte si on a envie d'en créer une, mais tu vas quand même nous les rappeler. Mais quels sont les avantages aussi pour sa carrière actuelle ? Parce que ça, c'est un truc dont j'aimerais que tu nous parles, parce que moi, souvent, j'ai l'impression que les gens, ça leur fait peur, ils se disent « Ouais, mon patron va penser que c'est un truc pour moi, il ne va pas kiffer, etc. » Est-ce que tu peux nous dire, trois ans plus tard, qu'est-ce que ça t'a apporté d'avoir cette posture de salariés entrepreneurs.
- Speaker #2
Oui, surtout qu'en fait, pour répondre à ta question, je vais te donner un peu de contexte au début. C'est-à-dire que moi, quand j'ai commencé Power Ta Carrière, je n'étais pas la plus jeune directrice de la stratégie de l'automobile. J'ai travaillé comme directrice commerciale dans une start-up. Donc, j'ai en plus changé d'emploi dans le parcours Power Ta Carrière, ce qui montre que ça n'a pas affecté ma carrière négativement. En fait, j'ai pris en grade entre guillemets.
- Speaker #1
Attends, tu as eu trop beau en plus de créer ta boîte. Énorme.
- Speaker #2
J'ai changé d'entreprise et j'ai eu une promo et j'ai augmenté mon salaire. Donc, en fait, j'ai vraiment fait progresser ma carrière pendant que j'avais Power Ta Carrière. Et j'en ai parlé très tôt dans le processus d'entretien avec mon manager, qui est le VP stratégie de cette boîte dans l'automobile. Et je pense que ça peut vraiment être valorisable parce que, tout d'abord, tu vas pouvoir tester des nouvelles compétences. On sait tous que quand on est salarié, un certain nombre d'entre nous, par exemple, on aimerait bien apprendre à manager, tester le management. Mais tu as toujours un peu le truc de, oui, tu deviens un manager si tu as été manager ou s'il y a une place qui se libère ou si tu as la chance d'être tombé sur le truc, etc. En ayant ta propre entreprise, tu peux en fait commencer à acquérir des nouvelles compétences. Tu parlais tout à l'heure des ingénieurs qui ne savent pas vendre. Tu apprends à vendre avec ta propre entreprise. Et ensuite, tu peux aller dans un entretien décemment valorisé en disant, je suis solopreneur et j'ai fait 100 000 euros avec mes petites mains l'an dernier. Vous pouvez me confier un grand compte. et faire de moi une commerciale. De la même manière pour le management, je manage une équipe de trois personnes, je pense que vous pouvez me faire confiance, je peux vous donner des références et un track record.
- Speaker #1
Écoute, moi pour avoir été manager, quand je me remets dans ma casquette d'avant, je me dis évidemment que c'est hyper intéressant que tes équipes aient des compétences transférables comme ça. Par exemple, le truc bête, mais gérer les réseaux sociaux, c'est beaucoup un truc de solopreneur qu'on est obligé de faire. C'est utile aujourd'hui parce qu'attends, comment tu fais pour la marque employeur ? pour recruter des gens, pour un peu faire mousser ta boîte sur tel ou tel projet si tu es nulle en réseaux sociaux ?
- Speaker #2
Personnellement, j'ai toujours veillé à valoriser ça en expliquant qu'en fait, le fait que j'étais capable de, moi, avec des moyens limités, créer une communauté de 165 000 abonnés, ça voulait dire que j'allais avoir une touch en plus pour promouvoir les activités de l'entreprise via mes propres réseaux et du coup créer quelque chose qui est plus organique. que ce que la com nous produit en général, qui est « Venez nous voir au stand B62 du salon, machin, chose. » Moi, je peux te faire un truc un peu storytelling qui est quand même plus intéressant que ça.
- Speaker #1
Et puis,
- Speaker #2
l'esprit entrepreneurial, en fait, c'est quelque chose qui peut vraiment intéresser une entreprise. Ils n'arrêtent pas de dire qu'ils veulent des salariés qui font le extra mile, tu sais, il faut en faire un peu plus, il faut exceed expectations, il faut toujours être au-delà des attentes, etc. Bon, là, tu as clairement une entreprise dont tu as pu créer tes propres attentes. tu as été capable d'aller à la rencontre de ces objectifs et tu peux montrer qu'en fait, tu es complètement capable d'avoir cet esprit entrepreneurial aussi dans ton poste. Et surtout pour des postes 6-8, de direction, etc., c'est quelque chose qui forcément les intéresse puisqu'ils ne veulent pas juste des exécutants, ils veulent des gens qui réfléchissent.
- Speaker #1
Oui, alors c'est vrai que, j'en parle pas trop, mais il y a plusieurs types de postes dans lesquels le salarié diversifié est particulièrement intéressant. Les postes de direction, c'est vraiment des postes pas mal, parce que tu as de la latitude sur ton temps. Tu n'es pas non plus à la chaîne, à travailler de 9h à 18h impérativement. Tu as besoin aussi de montrer que finalement, tu as de la matière grise en fait plus, et aussi des capacités de collaboration. C'est vrai que salarié diversifié, pour être honnête, je pense que ça se prête très, très bien aux boîtes du tertiaire et notamment quand tu es cadre.
- Speaker #2
Il faut que tu sois cadre, oui. Ce n'est pas une conversation que j'aurais avec quelqu'un qui, évidemment, doit compter ses heures et c'est très différent. Et dans ce cas-là, on est peut-être plus dans la configuration, tu sais, j'ai un job alimentaire, le temps de faire décoller mon propre business. Mais je pense que quand tu as un job de cadre et surtout cadre supérieur, en fait, tu peux vraiment envisager que… On me pose très souvent la question, genre, quand est-ce que tu arrêtes, du coup, pour être à 100% sur ta carrière ? Je n'en vois pas l'intérêt. Je ne sais pas pourquoi j'arrêterais de travailler dans l'automobile. En plus, je voulais travailler dans l'automobile depuis que j'ai 4 ans. L'envie ne s'est pas épuisée en 12 ans. Donc, j'ai très, très, très envie de continuer. Et je ne vois pas pourquoi choisir. En plus, ça m'a vraiment donné aussi du recul sur ma carrière. C'est-à-dire que je peux vraiment relâcher la pression du travail. Très bizarrement, parce que souvent, on imagine le salarié diversifié, c'est le mec qui... court dans tous les sens et qui est complètement épuis�� parce qu'il fait tout à 250%, etc. Moi, au contraire, ça m'a remis en fait tout un peu à son niveau. dans le sens que du coup, tu vois, des fois, j'ai des galères au taf et je me dis, allez, c'est beau, je plie l'ordinateur, ça, c'est fini. J'ai autre chose à faire. Il faut que j'aille penser à Power. Il faut que je fasse un truc plus épanouissant. Et à l'opposé, des fois, je suis stressée en me disant, putain, mes chiffres avec Power, ce n'est pas ce que je voulais. Je ne suis pas sur la vitesse commerciale à laquelle je veux être, etc. Et je me dis, bon, attends, on s'en fout parce que là, de toute façon, il faut que j'aille gérer le dossier. est-ce qu'on fait de l'hydrogène ou pas ? Et c'est ça. ça me donne une autre opportunité de penser à quelque chose d'épanouissant. Donc, si tu veux, tout peut un peu aussi s'équilibrer. Et puis, tu as vachement moins aussi ce côté, oh mon Dieu, si ma carrière n'avance pas à la vitesse où je veux, ou si mon boss se montre chiant, genre je suis foutu, je suis esclave de ce gars-là, etc. Parce que tu peux toujours te dire, hé, j'ai une super chouette alternative à côté. Même si tu ne la saisis pas, tu sais, tu as toujours un peu ce truc dans ta tête de dire, moi, j'ai hedged, je dis souvent en anglais, I hedged my bets, c'est-à-dire j'ai... Tu vois, comme dans la finance, tu fais un contre-pari pour équilibrer ton pari. Comme ça, s'il y a un truc qui chie, en fait, tu gagnes de l'argent de l'autre côté et du coup, tu n'as pas une perte énorme.
- Speaker #1
J'adore parce que ce que tu décris, c'est la sérénité aussi. C'est-à-dire, c'est comme quand on a de l'argent placé sur un compte. On ne va pas l'utiliser, mais le fait qu'on sache qu'on l'a, si jamais on a une merde, ça nous enlève, tu vois, cette épée de Damoclès, cette grosse pression. et moi tous mes potes salariés maintenant on est 40 nerfs le vivent ça un changement de management Un manager toxique qui arrive, une grosse pression d'un coup, et ils disent « Oh là là, toute ma vie professionnelle, en fait, se retrouve vraiment chahutée alors que ce n'était pas prévu. » Et ça, c'est hyper énervant. Donc, je trouve ça trop cool. Peut-être pour finir, Sarah, quel pourrait être l'avantage aussi d'être salariée diversifiée pour ceux qui veulent vraiment devenir entrepreneur aussi à temps plein ? Est-ce que toi, tu as vu un intérêt particulier aussi à te lancer avant de claquer ta dème ?
- Speaker #2
Oui, oui, alors absolument. Déjà, tu développes… ton business tranquillement sans être en train de paniquer sur la thune parce que nous de rien on voit beaucoup de gens mais non mais c'est vrai on voit beaucoup de gens qui en fait se lance en mode allez yolo je quitte mon super taf et c'est le seul moyen en plus moi c'est le truc qu'on va vraiment bassiner au début genre c'est le seul moyen de le faire si tu es sérieuse sur ton business tu quittes ton taf et du coup moi j'avais toujours envie de répondre alors c'est peut-être parce que j'ai grandi dans un milieu ouvrier donc le pognon c'est important j'avais un peu ce truc de dire mais tu vas payer mes traites à ma place La part que vous voyez dans la vidéo. Donc, je le possède comme tout le monde. C'est la banque qui le possède. Donc, il faut que je le paye. Donc, tu peux développer ton business sans être en galère sur la thune et te poser trop de questions là-dessus. Tu peux faire des erreurs. Tu peux déléguer plus rapidement aussi. Parce qu'en fait, la thune que tu rentres, tu peux l'investir dans des freelances dont tu as besoin des services. Toi,
- Speaker #1
tu disais « on » pour « power » ta carrière. Donc, tu as qui qui t'aide sur ton business ?
- Speaker #2
Alors, j'ai une bras droit opérationnel. sur Power Ta Carrière, qui est tout ce que je ne suis pas, c'est-à-dire extrêmement organisée, très cadrée, capable de créer des procédures, etc. J'ai quelqu'un qui gère ma stratégie sur mes réseaux sociaux aujourd'hui et j'ai quelqu'un qui fait le copywriting pour moi. Et c'est trois personnes. En fait, je peux les payer et m'offrir leurs services qui font vraiment décoller ce que je fais parce qu'elles sont bien meilleures que moi sur ces questions-là parce que je n'ai pas besoin, moi, de me payer pour vivre.
- Speaker #1
Oui, et puis, aussi un truc intéressant, moi, que j'ai constaté, c'est que Tu sais, moi, je me suis lancée avec une idée que je trouvais géniale à l'époque de start-up. Et en fait, ça ne s'est pas du tout fait parce qu'au final, je trouvais que ça ne marchait pas si bien que ça, etc. Et donc, je trouve que se lancer un salarié aussi quand tu es comme ça, ça te permet de pouvoir pivoter, changer un peu d'idée, idée 1, idée 2, idée 3, jusqu'à trouver la bonne. Et en fait, moi, c'est mon podcast qui, contre toute attente à la page, je le faisais vraiment en mode loisir juste. J'étais intéressée par le freelancing, mais c'était tout. Et du coup, deux ans plus tard, ça m'a permis de trouver une idée de produit, mais parce que j'ai eu le temps, tu vois, j'ai pas eu besoin de tout de suite me dire comment je peux monétiser mon podcast, et je pense que ça a créé aussi une communauté bien plus forte, je pense, enfin vous me direz, les auditeurs, auditrices, entre nous, parce que j'avais pas besoin tout de suite de monétiser, et après seulement, quand c'était vraiment la bonne idée, l'idée de la scalabilité, là ça m'a donné l'ancêtre de l'Incupator Solopreneur, qui aujourd'hui me permet de vivre confortablement.
- Speaker #2
Mais je pense que c'est tout à fait vrai, et aussi... que d'avoir été salarié, alors salarié diversifié ou juste d'avoir été salarié avant d'être entrepreneur, ma bras droit, par exemple, Clémence me disait très souvent que ça donnait des clients très différents pour elle. Et que par exemple, les clientes qui étaient salariées ou qui avaient été salariées, eh bien, on a une compréhension de l'intérêt d'avoir des procédures, une certaine vision du management, etc., qui est un peu différente par rapport à des gens qui, en fait, se sont immédiatement lancés dans l'entrepreneuriat. Et donc, elle m'expliquait qu'en tout cas, elle de son point de vue. et trouver que ça donnait des clientes plutôt plus faciles à gérer.
- Speaker #1
Ça va être l'épisode food for all, pour tous ceux qui sont encore en salariat et qui malheureusement se font bâcher à longueur de temps par cet univers entrepreneurial où tu as l'impression que vraiment, le salariat, on est des gros nazes. Je dis on parce que je me sens encore moi complètement alignée avec ça. Moi, j'étais très heureuse dans le salariat et je pense qu'il y a plein d'entrepreneurs qui peuvent l'être. Est-ce que tu as un défi à nous lancer pour cette première partie, justement, pour qu'on aille peut-être chercher comme ça ces bénéfices qui peuvent être pour nous ou pour notre employeur ?
- Speaker #2
Je pense que ça serait très intéressant de faire l'exercice de noter 3 à 5 compétences, capacités, actions que vous avez menées et que vous pourrez valoriser dans votre prochain entretien personnel avec votre manager. On dit toujours chez Power, essayez de mettre du chiffre. Le chiffre, ça crédibilise votre propos. Donc, c'est ce qu'on disait tout à l'heure. Par exemple, j'ai construit une boîte qui fait 30 000 euros de chiffre d'affaires dans l'année à côté de mon travail. Ça monte mes capacités. de vente, ça montre mes capacités de marketing, de gestion des réseaux sociaux, de storytelling, etc. Donc, faites cette liste-là parce qu'elle va vous servir pour valoriser avec votre manager au travail.
- Speaker #1
Allez, c'est parti pour les promotions, les augmentations, les changements de taf. Et Sarah ne prend pas de commission sur ça. En plus, c'est magnifique. Donc, merci beaucoup pour tes conseils. Et puis, je te propose qu'on passe à la suite. La question qui tue, comment on gère la conversation avec son employeur ? avec son manager parce que là, il y a énormément de questions là-dessus.