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4/5 💼- Salarié ET entrepreneur : la stratégie du Salarié Diversifié pour lancer un business à 6 chiffres sans quitter ton CDI ! cover
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LE BOARD - Incubateur de solopreneurs !

4/5 💼- Salarié ET entrepreneur : la stratégie du Salarié Diversifié pour lancer un business à 6 chiffres sans quitter ton CDI !

4/5 💼- Salarié ET entrepreneur : la stratégie du Salarié Diversifié pour lancer un business à 6 chiffres sans quitter ton CDI !

08min |22/05/2025
Play
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08min |22/05/2025
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Description

Tu veux créer ton entreprise mais tu es encore salariée ? Et si tu n’étais pas obligée de choisir ?


Dans cet épisode, Sarah Zitouni prouve qu’on peut réussir en étant salariée ET entrepreneure.


Fondatrice de PowHer ta carrière et directrice stratégie dans l’automobile, elle t’explique comment mener une double vie professionnelle sans perdre la tête… ni ton équilibre.


👋 Si l’épisode t’a plu, tu vas adorer mon livre, Salarié Diversifié, le guide pratique pour te lancer en solopreneur sans démissionner : https://www.amazon.fr/Salarié-Diversifié-Devenez-entrepreneur-quitter/dp/295954420X


Ce que tu vas découvrir :

📌 Pourquoi le salariat peut être un vrai levier pour ton projet entrepreneurial

📌 Comment aborder le sujet avec ton manager sans risquer de te griller

📌 Quels sont les avantages à valoriser pour ton employeur… et pour toi !

📌 Comment organiser ton temps pour éviter l’épuisement

📌 Quand (et pourquoi) déléguer dans ton business

📌 Quel statut choisir pour éviter la double peine fiscale

📌 Comment affronter les stéréotypes sexistes quand tu te lances


Un épisode indispensable pour toutes celles et ceux qui veulent entreprendre… sans tout plaquer.


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Et n'oublie pas de soutenir gratuitement le podcast s'il t'a plu, en laissant un avis sympa et 5 étoiles sur Apple Podcast ou sur Spotify ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Chaque semaine, retrouve moi un nouvel épisode sur Le Board, le podcast des solopreneurs qui veulent créer un business rentable, scalable et générer des revenus passifs. Un lundi sur deux, tu retrouveras un épisode de Solo Nation, le talk show des solopreneurs que je co-anime avec les queens et les kings du business en ligne pour partager nos coulisses garanties sans bullshit et sans filtre : Aline Bartoli aka The Bboost, Valentine Helsmoortel, aka My Creator Era, Geneviève Gauvin, Hugues Trijasse aka FrenchStartuper, Sarah Zitouni aka Powher ta carrière, Kevin Ghanbarzadeh aka Shaunz, Dimby Rakotomalala, Pauline Clavelloux aka Pauline Saas builder, Océane Sorel aka the french Virologist, Alexandre Mensier, Adrien Tornier, Lucie Carbonne.


Et l’autre semaine, découvre Le Board en solo, où je partage mes stratégies et conseils pour booster ton solobusiness.

Ma mission ? T’aider à être plus libre et indépendant.


👋 Je suis Flavie Prévot, solopreneure et créatrice du Board, le premier podcast et incubateur dédié aux solopreneurs en France.

Que tu sois freelance, solopreneur, salarié en side-business ou en pleine transition vers l’indépendance, chaque épisode t’apporte des conseils concrets pour créer et scaler ton activité. Marketing, business en ligne, mindset, productivité, automatisation, génération de revenus passifs… Tout ce qu’il faut pour réussir en solo !


🎧 Si tu aimes les podcasts comme Génération Do it Yourself, Tribu Indé, J’peux pas j’ai business, Sans Permission, Marketing Square ou Young, Wild & Freelance, Solo Nation et Le Board devraient te plaire aussi !


Crédits musicaux : I’m somebdoy - Diam’s.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonus.

  • Speaker #1

    Alors, Sarah, tu me disais aussi, attention avec le mythe de « je crée ma micro-entreprise, c'est le meilleur statut et tout ça » . Ça peut être bien, ça, dans certains cas de figure. Toi, tu n'avais pas choisi cette option-là. Et tout à l'heure, tu en as parlé dans les épisodes. Tu as dit « moi, j'ai gardé mes trucs en trésor, etc. » peux nous raconter le rapport à l'argent qu'on a quand on est salarié diversifié, qui est, je crois, assez différent que quand on est entrepreneur à temps plein ?

  • Speaker #2

    Absolument. C'est une des plus grosses différences, et d'ailleurs, c'est un des trucs les plus durs à naviguer, parce que tout ce qu'on voit comme conseil pour les entrepreneurs, en fait, sur cette partie-là en particulier, ils sont très mal pensés pour des salariés diversifiés. Et ça va aussi un peu avec le problème, des fois, qu'on n'a pas assez de rôle modèle de salariés diversifiés, épanouis, heureux, et qui font de la thune, donc du coup, on a un peu tendance à dire que c'est le mec qui galère avec un job alimentaire. Donc, il y a des gros mythes autour de ça. Moi, je suis très, très, très reconnaissante de mon collègue père dans ma boîte où j'étais à la direction commerciale qui m'a conseillé à l'époque de me constituer en société parce que j'aurais fait comme tout le monde, j'aurais fait une micro-entreprise en me disant « Bon, vas-y, en fait, je fais ça parce que le statut, il est facile, les papiers, c'est un petit truc qu'il faut remplir vite, j'ai pas envie de me poser de questions et je sais pas quoi. » Ce qui aurait posé problème pour moi parce qu'en fait, quand tu es salarié, tu vas toucher ton salaire tous les mois, donc tu as une certaine surface financière en termes de revenus. Et du coup, quand tu es en micro-entreprise, l'intégralité de ton chiffre d'affaires va être ajoutée à cette surface financière sans possibilité de déduire les charges, sans possibilité que ce soit taxé différemment de tes revenus. Et donc, quand comme moi, tu gagnes pas loin de 6 chiffres par an, si tu remets 6 chiffres par dessus ça, des officiers. Pour te dire tout simplement, même Flavie, mon salaire actuel par mois, il est déjà surtaxé. Parce qu'en Suède, c'est comme ça que ça marche.

  • Speaker #1

    Tu es déjà dans les troncs en général d'imposition. Voilà.

  • Speaker #2

    Donc, en gros,

  • Speaker #1

    ça a allé à ta pression fiscale pour toi et pour ton foyer fiscal. Parce que moi qui suis taxée, c'est chiant. Enfin, si je remettais mon chiffre d'affaires aussi, ça fait qu'on paye tous plus d'impôts. OK, intéressant.

  • Speaker #2

    C'est ça. Et en fait, si tu veux, c'est vraiment une situation différente d'un entrepreneur qui essaye de se payer avec sa boîte. parce que là, pour le coup, c'est... ta surface financière de ta boîte et la tienne en micro-entreprise, elles sont égales. Et bon, à la limite, pourquoi pas ? Mais quand tu es salarié, c'est vraiment un très mauvais calcul. Sur mon salaire actuel, je suis déjà surtaxée parce que je fais partie de la couche de salaire haut. En Suède, il y a une espèce de taxe sur les hauts salaires. Et là, ça prend des proportions idiotes qui, en fait, amputeraient la sécurité financière de mon entreprise et le fait que je puisse réinvestir cet argent. Moi, je n'ai pas de problème à payer l'impôt sur les sociétés, sur PowerTag arrière. Je n'essaie pas de sur-optimiser de ce point de vue-là. Mais l'impôt sur les sociétés, c'est 20%. Ce que je paierais si ça avait été une micro-entreprise, ça serait bien au-delà de 50%.

  • Speaker #1

    Ok, hyper intéressant. Et d'ailleurs, toi, tu ne cherchais pas forcément à te payer puisque tu cherches à développer un business pérenne et on voit bien que dès le départ, tu as délégué. Donc ça aussi, c'est peut-être un truc qu'on ne peut pas trop faire en micro-entreprise versus se constituer en société.

  • Speaker #2

    Exactement, parce qu'en fait, tu vois, quand tu investis dans le développement de ton entreprise en délégant certains services ou en achetant des services, à la prochaine tu as ces fameuses charges que tu peux déduire du coût de ton chiffre d'affaires et tu es taxé que sur ton bénéfice. C'est quelque chose que tu ne peux pas avoir comme mécanisme quand tu es en micro-entreprise, alors que quand tu es salarié, c'est justement intéressant d'avoir la liberté de faire venir d'autres expertises sur ton business et de pouvoir faire avancer les choses plus rapidement par ce biais-là. Moi, j'ai toujours perçu ta carrière comme pas quelque chose qui était nécessaire financièrement pour moi. Évidemment qu'à terme, je serais contente que ça participe à mon indépendance et ma sécurité financière. Mais à l'heure actuelle, j'ai un boulot où chaque année, je prends du salaire ou je fais même des bons quand je change d'emploi. Et donc, c'est sur cette partie-là que j'ai joué mes finances personnelles. Sur Power Ta Carrière, ce que je joue, comme tu dis, c'est le développement de cette entreprise pour que dans 10 ans, elle soit encore là à aider un maximum de femmes. Et que oui, à ce moment-là, quand je ferai encore beaucoup plus d'argent qu'aujourd'hui, je serai très contente d'en retirer des dividendes, par exemple.

  • Speaker #3

    Je suis un homme, je suis un homme, je suis un homme.

  • Speaker #1

    Oui. Alors, je pense que tu as raison. Il y a deux cas de figure. Je pense que le complément de salaire, quand ton salaire n'est pas assez élevé pour tes charges, là, c'est bien d'avoir une micro et tu factures 1 000, 2 000 balles par mois. Tu es content parce que tu en prends 75 %. Enfin, je ne sais plus combien c'est. Et du coup, ça, c'est le top. Par exemple, tu fais du consulting à l'heure en parallèle. Moi, par exemple, j'avais un podcast. Donc, je m'étais fait une micro directe au cas où j'aurais un sponsor. Bon, ce n'était pas trop arrivé parce que je ne m'étais pas trop bougé les fesses. Mais voilà, ça aurait été un petit montant. Après, je suis vite passée en société. Et moi, je m'étais constituée en SASU, en France, parce qu'aussi, une fois que j'ai négocié mon départ et que j'avais des pôles emploi, enfin, France Travail, c'était mieux. J'ai mis en gros tout ce que je gagnais en capital de ma société. Je n'ai pas touché. Et donc, moi, j'ai touché le chômage. Et après, j'avais ce capital qui pouvait me servir pour payer des monteurs, etc. Donc aussi, peut-être une deuxième idée. Toi, je sais que tu ne l'as pas fait, mais ceux qui vont avoir envie de négocier leur départ et de partir, ça peut être avantageux aussi de créer une boîte dans ce sens.

  • Speaker #2

    Exact, absolument. Je pense vraiment que ça a un intérêt de… En fait, c'est exactement ce que tu dis. Si ta surface financière, elle est déjà très confortable aujourd'hui, c'est important de garder tes deux activités séparées d'un point de vue purement financier et légal. Si ce n'est pas le cas, dans ce cas-là, oui, tu peux te permettre de tout mélanger.

  • Speaker #1

    Et puis surtout, rappelez-vous que rien n'est immuable en fait, on peut toujours changer. Moi j'ai changé de statut, je suis passée de micro à SASU, de SASU à EURL, machin, et vous laissez pas avoir parler. Les discours en mode « il faut ça, c'est impératif, faites-vous conseiller » peut-être aussi individuellement. Et puis dites-vous que si vous faites une connerie de statut, vous pouvez la rattraper. Ça coûte juste un peu de thunes au comptable, mais bon, ce n'est pas grave. Il vaut mieux se lancer, faire une connerie, rattraper, que aussi, je ne sais pas ce que tu en penses, passer 16 heures à regarder des webinars sur quel est le meilleur statut juridique alors qu'on s'en fout.

  • Speaker #2

    Non, non. Moi, tu vois, j'ai reçu le mail qui indiquait du coup le numéro de mon entreprise et le fait que le statut avait été enregistré. Et j'étais chez Boulanger en train de faire des achats de Noël. Donc, tu peux complètement bricoler un truc sur le web et changer d'avis plus tard. Dans le fond, c'est bien de tester des trucs aussi.

  • Speaker #1

    Bon, mais trop bien. Dernière partie, tu vas nous parler des mythes qu'on va débunker sur cette histoire de salariés entrepreneurs. Est-ce que tu as un petit défi à nous lancer sur la partie statut avant qu'on passe au bouquet final de l'épisode ?

  • Speaker #2

    Le plus simple, si vous êtes en train de réfléchir à votre entreprise et que ça fait plus de deux mois, lancez-vous.

  • Speaker #0

    C'est ça.

  • Speaker #2

    Parce que vous êtes en train de trop réfléchir, en fait.

  • Speaker #1

    Parfait, j'aime beaucoup la règle des deux mois. Allez, on va avoir plein de personnes qui vont se lancer. Franchement, je vais vous mettre tous les conseils aussi de Sarah dans la newsletter du Borde, donc abonnez-vous. Et venez nous voir en commentaire ou en discussion dans la newsletter. Sur les réseaux sociaux, taguez-nous aussi parce qu'on se fera un grand plaisir de vous aider à vous mettre la petite poussette pour vous mettre le petit doigt de pied dans la piscine ou vous pousser carrément dedans si c'est un projet pour vous. Et c'est parti pour les derniers mythes qu'on va débunker sur cette histoire de salariés diversifiés, salariés entrepreneurs. C'est parti !

Description

Tu veux créer ton entreprise mais tu es encore salariée ? Et si tu n’étais pas obligée de choisir ?


Dans cet épisode, Sarah Zitouni prouve qu’on peut réussir en étant salariée ET entrepreneure.


Fondatrice de PowHer ta carrière et directrice stratégie dans l’automobile, elle t’explique comment mener une double vie professionnelle sans perdre la tête… ni ton équilibre.


👋 Si l’épisode t’a plu, tu vas adorer mon livre, Salarié Diversifié, le guide pratique pour te lancer en solopreneur sans démissionner : https://www.amazon.fr/Salarié-Diversifié-Devenez-entrepreneur-quitter/dp/295954420X


Ce que tu vas découvrir :

📌 Pourquoi le salariat peut être un vrai levier pour ton projet entrepreneurial

📌 Comment aborder le sujet avec ton manager sans risquer de te griller

📌 Quels sont les avantages à valoriser pour ton employeur… et pour toi !

📌 Comment organiser ton temps pour éviter l’épuisement

📌 Quand (et pourquoi) déléguer dans ton business

📌 Quel statut choisir pour éviter la double peine fiscale

📌 Comment affronter les stéréotypes sexistes quand tu te lances


Un épisode indispensable pour toutes celles et ceux qui veulent entreprendre… sans tout plaquer.


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Et n'oublie pas de soutenir gratuitement le podcast s'il t'a plu, en laissant un avis sympa et 5 étoiles sur Apple Podcast ou sur Spotify ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Chaque semaine, retrouve moi un nouvel épisode sur Le Board, le podcast des solopreneurs qui veulent créer un business rentable, scalable et générer des revenus passifs. Un lundi sur deux, tu retrouveras un épisode de Solo Nation, le talk show des solopreneurs que je co-anime avec les queens et les kings du business en ligne pour partager nos coulisses garanties sans bullshit et sans filtre : Aline Bartoli aka The Bboost, Valentine Helsmoortel, aka My Creator Era, Geneviève Gauvin, Hugues Trijasse aka FrenchStartuper, Sarah Zitouni aka Powher ta carrière, Kevin Ghanbarzadeh aka Shaunz, Dimby Rakotomalala, Pauline Clavelloux aka Pauline Saas builder, Océane Sorel aka the french Virologist, Alexandre Mensier, Adrien Tornier, Lucie Carbonne.


Et l’autre semaine, découvre Le Board en solo, où je partage mes stratégies et conseils pour booster ton solobusiness.

Ma mission ? T’aider à être plus libre et indépendant.


👋 Je suis Flavie Prévot, solopreneure et créatrice du Board, le premier podcast et incubateur dédié aux solopreneurs en France.

Que tu sois freelance, solopreneur, salarié en side-business ou en pleine transition vers l’indépendance, chaque épisode t’apporte des conseils concrets pour créer et scaler ton activité. Marketing, business en ligne, mindset, productivité, automatisation, génération de revenus passifs… Tout ce qu’il faut pour réussir en solo !


🎧 Si tu aimes les podcasts comme Génération Do it Yourself, Tribu Indé, J’peux pas j’ai business, Sans Permission, Marketing Square ou Young, Wild & Freelance, Solo Nation et Le Board devraient te plaire aussi !


Crédits musicaux : I’m somebdoy - Diam’s.


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  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonus.

  • Speaker #1

    Alors, Sarah, tu me disais aussi, attention avec le mythe de « je crée ma micro-entreprise, c'est le meilleur statut et tout ça » . Ça peut être bien, ça, dans certains cas de figure. Toi, tu n'avais pas choisi cette option-là. Et tout à l'heure, tu en as parlé dans les épisodes. Tu as dit « moi, j'ai gardé mes trucs en trésor, etc. » peux nous raconter le rapport à l'argent qu'on a quand on est salarié diversifié, qui est, je crois, assez différent que quand on est entrepreneur à temps plein ?

  • Speaker #2

    Absolument. C'est une des plus grosses différences, et d'ailleurs, c'est un des trucs les plus durs à naviguer, parce que tout ce qu'on voit comme conseil pour les entrepreneurs, en fait, sur cette partie-là en particulier, ils sont très mal pensés pour des salariés diversifiés. Et ça va aussi un peu avec le problème, des fois, qu'on n'a pas assez de rôle modèle de salariés diversifiés, épanouis, heureux, et qui font de la thune, donc du coup, on a un peu tendance à dire que c'est le mec qui galère avec un job alimentaire. Donc, il y a des gros mythes autour de ça. Moi, je suis très, très, très reconnaissante de mon collègue père dans ma boîte où j'étais à la direction commerciale qui m'a conseillé à l'époque de me constituer en société parce que j'aurais fait comme tout le monde, j'aurais fait une micro-entreprise en me disant « Bon, vas-y, en fait, je fais ça parce que le statut, il est facile, les papiers, c'est un petit truc qu'il faut remplir vite, j'ai pas envie de me poser de questions et je sais pas quoi. » Ce qui aurait posé problème pour moi parce qu'en fait, quand tu es salarié, tu vas toucher ton salaire tous les mois, donc tu as une certaine surface financière en termes de revenus. Et du coup, quand tu es en micro-entreprise, l'intégralité de ton chiffre d'affaires va être ajoutée à cette surface financière sans possibilité de déduire les charges, sans possibilité que ce soit taxé différemment de tes revenus. Et donc, quand comme moi, tu gagnes pas loin de 6 chiffres par an, si tu remets 6 chiffres par dessus ça, des officiers. Pour te dire tout simplement, même Flavie, mon salaire actuel par mois, il est déjà surtaxé. Parce qu'en Suède, c'est comme ça que ça marche.

  • Speaker #1

    Tu es déjà dans les troncs en général d'imposition. Voilà.

  • Speaker #2

    Donc, en gros,

  • Speaker #1

    ça a allé à ta pression fiscale pour toi et pour ton foyer fiscal. Parce que moi qui suis taxée, c'est chiant. Enfin, si je remettais mon chiffre d'affaires aussi, ça fait qu'on paye tous plus d'impôts. OK, intéressant.

  • Speaker #2

    C'est ça. Et en fait, si tu veux, c'est vraiment une situation différente d'un entrepreneur qui essaye de se payer avec sa boîte. parce que là, pour le coup, c'est... ta surface financière de ta boîte et la tienne en micro-entreprise, elles sont égales. Et bon, à la limite, pourquoi pas ? Mais quand tu es salarié, c'est vraiment un très mauvais calcul. Sur mon salaire actuel, je suis déjà surtaxée parce que je fais partie de la couche de salaire haut. En Suède, il y a une espèce de taxe sur les hauts salaires. Et là, ça prend des proportions idiotes qui, en fait, amputeraient la sécurité financière de mon entreprise et le fait que je puisse réinvestir cet argent. Moi, je n'ai pas de problème à payer l'impôt sur les sociétés, sur PowerTag arrière. Je n'essaie pas de sur-optimiser de ce point de vue-là. Mais l'impôt sur les sociétés, c'est 20%. Ce que je paierais si ça avait été une micro-entreprise, ça serait bien au-delà de 50%.

  • Speaker #1

    Ok, hyper intéressant. Et d'ailleurs, toi, tu ne cherchais pas forcément à te payer puisque tu cherches à développer un business pérenne et on voit bien que dès le départ, tu as délégué. Donc ça aussi, c'est peut-être un truc qu'on ne peut pas trop faire en micro-entreprise versus se constituer en société.

  • Speaker #2

    Exactement, parce qu'en fait, tu vois, quand tu investis dans le développement de ton entreprise en délégant certains services ou en achetant des services, à la prochaine tu as ces fameuses charges que tu peux déduire du coût de ton chiffre d'affaires et tu es taxé que sur ton bénéfice. C'est quelque chose que tu ne peux pas avoir comme mécanisme quand tu es en micro-entreprise, alors que quand tu es salarié, c'est justement intéressant d'avoir la liberté de faire venir d'autres expertises sur ton business et de pouvoir faire avancer les choses plus rapidement par ce biais-là. Moi, j'ai toujours perçu ta carrière comme pas quelque chose qui était nécessaire financièrement pour moi. Évidemment qu'à terme, je serais contente que ça participe à mon indépendance et ma sécurité financière. Mais à l'heure actuelle, j'ai un boulot où chaque année, je prends du salaire ou je fais même des bons quand je change d'emploi. Et donc, c'est sur cette partie-là que j'ai joué mes finances personnelles. Sur Power Ta Carrière, ce que je joue, comme tu dis, c'est le développement de cette entreprise pour que dans 10 ans, elle soit encore là à aider un maximum de femmes. Et que oui, à ce moment-là, quand je ferai encore beaucoup plus d'argent qu'aujourd'hui, je serai très contente d'en retirer des dividendes, par exemple.

  • Speaker #3

    Je suis un homme, je suis un homme, je suis un homme.

  • Speaker #1

    Oui. Alors, je pense que tu as raison. Il y a deux cas de figure. Je pense que le complément de salaire, quand ton salaire n'est pas assez élevé pour tes charges, là, c'est bien d'avoir une micro et tu factures 1 000, 2 000 balles par mois. Tu es content parce que tu en prends 75 %. Enfin, je ne sais plus combien c'est. Et du coup, ça, c'est le top. Par exemple, tu fais du consulting à l'heure en parallèle. Moi, par exemple, j'avais un podcast. Donc, je m'étais fait une micro directe au cas où j'aurais un sponsor. Bon, ce n'était pas trop arrivé parce que je ne m'étais pas trop bougé les fesses. Mais voilà, ça aurait été un petit montant. Après, je suis vite passée en société. Et moi, je m'étais constituée en SASU, en France, parce qu'aussi, une fois que j'ai négocié mon départ et que j'avais des pôles emploi, enfin, France Travail, c'était mieux. J'ai mis en gros tout ce que je gagnais en capital de ma société. Je n'ai pas touché. Et donc, moi, j'ai touché le chômage. Et après, j'avais ce capital qui pouvait me servir pour payer des monteurs, etc. Donc aussi, peut-être une deuxième idée. Toi, je sais que tu ne l'as pas fait, mais ceux qui vont avoir envie de négocier leur départ et de partir, ça peut être avantageux aussi de créer une boîte dans ce sens.

  • Speaker #2

    Exact, absolument. Je pense vraiment que ça a un intérêt de… En fait, c'est exactement ce que tu dis. Si ta surface financière, elle est déjà très confortable aujourd'hui, c'est important de garder tes deux activités séparées d'un point de vue purement financier et légal. Si ce n'est pas le cas, dans ce cas-là, oui, tu peux te permettre de tout mélanger.

  • Speaker #1

    Et puis surtout, rappelez-vous que rien n'est immuable en fait, on peut toujours changer. Moi j'ai changé de statut, je suis passée de micro à SASU, de SASU à EURL, machin, et vous laissez pas avoir parler. Les discours en mode « il faut ça, c'est impératif, faites-vous conseiller » peut-être aussi individuellement. Et puis dites-vous que si vous faites une connerie de statut, vous pouvez la rattraper. Ça coûte juste un peu de thunes au comptable, mais bon, ce n'est pas grave. Il vaut mieux se lancer, faire une connerie, rattraper, que aussi, je ne sais pas ce que tu en penses, passer 16 heures à regarder des webinars sur quel est le meilleur statut juridique alors qu'on s'en fout.

  • Speaker #2

    Non, non. Moi, tu vois, j'ai reçu le mail qui indiquait du coup le numéro de mon entreprise et le fait que le statut avait été enregistré. Et j'étais chez Boulanger en train de faire des achats de Noël. Donc, tu peux complètement bricoler un truc sur le web et changer d'avis plus tard. Dans le fond, c'est bien de tester des trucs aussi.

  • Speaker #1

    Bon, mais trop bien. Dernière partie, tu vas nous parler des mythes qu'on va débunker sur cette histoire de salariés entrepreneurs. Est-ce que tu as un petit défi à nous lancer sur la partie statut avant qu'on passe au bouquet final de l'épisode ?

  • Speaker #2

    Le plus simple, si vous êtes en train de réfléchir à votre entreprise et que ça fait plus de deux mois, lancez-vous.

  • Speaker #0

    C'est ça.

  • Speaker #2

    Parce que vous êtes en train de trop réfléchir, en fait.

  • Speaker #1

    Parfait, j'aime beaucoup la règle des deux mois. Allez, on va avoir plein de personnes qui vont se lancer. Franchement, je vais vous mettre tous les conseils aussi de Sarah dans la newsletter du Borde, donc abonnez-vous. Et venez nous voir en commentaire ou en discussion dans la newsletter. Sur les réseaux sociaux, taguez-nous aussi parce qu'on se fera un grand plaisir de vous aider à vous mettre la petite poussette pour vous mettre le petit doigt de pied dans la piscine ou vous pousser carrément dedans si c'est un projet pour vous. Et c'est parti pour les derniers mythes qu'on va débunker sur cette histoire de salariés diversifiés, salariés entrepreneurs. C'est parti !

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Tu veux créer ton entreprise mais tu es encore salariée ? Et si tu n’étais pas obligée de choisir ?


Dans cet épisode, Sarah Zitouni prouve qu’on peut réussir en étant salariée ET entrepreneure.


Fondatrice de PowHer ta carrière et directrice stratégie dans l’automobile, elle t’explique comment mener une double vie professionnelle sans perdre la tête… ni ton équilibre.


👋 Si l’épisode t’a plu, tu vas adorer mon livre, Salarié Diversifié, le guide pratique pour te lancer en solopreneur sans démissionner : https://www.amazon.fr/Salarié-Diversifié-Devenez-entrepreneur-quitter/dp/295954420X


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📌 Comment aborder le sujet avec ton manager sans risquer de te griller

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Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonus.

  • Speaker #1

    Alors, Sarah, tu me disais aussi, attention avec le mythe de « je crée ma micro-entreprise, c'est le meilleur statut et tout ça » . Ça peut être bien, ça, dans certains cas de figure. Toi, tu n'avais pas choisi cette option-là. Et tout à l'heure, tu en as parlé dans les épisodes. Tu as dit « moi, j'ai gardé mes trucs en trésor, etc. » peux nous raconter le rapport à l'argent qu'on a quand on est salarié diversifié, qui est, je crois, assez différent que quand on est entrepreneur à temps plein ?

  • Speaker #2

    Absolument. C'est une des plus grosses différences, et d'ailleurs, c'est un des trucs les plus durs à naviguer, parce que tout ce qu'on voit comme conseil pour les entrepreneurs, en fait, sur cette partie-là en particulier, ils sont très mal pensés pour des salariés diversifiés. Et ça va aussi un peu avec le problème, des fois, qu'on n'a pas assez de rôle modèle de salariés diversifiés, épanouis, heureux, et qui font de la thune, donc du coup, on a un peu tendance à dire que c'est le mec qui galère avec un job alimentaire. Donc, il y a des gros mythes autour de ça. Moi, je suis très, très, très reconnaissante de mon collègue père dans ma boîte où j'étais à la direction commerciale qui m'a conseillé à l'époque de me constituer en société parce que j'aurais fait comme tout le monde, j'aurais fait une micro-entreprise en me disant « Bon, vas-y, en fait, je fais ça parce que le statut, il est facile, les papiers, c'est un petit truc qu'il faut remplir vite, j'ai pas envie de me poser de questions et je sais pas quoi. » Ce qui aurait posé problème pour moi parce qu'en fait, quand tu es salarié, tu vas toucher ton salaire tous les mois, donc tu as une certaine surface financière en termes de revenus. Et du coup, quand tu es en micro-entreprise, l'intégralité de ton chiffre d'affaires va être ajoutée à cette surface financière sans possibilité de déduire les charges, sans possibilité que ce soit taxé différemment de tes revenus. Et donc, quand comme moi, tu gagnes pas loin de 6 chiffres par an, si tu remets 6 chiffres par dessus ça, des officiers. Pour te dire tout simplement, même Flavie, mon salaire actuel par mois, il est déjà surtaxé. Parce qu'en Suède, c'est comme ça que ça marche.

  • Speaker #1

    Tu es déjà dans les troncs en général d'imposition. Voilà.

  • Speaker #2

    Donc, en gros,

  • Speaker #1

    ça a allé à ta pression fiscale pour toi et pour ton foyer fiscal. Parce que moi qui suis taxée, c'est chiant. Enfin, si je remettais mon chiffre d'affaires aussi, ça fait qu'on paye tous plus d'impôts. OK, intéressant.

  • Speaker #2

    C'est ça. Et en fait, si tu veux, c'est vraiment une situation différente d'un entrepreneur qui essaye de se payer avec sa boîte. parce que là, pour le coup, c'est... ta surface financière de ta boîte et la tienne en micro-entreprise, elles sont égales. Et bon, à la limite, pourquoi pas ? Mais quand tu es salarié, c'est vraiment un très mauvais calcul. Sur mon salaire actuel, je suis déjà surtaxée parce que je fais partie de la couche de salaire haut. En Suède, il y a une espèce de taxe sur les hauts salaires. Et là, ça prend des proportions idiotes qui, en fait, amputeraient la sécurité financière de mon entreprise et le fait que je puisse réinvestir cet argent. Moi, je n'ai pas de problème à payer l'impôt sur les sociétés, sur PowerTag arrière. Je n'essaie pas de sur-optimiser de ce point de vue-là. Mais l'impôt sur les sociétés, c'est 20%. Ce que je paierais si ça avait été une micro-entreprise, ça serait bien au-delà de 50%.

  • Speaker #1

    Ok, hyper intéressant. Et d'ailleurs, toi, tu ne cherchais pas forcément à te payer puisque tu cherches à développer un business pérenne et on voit bien que dès le départ, tu as délégué. Donc ça aussi, c'est peut-être un truc qu'on ne peut pas trop faire en micro-entreprise versus se constituer en société.

  • Speaker #2

    Exactement, parce qu'en fait, tu vois, quand tu investis dans le développement de ton entreprise en délégant certains services ou en achetant des services, à la prochaine tu as ces fameuses charges que tu peux déduire du coût de ton chiffre d'affaires et tu es taxé que sur ton bénéfice. C'est quelque chose que tu ne peux pas avoir comme mécanisme quand tu es en micro-entreprise, alors que quand tu es salarié, c'est justement intéressant d'avoir la liberté de faire venir d'autres expertises sur ton business et de pouvoir faire avancer les choses plus rapidement par ce biais-là. Moi, j'ai toujours perçu ta carrière comme pas quelque chose qui était nécessaire financièrement pour moi. Évidemment qu'à terme, je serais contente que ça participe à mon indépendance et ma sécurité financière. Mais à l'heure actuelle, j'ai un boulot où chaque année, je prends du salaire ou je fais même des bons quand je change d'emploi. Et donc, c'est sur cette partie-là que j'ai joué mes finances personnelles. Sur Power Ta Carrière, ce que je joue, comme tu dis, c'est le développement de cette entreprise pour que dans 10 ans, elle soit encore là à aider un maximum de femmes. Et que oui, à ce moment-là, quand je ferai encore beaucoup plus d'argent qu'aujourd'hui, je serai très contente d'en retirer des dividendes, par exemple.

  • Speaker #3

    Je suis un homme, je suis un homme, je suis un homme.

  • Speaker #1

    Oui. Alors, je pense que tu as raison. Il y a deux cas de figure. Je pense que le complément de salaire, quand ton salaire n'est pas assez élevé pour tes charges, là, c'est bien d'avoir une micro et tu factures 1 000, 2 000 balles par mois. Tu es content parce que tu en prends 75 %. Enfin, je ne sais plus combien c'est. Et du coup, ça, c'est le top. Par exemple, tu fais du consulting à l'heure en parallèle. Moi, par exemple, j'avais un podcast. Donc, je m'étais fait une micro directe au cas où j'aurais un sponsor. Bon, ce n'était pas trop arrivé parce que je ne m'étais pas trop bougé les fesses. Mais voilà, ça aurait été un petit montant. Après, je suis vite passée en société. Et moi, je m'étais constituée en SASU, en France, parce qu'aussi, une fois que j'ai négocié mon départ et que j'avais des pôles emploi, enfin, France Travail, c'était mieux. J'ai mis en gros tout ce que je gagnais en capital de ma société. Je n'ai pas touché. Et donc, moi, j'ai touché le chômage. Et après, j'avais ce capital qui pouvait me servir pour payer des monteurs, etc. Donc aussi, peut-être une deuxième idée. Toi, je sais que tu ne l'as pas fait, mais ceux qui vont avoir envie de négocier leur départ et de partir, ça peut être avantageux aussi de créer une boîte dans ce sens.

  • Speaker #2

    Exact, absolument. Je pense vraiment que ça a un intérêt de… En fait, c'est exactement ce que tu dis. Si ta surface financière, elle est déjà très confortable aujourd'hui, c'est important de garder tes deux activités séparées d'un point de vue purement financier et légal. Si ce n'est pas le cas, dans ce cas-là, oui, tu peux te permettre de tout mélanger.

  • Speaker #1

    Et puis surtout, rappelez-vous que rien n'est immuable en fait, on peut toujours changer. Moi j'ai changé de statut, je suis passée de micro à SASU, de SASU à EURL, machin, et vous laissez pas avoir parler. Les discours en mode « il faut ça, c'est impératif, faites-vous conseiller » peut-être aussi individuellement. Et puis dites-vous que si vous faites une connerie de statut, vous pouvez la rattraper. Ça coûte juste un peu de thunes au comptable, mais bon, ce n'est pas grave. Il vaut mieux se lancer, faire une connerie, rattraper, que aussi, je ne sais pas ce que tu en penses, passer 16 heures à regarder des webinars sur quel est le meilleur statut juridique alors qu'on s'en fout.

  • Speaker #2

    Non, non. Moi, tu vois, j'ai reçu le mail qui indiquait du coup le numéro de mon entreprise et le fait que le statut avait été enregistré. Et j'étais chez Boulanger en train de faire des achats de Noël. Donc, tu peux complètement bricoler un truc sur le web et changer d'avis plus tard. Dans le fond, c'est bien de tester des trucs aussi.

  • Speaker #1

    Bon, mais trop bien. Dernière partie, tu vas nous parler des mythes qu'on va débunker sur cette histoire de salariés entrepreneurs. Est-ce que tu as un petit défi à nous lancer sur la partie statut avant qu'on passe au bouquet final de l'épisode ?

  • Speaker #2

    Le plus simple, si vous êtes en train de réfléchir à votre entreprise et que ça fait plus de deux mois, lancez-vous.

  • Speaker #0

    C'est ça.

  • Speaker #2

    Parce que vous êtes en train de trop réfléchir, en fait.

  • Speaker #1

    Parfait, j'aime beaucoup la règle des deux mois. Allez, on va avoir plein de personnes qui vont se lancer. Franchement, je vais vous mettre tous les conseils aussi de Sarah dans la newsletter du Borde, donc abonnez-vous. Et venez nous voir en commentaire ou en discussion dans la newsletter. Sur les réseaux sociaux, taguez-nous aussi parce qu'on se fera un grand plaisir de vous aider à vous mettre la petite poussette pour vous mettre le petit doigt de pied dans la piscine ou vous pousser carrément dedans si c'est un projet pour vous. Et c'est parti pour les derniers mythes qu'on va débunker sur cette histoire de salariés diversifiés, salariés entrepreneurs. C'est parti !

Description

Tu veux créer ton entreprise mais tu es encore salariée ? Et si tu n’étais pas obligée de choisir ?


Dans cet épisode, Sarah Zitouni prouve qu’on peut réussir en étant salariée ET entrepreneure.


Fondatrice de PowHer ta carrière et directrice stratégie dans l’automobile, elle t’explique comment mener une double vie professionnelle sans perdre la tête… ni ton équilibre.


👋 Si l’épisode t’a plu, tu vas adorer mon livre, Salarié Diversifié, le guide pratique pour te lancer en solopreneur sans démissionner : https://www.amazon.fr/Salarié-Diversifié-Devenez-entrepreneur-quitter/dp/295954420X


Ce que tu vas découvrir :

📌 Pourquoi le salariat peut être un vrai levier pour ton projet entrepreneurial

📌 Comment aborder le sujet avec ton manager sans risquer de te griller

📌 Quels sont les avantages à valoriser pour ton employeur… et pour toi !

📌 Comment organiser ton temps pour éviter l’épuisement

📌 Quand (et pourquoi) déléguer dans ton business

📌 Quel statut choisir pour éviter la double peine fiscale

📌 Comment affronter les stéréotypes sexistes quand tu te lances


Un épisode indispensable pour toutes celles et ceux qui veulent entreprendre… sans tout plaquer.


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Et n'oublie pas de soutenir gratuitement le podcast s'il t'a plu, en laissant un avis sympa et 5 étoiles sur Apple Podcast ou sur Spotify ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Chaque semaine, retrouve moi un nouvel épisode sur Le Board, le podcast des solopreneurs qui veulent créer un business rentable, scalable et générer des revenus passifs. Un lundi sur deux, tu retrouveras un épisode de Solo Nation, le talk show des solopreneurs que je co-anime avec les queens et les kings du business en ligne pour partager nos coulisses garanties sans bullshit et sans filtre : Aline Bartoli aka The Bboost, Valentine Helsmoortel, aka My Creator Era, Geneviève Gauvin, Hugues Trijasse aka FrenchStartuper, Sarah Zitouni aka Powher ta carrière, Kevin Ghanbarzadeh aka Shaunz, Dimby Rakotomalala, Pauline Clavelloux aka Pauline Saas builder, Océane Sorel aka the french Virologist, Alexandre Mensier, Adrien Tornier, Lucie Carbonne.


Et l’autre semaine, découvre Le Board en solo, où je partage mes stratégies et conseils pour booster ton solobusiness.

Ma mission ? T’aider à être plus libre et indépendant.


👋 Je suis Flavie Prévot, solopreneure et créatrice du Board, le premier podcast et incubateur dédié aux solopreneurs en France.

Que tu sois freelance, solopreneur, salarié en side-business ou en pleine transition vers l’indépendance, chaque épisode t’apporte des conseils concrets pour créer et scaler ton activité. Marketing, business en ligne, mindset, productivité, automatisation, génération de revenus passifs… Tout ce qu’il faut pour réussir en solo !


🎧 Si tu aimes les podcasts comme Génération Do it Yourself, Tribu Indé, J’peux pas j’ai business, Sans Permission, Marketing Square ou Young, Wild & Freelance, Solo Nation et Le Board devraient te plaire aussi !


Crédits musicaux : I’m somebdoy - Diam’s.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonus.

  • Speaker #1

    Alors, Sarah, tu me disais aussi, attention avec le mythe de « je crée ma micro-entreprise, c'est le meilleur statut et tout ça » . Ça peut être bien, ça, dans certains cas de figure. Toi, tu n'avais pas choisi cette option-là. Et tout à l'heure, tu en as parlé dans les épisodes. Tu as dit « moi, j'ai gardé mes trucs en trésor, etc. » peux nous raconter le rapport à l'argent qu'on a quand on est salarié diversifié, qui est, je crois, assez différent que quand on est entrepreneur à temps plein ?

  • Speaker #2

    Absolument. C'est une des plus grosses différences, et d'ailleurs, c'est un des trucs les plus durs à naviguer, parce que tout ce qu'on voit comme conseil pour les entrepreneurs, en fait, sur cette partie-là en particulier, ils sont très mal pensés pour des salariés diversifiés. Et ça va aussi un peu avec le problème, des fois, qu'on n'a pas assez de rôle modèle de salariés diversifiés, épanouis, heureux, et qui font de la thune, donc du coup, on a un peu tendance à dire que c'est le mec qui galère avec un job alimentaire. Donc, il y a des gros mythes autour de ça. Moi, je suis très, très, très reconnaissante de mon collègue père dans ma boîte où j'étais à la direction commerciale qui m'a conseillé à l'époque de me constituer en société parce que j'aurais fait comme tout le monde, j'aurais fait une micro-entreprise en me disant « Bon, vas-y, en fait, je fais ça parce que le statut, il est facile, les papiers, c'est un petit truc qu'il faut remplir vite, j'ai pas envie de me poser de questions et je sais pas quoi. » Ce qui aurait posé problème pour moi parce qu'en fait, quand tu es salarié, tu vas toucher ton salaire tous les mois, donc tu as une certaine surface financière en termes de revenus. Et du coup, quand tu es en micro-entreprise, l'intégralité de ton chiffre d'affaires va être ajoutée à cette surface financière sans possibilité de déduire les charges, sans possibilité que ce soit taxé différemment de tes revenus. Et donc, quand comme moi, tu gagnes pas loin de 6 chiffres par an, si tu remets 6 chiffres par dessus ça, des officiers. Pour te dire tout simplement, même Flavie, mon salaire actuel par mois, il est déjà surtaxé. Parce qu'en Suède, c'est comme ça que ça marche.

  • Speaker #1

    Tu es déjà dans les troncs en général d'imposition. Voilà.

  • Speaker #2

    Donc, en gros,

  • Speaker #1

    ça a allé à ta pression fiscale pour toi et pour ton foyer fiscal. Parce que moi qui suis taxée, c'est chiant. Enfin, si je remettais mon chiffre d'affaires aussi, ça fait qu'on paye tous plus d'impôts. OK, intéressant.

  • Speaker #2

    C'est ça. Et en fait, si tu veux, c'est vraiment une situation différente d'un entrepreneur qui essaye de se payer avec sa boîte. parce que là, pour le coup, c'est... ta surface financière de ta boîte et la tienne en micro-entreprise, elles sont égales. Et bon, à la limite, pourquoi pas ? Mais quand tu es salarié, c'est vraiment un très mauvais calcul. Sur mon salaire actuel, je suis déjà surtaxée parce que je fais partie de la couche de salaire haut. En Suède, il y a une espèce de taxe sur les hauts salaires. Et là, ça prend des proportions idiotes qui, en fait, amputeraient la sécurité financière de mon entreprise et le fait que je puisse réinvestir cet argent. Moi, je n'ai pas de problème à payer l'impôt sur les sociétés, sur PowerTag arrière. Je n'essaie pas de sur-optimiser de ce point de vue-là. Mais l'impôt sur les sociétés, c'est 20%. Ce que je paierais si ça avait été une micro-entreprise, ça serait bien au-delà de 50%.

  • Speaker #1

    Ok, hyper intéressant. Et d'ailleurs, toi, tu ne cherchais pas forcément à te payer puisque tu cherches à développer un business pérenne et on voit bien que dès le départ, tu as délégué. Donc ça aussi, c'est peut-être un truc qu'on ne peut pas trop faire en micro-entreprise versus se constituer en société.

  • Speaker #2

    Exactement, parce qu'en fait, tu vois, quand tu investis dans le développement de ton entreprise en délégant certains services ou en achetant des services, à la prochaine tu as ces fameuses charges que tu peux déduire du coût de ton chiffre d'affaires et tu es taxé que sur ton bénéfice. C'est quelque chose que tu ne peux pas avoir comme mécanisme quand tu es en micro-entreprise, alors que quand tu es salarié, c'est justement intéressant d'avoir la liberté de faire venir d'autres expertises sur ton business et de pouvoir faire avancer les choses plus rapidement par ce biais-là. Moi, j'ai toujours perçu ta carrière comme pas quelque chose qui était nécessaire financièrement pour moi. Évidemment qu'à terme, je serais contente que ça participe à mon indépendance et ma sécurité financière. Mais à l'heure actuelle, j'ai un boulot où chaque année, je prends du salaire ou je fais même des bons quand je change d'emploi. Et donc, c'est sur cette partie-là que j'ai joué mes finances personnelles. Sur Power Ta Carrière, ce que je joue, comme tu dis, c'est le développement de cette entreprise pour que dans 10 ans, elle soit encore là à aider un maximum de femmes. Et que oui, à ce moment-là, quand je ferai encore beaucoup plus d'argent qu'aujourd'hui, je serai très contente d'en retirer des dividendes, par exemple.

  • Speaker #3

    Je suis un homme, je suis un homme, je suis un homme.

  • Speaker #1

    Oui. Alors, je pense que tu as raison. Il y a deux cas de figure. Je pense que le complément de salaire, quand ton salaire n'est pas assez élevé pour tes charges, là, c'est bien d'avoir une micro et tu factures 1 000, 2 000 balles par mois. Tu es content parce que tu en prends 75 %. Enfin, je ne sais plus combien c'est. Et du coup, ça, c'est le top. Par exemple, tu fais du consulting à l'heure en parallèle. Moi, par exemple, j'avais un podcast. Donc, je m'étais fait une micro directe au cas où j'aurais un sponsor. Bon, ce n'était pas trop arrivé parce que je ne m'étais pas trop bougé les fesses. Mais voilà, ça aurait été un petit montant. Après, je suis vite passée en société. Et moi, je m'étais constituée en SASU, en France, parce qu'aussi, une fois que j'ai négocié mon départ et que j'avais des pôles emploi, enfin, France Travail, c'était mieux. J'ai mis en gros tout ce que je gagnais en capital de ma société. Je n'ai pas touché. Et donc, moi, j'ai touché le chômage. Et après, j'avais ce capital qui pouvait me servir pour payer des monteurs, etc. Donc aussi, peut-être une deuxième idée. Toi, je sais que tu ne l'as pas fait, mais ceux qui vont avoir envie de négocier leur départ et de partir, ça peut être avantageux aussi de créer une boîte dans ce sens.

  • Speaker #2

    Exact, absolument. Je pense vraiment que ça a un intérêt de… En fait, c'est exactement ce que tu dis. Si ta surface financière, elle est déjà très confortable aujourd'hui, c'est important de garder tes deux activités séparées d'un point de vue purement financier et légal. Si ce n'est pas le cas, dans ce cas-là, oui, tu peux te permettre de tout mélanger.

  • Speaker #1

    Et puis surtout, rappelez-vous que rien n'est immuable en fait, on peut toujours changer. Moi j'ai changé de statut, je suis passée de micro à SASU, de SASU à EURL, machin, et vous laissez pas avoir parler. Les discours en mode « il faut ça, c'est impératif, faites-vous conseiller » peut-être aussi individuellement. Et puis dites-vous que si vous faites une connerie de statut, vous pouvez la rattraper. Ça coûte juste un peu de thunes au comptable, mais bon, ce n'est pas grave. Il vaut mieux se lancer, faire une connerie, rattraper, que aussi, je ne sais pas ce que tu en penses, passer 16 heures à regarder des webinars sur quel est le meilleur statut juridique alors qu'on s'en fout.

  • Speaker #2

    Non, non. Moi, tu vois, j'ai reçu le mail qui indiquait du coup le numéro de mon entreprise et le fait que le statut avait été enregistré. Et j'étais chez Boulanger en train de faire des achats de Noël. Donc, tu peux complètement bricoler un truc sur le web et changer d'avis plus tard. Dans le fond, c'est bien de tester des trucs aussi.

  • Speaker #1

    Bon, mais trop bien. Dernière partie, tu vas nous parler des mythes qu'on va débunker sur cette histoire de salariés entrepreneurs. Est-ce que tu as un petit défi à nous lancer sur la partie statut avant qu'on passe au bouquet final de l'épisode ?

  • Speaker #2

    Le plus simple, si vous êtes en train de réfléchir à votre entreprise et que ça fait plus de deux mois, lancez-vous.

  • Speaker #0

    C'est ça.

  • Speaker #2

    Parce que vous êtes en train de trop réfléchir, en fait.

  • Speaker #1

    Parfait, j'aime beaucoup la règle des deux mois. Allez, on va avoir plein de personnes qui vont se lancer. Franchement, je vais vous mettre tous les conseils aussi de Sarah dans la newsletter du Borde, donc abonnez-vous. Et venez nous voir en commentaire ou en discussion dans la newsletter. Sur les réseaux sociaux, taguez-nous aussi parce qu'on se fera un grand plaisir de vous aider à vous mettre la petite poussette pour vous mettre le petit doigt de pied dans la piscine ou vous pousser carrément dedans si c'est un projet pour vous. Et c'est parti pour les derniers mythes qu'on va débunker sur cette histoire de salariés diversifiés, salariés entrepreneurs. C'est parti !

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