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LE BOARD - Incubateur de solopreneurs !

De freelance à solopreneur : ce qui a (vraiment) changé dans ma vie

De freelance à solopreneur : ce qui a (vraiment) changé dans ma vie

30min |16/05/2025
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30min |16/05/2025
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Description

Freelance versus solopreneur : tout ce qui a vraiment changé dans ma vie (preuves à l’appui)

Avant, je vendais mon temps. Aujourd’hui, je construis un business qui tourne (presque) sans moi. Dans cet épisode, je te montre en toute transparence ce qui s'est passé pour moi quand je suis passée de freelance à solopreneur :

▪️Evolution et composition de mon chiffre d’affaires

▪️Mon agenda : avant / après

▪️Comment j'ai construit ma visibilité en partant de zéro

▪️Mes moments de vie retrouvés

▪️Les peurs que j’ai surmontées pour y arriver

👉 Tu veux vivre libre et arrêter de vendre ton temps ? Candidate pour mon prochain Bootcamp Solopreneur : https://leboard.systeme.io/incubateur-bootcamp-evergreen


PS : c'est un épisode vidéo donc n'hésite pas à aller le voir sur Spotify ou sur ma chaîne Youtube (https://www.youtube.com/@leboardmedia) pour profiter des screenshots et graphiques que j'ai préparés dans cet épisode !


💜 Et n'oublie pas de soutenir gratuitement le podcast s'il t'a plu, en laissant un avis sympa et 5 étoiles sur Apple Podcast ou sur Spotify, ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Le Board est le podcast incontournable pour tout entrepreneur solo, solopreneur, freelance ou indépendant souhaitant développer un solobusiness rentable et scalable et générer des revenus passifs solopreneur, prévisibles et automatiques, créer un business en ligne. Le podcast de référence aussi pour les salariés qui veulent lancer un side-business ou démissionner pour se lancer à leur compte. Animé par Flavie Prévot, dirigeante devenue entrepreneur (d’abord en side business puis en solopreneure), chaque épisode te propose des astuces freelance et des conseils business pour réussir dans le freelancing, que tu sois en micro-entreprise, en société, en portage, side entrepreneur ou que tu rêves de devenir digital nomad ou de te lancer dans l’entrepreneuriat.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Avant j'étais freelance et je vendais mon temps. Aujourd'hui je suis solopreneur. Alors qu'est-ce qui a changé dans ma vie entre ces deux situations ? Alors j'ai décidé de te faire un épisode preuve à l'appui où je vais te montrer tout ce qui a changé dans ma vie et on va tout décortiquer ensemble, chiffre d'affaires, agenda, avant, après, on va tout regarder, c'est parti. Si tu ne me connais pas, je suis Flavie Prévost, j'ai créé Le Borde, le premier podcast et le premier incubateur pour solopreneurs de France et ça fait cinq ans que je documente en public mon aventure de solopreneur. Et cet épisode va être typique du building public que j'adore faire. Je vais te montrer mes chiffres. J'ai dégoté aussi des vieux screenshots de mes activités d'il y a cinq ans pour te montrer les avant-après et pour te montrer tout le chemin que j'ai parcouru de freelance à solopreneur. Allez, on va commencer avec le plus croustillant. Est-ce que tout le monde veut savoir ? Est-ce que je gagne plus d'argent aujourd'hui en solopreneur qu'avant quand j'étais freelance ? C'est parti pour une évolution de mon chiffre d'affaires. année par année. Si tu nous écoutes en podcast, je te conseille de switcher sur la version vidéo de cet épisode sur Spotify ou bien sur ma chaîne YouTube, le Board Media. Tu verras comme ça les petits graphiques que je t'ai préparés. Allez, c'est parti pour l'évolution du chiffre d'affaires et de ma marge entre 2022 et 2025. Alors pour ça, je t'ai fait un graphique où on voit tout simplement un peu deux sections dans ce graphique. La première, c'est 2022-2023, deux années flat où là j'étais à 100 000 euros et quelques de chiffre d'affaires en freelance. Et ensuite, on voit que la courbe s'infléchit largement vers le haut. Donc, pour aller vers 320 000 euros ma troisième année. Et idéalement, en cible, 500 000 euros cette année, c'est l'objectif que je me suis fixé et que je poursuis. Comme tu le vois avec ce graphique, en fait, l'activité de freelance, elle fait plateau. C'est-à-dire qu'on a beau faire plein de choses, se démener, on a quand même un plafond de verre en freelance. Donc, moi, à 100 000 euros et quelques, Comme j'avais besoin aussi de temps à côté pour faire mon podcast, j'avais mon plafond de verre quand j'étais directrice commerciale fractionnalisée, à peu près 800 euros par jour. Et donc, j'ai un tout petit peu augmenté mon chiffre d'affaires la deuxième année, mais ce n'était pas fou. Alors qu'après, année numéro 3, j'ai triplé mon chiffre d'affaires. Et si ça continue, là, je vais encore largement augmenter en faisant encore 200 000 euros de chiffre d'affaires en plus par rapport à l'année dernière si je réussis mon objectif. Alors, qu'est-ce qui explique ça ? Tout simplement, année numéro 1, je vendais mon temps, 100%. Année numéro 2, je vendais mon temps et j'ai commencé à construire mes produits, mais je n'ai pas encore tiré les fruits de la construction de ces produits parce qu'il y a un peu un temps d'amorçage entre le moment où tu décides de lancer un produit et au moment où tu récoltes. Et année numéro 3, là, mes produits scalables ont explosé et pareil pour cette année. Donc je vais te montrer la composition de mon chiffre d'affaires plus en détail et on reviendra sur la marge après. Année numéro 1, je n'ai même pas fait de graphique parce que je vendais juste mon temps. Donc le graphique, ça aurait été juste un camembert avec que du temps. Année numéro 2, ma vente de temps. n'est plus que de 50%. Et là, on voit que déjà, le média, avec notamment le sponsoring que j'ai réalisé, commence à me rapporter 30% de mes revenus et le produit, 20%. Ça, c'est mon ancêtre. En fait, c'était à l'époque une formation sur Notion qui est devenue ma première cohorte de bootcamp, l'ancêtre finalement de l'incubateur solopreneur. Donc, ce n'était pas parfait, ce n'était pas automatisé, ce n'était pas très joli à voir, mais ça marchait, ça m'a généré quand même 22 000 euros. sur cette première année de diversification. Année numéro 3, donc celle où j'ai triplé mon chiffre d'affaires, on voit que là, ça change complètement structure, ça fait comme un petit Pac-Man, où le Pac-Man, l'essentiel du chiffre d'affaires, 72%, c'est la vente de mes produits, essentiellement le bootcamp, mais aussi un nouveau produit que j'avais lancé, salarié diversifié. Et le reste, c'est le média, qui a perdu en proportion 15%, mais qui me rapporte plus qu'avant 50 000 euros de sponsoring et de partenariat. L'expertise, Alors, va savoir ce que c'est, 13 000 euros, 4 %. Je ne me rappelle même plus ce que c'est. Je pense que c'est des contrats d'avant où je crois que je faisais des formations pour LinkedIn Learning que j'ai arrêtées depuis. Et un petit nouveau, la communauté, 26 000 euros, 8 % de mes revenus seulement. Donc, on pourrait dire, ce n'est pas intéressant. Flavie, dégage-moi ça. Mais détrompe-toi parce que ça, c'est le début de l'incubateur solopreneur, donc mon programme le plus scalable sur abonnement. Évidemment, les débuts, c'est toujours difficile quand on crée des produits. Mais derrière... Voilà ce qui va se passer en 2025 si tout va bien. C'est que c'est ce produit qui va le plus croître et qui devrait me rapporter à peu près 150 000 euros et être surtout le plus scalable, donc me demander le moins de temps par rapport aux autres et représenter déjà un tiers de mes revenus. Là où justement je vais essayer de limiter la proportion du bootcamp à la moitié et augmenter aussi le média avec l'objectif de faire 100 000 euros de chiffre d'affaires sur le sponsoring, notamment avec ma nouvelle émission. Solonation que je viens de lancer. Alors avant de parler de la suite, il faut que je te présente la courbe de la marge. Parce que je connais les gens sur Internet « Ouais, non, non, non, elle nous bâtit avec son chiffre d'affaires, mais la marge, non, non, non. » Moi, la marge, je suis transparente dessus aussi, je m'en fous, vous pouvez connaître ma marge. C'est pour te montrer aussi qu'il ne faut pas être arc-bouté non plus sur le fait de faire le maximum de marge en pourcentage. Parce que regarde, au fur et à mesure des années, ma marge, elle va décroître en pourcentage, mais elle va augmenter en euros. Et au final, ce qu'ils nous payent, ce n'est pas les pourcentages, c'est les euros. Et puis surtout, regarde, année 1, je ne faisais que freelancer, je faisais tout moi-même. J'étais radine, j'étais une énorme pince. Donc forcément, j'avais 98% de marge. Ouh, super ! Sauf qu'en fait, j'étais limite en burn-out. Je bossais le soir, le week-end. Ce n'est pas sérieux de faire ça. La deuxième année, 82% de marge seulement. J'ai commencé à... Je me rappelle, j'ai délégué autour de 20 000 euros de trucs. sur mes 110 000 euros et quelques de chiffre d'affaires. Donc déjà, ça m'a fait un peu mal, mais j'ai commencé à prendre de l'aide pour construire mes produits scalables notamment. Et année numéro 3, là où tout a explosé, eh bien bien sûr, je n'ai plus que 62 % de marge, mais c'est presque 200 000 euros de marge, donc c'est énorme. Et l'année numéro 4, si je fais mes prévisions, je n'ai plus que 50 % de marge, mais ça reste encore très conséquent puisque là, on atteindrait 250 000 euros de marge, donc elle serait aussi en progression. Donc attention avec l'obsession de la marge. Surtout quand tu es solo, ta santé mentale, le fait de se faire aider, c'est hyper important parce que si moi je craque, il n'y a personne derrière en backup pour rattraper mon entreprise. Donc voilà, je monite avec parcimonie, mais je prends aussi le temps d'investir de l'argent dans ma propre formation, dans la construction de mes produits scalables, parce que c'est eux qui vont me rapporter ce chiffre d'affaires en violet foncé en haut. Donc voilà, ce qu'on peut dire en fait sur l'évolution du chiffre d'affaires entre freelance et solopreneur, c'est qu'elle est hyper... favorable, bien évidemment. Le principe plus important, c'est la scalabilité, c'est-à-dire que je gagne plus sans travailler plus. Je suis aussi diversifiée, donc c'est rassurant. J'ai plusieurs pôles qui peuvent me rapporter de l'argent. Par exemple, je ne sais pas, moi, si le marché des freelances s'écroule, j'ai toujours mes sponsors qui peuvent me payer. Donc ça, c'est très important. Surtout, l'argent que je génère est beaucoup plus prédictible, parce que comme c'est des produits, je sais quand je les lance, avec certains taux de conversion, etc. que ça va marcher et combien ça va me rapporter à l'avance, notamment avec les abonnements de l'incubateur solopreneur, là où quand t'es freelance, faut recommencer mois après mois, mission après mission, et t'es pas à l'abri que le client t'abandonne du jour au lendemain. Moins de one-shot, plus de sérénité, énormément plus de sérénité financière, donc pour moi c'est un point pour le solopreneur par rapport au freelance. Après l'argent ne fait pas tout, et un point fondamental qui a changé aussi entre ma posture de freelance et ma posture de solopreneur, c'est que j'ai arrêté de me cacher Merci. derrière mes clients, derrière mes missions clients, derrière mon job quand j'étais salariée. J'ai osé prendre la parole et augmenter ma visibilité et mon autorité. Et c'est là aussi que tout a basculé dans ma génération de chiffre d'affaires. Je vais te montrer. Partie 1, je t'ai montré les finances et je t'ai montré que j'ai arrêté de me générer juste un salaire mensuel pour me générer du capital qui allait fructifier ensuite. Partie 2, je veux te montrer que j'ai arrêté de courir après les clients et maintenant c'est les clients qui viennent à moi, grâce à mon pilier média. Alors, qu'est-ce que ça dit, mon pilier média ? Eh bien, si je te montre les photos vintage avant-après, tu vas voir que ça va te rassurer. Parce qu'au début, on ne lance jamais le média parfait. Et ensuite, on peut l'adapter, le pivoter et l'améliorer. Mais uniquement si on l'a lancé. Et regarde-moi ce vilain podcast du début, le board, la business booster. Vraiment, je n'ai pas de mots pour définir cette pochette de podcast. Il parlait aux dirigeants, parce qu'à l'époque, moi, j'étais dirigeante. mais Je faisais du sous-Pauline Legnot avec beaucoup moins d'argent et de talent et de réseau qu'elle. Donc forcément, ça ne risquait pas de marcher. Mais je l'ai pivoté petit à petit, je l'ai amélioré. Et maintenant, c'est le podcast de référence pour les solopreneurs en France. En relativement peu de temps, quoi, 3-4 ans. Donc c'est vraiment quand même rapide finalement pour devenir leader de marché. Et avec ce podcast, j'ai presque 1 million d'écoutes maintenant. Je crois que je suis à 700 000. Je ne sais pas quand est-ce que tu écouteras cet épisode. Et c'est ouf en fait de se rendre compte de comment ça s'est accéléré. Et j'ai de plus en plus d'abonnés, j'ai de plus en plus d'autorités aussi qui me viennent de ce podcast. Et c'est grâce à ça aussi que j'ai pu lancer un nouveau format dérivé de ce podcast pour gagner encore de nouveaux marchés et notamment attaquer YouTube. Et donc c'est ce tout petit podcast tout naze au début, tout vilain, qui m'a permis cinq ans plus tard de contacter les meilleurs solopreneurs de la francophonie. de leur proposer de co-animer Solo Nation, ma nouvelle émission YouTube avec moi, dans des conditions studio, avec un super budget, un super line-up. Donc, tu vois aussi que... tous ces petits MVP, toutes ces petites tentatives que tu fais, tu n'es peut-être pas satisfait au début, ta première newsletter, ton premier post LinkedIn, ton premier podcast, ça amène avec une certaine forme de discipline, bien sûr, à de bien meilleurs concepts. Et tu ne peux pas avoir tout de suite le meilleur concept du monde en lançant ton premier podcast. Donc voilà, petite photo souvenir de Solonation au moment du tournage. Ça, c'est des screenshots vintage également de l'évolution de mon profil LinkedIn. Je suis dégoûtée, je n'ai pas le tout premier, mais on voit l'évolution de ma coupe de cheveux de corporate à de moins en moins corporate. Tous mes multiples pivots aussi, on va en parler tout à l'heure, mais on voit bien que j'ai vraiment osé faire plein de choses en termes d'activité. Et voilà, en gros, je ne sais pas en combien de temps, deux, trois ans même pas, je suis passée de 9000 à 30 000 abonnés. De mémoire, avant que je commence à publier sur LinkedIn et tout ça, et avant que je commence à lancer mon podcast, j'étais autour de 5000 personnes qui me suivaient sur LinkedIn. Je suis devenue LinkedIn top voice sur le freelancing. Donc tout ça, ça me confère aussi une forme d'autorité. C'est ça qui est important, ce n'est pas que la visibilité. J'ai écrit deux livres aussi, j'ai réussi à mener ça de front dans toute la construction de projets. Donc deux freelances à solopreneurs et salariés diversifiés. Donc ça aussi, c'est bon pour la crédibilité et l'autorité. Donc grâce à mon business, j'ai renforcé ma marque personnelle et grâce à ma marque personnelle, j'arrive plus facilement à vendre les produits, les offres de mon écosystème sans pub, sans prospection. Et surtout, cette visibilité, elle m'a donné le luxe ultime, celui de pouvoir sélectionner mes clients et du coup, arranger mon agenda comme j'avais envie pour profiter plus de ma liberté. Et tu vas voir que c'est surtout dans la redéfinition de mon agenda que j'ai complètement changé ma façon de travailler de freelance à solopreneur. C'est parti pour un petit avant-après dans mon agenda à ces deux périodes. Alors l'évolution de l'agenda, ça c'est le plus gros dossier parce qu'en fait, c'est pour ça moi que je voulais sortir de la vente du temps, je n'en pouvais plus d'avoir, d'être toujours en réunion, toujours avec mes clients. En fait, je me sentais comme aussi prisonnière que quand j'étais salariée. Comme tu pourras le voir, j'étais tout le temps en meeting, en petit call, 15 minutes par-ci, 20 minutes par-là, nan nan nan. Je combinais bien sûr mon activité de... de podcast avec mon activité du coup de freelance. J'avais des temps de prospection parce que je fais de la prospection externalisée, donc lundi, mardi, je commençais par ça, donc c'était l'horreur. Et je n'avais pas beaucoup de temps perso. On voit là que j'ai mis quelques séances de sport. C'est-à-dire que ça ne devait pas être aussi fréquent. Et surtout, comme je faisais n'importe quoi en termes de spécialisation, je n'étais pas spécialisée, je faisais du web 3, de la prospection. Tout ce que je pouvais pour gagner de l'argent, du sponsoring, des machins. Et donc là, j'étais trop diversifiée et donc je ne gagnais pas énormément. Et surtout, je ne passais pas assez de temps à construire mes produits. Donc voilà, cette vie, elle ne fait pas rêver quand je vois l'agenda. Et je n'ai pas du tout le même équilibre de vie maintenant. Alors aujourd'hui, ce qui est hyper intéressant, et donc j'ai mis des codes couleurs maintenant pour m'y repérer, c'est que tu vois, j'ai vraiment des blocs de travail profonds qui sont... beaucoup plus adapté à mon tempérament. Moi, j'aime bien geeker chez moi, tranquille. Je n'aime pas trop les appels, les calls. Je ne suis pas trop dérangée. Vraiment, je travaille beaucoup pour moi, sur mon propre business. Pour preuve, tout ce qui est violet foncé, c'est quand je travaille sur l'incubateur solopreneur. Tout ce qui est jaune, c'est quand je travaille sur mon média, le board. Et tout ce qui est rose, c'est mes temps perso. C'est le sport, les déjeuners, aller chercher mes enfants, aller à la piscine, etc. Alors déjà, ce qui saute aux yeux. c'est que j'ai beaucoup plus de temps rose que d'autres formes de temps. Et voilà, et surtout, je me suis aménagée beaucoup plus de temps agréable pour moi, asynchrone. En fait, ce qui a fait l'énorme différence, c'est qu'au lieu de vendre mon temps à la journée aux clients, eh bien, j'ai construit des produits, et ces produits me permettent de gagner de l'argent, que je sois en train de travailler le jour même dessus ou non. C'est ça les revenus asynchrones. Donc typiquement, le mercredi matin, quand je suis avec mes enfants que je garde avant de les emmener au centre aéré, je peux avoir quelqu'un qui souscrit à l'incubateur solopreneur. Donc, ça me met beaucoup moins de pression sur le fait d'être travaillomane, de bosser tout le temps. J'ai plus de pause, j'ai un agenda qui respire beaucoup plus et surtout, j'ai des activités intellectuellement plus intéressantes parce que je travaille sur mon propre business, sur la construction de mes propres actifs et tout ce que je fais, ça va me resservir demain. En fait, je travaille... toutes les semaines sur des choses qui seront marrantes demain. Parce que quand j'améliore l'incubateur solopreneur, j'aurai plus de clients, je pourrai monter les prix, etc. Alors qu'avant, je travaillais que pour les autres. Donc vraiment, je louais mon temps tel un mercenaire. C'est un peu ça d'où ça vient le mot freelance à la base. Petite fierté aussi, électrochoc aussi pour passer de freelance à solopreneur. Je n'allais jamais surfer, alors que j'ai déménagé à Nantes exprès pour ça. Et là, on voit que j'arrive à me bloquer des journées dédiées. Je n'y vais pas tous les lundis, bien sûr, mais s'il y a les bonnes conditions, j'ai rien et du coup, je peux y aller. Donc ça, ça a clairement tout changé dans mon agenda. Donc ce qu'on voit, c'est que j'ai triplé mon chiffre d'affaires, mais je n'ai pas triplé mes heures de travail. En gros, j'ai même triplé mon chiffre d'affaires pour vivre trois fois mieux, en fait, tout simplement. Donc surtout, ce nouveau rythme, il m'a permis de récupérer un truc que j'avais perdu depuis bien longtemps. Depuis que j'étais freelance à six chiffres, mais aussi avant, quand j'étais cadre dirigeante, eh bien, c'était le fait d'avoir une vie. tout simplement d'avoir une vie en dehors du boulot. Et finalement, c'est ça qui compte vraiment. Et c'est ce que je vais te montrer avec ce prochain bloc où tu vas voir que la réussite se compte plutôt en instants partagés qu'en heures facturées. C'est parti pour regarder tous les points de vie que j'ai récupérés en passant de freelance à solopreneur. Alors, comment a évolué ma liberté depuis que je suis solopreneur ? Comment a évolué aussi mon rythme de vie, mon équilibre ? Je vais te montrer un petit peu. Comment ça s'est passé avec quelques moments clés de mon année, notamment mon année dernière ? Allez, c'est parti. Alors, première image, forcément, j'ai réussi à aller surfer. Ça, je suis hyper fière. C'est une petite photo prise en stage de surf au Maroc avec ma pote Marion, solo-preneur également. C'est la première fois que je partais en stage une semaine en pleine année scolaire, quoi, hors vacances. Parce que moi, mes vacances, elles sont consacrées à mes enfants, donc je ne peux pas non plus partir. et abandonner toute ma famille en pleine vacances scolaires. Donc, je dois prendre des vacances en plus pour surfer. Donc, grâce à mes revenus asynchrones, j'avais moins de pression pour être tous les jours de chaque semaine au bureau à facturer. Et j'ai pu m'aménager des pauses comme ça, un petit peu. Certes, j'avais du boulot, mais je le rattrapais à d'autres moments. C'est ça le principe des revenus asynchrones. On est parti aussi en tafouax relax pour la deuxième année consécutive avec Marion et d'autres solopreneurs. Donc là, tu nous vois en plein briefing. Donc hop, encore trois jours. Là, c'est pareil, ça fait une diff entre les freelances qui n'arrivent pas à s'arrêter de bosser, qui sont obligés de bosser la journée et de rater le cours de surf, et les autres. Donc, c'est hyper important de s'aménager des moments comme ça. Je suis partie aussi toute seule à d'autres moments, sur le Pays Basque, etc. Je ne suis pas encore hyper fière de mon niveau de surf, mais j'ai vraiment énormément progressé l'année dernière. Autre bonus que je ne me serais jamais permis de prendre quand j'étais freelance, je suis partie en plein mois de janvier, fin janvier, pour mes 40 ans en Laponie. C'était un petit moment de couple aussi, c'était trop bien, c'est hyper important de soigner son entourage quand on est indépendant. Et pourquoi je serais jamais partie en freelance ? Parce que le fin janvier, c'est un moment hyper fort du freelancing, donc ça voudrait dire renoncer, sacrifier 3 ou 4 ou 5 jours de freelancing. Et là, j'étais en plein en train de préparer le tournage de Solonation, mais bon, j'ai pu bosser un petit peu, 2-3 heures par jour de la pony avec mon iPad, tranquille. tout en allant faire du ski de fond toute la journée. Donc j'ai passé des vacances de rêve et ça ne m'a pas empêché de travailler pour eux, ni d'ailleurs de gagner de l'argent. Parce que je racontais sur Solonation que voilà, en descendant de l'avion, machin, boum, notification, machin, a rejoint l'incubateur Solopreneur. Donc c'est ça aussi le kiff des revenus scalables. Ensuite, j'ai passé beaucoup, beaucoup plus de temps avec mes enfants, mine de rien. Alors ça, c'est pareil. J'ai fait plusieurs choses intéressantes cette année. que je n'aurais jamais pensé possible de faire en étant salariée, bien sûr, et en freelance, laisse tomber, parce qu'à chaque fois que j'étais freelance, que je m'occupais de mes enfants, même d'un enfant malade, je pensais aux chiffres d'affaires que je perdais. C'était vraiment hyper malsain. Là, je suis partie en vélo-trip avec eux. J'ai posé du temps pour aller faire des sorties scolaires. C'est vraiment le truc bête, mais une avec ma fille, une avec mon fils. Et en fait, il y a plein de papas, de mamans qui ne peuvent pas dans l'année. Des salariés, souvent, ou même des freelances. donc si Je trouve ça un peu triste, donc je me dis à quoi bon se dire qu'on est libre et pas profiter de ces moments-là. Puis là, c'était ce midi. Donc on est mercredi, je m'occupe de le matin. Là, j'ai emmené ma fille prendre le bateau, déjeuner au soleil. C'était trop bien. Et revenir à la maison, c'était un peu comme des mini-vacances. Donc voilà, hyper important aussi de savoir pourquoi on fait les choses. Et moi, je prône la scalabilité, la synchronicité, pas que pour gagner un max de thunes, mais pour aussi vivre, profiter de la vie. ils sont déjà Je trouve qu'ils sont déjà grands. C'est bientôt 6 ans, bientôt 4 ans, donc j'ai envie d'en profiter. Ça m'a donné du temps aussi. de me générer ces revenus complémentaires, diversifiés, scalables, pour lancer une toute nouvelle émission YouTube. Je t'en ai déjà parlé tout à l'heure, Solo Nation, c'est un boulot de malade en fait pour faire ces émissions, aller sur un plateau à Paris, etc. Et pareil, quand je pars en plateau, deux jours de tournage, je ne suis pas stressée en me disant, mince, mince, je ne vais pas faire de chiffre d'affaires ce mois-ci. Bon, et le plus beau dans tout ça, c'est que je ne suis pas la seule à avoir regagné des points de vie grâce au modèle du Solopreneur Scalable. Je vais te montrer ce que mes alumnis du Bootcamp Solopreneur ont réussi à accomplir eux aussi. Bon alors là, je n'ai pas pu prendre tout le monde parce que déjà, je pense que j'ai accompagné plus de 60 ou 70 personnes maintenant dans le Bootcamp de l'Incubator Solopreneur déjà. Et puis, il faut laisser un petit peu de temps aussi entre le moment où ils ont fait le Bootcamp et le moment où ils ont pu pleinement tirer les fruits de leur système scalable. Parce que pendant trois mois, on apprend toutes les techniques et puis après, il faut lancer les produits, etc. Donc Mélanie Ong, c'est une de mes élèves du tout début du bootcamp, première promo. Mélanie, elle a doublé son chiffre d'affaires et surtout, elle a un produit largement scalable qu'elle a construit à base d'IA pour les podcasters. Et donc, ça lui permet de faire deux séjours en Asie dans l'année et de continuer à travailler et d'avoir un mode de travail complètement asynchrone. On a Nicolas Dorfman aussi qui lui a lancé son programme pour aider les freelances en paye de médias. les salariés à se lancer en freelance et à être digital nomade. Donc comme son programme le promeut, il est évidemment digital nomade. Je suis évidemment très jalouse parce qu'il passe sa vie à surfer. Et donc il est en voie de générer 50 000 euros par an. C'est son nouvel objectif avec son programme, qui est une forme d'académie slash bootcamp programme en ligne dont on avait mis en place les premières pierres pendant le bootcamp qu'il avait fait avec moi. Et puis on a Sandra qui a voyagé un peu moins loin, mais quand même. Elle s'est installée à Annecy grâce à son nouveau business model, à sa spécialisation et à la méthode qu'elle a créée. Son nouveau modèle lui a permis de s'éloigner de ses clients parisiens sans perdre d'argent et de vivre sa meilleure vie à côté du lac d'Annecy. Je crois que c'est plutôt pas mal comme région. Donc voilà, hyper fière d'eux, hyper fière de tous les autres aussi. Et je trouve que c'est très flagrant de montrer que c'est cette vie qu'on veut. Ce n'est pas une vie de freelance attachée à son bureau. à envoyer ces timesheets et à facturer chaque seconde de chaque minute de notre temps. C'est vraiment une vie beaucoup plus libre. Et ça, la vie de solopreneur, même si, évidemment, il faut travailler pour ça. Et je ne dis pas qu'il y a forcément moins de travail, mais il y a clairement beaucoup plus de liberté. Mais pour en arriver là, bien sûr, et c'est peut-être la chose dont je suis la plus fière dans cet épisode, c'est qu'il m'a fallu dépasser pas mal de mes peurs les plus enfouies, les moins avouables. Et c'est ça qui m'a marquée aussi dans ma transition de freelance à solopreneur. C'est tous ces combats que j'ai réussi à mener contre moi-même parfois. Et je suis hyper fière de vous présenter quelques-uns des démons que j'ai dû terrasser pour en arriver là où je suis aujourd'hui. Alors, quelle peur j'ai dû dépasser pour oser changer complètement de business model alors que j'avais un modèle qui marchait en freelance pour devenir solopreneur et du coup gagner en chiffre d'affaires, en liberté, en point de vie. Allez, c'est parti. J'en suis pas fière, mais bon, écoute, c'est ça la vie. Évidemment, j'avais très, très peur de perdre mes clients en me disant, je pivote, je change, je lance complètement un nouveau truc. Surtout quand j'étais vraiment au milieu du guet entre j'ai besoin de mes clients en freelance pour gagner ma vie parce que le board ne me rapporte pas assez. Et en même temps, sur les réseaux sociaux, je parle que du board. Sauf qu'aujourd'hui, trois ans plus tard, je ne regrette absolument pas mes clients d'avant. Mais je ne les regrette pas du tout. C'était des clients adaptés à Flavie qui débutait dans le freelancing, mais ce n'était pas forcément des bons clients. Et en fait, aujourd'hui, j'ai des bien meilleurs clients qui payent mieux, qui respectent plus mon travail, que j'adore. En plus, maintenant, aujourd'hui, je bosse avec des solopreneurs. Donc vraiment, ma vie est beaucoup mieux. Donc je ne sais pas pourquoi on s'attache autant à des trucs qui ne sont pas agréables. C'est comme si on s'attachait à un ex toxique au lieu de partir pour une nouvelle aventure amoureuse. Donc voilà, je ne regrette absolument rien. Et parfois, je retombe sur des noms de clients que j'avais il y a longtemps et je dis là, oh là là, mais qu'est-ce que je foutais dans ce genre de mission ? Donc, je pense que toi aussi, tu auras vite fait table rase du passé sur cet aspect-là. J'ai peur de ne plus avoir de revenu fixe. Alors, oui, ça, c'est très effrayant parce qu'on vend son temps, c'est relativement facile une fois qu'on a compris à qui on le vend, comment en faire et qu'on prospecte. Quand on lance des produits scalables, on n'a effectivement plus de revenu fixe. dans le sens où on va plutôt faire des lancements produits, des lancements commerciaux, etc. Mais par contre, on a des revenus qui sont beaucoup plus prédictibles. C'est-à-dire que moi, je sais te dire à l'avance quel mois je vais lancer le bootcamp, ce que je vais faire pour le lancer, donc je sais combien je vais gagner à l'avance. Alors que quand j'étais freelance, Il pouvait se passer une guerre en Ukraine, je perdais mes clients, c'était pas du tout dépendant de ma volonté. Donc oui, je pralissais tous les mois, mais tout pouvait s'arrêter du jour au lendemain, et ça dépendait pas de moi. Donc, moralité, les revenus fixes, c'est pas toujours bon. Chercher à avoir un salaire fixe en fait en entrepreneur, ça te limite. Parce que moi, je vais engranger pendant un lancement, après j'ai suffisamment de trésorerie, j'ai pas besoin de faire des chiffres d'affaires records tous les mois. Ça me suffit d'avoir un budget annuel et de savoir à peu près que je vais le réaliser. grâce à mon prévisionnel financier. Alors, je ne sais pas du tout comment on construit un produit. Variante, je n'ai pas d'idée de produit. Oh là là, comment on fait ça, un mastermind ? Comment on fait un bootcamp ? Comment on fait un SaaS ? J'en avais absolument aucune idée, moi non plus. Et en fait, ce n'est pas grave. Aujourd'hui, tu peux tout apprendre. Même aujourd'hui, il y a un truc encore mieux qu'avant quand je me suis lancée, il y a ChatGPT. Donc avec les IA, les agents IA, c'est incroyable tout ce qu'on peut faire. Et surtout, ne te pose pas de questions. sur « je ne vais pas savoir faire » alors que le problème n'est pas encore arrivé dans ta vie. Lance le truc, tu vas te former en cours de route et tu vas réussir à le faire. Il ne faut pas se mettre de barrière avant de te lancer, mais c'est sûr que tu vas avoir beaucoup plus de ressources que tu ne le crois pour lancer un business model, même si tu n'avais pas l'habitude. Et c'est en lançant, en faisant des erreurs aussi, moi j'ai testé tous les business models possibles et imaginables, qu'on voit ce qu'on aime, ce qu'on n'aime pas. Et c'est ça qui m'a rendu meilleure aussi au bout du compte. J'ai peur des haters. Ça, c'est pour la partie visibilité. Alors, ça va peut-être te paraître bizarre, mais je n'ai toujours pas eu de haters. Malgré 30 000 abonnés sur LinkedIn et je pense 50 000 abonnés tout réseau confondu. Donc, comme quoi, je n'ai pas percé encore, sans doute. Mais voilà, en fait, être visible, ce n'est pas forcément être putaclic. Ce n'est pas forcément être un Marseillais à Cancun ou devoir se filmer en selfie. en maillot de bain. Moi, je ne parle que de freelancing, de soloprenariat et de scalabilité. C'est un peu chiant, mais ça n'empêche pas d'avoir de la visibilité sur mon domaine. Et en fait, c'est ça qui m'intéresse pour derrière faire connaître mon podcast et tout. D'ailleurs, je connais des solopreneurs qui ont des centaines de milliers d'euros de chiffre d'affaires par an, voire même par mois, et qui ne se montrent pas face caméra. Donc, ce n'est pas du tout une obligation. Évidemment que ce qui est intéressant, c'est d'avoir un média qui génère de l'audience pour acheter tes produits. Mais ça, tu peux le faire. Tu peux même faire des médias pour personnes introverties, comme par exemple une newsletter, comme le fait par exemple Yohann Lopez avec Snowball. Donc voilà, ça pour moi, c'est absolument pas un problème et on peut tout à fait être visible, avoir de l'autorité sans montrer toute sa vie non plus. J'ai peur d'échouer. Alors ça, c'est vraiment pareil. La peur d'échouer, on l'a tous. Moi, j'étais pas... Moi aussi, j'étais très bonne élève à l'école. J'ai surtout réussi dans la vie, mention très bien tout ça. Donc, ça me faisait très, très peur de me planter. Mais au final, je suis maintenant complètement immunisée. Je lance des trucs tout le temps. Il y en a plein qui se foirent et ce n'est pas grave. Ma vie n'est pas plus mal comme ça. En fait, d'ailleurs, à force de rater des trucs, j'ai moins peur. Du coup, je tente plus. Et franchement, ça explique en grosse partie mon succès, entre guillemets, en tout cas en termes de chiffre d'affaires. C'est que je n'hésite pas à lancer des trucs, même si ce n'est pas parfait. Et au final, ça passe, ça permet quand même de trouver des clients, de générer du chiffre d'affaires et t'améliore au fur et à mesure. Là, il faut vraiment sortir de ce syndrome de l'imposteur, de « c'est pas bien, donc je ne me lance pas » . Tu vas attendre combien de temps ? 10 ans, 20 ans à ne pas oser te lancer en solopreneur. Les idées, elles vont venir en faisant, les produits, les projets, ils vont s'améliorer en les lançant. J'ai peur de la charge de travail que ça représente. Alors ça, on l'a beaucoup aussi. Évidemment qu'il y a une charge de travail quand on est solopreneur. On ne peut pas gérer à la fois un média et des produits sans bosser. C'est faux, la semaine de 4 heures, le je bosse une heure par jour depuis une plage à Bali, évidemment que non. C'est pour ça que je te l'ai montré, c'est qu'en fait, il y a du travail quand même. Il a beau être asynchrone, même si je dois faire 3 heures de travail sur ma page de vente, il faut bien que je les fasse à un moment. Donc si je veux garder ma fille l'après-midi, soit, mais le soir, je vais me coltiner ma page de vente à faire. Sauf que, quand même, je trouve qu'il y a beaucoup moins de travail que quand j'étais freelance. Pourquoi ? Pour une seule. bonne raison, c'est que depuis que je suis solopreneur, j'ai les moyens de financer des gens qui m'aident en fait. Donc je vous présente mon équipe de freelance, il y en a d'autres aussi, mais là je te montre Cyril, mon vidéaste, mon assistante virtuelle et Mélanie qui m'aident sur le podcast management. Maintenant que j'ai les moyens financiers grâce à mes produits, je peux financer leur travail à mes côtés pour pas me coltiner tout ce travail de montage, de... de mettre les podcasts sur les plateformes, de trier mes mails, etc. Et tout ça, ça me fait gagner beaucoup de temps, beaucoup de confort de vie. Et c'est pour ça qu'aujourd'hui, je ne travaille pas plus qu'avant. je travaille en gros autant qu'avant, voire même un petit peu moins, je gagne plus. Et au final, j'ai un quotidien beaucoup plus intéressant parce que j'ai évacué ces tâches qui me plombaient un petit peu ou j'étais un peu mauvaise au profit de personnes qui sont bien plus compétentes que moi. Donc, énorme big up à vous. Et c'est ça aussi le changement de modèle. Freelance, tu fais tout tout seul. Solopreneur, tu peux te faire aider. Et ça, ça fait une énorme différence. Bref, la conclusion de tout cet épisode, c'est que ton temps est précieux. Alors, ne le gaspille pas. Et surtout, n'oublie pas de profiter. de ta liberté. Si tu as regardé cet épisode, c'est que sans doute toi aussi tu es attiré par cette mue de freelance à solopreneur. Tu penses que sans doute c'est un bon business model pour toi. Alors si c'est le cas, sache que je peux t'aider à faire la transition. C'est ma spécialité en fait avec le Bootcamp Solopreneur. Je prends des freelances qui sont confortables, qui sont experts, qui fonctionnent déjà bien et pendant trois mois, je les coach personnellement pour pouvoir les amener à la génération de leurs premiers revenus asynchrones. Donc si toi aussi tu veux passer de freelance à solopreneur, rejoins-moi, candidate au bootcamp. Tu as le lien dans la description de cet épisode. Et je t'assure que dans six mois, dans un an, dans un an et demi, ta vie pourrait être extrêmement différente grâce à cette décision. Merci énormément de m'avoir suivi et abonne-toi à mon podcast et à ma chaîne YouTube pour avoir plus de contenu sur le soloprenariat. Allez, ciao !

Description

Freelance versus solopreneur : tout ce qui a vraiment changé dans ma vie (preuves à l’appui)

Avant, je vendais mon temps. Aujourd’hui, je construis un business qui tourne (presque) sans moi. Dans cet épisode, je te montre en toute transparence ce qui s'est passé pour moi quand je suis passée de freelance à solopreneur :

▪️Evolution et composition de mon chiffre d’affaires

▪️Mon agenda : avant / après

▪️Comment j'ai construit ma visibilité en partant de zéro

▪️Mes moments de vie retrouvés

▪️Les peurs que j’ai surmontées pour y arriver

👉 Tu veux vivre libre et arrêter de vendre ton temps ? Candidate pour mon prochain Bootcamp Solopreneur : https://leboard.systeme.io/incubateur-bootcamp-evergreen


PS : c'est un épisode vidéo donc n'hésite pas à aller le voir sur Spotify ou sur ma chaîne Youtube (https://www.youtube.com/@leboardmedia) pour profiter des screenshots et graphiques que j'ai préparés dans cet épisode !


💜 Et n'oublie pas de soutenir gratuitement le podcast s'il t'a plu, en laissant un avis sympa et 5 étoiles sur Apple Podcast ou sur Spotify, ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Le Board est le podcast incontournable pour tout entrepreneur solo, solopreneur, freelance ou indépendant souhaitant développer un solobusiness rentable et scalable et générer des revenus passifs solopreneur, prévisibles et automatiques, créer un business en ligne. Le podcast de référence aussi pour les salariés qui veulent lancer un side-business ou démissionner pour se lancer à leur compte. Animé par Flavie Prévot, dirigeante devenue entrepreneur (d’abord en side business puis en solopreneure), chaque épisode te propose des astuces freelance et des conseils business pour réussir dans le freelancing, que tu sois en micro-entreprise, en société, en portage, side entrepreneur ou que tu rêves de devenir digital nomad ou de te lancer dans l’entrepreneuriat.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Avant j'étais freelance et je vendais mon temps. Aujourd'hui je suis solopreneur. Alors qu'est-ce qui a changé dans ma vie entre ces deux situations ? Alors j'ai décidé de te faire un épisode preuve à l'appui où je vais te montrer tout ce qui a changé dans ma vie et on va tout décortiquer ensemble, chiffre d'affaires, agenda, avant, après, on va tout regarder, c'est parti. Si tu ne me connais pas, je suis Flavie Prévost, j'ai créé Le Borde, le premier podcast et le premier incubateur pour solopreneurs de France et ça fait cinq ans que je documente en public mon aventure de solopreneur. Et cet épisode va être typique du building public que j'adore faire. Je vais te montrer mes chiffres. J'ai dégoté aussi des vieux screenshots de mes activités d'il y a cinq ans pour te montrer les avant-après et pour te montrer tout le chemin que j'ai parcouru de freelance à solopreneur. Allez, on va commencer avec le plus croustillant. Est-ce que tout le monde veut savoir ? Est-ce que je gagne plus d'argent aujourd'hui en solopreneur qu'avant quand j'étais freelance ? C'est parti pour une évolution de mon chiffre d'affaires. année par année. Si tu nous écoutes en podcast, je te conseille de switcher sur la version vidéo de cet épisode sur Spotify ou bien sur ma chaîne YouTube, le Board Media. Tu verras comme ça les petits graphiques que je t'ai préparés. Allez, c'est parti pour l'évolution du chiffre d'affaires et de ma marge entre 2022 et 2025. Alors pour ça, je t'ai fait un graphique où on voit tout simplement un peu deux sections dans ce graphique. La première, c'est 2022-2023, deux années flat où là j'étais à 100 000 euros et quelques de chiffre d'affaires en freelance. Et ensuite, on voit que la courbe s'infléchit largement vers le haut. Donc, pour aller vers 320 000 euros ma troisième année. Et idéalement, en cible, 500 000 euros cette année, c'est l'objectif que je me suis fixé et que je poursuis. Comme tu le vois avec ce graphique, en fait, l'activité de freelance, elle fait plateau. C'est-à-dire qu'on a beau faire plein de choses, se démener, on a quand même un plafond de verre en freelance. Donc, moi, à 100 000 euros et quelques, Comme j'avais besoin aussi de temps à côté pour faire mon podcast, j'avais mon plafond de verre quand j'étais directrice commerciale fractionnalisée, à peu près 800 euros par jour. Et donc, j'ai un tout petit peu augmenté mon chiffre d'affaires la deuxième année, mais ce n'était pas fou. Alors qu'après, année numéro 3, j'ai triplé mon chiffre d'affaires. Et si ça continue, là, je vais encore largement augmenter en faisant encore 200 000 euros de chiffre d'affaires en plus par rapport à l'année dernière si je réussis mon objectif. Alors, qu'est-ce qui explique ça ? Tout simplement, année numéro 1, je vendais mon temps, 100%. Année numéro 2, je vendais mon temps et j'ai commencé à construire mes produits, mais je n'ai pas encore tiré les fruits de la construction de ces produits parce qu'il y a un peu un temps d'amorçage entre le moment où tu décides de lancer un produit et au moment où tu récoltes. Et année numéro 3, là, mes produits scalables ont explosé et pareil pour cette année. Donc je vais te montrer la composition de mon chiffre d'affaires plus en détail et on reviendra sur la marge après. Année numéro 1, je n'ai même pas fait de graphique parce que je vendais juste mon temps. Donc le graphique, ça aurait été juste un camembert avec que du temps. Année numéro 2, ma vente de temps. n'est plus que de 50%. Et là, on voit que déjà, le média, avec notamment le sponsoring que j'ai réalisé, commence à me rapporter 30% de mes revenus et le produit, 20%. Ça, c'est mon ancêtre. En fait, c'était à l'époque une formation sur Notion qui est devenue ma première cohorte de bootcamp, l'ancêtre finalement de l'incubateur solopreneur. Donc, ce n'était pas parfait, ce n'était pas automatisé, ce n'était pas très joli à voir, mais ça marchait, ça m'a généré quand même 22 000 euros. sur cette première année de diversification. Année numéro 3, donc celle où j'ai triplé mon chiffre d'affaires, on voit que là, ça change complètement structure, ça fait comme un petit Pac-Man, où le Pac-Man, l'essentiel du chiffre d'affaires, 72%, c'est la vente de mes produits, essentiellement le bootcamp, mais aussi un nouveau produit que j'avais lancé, salarié diversifié. Et le reste, c'est le média, qui a perdu en proportion 15%, mais qui me rapporte plus qu'avant 50 000 euros de sponsoring et de partenariat. L'expertise, Alors, va savoir ce que c'est, 13 000 euros, 4 %. Je ne me rappelle même plus ce que c'est. Je pense que c'est des contrats d'avant où je crois que je faisais des formations pour LinkedIn Learning que j'ai arrêtées depuis. Et un petit nouveau, la communauté, 26 000 euros, 8 % de mes revenus seulement. Donc, on pourrait dire, ce n'est pas intéressant. Flavie, dégage-moi ça. Mais détrompe-toi parce que ça, c'est le début de l'incubateur solopreneur, donc mon programme le plus scalable sur abonnement. Évidemment, les débuts, c'est toujours difficile quand on crée des produits. Mais derrière... Voilà ce qui va se passer en 2025 si tout va bien. C'est que c'est ce produit qui va le plus croître et qui devrait me rapporter à peu près 150 000 euros et être surtout le plus scalable, donc me demander le moins de temps par rapport aux autres et représenter déjà un tiers de mes revenus. Là où justement je vais essayer de limiter la proportion du bootcamp à la moitié et augmenter aussi le média avec l'objectif de faire 100 000 euros de chiffre d'affaires sur le sponsoring, notamment avec ma nouvelle émission. Solonation que je viens de lancer. Alors avant de parler de la suite, il faut que je te présente la courbe de la marge. Parce que je connais les gens sur Internet « Ouais, non, non, non, elle nous bâtit avec son chiffre d'affaires, mais la marge, non, non, non. » Moi, la marge, je suis transparente dessus aussi, je m'en fous, vous pouvez connaître ma marge. C'est pour te montrer aussi qu'il ne faut pas être arc-bouté non plus sur le fait de faire le maximum de marge en pourcentage. Parce que regarde, au fur et à mesure des années, ma marge, elle va décroître en pourcentage, mais elle va augmenter en euros. Et au final, ce qu'ils nous payent, ce n'est pas les pourcentages, c'est les euros. Et puis surtout, regarde, année 1, je ne faisais que freelancer, je faisais tout moi-même. J'étais radine, j'étais une énorme pince. Donc forcément, j'avais 98% de marge. Ouh, super ! Sauf qu'en fait, j'étais limite en burn-out. Je bossais le soir, le week-end. Ce n'est pas sérieux de faire ça. La deuxième année, 82% de marge seulement. J'ai commencé à... Je me rappelle, j'ai délégué autour de 20 000 euros de trucs. sur mes 110 000 euros et quelques de chiffre d'affaires. Donc déjà, ça m'a fait un peu mal, mais j'ai commencé à prendre de l'aide pour construire mes produits scalables notamment. Et année numéro 3, là où tout a explosé, eh bien bien sûr, je n'ai plus que 62 % de marge, mais c'est presque 200 000 euros de marge, donc c'est énorme. Et l'année numéro 4, si je fais mes prévisions, je n'ai plus que 50 % de marge, mais ça reste encore très conséquent puisque là, on atteindrait 250 000 euros de marge, donc elle serait aussi en progression. Donc attention avec l'obsession de la marge. Surtout quand tu es solo, ta santé mentale, le fait de se faire aider, c'est hyper important parce que si moi je craque, il n'y a personne derrière en backup pour rattraper mon entreprise. Donc voilà, je monite avec parcimonie, mais je prends aussi le temps d'investir de l'argent dans ma propre formation, dans la construction de mes produits scalables, parce que c'est eux qui vont me rapporter ce chiffre d'affaires en violet foncé en haut. Donc voilà, ce qu'on peut dire en fait sur l'évolution du chiffre d'affaires entre freelance et solopreneur, c'est qu'elle est hyper... favorable, bien évidemment. Le principe plus important, c'est la scalabilité, c'est-à-dire que je gagne plus sans travailler plus. Je suis aussi diversifiée, donc c'est rassurant. J'ai plusieurs pôles qui peuvent me rapporter de l'argent. Par exemple, je ne sais pas, moi, si le marché des freelances s'écroule, j'ai toujours mes sponsors qui peuvent me payer. Donc ça, c'est très important. Surtout, l'argent que je génère est beaucoup plus prédictible, parce que comme c'est des produits, je sais quand je les lance, avec certains taux de conversion, etc. que ça va marcher et combien ça va me rapporter à l'avance, notamment avec les abonnements de l'incubateur solopreneur, là où quand t'es freelance, faut recommencer mois après mois, mission après mission, et t'es pas à l'abri que le client t'abandonne du jour au lendemain. Moins de one-shot, plus de sérénité, énormément plus de sérénité financière, donc pour moi c'est un point pour le solopreneur par rapport au freelance. Après l'argent ne fait pas tout, et un point fondamental qui a changé aussi entre ma posture de freelance et ma posture de solopreneur, c'est que j'ai arrêté de me cacher Merci. derrière mes clients, derrière mes missions clients, derrière mon job quand j'étais salariée. J'ai osé prendre la parole et augmenter ma visibilité et mon autorité. Et c'est là aussi que tout a basculé dans ma génération de chiffre d'affaires. Je vais te montrer. Partie 1, je t'ai montré les finances et je t'ai montré que j'ai arrêté de me générer juste un salaire mensuel pour me générer du capital qui allait fructifier ensuite. Partie 2, je veux te montrer que j'ai arrêté de courir après les clients et maintenant c'est les clients qui viennent à moi, grâce à mon pilier média. Alors, qu'est-ce que ça dit, mon pilier média ? Eh bien, si je te montre les photos vintage avant-après, tu vas voir que ça va te rassurer. Parce qu'au début, on ne lance jamais le média parfait. Et ensuite, on peut l'adapter, le pivoter et l'améliorer. Mais uniquement si on l'a lancé. Et regarde-moi ce vilain podcast du début, le board, la business booster. Vraiment, je n'ai pas de mots pour définir cette pochette de podcast. Il parlait aux dirigeants, parce qu'à l'époque, moi, j'étais dirigeante. mais Je faisais du sous-Pauline Legnot avec beaucoup moins d'argent et de talent et de réseau qu'elle. Donc forcément, ça ne risquait pas de marcher. Mais je l'ai pivoté petit à petit, je l'ai amélioré. Et maintenant, c'est le podcast de référence pour les solopreneurs en France. En relativement peu de temps, quoi, 3-4 ans. Donc c'est vraiment quand même rapide finalement pour devenir leader de marché. Et avec ce podcast, j'ai presque 1 million d'écoutes maintenant. Je crois que je suis à 700 000. Je ne sais pas quand est-ce que tu écouteras cet épisode. Et c'est ouf en fait de se rendre compte de comment ça s'est accéléré. Et j'ai de plus en plus d'abonnés, j'ai de plus en plus d'autorités aussi qui me viennent de ce podcast. Et c'est grâce à ça aussi que j'ai pu lancer un nouveau format dérivé de ce podcast pour gagner encore de nouveaux marchés et notamment attaquer YouTube. Et donc c'est ce tout petit podcast tout naze au début, tout vilain, qui m'a permis cinq ans plus tard de contacter les meilleurs solopreneurs de la francophonie. de leur proposer de co-animer Solo Nation, ma nouvelle émission YouTube avec moi, dans des conditions studio, avec un super budget, un super line-up. Donc, tu vois aussi que... tous ces petits MVP, toutes ces petites tentatives que tu fais, tu n'es peut-être pas satisfait au début, ta première newsletter, ton premier post LinkedIn, ton premier podcast, ça amène avec une certaine forme de discipline, bien sûr, à de bien meilleurs concepts. Et tu ne peux pas avoir tout de suite le meilleur concept du monde en lançant ton premier podcast. Donc voilà, petite photo souvenir de Solonation au moment du tournage. Ça, c'est des screenshots vintage également de l'évolution de mon profil LinkedIn. Je suis dégoûtée, je n'ai pas le tout premier, mais on voit l'évolution de ma coupe de cheveux de corporate à de moins en moins corporate. Tous mes multiples pivots aussi, on va en parler tout à l'heure, mais on voit bien que j'ai vraiment osé faire plein de choses en termes d'activité. Et voilà, en gros, je ne sais pas en combien de temps, deux, trois ans même pas, je suis passée de 9000 à 30 000 abonnés. De mémoire, avant que je commence à publier sur LinkedIn et tout ça, et avant que je commence à lancer mon podcast, j'étais autour de 5000 personnes qui me suivaient sur LinkedIn. Je suis devenue LinkedIn top voice sur le freelancing. Donc tout ça, ça me confère aussi une forme d'autorité. C'est ça qui est important, ce n'est pas que la visibilité. J'ai écrit deux livres aussi, j'ai réussi à mener ça de front dans toute la construction de projets. Donc deux freelances à solopreneurs et salariés diversifiés. Donc ça aussi, c'est bon pour la crédibilité et l'autorité. Donc grâce à mon business, j'ai renforcé ma marque personnelle et grâce à ma marque personnelle, j'arrive plus facilement à vendre les produits, les offres de mon écosystème sans pub, sans prospection. Et surtout, cette visibilité, elle m'a donné le luxe ultime, celui de pouvoir sélectionner mes clients et du coup, arranger mon agenda comme j'avais envie pour profiter plus de ma liberté. Et tu vas voir que c'est surtout dans la redéfinition de mon agenda que j'ai complètement changé ma façon de travailler de freelance à solopreneur. C'est parti pour un petit avant-après dans mon agenda à ces deux périodes. Alors l'évolution de l'agenda, ça c'est le plus gros dossier parce qu'en fait, c'est pour ça moi que je voulais sortir de la vente du temps, je n'en pouvais plus d'avoir, d'être toujours en réunion, toujours avec mes clients. En fait, je me sentais comme aussi prisonnière que quand j'étais salariée. Comme tu pourras le voir, j'étais tout le temps en meeting, en petit call, 15 minutes par-ci, 20 minutes par-là, nan nan nan. Je combinais bien sûr mon activité de... de podcast avec mon activité du coup de freelance. J'avais des temps de prospection parce que je fais de la prospection externalisée, donc lundi, mardi, je commençais par ça, donc c'était l'horreur. Et je n'avais pas beaucoup de temps perso. On voit là que j'ai mis quelques séances de sport. C'est-à-dire que ça ne devait pas être aussi fréquent. Et surtout, comme je faisais n'importe quoi en termes de spécialisation, je n'étais pas spécialisée, je faisais du web 3, de la prospection. Tout ce que je pouvais pour gagner de l'argent, du sponsoring, des machins. Et donc là, j'étais trop diversifiée et donc je ne gagnais pas énormément. Et surtout, je ne passais pas assez de temps à construire mes produits. Donc voilà, cette vie, elle ne fait pas rêver quand je vois l'agenda. Et je n'ai pas du tout le même équilibre de vie maintenant. Alors aujourd'hui, ce qui est hyper intéressant, et donc j'ai mis des codes couleurs maintenant pour m'y repérer, c'est que tu vois, j'ai vraiment des blocs de travail profonds qui sont... beaucoup plus adapté à mon tempérament. Moi, j'aime bien geeker chez moi, tranquille. Je n'aime pas trop les appels, les calls. Je ne suis pas trop dérangée. Vraiment, je travaille beaucoup pour moi, sur mon propre business. Pour preuve, tout ce qui est violet foncé, c'est quand je travaille sur l'incubateur solopreneur. Tout ce qui est jaune, c'est quand je travaille sur mon média, le board. Et tout ce qui est rose, c'est mes temps perso. C'est le sport, les déjeuners, aller chercher mes enfants, aller à la piscine, etc. Alors déjà, ce qui saute aux yeux. c'est que j'ai beaucoup plus de temps rose que d'autres formes de temps. Et voilà, et surtout, je me suis aménagée beaucoup plus de temps agréable pour moi, asynchrone. En fait, ce qui a fait l'énorme différence, c'est qu'au lieu de vendre mon temps à la journée aux clients, eh bien, j'ai construit des produits, et ces produits me permettent de gagner de l'argent, que je sois en train de travailler le jour même dessus ou non. C'est ça les revenus asynchrones. Donc typiquement, le mercredi matin, quand je suis avec mes enfants que je garde avant de les emmener au centre aéré, je peux avoir quelqu'un qui souscrit à l'incubateur solopreneur. Donc, ça me met beaucoup moins de pression sur le fait d'être travaillomane, de bosser tout le temps. J'ai plus de pause, j'ai un agenda qui respire beaucoup plus et surtout, j'ai des activités intellectuellement plus intéressantes parce que je travaille sur mon propre business, sur la construction de mes propres actifs et tout ce que je fais, ça va me resservir demain. En fait, je travaille... toutes les semaines sur des choses qui seront marrantes demain. Parce que quand j'améliore l'incubateur solopreneur, j'aurai plus de clients, je pourrai monter les prix, etc. Alors qu'avant, je travaillais que pour les autres. Donc vraiment, je louais mon temps tel un mercenaire. C'est un peu ça d'où ça vient le mot freelance à la base. Petite fierté aussi, électrochoc aussi pour passer de freelance à solopreneur. Je n'allais jamais surfer, alors que j'ai déménagé à Nantes exprès pour ça. Et là, on voit que j'arrive à me bloquer des journées dédiées. Je n'y vais pas tous les lundis, bien sûr, mais s'il y a les bonnes conditions, j'ai rien et du coup, je peux y aller. Donc ça, ça a clairement tout changé dans mon agenda. Donc ce qu'on voit, c'est que j'ai triplé mon chiffre d'affaires, mais je n'ai pas triplé mes heures de travail. En gros, j'ai même triplé mon chiffre d'affaires pour vivre trois fois mieux, en fait, tout simplement. Donc surtout, ce nouveau rythme, il m'a permis de récupérer un truc que j'avais perdu depuis bien longtemps. Depuis que j'étais freelance à six chiffres, mais aussi avant, quand j'étais cadre dirigeante, eh bien, c'était le fait d'avoir une vie. tout simplement d'avoir une vie en dehors du boulot. Et finalement, c'est ça qui compte vraiment. Et c'est ce que je vais te montrer avec ce prochain bloc où tu vas voir que la réussite se compte plutôt en instants partagés qu'en heures facturées. C'est parti pour regarder tous les points de vie que j'ai récupérés en passant de freelance à solopreneur. Alors, comment a évolué ma liberté depuis que je suis solopreneur ? Comment a évolué aussi mon rythme de vie, mon équilibre ? Je vais te montrer un petit peu. Comment ça s'est passé avec quelques moments clés de mon année, notamment mon année dernière ? Allez, c'est parti. Alors, première image, forcément, j'ai réussi à aller surfer. Ça, je suis hyper fière. C'est une petite photo prise en stage de surf au Maroc avec ma pote Marion, solo-preneur également. C'est la première fois que je partais en stage une semaine en pleine année scolaire, quoi, hors vacances. Parce que moi, mes vacances, elles sont consacrées à mes enfants, donc je ne peux pas non plus partir. et abandonner toute ma famille en pleine vacances scolaires. Donc, je dois prendre des vacances en plus pour surfer. Donc, grâce à mes revenus asynchrones, j'avais moins de pression pour être tous les jours de chaque semaine au bureau à facturer. Et j'ai pu m'aménager des pauses comme ça, un petit peu. Certes, j'avais du boulot, mais je le rattrapais à d'autres moments. C'est ça le principe des revenus asynchrones. On est parti aussi en tafouax relax pour la deuxième année consécutive avec Marion et d'autres solopreneurs. Donc là, tu nous vois en plein briefing. Donc hop, encore trois jours. Là, c'est pareil, ça fait une diff entre les freelances qui n'arrivent pas à s'arrêter de bosser, qui sont obligés de bosser la journée et de rater le cours de surf, et les autres. Donc, c'est hyper important de s'aménager des moments comme ça. Je suis partie aussi toute seule à d'autres moments, sur le Pays Basque, etc. Je ne suis pas encore hyper fière de mon niveau de surf, mais j'ai vraiment énormément progressé l'année dernière. Autre bonus que je ne me serais jamais permis de prendre quand j'étais freelance, je suis partie en plein mois de janvier, fin janvier, pour mes 40 ans en Laponie. C'était un petit moment de couple aussi, c'était trop bien, c'est hyper important de soigner son entourage quand on est indépendant. Et pourquoi je serais jamais partie en freelance ? Parce que le fin janvier, c'est un moment hyper fort du freelancing, donc ça voudrait dire renoncer, sacrifier 3 ou 4 ou 5 jours de freelancing. Et là, j'étais en plein en train de préparer le tournage de Solonation, mais bon, j'ai pu bosser un petit peu, 2-3 heures par jour de la pony avec mon iPad, tranquille. tout en allant faire du ski de fond toute la journée. Donc j'ai passé des vacances de rêve et ça ne m'a pas empêché de travailler pour eux, ni d'ailleurs de gagner de l'argent. Parce que je racontais sur Solonation que voilà, en descendant de l'avion, machin, boum, notification, machin, a rejoint l'incubateur Solopreneur. Donc c'est ça aussi le kiff des revenus scalables. Ensuite, j'ai passé beaucoup, beaucoup plus de temps avec mes enfants, mine de rien. Alors ça, c'est pareil. J'ai fait plusieurs choses intéressantes cette année. que je n'aurais jamais pensé possible de faire en étant salariée, bien sûr, et en freelance, laisse tomber, parce qu'à chaque fois que j'étais freelance, que je m'occupais de mes enfants, même d'un enfant malade, je pensais aux chiffres d'affaires que je perdais. C'était vraiment hyper malsain. Là, je suis partie en vélo-trip avec eux. J'ai posé du temps pour aller faire des sorties scolaires. C'est vraiment le truc bête, mais une avec ma fille, une avec mon fils. Et en fait, il y a plein de papas, de mamans qui ne peuvent pas dans l'année. Des salariés, souvent, ou même des freelances. donc si Je trouve ça un peu triste, donc je me dis à quoi bon se dire qu'on est libre et pas profiter de ces moments-là. Puis là, c'était ce midi. Donc on est mercredi, je m'occupe de le matin. Là, j'ai emmené ma fille prendre le bateau, déjeuner au soleil. C'était trop bien. Et revenir à la maison, c'était un peu comme des mini-vacances. Donc voilà, hyper important aussi de savoir pourquoi on fait les choses. Et moi, je prône la scalabilité, la synchronicité, pas que pour gagner un max de thunes, mais pour aussi vivre, profiter de la vie. ils sont déjà Je trouve qu'ils sont déjà grands. C'est bientôt 6 ans, bientôt 4 ans, donc j'ai envie d'en profiter. Ça m'a donné du temps aussi. de me générer ces revenus complémentaires, diversifiés, scalables, pour lancer une toute nouvelle émission YouTube. Je t'en ai déjà parlé tout à l'heure, Solo Nation, c'est un boulot de malade en fait pour faire ces émissions, aller sur un plateau à Paris, etc. Et pareil, quand je pars en plateau, deux jours de tournage, je ne suis pas stressée en me disant, mince, mince, je ne vais pas faire de chiffre d'affaires ce mois-ci. Bon, et le plus beau dans tout ça, c'est que je ne suis pas la seule à avoir regagné des points de vie grâce au modèle du Solopreneur Scalable. Je vais te montrer ce que mes alumnis du Bootcamp Solopreneur ont réussi à accomplir eux aussi. Bon alors là, je n'ai pas pu prendre tout le monde parce que déjà, je pense que j'ai accompagné plus de 60 ou 70 personnes maintenant dans le Bootcamp de l'Incubator Solopreneur déjà. Et puis, il faut laisser un petit peu de temps aussi entre le moment où ils ont fait le Bootcamp et le moment où ils ont pu pleinement tirer les fruits de leur système scalable. Parce que pendant trois mois, on apprend toutes les techniques et puis après, il faut lancer les produits, etc. Donc Mélanie Ong, c'est une de mes élèves du tout début du bootcamp, première promo. Mélanie, elle a doublé son chiffre d'affaires et surtout, elle a un produit largement scalable qu'elle a construit à base d'IA pour les podcasters. Et donc, ça lui permet de faire deux séjours en Asie dans l'année et de continuer à travailler et d'avoir un mode de travail complètement asynchrone. On a Nicolas Dorfman aussi qui lui a lancé son programme pour aider les freelances en paye de médias. les salariés à se lancer en freelance et à être digital nomade. Donc comme son programme le promeut, il est évidemment digital nomade. Je suis évidemment très jalouse parce qu'il passe sa vie à surfer. Et donc il est en voie de générer 50 000 euros par an. C'est son nouvel objectif avec son programme, qui est une forme d'académie slash bootcamp programme en ligne dont on avait mis en place les premières pierres pendant le bootcamp qu'il avait fait avec moi. Et puis on a Sandra qui a voyagé un peu moins loin, mais quand même. Elle s'est installée à Annecy grâce à son nouveau business model, à sa spécialisation et à la méthode qu'elle a créée. Son nouveau modèle lui a permis de s'éloigner de ses clients parisiens sans perdre d'argent et de vivre sa meilleure vie à côté du lac d'Annecy. Je crois que c'est plutôt pas mal comme région. Donc voilà, hyper fière d'eux, hyper fière de tous les autres aussi. Et je trouve que c'est très flagrant de montrer que c'est cette vie qu'on veut. Ce n'est pas une vie de freelance attachée à son bureau. à envoyer ces timesheets et à facturer chaque seconde de chaque minute de notre temps. C'est vraiment une vie beaucoup plus libre. Et ça, la vie de solopreneur, même si, évidemment, il faut travailler pour ça. Et je ne dis pas qu'il y a forcément moins de travail, mais il y a clairement beaucoup plus de liberté. Mais pour en arriver là, bien sûr, et c'est peut-être la chose dont je suis la plus fière dans cet épisode, c'est qu'il m'a fallu dépasser pas mal de mes peurs les plus enfouies, les moins avouables. Et c'est ça qui m'a marquée aussi dans ma transition de freelance à solopreneur. C'est tous ces combats que j'ai réussi à mener contre moi-même parfois. Et je suis hyper fière de vous présenter quelques-uns des démons que j'ai dû terrasser pour en arriver là où je suis aujourd'hui. Alors, quelle peur j'ai dû dépasser pour oser changer complètement de business model alors que j'avais un modèle qui marchait en freelance pour devenir solopreneur et du coup gagner en chiffre d'affaires, en liberté, en point de vie. Allez, c'est parti. J'en suis pas fière, mais bon, écoute, c'est ça la vie. Évidemment, j'avais très, très peur de perdre mes clients en me disant, je pivote, je change, je lance complètement un nouveau truc. Surtout quand j'étais vraiment au milieu du guet entre j'ai besoin de mes clients en freelance pour gagner ma vie parce que le board ne me rapporte pas assez. Et en même temps, sur les réseaux sociaux, je parle que du board. Sauf qu'aujourd'hui, trois ans plus tard, je ne regrette absolument pas mes clients d'avant. Mais je ne les regrette pas du tout. C'était des clients adaptés à Flavie qui débutait dans le freelancing, mais ce n'était pas forcément des bons clients. Et en fait, aujourd'hui, j'ai des bien meilleurs clients qui payent mieux, qui respectent plus mon travail, que j'adore. En plus, maintenant, aujourd'hui, je bosse avec des solopreneurs. Donc vraiment, ma vie est beaucoup mieux. Donc je ne sais pas pourquoi on s'attache autant à des trucs qui ne sont pas agréables. C'est comme si on s'attachait à un ex toxique au lieu de partir pour une nouvelle aventure amoureuse. Donc voilà, je ne regrette absolument rien. Et parfois, je retombe sur des noms de clients que j'avais il y a longtemps et je dis là, oh là là, mais qu'est-ce que je foutais dans ce genre de mission ? Donc, je pense que toi aussi, tu auras vite fait table rase du passé sur cet aspect-là. J'ai peur de ne plus avoir de revenu fixe. Alors, oui, ça, c'est très effrayant parce qu'on vend son temps, c'est relativement facile une fois qu'on a compris à qui on le vend, comment en faire et qu'on prospecte. Quand on lance des produits scalables, on n'a effectivement plus de revenu fixe. dans le sens où on va plutôt faire des lancements produits, des lancements commerciaux, etc. Mais par contre, on a des revenus qui sont beaucoup plus prédictibles. C'est-à-dire que moi, je sais te dire à l'avance quel mois je vais lancer le bootcamp, ce que je vais faire pour le lancer, donc je sais combien je vais gagner à l'avance. Alors que quand j'étais freelance, Il pouvait se passer une guerre en Ukraine, je perdais mes clients, c'était pas du tout dépendant de ma volonté. Donc oui, je pralissais tous les mois, mais tout pouvait s'arrêter du jour au lendemain, et ça dépendait pas de moi. Donc, moralité, les revenus fixes, c'est pas toujours bon. Chercher à avoir un salaire fixe en fait en entrepreneur, ça te limite. Parce que moi, je vais engranger pendant un lancement, après j'ai suffisamment de trésorerie, j'ai pas besoin de faire des chiffres d'affaires records tous les mois. Ça me suffit d'avoir un budget annuel et de savoir à peu près que je vais le réaliser. grâce à mon prévisionnel financier. Alors, je ne sais pas du tout comment on construit un produit. Variante, je n'ai pas d'idée de produit. Oh là là, comment on fait ça, un mastermind ? Comment on fait un bootcamp ? Comment on fait un SaaS ? J'en avais absolument aucune idée, moi non plus. Et en fait, ce n'est pas grave. Aujourd'hui, tu peux tout apprendre. Même aujourd'hui, il y a un truc encore mieux qu'avant quand je me suis lancée, il y a ChatGPT. Donc avec les IA, les agents IA, c'est incroyable tout ce qu'on peut faire. Et surtout, ne te pose pas de questions. sur « je ne vais pas savoir faire » alors que le problème n'est pas encore arrivé dans ta vie. Lance le truc, tu vas te former en cours de route et tu vas réussir à le faire. Il ne faut pas se mettre de barrière avant de te lancer, mais c'est sûr que tu vas avoir beaucoup plus de ressources que tu ne le crois pour lancer un business model, même si tu n'avais pas l'habitude. Et c'est en lançant, en faisant des erreurs aussi, moi j'ai testé tous les business models possibles et imaginables, qu'on voit ce qu'on aime, ce qu'on n'aime pas. Et c'est ça qui m'a rendu meilleure aussi au bout du compte. J'ai peur des haters. Ça, c'est pour la partie visibilité. Alors, ça va peut-être te paraître bizarre, mais je n'ai toujours pas eu de haters. Malgré 30 000 abonnés sur LinkedIn et je pense 50 000 abonnés tout réseau confondu. Donc, comme quoi, je n'ai pas percé encore, sans doute. Mais voilà, en fait, être visible, ce n'est pas forcément être putaclic. Ce n'est pas forcément être un Marseillais à Cancun ou devoir se filmer en selfie. en maillot de bain. Moi, je ne parle que de freelancing, de soloprenariat et de scalabilité. C'est un peu chiant, mais ça n'empêche pas d'avoir de la visibilité sur mon domaine. Et en fait, c'est ça qui m'intéresse pour derrière faire connaître mon podcast et tout. D'ailleurs, je connais des solopreneurs qui ont des centaines de milliers d'euros de chiffre d'affaires par an, voire même par mois, et qui ne se montrent pas face caméra. Donc, ce n'est pas du tout une obligation. Évidemment que ce qui est intéressant, c'est d'avoir un média qui génère de l'audience pour acheter tes produits. Mais ça, tu peux le faire. Tu peux même faire des médias pour personnes introverties, comme par exemple une newsletter, comme le fait par exemple Yohann Lopez avec Snowball. Donc voilà, ça pour moi, c'est absolument pas un problème et on peut tout à fait être visible, avoir de l'autorité sans montrer toute sa vie non plus. J'ai peur d'échouer. Alors ça, c'est vraiment pareil. La peur d'échouer, on l'a tous. Moi, j'étais pas... Moi aussi, j'étais très bonne élève à l'école. J'ai surtout réussi dans la vie, mention très bien tout ça. Donc, ça me faisait très, très peur de me planter. Mais au final, je suis maintenant complètement immunisée. Je lance des trucs tout le temps. Il y en a plein qui se foirent et ce n'est pas grave. Ma vie n'est pas plus mal comme ça. En fait, d'ailleurs, à force de rater des trucs, j'ai moins peur. Du coup, je tente plus. Et franchement, ça explique en grosse partie mon succès, entre guillemets, en tout cas en termes de chiffre d'affaires. C'est que je n'hésite pas à lancer des trucs, même si ce n'est pas parfait. Et au final, ça passe, ça permet quand même de trouver des clients, de générer du chiffre d'affaires et t'améliore au fur et à mesure. Là, il faut vraiment sortir de ce syndrome de l'imposteur, de « c'est pas bien, donc je ne me lance pas » . Tu vas attendre combien de temps ? 10 ans, 20 ans à ne pas oser te lancer en solopreneur. Les idées, elles vont venir en faisant, les produits, les projets, ils vont s'améliorer en les lançant. J'ai peur de la charge de travail que ça représente. Alors ça, on l'a beaucoup aussi. Évidemment qu'il y a une charge de travail quand on est solopreneur. On ne peut pas gérer à la fois un média et des produits sans bosser. C'est faux, la semaine de 4 heures, le je bosse une heure par jour depuis une plage à Bali, évidemment que non. C'est pour ça que je te l'ai montré, c'est qu'en fait, il y a du travail quand même. Il a beau être asynchrone, même si je dois faire 3 heures de travail sur ma page de vente, il faut bien que je les fasse à un moment. Donc si je veux garder ma fille l'après-midi, soit, mais le soir, je vais me coltiner ma page de vente à faire. Sauf que, quand même, je trouve qu'il y a beaucoup moins de travail que quand j'étais freelance. Pourquoi ? Pour une seule. bonne raison, c'est que depuis que je suis solopreneur, j'ai les moyens de financer des gens qui m'aident en fait. Donc je vous présente mon équipe de freelance, il y en a d'autres aussi, mais là je te montre Cyril, mon vidéaste, mon assistante virtuelle et Mélanie qui m'aident sur le podcast management. Maintenant que j'ai les moyens financiers grâce à mes produits, je peux financer leur travail à mes côtés pour pas me coltiner tout ce travail de montage, de... de mettre les podcasts sur les plateformes, de trier mes mails, etc. Et tout ça, ça me fait gagner beaucoup de temps, beaucoup de confort de vie. Et c'est pour ça qu'aujourd'hui, je ne travaille pas plus qu'avant. je travaille en gros autant qu'avant, voire même un petit peu moins, je gagne plus. Et au final, j'ai un quotidien beaucoup plus intéressant parce que j'ai évacué ces tâches qui me plombaient un petit peu ou j'étais un peu mauvaise au profit de personnes qui sont bien plus compétentes que moi. Donc, énorme big up à vous. Et c'est ça aussi le changement de modèle. Freelance, tu fais tout tout seul. Solopreneur, tu peux te faire aider. Et ça, ça fait une énorme différence. Bref, la conclusion de tout cet épisode, c'est que ton temps est précieux. Alors, ne le gaspille pas. Et surtout, n'oublie pas de profiter. de ta liberté. Si tu as regardé cet épisode, c'est que sans doute toi aussi tu es attiré par cette mue de freelance à solopreneur. Tu penses que sans doute c'est un bon business model pour toi. Alors si c'est le cas, sache que je peux t'aider à faire la transition. C'est ma spécialité en fait avec le Bootcamp Solopreneur. Je prends des freelances qui sont confortables, qui sont experts, qui fonctionnent déjà bien et pendant trois mois, je les coach personnellement pour pouvoir les amener à la génération de leurs premiers revenus asynchrones. Donc si toi aussi tu veux passer de freelance à solopreneur, rejoins-moi, candidate au bootcamp. Tu as le lien dans la description de cet épisode. Et je t'assure que dans six mois, dans un an, dans un an et demi, ta vie pourrait être extrêmement différente grâce à cette décision. Merci énormément de m'avoir suivi et abonne-toi à mon podcast et à ma chaîne YouTube pour avoir plus de contenu sur le soloprenariat. Allez, ciao !

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Description

Freelance versus solopreneur : tout ce qui a vraiment changé dans ma vie (preuves à l’appui)

Avant, je vendais mon temps. Aujourd’hui, je construis un business qui tourne (presque) sans moi. Dans cet épisode, je te montre en toute transparence ce qui s'est passé pour moi quand je suis passée de freelance à solopreneur :

▪️Evolution et composition de mon chiffre d’affaires

▪️Mon agenda : avant / après

▪️Comment j'ai construit ma visibilité en partant de zéro

▪️Mes moments de vie retrouvés

▪️Les peurs que j’ai surmontées pour y arriver

👉 Tu veux vivre libre et arrêter de vendre ton temps ? Candidate pour mon prochain Bootcamp Solopreneur : https://leboard.systeme.io/incubateur-bootcamp-evergreen


PS : c'est un épisode vidéo donc n'hésite pas à aller le voir sur Spotify ou sur ma chaîne Youtube (https://www.youtube.com/@leboardmedia) pour profiter des screenshots et graphiques que j'ai préparés dans cet épisode !


💜 Et n'oublie pas de soutenir gratuitement le podcast s'il t'a plu, en laissant un avis sympa et 5 étoiles sur Apple Podcast ou sur Spotify, ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Le Board est le podcast incontournable pour tout entrepreneur solo, solopreneur, freelance ou indépendant souhaitant développer un solobusiness rentable et scalable et générer des revenus passifs solopreneur, prévisibles et automatiques, créer un business en ligne. Le podcast de référence aussi pour les salariés qui veulent lancer un side-business ou démissionner pour se lancer à leur compte. Animé par Flavie Prévot, dirigeante devenue entrepreneur (d’abord en side business puis en solopreneure), chaque épisode te propose des astuces freelance et des conseils business pour réussir dans le freelancing, que tu sois en micro-entreprise, en société, en portage, side entrepreneur ou que tu rêves de devenir digital nomad ou de te lancer dans l’entrepreneuriat.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Avant j'étais freelance et je vendais mon temps. Aujourd'hui je suis solopreneur. Alors qu'est-ce qui a changé dans ma vie entre ces deux situations ? Alors j'ai décidé de te faire un épisode preuve à l'appui où je vais te montrer tout ce qui a changé dans ma vie et on va tout décortiquer ensemble, chiffre d'affaires, agenda, avant, après, on va tout regarder, c'est parti. Si tu ne me connais pas, je suis Flavie Prévost, j'ai créé Le Borde, le premier podcast et le premier incubateur pour solopreneurs de France et ça fait cinq ans que je documente en public mon aventure de solopreneur. Et cet épisode va être typique du building public que j'adore faire. Je vais te montrer mes chiffres. J'ai dégoté aussi des vieux screenshots de mes activités d'il y a cinq ans pour te montrer les avant-après et pour te montrer tout le chemin que j'ai parcouru de freelance à solopreneur. Allez, on va commencer avec le plus croustillant. Est-ce que tout le monde veut savoir ? Est-ce que je gagne plus d'argent aujourd'hui en solopreneur qu'avant quand j'étais freelance ? C'est parti pour une évolution de mon chiffre d'affaires. année par année. Si tu nous écoutes en podcast, je te conseille de switcher sur la version vidéo de cet épisode sur Spotify ou bien sur ma chaîne YouTube, le Board Media. Tu verras comme ça les petits graphiques que je t'ai préparés. Allez, c'est parti pour l'évolution du chiffre d'affaires et de ma marge entre 2022 et 2025. Alors pour ça, je t'ai fait un graphique où on voit tout simplement un peu deux sections dans ce graphique. La première, c'est 2022-2023, deux années flat où là j'étais à 100 000 euros et quelques de chiffre d'affaires en freelance. Et ensuite, on voit que la courbe s'infléchit largement vers le haut. Donc, pour aller vers 320 000 euros ma troisième année. Et idéalement, en cible, 500 000 euros cette année, c'est l'objectif que je me suis fixé et que je poursuis. Comme tu le vois avec ce graphique, en fait, l'activité de freelance, elle fait plateau. C'est-à-dire qu'on a beau faire plein de choses, se démener, on a quand même un plafond de verre en freelance. Donc, moi, à 100 000 euros et quelques, Comme j'avais besoin aussi de temps à côté pour faire mon podcast, j'avais mon plafond de verre quand j'étais directrice commerciale fractionnalisée, à peu près 800 euros par jour. Et donc, j'ai un tout petit peu augmenté mon chiffre d'affaires la deuxième année, mais ce n'était pas fou. Alors qu'après, année numéro 3, j'ai triplé mon chiffre d'affaires. Et si ça continue, là, je vais encore largement augmenter en faisant encore 200 000 euros de chiffre d'affaires en plus par rapport à l'année dernière si je réussis mon objectif. Alors, qu'est-ce qui explique ça ? Tout simplement, année numéro 1, je vendais mon temps, 100%. Année numéro 2, je vendais mon temps et j'ai commencé à construire mes produits, mais je n'ai pas encore tiré les fruits de la construction de ces produits parce qu'il y a un peu un temps d'amorçage entre le moment où tu décides de lancer un produit et au moment où tu récoltes. Et année numéro 3, là, mes produits scalables ont explosé et pareil pour cette année. Donc je vais te montrer la composition de mon chiffre d'affaires plus en détail et on reviendra sur la marge après. Année numéro 1, je n'ai même pas fait de graphique parce que je vendais juste mon temps. Donc le graphique, ça aurait été juste un camembert avec que du temps. Année numéro 2, ma vente de temps. n'est plus que de 50%. Et là, on voit que déjà, le média, avec notamment le sponsoring que j'ai réalisé, commence à me rapporter 30% de mes revenus et le produit, 20%. Ça, c'est mon ancêtre. En fait, c'était à l'époque une formation sur Notion qui est devenue ma première cohorte de bootcamp, l'ancêtre finalement de l'incubateur solopreneur. Donc, ce n'était pas parfait, ce n'était pas automatisé, ce n'était pas très joli à voir, mais ça marchait, ça m'a généré quand même 22 000 euros. sur cette première année de diversification. Année numéro 3, donc celle où j'ai triplé mon chiffre d'affaires, on voit que là, ça change complètement structure, ça fait comme un petit Pac-Man, où le Pac-Man, l'essentiel du chiffre d'affaires, 72%, c'est la vente de mes produits, essentiellement le bootcamp, mais aussi un nouveau produit que j'avais lancé, salarié diversifié. Et le reste, c'est le média, qui a perdu en proportion 15%, mais qui me rapporte plus qu'avant 50 000 euros de sponsoring et de partenariat. L'expertise, Alors, va savoir ce que c'est, 13 000 euros, 4 %. Je ne me rappelle même plus ce que c'est. Je pense que c'est des contrats d'avant où je crois que je faisais des formations pour LinkedIn Learning que j'ai arrêtées depuis. Et un petit nouveau, la communauté, 26 000 euros, 8 % de mes revenus seulement. Donc, on pourrait dire, ce n'est pas intéressant. Flavie, dégage-moi ça. Mais détrompe-toi parce que ça, c'est le début de l'incubateur solopreneur, donc mon programme le plus scalable sur abonnement. Évidemment, les débuts, c'est toujours difficile quand on crée des produits. Mais derrière... Voilà ce qui va se passer en 2025 si tout va bien. C'est que c'est ce produit qui va le plus croître et qui devrait me rapporter à peu près 150 000 euros et être surtout le plus scalable, donc me demander le moins de temps par rapport aux autres et représenter déjà un tiers de mes revenus. Là où justement je vais essayer de limiter la proportion du bootcamp à la moitié et augmenter aussi le média avec l'objectif de faire 100 000 euros de chiffre d'affaires sur le sponsoring, notamment avec ma nouvelle émission. Solonation que je viens de lancer. Alors avant de parler de la suite, il faut que je te présente la courbe de la marge. Parce que je connais les gens sur Internet « Ouais, non, non, non, elle nous bâtit avec son chiffre d'affaires, mais la marge, non, non, non. » Moi, la marge, je suis transparente dessus aussi, je m'en fous, vous pouvez connaître ma marge. C'est pour te montrer aussi qu'il ne faut pas être arc-bouté non plus sur le fait de faire le maximum de marge en pourcentage. Parce que regarde, au fur et à mesure des années, ma marge, elle va décroître en pourcentage, mais elle va augmenter en euros. Et au final, ce qu'ils nous payent, ce n'est pas les pourcentages, c'est les euros. Et puis surtout, regarde, année 1, je ne faisais que freelancer, je faisais tout moi-même. J'étais radine, j'étais une énorme pince. Donc forcément, j'avais 98% de marge. Ouh, super ! Sauf qu'en fait, j'étais limite en burn-out. Je bossais le soir, le week-end. Ce n'est pas sérieux de faire ça. La deuxième année, 82% de marge seulement. J'ai commencé à... Je me rappelle, j'ai délégué autour de 20 000 euros de trucs. sur mes 110 000 euros et quelques de chiffre d'affaires. Donc déjà, ça m'a fait un peu mal, mais j'ai commencé à prendre de l'aide pour construire mes produits scalables notamment. Et année numéro 3, là où tout a explosé, eh bien bien sûr, je n'ai plus que 62 % de marge, mais c'est presque 200 000 euros de marge, donc c'est énorme. Et l'année numéro 4, si je fais mes prévisions, je n'ai plus que 50 % de marge, mais ça reste encore très conséquent puisque là, on atteindrait 250 000 euros de marge, donc elle serait aussi en progression. Donc attention avec l'obsession de la marge. Surtout quand tu es solo, ta santé mentale, le fait de se faire aider, c'est hyper important parce que si moi je craque, il n'y a personne derrière en backup pour rattraper mon entreprise. Donc voilà, je monite avec parcimonie, mais je prends aussi le temps d'investir de l'argent dans ma propre formation, dans la construction de mes produits scalables, parce que c'est eux qui vont me rapporter ce chiffre d'affaires en violet foncé en haut. Donc voilà, ce qu'on peut dire en fait sur l'évolution du chiffre d'affaires entre freelance et solopreneur, c'est qu'elle est hyper... favorable, bien évidemment. Le principe plus important, c'est la scalabilité, c'est-à-dire que je gagne plus sans travailler plus. Je suis aussi diversifiée, donc c'est rassurant. J'ai plusieurs pôles qui peuvent me rapporter de l'argent. Par exemple, je ne sais pas, moi, si le marché des freelances s'écroule, j'ai toujours mes sponsors qui peuvent me payer. Donc ça, c'est très important. Surtout, l'argent que je génère est beaucoup plus prédictible, parce que comme c'est des produits, je sais quand je les lance, avec certains taux de conversion, etc. que ça va marcher et combien ça va me rapporter à l'avance, notamment avec les abonnements de l'incubateur solopreneur, là où quand t'es freelance, faut recommencer mois après mois, mission après mission, et t'es pas à l'abri que le client t'abandonne du jour au lendemain. Moins de one-shot, plus de sérénité, énormément plus de sérénité financière, donc pour moi c'est un point pour le solopreneur par rapport au freelance. Après l'argent ne fait pas tout, et un point fondamental qui a changé aussi entre ma posture de freelance et ma posture de solopreneur, c'est que j'ai arrêté de me cacher Merci. derrière mes clients, derrière mes missions clients, derrière mon job quand j'étais salariée. J'ai osé prendre la parole et augmenter ma visibilité et mon autorité. Et c'est là aussi que tout a basculé dans ma génération de chiffre d'affaires. Je vais te montrer. Partie 1, je t'ai montré les finances et je t'ai montré que j'ai arrêté de me générer juste un salaire mensuel pour me générer du capital qui allait fructifier ensuite. Partie 2, je veux te montrer que j'ai arrêté de courir après les clients et maintenant c'est les clients qui viennent à moi, grâce à mon pilier média. Alors, qu'est-ce que ça dit, mon pilier média ? Eh bien, si je te montre les photos vintage avant-après, tu vas voir que ça va te rassurer. Parce qu'au début, on ne lance jamais le média parfait. Et ensuite, on peut l'adapter, le pivoter et l'améliorer. Mais uniquement si on l'a lancé. Et regarde-moi ce vilain podcast du début, le board, la business booster. Vraiment, je n'ai pas de mots pour définir cette pochette de podcast. Il parlait aux dirigeants, parce qu'à l'époque, moi, j'étais dirigeante. mais Je faisais du sous-Pauline Legnot avec beaucoup moins d'argent et de talent et de réseau qu'elle. Donc forcément, ça ne risquait pas de marcher. Mais je l'ai pivoté petit à petit, je l'ai amélioré. Et maintenant, c'est le podcast de référence pour les solopreneurs en France. En relativement peu de temps, quoi, 3-4 ans. Donc c'est vraiment quand même rapide finalement pour devenir leader de marché. Et avec ce podcast, j'ai presque 1 million d'écoutes maintenant. Je crois que je suis à 700 000. Je ne sais pas quand est-ce que tu écouteras cet épisode. Et c'est ouf en fait de se rendre compte de comment ça s'est accéléré. Et j'ai de plus en plus d'abonnés, j'ai de plus en plus d'autorités aussi qui me viennent de ce podcast. Et c'est grâce à ça aussi que j'ai pu lancer un nouveau format dérivé de ce podcast pour gagner encore de nouveaux marchés et notamment attaquer YouTube. Et donc c'est ce tout petit podcast tout naze au début, tout vilain, qui m'a permis cinq ans plus tard de contacter les meilleurs solopreneurs de la francophonie. de leur proposer de co-animer Solo Nation, ma nouvelle émission YouTube avec moi, dans des conditions studio, avec un super budget, un super line-up. Donc, tu vois aussi que... tous ces petits MVP, toutes ces petites tentatives que tu fais, tu n'es peut-être pas satisfait au début, ta première newsletter, ton premier post LinkedIn, ton premier podcast, ça amène avec une certaine forme de discipline, bien sûr, à de bien meilleurs concepts. Et tu ne peux pas avoir tout de suite le meilleur concept du monde en lançant ton premier podcast. Donc voilà, petite photo souvenir de Solonation au moment du tournage. Ça, c'est des screenshots vintage également de l'évolution de mon profil LinkedIn. Je suis dégoûtée, je n'ai pas le tout premier, mais on voit l'évolution de ma coupe de cheveux de corporate à de moins en moins corporate. Tous mes multiples pivots aussi, on va en parler tout à l'heure, mais on voit bien que j'ai vraiment osé faire plein de choses en termes d'activité. Et voilà, en gros, je ne sais pas en combien de temps, deux, trois ans même pas, je suis passée de 9000 à 30 000 abonnés. De mémoire, avant que je commence à publier sur LinkedIn et tout ça, et avant que je commence à lancer mon podcast, j'étais autour de 5000 personnes qui me suivaient sur LinkedIn. Je suis devenue LinkedIn top voice sur le freelancing. Donc tout ça, ça me confère aussi une forme d'autorité. C'est ça qui est important, ce n'est pas que la visibilité. J'ai écrit deux livres aussi, j'ai réussi à mener ça de front dans toute la construction de projets. Donc deux freelances à solopreneurs et salariés diversifiés. Donc ça aussi, c'est bon pour la crédibilité et l'autorité. Donc grâce à mon business, j'ai renforcé ma marque personnelle et grâce à ma marque personnelle, j'arrive plus facilement à vendre les produits, les offres de mon écosystème sans pub, sans prospection. Et surtout, cette visibilité, elle m'a donné le luxe ultime, celui de pouvoir sélectionner mes clients et du coup, arranger mon agenda comme j'avais envie pour profiter plus de ma liberté. Et tu vas voir que c'est surtout dans la redéfinition de mon agenda que j'ai complètement changé ma façon de travailler de freelance à solopreneur. C'est parti pour un petit avant-après dans mon agenda à ces deux périodes. Alors l'évolution de l'agenda, ça c'est le plus gros dossier parce qu'en fait, c'est pour ça moi que je voulais sortir de la vente du temps, je n'en pouvais plus d'avoir, d'être toujours en réunion, toujours avec mes clients. En fait, je me sentais comme aussi prisonnière que quand j'étais salariée. Comme tu pourras le voir, j'étais tout le temps en meeting, en petit call, 15 minutes par-ci, 20 minutes par-là, nan nan nan. Je combinais bien sûr mon activité de... de podcast avec mon activité du coup de freelance. J'avais des temps de prospection parce que je fais de la prospection externalisée, donc lundi, mardi, je commençais par ça, donc c'était l'horreur. Et je n'avais pas beaucoup de temps perso. On voit là que j'ai mis quelques séances de sport. C'est-à-dire que ça ne devait pas être aussi fréquent. Et surtout, comme je faisais n'importe quoi en termes de spécialisation, je n'étais pas spécialisée, je faisais du web 3, de la prospection. Tout ce que je pouvais pour gagner de l'argent, du sponsoring, des machins. Et donc là, j'étais trop diversifiée et donc je ne gagnais pas énormément. Et surtout, je ne passais pas assez de temps à construire mes produits. Donc voilà, cette vie, elle ne fait pas rêver quand je vois l'agenda. Et je n'ai pas du tout le même équilibre de vie maintenant. Alors aujourd'hui, ce qui est hyper intéressant, et donc j'ai mis des codes couleurs maintenant pour m'y repérer, c'est que tu vois, j'ai vraiment des blocs de travail profonds qui sont... beaucoup plus adapté à mon tempérament. Moi, j'aime bien geeker chez moi, tranquille. Je n'aime pas trop les appels, les calls. Je ne suis pas trop dérangée. Vraiment, je travaille beaucoup pour moi, sur mon propre business. Pour preuve, tout ce qui est violet foncé, c'est quand je travaille sur l'incubateur solopreneur. Tout ce qui est jaune, c'est quand je travaille sur mon média, le board. Et tout ce qui est rose, c'est mes temps perso. C'est le sport, les déjeuners, aller chercher mes enfants, aller à la piscine, etc. Alors déjà, ce qui saute aux yeux. c'est que j'ai beaucoup plus de temps rose que d'autres formes de temps. Et voilà, et surtout, je me suis aménagée beaucoup plus de temps agréable pour moi, asynchrone. En fait, ce qui a fait l'énorme différence, c'est qu'au lieu de vendre mon temps à la journée aux clients, eh bien, j'ai construit des produits, et ces produits me permettent de gagner de l'argent, que je sois en train de travailler le jour même dessus ou non. C'est ça les revenus asynchrones. Donc typiquement, le mercredi matin, quand je suis avec mes enfants que je garde avant de les emmener au centre aéré, je peux avoir quelqu'un qui souscrit à l'incubateur solopreneur. Donc, ça me met beaucoup moins de pression sur le fait d'être travaillomane, de bosser tout le temps. J'ai plus de pause, j'ai un agenda qui respire beaucoup plus et surtout, j'ai des activités intellectuellement plus intéressantes parce que je travaille sur mon propre business, sur la construction de mes propres actifs et tout ce que je fais, ça va me resservir demain. En fait, je travaille... toutes les semaines sur des choses qui seront marrantes demain. Parce que quand j'améliore l'incubateur solopreneur, j'aurai plus de clients, je pourrai monter les prix, etc. Alors qu'avant, je travaillais que pour les autres. Donc vraiment, je louais mon temps tel un mercenaire. C'est un peu ça d'où ça vient le mot freelance à la base. Petite fierté aussi, électrochoc aussi pour passer de freelance à solopreneur. Je n'allais jamais surfer, alors que j'ai déménagé à Nantes exprès pour ça. Et là, on voit que j'arrive à me bloquer des journées dédiées. Je n'y vais pas tous les lundis, bien sûr, mais s'il y a les bonnes conditions, j'ai rien et du coup, je peux y aller. Donc ça, ça a clairement tout changé dans mon agenda. Donc ce qu'on voit, c'est que j'ai triplé mon chiffre d'affaires, mais je n'ai pas triplé mes heures de travail. En gros, j'ai même triplé mon chiffre d'affaires pour vivre trois fois mieux, en fait, tout simplement. Donc surtout, ce nouveau rythme, il m'a permis de récupérer un truc que j'avais perdu depuis bien longtemps. Depuis que j'étais freelance à six chiffres, mais aussi avant, quand j'étais cadre dirigeante, eh bien, c'était le fait d'avoir une vie. tout simplement d'avoir une vie en dehors du boulot. Et finalement, c'est ça qui compte vraiment. Et c'est ce que je vais te montrer avec ce prochain bloc où tu vas voir que la réussite se compte plutôt en instants partagés qu'en heures facturées. C'est parti pour regarder tous les points de vie que j'ai récupérés en passant de freelance à solopreneur. Alors, comment a évolué ma liberté depuis que je suis solopreneur ? Comment a évolué aussi mon rythme de vie, mon équilibre ? Je vais te montrer un petit peu. Comment ça s'est passé avec quelques moments clés de mon année, notamment mon année dernière ? Allez, c'est parti. Alors, première image, forcément, j'ai réussi à aller surfer. Ça, je suis hyper fière. C'est une petite photo prise en stage de surf au Maroc avec ma pote Marion, solo-preneur également. C'est la première fois que je partais en stage une semaine en pleine année scolaire, quoi, hors vacances. Parce que moi, mes vacances, elles sont consacrées à mes enfants, donc je ne peux pas non plus partir. et abandonner toute ma famille en pleine vacances scolaires. Donc, je dois prendre des vacances en plus pour surfer. Donc, grâce à mes revenus asynchrones, j'avais moins de pression pour être tous les jours de chaque semaine au bureau à facturer. Et j'ai pu m'aménager des pauses comme ça, un petit peu. Certes, j'avais du boulot, mais je le rattrapais à d'autres moments. C'est ça le principe des revenus asynchrones. On est parti aussi en tafouax relax pour la deuxième année consécutive avec Marion et d'autres solopreneurs. Donc là, tu nous vois en plein briefing. Donc hop, encore trois jours. Là, c'est pareil, ça fait une diff entre les freelances qui n'arrivent pas à s'arrêter de bosser, qui sont obligés de bosser la journée et de rater le cours de surf, et les autres. Donc, c'est hyper important de s'aménager des moments comme ça. Je suis partie aussi toute seule à d'autres moments, sur le Pays Basque, etc. Je ne suis pas encore hyper fière de mon niveau de surf, mais j'ai vraiment énormément progressé l'année dernière. Autre bonus que je ne me serais jamais permis de prendre quand j'étais freelance, je suis partie en plein mois de janvier, fin janvier, pour mes 40 ans en Laponie. C'était un petit moment de couple aussi, c'était trop bien, c'est hyper important de soigner son entourage quand on est indépendant. Et pourquoi je serais jamais partie en freelance ? Parce que le fin janvier, c'est un moment hyper fort du freelancing, donc ça voudrait dire renoncer, sacrifier 3 ou 4 ou 5 jours de freelancing. Et là, j'étais en plein en train de préparer le tournage de Solonation, mais bon, j'ai pu bosser un petit peu, 2-3 heures par jour de la pony avec mon iPad, tranquille. tout en allant faire du ski de fond toute la journée. Donc j'ai passé des vacances de rêve et ça ne m'a pas empêché de travailler pour eux, ni d'ailleurs de gagner de l'argent. Parce que je racontais sur Solonation que voilà, en descendant de l'avion, machin, boum, notification, machin, a rejoint l'incubateur Solopreneur. Donc c'est ça aussi le kiff des revenus scalables. Ensuite, j'ai passé beaucoup, beaucoup plus de temps avec mes enfants, mine de rien. Alors ça, c'est pareil. J'ai fait plusieurs choses intéressantes cette année. que je n'aurais jamais pensé possible de faire en étant salariée, bien sûr, et en freelance, laisse tomber, parce qu'à chaque fois que j'étais freelance, que je m'occupais de mes enfants, même d'un enfant malade, je pensais aux chiffres d'affaires que je perdais. C'était vraiment hyper malsain. Là, je suis partie en vélo-trip avec eux. J'ai posé du temps pour aller faire des sorties scolaires. C'est vraiment le truc bête, mais une avec ma fille, une avec mon fils. Et en fait, il y a plein de papas, de mamans qui ne peuvent pas dans l'année. Des salariés, souvent, ou même des freelances. donc si Je trouve ça un peu triste, donc je me dis à quoi bon se dire qu'on est libre et pas profiter de ces moments-là. Puis là, c'était ce midi. Donc on est mercredi, je m'occupe de le matin. Là, j'ai emmené ma fille prendre le bateau, déjeuner au soleil. C'était trop bien. Et revenir à la maison, c'était un peu comme des mini-vacances. Donc voilà, hyper important aussi de savoir pourquoi on fait les choses. Et moi, je prône la scalabilité, la synchronicité, pas que pour gagner un max de thunes, mais pour aussi vivre, profiter de la vie. ils sont déjà Je trouve qu'ils sont déjà grands. C'est bientôt 6 ans, bientôt 4 ans, donc j'ai envie d'en profiter. Ça m'a donné du temps aussi. de me générer ces revenus complémentaires, diversifiés, scalables, pour lancer une toute nouvelle émission YouTube. Je t'en ai déjà parlé tout à l'heure, Solo Nation, c'est un boulot de malade en fait pour faire ces émissions, aller sur un plateau à Paris, etc. Et pareil, quand je pars en plateau, deux jours de tournage, je ne suis pas stressée en me disant, mince, mince, je ne vais pas faire de chiffre d'affaires ce mois-ci. Bon, et le plus beau dans tout ça, c'est que je ne suis pas la seule à avoir regagné des points de vie grâce au modèle du Solopreneur Scalable. Je vais te montrer ce que mes alumnis du Bootcamp Solopreneur ont réussi à accomplir eux aussi. Bon alors là, je n'ai pas pu prendre tout le monde parce que déjà, je pense que j'ai accompagné plus de 60 ou 70 personnes maintenant dans le Bootcamp de l'Incubator Solopreneur déjà. Et puis, il faut laisser un petit peu de temps aussi entre le moment où ils ont fait le Bootcamp et le moment où ils ont pu pleinement tirer les fruits de leur système scalable. Parce que pendant trois mois, on apprend toutes les techniques et puis après, il faut lancer les produits, etc. Donc Mélanie Ong, c'est une de mes élèves du tout début du bootcamp, première promo. Mélanie, elle a doublé son chiffre d'affaires et surtout, elle a un produit largement scalable qu'elle a construit à base d'IA pour les podcasters. Et donc, ça lui permet de faire deux séjours en Asie dans l'année et de continuer à travailler et d'avoir un mode de travail complètement asynchrone. On a Nicolas Dorfman aussi qui lui a lancé son programme pour aider les freelances en paye de médias. les salariés à se lancer en freelance et à être digital nomade. Donc comme son programme le promeut, il est évidemment digital nomade. Je suis évidemment très jalouse parce qu'il passe sa vie à surfer. Et donc il est en voie de générer 50 000 euros par an. C'est son nouvel objectif avec son programme, qui est une forme d'académie slash bootcamp programme en ligne dont on avait mis en place les premières pierres pendant le bootcamp qu'il avait fait avec moi. Et puis on a Sandra qui a voyagé un peu moins loin, mais quand même. Elle s'est installée à Annecy grâce à son nouveau business model, à sa spécialisation et à la méthode qu'elle a créée. Son nouveau modèle lui a permis de s'éloigner de ses clients parisiens sans perdre d'argent et de vivre sa meilleure vie à côté du lac d'Annecy. Je crois que c'est plutôt pas mal comme région. Donc voilà, hyper fière d'eux, hyper fière de tous les autres aussi. Et je trouve que c'est très flagrant de montrer que c'est cette vie qu'on veut. Ce n'est pas une vie de freelance attachée à son bureau. à envoyer ces timesheets et à facturer chaque seconde de chaque minute de notre temps. C'est vraiment une vie beaucoup plus libre. Et ça, la vie de solopreneur, même si, évidemment, il faut travailler pour ça. Et je ne dis pas qu'il y a forcément moins de travail, mais il y a clairement beaucoup plus de liberté. Mais pour en arriver là, bien sûr, et c'est peut-être la chose dont je suis la plus fière dans cet épisode, c'est qu'il m'a fallu dépasser pas mal de mes peurs les plus enfouies, les moins avouables. Et c'est ça qui m'a marquée aussi dans ma transition de freelance à solopreneur. C'est tous ces combats que j'ai réussi à mener contre moi-même parfois. Et je suis hyper fière de vous présenter quelques-uns des démons que j'ai dû terrasser pour en arriver là où je suis aujourd'hui. Alors, quelle peur j'ai dû dépasser pour oser changer complètement de business model alors que j'avais un modèle qui marchait en freelance pour devenir solopreneur et du coup gagner en chiffre d'affaires, en liberté, en point de vie. Allez, c'est parti. J'en suis pas fière, mais bon, écoute, c'est ça la vie. Évidemment, j'avais très, très peur de perdre mes clients en me disant, je pivote, je change, je lance complètement un nouveau truc. Surtout quand j'étais vraiment au milieu du guet entre j'ai besoin de mes clients en freelance pour gagner ma vie parce que le board ne me rapporte pas assez. Et en même temps, sur les réseaux sociaux, je parle que du board. Sauf qu'aujourd'hui, trois ans plus tard, je ne regrette absolument pas mes clients d'avant. Mais je ne les regrette pas du tout. C'était des clients adaptés à Flavie qui débutait dans le freelancing, mais ce n'était pas forcément des bons clients. Et en fait, aujourd'hui, j'ai des bien meilleurs clients qui payent mieux, qui respectent plus mon travail, que j'adore. En plus, maintenant, aujourd'hui, je bosse avec des solopreneurs. Donc vraiment, ma vie est beaucoup mieux. Donc je ne sais pas pourquoi on s'attache autant à des trucs qui ne sont pas agréables. C'est comme si on s'attachait à un ex toxique au lieu de partir pour une nouvelle aventure amoureuse. Donc voilà, je ne regrette absolument rien. Et parfois, je retombe sur des noms de clients que j'avais il y a longtemps et je dis là, oh là là, mais qu'est-ce que je foutais dans ce genre de mission ? Donc, je pense que toi aussi, tu auras vite fait table rase du passé sur cet aspect-là. J'ai peur de ne plus avoir de revenu fixe. Alors, oui, ça, c'est très effrayant parce qu'on vend son temps, c'est relativement facile une fois qu'on a compris à qui on le vend, comment en faire et qu'on prospecte. Quand on lance des produits scalables, on n'a effectivement plus de revenu fixe. dans le sens où on va plutôt faire des lancements produits, des lancements commerciaux, etc. Mais par contre, on a des revenus qui sont beaucoup plus prédictibles. C'est-à-dire que moi, je sais te dire à l'avance quel mois je vais lancer le bootcamp, ce que je vais faire pour le lancer, donc je sais combien je vais gagner à l'avance. Alors que quand j'étais freelance, Il pouvait se passer une guerre en Ukraine, je perdais mes clients, c'était pas du tout dépendant de ma volonté. Donc oui, je pralissais tous les mois, mais tout pouvait s'arrêter du jour au lendemain, et ça dépendait pas de moi. Donc, moralité, les revenus fixes, c'est pas toujours bon. Chercher à avoir un salaire fixe en fait en entrepreneur, ça te limite. Parce que moi, je vais engranger pendant un lancement, après j'ai suffisamment de trésorerie, j'ai pas besoin de faire des chiffres d'affaires records tous les mois. Ça me suffit d'avoir un budget annuel et de savoir à peu près que je vais le réaliser. grâce à mon prévisionnel financier. Alors, je ne sais pas du tout comment on construit un produit. Variante, je n'ai pas d'idée de produit. Oh là là, comment on fait ça, un mastermind ? Comment on fait un bootcamp ? Comment on fait un SaaS ? J'en avais absolument aucune idée, moi non plus. Et en fait, ce n'est pas grave. Aujourd'hui, tu peux tout apprendre. Même aujourd'hui, il y a un truc encore mieux qu'avant quand je me suis lancée, il y a ChatGPT. Donc avec les IA, les agents IA, c'est incroyable tout ce qu'on peut faire. Et surtout, ne te pose pas de questions. sur « je ne vais pas savoir faire » alors que le problème n'est pas encore arrivé dans ta vie. Lance le truc, tu vas te former en cours de route et tu vas réussir à le faire. Il ne faut pas se mettre de barrière avant de te lancer, mais c'est sûr que tu vas avoir beaucoup plus de ressources que tu ne le crois pour lancer un business model, même si tu n'avais pas l'habitude. Et c'est en lançant, en faisant des erreurs aussi, moi j'ai testé tous les business models possibles et imaginables, qu'on voit ce qu'on aime, ce qu'on n'aime pas. Et c'est ça qui m'a rendu meilleure aussi au bout du compte. J'ai peur des haters. Ça, c'est pour la partie visibilité. Alors, ça va peut-être te paraître bizarre, mais je n'ai toujours pas eu de haters. Malgré 30 000 abonnés sur LinkedIn et je pense 50 000 abonnés tout réseau confondu. Donc, comme quoi, je n'ai pas percé encore, sans doute. Mais voilà, en fait, être visible, ce n'est pas forcément être putaclic. Ce n'est pas forcément être un Marseillais à Cancun ou devoir se filmer en selfie. en maillot de bain. Moi, je ne parle que de freelancing, de soloprenariat et de scalabilité. C'est un peu chiant, mais ça n'empêche pas d'avoir de la visibilité sur mon domaine. Et en fait, c'est ça qui m'intéresse pour derrière faire connaître mon podcast et tout. D'ailleurs, je connais des solopreneurs qui ont des centaines de milliers d'euros de chiffre d'affaires par an, voire même par mois, et qui ne se montrent pas face caméra. Donc, ce n'est pas du tout une obligation. Évidemment que ce qui est intéressant, c'est d'avoir un média qui génère de l'audience pour acheter tes produits. Mais ça, tu peux le faire. Tu peux même faire des médias pour personnes introverties, comme par exemple une newsletter, comme le fait par exemple Yohann Lopez avec Snowball. Donc voilà, ça pour moi, c'est absolument pas un problème et on peut tout à fait être visible, avoir de l'autorité sans montrer toute sa vie non plus. J'ai peur d'échouer. Alors ça, c'est vraiment pareil. La peur d'échouer, on l'a tous. Moi, j'étais pas... Moi aussi, j'étais très bonne élève à l'école. J'ai surtout réussi dans la vie, mention très bien tout ça. Donc, ça me faisait très, très peur de me planter. Mais au final, je suis maintenant complètement immunisée. Je lance des trucs tout le temps. Il y en a plein qui se foirent et ce n'est pas grave. Ma vie n'est pas plus mal comme ça. En fait, d'ailleurs, à force de rater des trucs, j'ai moins peur. Du coup, je tente plus. Et franchement, ça explique en grosse partie mon succès, entre guillemets, en tout cas en termes de chiffre d'affaires. C'est que je n'hésite pas à lancer des trucs, même si ce n'est pas parfait. Et au final, ça passe, ça permet quand même de trouver des clients, de générer du chiffre d'affaires et t'améliore au fur et à mesure. Là, il faut vraiment sortir de ce syndrome de l'imposteur, de « c'est pas bien, donc je ne me lance pas » . Tu vas attendre combien de temps ? 10 ans, 20 ans à ne pas oser te lancer en solopreneur. Les idées, elles vont venir en faisant, les produits, les projets, ils vont s'améliorer en les lançant. J'ai peur de la charge de travail que ça représente. Alors ça, on l'a beaucoup aussi. Évidemment qu'il y a une charge de travail quand on est solopreneur. On ne peut pas gérer à la fois un média et des produits sans bosser. C'est faux, la semaine de 4 heures, le je bosse une heure par jour depuis une plage à Bali, évidemment que non. C'est pour ça que je te l'ai montré, c'est qu'en fait, il y a du travail quand même. Il a beau être asynchrone, même si je dois faire 3 heures de travail sur ma page de vente, il faut bien que je les fasse à un moment. Donc si je veux garder ma fille l'après-midi, soit, mais le soir, je vais me coltiner ma page de vente à faire. Sauf que, quand même, je trouve qu'il y a beaucoup moins de travail que quand j'étais freelance. Pourquoi ? Pour une seule. bonne raison, c'est que depuis que je suis solopreneur, j'ai les moyens de financer des gens qui m'aident en fait. Donc je vous présente mon équipe de freelance, il y en a d'autres aussi, mais là je te montre Cyril, mon vidéaste, mon assistante virtuelle et Mélanie qui m'aident sur le podcast management. Maintenant que j'ai les moyens financiers grâce à mes produits, je peux financer leur travail à mes côtés pour pas me coltiner tout ce travail de montage, de... de mettre les podcasts sur les plateformes, de trier mes mails, etc. Et tout ça, ça me fait gagner beaucoup de temps, beaucoup de confort de vie. Et c'est pour ça qu'aujourd'hui, je ne travaille pas plus qu'avant. je travaille en gros autant qu'avant, voire même un petit peu moins, je gagne plus. Et au final, j'ai un quotidien beaucoup plus intéressant parce que j'ai évacué ces tâches qui me plombaient un petit peu ou j'étais un peu mauvaise au profit de personnes qui sont bien plus compétentes que moi. Donc, énorme big up à vous. Et c'est ça aussi le changement de modèle. Freelance, tu fais tout tout seul. Solopreneur, tu peux te faire aider. Et ça, ça fait une énorme différence. Bref, la conclusion de tout cet épisode, c'est que ton temps est précieux. Alors, ne le gaspille pas. Et surtout, n'oublie pas de profiter. de ta liberté. Si tu as regardé cet épisode, c'est que sans doute toi aussi tu es attiré par cette mue de freelance à solopreneur. Tu penses que sans doute c'est un bon business model pour toi. Alors si c'est le cas, sache que je peux t'aider à faire la transition. C'est ma spécialité en fait avec le Bootcamp Solopreneur. Je prends des freelances qui sont confortables, qui sont experts, qui fonctionnent déjà bien et pendant trois mois, je les coach personnellement pour pouvoir les amener à la génération de leurs premiers revenus asynchrones. Donc si toi aussi tu veux passer de freelance à solopreneur, rejoins-moi, candidate au bootcamp. Tu as le lien dans la description de cet épisode. Et je t'assure que dans six mois, dans un an, dans un an et demi, ta vie pourrait être extrêmement différente grâce à cette décision. Merci énormément de m'avoir suivi et abonne-toi à mon podcast et à ma chaîne YouTube pour avoir plus de contenu sur le soloprenariat. Allez, ciao !

Description

Freelance versus solopreneur : tout ce qui a vraiment changé dans ma vie (preuves à l’appui)

Avant, je vendais mon temps. Aujourd’hui, je construis un business qui tourne (presque) sans moi. Dans cet épisode, je te montre en toute transparence ce qui s'est passé pour moi quand je suis passée de freelance à solopreneur :

▪️Evolution et composition de mon chiffre d’affaires

▪️Mon agenda : avant / après

▪️Comment j'ai construit ma visibilité en partant de zéro

▪️Mes moments de vie retrouvés

▪️Les peurs que j’ai surmontées pour y arriver

👉 Tu veux vivre libre et arrêter de vendre ton temps ? Candidate pour mon prochain Bootcamp Solopreneur : https://leboard.systeme.io/incubateur-bootcamp-evergreen


PS : c'est un épisode vidéo donc n'hésite pas à aller le voir sur Spotify ou sur ma chaîne Youtube (https://www.youtube.com/@leboardmedia) pour profiter des screenshots et graphiques que j'ai préparés dans cet épisode !


💜 Et n'oublie pas de soutenir gratuitement le podcast s'il t'a plu, en laissant un avis sympa et 5 étoiles sur Apple Podcast ou sur Spotify, ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Le Board est le podcast incontournable pour tout entrepreneur solo, solopreneur, freelance ou indépendant souhaitant développer un solobusiness rentable et scalable et générer des revenus passifs solopreneur, prévisibles et automatiques, créer un business en ligne. Le podcast de référence aussi pour les salariés qui veulent lancer un side-business ou démissionner pour se lancer à leur compte. Animé par Flavie Prévot, dirigeante devenue entrepreneur (d’abord en side business puis en solopreneure), chaque épisode te propose des astuces freelance et des conseils business pour réussir dans le freelancing, que tu sois en micro-entreprise, en société, en portage, side entrepreneur ou que tu rêves de devenir digital nomad ou de te lancer dans l’entrepreneuriat.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Avant j'étais freelance et je vendais mon temps. Aujourd'hui je suis solopreneur. Alors qu'est-ce qui a changé dans ma vie entre ces deux situations ? Alors j'ai décidé de te faire un épisode preuve à l'appui où je vais te montrer tout ce qui a changé dans ma vie et on va tout décortiquer ensemble, chiffre d'affaires, agenda, avant, après, on va tout regarder, c'est parti. Si tu ne me connais pas, je suis Flavie Prévost, j'ai créé Le Borde, le premier podcast et le premier incubateur pour solopreneurs de France et ça fait cinq ans que je documente en public mon aventure de solopreneur. Et cet épisode va être typique du building public que j'adore faire. Je vais te montrer mes chiffres. J'ai dégoté aussi des vieux screenshots de mes activités d'il y a cinq ans pour te montrer les avant-après et pour te montrer tout le chemin que j'ai parcouru de freelance à solopreneur. Allez, on va commencer avec le plus croustillant. Est-ce que tout le monde veut savoir ? Est-ce que je gagne plus d'argent aujourd'hui en solopreneur qu'avant quand j'étais freelance ? C'est parti pour une évolution de mon chiffre d'affaires. année par année. Si tu nous écoutes en podcast, je te conseille de switcher sur la version vidéo de cet épisode sur Spotify ou bien sur ma chaîne YouTube, le Board Media. Tu verras comme ça les petits graphiques que je t'ai préparés. Allez, c'est parti pour l'évolution du chiffre d'affaires et de ma marge entre 2022 et 2025. Alors pour ça, je t'ai fait un graphique où on voit tout simplement un peu deux sections dans ce graphique. La première, c'est 2022-2023, deux années flat où là j'étais à 100 000 euros et quelques de chiffre d'affaires en freelance. Et ensuite, on voit que la courbe s'infléchit largement vers le haut. Donc, pour aller vers 320 000 euros ma troisième année. Et idéalement, en cible, 500 000 euros cette année, c'est l'objectif que je me suis fixé et que je poursuis. Comme tu le vois avec ce graphique, en fait, l'activité de freelance, elle fait plateau. C'est-à-dire qu'on a beau faire plein de choses, se démener, on a quand même un plafond de verre en freelance. Donc, moi, à 100 000 euros et quelques, Comme j'avais besoin aussi de temps à côté pour faire mon podcast, j'avais mon plafond de verre quand j'étais directrice commerciale fractionnalisée, à peu près 800 euros par jour. Et donc, j'ai un tout petit peu augmenté mon chiffre d'affaires la deuxième année, mais ce n'était pas fou. Alors qu'après, année numéro 3, j'ai triplé mon chiffre d'affaires. Et si ça continue, là, je vais encore largement augmenter en faisant encore 200 000 euros de chiffre d'affaires en plus par rapport à l'année dernière si je réussis mon objectif. Alors, qu'est-ce qui explique ça ? Tout simplement, année numéro 1, je vendais mon temps, 100%. Année numéro 2, je vendais mon temps et j'ai commencé à construire mes produits, mais je n'ai pas encore tiré les fruits de la construction de ces produits parce qu'il y a un peu un temps d'amorçage entre le moment où tu décides de lancer un produit et au moment où tu récoltes. Et année numéro 3, là, mes produits scalables ont explosé et pareil pour cette année. Donc je vais te montrer la composition de mon chiffre d'affaires plus en détail et on reviendra sur la marge après. Année numéro 1, je n'ai même pas fait de graphique parce que je vendais juste mon temps. Donc le graphique, ça aurait été juste un camembert avec que du temps. Année numéro 2, ma vente de temps. n'est plus que de 50%. Et là, on voit que déjà, le média, avec notamment le sponsoring que j'ai réalisé, commence à me rapporter 30% de mes revenus et le produit, 20%. Ça, c'est mon ancêtre. En fait, c'était à l'époque une formation sur Notion qui est devenue ma première cohorte de bootcamp, l'ancêtre finalement de l'incubateur solopreneur. Donc, ce n'était pas parfait, ce n'était pas automatisé, ce n'était pas très joli à voir, mais ça marchait, ça m'a généré quand même 22 000 euros. sur cette première année de diversification. Année numéro 3, donc celle où j'ai triplé mon chiffre d'affaires, on voit que là, ça change complètement structure, ça fait comme un petit Pac-Man, où le Pac-Man, l'essentiel du chiffre d'affaires, 72%, c'est la vente de mes produits, essentiellement le bootcamp, mais aussi un nouveau produit que j'avais lancé, salarié diversifié. Et le reste, c'est le média, qui a perdu en proportion 15%, mais qui me rapporte plus qu'avant 50 000 euros de sponsoring et de partenariat. L'expertise, Alors, va savoir ce que c'est, 13 000 euros, 4 %. Je ne me rappelle même plus ce que c'est. Je pense que c'est des contrats d'avant où je crois que je faisais des formations pour LinkedIn Learning que j'ai arrêtées depuis. Et un petit nouveau, la communauté, 26 000 euros, 8 % de mes revenus seulement. Donc, on pourrait dire, ce n'est pas intéressant. Flavie, dégage-moi ça. Mais détrompe-toi parce que ça, c'est le début de l'incubateur solopreneur, donc mon programme le plus scalable sur abonnement. Évidemment, les débuts, c'est toujours difficile quand on crée des produits. Mais derrière... Voilà ce qui va se passer en 2025 si tout va bien. C'est que c'est ce produit qui va le plus croître et qui devrait me rapporter à peu près 150 000 euros et être surtout le plus scalable, donc me demander le moins de temps par rapport aux autres et représenter déjà un tiers de mes revenus. Là où justement je vais essayer de limiter la proportion du bootcamp à la moitié et augmenter aussi le média avec l'objectif de faire 100 000 euros de chiffre d'affaires sur le sponsoring, notamment avec ma nouvelle émission. Solonation que je viens de lancer. Alors avant de parler de la suite, il faut que je te présente la courbe de la marge. Parce que je connais les gens sur Internet « Ouais, non, non, non, elle nous bâtit avec son chiffre d'affaires, mais la marge, non, non, non. » Moi, la marge, je suis transparente dessus aussi, je m'en fous, vous pouvez connaître ma marge. C'est pour te montrer aussi qu'il ne faut pas être arc-bouté non plus sur le fait de faire le maximum de marge en pourcentage. Parce que regarde, au fur et à mesure des années, ma marge, elle va décroître en pourcentage, mais elle va augmenter en euros. Et au final, ce qu'ils nous payent, ce n'est pas les pourcentages, c'est les euros. Et puis surtout, regarde, année 1, je ne faisais que freelancer, je faisais tout moi-même. J'étais radine, j'étais une énorme pince. Donc forcément, j'avais 98% de marge. Ouh, super ! Sauf qu'en fait, j'étais limite en burn-out. Je bossais le soir, le week-end. Ce n'est pas sérieux de faire ça. La deuxième année, 82% de marge seulement. J'ai commencé à... Je me rappelle, j'ai délégué autour de 20 000 euros de trucs. sur mes 110 000 euros et quelques de chiffre d'affaires. Donc déjà, ça m'a fait un peu mal, mais j'ai commencé à prendre de l'aide pour construire mes produits scalables notamment. Et année numéro 3, là où tout a explosé, eh bien bien sûr, je n'ai plus que 62 % de marge, mais c'est presque 200 000 euros de marge, donc c'est énorme. Et l'année numéro 4, si je fais mes prévisions, je n'ai plus que 50 % de marge, mais ça reste encore très conséquent puisque là, on atteindrait 250 000 euros de marge, donc elle serait aussi en progression. Donc attention avec l'obsession de la marge. Surtout quand tu es solo, ta santé mentale, le fait de se faire aider, c'est hyper important parce que si moi je craque, il n'y a personne derrière en backup pour rattraper mon entreprise. Donc voilà, je monite avec parcimonie, mais je prends aussi le temps d'investir de l'argent dans ma propre formation, dans la construction de mes produits scalables, parce que c'est eux qui vont me rapporter ce chiffre d'affaires en violet foncé en haut. Donc voilà, ce qu'on peut dire en fait sur l'évolution du chiffre d'affaires entre freelance et solopreneur, c'est qu'elle est hyper... favorable, bien évidemment. Le principe plus important, c'est la scalabilité, c'est-à-dire que je gagne plus sans travailler plus. Je suis aussi diversifiée, donc c'est rassurant. J'ai plusieurs pôles qui peuvent me rapporter de l'argent. Par exemple, je ne sais pas, moi, si le marché des freelances s'écroule, j'ai toujours mes sponsors qui peuvent me payer. Donc ça, c'est très important. Surtout, l'argent que je génère est beaucoup plus prédictible, parce que comme c'est des produits, je sais quand je les lance, avec certains taux de conversion, etc. que ça va marcher et combien ça va me rapporter à l'avance, notamment avec les abonnements de l'incubateur solopreneur, là où quand t'es freelance, faut recommencer mois après mois, mission après mission, et t'es pas à l'abri que le client t'abandonne du jour au lendemain. Moins de one-shot, plus de sérénité, énormément plus de sérénité financière, donc pour moi c'est un point pour le solopreneur par rapport au freelance. Après l'argent ne fait pas tout, et un point fondamental qui a changé aussi entre ma posture de freelance et ma posture de solopreneur, c'est que j'ai arrêté de me cacher Merci. derrière mes clients, derrière mes missions clients, derrière mon job quand j'étais salariée. J'ai osé prendre la parole et augmenter ma visibilité et mon autorité. Et c'est là aussi que tout a basculé dans ma génération de chiffre d'affaires. Je vais te montrer. Partie 1, je t'ai montré les finances et je t'ai montré que j'ai arrêté de me générer juste un salaire mensuel pour me générer du capital qui allait fructifier ensuite. Partie 2, je veux te montrer que j'ai arrêté de courir après les clients et maintenant c'est les clients qui viennent à moi, grâce à mon pilier média. Alors, qu'est-ce que ça dit, mon pilier média ? Eh bien, si je te montre les photos vintage avant-après, tu vas voir que ça va te rassurer. Parce qu'au début, on ne lance jamais le média parfait. Et ensuite, on peut l'adapter, le pivoter et l'améliorer. Mais uniquement si on l'a lancé. Et regarde-moi ce vilain podcast du début, le board, la business booster. Vraiment, je n'ai pas de mots pour définir cette pochette de podcast. Il parlait aux dirigeants, parce qu'à l'époque, moi, j'étais dirigeante. mais Je faisais du sous-Pauline Legnot avec beaucoup moins d'argent et de talent et de réseau qu'elle. Donc forcément, ça ne risquait pas de marcher. Mais je l'ai pivoté petit à petit, je l'ai amélioré. Et maintenant, c'est le podcast de référence pour les solopreneurs en France. En relativement peu de temps, quoi, 3-4 ans. Donc c'est vraiment quand même rapide finalement pour devenir leader de marché. Et avec ce podcast, j'ai presque 1 million d'écoutes maintenant. Je crois que je suis à 700 000. Je ne sais pas quand est-ce que tu écouteras cet épisode. Et c'est ouf en fait de se rendre compte de comment ça s'est accéléré. Et j'ai de plus en plus d'abonnés, j'ai de plus en plus d'autorités aussi qui me viennent de ce podcast. Et c'est grâce à ça aussi que j'ai pu lancer un nouveau format dérivé de ce podcast pour gagner encore de nouveaux marchés et notamment attaquer YouTube. Et donc c'est ce tout petit podcast tout naze au début, tout vilain, qui m'a permis cinq ans plus tard de contacter les meilleurs solopreneurs de la francophonie. de leur proposer de co-animer Solo Nation, ma nouvelle émission YouTube avec moi, dans des conditions studio, avec un super budget, un super line-up. Donc, tu vois aussi que... tous ces petits MVP, toutes ces petites tentatives que tu fais, tu n'es peut-être pas satisfait au début, ta première newsletter, ton premier post LinkedIn, ton premier podcast, ça amène avec une certaine forme de discipline, bien sûr, à de bien meilleurs concepts. Et tu ne peux pas avoir tout de suite le meilleur concept du monde en lançant ton premier podcast. Donc voilà, petite photo souvenir de Solonation au moment du tournage. Ça, c'est des screenshots vintage également de l'évolution de mon profil LinkedIn. Je suis dégoûtée, je n'ai pas le tout premier, mais on voit l'évolution de ma coupe de cheveux de corporate à de moins en moins corporate. Tous mes multiples pivots aussi, on va en parler tout à l'heure, mais on voit bien que j'ai vraiment osé faire plein de choses en termes d'activité. Et voilà, en gros, je ne sais pas en combien de temps, deux, trois ans même pas, je suis passée de 9000 à 30 000 abonnés. De mémoire, avant que je commence à publier sur LinkedIn et tout ça, et avant que je commence à lancer mon podcast, j'étais autour de 5000 personnes qui me suivaient sur LinkedIn. Je suis devenue LinkedIn top voice sur le freelancing. Donc tout ça, ça me confère aussi une forme d'autorité. C'est ça qui est important, ce n'est pas que la visibilité. J'ai écrit deux livres aussi, j'ai réussi à mener ça de front dans toute la construction de projets. Donc deux freelances à solopreneurs et salariés diversifiés. Donc ça aussi, c'est bon pour la crédibilité et l'autorité. Donc grâce à mon business, j'ai renforcé ma marque personnelle et grâce à ma marque personnelle, j'arrive plus facilement à vendre les produits, les offres de mon écosystème sans pub, sans prospection. Et surtout, cette visibilité, elle m'a donné le luxe ultime, celui de pouvoir sélectionner mes clients et du coup, arranger mon agenda comme j'avais envie pour profiter plus de ma liberté. Et tu vas voir que c'est surtout dans la redéfinition de mon agenda que j'ai complètement changé ma façon de travailler de freelance à solopreneur. C'est parti pour un petit avant-après dans mon agenda à ces deux périodes. Alors l'évolution de l'agenda, ça c'est le plus gros dossier parce qu'en fait, c'est pour ça moi que je voulais sortir de la vente du temps, je n'en pouvais plus d'avoir, d'être toujours en réunion, toujours avec mes clients. En fait, je me sentais comme aussi prisonnière que quand j'étais salariée. Comme tu pourras le voir, j'étais tout le temps en meeting, en petit call, 15 minutes par-ci, 20 minutes par-là, nan nan nan. Je combinais bien sûr mon activité de... de podcast avec mon activité du coup de freelance. J'avais des temps de prospection parce que je fais de la prospection externalisée, donc lundi, mardi, je commençais par ça, donc c'était l'horreur. Et je n'avais pas beaucoup de temps perso. On voit là que j'ai mis quelques séances de sport. C'est-à-dire que ça ne devait pas être aussi fréquent. Et surtout, comme je faisais n'importe quoi en termes de spécialisation, je n'étais pas spécialisée, je faisais du web 3, de la prospection. Tout ce que je pouvais pour gagner de l'argent, du sponsoring, des machins. Et donc là, j'étais trop diversifiée et donc je ne gagnais pas énormément. Et surtout, je ne passais pas assez de temps à construire mes produits. Donc voilà, cette vie, elle ne fait pas rêver quand je vois l'agenda. Et je n'ai pas du tout le même équilibre de vie maintenant. Alors aujourd'hui, ce qui est hyper intéressant, et donc j'ai mis des codes couleurs maintenant pour m'y repérer, c'est que tu vois, j'ai vraiment des blocs de travail profonds qui sont... beaucoup plus adapté à mon tempérament. Moi, j'aime bien geeker chez moi, tranquille. Je n'aime pas trop les appels, les calls. Je ne suis pas trop dérangée. Vraiment, je travaille beaucoup pour moi, sur mon propre business. Pour preuve, tout ce qui est violet foncé, c'est quand je travaille sur l'incubateur solopreneur. Tout ce qui est jaune, c'est quand je travaille sur mon média, le board. Et tout ce qui est rose, c'est mes temps perso. C'est le sport, les déjeuners, aller chercher mes enfants, aller à la piscine, etc. Alors déjà, ce qui saute aux yeux. c'est que j'ai beaucoup plus de temps rose que d'autres formes de temps. Et voilà, et surtout, je me suis aménagée beaucoup plus de temps agréable pour moi, asynchrone. En fait, ce qui a fait l'énorme différence, c'est qu'au lieu de vendre mon temps à la journée aux clients, eh bien, j'ai construit des produits, et ces produits me permettent de gagner de l'argent, que je sois en train de travailler le jour même dessus ou non. C'est ça les revenus asynchrones. Donc typiquement, le mercredi matin, quand je suis avec mes enfants que je garde avant de les emmener au centre aéré, je peux avoir quelqu'un qui souscrit à l'incubateur solopreneur. Donc, ça me met beaucoup moins de pression sur le fait d'être travaillomane, de bosser tout le temps. J'ai plus de pause, j'ai un agenda qui respire beaucoup plus et surtout, j'ai des activités intellectuellement plus intéressantes parce que je travaille sur mon propre business, sur la construction de mes propres actifs et tout ce que je fais, ça va me resservir demain. En fait, je travaille... toutes les semaines sur des choses qui seront marrantes demain. Parce que quand j'améliore l'incubateur solopreneur, j'aurai plus de clients, je pourrai monter les prix, etc. Alors qu'avant, je travaillais que pour les autres. Donc vraiment, je louais mon temps tel un mercenaire. C'est un peu ça d'où ça vient le mot freelance à la base. Petite fierté aussi, électrochoc aussi pour passer de freelance à solopreneur. Je n'allais jamais surfer, alors que j'ai déménagé à Nantes exprès pour ça. Et là, on voit que j'arrive à me bloquer des journées dédiées. Je n'y vais pas tous les lundis, bien sûr, mais s'il y a les bonnes conditions, j'ai rien et du coup, je peux y aller. Donc ça, ça a clairement tout changé dans mon agenda. Donc ce qu'on voit, c'est que j'ai triplé mon chiffre d'affaires, mais je n'ai pas triplé mes heures de travail. En gros, j'ai même triplé mon chiffre d'affaires pour vivre trois fois mieux, en fait, tout simplement. Donc surtout, ce nouveau rythme, il m'a permis de récupérer un truc que j'avais perdu depuis bien longtemps. Depuis que j'étais freelance à six chiffres, mais aussi avant, quand j'étais cadre dirigeante, eh bien, c'était le fait d'avoir une vie. tout simplement d'avoir une vie en dehors du boulot. Et finalement, c'est ça qui compte vraiment. Et c'est ce que je vais te montrer avec ce prochain bloc où tu vas voir que la réussite se compte plutôt en instants partagés qu'en heures facturées. C'est parti pour regarder tous les points de vie que j'ai récupérés en passant de freelance à solopreneur. Alors, comment a évolué ma liberté depuis que je suis solopreneur ? Comment a évolué aussi mon rythme de vie, mon équilibre ? Je vais te montrer un petit peu. Comment ça s'est passé avec quelques moments clés de mon année, notamment mon année dernière ? Allez, c'est parti. Alors, première image, forcément, j'ai réussi à aller surfer. Ça, je suis hyper fière. C'est une petite photo prise en stage de surf au Maroc avec ma pote Marion, solo-preneur également. C'est la première fois que je partais en stage une semaine en pleine année scolaire, quoi, hors vacances. Parce que moi, mes vacances, elles sont consacrées à mes enfants, donc je ne peux pas non plus partir. et abandonner toute ma famille en pleine vacances scolaires. Donc, je dois prendre des vacances en plus pour surfer. Donc, grâce à mes revenus asynchrones, j'avais moins de pression pour être tous les jours de chaque semaine au bureau à facturer. Et j'ai pu m'aménager des pauses comme ça, un petit peu. Certes, j'avais du boulot, mais je le rattrapais à d'autres moments. C'est ça le principe des revenus asynchrones. On est parti aussi en tafouax relax pour la deuxième année consécutive avec Marion et d'autres solopreneurs. Donc là, tu nous vois en plein briefing. Donc hop, encore trois jours. Là, c'est pareil, ça fait une diff entre les freelances qui n'arrivent pas à s'arrêter de bosser, qui sont obligés de bosser la journée et de rater le cours de surf, et les autres. Donc, c'est hyper important de s'aménager des moments comme ça. Je suis partie aussi toute seule à d'autres moments, sur le Pays Basque, etc. Je ne suis pas encore hyper fière de mon niveau de surf, mais j'ai vraiment énormément progressé l'année dernière. Autre bonus que je ne me serais jamais permis de prendre quand j'étais freelance, je suis partie en plein mois de janvier, fin janvier, pour mes 40 ans en Laponie. C'était un petit moment de couple aussi, c'était trop bien, c'est hyper important de soigner son entourage quand on est indépendant. Et pourquoi je serais jamais partie en freelance ? Parce que le fin janvier, c'est un moment hyper fort du freelancing, donc ça voudrait dire renoncer, sacrifier 3 ou 4 ou 5 jours de freelancing. Et là, j'étais en plein en train de préparer le tournage de Solonation, mais bon, j'ai pu bosser un petit peu, 2-3 heures par jour de la pony avec mon iPad, tranquille. tout en allant faire du ski de fond toute la journée. Donc j'ai passé des vacances de rêve et ça ne m'a pas empêché de travailler pour eux, ni d'ailleurs de gagner de l'argent. Parce que je racontais sur Solonation que voilà, en descendant de l'avion, machin, boum, notification, machin, a rejoint l'incubateur Solopreneur. Donc c'est ça aussi le kiff des revenus scalables. Ensuite, j'ai passé beaucoup, beaucoup plus de temps avec mes enfants, mine de rien. Alors ça, c'est pareil. J'ai fait plusieurs choses intéressantes cette année. que je n'aurais jamais pensé possible de faire en étant salariée, bien sûr, et en freelance, laisse tomber, parce qu'à chaque fois que j'étais freelance, que je m'occupais de mes enfants, même d'un enfant malade, je pensais aux chiffres d'affaires que je perdais. C'était vraiment hyper malsain. Là, je suis partie en vélo-trip avec eux. J'ai posé du temps pour aller faire des sorties scolaires. C'est vraiment le truc bête, mais une avec ma fille, une avec mon fils. Et en fait, il y a plein de papas, de mamans qui ne peuvent pas dans l'année. Des salariés, souvent, ou même des freelances. donc si Je trouve ça un peu triste, donc je me dis à quoi bon se dire qu'on est libre et pas profiter de ces moments-là. Puis là, c'était ce midi. Donc on est mercredi, je m'occupe de le matin. Là, j'ai emmené ma fille prendre le bateau, déjeuner au soleil. C'était trop bien. Et revenir à la maison, c'était un peu comme des mini-vacances. Donc voilà, hyper important aussi de savoir pourquoi on fait les choses. Et moi, je prône la scalabilité, la synchronicité, pas que pour gagner un max de thunes, mais pour aussi vivre, profiter de la vie. ils sont déjà Je trouve qu'ils sont déjà grands. C'est bientôt 6 ans, bientôt 4 ans, donc j'ai envie d'en profiter. Ça m'a donné du temps aussi. de me générer ces revenus complémentaires, diversifiés, scalables, pour lancer une toute nouvelle émission YouTube. Je t'en ai déjà parlé tout à l'heure, Solo Nation, c'est un boulot de malade en fait pour faire ces émissions, aller sur un plateau à Paris, etc. Et pareil, quand je pars en plateau, deux jours de tournage, je ne suis pas stressée en me disant, mince, mince, je ne vais pas faire de chiffre d'affaires ce mois-ci. Bon, et le plus beau dans tout ça, c'est que je ne suis pas la seule à avoir regagné des points de vie grâce au modèle du Solopreneur Scalable. Je vais te montrer ce que mes alumnis du Bootcamp Solopreneur ont réussi à accomplir eux aussi. Bon alors là, je n'ai pas pu prendre tout le monde parce que déjà, je pense que j'ai accompagné plus de 60 ou 70 personnes maintenant dans le Bootcamp de l'Incubator Solopreneur déjà. Et puis, il faut laisser un petit peu de temps aussi entre le moment où ils ont fait le Bootcamp et le moment où ils ont pu pleinement tirer les fruits de leur système scalable. Parce que pendant trois mois, on apprend toutes les techniques et puis après, il faut lancer les produits, etc. Donc Mélanie Ong, c'est une de mes élèves du tout début du bootcamp, première promo. Mélanie, elle a doublé son chiffre d'affaires et surtout, elle a un produit largement scalable qu'elle a construit à base d'IA pour les podcasters. Et donc, ça lui permet de faire deux séjours en Asie dans l'année et de continuer à travailler et d'avoir un mode de travail complètement asynchrone. On a Nicolas Dorfman aussi qui lui a lancé son programme pour aider les freelances en paye de médias. les salariés à se lancer en freelance et à être digital nomade. Donc comme son programme le promeut, il est évidemment digital nomade. Je suis évidemment très jalouse parce qu'il passe sa vie à surfer. Et donc il est en voie de générer 50 000 euros par an. C'est son nouvel objectif avec son programme, qui est une forme d'académie slash bootcamp programme en ligne dont on avait mis en place les premières pierres pendant le bootcamp qu'il avait fait avec moi. Et puis on a Sandra qui a voyagé un peu moins loin, mais quand même. Elle s'est installée à Annecy grâce à son nouveau business model, à sa spécialisation et à la méthode qu'elle a créée. Son nouveau modèle lui a permis de s'éloigner de ses clients parisiens sans perdre d'argent et de vivre sa meilleure vie à côté du lac d'Annecy. Je crois que c'est plutôt pas mal comme région. Donc voilà, hyper fière d'eux, hyper fière de tous les autres aussi. Et je trouve que c'est très flagrant de montrer que c'est cette vie qu'on veut. Ce n'est pas une vie de freelance attachée à son bureau. à envoyer ces timesheets et à facturer chaque seconde de chaque minute de notre temps. C'est vraiment une vie beaucoup plus libre. Et ça, la vie de solopreneur, même si, évidemment, il faut travailler pour ça. Et je ne dis pas qu'il y a forcément moins de travail, mais il y a clairement beaucoup plus de liberté. Mais pour en arriver là, bien sûr, et c'est peut-être la chose dont je suis la plus fière dans cet épisode, c'est qu'il m'a fallu dépasser pas mal de mes peurs les plus enfouies, les moins avouables. Et c'est ça qui m'a marquée aussi dans ma transition de freelance à solopreneur. C'est tous ces combats que j'ai réussi à mener contre moi-même parfois. Et je suis hyper fière de vous présenter quelques-uns des démons que j'ai dû terrasser pour en arriver là où je suis aujourd'hui. Alors, quelle peur j'ai dû dépasser pour oser changer complètement de business model alors que j'avais un modèle qui marchait en freelance pour devenir solopreneur et du coup gagner en chiffre d'affaires, en liberté, en point de vie. Allez, c'est parti. J'en suis pas fière, mais bon, écoute, c'est ça la vie. Évidemment, j'avais très, très peur de perdre mes clients en me disant, je pivote, je change, je lance complètement un nouveau truc. Surtout quand j'étais vraiment au milieu du guet entre j'ai besoin de mes clients en freelance pour gagner ma vie parce que le board ne me rapporte pas assez. Et en même temps, sur les réseaux sociaux, je parle que du board. Sauf qu'aujourd'hui, trois ans plus tard, je ne regrette absolument pas mes clients d'avant. Mais je ne les regrette pas du tout. C'était des clients adaptés à Flavie qui débutait dans le freelancing, mais ce n'était pas forcément des bons clients. Et en fait, aujourd'hui, j'ai des bien meilleurs clients qui payent mieux, qui respectent plus mon travail, que j'adore. En plus, maintenant, aujourd'hui, je bosse avec des solopreneurs. Donc vraiment, ma vie est beaucoup mieux. Donc je ne sais pas pourquoi on s'attache autant à des trucs qui ne sont pas agréables. C'est comme si on s'attachait à un ex toxique au lieu de partir pour une nouvelle aventure amoureuse. Donc voilà, je ne regrette absolument rien. Et parfois, je retombe sur des noms de clients que j'avais il y a longtemps et je dis là, oh là là, mais qu'est-ce que je foutais dans ce genre de mission ? Donc, je pense que toi aussi, tu auras vite fait table rase du passé sur cet aspect-là. J'ai peur de ne plus avoir de revenu fixe. Alors, oui, ça, c'est très effrayant parce qu'on vend son temps, c'est relativement facile une fois qu'on a compris à qui on le vend, comment en faire et qu'on prospecte. Quand on lance des produits scalables, on n'a effectivement plus de revenu fixe. dans le sens où on va plutôt faire des lancements produits, des lancements commerciaux, etc. Mais par contre, on a des revenus qui sont beaucoup plus prédictibles. C'est-à-dire que moi, je sais te dire à l'avance quel mois je vais lancer le bootcamp, ce que je vais faire pour le lancer, donc je sais combien je vais gagner à l'avance. Alors que quand j'étais freelance, Il pouvait se passer une guerre en Ukraine, je perdais mes clients, c'était pas du tout dépendant de ma volonté. Donc oui, je pralissais tous les mois, mais tout pouvait s'arrêter du jour au lendemain, et ça dépendait pas de moi. Donc, moralité, les revenus fixes, c'est pas toujours bon. Chercher à avoir un salaire fixe en fait en entrepreneur, ça te limite. Parce que moi, je vais engranger pendant un lancement, après j'ai suffisamment de trésorerie, j'ai pas besoin de faire des chiffres d'affaires records tous les mois. Ça me suffit d'avoir un budget annuel et de savoir à peu près que je vais le réaliser. grâce à mon prévisionnel financier. Alors, je ne sais pas du tout comment on construit un produit. Variante, je n'ai pas d'idée de produit. Oh là là, comment on fait ça, un mastermind ? Comment on fait un bootcamp ? Comment on fait un SaaS ? J'en avais absolument aucune idée, moi non plus. Et en fait, ce n'est pas grave. Aujourd'hui, tu peux tout apprendre. Même aujourd'hui, il y a un truc encore mieux qu'avant quand je me suis lancée, il y a ChatGPT. Donc avec les IA, les agents IA, c'est incroyable tout ce qu'on peut faire. Et surtout, ne te pose pas de questions. sur « je ne vais pas savoir faire » alors que le problème n'est pas encore arrivé dans ta vie. Lance le truc, tu vas te former en cours de route et tu vas réussir à le faire. Il ne faut pas se mettre de barrière avant de te lancer, mais c'est sûr que tu vas avoir beaucoup plus de ressources que tu ne le crois pour lancer un business model, même si tu n'avais pas l'habitude. Et c'est en lançant, en faisant des erreurs aussi, moi j'ai testé tous les business models possibles et imaginables, qu'on voit ce qu'on aime, ce qu'on n'aime pas. Et c'est ça qui m'a rendu meilleure aussi au bout du compte. J'ai peur des haters. Ça, c'est pour la partie visibilité. Alors, ça va peut-être te paraître bizarre, mais je n'ai toujours pas eu de haters. Malgré 30 000 abonnés sur LinkedIn et je pense 50 000 abonnés tout réseau confondu. Donc, comme quoi, je n'ai pas percé encore, sans doute. Mais voilà, en fait, être visible, ce n'est pas forcément être putaclic. Ce n'est pas forcément être un Marseillais à Cancun ou devoir se filmer en selfie. en maillot de bain. Moi, je ne parle que de freelancing, de soloprenariat et de scalabilité. C'est un peu chiant, mais ça n'empêche pas d'avoir de la visibilité sur mon domaine. Et en fait, c'est ça qui m'intéresse pour derrière faire connaître mon podcast et tout. D'ailleurs, je connais des solopreneurs qui ont des centaines de milliers d'euros de chiffre d'affaires par an, voire même par mois, et qui ne se montrent pas face caméra. Donc, ce n'est pas du tout une obligation. Évidemment que ce qui est intéressant, c'est d'avoir un média qui génère de l'audience pour acheter tes produits. Mais ça, tu peux le faire. Tu peux même faire des médias pour personnes introverties, comme par exemple une newsletter, comme le fait par exemple Yohann Lopez avec Snowball. Donc voilà, ça pour moi, c'est absolument pas un problème et on peut tout à fait être visible, avoir de l'autorité sans montrer toute sa vie non plus. J'ai peur d'échouer. Alors ça, c'est vraiment pareil. La peur d'échouer, on l'a tous. Moi, j'étais pas... Moi aussi, j'étais très bonne élève à l'école. J'ai surtout réussi dans la vie, mention très bien tout ça. Donc, ça me faisait très, très peur de me planter. Mais au final, je suis maintenant complètement immunisée. Je lance des trucs tout le temps. Il y en a plein qui se foirent et ce n'est pas grave. Ma vie n'est pas plus mal comme ça. En fait, d'ailleurs, à force de rater des trucs, j'ai moins peur. Du coup, je tente plus. Et franchement, ça explique en grosse partie mon succès, entre guillemets, en tout cas en termes de chiffre d'affaires. C'est que je n'hésite pas à lancer des trucs, même si ce n'est pas parfait. Et au final, ça passe, ça permet quand même de trouver des clients, de générer du chiffre d'affaires et t'améliore au fur et à mesure. Là, il faut vraiment sortir de ce syndrome de l'imposteur, de « c'est pas bien, donc je ne me lance pas » . Tu vas attendre combien de temps ? 10 ans, 20 ans à ne pas oser te lancer en solopreneur. Les idées, elles vont venir en faisant, les produits, les projets, ils vont s'améliorer en les lançant. J'ai peur de la charge de travail que ça représente. Alors ça, on l'a beaucoup aussi. Évidemment qu'il y a une charge de travail quand on est solopreneur. On ne peut pas gérer à la fois un média et des produits sans bosser. C'est faux, la semaine de 4 heures, le je bosse une heure par jour depuis une plage à Bali, évidemment que non. C'est pour ça que je te l'ai montré, c'est qu'en fait, il y a du travail quand même. Il a beau être asynchrone, même si je dois faire 3 heures de travail sur ma page de vente, il faut bien que je les fasse à un moment. Donc si je veux garder ma fille l'après-midi, soit, mais le soir, je vais me coltiner ma page de vente à faire. Sauf que, quand même, je trouve qu'il y a beaucoup moins de travail que quand j'étais freelance. Pourquoi ? Pour une seule. bonne raison, c'est que depuis que je suis solopreneur, j'ai les moyens de financer des gens qui m'aident en fait. Donc je vous présente mon équipe de freelance, il y en a d'autres aussi, mais là je te montre Cyril, mon vidéaste, mon assistante virtuelle et Mélanie qui m'aident sur le podcast management. Maintenant que j'ai les moyens financiers grâce à mes produits, je peux financer leur travail à mes côtés pour pas me coltiner tout ce travail de montage, de... de mettre les podcasts sur les plateformes, de trier mes mails, etc. Et tout ça, ça me fait gagner beaucoup de temps, beaucoup de confort de vie. Et c'est pour ça qu'aujourd'hui, je ne travaille pas plus qu'avant. je travaille en gros autant qu'avant, voire même un petit peu moins, je gagne plus. Et au final, j'ai un quotidien beaucoup plus intéressant parce que j'ai évacué ces tâches qui me plombaient un petit peu ou j'étais un peu mauvaise au profit de personnes qui sont bien plus compétentes que moi. Donc, énorme big up à vous. Et c'est ça aussi le changement de modèle. Freelance, tu fais tout tout seul. Solopreneur, tu peux te faire aider. Et ça, ça fait une énorme différence. Bref, la conclusion de tout cet épisode, c'est que ton temps est précieux. Alors, ne le gaspille pas. Et surtout, n'oublie pas de profiter. de ta liberté. Si tu as regardé cet épisode, c'est que sans doute toi aussi tu es attiré par cette mue de freelance à solopreneur. Tu penses que sans doute c'est un bon business model pour toi. Alors si c'est le cas, sache que je peux t'aider à faire la transition. C'est ma spécialité en fait avec le Bootcamp Solopreneur. Je prends des freelances qui sont confortables, qui sont experts, qui fonctionnent déjà bien et pendant trois mois, je les coach personnellement pour pouvoir les amener à la génération de leurs premiers revenus asynchrones. Donc si toi aussi tu veux passer de freelance à solopreneur, rejoins-moi, candidate au bootcamp. Tu as le lien dans la description de cet épisode. Et je t'assure que dans six mois, dans un an, dans un an et demi, ta vie pourrait être extrêmement différente grâce à cette décision. Merci énormément de m'avoir suivi et abonne-toi à mon podcast et à ma chaîne YouTube pour avoir plus de contenu sur le soloprenariat. Allez, ciao !

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