Speaker #0Bonjour et bienvenue sur le podcast Le Fauteuil Rose. Aujourd'hui, c'est quelque chose d'exceptionnel qui est en train de se passer en moi, à l'intérieur de moi, dans mon univers, dans mon monde. Et tout de suite, je vous révèle ça dans cet épisode de podcast. Il est grand temps pour moi de prendre les choses en main, d'être à 100% moi-même. Alors bien entendu, j'ai été jusqu'à présent moi-même, mais je pense quand même que j'avais un petit frein. Tu sais ce petit truc là où t'as envie de briller, t'as envie de tirer qui tu es, de montrer qui tu es, de t'exprimer vraiment à 100% ? Mais tu préfères quand même rester dans des choses classiques pour rentrer dans des cases et ne pas t'attirer des trolls. Les trolls c'est les mauvaises personnes qui peuvent traîner sur les réseaux et même dans la vraie vie. Parce qu'il ne faut pas croire qu'ils sont que sur les réseaux, non. Des mauvaises personnes il y en a partout et il n'y en a pas beaucoup mais il y en a quand même. Heureusement, elles sont peu. Elles sont vraiment peu nombreuses. Mais aujourd'hui, j'ai vraiment décidé de redonner une nouvelle dimension à ce podcast. Donc déjà, il y aura un épisode par semaine. J'espère qu'un jour, dans pas longtemps, il y en aura deux. Mais déjà, moi, niveau organisation, il y en aura un. Donc ça, c'est parfait. Et je vais surtout vous parler de mon nouveau positionnement. Donc jusqu'à présent, pour moi, ce qui a été vraiment compliqué, ça a été de trouver un vrai positionnement, de savoir vraiment ce que je voulais. Qui j'étais, pourquoi je faisais ça, et pourquoi finalement je m'arrêtais simplement à des nombres de vues, à des likes, à des... Enfin, tout ça, comme j'ai pu le dire dans l'épisode précédent, par rapport au fait que j'avais mis Instagram en pause. Mais le problème finalement, ce n'est pas Instagram, ce n'est pas les gens, c'était moi le problème. C'était moi qui avais peur d'eux, c'était moi qui n'osais pas, c'était moi tout simplement. Parce que dans tous les cas, tu veux que j'y fasse quoi ? Je ne peux pas contrôler l'algorithme d'Instagram. Je ne peux pas forcer les gens à mettre des j'aime à mes publications. Mais par contre, je peux être moi-même. Je peux dire ce que j'ai envie de dire. On est sur mon compte Instagram. Tu vois, c'est mon compte. C'est ma vie. Donc j'ai le droit de poster ce que j'ai envie de poster. Et les gens ont le droit de ne pas aimer s'ils ne veulent pas aimer. Chacun est libre de dire, de faire ce qu'il veut. Et donc aujourd'hui, mon positionnement, il est Et simplement, en tant que guide, moi je te raconte mon histoire, je te raconte comment j'ai traversé ces choses-là, comment j'ai surmonté ces choses-là, et je te guide pour pas que tu refasses les mêmes erreurs. Pour que tu te dises, ah ben ça, je me reconnais vraiment dans ce qu'elle dit. Je sens là vraiment qu'il y a quelque chose, qu'il y a une connexion. Moi, je vais aider les personnes qui ont envie d'être aidées. Il y a des personnes qui veulent s'en sortir. Il y a des personnes qui rêveraient de vivre la vie qu'on vit nous-mêmes. Et nous on se plaint pour des choses futiles. Et je mets un point d'honneur, je souligne, on a le droit de se plaindre, bien entendu. Mais on n'a pas le droit de se placer en victime, on n'a pas le droit de se plaindre pour rien. Si ta vidéo ne fait pas de vues, eh bien fais autre chose. Refais ta vidéo, va sur un autre réseau, va directement en vrai avec les personnes. Je pense que dans le monde où on vit, il y a vraiment beaucoup, beaucoup de solutions. Et vraiment, ce que je veux dire, je vais arrêter de parler des réseaux sociaux. Ce que je veux dire à travers cet épisode, c'est que j'ai compris vraiment où il était mon nouveau positionnement. Mon nouveau positionnement, il est dans le fait de créer du contenu que j'aurais moi-même voulu voir quand j'étais dans ma période sombre, quand j'étais vraiment au plus bas. Je veux montrer que vous avez en vous les capacités de pouvoir réussir la vie que vous vous imaginez quand vous fermez vos yeux. Attention, rien n'est magique. C'est toi qui vas devoir te donner les moyens. Tu veux perdre tes 7 kilos ? Il faut que tu fasses du sport, il faut que tu soignes ton alimentation. Tu veux créer ton entreprise ? Il va falloir que tu fasses ce qu'il faut pour créer ton entreprise. Tu veux partir vivre à l'étranger ? Il va falloir faire ce qu'il faut pour partir vivre à l'étranger. Et dans toutes les sphères de ta vie, c'est comme ça, c'est toi qui dois te mettre en avant. Tu as marre d'être simplement ton ombre ? Eh bien bienvenue au club ! J'étais mon ombre pendant des années à cause de croyances limitantes, à cause de peur, à cause de plein d'autres choses que j'ai déjà parlé sur plusieurs épisodes de podcast. Mais mon plus gros problème, ça a été de me mettre en victime. Et ça, c'est très dur à assumer, à dire. à le crier, à le parler dans ce podcast. Oui, je me suis mis en victime. J'avais des raisons de me mettre en victime. Mais finalement, c'était ma vie que je gâchais à le faire. Et est-ce que j'avais finalement, au fond de moi, envie de gâcher ma vie ? Est-ce que c'était cet exemple que je voulais donner à mes enfants ? Bien sûr que non. Bien sûr que non. Je veux montrer à mes enfants que je suis une guerrière, que j'ai des émotions, que j'ai le droit de pleurer, que j'ai le droit de m'exprimer. Mais surtout, que je suis en accord avec mes paroles. Que je suis en accord avec mes valeurs, que ma dignité elle est énormément importante, que l'injustice je le déteste, je veux montrer à mes enfants que la vie mérite d'être vécue. Et que si t'as envie de dire non, et ben tu dis non. Si t'as envie de dire oui, et ben tu dis oui. C'est toi qui es le maître de ta propre vie, c'est toi qui dirige ta vie, personne d'autre. Donc mon nouveau positionnement, c'est celle de guide. Voilà, je n'ai pas trouvé mieux, je n'ai pas trouvé moins bien non plus. Mais c'est vous guider dans le sens vraiment de la vie qui vous convient le plus. C'est d'être cette motivatrice. Je me considère comme guide motivatrice parce que j'aime ça, ça m'anime. Ça me fait vraiment sens. Ça coche toutes les cases de ce que je recherchais jusqu'à présent. Et même si aujourd'hui, je ne suis qu'au début, je pense que c'est vraiment le premier projet professionnel dans quoi je me lance avec zéro regret dès le départ. Je sais que ça va peut-être être pas facile, mais pas facile ne veut pas dire impossible. Je sais que, aujourd'hui, pour faire des conférences, c'est quand même beaucoup plus facile qu'il y a quelques années en arrière. Organiser un événement, c'est quand même beaucoup plus facile qu'il y a quelques années en arrière. Regardez mon podcast. Aujourd'hui, je l'enregistre en format brut. Pour être honnête avec vous, j'ai un bon micro-rod, ok ? D'accord ? Il est simplement branché à mon téléphone et j'enregistre sur le dictaphone de mon téléphone. Tous les épisodes que vous avez écoutés, y compris celui-ci, ont été enregistrés avec mon téléphone, l'application dictaphone. Il n'y a que le micro qui est au top. C'est le micro cravate Rode. Mais parce que si je ne le fais pas, si je me dis non, je n'ai pas le matos, je n'ai pas l'application, en fait, je n'avance jamais. Et finalement, le compte que je veux créer, il n'existera pas. Je ne pourrais pas être en capacité d'aider les gens si je m'arrête à des choses aussi futiles que du matos. Bien entendu que mon rêve, que j'aspire à avoir carrément un studio de podcast, que moi j'enregistre et qu'après je parte et que c'est quelqu'un qui fasse mon montage. Bien entendu que j'aspire à tout ça. Mais il faut bien commencer 1% à la fois. Et ce 1% à la fois, il est tellement important, parce qu'on a vraiment tendance à négliger les petites actions. Alors que c'est là qu'il y a énormément de pouvoir, dans les petites actions. Rien ne sert de vouloir révolutionner le monde d'un coup. Ça n'a pas de sens. Mais par contre, de te mettre en mode... Je change ça, je fais ça, tu actionnes 1% par 1% et tu verras les meilleures choses vont venir à toi. Et je vous assure que c'est vrai. J'ai très très longtemps subi ma vie. J'ai été endettée, j'ai été en dépression, j'ai souffert d'anxiété, j'ai souffert de ma famille qui est toxique. Pas tous les membres de ma famille, mais quelques-uns quand même. Je me suis créé des problèmes, leurs problèmes c'était mes problèmes alors que ça n'a pas de sens ça non plus. Il y a certaines personnes, ils t'appellent, ils veulent juste de l'argent. Et quand tu ne peux pas leur donner, tu as une vraie raison, mais ils ne te croivent pas. Et ils ne t'appellent plus, tu n'as plus aucune nouvelle. Et bien ça, moi, ça me faisait mal. J'avais l'impression que c'était moi qui ne faisais pas bien les choses, alors que moi j'étais pour rien. Ce n'était pas ma faute. Je sais à quel point c'est frustrant d'être dans le besoin d'argent, parce que je l'ai été, à maintes reprises, je l'ai été. Je ne pouvais pas payer mon loyer, je n'arrivais pas à joindre les deux bouts, c'était à peine si j'arrivais à faire des courses pour nourrir ma fille. Le moindre centime que j'avais, il était pour ma fille. Ça m'est arrivé d'aller dans un magasin et de ne pas pouvoir faire plus de 20 euros de course. Je ne sais pas si vous imaginez, 20 euros de course, je vous parle de ça, il y a peut-être 13-14 ans en arrière. Mais je ne pouvais pas, j'étais prise à la gorge. Et comme on ne sait pas à me dire, non mais il faut travailler, je travaillais. Je travaillais. Oui, non, mais t'as les allocations. Non, non, il faut arrêter aussi avec les allocations, la CAF. Franchement, c'est bien. Moi, j'ai jamais craché sur les allocations. Mais vous croyez vraiment que c'est une fierté de dire « Ah oui, non, mais moi, je touche les allocations familiales. » Merci aux aides que nous avons en France. Merci. Parce que dans pas tous les pays, ça se passe comme ça. Mais je peux vous garantir une chose. C'est ce que j'avais de la caisse d'allocations familiales. Ça ne pouvait pas me faire vivre, ni ma fille, ni moi. Ça me faisait survivre. Mais si je ne travaillais pas à côté, ce n'était pas possible. Je me retrouvais sous les ponts avec une petite fille. Ou alors ma fille aurait été placée. Et ça, c'était non négociable, c'était impossible. Ma fille, c'est toute ma vie. Aujourd'hui, mon fils aussi, c'est toute ma vie. Mais à l'époque, je n'avais que ma fille. Et il fallait vraiment que tout ça change. Je devais vraiment me positionner dans la femme qui devient la leader de sa propre vie, la leader de sa propre vie. Mais j'avais vraiment que des personnes toxiques à côté de moi, des personnes qui me poussaient à arrêter mes travails, des personnes qui trouvaient que mon travail, ils me prenaient pour une girouette. Alors que non, ben non, non non, pas du tout, on ne me prenait pas pour une girouette. Mais par contre... La plus belle chose que j'ai pu faire, ça a été de couper les liens avec ces personnes toxiques. J'ai mis des années à comprendre et surtout à passer à l'action. Mais aujourd'hui finalement, j'ai pas de regrets. Non, je n'ai pas de regrets. Je suis légèrement triste, mais pas parce que ma relation avec eux s'est arrêtée. Je suis triste pour eux. De comment ils gèrent leur vie. Mais ce n'est pas moi. Ce n'est pas mon problème. Je dois les laisser faire. Quand tu veux aider les gens, mais que la personne ne veut pas être aidée, c'est compliqué. Donc, vraiment dans cet épisode de podcast, mon but là, c'est de vous mettre en action, de vous réveiller, parce que vous avez vraiment toute votre vie, et n'importe quel âge que vous avez, toute personne qui écoute ce podcast, qui est de, on va dire, 18 à je ne sais pas quel âge, votre vie commence. Non mais moi je suis trop vieille. Non, t'es pas trop vieille. Ta vie, si tu veux, tu peux la changer. Même si tu as, admettons, 70 ans, tu écoutes mon podcast, d'ailleurs je te remercie si c'est le cas, que tu te dis dans ta tête qu'il ne te reste que 10-15 ans à vivre, mais est-ce que tu t'imagines 10 ou 15 ans à vivre ? C'est encore énorme. Donc c'est pour ça qu'il ne faut vraiment pas se dire non mais moi je suis trop vieille, c'est plus pour moi. Ce n'est pas vrai. Énormément de personnes ont commencé des projets, ils avaient la quarantaine passée. Il y en a même qui ont commencé des projets qui sont venus multimilliardaires, ils avaient la soixantaine passée. Simplement, il ne faut plus se mettre en position de victime. Et aujourd'hui, mon nouveau positionnement, c'est de rentrer plus en profondeur dans les sujets que j'ai traversés, dans les choses que j'ai traversées, de vous partager mes clés, de vous partager mes raisonnements, et de vous voir vraiment briller, vous voir à l'œuvre, vous voir réaliser vos rêves. Vouvoir prendre action, c'est ça qui compte. Tu veux devenir le leader de ta vie ? Eh bien, fais ce qu'il y a à faire. Moi, je t'assure, j'ai tellement fait de travail alimentaire que j'en avais perdu mon identité. Il me semble que je l'ai déjà dit ça dans un autre épisode du podcast Le Fauteuil Rose. Mais je te le redis aujourd'hui. Toute carrière professionnelle est une bénédiction, tout travail est une bénédiction. Et je vais même vous dire une chose, c'est que passé un moment quand j'étais en dépression très forte, je ne voulais plus faire de travail alimentaire. C'était non, c'était hors de question que je passe un travail alimentaire. Vous savez pourquoi ? Je vais vous donner les raisons. Parce que j'avais peur que ce travail alimentaire me prenne tout mon temps, que je n'avais plus de temps pour faire mes podcasts, que je n'avais plus de temps pour faire mes vidéos. et surtout de me dire, bon, maintenant je suis là-dedans, j'y reste. J'avais tort sur une chose. J'ai toujours le même point de vue par rapport au travail alimentaire, par rapport à un travail que tu fais parce que tu dois travailler, et si tu as des projets professionnels à côté. Pour moi, les deux ne sont pas compatibles. Mais, mais attention... Tu dois quand même te sortir la tête de ta maison. Tu dois t'aérer et de travailler, même si c'est à mi-temps, ça va déjà te générer un petit peu d'argent, ça c'est bien. Et surtout, ça va te permettre, si tu es en période sombre, d'avoir un minimum de vie sociale. Et ça c'est très très bien. Moi le compromis que j'ai trouvé, parce que je ne voulais pas faire de travail élémentaire, parce que je n'avais pas envie pour les raisons que je viens de vous évoquer, du coup, quand... J'ai pris des petites missions d'intérim et comme ça j'étais tranquille. Là j'avais une semaine à faire, ok, j'avais deux semaines à faire, ok, là j'avais ça, ok. Mais par contre, mes jours que je voulais pour moi, ça c'était non négociable. Moi mon mercredi il me le faut pour mon fils. Mon fils ne va pas au centre aéré. C'est mon choix. Je ne critiquerai pas des parents qui mettent leurs enfants au centre aéré. Comme eux n'ont pas à critiquer les parents. qui ne mettent pas leurs enfants au centre aéré. Moi, mes enfants, enfin du moins mon fils, puisqu'il est encore en primaire, va à la garderie le matin. Et il est inscrit à la garderie du soir. Il mange à la cantine. Ça lui fait des journées longues. Mais déjà, premièrement, il aime y aller. Et deuxièmement, c'est mon problème. Peut-être que toi, tu ne mets pas ton enfant en garderie. Peut-être que tu le mets le mercredi. Chacun trouve des compromis à sa vie privée qui est bon pour lui, qui le regarde. Laissez faire, les gens. arrêtez de vous mêler de ce qui ne vous regarde pas de ce qui nous regarde pas je me mets dans l'eau aussi, attention je pense qu'à un moment il faut savoir s'occuper de ses affaires et c'est vraiment important et tu verras qu'en toute honnêteté tu vivras mieux Donc voilà, c'est vraiment mon nouveau positionnement que je voulais partager avec vous. J'ai vraiment besoin de libérer énormément de choses qui sont en moi. J'ai besoin de vous montrer à quel point de prendre la parole dans ce micro est vraiment révélateur pour moi. De vous montrer que ce compte reflète vraiment qui je suis. Ce compte, ce podcast, mes réseaux sociaux, tout ce que je veux faire, tout ce que je veux entreprendre, c'est moi. Et pour ajouter une petite touche finale. Je vous poserai toujours, si vous n'avez aucune contrainte, bien entendu côté médical, à faire du sport. Pour moi, 10 minutes d'activité, c'est beaucoup plus bénéfique que 3 heures à avoir passé sur les réseaux sociaux. C'est vraiment important de mettre son corps en mouvement. C'est vraiment important. Ton corps est la seule maison dans laquelle tu vas vivre toute ta vie. Donc voilà, cet épisode de podcast est maintenant... Terminé. Je suis vraiment ravie d'être à l'épisode 20, de vous avoir parlé à cœur ouvert de mon positionnement, de plusieurs choses que j'avais à cœur. Je devais m'ouvrir à vous et vous exprimer tout cela. Donc c'est fait et je vous remercie. N'hésitez pas à partager le podcast, n'hésitez pas à noter le podcast, n'hésitez pas à me rejoindre sur mes réseaux sociaux. Et moi je vous dis à très vite. Osez briller. Et on se retrouve mardi prochain, 11h, pour un nouvel épisode du podcast Le Fauteuil Rose. Prenez soin de vous, passez la plus belle des journées. Ciao !