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Entretien avec Serge Gainsbourg (1984) cover
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Musée SACEM

Entretien avec Serge Gainsbourg (1984)

Entretien avec Serge Gainsbourg (1984)

26min |28/05/2018
Play
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26min |28/05/2018
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Description

En octobre 1984, Serge Gainsbourg publie un album, son avant-dernier, qui va faire, à défaut de véritable scandale, encore parler dans les chaumières. 

D’abord à cause de la pochette, sur laquelle le grand Serge pose maquillé, avec khol, sur les paupières, rouge à lèvres et fume cigarette, un cliché du photographe William Klein. 

Le titre de l’album "Love on the beat" est aussi celui de la chanson la plus remarquée du disque. Une sorte de "Je t’aime moi non plus" revisitée façon bande son de film porno... 

Prétexte à aller questionner le responsable dans son antre de la rue de Verneuil. Un entretien qui nécessite de tendre l’oreille, tant la diction de l’artiste, pour être légendaire, n’en est pas moins souvent plus proche du marmonnement intime que de la conversation conviviale. 

Une interview ponctuée aussi du claquement régulier de son briquet zippo, car si Dieu est un fumeur de Havanes, Gainsbourg, on le sait inhalait plutôt des Gitanes.

Description

En octobre 1984, Serge Gainsbourg publie un album, son avant-dernier, qui va faire, à défaut de véritable scandale, encore parler dans les chaumières. 

D’abord à cause de la pochette, sur laquelle le grand Serge pose maquillé, avec khol, sur les paupières, rouge à lèvres et fume cigarette, un cliché du photographe William Klein. 

Le titre de l’album "Love on the beat" est aussi celui de la chanson la plus remarquée du disque. Une sorte de "Je t’aime moi non plus" revisitée façon bande son de film porno... 

Prétexte à aller questionner le responsable dans son antre de la rue de Verneuil. Un entretien qui nécessite de tendre l’oreille, tant la diction de l’artiste, pour être légendaire, n’en est pas moins souvent plus proche du marmonnement intime que de la conversation conviviale. 

Une interview ponctuée aussi du claquement régulier de son briquet zippo, car si Dieu est un fumeur de Havanes, Gainsbourg, on le sait inhalait plutôt des Gitanes.

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En octobre 1984, Serge Gainsbourg publie un album, son avant-dernier, qui va faire, à défaut de véritable scandale, encore parler dans les chaumières. 

D’abord à cause de la pochette, sur laquelle le grand Serge pose maquillé, avec khol, sur les paupières, rouge à lèvres et fume cigarette, un cliché du photographe William Klein. 

Le titre de l’album "Love on the beat" est aussi celui de la chanson la plus remarquée du disque. Une sorte de "Je t’aime moi non plus" revisitée façon bande son de film porno... 

Prétexte à aller questionner le responsable dans son antre de la rue de Verneuil. Un entretien qui nécessite de tendre l’oreille, tant la diction de l’artiste, pour être légendaire, n’en est pas moins souvent plus proche du marmonnement intime que de la conversation conviviale. 

Une interview ponctuée aussi du claquement régulier de son briquet zippo, car si Dieu est un fumeur de Havanes, Gainsbourg, on le sait inhalait plutôt des Gitanes.

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En octobre 1984, Serge Gainsbourg publie un album, son avant-dernier, qui va faire, à défaut de véritable scandale, encore parler dans les chaumières. 

D’abord à cause de la pochette, sur laquelle le grand Serge pose maquillé, avec khol, sur les paupières, rouge à lèvres et fume cigarette, un cliché du photographe William Klein. 

Le titre de l’album "Love on the beat" est aussi celui de la chanson la plus remarquée du disque. Une sorte de "Je t’aime moi non plus" revisitée façon bande son de film porno... 

Prétexte à aller questionner le responsable dans son antre de la rue de Verneuil. Un entretien qui nécessite de tendre l’oreille, tant la diction de l’artiste, pour être légendaire, n’en est pas moins souvent plus proche du marmonnement intime que de la conversation conviviale. 

Une interview ponctuée aussi du claquement régulier de son briquet zippo, car si Dieu est un fumeur de Havanes, Gainsbourg, on le sait inhalait plutôt des Gitanes.

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