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Musée SACEM

Entretien avec Georges Brassens (1979)

Entretien avec Georges Brassens (1979)

30min |27/05/2018
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Description

Nous sommes au printemps 1979, soit quatre ans après la disparition de la vieille ORTF. Et pourtant, voilà qu’une chaîne de télévision, en l’occurrence Antenne 2, est secouée par un mini scandale. 

Au cours d’une émission de variétés présentée par l’ineffable Guy Lux à une heure de grande écoute, une chanson a écorché les prudes oreilles de nombreux téléspectateurs. Il s’agit de "Fernande", sémillant hymne érectile farouchement hétéro, interprété par son polisson d’auteur, Georges Brassens. 

Emoi, protestations, lettres indignées, standard téléphonique au bord de l’explosion, la rédaction du magazine dans lequel œuvre alors votre serviteur est sur le pied de guerre : mission, aller interviewer le pornographe du phonographe pour qu’il s’explique sur le tohu-bohu par lui involontairement provoqué. 

Résultat, me voilà un beau matin devant les grilles de l’auteur du Gorille, magnétophone antédiluvien sous le bras, un vieux machin à K7 dont même un brocanteur ne voudrait plus aujourd’hui. 

Ce qui explique évidemment la piètre qualité technique de l’enregistrement de cette conversation, qui va pourtant prendre un tour inattendu : car un Brassens en verve fera durer l’interview pendant près de deux heures. Nous sommes dans le 15ème arrondissement de Paris, au n°42 de la rue Santos Dumont, domicile du célèbre barde anar moustachu.

Description

Nous sommes au printemps 1979, soit quatre ans après la disparition de la vieille ORTF. Et pourtant, voilà qu’une chaîne de télévision, en l’occurrence Antenne 2, est secouée par un mini scandale. 

Au cours d’une émission de variétés présentée par l’ineffable Guy Lux à une heure de grande écoute, une chanson a écorché les prudes oreilles de nombreux téléspectateurs. Il s’agit de "Fernande", sémillant hymne érectile farouchement hétéro, interprété par son polisson d’auteur, Georges Brassens. 

Emoi, protestations, lettres indignées, standard téléphonique au bord de l’explosion, la rédaction du magazine dans lequel œuvre alors votre serviteur est sur le pied de guerre : mission, aller interviewer le pornographe du phonographe pour qu’il s’explique sur le tohu-bohu par lui involontairement provoqué. 

Résultat, me voilà un beau matin devant les grilles de l’auteur du Gorille, magnétophone antédiluvien sous le bras, un vieux machin à K7 dont même un brocanteur ne voudrait plus aujourd’hui. 

Ce qui explique évidemment la piètre qualité technique de l’enregistrement de cette conversation, qui va pourtant prendre un tour inattendu : car un Brassens en verve fera durer l’interview pendant près de deux heures. Nous sommes dans le 15ème arrondissement de Paris, au n°42 de la rue Santos Dumont, domicile du célèbre barde anar moustachu.

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Nous sommes au printemps 1979, soit quatre ans après la disparition de la vieille ORTF. Et pourtant, voilà qu’une chaîne de télévision, en l’occurrence Antenne 2, est secouée par un mini scandale. 

Au cours d’une émission de variétés présentée par l’ineffable Guy Lux à une heure de grande écoute, une chanson a écorché les prudes oreilles de nombreux téléspectateurs. Il s’agit de "Fernande", sémillant hymne érectile farouchement hétéro, interprété par son polisson d’auteur, Georges Brassens. 

Emoi, protestations, lettres indignées, standard téléphonique au bord de l’explosion, la rédaction du magazine dans lequel œuvre alors votre serviteur est sur le pied de guerre : mission, aller interviewer le pornographe du phonographe pour qu’il s’explique sur le tohu-bohu par lui involontairement provoqué. 

Résultat, me voilà un beau matin devant les grilles de l’auteur du Gorille, magnétophone antédiluvien sous le bras, un vieux machin à K7 dont même un brocanteur ne voudrait plus aujourd’hui. 

Ce qui explique évidemment la piètre qualité technique de l’enregistrement de cette conversation, qui va pourtant prendre un tour inattendu : car un Brassens en verve fera durer l’interview pendant près de deux heures. Nous sommes dans le 15ème arrondissement de Paris, au n°42 de la rue Santos Dumont, domicile du célèbre barde anar moustachu.

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Nous sommes au printemps 1979, soit quatre ans après la disparition de la vieille ORTF. Et pourtant, voilà qu’une chaîne de télévision, en l’occurrence Antenne 2, est secouée par un mini scandale. 

Au cours d’une émission de variétés présentée par l’ineffable Guy Lux à une heure de grande écoute, une chanson a écorché les prudes oreilles de nombreux téléspectateurs. Il s’agit de "Fernande", sémillant hymne érectile farouchement hétéro, interprété par son polisson d’auteur, Georges Brassens. 

Emoi, protestations, lettres indignées, standard téléphonique au bord de l’explosion, la rédaction du magazine dans lequel œuvre alors votre serviteur est sur le pied de guerre : mission, aller interviewer le pornographe du phonographe pour qu’il s’explique sur le tohu-bohu par lui involontairement provoqué. 

Résultat, me voilà un beau matin devant les grilles de l’auteur du Gorille, magnétophone antédiluvien sous le bras, un vieux machin à K7 dont même un brocanteur ne voudrait plus aujourd’hui. 

Ce qui explique évidemment la piètre qualité technique de l’enregistrement de cette conversation, qui va pourtant prendre un tour inattendu : car un Brassens en verve fera durer l’interview pendant près de deux heures. Nous sommes dans le 15ème arrondissement de Paris, au n°42 de la rue Santos Dumont, domicile du célèbre barde anar moustachu.

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