Speaker #0Bienvenue sur le podcast légitime, le podcast déculpabilisant pour toi qui t'es déjà senti trop ou pas assez. Moi c'est Clémentine, je suis coach confiance et estime de soi et je t'accompagne à reconnecter avec qui tu es, assumer ta personnalité et enfin te libérer du regard des autres. Mon objectif, que tu fasses péter tous tes verrous, que tu oses être toi et que tu ailles à fond vers la vie de tes rêves. retrouve chaque semaine des conseils, des clés, des retours d'expérience pour booster ta confiance et comprendre enfin que tu as de la valeur et que tu es légitime. Alors, tu es prête ? Aujourd'hui dans Légitime, j'avais envie de te parler de cette fameuse empathie qui nous sert parfois d'excuse pour ne pas affirmer nos besoins. En tout cas, c'est clairement l'excuse numéro 1, la raison numéro 1 pour laquelle les... 99% de mes clientes n'osent pas s'affirmer. Donc aujourd'hui, on va parler de ça. Et oui, je parle d'excuses parce que c'est vraiment une excuse qu'on utilise à tort et à travers. Et j'ai fait partie des gens qui ont utilisé cette excuse. Donc je t'explique tout ça dans l'épisode d'aujourd'hui. Mais avant ça, je t'invite à t'abonner au podcast si ce n'est pas déjà fait et à le partager autour de toi. Comme je te le disais, les trois quarts de mes clientes, de mes coachés, que ce soit vraiment en coaching individuel ou dans le programme, dis-toi oui, une des premières raisons qui fait qu'elles n'osent pas s'affirmer, c'est tout simplement qu'elles ont peur de blesser, elles ont peur de vexer, elles ont peur de décevoir. À chaque fois, j'entends cette fameuse phrase, « Oui, mais j'ai pas envie d'être méchante, Clémentine, j'ai pas envie de passer pour la méchante. » Et ça, c'est effectivement très très révélateur de l'image qu'on peut avoir de l'affirmation de soi. Cette image que s'affirmer, donc exprimer ses besoins ou exprimer une limite, c'est forcément être méchant, c'est forcément être agressif. Comme si c'était incompatible d'exprimer que toi quelque chose te dérange ou que tu aimerais qu'un comportement change et que ça se fasse dans le respect de toi mais aussi de l'autre. Comme si forcément ce que tu allais dire, si pour une fois tu te faisais passer en priorité, c'était forcément créateur de conflits, c'était forcément une attaque personnelle envers l'autre personne. Et comme toutes les clientes que j'accompagne ont tendance à se qualifier de très empathiques, voire d'hypersensibles, forcément que s'imaginer devenir quelqu'un qu'elles ne sont pas, quelqu'un qu'elles méprisent, quelqu'un qu'elles veulent éviter d'être à tout prix, ça ne va pas aider à s'affirmer. Il va y avoir un blocage, parce qu'automatiquement dans leur tête il y a cette idée de Si je m'affirme, je deviens méchante, je deviens agressive, je vais blesser l'autre personne, donc il vaut mieux que je me taise. Tant pis pour mes besoins, tant pis pour mes limites qui ne sont pas respectées. Moi, je ne veux pas créer de conflits, je ne veux pas faire du mal aux autres, donc je ne dirai rien. Donc, je vais prendre sur moi. Mais c'est là que je te dis que l'empathie, en fait, elle te sert d'excuse. Et elle leur sert d'excuse. Parce que finalement... L'empathie, ça n'est pas du tout le fait de se mettre à la place de l'autre. Ça, c'est une erreur. L'empathie, c'est chercher à comprendre ce que ressent l'autre. Tu peux effectivement t'imaginer, ah là, j'ai l'impression qu'elle a été blessée, j'ai l'impression qu'elle a été vexée. En tout cas, je remarque qu'il y a quelque chose qui a changé dans son comportement suite à mon expression de besoin, de limite. Mais l'empathie, ça n'est pas d'anticiper. réciper ce que pourrait ressentir l'autre. Ça c'est de l'anxiété, ça c'est de la peur, ça c'est de la projection de tes propres peurs, de tes propres potentielles réactions face à une remarque que tu pourrais recevoir. Parce que c'est pas parce que toi tu réagirais peut-être, tu te sentirais blessé par une critique et dans ce cas là ça pourrait aussi vouloir dire que tu manques d'estime de toi et que du coup tu as du mal à te trouver de la valeur Et forcément, dans ce cas-là, quand on te fait une remarque, tu le prends personnellement. Mais c'est pas parce que toi, tu le vivrais comme ça, que ça sera la même chose pour la personne en face. Je te donne un exemple très précis. Moi, avant, quand je cuisinais quelque chose et quand j'avais une très mauvaise estime de moi-même, si on me faisait la remarque « ne serait-ce que, ah, ça manque un peu de sel » , Je le prenais super mal et je m'énervais quasiment direct, ou en tout cas je disais « ouais, la prochaine fois, t'auras qu'à le faire toi-même » . Ou alors je me remettais en question à fond, genre « ma vie s'écroule, je suis trop nulle, je suis même pas capable de faire un plat suffisamment bon, suffisamment salé, c'est quand même pas compliqué » . Donc en fonction de la situation, je pouvais être vraiment sur la défensive ou vraiment sur la remise en question parce que mon estime de moi était très faible. Et je prenais tout vraiment comme une attaque très personnelle, comme si on remettait en doute en fait toute ma valeur, toute ma personne, juste parce que j'avais oublié de mettre un petit peu de sel dans ma quiche ou peu importe. Ce qui fait qu'à l'époque, je pense que j'aurais pas osé dire à quelqu'un que son plat justement manquait peut-être un peu de sel. Parce que je me serais dit, ah non mais ça va la blesser, ça va la vexer, elle va croire que son plat est pas bon, alors que pas du tout en plus, c'est super bon, juste... Moi, je préfère quand c'est un petit peu plus salé. Tu vois, déjà, il y a une nuance que je suis capable de faire aujourd'hui, de me dire, moi, je préfère quand c'est salé. Ça ne veut pas forcément dire que le plat manque de sel pour tout le monde. Et c'est une grande nuance à prendre en compte, même ça, quand tu communiques avec les autres. Mais ça, c'était une petite parenthèse. Aujourd'hui, si on me fait une remarque sur mon plat parce que ça manque de sel, je le prends tel que c'est, en fait. Juste une remarque, un constat. T'as quiche, elle manque de sel Clémentine. Fin de l'histoire. Donc oui, peut-être que c'est très personnel à la personne qui a goûté. Si tout le monde me dit que ça manque effectivement un peu de sel et que même moi je m'en rends compte à un moment donné, je vais pas essayer de lutter contre l'adversité quoi. Je me rends bien compte que c'est pas une attaque personnelle contre moi, mon identité, ma valeur ou même ma façon de cuisiner. Ça arrive d'oublier de mettre du sel dans un plat. Ça arrive même de se planter. C'est pas une fin en soi, ça définit pas toute la personne que tu es et tous les plats à venir. Surtout si c'est juste un manque de sel, bon même si c'est pas tout à fait pareil, derrière les gens peuvent en rajouter et ça va quand même très bien se passer. Bref, ce qui fait qu'aujourd'hui parce que mon estime de moi elle est meilleure, je suis capable d'accepter ses remarques, je ne le prends plus comme une attaque personnelle, je ne le prends plus comme un acte de méchanceté envers moi-même et je l'accepte. Et je suis beaucoup plus sereine par rapport à ça, ça ne me remet pas en question, ce qui fait que ça ne m'empêchera pas de refaire un plat la prochaine fois. Je ne vais pas tout arrêter parce que je vais me dire, ah bah non mais de toute façon je ne sais pas cuisiner, ce que j'aurais pu faire il y a quelques années. Et ce qui fait qu'en même temps, je suis beaucoup plus apte à dire aux personnes en face de moi aussi, si c'est nécessaire, si on me pose la question, bah ouais ton plat j'ai adoré, par contre c'est vrai que pour moi il manquait un peu de sel mais... Voilà, c'est un détail. Je ne m'empêche plus de le dire aux autres. Alors évidemment, il y a toujours une manière de dire les choses. C'est ce que je dis toujours en coaching. Il y a toujours une manière de formuler ton besoin, ta limite, ton avis. Parce qu'effectivement, si tu dis juste, « Ben ouais, sa banque de sel, c'était dégueulasse. » Bon ben oui, c'est pas très empathique, on est bien d'accord. Mais je crois qu'il y a un truc à bien nuancer aussi, c'est que l'empathie ne doit pas se transformer non plus en fausse bienveillance. Genre, Je vais te mentir pour ne pas te blesser. Parce que ça, ça fait pas des relations sincères, ça fait pas des relations authentiques. Et là, on parle juste de celle, donc évidemment, ça va pas créer des grandes guerres mondiales. Mais en même temps, tu te dis, si là, tu commences à mentir parce que tu veux pas blesser la personne, donc tu lui dis rien, mais que tu fais ça à chaque fois, et qu'à un moment, elle se rend compte que t'as pas trop aimé son plat, mais que t'as pas osé lui dire, que tu lui as dit, si, si, c'est bon. C'est là où elle va se vexer et c'est là où elle va tout remettre en question et se dire mais attends en fait elle me ment depuis le début. En fait je fais des trucs qui sont dégueulasses et personne ne me dit rien alors que j'aurais pu améliorer les choses entre temps. Il n'y a aucun bénéfice vraiment à mentir aux autres quand on te pose une question pour soi-disant les préserver parce que si la personne en face elle te pose la question c'est qu'elle veut un avis sincère parce que peut-être qu'elle a des doutes. sur ses capacités et qu'elle a besoin de savoir si, ok, il y a des choses à améliorer et peut-être comment améliorer. Donc encore une fois, il y a une manière de dire les choses, mais ça sera tout à ton bénéfice et au bénéfice de l'autre personne d'exprimer clairement ce que tu penses et avec honnêteté. Ça n'aide personne vraiment de brosser les gens dans le sens du poil quand en vrai tu ne penses pas totalement ce que tu dis. Et là, pour le coup, tu peux projeter à toi. Est-ce que t'aimerais que quelqu'un te brosse tout le temps dans le sens du poil, te dise ah oui oui c'est super ce que tu fais, c'est génial, c'est excellent, et qu'en fait il le pense pas vraiment, enfin... Qu'il le pense, mais qu'il y aura peut-être des axes d'amélioration, mais qu'il n'ose pas te les dire. Qu'est-ce que tu préférerais ? Avoir la possibilité de les entendre et de trouver une solution, et potentiellement avec cette personne, ou rester dans le déni et continuer à avoir ce doute permanent de dire « Je sais qu'il me dit ça, mais en vrai, j'ai l'impression que ce n'est pas totalement sincère. » L'empathie ne doit pas te servir d'excuse pour ne pas exprimer tes besoins, tes limites, ton avis. Tout simplement parce que tu n'es pas dans la tête des gens, tu ne vis pas la même chose que les gens, tu n'as pas la même perception que les autres en face de toi et que, encore une fois, si la personne en face de toi, elle, elle est totalement ouverte à la remarque pour s'améliorer, ben en fait, tu la prives même d'une possibilité de s'améliorer. Tu peux pas anticiper comment la personne va réagir. Je comprends que t'aies peur, parce que moi aussi j'avais peur de dire les choses, j'avais vraiment peur de faire du mal, j'avais vraiment peur de vexer. Mais en même temps, quand tu te caches derrière cette empathie, quand tu te caches derrière cette fausse bienveillance finalement, tu te prives aussi, toi, d'une meilleure estime de toi. Tu te prives, toi, d'écouter tes propres besoins, de te donner suffisamment d'importance. Parce que comment veux-tu avoir une bonne estime de toi ? Comment veux-tu avoir la sensation d'avoir de la valeur ? Quand toi-même tu fais tout pour ne pas t'accorder cette valeur et cette importance et ce temps et cette validité de ce que tu ressens, de ce dont tu as besoin. Ton empathie, elle ne va pas disparaître parce que ça doit faire trois fois que je te le dis, mais c'est ça qui va te permettre de bien communiquer à l'autre ce que tu as envie de lui communiquer et que si jamais... La personne se vexe parce que ça peut arriver, évidemment que ça peut arriver. Mais si la personne se vexe, grâce à ton empathie, grâce à ta sensibilité, tu vas être capable de trouver les mots, de chercher des solutions, de chercher à comprendre cette personne et peut-être de l'aider à comprendre ce qu'elle ressent aussi pour arranger la situation. Elle sera là, ton empathie. Elle sera dans la gestion de la situation. de la conversation, de la relation, une fois que tu te seras exprimé. Peut-être que ça va très très bien se passer, et tu verras que 99% du temps, ça se passe très très bien. Quand tu mets justement suffisamment de forme, mais tout en restant ferme, ça se passe très très très bien. Parce que s'affirmer, ça ne veut pas dire changer totalement ta personnalité. Ça ne veut pas dire imposer quoi que ce soit à l'autre. C'est juste exprimer ce que tu ressens. Exprimer tes besoins, tes envies. Donc ça, tu vas le faire comme, je sais pas, tu parlerais à tes amis du beau temps, de la météo, des Jeux Olympiques ou peu importe. Tu vas pas changer fondamentalement ta manière de t'exprimer. Tu vas juste changer ce que tu dis, que tu n'osais pas faire avant. Tu vas enfin oser parler de ce dont toi, tu as besoin pour que tu puisses enfin vivre ta vie et non pas celle des autres. Mais fondamentalement, tu vas pas changer qui tu es. Tu vas juste prendre un peu plus de place dans ta propre vie, exprimer ce que tu ressens, ce qui va amener un gros gros respect envers toi-même et une grosse preuve d'amour également, mais tu vas le faire aussi avec le respect que tu as toujours eu pour les autres et que tu ne vas pas perdre d'un coup. Pourquoi tu penses que tu changeras complètement de façon d'être finalement ? En vrai, j'ai la réponse, c'est que généralement, on a de très très mauvais modèles de ce qu'est l'affirmation de soi, donc on a l'impression que c'est imposé aux autres, mais je peux t'assurer que ce n'est pas le cas. Mais dis-toi juste qu'au lieu de te servir de l'empathie comme excuse de « Ah non, je ne veux pas faire du mal aux autres, donc ah non non, surtout je ne parle pas de mes besoins et de mes limites, comme ça, au moins, je suis sûre de ne pas blesser » , utilise l'empathie au contraire comme une force, comme un outil, comme une ressource. qui va te permettre de te respecter, qui va te permettre d'améliorer ton estime de toi, et qui va te permettre également de créer des relations saines, sincères, sans malentendus, sans non-dits, sans faux-semblants et sans fausses bienveillances. Parce que tu sauras dire les choses, non pas juste pour préserver entre gros guillemets les autres, parce que finalement tu ne sais pas s'ils allaient préserver vraiment, mais pour être sincère avec eux. pour leur apporter ce dont ils ont besoin, pour être dans l'écoute et pour avoir une relation beaucoup plus saine finalement. Donc en résumé, au lieu de te dire je ne m'affirme pas par empathie pour les autres parce que je ne veux pas les blesser, Essaye plutôt de te dire j'utilise mon empathie pour avoir des relations, des conversations saines, sincères et dans le respect de l'autre. C'est fini d'utiliser cette excuse pour se protéger, même si je sais que c'est totalement légitime et que moi aussi je l'ai fait. Parce qu'au moins, on ne prend pas le risque de décevoir, on ne prend pas le risque de blesser et surtout on ne prend pas le risque d'être abandonné. Mais personnellement, je me suis rendue compte, et je t'invite à te poser la question, est-ce que tu préfères vivre des relations dans lesquelles tu sais que les gens t'aiment, t'apprécient, passent du temps avec toi parce qu'ils t'apprécient tel que tu es, avec tes opinions, tes envies, qui ne sont peut-être pas du tout en accord avec les leurs, mais finalement c'est ça qui fait de toi, toi, et qui crée des débats peut-être très intéressants. Très drôle, très surprenant parfois, qui fait que les relations se nourrissent justement des différences de ce que chacun peut apporter à l'autre et que peut-être ça peut permettre de découvrir plein de nouvelles choses, de nouvelles passions, de nouvelles activités, de nouvelles façons de penser. Ou est-ce que tu préfères être aimé et accepté dans un groupe parce qu'en fait, ce que les autres aiment de toi, c'est l'image que tu leur renvoies, c'est cette fausse image que tu leur renvoies. D'une personne qui n'est finalement pas toi, d'une personne que tu ne reconnais pas dans le miroir quand tu enlèves ce masque, d'une personne qui fait tout pour les autres mais qui n'existe pas vraiment pour elle. Je suis assez fière parce que l'autre jour j'ai une de mes clientes qui m'a dit « Je me suis rendu compte qu'il ne faut pas donner à quelqu'un la réponse qu'il aimerait avoir juste pour ménager sa sensibilité si finalement c'est quelque chose que je ne pense pas vraiment. Parce que finalement ça donnerait une image de moi-même qui est fausse. Et ça c'est vraiment quelque chose que j'ai envie d'éviter. » Et tu vois, je crois que ça résume totalement ce que j'essaye de te dire dans cet épisode, c'est que quand t'essayes trop d'être soi-disant dans l'empathie, de préserver les autres de peurs qui ne tiennent généralement qu'à toi, c'est là où tu prends le risque de perdre un petit peu ton identité, de ne plus savoir qui tu es et d'avoir une mauvaise estime de toi. Et tu rentres alors dans un cercle vicieux. Et c'est pas forcément évident d'en sortir. Une des premières choses, je te dirais, c'est vraiment d'apprendre à te connaître. C'est encore basique, mais je te le dis tout le temps, mais apprends à connaître justement ses besoins, ses limites. Apprends à connaître pourquoi c'est important pour toi. Apprends à exprimer efficacement ce que tu as envie de dire pour que justement tu n'aies pas de malaise, que tu n'aies pas de mal-être à exprimer ce que tu ressens. Et derrière, tu verras que plus tu pratiqueras, plus tu commenceras à exprimer tes besoins, tes ressentis. Plus tu seras à l'aise à le faire, et plus ton estime, elle augmentera au fur et à mesure. Et ça fera un effet ricochet, et tu verras que tu commenceras de plus en plus à prendre soin de toi, même sur d'autres sujets, mais parce que t'auras enfin commencé à te donner de l'importance. Et d'autant plus que tu verras qu'avec les gens qui t'entourent, tu seras capable de créer des relations beaucoup plus claires, beaucoup plus saines, et tu verras que les gens ne t'en veulent pas quand tu exprimes un stop, quand tu exprimes une limite. Parce que quand c'est bien fait, c'est vite compris. Et si c'est pas compris, ça permet de faire du tri, ça je pense que je te l'avais déjà dit. Je vais arrêter cet épisode ici. Si t'as des questions par rapport à ça, tu peux venir me les poser sur Instagram. Si t'as envie d'aller un petit peu plus loin, pour justement être plus à l'aise à t'affirmer, mais que t'as encore quelques blocages, et que t'as encore un peu peur de ce qui pourrait se passer, je t'invite à rejoindre mon programme Dites-toi Oui. Il est encore accessible, c'est un programme en autonomie qui te permet de justement déceler les croyances, les peurs que tu as, venir les déjouer, venir comprendre comment penser différemment, comment s'ouvrir aux autres, comment mieux communiquer. Tu as plein d'outils de communication et je pense que ça sera un bon premier départ. Si ce n'est pas encore suffisant, tu peux réserver ton café découverte pour un accompagnement individuel. Dans tous les cas, je te laisse tout dans la description. Si t'as la moindre question, viens me la poser sur Instagram et sinon je te dis à la semaine prochaine pour un nouvel épisode avec mon invité sur le Burnout.