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Le journal d’une agoraphobe

Sortir de sa zone de confort, début de la guérison ?

Sortir de sa zone de confort, début de la guérison ?

04min |18/01/2025
Play
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04min |18/01/2025
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Description

Dans cet épisode, je vous raconte comment une simple envie de faire un gâteau avec ma fille a réveillé mes angoisses… et comment cette situation m’a fait réfléchir à mon prochain grand défi : notre déménagement dans une maison excentrée. Une décision ambitieuse, mais porteuse d’espoir !

Les moments-clés de l’épisode :

  1. Le défi du jour – JANVOIX : Un épisode construit autour de 5 mots imposés.

  2. La décision audacieuse : Construire une maison loin des commerces, un pari osé pour une agoraphobe.

  3. Un défi du quotidien : Affronter l’angoisse pour… aller acheter du chocolat à 5 minutes de chez moi.

  4. La culpabilité et le soulagement : Quand ma fille a pris le relais, une solution temporaire qui m’a fait réfléchir.

  5. Sortir de ma zone de confort : Ce déménagement m’obligera à dépasser mes limites, et c’est peut-être la clé de ma guérison.

Message principal :
Parfois, avancer dans son parcours, c’est accepter de se mettre au pied du mur. Ce déménagement représente une sortie totale de ma zone de confort, mais c’est un rêve que je veux atteindre pour ma famille. Ce genre de défi peut être une manière inattendue de se dépasser.

Questions pour les auditeurs :

  • Est-ce que vous aussi, vous avez du mal à bouger sans une situation qui vous pousse dans vos retranchements ?

  • Avez-vous déjà pris une décision ambitieuse qui vous a aidé à sortir de votre zone de confort ?

Appel à l’action :
Si cet épisode vous a plu, pensez à :

  • Vous abonner au podcast pour ne pas manquer les prochains épisodes du défi JANVOIX.

  • Laisser une note ou un commentaire pour me donner votre avis, ça m’aide énormément à continuer.

  • Partager cet épisode autour de vous pour toucher d’autres personnes qui pourraient se sentir concernées.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans ce 38e épisode du journal d'une agoraphobe. On est toujours en plein cœur du défi JANVOIX. Un épisode par jour pendant tout le mois de janvier avec chaque jour une petite contrainte originale. Aujourd'hui la consigne est plutôt sympa et un peu casse-tête aussi. Utilisez cinq mots imposés pour construire tout l'épisode. Ces mots sont implication, rêve, décision, énergie. Multitâches. Alors je vais essayer de les caser tout en partageant une nouvelle tranche de vie et en suivant la chronologie de mon parcours de guérison. En tout cas, même si ce défi peut hacher un peu mon rythme, je vous rassure, mon implication dans ma mission reste intacte. Partagez mon parcours de guérison. Peut-être que mes expériences vous inspireront, vous donneront des pistes ou simplement l'envie de parler de sujets qui, soyons, honnêtes sont encore bien trop souvent tabous. Petit rappel pour ceux qui prennent le podcast en cours. Nous en sommes au fait que dans la semaine, j'ai pris une décision assez osée pour quelqu'un comme moi, Agoraphobe. J'ai décidé de faire construire une maison. Et pas n'importe où. Une maison excentrée, loin du centre-ville, loin des commerces. Franchement, vous avouerez que c'est gonflé, non ? Mais c'est notre rêve. Et pour ça, Je suis prête à me surpasser. Le week-end arrive, ma fille et moi, on souhaite faire un gâteau. Classique, non ? Sauf qu'il nous manquait du chocolat. Et là, le supermarché, il est littéralement à 5 minutes à pied de chez moi. Autant dire un saut de puce. Mais bon, quand on est agoraphobe, c'est un Everest. Je fais les 100 pas dans l'appartement. Je me dis, allez, c'est juste à côté, tu connais ce village par cœur. Qu'est-ce qui peut bien t'arriver ? Mais non, il y a cette boule d'angoisse, cette voix dans ma tête qui me tétanise. Et là, pas moyen de trouver l'énergie pour y aller seule. J'ai eu une idée. Et si j'y allais avec ma fille ? Mais très vite, l'angoisse revient en force. Et si je fais une attaque de panique au supermarché, avec ma fille à côté en plus ? Le manège dans ma tête a duré une bonne heure. Imaginez-moi tourner en rond dans l'appartement et dans ma tête, ça tournait encore plus vite. Spoiler alert, ça ne tournait pas très rond pour être honnête. Au bout du compte, je n'ai pas réussi à me motiver. J'ai dû demander à ma fille d'y aller seule. Elle l'a fait, heureusement. Mais vous imaginez bien le mélange de soulagement et de culpabilité que j'ai ressenti. Ce n'est pas génial de devoir demander ça à son enfant. Pendant qu'elle était au supermarché, je me suis posée... plein de questions. Je me suis dit, dans quelques mois, on déménage dans cette maison. Un nouvel environnement, des voisins que je ne connais pas et surtout des commerces encore plus loin. Là-bas, ma fille ne pourra pas aller chercher le chocolat à ma place. Clairement, ce déménagement va être une sortie totale de ma zone de confort. Mais vous savez quoi ? Peut-être que c'est exactement ce dont j'ai besoin. Dans mon travail, je suis tout le temps en mode multitâches et il m'arrive souvent de devoir faire des choses qui me sortent de ma zone de confort. Je ne suis pas toujours à l'aise mais comme je n'ai pas le choix, je le fais. Avec ce déménagement, c'est peut-être la même chose. Je n'aurais pas d'autres options que de m'adapter. Alors ça devrait marcher, non ? Ce déménagement, c'est un rêve pour ma famille, et je vais mettre toute mon énergie pour qu'on y arrive, même si ça demande de faire un gros gros pas en avant. Ce que je retiens aujourd'hui, c'est que parfois, le seul moyen de progresser, c'est de se mettre au pied du mur. Pas le choix, on agit. Est-ce que c'est une bonne façon de fonctionner ? Je ne sais pas encore. Mais ce qui est sûr, c'est que ça m'a permis d'avancer jusqu'ici. Et vous ? Est-ce que vous aussi, vous avez des moments où vous ne bougez que parce que vous êtes dos au mur ? Je serais curieuse d'avoir vos retours là-dessus. En attendant, si cet épisode vous a plu, pensez à vous abonner. A laisser un petite note ou un commentaire. Et surtout, partagez-le autour de vous. Vos retours, c'est ce qui me donne la motivation de continuer ce défi un peu fou. Merci pour votre écoute et on se retrouve demain pour un nouvel épisode du défi JANVOIX !

Description

Dans cet épisode, je vous raconte comment une simple envie de faire un gâteau avec ma fille a réveillé mes angoisses… et comment cette situation m’a fait réfléchir à mon prochain grand défi : notre déménagement dans une maison excentrée. Une décision ambitieuse, mais porteuse d’espoir !

Les moments-clés de l’épisode :

  1. Le défi du jour – JANVOIX : Un épisode construit autour de 5 mots imposés.

  2. La décision audacieuse : Construire une maison loin des commerces, un pari osé pour une agoraphobe.

  3. Un défi du quotidien : Affronter l’angoisse pour… aller acheter du chocolat à 5 minutes de chez moi.

  4. La culpabilité et le soulagement : Quand ma fille a pris le relais, une solution temporaire qui m’a fait réfléchir.

  5. Sortir de ma zone de confort : Ce déménagement m’obligera à dépasser mes limites, et c’est peut-être la clé de ma guérison.

Message principal :
Parfois, avancer dans son parcours, c’est accepter de se mettre au pied du mur. Ce déménagement représente une sortie totale de ma zone de confort, mais c’est un rêve que je veux atteindre pour ma famille. Ce genre de défi peut être une manière inattendue de se dépasser.

Questions pour les auditeurs :

  • Est-ce que vous aussi, vous avez du mal à bouger sans une situation qui vous pousse dans vos retranchements ?

  • Avez-vous déjà pris une décision ambitieuse qui vous a aidé à sortir de votre zone de confort ?

Appel à l’action :
Si cet épisode vous a plu, pensez à :

  • Vous abonner au podcast pour ne pas manquer les prochains épisodes du défi JANVOIX.

  • Laisser une note ou un commentaire pour me donner votre avis, ça m’aide énormément à continuer.

  • Partager cet épisode autour de vous pour toucher d’autres personnes qui pourraient se sentir concernées.


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Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans ce 38e épisode du journal d'une agoraphobe. On est toujours en plein cœur du défi JANVOIX. Un épisode par jour pendant tout le mois de janvier avec chaque jour une petite contrainte originale. Aujourd'hui la consigne est plutôt sympa et un peu casse-tête aussi. Utilisez cinq mots imposés pour construire tout l'épisode. Ces mots sont implication, rêve, décision, énergie. Multitâches. Alors je vais essayer de les caser tout en partageant une nouvelle tranche de vie et en suivant la chronologie de mon parcours de guérison. En tout cas, même si ce défi peut hacher un peu mon rythme, je vous rassure, mon implication dans ma mission reste intacte. Partagez mon parcours de guérison. Peut-être que mes expériences vous inspireront, vous donneront des pistes ou simplement l'envie de parler de sujets qui, soyons, honnêtes sont encore bien trop souvent tabous. Petit rappel pour ceux qui prennent le podcast en cours. Nous en sommes au fait que dans la semaine, j'ai pris une décision assez osée pour quelqu'un comme moi, Agoraphobe. J'ai décidé de faire construire une maison. Et pas n'importe où. Une maison excentrée, loin du centre-ville, loin des commerces. Franchement, vous avouerez que c'est gonflé, non ? Mais c'est notre rêve. Et pour ça, Je suis prête à me surpasser. Le week-end arrive, ma fille et moi, on souhaite faire un gâteau. Classique, non ? Sauf qu'il nous manquait du chocolat. Et là, le supermarché, il est littéralement à 5 minutes à pied de chez moi. Autant dire un saut de puce. Mais bon, quand on est agoraphobe, c'est un Everest. Je fais les 100 pas dans l'appartement. Je me dis, allez, c'est juste à côté, tu connais ce village par cœur. Qu'est-ce qui peut bien t'arriver ? Mais non, il y a cette boule d'angoisse, cette voix dans ma tête qui me tétanise. Et là, pas moyen de trouver l'énergie pour y aller seule. J'ai eu une idée. Et si j'y allais avec ma fille ? Mais très vite, l'angoisse revient en force. Et si je fais une attaque de panique au supermarché, avec ma fille à côté en plus ? Le manège dans ma tête a duré une bonne heure. Imaginez-moi tourner en rond dans l'appartement et dans ma tête, ça tournait encore plus vite. Spoiler alert, ça ne tournait pas très rond pour être honnête. Au bout du compte, je n'ai pas réussi à me motiver. J'ai dû demander à ma fille d'y aller seule. Elle l'a fait, heureusement. Mais vous imaginez bien le mélange de soulagement et de culpabilité que j'ai ressenti. Ce n'est pas génial de devoir demander ça à son enfant. Pendant qu'elle était au supermarché, je me suis posée... plein de questions. Je me suis dit, dans quelques mois, on déménage dans cette maison. Un nouvel environnement, des voisins que je ne connais pas et surtout des commerces encore plus loin. Là-bas, ma fille ne pourra pas aller chercher le chocolat à ma place. Clairement, ce déménagement va être une sortie totale de ma zone de confort. Mais vous savez quoi ? Peut-être que c'est exactement ce dont j'ai besoin. Dans mon travail, je suis tout le temps en mode multitâches et il m'arrive souvent de devoir faire des choses qui me sortent de ma zone de confort. Je ne suis pas toujours à l'aise mais comme je n'ai pas le choix, je le fais. Avec ce déménagement, c'est peut-être la même chose. Je n'aurais pas d'autres options que de m'adapter. Alors ça devrait marcher, non ? Ce déménagement, c'est un rêve pour ma famille, et je vais mettre toute mon énergie pour qu'on y arrive, même si ça demande de faire un gros gros pas en avant. Ce que je retiens aujourd'hui, c'est que parfois, le seul moyen de progresser, c'est de se mettre au pied du mur. Pas le choix, on agit. Est-ce que c'est une bonne façon de fonctionner ? Je ne sais pas encore. Mais ce qui est sûr, c'est que ça m'a permis d'avancer jusqu'ici. Et vous ? Est-ce que vous aussi, vous avez des moments où vous ne bougez que parce que vous êtes dos au mur ? Je serais curieuse d'avoir vos retours là-dessus. En attendant, si cet épisode vous a plu, pensez à vous abonner. A laisser un petite note ou un commentaire. Et surtout, partagez-le autour de vous. Vos retours, c'est ce qui me donne la motivation de continuer ce défi un peu fou. Merci pour votre écoute et on se retrouve demain pour un nouvel épisode du défi JANVOIX !

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Dans cet épisode, je vous raconte comment une simple envie de faire un gâteau avec ma fille a réveillé mes angoisses… et comment cette situation m’a fait réfléchir à mon prochain grand défi : notre déménagement dans une maison excentrée. Une décision ambitieuse, mais porteuse d’espoir !

Les moments-clés de l’épisode :

  1. Le défi du jour – JANVOIX : Un épisode construit autour de 5 mots imposés.

  2. La décision audacieuse : Construire une maison loin des commerces, un pari osé pour une agoraphobe.

  3. Un défi du quotidien : Affronter l’angoisse pour… aller acheter du chocolat à 5 minutes de chez moi.

  4. La culpabilité et le soulagement : Quand ma fille a pris le relais, une solution temporaire qui m’a fait réfléchir.

  5. Sortir de ma zone de confort : Ce déménagement m’obligera à dépasser mes limites, et c’est peut-être la clé de ma guérison.

Message principal :
Parfois, avancer dans son parcours, c’est accepter de se mettre au pied du mur. Ce déménagement représente une sortie totale de ma zone de confort, mais c’est un rêve que je veux atteindre pour ma famille. Ce genre de défi peut être une manière inattendue de se dépasser.

Questions pour les auditeurs :

  • Est-ce que vous aussi, vous avez du mal à bouger sans une situation qui vous pousse dans vos retranchements ?

  • Avez-vous déjà pris une décision ambitieuse qui vous a aidé à sortir de votre zone de confort ?

Appel à l’action :
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  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans ce 38e épisode du journal d'une agoraphobe. On est toujours en plein cœur du défi JANVOIX. Un épisode par jour pendant tout le mois de janvier avec chaque jour une petite contrainte originale. Aujourd'hui la consigne est plutôt sympa et un peu casse-tête aussi. Utilisez cinq mots imposés pour construire tout l'épisode. Ces mots sont implication, rêve, décision, énergie. Multitâches. Alors je vais essayer de les caser tout en partageant une nouvelle tranche de vie et en suivant la chronologie de mon parcours de guérison. En tout cas, même si ce défi peut hacher un peu mon rythme, je vous rassure, mon implication dans ma mission reste intacte. Partagez mon parcours de guérison. Peut-être que mes expériences vous inspireront, vous donneront des pistes ou simplement l'envie de parler de sujets qui, soyons, honnêtes sont encore bien trop souvent tabous. Petit rappel pour ceux qui prennent le podcast en cours. Nous en sommes au fait que dans la semaine, j'ai pris une décision assez osée pour quelqu'un comme moi, Agoraphobe. J'ai décidé de faire construire une maison. Et pas n'importe où. Une maison excentrée, loin du centre-ville, loin des commerces. Franchement, vous avouerez que c'est gonflé, non ? Mais c'est notre rêve. Et pour ça, Je suis prête à me surpasser. Le week-end arrive, ma fille et moi, on souhaite faire un gâteau. Classique, non ? Sauf qu'il nous manquait du chocolat. Et là, le supermarché, il est littéralement à 5 minutes à pied de chez moi. Autant dire un saut de puce. Mais bon, quand on est agoraphobe, c'est un Everest. Je fais les 100 pas dans l'appartement. Je me dis, allez, c'est juste à côté, tu connais ce village par cœur. Qu'est-ce qui peut bien t'arriver ? Mais non, il y a cette boule d'angoisse, cette voix dans ma tête qui me tétanise. Et là, pas moyen de trouver l'énergie pour y aller seule. J'ai eu une idée. Et si j'y allais avec ma fille ? Mais très vite, l'angoisse revient en force. Et si je fais une attaque de panique au supermarché, avec ma fille à côté en plus ? Le manège dans ma tête a duré une bonne heure. Imaginez-moi tourner en rond dans l'appartement et dans ma tête, ça tournait encore plus vite. Spoiler alert, ça ne tournait pas très rond pour être honnête. Au bout du compte, je n'ai pas réussi à me motiver. J'ai dû demander à ma fille d'y aller seule. Elle l'a fait, heureusement. Mais vous imaginez bien le mélange de soulagement et de culpabilité que j'ai ressenti. Ce n'est pas génial de devoir demander ça à son enfant. Pendant qu'elle était au supermarché, je me suis posée... plein de questions. Je me suis dit, dans quelques mois, on déménage dans cette maison. Un nouvel environnement, des voisins que je ne connais pas et surtout des commerces encore plus loin. Là-bas, ma fille ne pourra pas aller chercher le chocolat à ma place. Clairement, ce déménagement va être une sortie totale de ma zone de confort. Mais vous savez quoi ? Peut-être que c'est exactement ce dont j'ai besoin. Dans mon travail, je suis tout le temps en mode multitâches et il m'arrive souvent de devoir faire des choses qui me sortent de ma zone de confort. Je ne suis pas toujours à l'aise mais comme je n'ai pas le choix, je le fais. Avec ce déménagement, c'est peut-être la même chose. Je n'aurais pas d'autres options que de m'adapter. Alors ça devrait marcher, non ? Ce déménagement, c'est un rêve pour ma famille, et je vais mettre toute mon énergie pour qu'on y arrive, même si ça demande de faire un gros gros pas en avant. Ce que je retiens aujourd'hui, c'est que parfois, le seul moyen de progresser, c'est de se mettre au pied du mur. Pas le choix, on agit. Est-ce que c'est une bonne façon de fonctionner ? Je ne sais pas encore. Mais ce qui est sûr, c'est que ça m'a permis d'avancer jusqu'ici. Et vous ? Est-ce que vous aussi, vous avez des moments où vous ne bougez que parce que vous êtes dos au mur ? Je serais curieuse d'avoir vos retours là-dessus. En attendant, si cet épisode vous a plu, pensez à vous abonner. A laisser un petite note ou un commentaire. Et surtout, partagez-le autour de vous. Vos retours, c'est ce qui me donne la motivation de continuer ce défi un peu fou. Merci pour votre écoute et on se retrouve demain pour un nouvel épisode du défi JANVOIX !

Description

Dans cet épisode, je vous raconte comment une simple envie de faire un gâteau avec ma fille a réveillé mes angoisses… et comment cette situation m’a fait réfléchir à mon prochain grand défi : notre déménagement dans une maison excentrée. Une décision ambitieuse, mais porteuse d’espoir !

Les moments-clés de l’épisode :

  1. Le défi du jour – JANVOIX : Un épisode construit autour de 5 mots imposés.

  2. La décision audacieuse : Construire une maison loin des commerces, un pari osé pour une agoraphobe.

  3. Un défi du quotidien : Affronter l’angoisse pour… aller acheter du chocolat à 5 minutes de chez moi.

  4. La culpabilité et le soulagement : Quand ma fille a pris le relais, une solution temporaire qui m’a fait réfléchir.

  5. Sortir de ma zone de confort : Ce déménagement m’obligera à dépasser mes limites, et c’est peut-être la clé de ma guérison.

Message principal :
Parfois, avancer dans son parcours, c’est accepter de se mettre au pied du mur. Ce déménagement représente une sortie totale de ma zone de confort, mais c’est un rêve que je veux atteindre pour ma famille. Ce genre de défi peut être une manière inattendue de se dépasser.

Questions pour les auditeurs :

  • Est-ce que vous aussi, vous avez du mal à bouger sans une situation qui vous pousse dans vos retranchements ?

  • Avez-vous déjà pris une décision ambitieuse qui vous a aidé à sortir de votre zone de confort ?

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  • Vous abonner au podcast pour ne pas manquer les prochains épisodes du défi JANVOIX.

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  • Partager cet épisode autour de vous pour toucher d’autres personnes qui pourraient se sentir concernées.


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Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans ce 38e épisode du journal d'une agoraphobe. On est toujours en plein cœur du défi JANVOIX. Un épisode par jour pendant tout le mois de janvier avec chaque jour une petite contrainte originale. Aujourd'hui la consigne est plutôt sympa et un peu casse-tête aussi. Utilisez cinq mots imposés pour construire tout l'épisode. Ces mots sont implication, rêve, décision, énergie. Multitâches. Alors je vais essayer de les caser tout en partageant une nouvelle tranche de vie et en suivant la chronologie de mon parcours de guérison. En tout cas, même si ce défi peut hacher un peu mon rythme, je vous rassure, mon implication dans ma mission reste intacte. Partagez mon parcours de guérison. Peut-être que mes expériences vous inspireront, vous donneront des pistes ou simplement l'envie de parler de sujets qui, soyons, honnêtes sont encore bien trop souvent tabous. Petit rappel pour ceux qui prennent le podcast en cours. Nous en sommes au fait que dans la semaine, j'ai pris une décision assez osée pour quelqu'un comme moi, Agoraphobe. J'ai décidé de faire construire une maison. Et pas n'importe où. Une maison excentrée, loin du centre-ville, loin des commerces. Franchement, vous avouerez que c'est gonflé, non ? Mais c'est notre rêve. Et pour ça, Je suis prête à me surpasser. Le week-end arrive, ma fille et moi, on souhaite faire un gâteau. Classique, non ? Sauf qu'il nous manquait du chocolat. Et là, le supermarché, il est littéralement à 5 minutes à pied de chez moi. Autant dire un saut de puce. Mais bon, quand on est agoraphobe, c'est un Everest. Je fais les 100 pas dans l'appartement. Je me dis, allez, c'est juste à côté, tu connais ce village par cœur. Qu'est-ce qui peut bien t'arriver ? Mais non, il y a cette boule d'angoisse, cette voix dans ma tête qui me tétanise. Et là, pas moyen de trouver l'énergie pour y aller seule. J'ai eu une idée. Et si j'y allais avec ma fille ? Mais très vite, l'angoisse revient en force. Et si je fais une attaque de panique au supermarché, avec ma fille à côté en plus ? Le manège dans ma tête a duré une bonne heure. Imaginez-moi tourner en rond dans l'appartement et dans ma tête, ça tournait encore plus vite. Spoiler alert, ça ne tournait pas très rond pour être honnête. Au bout du compte, je n'ai pas réussi à me motiver. J'ai dû demander à ma fille d'y aller seule. Elle l'a fait, heureusement. Mais vous imaginez bien le mélange de soulagement et de culpabilité que j'ai ressenti. Ce n'est pas génial de devoir demander ça à son enfant. Pendant qu'elle était au supermarché, je me suis posée... plein de questions. Je me suis dit, dans quelques mois, on déménage dans cette maison. Un nouvel environnement, des voisins que je ne connais pas et surtout des commerces encore plus loin. Là-bas, ma fille ne pourra pas aller chercher le chocolat à ma place. Clairement, ce déménagement va être une sortie totale de ma zone de confort. Mais vous savez quoi ? Peut-être que c'est exactement ce dont j'ai besoin. Dans mon travail, je suis tout le temps en mode multitâches et il m'arrive souvent de devoir faire des choses qui me sortent de ma zone de confort. Je ne suis pas toujours à l'aise mais comme je n'ai pas le choix, je le fais. Avec ce déménagement, c'est peut-être la même chose. Je n'aurais pas d'autres options que de m'adapter. Alors ça devrait marcher, non ? Ce déménagement, c'est un rêve pour ma famille, et je vais mettre toute mon énergie pour qu'on y arrive, même si ça demande de faire un gros gros pas en avant. Ce que je retiens aujourd'hui, c'est que parfois, le seul moyen de progresser, c'est de se mettre au pied du mur. Pas le choix, on agit. Est-ce que c'est une bonne façon de fonctionner ? Je ne sais pas encore. Mais ce qui est sûr, c'est que ça m'a permis d'avancer jusqu'ici. Et vous ? Est-ce que vous aussi, vous avez des moments où vous ne bougez que parce que vous êtes dos au mur ? Je serais curieuse d'avoir vos retours là-dessus. En attendant, si cet épisode vous a plu, pensez à vous abonner. A laisser un petite note ou un commentaire. Et surtout, partagez-le autour de vous. Vos retours, c'est ce qui me donne la motivation de continuer ce défi un peu fou. Merci pour votre écoute et on se retrouve demain pour un nouvel épisode du défi JANVOIX !

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