Description

Aujourd'hui, je suis avec Marie Line Stenger, psychothérapeute, et on vous éclaire sur le TDAH (trouble déficitaire de l'attention avec ou sans hyperactivité).

Quels sont les signes ? Comment l'appréhender ? Et est-ce que la pratique sportive peut aider ? Enfants, adultes, retrouvez des clefs pour mieux vivre ce trouble de l'attention et le mettre à profit au quotidien. La réponse, dans cet épisode.

🔗 Le site de Marie Line Stenger : https://www.therapie-enfant-lille.fr/
📚 Ses ouvrages : Les aventures de Zhapatou & Pour aller de l'inquiétude à la quiétude

💡☝️✨ La réponse est une série du podcast Conseil Sport de DECATHLON. Une interview d’expert·es pour prendre soin de soi, garder la forme et bien manger. Ce format vous est proposé par Céciliane, journaliste et coach sportif.

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Transcription

• Speaker #0

  Le 12 juin, c'est la journée nationale de sensibilisation du TDAH, alors on en parle et c'est Marilyn Stenger, psychothérapeute, qui nous éclaire sur ce sujet. Vous avez une question ? On a la réponse ! Vous écoutez Conseil Sport, le podcast bien-être, santé, nutrition de Décathlon. Bonjour Marilyn.

• Speaker #1

  Bonjour Céciliane.

• Speaker #0

  Merci de me recevoir avec toute cette bonne humeur dans ton cabinet, il fait beau aujourd'hui. Tout va bien. On parle aujourd'hui de TDAH, alors c'est un terme personnellement que j'ai découvert il n'y a pas si longtemps que ça et j'aurais besoin que tu m'éclaires tout de suite qu'est-ce que ça veut dire TDAH.

• Speaker #1

  Déjà c'est pas très joli toutes ces initiales. Donc TDA ça veut dire trouble déficitaire de l'attention, il y a une barre et il y a un H à côté. D'accord. Donc, c'est un trouble déficitaire de l'attention avec ou sans hyperactivité. Ok. Voilà un petit peu les initiales, à quoi ça correspond.

• Speaker #0

  Quels sont les symptômes ?

• Speaker #1

  Les symptômes, c'est là où c'est important quand même. Trois choses. Il y a une impulsivité très forte. Donc, je vais dire l'enfant, mais c'est pareil, ça ne s'arrête pas à 18 ans. On s'accommode après. La personne qui a un trouble TDA dit, c'est plus fort que moi. Je sais que ce truc-là, je ne pouvais pas le faire. Mais je n'ai pas pu m'en empêcher. Donc ça, quand on commence à entendre ça dans le discours d'un enfant, il sait que s'il se lève en classe et qu'il se met à sauter, il va se faire gronder par la maîtresse. Mais c'est plus fort que lui. Donc il y a cette notion d'impulsivité. Il y a cette difficulté de concentration. Il passe du coq à l'âne, il saute d'un point à un autre. Enfin, ça part dans tous les sens. Et puis, il y a aussi cette agitation motrice. Donc il bouge tout le temps, il saute tout le temps. est tout le temps en train de bouger.

• Speaker #0

  D'accord. Quelles sont les conséquences de ce genre de comportement ?

• Speaker #1

  Il y a des conséquences directes sur l'éducation, parce qu'ils sont quand même un peu fatigants.

• Speaker #0

  Oui, il faut rentrer dans un cadre,

• Speaker #1

  surtout dans une classe. C'est ça. Alors à la maison, ça fatigue les parents, mais j'allais dire, les parents s'en accommodent plus ou moins. Par contre, à l'école, ça va réellement poser un problème, parce qu'effectivement, rester assis, rentrer dans ce que les maîtresses disent le rôle d'apprenant, c'est compliqué.

• Speaker #0

  Et donc tu disais qu'on garde ça quand on est adulte ? Ah bah oui,

• Speaker #1

  ça rend ça, voilà.

• Speaker #0

  Donc il faut adapter sa profession, j'imagine aussi.

• Speaker #1

  Exactement, c'est ça. Et on va retrouver ces personnes-là, adultes, dans des professions dans lesquelles ils vont pouvoir bouger, avoir plein de projets différents, enfin voilà.

• Speaker #0

  Combien de personnes sont à peu près concernées ?

• Speaker #1

  Alors on ne sait pas trop, comme on dit toujours, c'est à peu près 3,5%, 5%, mais il y a quand même une grosse partie de la population qui n'est pas forcément diagnostiquée. On va juste dire, c'est un sale gosse, au pire. Ou au mieux, on va dire, dis donc, il bouge tout le temps. Quelle énergie, là !

• Speaker #0

  Comment on peut faire la différence entre quelqu'un qui se dit hyperactif, parce qu'il fait plein de choses, et un véritable trouble de l'attention ?

• Speaker #1

  Le véritable trouble, comme je te disais, il y a vraiment cette notion de l'éducation ne va pas l'aider. Les parents ne sont pas en cause là-dedans. Enfin, je ne vais dire jamais, parce qu'on fait ce qu'on peut avec nos enfants. Mais l'enfant sait qu'il ne doit pas faire, mais il le fait quand même. J'ai eu un petit garçon comme ça. Ses parents étaient agriculteurs, donc il y avait de la place. La maman me dit, mais s'il y a un trou dans le grillage, il va s'échapper. Alors qu'il y avait plein de place pour courir. Mais c'est plus fort que lui.

• Speaker #0

  Comment se faire diagnostiquer de ce trouble ?

• Speaker #1

  Ça peut parfois être le parcours du combattant. Il faut passer à un test. Donc il y a un test TDA. Ce test fait chez les neuropsychologues ou chez les neuropédiatres.

• Speaker #0

  D'accord.

• Speaker #1

  Mais la difficulté est que certains de ces petits loulous-là sont très contents de passer le test, parce qu'ils sont en one-to-one avec le psy, ils font des trucs, ils manipulent, ils sont contents.

• Speaker #0

  Oui, les tests sont sympas en fait. Voilà, mais oui,

• Speaker #1

  tout à fait, tout à fait.

• Speaker #0

  Tant mieux.

• Speaker #1

  Mais oui, heureusement, mais bon. Mais du coup, pendant le test, ça peut passer à la trappe, parce que comme c'est nouveau, comme c'est stimulant, comme il est tout seul avec un adulte, il peut tout à fait tenir le coup. La difficulté, c'est de passer le test et puis il faut aussi que le psy ait en tête tout ce qu'il y a au quotidien. Donc il faut tenir compte de ces deux éléments-là et le psy ne va pas forcément aller passer la journée avec le gamin à l'école et à la maison. Donc il faut trouver vraiment le neuropsy capable d'élargir un petit peu au niveau de son regard sur l'enfant.

• Speaker #0

  Tu me disais tout à l'heure en off, certains parents se découvrent à travers leurs enfants, on peut découvrir son TDA plus tard,

• Speaker #1

  quand on est adulte. Et du coup, ça redonne un éclairage sur son propre parcours scolaire, en disant « je comprends pourquoi j'étais tout le temps punie » . Parce qu'il y a quand même un facteur héréditaire. On ne sait pas encore trop comment ça passe, mais en général, quand on a Un papa ou une maman avec un TDA, il y a des chances d'avoir un enfant TDA.

• Speaker #0

  Que ça se transmette. Quels sont les conseils que je pourrais donner à toutes ces personnes pour bien vivre ce trouble de l'attention ?

• Speaker #1

  Il va falloir effectivement proposer des temps de déchargement, de dépoulage, où l'enfant va pouvoir courir, sauter, etc. Un enfant TDA, pendant le confinement, ça a été compliqué.

• Speaker #0

  J'imagine. Oui.

• Speaker #1

  En appartement, ce n'était pas possible. Voilà, c'est ça. Donc, le sport va avoir un impact important quand même.

• Speaker #0

  Le sport, c'est la principale chose que tu proposes ?

• Speaker #1

  Alors, le sport, pour certains, j'aime beaucoup leur proposer un temps de relaxation, méditation. On a qui grimpent dans les rideaux.

• Speaker #0

  Est-ce qu'ils y arrivent ? Est-ce qu'ils ont les ressources pour ce moment ?

• Speaker #1

  Oui, certains, oui. Il faut tester. Il faut tester. Il y en a un, une fois, il me disait, moi, je fais ma prière. Pourquoi pas ? Pourquoi pas ?

• Speaker #0

  C'est un moment d'apaisement où il se parle.

• Speaker #1

  C'est ça.

• Speaker #0

  Est-ce que la nutrition peut rentrer dans ce...

• Speaker #1

  Mais oui, on sait que si on mange des choses trop sucrées, on va avoir de l'agitation.

• Speaker #0

  Ah oui, donc ça, c'est vrai.

• Speaker #1

  Ah oui, ça, c'est sûr. Certains colorants aussi, dans les bonbons, les trucs comme ça. Mais oui, ça, on le sait. Donc, avant de faire les devoirs, par exemple, on rentre de l'école, on donne à goûter.

• Speaker #0

  Le goûter, c'est la chose la plus sucrée qu'on mange dans la journée.

• Speaker #1

  Et voilà, et là, les parents, ils se tirent une balle dans le pied parce que déjà, l'enfant, il a tenu plus ou moins à l'école. On lui demande de faire ses devoirs, de rester à nouveau assis pendant quelques minutes, voire plus. Et entre deux, on lui a donné des bonbons, on lui a donné une tartine d'une certaine pâte très sucrée. C'est compliqué, c'est compliqué. Donc, vaut mieux des fruits secs, vaut mieux des... Des fruits,

• Speaker #0

  des oléages neufs.

• Speaker #1

  C'est ça, c'est ça. Mais l'enfant, spontanément, on ne va pas aller là-dessus.

• Speaker #0

  Non, non, non, mais après, j'imagine, là, l'éducation rentre en compte. C'est ça. Pour le coup, c'est un levier où on peut intervenir.

• Speaker #1

  On peut intervenir. C'est pareil avec certaines boissons. On va éviter des boissons trop sucrées et des boissons qui donnent la pêche.

• Speaker #0

  Rien n'en a pas besoin.

• Speaker #1

  Eh non, eh non.

• Speaker #0

  Justement, je me dis, avec toute cette pêche, toute cette énergie, ça doit être des enfants ou des adultes qui sont très fatigués. J'imagine que le sommeil doit être aussi important ?

• Speaker #1

  Pas forcément, pas forcément, pas forcément. Ils n'ont pas forcément besoin de beaucoup de sommeil.

• Speaker #0

  D'accord, mais c'est des surhumains.

• Speaker #1

  Non, mais voilà, ils ont un fonctionnement quand même atypique. Et ça peut être très pratique, parce que ça permet de faire plein de trucs.

• Speaker #0

  Oui, oui, mais quand on le met au service de son quotidien, de des projets, j'imagine que oui, on peut être très, très efficace et balayer plein de choses.

• Speaker #1

  Tout à fait.

• Speaker #0

  Est-ce que la gestion du stress peut aider à apaiser ce rythme ?

• Speaker #1

  Oui, bien sûr. Toutes les techniques de gestion du stress, bien sûr. Parce qu'ils sont quand même aussi, comme tout le monde, soumis à un gros degré de stress. Quand l'enfant, l'adolescent sait qu'il va devoir plancher sur une disserte de philo pendant 3 heures ou 4 heures, ce n'est pas facile pour lui. Oui.

• Speaker #0

  Mais j'imagine que le fait de savoir qu'il ne peut pas tenir en place, ça va le stresser en plus.

• Speaker #1

  Voilà, c'est ça. Donc, ça rajoute, c'est ça.

• Speaker #0

  Donc, est-ce que tu donnes des outils ?

• Speaker #1

  Alors, la respiration, la cohérence cardiaque, enfin, toutes ces techniques-là sont intéressantes.

• Speaker #0

  Ce sont des outils qui peuvent utiliser, qui peuvent les apaiser.

• Speaker #1

  Et puis l'enfant, s'il a effectivement, là pour le coup, on peut dire diagnostiqué, parce que c'est quand même une pathologie, peut avoir des aménagements au niveau de l'école.

• Speaker #0

  D'accord.

• Speaker #1

  Et oui, ça c'est important. Donc parfois, les parents ne font pas forcément la démarche. Et quand je leur dis, mais vous savez, s'il y a un papier officiel qui dit qu'il y a un trouble déficitaire de l'attention, du coup, à l'école, on va l'autoriser. Alors ça, c'est à rendre dans les grandes négociations avec les enseignants. Ce n'est pas toujours facile.

• Speaker #0

  J'imagine qu'en fonction de comment la classe est fournie. C'est ça,

• Speaker #1

  les maîtresses ou les enseignants disent oui, mais il y a un TDA, il y a un haut potentiel, il y a un dyslexique. Voilà,

• Speaker #0

  j'imagine que ce n'est pas... Mais avec cette reconnaissance-là,

• Speaker #1

  on peut avoir des aménagements qui vont être mis en place, même pour passer les examens. Donc, c'est vraiment important d'avoir ça en tête.

• Speaker #0

  Oui. Donc, quand on a un doute sur tous les symptômes que tu as évoqués au début, on vient consulter. Et comme ça, on peut aussi mettre ce papier officiel et pouvoir adapter sa vie scolaire, notamment. Voilà.

• Speaker #1

  Il y a des aménagements tout simples. Une petite boule de pâte à fixe dans la main, au lieu de balancer ses jambes et de faire du bruit. il va patouiller, comme on dit dans le Nord, la boule de patafix, et puis ça ira mieux.

• Speaker #0

  Ça ira mieux. Ça ira mieux. Quel genre d'activité physique ou de sport tu proposes à des personnes qui n'ont pas trop d'idées, finalement, qui ne sont pas sportives ?

• Speaker #1

  L'athlétisme fonctionne bien, parce qu'il faut quand même avoir un peu la pêche. Les sports co sont finalement compliqués. Ah bon ? Mais oui, parce que l'enfant TDA va être dans un groupe, les autres ne vont pas forcément être. à la même...

• Speaker #0

  Dans le même mood.

• Speaker #1

  Ouais, c'est ça. Donc ça peut provoquer des disputes.

• Speaker #0

  Et puis ça peut stresser les autres.

• Speaker #1

  Oui, carrément. Donc l'athlétisme, la natation, parce qu'on s'éclot, ça détend, ça fait du bien. C'est vrai. Moi, j'aime parfois dire l'équitation.

• Speaker #0

  D'accord.

• Speaker #1

  Parce que la bestiole, elle est lourde, elle est grosse et parfois elle est plus têtue que l'enfant. Et lui, il va devoir se mettre au rythme de son poney ou de son cheval.

• Speaker #0

  C'est vrai que c'est intéressant. Oui.

• Speaker #1

  Il peut y avoir vraiment quelque chose d'apaisant.

• Speaker #0

  Oui, et puis il faut lui transmettre cette détente pour pouvoir... C'est ça,

• Speaker #1

  c'est ça. Si je suis trop énervée, le cheval va le sentir et ça ne va pas aller. Il va se passer quelque chose.

• Speaker #0

  Est-ce que tu proposerais davantage des sports, justement, apaisants ? Comment on sait quel sport va nous apporter ce qu'on attend ?

• Speaker #1

  Il faut tester, c'est toujours pareil. Je crois qu'il faut autoriser l'enfant à faire des allers-retours. Alors, au moins pendant un temps. Après, une fois qu'il s'est fixé un sport, on y reste. Mais c'est vraiment intéressant d'aller tester des choses. Et puis si vraiment ça ne va pas, c'est tout. Les arts martiaux peuvent aider aussi.

• Speaker #0

  Aussi, parce que c'est très discipliné pour le coup. Oui,

• Speaker #1

  justement. Très cadré. C'est très cadré. Parce que justement, il y a ce rapport à l'autorité, il y a ce cadre qui est là. On va aller saluer la photo du maître je ne sais pas qui là. Et ça peut aider, ça peut aider.

• Speaker #0

  Quand on est parent d'un enfant atteint de troubles de l'attention, Comment l'accompagner au mieux ? Alors, en quelques mots, j'imagine que... Déjà, le sujet, là, en 15 minutes,

• Speaker #1

  c'est très peu. On pourrait en parler beaucoup,

• Speaker #0

  beaucoup. Pour ce si vaste sujet, donc, quelles clés tu pourrais donner aux parents ?

• Speaker #1

  Déjà, connaître cette difficulté. Enlever l'étiquette, c'est un sale gosse. C'est pas un sale gosse. C'est un enfant qui a une difficulté pour rester calme. C'est vraiment important. Déjà, ce regard, il est fondamental. Donc, déjà ça. lui permettre de se défouler à des moments et l'entraîner aussi à rester calme à d'autres moments.

• Speaker #0

  À trouver des outils.

• Speaker #1

  À trouver des outils. J'ai un sablier dans mon bureau, on regarde pendant deux minutes le sable qui coule.

• Speaker #0

  C'est apprécier le moment présent aussi. C'est ça,

• Speaker #1

  mais oui, c'est tout un travail...

• Speaker #0

  Mais c'est bon pour tout le monde de le faire.

• Speaker #1

  Oui, de toute façon, un travail de longue haleine, mais c'est un bon travail qui va rendre service à tout le monde.

• Speaker #0

  Le trouble de l'attention, c'est à vie ?

• Speaker #1

  Oui, oui. Alors une fois qu'on est adulte, on s'en accommode. parce que dans sa vie professionnelle ou on va trouver le métier qui va nous permettre de bouger ou alors on va se dire c'est un métier, je fais effort mais je sais que ce soir je vais mettre mes chaussures le jogging aussi peut aider, ça va avec l'athlétisme je sais que je vais mettre mes baskets et je vais aller courir donc il faut s'autoriser en fait à s'écouter, à se dire j'ai mes jambes qui ont envie de bouger mon coeur qui est encore à fond j'ai besoin d'y aller je vais me défouler et trouver le moyen acceptable socialement, de rentrer là-dedans.

• Speaker #0

  Est-ce que tu as un dernier message ?

• Speaker #1

  C'est comme tout, il y a des belles choses et des moins belles choses. Je pense qu'il faut toujours se fixer sur les beaux côtés de la chose. Ça donne des personnalités intenses, des personnalités qui pensent beaucoup, qui peuvent créer, parce que du coup, ça remue aussi, ça fuse aussi dans le cerveau. C'est pas grave, docteur.

• Speaker #0

  Merci Marie-Lynne, est-ce que tu as des lectures à nous proposer je vois sur ton bureau pour aller de l'inquiétude à l'inquiétude que tu as écrit ?

• Speaker #1

  Oui, pendant le confinement parce que je m'ennuyais Tu t'ennuyais,

• Speaker #0

  tiens donc Et il y en a un deuxième qui est caché là derrière qui s'appelle Les aventures de Zapatou

• Speaker #1

  Zapatou Zapatou étant un petit personnage qui zapatou, qui touche à tout

• Speaker #0

  Ce sont des livres qui peuvent aider à comprendre ?

• Speaker #1

  Oui, c'est ça. Alors, on ne parle pas spécifiquement du TDA, mais on parle d'enfants différents et d'enfants qui ont besoin de calme. Donc, c'est vraiment des trucs et astuces pour aider les parents à comprendre un peu le fonctionnement de l'enfant et proposer des activités qui peuvent leur convenir.

• Speaker #0

  Super. Voilà. Merci beaucoup, Mariline.

• Speaker #1

  Un grand merci.

• Speaker #0

  À bientôt.

• Speaker #1

  À bientôt.

• Speaker #0

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