Speaker #0Welcome sur ce podcast Les Croqueuses. Je suis Pauline pour vous guider, à la fois coach, formatrice, praticienne EFT, facilitatrice de cercles, de sens rituel et de stages. Oui, oui, tout ça ! En fait, je suis exploratrice de tous les possibles. Les Croqueuses, c'est le podcast qui vous fait kiffer votre vie avec des interviews inspirantes, des bottages de fesses et 100% de motivation et de good vibes. On explore ensemble la résilience, la reconstruction et surtout, on prend beaucoup de plaisir à croquer la vie à pleines dents. Allez, prête à vibrer ? C'est parti pour une nouvelle dose de Good Vibes ! Youhou ! Je suis trop contente de voir avec vous et de vous annoncer cette super grande nouvelle. Je ne sais pas si vous aimez les vibes positives et les moments de joie. En tout cas, je suis certaine que vous allez adorer mon cadeau de fou. C'est la boîte à Good Vibes. Donc vous pouvez la télécharger dès maintenant pour avoir accès à une collection exclusive avec des cartes inspirantes qui vont illuminer votre journée à chaque tirage. Et le meilleur dans tout ça, c'est que c'est gratuit. La boîte à Good Vibes, c'est un cadeau que vous pouvez télécharger, que vous pouvez utiliser en PDF, que vous pouvez imprimer avec plein de belles surprises qui vous attendent. Vous allez voir et même de quoi faire des activités créatives. Ne manquez pas cette occasion de répandre la bonne humeur pour vous dans votre quotidien et autour de vous. Vous pouvez télécharger la boîte, je vous mets tout le nécessaire dans la description de l'épisode. Et surtout, n'hésitez pas ! Allez, aujourd'hui je vous embarque dans un nouvel épisode avec une réflexion sur la relation qu'on peut avoir chacun, chacune, avec la surconnexion, la surexposition aux connexions, aux interactions sociales, avec un monde dans lequel on est baigné de notifications sans fin. Donc dans l'épisode du jour, aujourd'hui, eh bien on va explorer pourquoi en fait on n'est pas du tout conçu pour absorber autant de stimuli et comment le fait d'être surexposé justement à toutes ces notifications, tout ça, ça va venir impacter notre bien-être mental, notre bien-être émotionnel. J'ai d'abord envie de commencer par la notion de système nerveux. C'est pas la première fois que j'en parle, c'est quand même ma spécialité. et en plus il se trouve qu'à l'heure où j'enregistre cet épisode de podcast je suis de nouveau en formation où on parle système nerveux où on parle émotionnel où on parle trauma Imaginez que votre système nerveux, notre système nerveux, soit comme une bulle, une bulle protectrice, une bulle sécure qui nous entoure et qui nous protège des agressions extérieures. Il y a aussi l'idée de la neuroception, c'est-à-dire que nous sommes quand même des êtres sociaux, des êtres avec des interactions sociales. La neuroception, c'est la capacité de notre système nerveux à percevoir et analyser absolument tous les petits signes qu'il peut y avoir dehors, à l'extérieur, de la part de gens, etc. qui pourraient être analysés et perçus éventuellement comme une menace potentielle, comme un danger, pour pouvoir adapter la réponse de notre corps et éventuellement agir, fuir, combattre, etc. Donc notre système nerveux c'est bien quelque chose d'automatique qu'on ne contrôle absolument pas et qui est censé nous protéger de toutes les agressions extérieures et qui est censé nous permettre aussi d'être en interaction sociale avec les autres avec cette fameuse neuroception qui nous permet justement de détecter absolument chaque petit signe de toutes les interactions sociales et de notre environnement. Maintenant, vous pouvez imaginer que cette bulle, cette bulle-là protectrice, finalement, elle est constamment bombardée avec des stimulations, avec des notifications, avec des bruits, avec des lumières. Du coup, c'est comme si notre bulle sécure, elle est en permanence complètement secouée, constamment sur le point d'exploser. Ce qui fait que notre système nerveux, notre essence même, il est en mode survie en permanence. En fait, on est censé alterner des modes de connexion sociale et des modes de récupération. On a, en tout cas si jamais on synthétise et on schématise, c'est quelque chose qu'on a déjà abordé dans un autre épisode, le système nerveux justement. Il y a deux branches principales, la branche sympathique et la branche parasympathique. La branche sympathique est celle qui permet à notre corps de se mettre en action, de se mouvoir, d'être en interaction sociale, de réagir en cas de danger, et voilà. La branche parasympathique, c'est un petit peu le mode pause, c'est le frein. C'est le moment où on ralentit et le moment où on récupère. Le moment où on peut se détendre, où on peut se relâcher, où notre corps interprète qu'on n'est pas en danger et donc que là, on peut se relâcher complètement et permettre à chacun de nos organes de récupérer. Quand on a plus cette alternance sympathique-parasympathique-calme-stimulation et qu'on est en permanence dans les stimulations, on ne permet pas à notre corps de récupérer. Je ne sais pas si vous arrivez à suivre un petit peu mon raisonnement. En fait, on a besoin de vide et de pause dans notre quotidien pour pouvoir récupérer. Sauf que dans le tourbillon d'activité et de connexion incessante de notre société, Eh bien en fait, c'est indispensable, c'est crucial de pouvoir de nouveau laisser de la place pour le vide, pour le calme, pour l'intégration. Moi quand je suis en séance, à beaucoup de mes coachés, à beaucoup des femmes et des personnes que je suis, il y a des moments où elles ont envie d'agir et de faire énormément de choses. Et dans Libère et Rayonne, c'est un accompagnement qui dure trois mois. Il y en a certaines qui me disent, ah mais non, mais moi je voudrais beaucoup plus. Sauf qu'il y a systématiquement un moment où le corps, il a besoin de se mettre en pause. dans les différents modules qui s'ouvrent, il y a des fois où ça s'ouvre toutes les deux semaines, il y a des fois toutes les trois semaines et on laisse du temps parfois toutes les quatre semaines pour permettre justement cette pause d'intégration pour laisser les enseignements diffuser, infuser. Et donc ce que je dis régulièrement en séance, c'est maintenant tu laisses poser et tu laisses infuser tout ça. Imaginez comme un sachet de thé qu'on trempe dans l'eau vous venez de verser de l'eau brûlante sur votre sachet de thé, vous ne vous mettez pas à boire tout de suite. Parce que d'une part, vous risquez de vous brûler, et d'autre part, le sachet, il n'a pas encore laissé diffuser tous ses arômes et tout ça. Moi, je consomme beaucoup de tisane et d'infusions ayurvédiques. Et ces infusions-là, en fait, elles ont besoin de temps. Elles ont besoin, il y en a notamment une que j'adore, et je la laisse systématiquement infuser au moins 7 minutes. Parce que... C'est là qu'en fait je retrouve tous ces arômes, tout ce qui est subtil et qui me permet de pouvoir apprécier. Il y a cette idée d'infuser, cette idée de calme, cette idée d'intégration. Comme dans la nature en fait. Nous, on fait partie de la nature et c'est pas la première fois que je le dis là aussi. On a besoin de cycles de repos et on a besoin de cycles de régénération pour maintenir notre équilibre intérieur. Toujours si on prend cette analogie à la nature, Le printemps, c'est le moment où, de nouveau, la nature s'éveille, toute forme de vie, aussi bien les végétaux que les animaux. C'est la saison des amours, c'est la saison où on entend de nouveau les oiseaux chanter, les grillons. Et on voit tout ça qui émerge comme un foisonnement. C'est sortir de cette dormance. Et l'été, c'est le moment où il y a l'abondance. C'est le moment où on récolte, c'est le moment où on cueille à profusion des fruits, des légumes. Il y a vraiment cette prospérité, cette abondance partout où on regarde en fait. Et puis progressivement, il y a ce retrait de la nature au mois d'octobre, novembre. Il y a cette pause, ce ralentissement qui se met en place. Et on a souvent aussi dans les croqueuses fait le parallèle avec notre cycle menstruel, nous en tant que femmes. Et malheureusement, c'est une déconnexion qu'on fait régulièrement. Dans nos modes de vie bétonnés, dans nos modes de vie surstimulés, on se coupe parfois de ce côté physiologique et biologique de nos propres besoins, de la même façon que la nature a besoin. Notre corps, il est fait pour alterner les moments de calme et les moments de stimulation. dans cette nature qui se retire avec cette pause totale pendant la saison de l'hiver. Prendre du temps pour ne rien faire, pour simplement être, c'est comme offrir à notre système nerveux une bouffée d'air frais, un moment de répit dans la tempête de la vie moderne. Je ne sais pas si vous avez déjà remarqué qu'il y a cet effet cocotte minute aussi. En fait, vous voyez, on a 10 milliards de choses à faire, on a une to-do list à rallonge, on a les repas à penser, on a les courses à faire, on a les rappels de vaccins, on a tel truc à organiser avec la tante Germaine, notre vie professionnelle à organiser, à prendre soin des autres si jamais on a une famille qui nous a placés dans cette posture-là ou si on s'est soi-même placé là-dedans. Il y a cette sur-stimulation, il y a les réseaux sociaux, il y a les notifications sur WhatsApp, les notifications des podcasts, les notifications sur YouTube, les notifications sur Insta, sur TikTok, sur Facebook, peu importe. Il y a ces messages que machin nous envoie et qui demandent à ce qu'on réponde dans la minute ou en tout cas très très rapidement. Il y a ce mail professionnel, zut on a mis une semaine à répondre et bien on sait qu'on risque d'avoir derrière des répercussions parce qu'il y a cette idée de stimulation, d'immédiateté et il y a plus ce délai de réponse pour prendre le temps et ralentir comme faisaient les anciens avant en fait, comme tout le monde pouvait faire en fait. Et comme on n'a plus ce moment de vide, ce moment de pause où on laisse à notre mental le temps d'arrêter cette surchauffe, où on laisse à notre système nerveux le temps de se mettre un peu dans le parasympathique pour pouvoir se régénérer, où on laisse le temps à notre corps et à nos organes de se mettre sur pause, de ralentir ou au contraire d'accélérer parce que quand on est dans le sympathique, on ralentit au niveau de la digestion. Enfin, il y a plein d'équilibres comme ça qui ne peuvent pas se faire quand on est... en surstimulation en permanence. Et donc, à un moment donné, il se peut qu'il y ait une personne, une chose, un événement qui arrive, qui n'était pas prévu et c'est la goutte de trop. C'est le truc là qui vient vous faire exploser. Mais clairement, votre réaction, elle est disproportionnée, proportionnellement au tout petit truc qu'il y avait à la base. Peut-être que c'est votre enfant qui vous appelle de nouveau quand vous essayez de vous accorder un temps tranquille sous la douche. ou aux toilettes, ou alors que vous recevez un message de rappel parce que vous n'avez pas répondu pour le cadeau que vous organisez pour telle personne. Et là, c'est le moment où vous explosez, vous vous mettez à crier, ou alors, au contraire, vous basculez dans un autre mode. Là, c'est un petit peu plus complexe, le mode dorsal, où vous n'avez plus du tout d'énergie. Vous êtes en mode tristesse, désespoir, découragement. Vous n'avez plus envie de rien du tout. Là, on est un peu dans le burn-out, on est dans le craquage. Et c'est le moment de faire pause ! C'est le besoin de vide que vous n'avez pas respecté, qu'on n'a pas respecté et qui fait que ça explose comme ça parce qu'on n'a pas eu ce yo-yo entre stimulation et rien, entre faire et être, entre le parasympathique et le sympathique. Je m'inspire énormément dans absolument tout ce que je fais. Dans Libère et rayonne, on parle de la nature, on parle de l'observation du terrain, on parle des cycles. Dans les cercles et les stages que je fais, on fait beaucoup d'analogies à la nature. Sur le podcast, on en a déjà fait avec aussi notamment l'interview de Marina, femme inspirante, l'épisode 60. Si vous ne l'avez pas écouté, je vous invite à l'écouter, il est vraiment très intéressant. que vous soyez dans l'univers de Marina ou pas, peu importe, c'est pas le sujet, l'objectif de ces épisodes femmes inspirantes et de tous les autres, c'est vraiment d'ouvrir un petit peu le champ des possibles, le champ des connaissances, le champ de tolérance aussi, pour derrière pouvoir vivre un petit peu plus en harmonie et sans girement les uns avec les autres et les unes avec les autres. Donc dans absolument tout ce que je fais, mes séances de coaching, mes séances de FT, Libère et Rayonne, les stages et tout ça, On parle de l'harmonie de la nature et de ses cycles de la nature, les saisons, les marées, les phases de la lune en fait. Tout ça, dans la nature, il y a un rythme, il y a une cadence naturelle qui permet un équilibre, qui permet une régénération. Et nous, quand on se reconnecte à ces cycles-là, de la nature, de la lune, qu'on prend exemple sur la sagesse de notre propre nature parce qu'en fait nous, nous sommes des humains et les humains, on n'est pas fait pour être dans le mental en permanence. On est doté d'un corps physique dans lequel on s'est incarné qui a des besoins physiologiques et un des besoins primaires, c'est ce temps de pause en plus de manger, en plus de dormir, etc. en trouvant les moyens de nous retirer du tumulte de la vie moderne, pour nous reposer, pour nous ressourcer, eh bien en fait, on se permet de se réaligner avec notre véritable nature et de retrouver un peu de paix, un peu de calme, un peu de sérénité. Et Dieu sait qu'on en a besoin en ce moment, dans ce monde suragité, surconnecté en permanence. Je dis ça, mais je sais que ce n'est pas évident à faire. Moi, à la première, pour mon travail, je suis sur les réseaux sociaux. Mais en fait, il y a des moments où je ne veux même plus voir mon téléphone. Il me sort par les yeux. Et pour info, alors que c'est mon travail, j'ai coupé toutes mes notifications des réseaux sociaux la journée. De 7h du matin à 19h, c'est moi qui ai décidé, je n'ai aucune notification. Ce qui fait que les fois où j'ai besoin d'y aller, Là, je vois les informations, je vois vos commentaires, je vois vos likes, je vois vos partages, je vois tout ça. Et je peux y répondre. Mais parce que moi je l'ai décidé et parce que j'étais disponible pour ça. L'autre jour, je suis partie en couple. Quelques jours, ça ne m'était pas arrivé depuis un petit moment. Et je vous avoue que dans ce monde hyper connecté, moi aussi, j'ai besoin de ces rappels à l'ordre. J'ai besoin de me souvenir à quel point c'est important et précieux pour mon corps de m'accorder ces moments-là. Alors certes, j'arrive à les avoir, je suis dans le respect de mon cycle, j'observe énormément, je respecte ces phases de repos, notamment quand je suis en lune. Je m'accorde des temps pour me ressourcer, des temps de méditation, des temps de calme, des temps de sieste, des temps de jardinage qui est aussi moi ma spiritualité et une forme de méditation. Des temps de connexion avec la nature, tout ça je l'ai. Malgré tout, il y a cette abondance de notifications. et de connexion sociale sur tous les outils, tous les médias, tous les moyens qu'on a de rester en communication les uns avec les autres. Au temps de la préhistoire, au temps du Moyen-Âge, au temps de... Il n'y a pas encore si longtemps que ça, il n'y avait pas tous ces réseaux sociaux qui font qu'on est en permanence en lien avec les autres. Sur Insta, sur WhatsApp, sur Facebook, peu importe le réseau que vous utilisez, sur LinkedIn, sur TikTok et tout ça. Peu importe le réseau, mais en tout cas, il n'y avait pas toutes ces surstimulations. Et donc, quand je suis partie en couple pour en revenir à ça, eh bien j'ai coupé, j'ai éteint toutes les données mobiles parce que je ne voulais pas être joignable. Je voulais pouvoir utiliser mon téléphone pour prendre des photos, pour garder des souvenirs, pour prendre des vidéos. je voulais m'accorder cette pause-là, je ne voulais plus être en connexion avec les autres, avec le reste du monde. Ce besoin de se replier sur moi, ce besoin de refaire corps avec moi, avec mon système nerveux, avec mon compagnon et qu'on soit vraiment dans notre bulle ensemble en fait. Est-ce que ça vous parle un peu ? Est-ce que vous arrivez à suivre un petit peu ce que j'essaye de partager là dans cet épisode ? C'est que notre corps d'un point de vue biologique et physiologique, il n'est pas fait pour toutes les stimulations sociales et les interactions et les notifications qu'on a aujourd'hui. Est-ce qu'il augmente le nombre de burn-out ? Est-ce qu'il augmente le nombre de craquages, de burn-out professionnel, personnel, parental ? Peu importe. Tout ça, en fait, c'est le fait qu'on soit constamment dans le matal, qu'on soit constamment dans la surstimulation, sans s'accorder ces temps de pause, ces temps de rien, ces temps juste pour être présent à soi. Je ne sais pas comment est-ce que vous vivez les choses, mais moi, ça m'arrive quand je n'ai pas eu ces temps de pause depuis un moment, d'être totalement perdue au moment où je m'arrête. et je me dis, ok, je fais quoi ? Est-ce que je prends mon téléphone ? Ah non. Est-ce que je prends un livre ? Bah non, même pas en fait, j'ai besoin de rien. Bon, bah, je fais rien, ok. Mais en fait, ce temps-là, c'est un apprentissage, c'est un rythme, c'est une habitude, une routine, quelque chose qui se met en place. Et c'est physiologiquement normal. on est dans un monde de surproductivité aussi, où on valorise énormément le faire. Ce qui fait que tous ces moments de pause, tous ces moments de repos qui sont indispensables à notre corps, ne sont absolument pas valorisés, voire même ils peuvent être totalement critiqués, totalement jugés comme quelque chose de pas normal, et peut-être que vous êtes là-dedans aussi, avec une tendance à critiquer, juger. commenter les personnes qui seraient justement dans ce ralentissement. Moi, je suis partisane de l'équilibre. Ombre, lumière, ying, yang, abondance, repos. je n'aime pas être dans un à l'excès ou dans l'autre à l'excès. Donc je ne suis pas dans le 100% lent tout le temps, non. Moi je suis aussi dans je me bouge les fesses, clairement, j'agis, je me mets en action. Et il y a des moments où je suis solaire, il y a des moments où je rigole, et il y a d'autres moments où j'ai juste envie d'envoyer promener les gens, j'ai juste envie qu'on ne parle pas, j'ai juste envie de me replier et d'être seule avec moi-même. mais aujourd'hui j'ai appris à respecter ça et j'ai appris à ne plus juger, à ne pas juger, tous ceux qui sont dans cette démarche-là de ralentissement, tous ceux qui sont dans cette démarche de être, tous ceux qui sont dans cette démarche de pause et de vide. Parce que c'est indispensable à notre biologie, à notre physiologie, et c'est une façon de régénérer au niveau des organes et au niveau du système nerveux. Et voilà mes chères croqueuses, l'objectif de cet épisode c'était de nous inviter chacun, chacune à prendre conscience de l'impact de la surconnexion sociale des notifications, des réseaux sociaux sur notre bien-être et de trouver les moyens de réduire cette frénésie pour retrouver l'équilibre. Peut-être que ça peut être de mettre en pause les notifications de telle heure à telle heure dans la journée. Peut-être que ça peut être de vous accorder un week-end par mois où vous coupez totalement les réseaux sociaux. Ou alors tous les week-ends. Ou alors tous les soirs. Ou de vous imposer des horaires. Moi j'ai aussi mis en place une règle. Il se trouve que là on a fait le choix avec mon conjoint de ne pas donner d'écran à nos enfants. Mais c'est un choix très personnel et dans tous les cas, on est au moins deux à avoir des écrans, donc téléphone portable pour mon conjoint et moi. Et on a fait le choix de les mettre le plus loin possible et de les écarter de nous. Le temps du repas, le temps des balades en famille, le temps de tout ça pour que ces moments avec nos enfants soient des vrais temps de qualité et de présence et de disponibilité pour eux. Et peut-être que chacune peut réfléchir et s'accorder des moments de silence, des moments de solitude, voir comment c'est possible dans chacune notre emploi du temps. Et ce sera peut-être juste les 5 minutes sous la douche, avec un panneau sur la porte, avec un sens interdit qui dit interdiction de rentrer ou dans les toilettes. Et oui, peut-être que ça dépend aussi de l'âge de vos enfants, si jamais vous en avez. Mais dans tous les cas, c'est une éducation qui se fait. Et si vous vous respectez ce temps de pause pour vos propres enfants, c'est indispensable que vous montriez l'exemple comme quoi vos propres besoins à vous doivent être pris en compte de la même façon que ceux de vos enfants. En prenant soin de vous, en vous accordant ces moments de pause, de solitude, de silence, de contemplation, vous permettez à votre système nerveux de se régénérer, à votre âme de retrouver sa tranquillité, vous prenez soin de vous pour pouvoir continuer d'oeuvrer derrière parce que sinon c'est la cocotte minute ça explose et à un moment donné ça risque de se répercuter sur les autres, sur vous, sur votre famille et peut-être même professionnellement N'oubliez jamais que vous méritez d'être en paix, même dans ce monde hyper connecté, et que vous avez le droit de différer votre réponse, de dire mince, je ne réponds pas ce soir. Non, ce n'est pas ok pour moi en fait. Là, moi ce dont j'ai besoin, c'est de ce temps seul, de qualité, avec moi, à lire, ou en tête à tête avec telle personne, ou à faire un jeu de société avec mes enfants, ou à me balader dans la nature, ou à jardiner, peu importe. Est-ce qu'on est obligé de répondre dans la minute ? Est-ce qu'on est obligé d'avoir avec nous tout le temps et systématiquement notre téléphone portable ? Est-ce qu'on est obligé de voir du monde tout le temps ? Aujourd'hui, je respecte beaucoup plus dans mon hypersensibilité mon besoin de solitude. Et donc très régulièrement, quand j'ai des sollicitations, des invitations et que c'est pas ok pour moi parce que j'ai pas pris soin avant de me régénérer, je dis non en fait. Parce que je sais que là, je vais être en mode survie et que je ne vais pas permettre à mon système nerveux de se calmer et de s'apaiser. prenez soin de vous et rappelez-vous de vous accorder le plus précieux cadeau du vide et de la pause je vous souhaite une très belle soirée une bonne journée une bonne nuit, peu importe à quel moment vous écoutez ce podcast je remercie aussi toutes celles qui se sont abonnées toutes celles qui me font des commentaires toutes celles qui notent et qui mettent les 5 étoiles ça aide vraiment le podcast à être connu et à toucher encore plus de femmes et si jamais c'est pas déjà le cas vous pouvez déjà vous abonner sur mon compte Pauline Vermont Essentiel sur les réseaux sociaux à très vite ! Merci d'avoir croqué l'épisode avec moi jusqu'au bout. Et s'il vous a plu, qu'il vous a donné le sourire, partagez-le et notez-le sur votre plateforme d'écoute préférée. Vos étoiles font briller les croqueuses encore plus fort. Ne manquez pas le prochain épisode en vous abonnant dès maintenant. Et croquez la vie avec gourmandise ! Je vous dis à la semaine prochaine pour encore plus de pétillance et d'inspiration.
