Speaker #0Welcome sur ce podcast Les Croqueuses. Je suis Pauline pour vous guider, à la fois coach, formatrice, praticienne EFT, facilitatrice de cercles, de soins rituels et de stages. Oui, oui, tout ça ! En fait, je suis exploratrice de tous les possibles. Les Croqueuses, c'est le podcast qui vous fait kiffer votre vie avec des interviews inspirantes, des bottages de fesses et 100% de motivation et de good vibes. On explore ensemble la résilience, la reconstruction et surtout, on prend beaucoup de plaisir à croquer la vie à pleines dents. Allez, prête à vibrer ? C'est parti pour une nouvelle dose de Good Vibes ! Youhou ! Je suis trop contente de voir avec vous et de vous annoncer cette super grande nouvelle. Je ne sais pas si vous aimez les vibes positives et les moments de joie. En tout cas, je suis certaine que vous allez adorer mon cadeau de fou. C'est la boîte à Good Vibes. Donc vous pouvez la télécharger dès maintenant pour avoir accès à une collection exclusive avec des cartes inspirantes qui vont illuminer votre journée à chaque tirage. Et le meilleur dans tout ça, c'est que c'est gratuit. La boîte à Good Vibes, c'est un cadeau que vous pouvez télécharger, que vous pouvez utiliser en PDF, que vous pouvez imprimer avec plein de belles surprises qui vous attendent. Vous allez voir et même de quoi faire des activités créatives. Ne manquez pas cette occasion de répandre la bonne humeur pour vous dans votre quotidien et autour de vous. Vous pouvez télécharger la boîte, je vous mets tout le nécessaire dans la description de l'épisode. Et surtout, n'hésitez pas ! Salut les croqueuses ! Aujourd'hui j'aborde avec vous un sujet qui me touche particulièrement et j'avoue qui m'énerve. Donc on va pouvoir mettre les pieds dans le plat ensemble et aborder ce sujet du jugement. On est dans un épisode boost, c'est-à-dire qu'il est plus court, qu'il est plus impactant et que l'objectif est un petit peu de se botter les fesses ou en tout cas de sortir peut-être dans une forme de routine ou de continuité à laquelle on ne réfléchirait même plus. Et moi, clairement, j'en ai assez de voir toutes les critiques non-stop qui peuvent fuser sur les réseaux sociaux, que je peux entendre dans la bouche de telle ou telle personne que je croise en repas de famille ou dans une réunion avec des collègues. Peu importe, tous ces mots-là, un peu comme des flèches empoisonnées en fait, qui se propagent et juste qui font mal et qui servent à rien. Et donc aujourd'hui, c'est mon petit coup de gueule du jour. Ce qui me frustre, c'est de voir que la majorité de ces jugements qui sont formulés dans la bouche de ces personnes que j'entends, eh bien c'est généralement leurs propres insécurités qu'ils parlent, leurs propres croyances ou leurs propres pensées limitantes. Et ça justement, on va l'aborder tout au long de cet épisode. Donc j'ai envie de mettre un gros coup de pied dans la formilière pour mettre fin à cette culture du jugement et de l'autosabotage. Parce que, soyons honnêtes, on juge tous et toutes, c'est humain, mais c'est insupportable. Donc c'est parti pour un épisode boost qui va, j'espère, vous donner envie de changer les choses, ou en tout cas, de vous questionner par rapport à ce que vous faites déjà. Dans un premier temps, j'ai envie qu'on parle un petit peu du piège que c'est pour moi ce jugement. On est dans un monde, et ça je le dis, je le répète et je le répéterai encore, et encore il y a deux semaines l'épisode qui est sorti, on parlait justement de ce monde hyperconnecté et de la frénésie qui surcharge les systèmes nerveux. Eh bien, on est tellement bombardé d'informations, chaque détail qui est exposé de la vie des autres, sur les réseaux sociaux, par exemple, a été pleinement choisie. Ce n'est pas la réalité. Et donc forcément, on en a déjà parlé, il y a une facile tendance à se comparer et à se dévaloriser. Et donc la mécanique de défense du jugement, c'est justement pour essayer de dévaloriser ce qu'on voit en face qui nous renvoie à notre propre limite. Je ne sais pas si c'est très clair ce que j'essaye de vous expliquer. Mais on peut s'arrêter un instant en tout cas pour réfléchir. pour se poser la question, pourquoi est-ce que la majorité d'entre nous, de moins en moins, pour moi, parce que c'est un sujet de réflexion que j'ai depuis déjà un petit moment, malgré tout, je réalise que j'ai cette tendance-là, qui est profondément ancrée, qui m'a été léguée, magnifique héritage, merci, mais on a quasiment tous ce besoin de critiquer les choix et les actions des autres. Pourquoi ? C'est quoi ce truc-là ? C'est comme des personnes qui regardent la façon dont... Comment est-ce que des amis pourraient éduquer leurs enfants ? ils se permettent de faire des commentaires, ils n'ont peut-être eux-mêmes pas d'enfants, et si jamais ils en avaient, eh bien ils peuvent se dire bah oui, mais moi je ferais pas comme ci, je ferais pas comme ça Et en fait, c'est non-stop de la comparaison, des jugements, en lien avec ce que chacun peut faire dans son quotidien en fait. Par rapport peut-être à un choix professionnel, à une façon de diriger une réunion, à une façon de dépenser son argent, il y a cette tendance systématique. à les juger, à les critiquer et en tout cas à donner son avis. Mais en fait juste, je ne t'ai pas demandé ton avis, tu n'as rien à me dire. Donc est-ce que vraiment quand vous critiquez, c'est parce que ces personnes-là vous dérangent ou plutôt parce qu'ils viennent réveiller quelque chose à l'intérieur de vous que vous refusez d'admettre ? Peut-être que vous critiquez une femme qui s'habille avec, je ne sais pas, des vêtements d'un certain type et qu'en fait la critique que vous pouvez faire est simplement le reflet de ce que vous ne vous autorisez pas vous. Ou alors peut-être que c'est une personne qui dépense son argent pour des voyages ou pour une voiture ou pour des loisirs et que vous avez cette tendance à juger parce que vous, à l'intérieur de vous, vous êtes totalement insécure dans votre relation à l'argent, que vous amassez comme un écureuil et que derrière en fait, cette notion de plaisir en lien avec l'argent, vous ne l'avez pas et que quelque part vous l'enviez. C'est quoi le truc en fait ? Qu'est-ce qui fait que le jugement, là... est si facile ? Est-ce que réellement, ce que fait la personne, ça vous dérange ? Ou est-ce que c'est un truc à l'intérieur de vous que vous n'assumez pas, qu'on vous a transmis peut-être même et dont vous ne voulez plus ? Dans cette continuité, il y a cette idée d'auto-sabotage en fait qui est déguisée derrière l'idée du jugement. Vous voyez ces moments en fait où peut-être vous apercevez au loin une femme qui assume pleinement sa sensualité, son corps, ses ambitions et tout ce que vous pourriez trouver à faire, vous, en face, c'est la critiquer. Peut-être que c'est une femme qui, professionnellement, a envie de continuer à évoluer dans son entreprise, dans son business ou alors qui dit clairement haut et fort. Combien elle gagne ? Et là en fait, instinctivement, naturellement, il y a la critique qui vous vient, il y a le jugement, mais c'est pas normal de dire combien on gagne, c'est pas normal d'avoir de l'ambition, c'est pas normal peut-être de ne pas être totalement dévoué corps et âme à ses enfants, c'est pas normal de se faire passer soi en premier. Vous savez tous ces petits jugements là en fait que vous avez qui sont peut-être de l'autosabotage parce que finalement ce que cette femme assume, ce que cette femme... incarne, ce que cette personne-là s'autorise, eh bien c'est ce que vous vous interdisez à vous-même. Donc posez-vous la question, qu'est-ce que ça révèle de vous, tous ces jugements, toutes ces critiques que vous pouvez avoir à l'encontre d'une personne ? Que ce soit une réaction à une attaque qui a pu être faite, à des mots que vous avez pu recevoir, c'est une chose. Mais que vous soyez vous-même à l'origine, là, ça vient dire quelque chose peut-être d'un peu plus profond. On n'est pas dans l'idée de défense parce qu'il y a cette idée de juger quelque chose de l'autre pour un truc qu'il nous a absolument pas demandé. Donc quelles sont ces pensées limitantes en fait qui vous empêchent, vous, pleinement d'assumer la personne que vous êtes, d'assumer la femme géniale que vous êtes, d'assumer peut-être le côté hyper ambitieuse que vous avez ou d'assumer le côté j'aime l'argent ou d'assumer le côté... Je suis une grosse maniaque qui adore que ma voiture soit propre. Ou d'assumer encore d'autres facettes. Par exemple, l'idée d'avoir totalement et entièrement envie d'être valorisée en tant que maman. En fait, c'est juste, chacune fait ses choix et à un moment donné, quand une personne a fait des choix différents de nous et que potentiellement ça vient générer un peu une crispation à l'intérieur, posez-vous la question de ce que ça veut dire, de c'est quoi le message. Et si, à la place de juger, vous choisissiez justement d'aller voir à l'intérieur, d'aller écouter ça pour pouvoir grandir, pour pouvoir faire sortir un truc et pour pouvoir travailler sur vos croyances. Et pour ça, clairement, l'EFT, c'est top. Et aussi, tout ce qu'on fait dans Libère et rayonne, c'est l'idée de pouvoir rassembler des femmes aux ambitions similaires, notamment dans l'idée d'avoir une vie qui soit complètement alignée avec soi, quels que soient les choix qui sont faits. Et donc, ça ouvre vraiment cette idée de tolérance et de respect de l'autre, même si ces choix sont totalement différents. Et dans cette troisième partie, j'ai envie de parler d'empathie et de compassion. Oui, oui, oui, oui, ce ne sont pas deux mots désuets, ce ne sont pas des trucs à la gnagnagna, ce n'est pas niais du tout, au contraire, ce sont des valeurs, moi, qui me sont très très chères et dont je n'ai absolument pas envie de me débarrasser en fait. Peut-être que la prochaine fois que vous sentirez le jugement là qui arrive, qui pointe le bout de son nez, ben prenez une pause. Respirez et demandez-vous pourquoi est-ce que ça vous dérange autant ? Est-ce que ça réveille une partie de vous que vous n'avez pas envie de voir ? Et laquelle ? Et rappelez-vous qu'en fait, sur Terre, on est tous dans le même bateau, on est tous dans la même galère, on est tous dans les mêmes joies. on essaye de naviguer à travers les eaux de la vie. Et effectivement, on n'a pas les mêmes quotidiens selon les pays où on grandit, selon l'environnement familial, selon l'histoire de notre famille aussi, toutes ces choses-là dont on a hérité. Évidemment qu'il y a des choses bien plus grandes que nous. Il y a du transgénérationnel, il y a du contextuel, il y a du géopolitique, il y a énormément de choses. Mais si seulement... on pouvait ressentir de l'empathie pour les autres si seulement on pouvait compatir à ce que vivent les autres. Et ça, ça me fait écho aussi à une séance que j'ai eue avec une femme que j'aime beaucoup et que je suis depuis un moment pour qui le mot compassion révélait quelque chose de très négatif en fait et que finalement il y avait une partie d'elle qui refusait la compassion pour elle-même Et il y avait une autre partie qui ne comprenait pas que des personnes ne compatissent pas envers elles. Donc il y avait vraiment cette ambivalence-là. Donc évidemment, on a travaillé en coaching, on a travaillé en EFT. Et en fait, progressivement, toutes ces croyances et toutes ces représentations pour ce mot compassion, elles ont switché, elles se sont transformées au fur et à mesure. plutôt que de juger et si on choisissait de ressentir de l'empathie, de la compassion et si on se soutenait mutuellement en fait. Parce que c'est bien quand on est ensemble qu'on grandit, qu'on s'élève et c'est certainement pas les uns contre les autres. Dans la devise de la France, il y a le mot fraternité. Aujourd'hui, on parle de sororité qui est l'équivalent mais aussi entre femmes. Il se trouve qu'on entend beaucoup dire Oui, mais le mot sororité, c'est quelque chose d'à la mode, c'est quelque chose de marketing, c'est vendeur, etc. Mais je ne comprends pas. Je ne comprends même pas qu'on puisse dire ce genre de choses, qu'on puisse critiquer ce qui est en train de se recréer de nouveau entre les femmes ce soutien inconditionnel, le fait de s'élever ensemble, le fait de grandir ensemble, le fait de danser ensemble, le fait de se soutenir, le fait de pleurer ensemble, peu importe en fait. Mais à un moment donné, qu'est-ce que c'est que cette idée que de nouveau, les femmes, on doit être en compétition, que de nouveau, on doit être en train de se critiquer et qu'on doit aussi être en train de se jalouser. Non ! Non, en fait, on peut et on a le droit d'être empathiques les unes envers les autres, les uns envers les autres, et de ressentir de la compassion, de se soutenir mutuellement et de faire bloc, en fait, d'être dans cette sororité. Et moi, dans l'image que j'ai, dans ce que je vis, dans ce que j'incarne aussi dans mon quotidien, il y a vraiment cette idée d'harmoniser et de pacifier aussi dans la relation à l'autre, aussi bien entre femmes qu'avec les hommes. Donc il y a vraiment pour moi de façon très très ancrée, très enracinée Cette idée de pacifier les choses Et d'arrêter ce jugement T'es pas dans la peau de l'autre T'as pas le même vécu, t'as pas la même histoire T'as pas la même personnalité T'as pas les mêmes bagages T'as pas la même façon de ressentir les choses Il n'y a personne d'autre que toi Qui est capable de savoir ce qu'en ce moment même t'es en train de ressentir Il n'y a personne d'autre que toi qui a le droit de dire comment est-ce que tu as le droit de t'habiller. Il n'y a personne d'autre que toi qui a le droit de te dire ce que tu dois penser. Et donc si c'est valable pour toi, c'est valable aussi pour toutes les autres personnes. Nous, chacune de nous, qu'on se garde en tête à un moment donné que stop, ça commence à bien faire, cette idée de juger en permanence. Mes chères croqueuses, aujourd'hui j'aimerais tellement qu'on arrête de juger, qu'on brise tout ça de l'autosabotage, du jugement, de la critique et que plutôt on soit dans la joie, dans le fait de célébrer, le fait qu'on soit toutes différentes et en même temps qu'on soit toutes uniques et qu'on soit toutes belles. dans nos spécificités, dans nos particularités, et dans nos choix et dans nos histoires. Moi, j'aimerais qu'on se soutienne, qu'on s'encourage, et qu'on s'élève les unes les autres et les uns avec les autres. Parce que c'est bien dans la solidarité, c'est bien dans la sororité qu'il y a une vraie force et une vraie puissance. C'est vraiment l'essence même de tous les messages, aussi bien de ce podcast, des épisodes en solo, que des interviews, et particulièrement des femmes inspirantes. Je tiens particulièrement à vous remercier mes chères croqueuses parce que vous êtes de plus en plus nombreuses à écouter, vous êtes de plus en plus nombreuses à me contacter pour participer et être interviewées. En tout cas je vous remercie pour absolument tous vos encouragements, tout votre soutien et tous vos retours qui sont si précieux pour moi. A très vite, belle journée à toutes et à tous ! Merci d'avoir croqué l'épisode avec moi jusqu'au bout. Et s'il vous a plu, qu'il vous a donné le sourire, partagez-le et notez-le sur votre plateforme d'écoute préférée. Vos étoiles font briller les croqueuses encore plus fort. Ne manquez pas le prochain épisode en vous abonnant dès maintenant. Et croquez la vie avec gourmandise. Je vous dis à la semaine prochaine pour encore plus de pétillances et d'inspiration.