undefined cover
undefined cover
La Soif d'Aventure d’Aurore : itinéraire d’une étudiante globe-trotteur cover
La Soif d'Aventure d’Aurore : itinéraire d’une étudiante globe-trotteur cover
Les Étincelles

La Soif d'Aventure d’Aurore : itinéraire d’une étudiante globe-trotteur

La Soif d'Aventure d’Aurore : itinéraire d’une étudiante globe-trotteur

12min |30/04/2024
Play
undefined cover
undefined cover
La Soif d'Aventure d’Aurore : itinéraire d’une étudiante globe-trotteur cover
La Soif d'Aventure d’Aurore : itinéraire d’une étudiante globe-trotteur cover
Les Étincelles

La Soif d'Aventure d’Aurore : itinéraire d’une étudiante globe-trotteur

La Soif d'Aventure d’Aurore : itinéraire d’une étudiante globe-trotteur

12min |30/04/2024
Play

Description

Une énergie débordante, un esprit globe-trotteur et une âme d’entrepreneure : Aurore s’épanouit pleinement chez Excelia. Étudiante ultra engagée, elle ne manque aucune occasion pour s’investir dans des projets collectifs, apprendre, donner et évoluer.


Assoiffée de voyages, son cursus chez Excelia lui ouvre les portes du Brésil, de l’Italie et de l’Espagne. Embarquez dans la vie trépidante d'Aurore, qui nous emmène avec elle sur le campus et à travers le Brésil.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Une énergie débordante, un esprit globetrotter et une âme d'entrepreneur, Aurore s'épanouit pleinement chez Excelia. Étudiante ultra engagée, elle ne manque aucune occasion pour s'investir dans des projets collectifs, pour apprendre, donner et évoluer. Assoiffée de voyage, son cursus chez Excelia lui ouvre les portes du Brésil, de l'Italie et de l'Espagne. Embarquez dans la vie trépidante d'Aurore qui nous emmène avec elle sur le campus et à travers le Brésil. Vous écoutez Les Étincelles, le podcast Excelia.

  • Aurore

    Je m'appelle Aurore Arnaud, j'ai 19 ans, je suis en deuxième année de Bachelor Business des Administrations Internationales, donc le BBA, à La Rochelle, sur le campus d'Excelia. Au lycée, donc j'étais au lycée en Vendée, j'ai fait un bac SMG, spécialité marketing. Pourquoi j'ai fait marketing ? Parce que je voulais vraiment chercher ce côté, comprendre le consommateur à travers des études de marché ou des choses comme ça. Et je voulais comprendre ce que c'était. Je me suis beaucoup plu parce qu'on a fait plein de projets diversifiés avec des entreprises, beaucoup de projets professionnels qui m'ont permis, je pense, de confirmer mon choix d'aller en école de commerce. Le BBA avec Célia, c'est un programme qui permet de découvrir le commerce international. On étudie vraiment tous les domaines du commerce, donc la RH, le marketing, la gestion, l'économie, mais avec des cas d'entreprise à l'international, ce qui nous permet d'avoir vraiment cet angle-là. Moi, j'ai choisi en plus de faire le programme English Track, tous les cours en anglais. J'avais peur parce qu'au lycée, quand j'étais en bac STMG, je me suis dit que le niveau d'anglais et tout, ça allait être compliqué. Mais en fait, pas du tout. Donc les cours d'English Track sont vraiment dispensés tout en anglais. Donc on a les mêmes cours que les French Track. Juste nous, nos intervenants et nos professeurs nous parlent vraiment en full English. Ce qui nous permet de discuter avec les autres élèves internationaux autour d'une même langue. Ce qui est bien plus simple pour communiquer, pour faire des projets de groupe. et aussi de nous améliorer notre niveau pour passer après un examen qui s'appelle le TOEFL. Le TOEFL, c'est quoi ? C'est vraiment un examen qui nous permet d'évaluer notre niveau de langue pour avoir accès après à l'expatriation qui est en troisième année. Je suis très contente d'avoir choisi cette voie-là parce que je suis améliorée et je me sens plus à l'aise aujourd'hui de parler en anglais. L'anglais, c'est vraiment vital quand on veut parler avec les autres. Donc, juste déjà pour notre métier plus tard, ça va être beaucoup plus facile. Mais même maintenant, quand on fait des stages, quand on parle musulmanitaire, juste le simple fait de voyager, l'anglais est vraiment important. En première année, Excelia nous propose de nous investir dans des associations. Donc moi, j'ai choisi d'être aux ambassadeurs. Je voulais vraiment représenter l'école et expliquer mon parcours, ce que j'ai fait. Parce que, voilà, en plus, j'ai fait le choix de faire un bac STMG. Donc je pense que j'allais me retrouver à travers des étudiants qui avaient le même questionnement, les mêmes peurs que moi. Je voulais vraiment présenter les valeurs d'Excelia, ce que c'était et que c'est une école magique. Parce que je trouve qu'Excelia, c'est vraiment une école merveilleuse sur différents aspects. Et surtout sur le plan associatif, on a 57 clubs et associations avec Célia. Arrivé au cours de ma première année, on a une mission militaire à faire pendant trois mois. J'avais l'ambition de partir en Amérique latine, parce que c'était vraiment des pays qui m'attiraient, notamment par la culture, le climat, les paysages, je voulais vraiment découvrir ce pays. Je voulais aller de base au Pérou, sauf que j'ai eu l'opportunité de partir au Brésil, grâce à l'association Diamantine Ton Coeur, qui est basée en France, mais qui a toute son action au Brésil, dans l'état du Minas Gerais, à Diamantina, une ville d'ailleurs qui est classée au patrimoine de l'UNESCO. Donc, c'est en octobre que je signe mon contrat de mission humanitaire. Et puis après, tout se fait naturellement. Je prépare mon départ avec les coordinateurs. Je me trouve un logement et je réserve l'avion. Je fais toute la logistique pour être prête pour le grand départ. Le seul frein, peut-être, c'était que je ne parlais pas du tout portugais. Je pars toute seule, hors de l'Europe, avec mes deux bagages pour trois mois d'aventure. Donc après 12 heures de vol entre Zurich, on est en Suisse et Sao Paulo au Brésil je me souviens que quand je descends de l'avion, la chaleur était impressionnante sur le tarmac j'ai senti que c'était vraiment le nouveau départ pour 3 mois et que je me sentais vraiment apaisée et je me suis dit ok j'ai vraiment fait le bon choix Quand je suis arrivée à Diamantina, on m'a installée dans un logement. Donc en fait, ça fait partie de l'association, ça s'appelle Réagir. C'est un logement pour les étudiants et pour les jeunes professionnels. Donc on a environ dix colloques ensemble. Ça nous permet aussi le soir, quand on a un petit coup de bouse, d'aller se parler ou même d'aller faire la fête ensemble. Comme ça, on vit dans un environnement commun, mais tout en ayant sa chambre et son intimité. Diamantina de son cœur, c'est une association qui aide les enfants issus de milieux défavorisés. souvent dans les favelas. L'association a deux entités, donc on a les piles, qui est plus une école pour les garçons, même si les filles y vont quand même pas mal. Donc ils sont environ 110. Et après, il y a VEM, qui est l'école des filles. Là, il y a un peu plus de monde. On est 180 personnes, voire 200 quand il y a des grosses classes. Les enfants sont répartis par niveau et âge. Donc ma mission là-bas était vraiment de soutenir les équipes éducatives. Donc je donnais des cours de soutien, des cours de langue, français, anglais. Je faisais aussi des cours de sport. Et mon plus gros projet, c'était de monter cette pièce de théâtre de A à Z. Donc j'ai écrit le script, j'ai fait les costumes, j'ai fait les décors. Et le but final était de le présenter devant la ville. Donc on a monté une petite troupe de théâtre de 30 enfants, filles et garçons. Ça a permis aux enfants, je pense, de se découvrir aussi un talent au niveau oratoire. Ils ont gagné confiance en eux parce que passer devant... 130 personnes pour faire une pièce de théâtre, c'est hyper intimidant. Et j'étais super contente du récita. C'était trois mois de travail intensif. Et le jour J, c'était vraiment le jour où on a fait cette représentation-là. Et c'est comme si on voyait la concrétisation de ce travail de trois mois intensif. Et je crois que ça a été le meilleur moment de ma mission magnitaire. Parce que j'en avais les larmes aux yeux. Et je pense que j'en ai encore les larmes aux yeux à l'heure d'aujourd'hui. Mais quel plaisir, franchement, quel plaisir. Et j'ai adoré ce que j'ai fait là-bas avec eux. J'avais tellement de stress et une grosse boule au vent. Je me suis dit, ça se trouve, ils vont tout perdre leur texte. Ça va être n'importe quoi. Et finalement, c'était magnifique. Tout s'est très bien déroulé, naturellement. Il n'y a eu aucun couac. et le fait que tout le monde applaudisse que ça crie, ça chante de partout et que les enfants me courent dans les bras à ce moment-là il y a eu beaucoup d'amour qui s'est dégagé, qui pédicative les parents et c'était que de la joie et beaucoup de larmes, de joie mais très fière d'avoir accompli ça pour eux Quand je suis partie du Brésil et que je partais vers l'aéroport, j'avais beaucoup d'émotions. Le cœur qui était serré parce que je me suis dit, ça y est, je quitte ma famille de cœur. J'ai revoit encore courir après la voiture, me lancer les derniers au revoir. C'était vraiment un moment de peine, mais en même temps un moment d'amour énorme qui me donnait et c'était comme un remerciement. Quand je suis revenue en France, je pensais déjà à mon projet professionnel de vouloir créer ma boîte d'événementiel en B2B. Et j'ai eu l'opportunité d'intégrer la Junior Entreprise parce que j'avais reçu un mail comme quoi il y avait des postes disponibles en tant que responsable. Et je me suis dit, bingo, c'est le bon moment. Et en tant que responsable RH, je pense que c'est l'opportunité de pouvoir tester de nouvelles choses, apprendre plein de compétences qui vont servir, notamment des recrutements, de la formation, de la passation. Et tout ça, ça va vraiment me permettre d'avoir vraiment ce bagage en main pour pouvoir être plus à l'aise lors de la création de mon entreprise. Donc XHJC, c'est quoi ? C'est une jeune entreprise qui offre des prestations de services aux entreprises et on met en relation les étudiants d'Excelia qui vont devenir consultants. Pour les entreprises. Donc on fait trois offres de prestations, communication, marketing et RSE. Donc j'ai fait mon entretien, j'ai été acceptée en tant que responsable RH. Donc j'ai fait toute la période de passation pendant l'été. Et en septembre, j'ai pris pleinement mes fonctions. J'ai fait mes premiers entretiens en tant que responsable pour recruter tous les chargés. Maintenant, je me sens beaucoup plus à l'aise d'être dans ce rôle de manageuse, mais en même temps aussi responsable de recruter de nouvelles personnes tout au long de l'année. Et je suis très fière d'avoir fait cette expérience-là. En étant responsable RH au sein d'une junior, je pense qu'on adhère vraiment à cette valeur d'entrepreneuriat. Et en tout cas, c'est le cas pour moi. J'ai vraiment envie de créer mon entreprise d'événementiel en B2B. C'est pourquoi, dans deux mois, je vais faire un stage en événementiel en Italie, à Rome, dans une entreprise qui s'appelle Nota Bene, qui fait des prestations d'événementiel et d'agence de voyage. Ça va vraiment me permettre de découvrir tout ce monde et de confirmer mon choix si j'aime le monde événementiel ou alors si ce n'est pas fait pour moi. Mes missions concrètement là-bas, ça va être d'assister le CEO lors des déplacements, mais aussi lors de la création d'événements. Je vais contacter les clients, les prestataires, les fournisseurs, les aider à mettre en place l'événement le jour J. Être aux côtés d'un CEO, je pense que ça va m'apporter cette vision 360 de l'entreprise. Je pense que je vais apprendre beaucoup à ses côtés. L'année prochaine, je pars pour de nouvelles aventures. Je pars pendant un an en Espagne à l'ESIC Business School à Madrid. Cette école est réputée mondialement, notamment pour le marketing, mais aussi pour tout ce qui est logistique internationale. C'est pourquoi je vais faire un double diplôme International Business là-bas. Donc les cours vont vraiment être axés sur mon projet professionnel qui est travaillé dans l'événementiel, mais aussi la logistique internationale. Je vais pouvoir apprendre tout ça là-bas. Le plus surprenant dans tout ça, c'est que je ne parle même pas espagnol, comme quand je suis partie au Brésil. Je vais encore apprendre la langue sur l'OTA. Donc oui, je vais devoir encore apprendre une nouvelle langue, mais pour mon plus grand plaisir. Une de mes passions, c'est vraiment de voyager et de découvrir plein de cultures différentes à travers le monde. C'est grâce à Excelia que j'ai pu découvrir déjà trois pays en l'espace de deux ans. On apprend beaucoup de choses à Excelia. Il nous a vraiment plein de cartes en main pour que, dans le monde professionnel plus tard, on montre qu'on est adaptable, qu'on est prêt à relever plein de défis et qu'on mérite d'être embauché. Mon conseil que je pourrais donner, c'est vraiment de voyager, de partir international, partir dans l'inconnu, parce que c'est là où on va apprendre le plus sur nous, sur nos limites, sur ce qu'on aime, de découvrir plein de cultures, plein de choses différentes, d'aller parler avec des inconnus et de découvrir que ça va devenir tes meilleurs amis ou alors ta famille de cœur. C'est ça aussi l'international. J'ai adoré tous mes voyages et j'ai qu'une envie, c'est de repartir, refaire mes bagages et repartir dans l'inconnu.

Description

Une énergie débordante, un esprit globe-trotteur et une âme d’entrepreneure : Aurore s’épanouit pleinement chez Excelia. Étudiante ultra engagée, elle ne manque aucune occasion pour s’investir dans des projets collectifs, apprendre, donner et évoluer.


Assoiffée de voyages, son cursus chez Excelia lui ouvre les portes du Brésil, de l’Italie et de l’Espagne. Embarquez dans la vie trépidante d'Aurore, qui nous emmène avec elle sur le campus et à travers le Brésil.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Une énergie débordante, un esprit globetrotter et une âme d'entrepreneur, Aurore s'épanouit pleinement chez Excelia. Étudiante ultra engagée, elle ne manque aucune occasion pour s'investir dans des projets collectifs, pour apprendre, donner et évoluer. Assoiffée de voyage, son cursus chez Excelia lui ouvre les portes du Brésil, de l'Italie et de l'Espagne. Embarquez dans la vie trépidante d'Aurore qui nous emmène avec elle sur le campus et à travers le Brésil. Vous écoutez Les Étincelles, le podcast Excelia.

  • Aurore

    Je m'appelle Aurore Arnaud, j'ai 19 ans, je suis en deuxième année de Bachelor Business des Administrations Internationales, donc le BBA, à La Rochelle, sur le campus d'Excelia. Au lycée, donc j'étais au lycée en Vendée, j'ai fait un bac SMG, spécialité marketing. Pourquoi j'ai fait marketing ? Parce que je voulais vraiment chercher ce côté, comprendre le consommateur à travers des études de marché ou des choses comme ça. Et je voulais comprendre ce que c'était. Je me suis beaucoup plu parce qu'on a fait plein de projets diversifiés avec des entreprises, beaucoup de projets professionnels qui m'ont permis, je pense, de confirmer mon choix d'aller en école de commerce. Le BBA avec Célia, c'est un programme qui permet de découvrir le commerce international. On étudie vraiment tous les domaines du commerce, donc la RH, le marketing, la gestion, l'économie, mais avec des cas d'entreprise à l'international, ce qui nous permet d'avoir vraiment cet angle-là. Moi, j'ai choisi en plus de faire le programme English Track, tous les cours en anglais. J'avais peur parce qu'au lycée, quand j'étais en bac STMG, je me suis dit que le niveau d'anglais et tout, ça allait être compliqué. Mais en fait, pas du tout. Donc les cours d'English Track sont vraiment dispensés tout en anglais. Donc on a les mêmes cours que les French Track. Juste nous, nos intervenants et nos professeurs nous parlent vraiment en full English. Ce qui nous permet de discuter avec les autres élèves internationaux autour d'une même langue. Ce qui est bien plus simple pour communiquer, pour faire des projets de groupe. et aussi de nous améliorer notre niveau pour passer après un examen qui s'appelle le TOEFL. Le TOEFL, c'est quoi ? C'est vraiment un examen qui nous permet d'évaluer notre niveau de langue pour avoir accès après à l'expatriation qui est en troisième année. Je suis très contente d'avoir choisi cette voie-là parce que je suis améliorée et je me sens plus à l'aise aujourd'hui de parler en anglais. L'anglais, c'est vraiment vital quand on veut parler avec les autres. Donc, juste déjà pour notre métier plus tard, ça va être beaucoup plus facile. Mais même maintenant, quand on fait des stages, quand on parle musulmanitaire, juste le simple fait de voyager, l'anglais est vraiment important. En première année, Excelia nous propose de nous investir dans des associations. Donc moi, j'ai choisi d'être aux ambassadeurs. Je voulais vraiment représenter l'école et expliquer mon parcours, ce que j'ai fait. Parce que, voilà, en plus, j'ai fait le choix de faire un bac STMG. Donc je pense que j'allais me retrouver à travers des étudiants qui avaient le même questionnement, les mêmes peurs que moi. Je voulais vraiment présenter les valeurs d'Excelia, ce que c'était et que c'est une école magique. Parce que je trouve qu'Excelia, c'est vraiment une école merveilleuse sur différents aspects. Et surtout sur le plan associatif, on a 57 clubs et associations avec Célia. Arrivé au cours de ma première année, on a une mission militaire à faire pendant trois mois. J'avais l'ambition de partir en Amérique latine, parce que c'était vraiment des pays qui m'attiraient, notamment par la culture, le climat, les paysages, je voulais vraiment découvrir ce pays. Je voulais aller de base au Pérou, sauf que j'ai eu l'opportunité de partir au Brésil, grâce à l'association Diamantine Ton Coeur, qui est basée en France, mais qui a toute son action au Brésil, dans l'état du Minas Gerais, à Diamantina, une ville d'ailleurs qui est classée au patrimoine de l'UNESCO. Donc, c'est en octobre que je signe mon contrat de mission humanitaire. Et puis après, tout se fait naturellement. Je prépare mon départ avec les coordinateurs. Je me trouve un logement et je réserve l'avion. Je fais toute la logistique pour être prête pour le grand départ. Le seul frein, peut-être, c'était que je ne parlais pas du tout portugais. Je pars toute seule, hors de l'Europe, avec mes deux bagages pour trois mois d'aventure. Donc après 12 heures de vol entre Zurich, on est en Suisse et Sao Paulo au Brésil je me souviens que quand je descends de l'avion, la chaleur était impressionnante sur le tarmac j'ai senti que c'était vraiment le nouveau départ pour 3 mois et que je me sentais vraiment apaisée et je me suis dit ok j'ai vraiment fait le bon choix Quand je suis arrivée à Diamantina, on m'a installée dans un logement. Donc en fait, ça fait partie de l'association, ça s'appelle Réagir. C'est un logement pour les étudiants et pour les jeunes professionnels. Donc on a environ dix colloques ensemble. Ça nous permet aussi le soir, quand on a un petit coup de bouse, d'aller se parler ou même d'aller faire la fête ensemble. Comme ça, on vit dans un environnement commun, mais tout en ayant sa chambre et son intimité. Diamantina de son cœur, c'est une association qui aide les enfants issus de milieux défavorisés. souvent dans les favelas. L'association a deux entités, donc on a les piles, qui est plus une école pour les garçons, même si les filles y vont quand même pas mal. Donc ils sont environ 110. Et après, il y a VEM, qui est l'école des filles. Là, il y a un peu plus de monde. On est 180 personnes, voire 200 quand il y a des grosses classes. Les enfants sont répartis par niveau et âge. Donc ma mission là-bas était vraiment de soutenir les équipes éducatives. Donc je donnais des cours de soutien, des cours de langue, français, anglais. Je faisais aussi des cours de sport. Et mon plus gros projet, c'était de monter cette pièce de théâtre de A à Z. Donc j'ai écrit le script, j'ai fait les costumes, j'ai fait les décors. Et le but final était de le présenter devant la ville. Donc on a monté une petite troupe de théâtre de 30 enfants, filles et garçons. Ça a permis aux enfants, je pense, de se découvrir aussi un talent au niveau oratoire. Ils ont gagné confiance en eux parce que passer devant... 130 personnes pour faire une pièce de théâtre, c'est hyper intimidant. Et j'étais super contente du récita. C'était trois mois de travail intensif. Et le jour J, c'était vraiment le jour où on a fait cette représentation-là. Et c'est comme si on voyait la concrétisation de ce travail de trois mois intensif. Et je crois que ça a été le meilleur moment de ma mission magnitaire. Parce que j'en avais les larmes aux yeux. Et je pense que j'en ai encore les larmes aux yeux à l'heure d'aujourd'hui. Mais quel plaisir, franchement, quel plaisir. Et j'ai adoré ce que j'ai fait là-bas avec eux. J'avais tellement de stress et une grosse boule au vent. Je me suis dit, ça se trouve, ils vont tout perdre leur texte. Ça va être n'importe quoi. Et finalement, c'était magnifique. Tout s'est très bien déroulé, naturellement. Il n'y a eu aucun couac. et le fait que tout le monde applaudisse que ça crie, ça chante de partout et que les enfants me courent dans les bras à ce moment-là il y a eu beaucoup d'amour qui s'est dégagé, qui pédicative les parents et c'était que de la joie et beaucoup de larmes, de joie mais très fière d'avoir accompli ça pour eux Quand je suis partie du Brésil et que je partais vers l'aéroport, j'avais beaucoup d'émotions. Le cœur qui était serré parce que je me suis dit, ça y est, je quitte ma famille de cœur. J'ai revoit encore courir après la voiture, me lancer les derniers au revoir. C'était vraiment un moment de peine, mais en même temps un moment d'amour énorme qui me donnait et c'était comme un remerciement. Quand je suis revenue en France, je pensais déjà à mon projet professionnel de vouloir créer ma boîte d'événementiel en B2B. Et j'ai eu l'opportunité d'intégrer la Junior Entreprise parce que j'avais reçu un mail comme quoi il y avait des postes disponibles en tant que responsable. Et je me suis dit, bingo, c'est le bon moment. Et en tant que responsable RH, je pense que c'est l'opportunité de pouvoir tester de nouvelles choses, apprendre plein de compétences qui vont servir, notamment des recrutements, de la formation, de la passation. Et tout ça, ça va vraiment me permettre d'avoir vraiment ce bagage en main pour pouvoir être plus à l'aise lors de la création de mon entreprise. Donc XHJC, c'est quoi ? C'est une jeune entreprise qui offre des prestations de services aux entreprises et on met en relation les étudiants d'Excelia qui vont devenir consultants. Pour les entreprises. Donc on fait trois offres de prestations, communication, marketing et RSE. Donc j'ai fait mon entretien, j'ai été acceptée en tant que responsable RH. Donc j'ai fait toute la période de passation pendant l'été. Et en septembre, j'ai pris pleinement mes fonctions. J'ai fait mes premiers entretiens en tant que responsable pour recruter tous les chargés. Maintenant, je me sens beaucoup plus à l'aise d'être dans ce rôle de manageuse, mais en même temps aussi responsable de recruter de nouvelles personnes tout au long de l'année. Et je suis très fière d'avoir fait cette expérience-là. En étant responsable RH au sein d'une junior, je pense qu'on adhère vraiment à cette valeur d'entrepreneuriat. Et en tout cas, c'est le cas pour moi. J'ai vraiment envie de créer mon entreprise d'événementiel en B2B. C'est pourquoi, dans deux mois, je vais faire un stage en événementiel en Italie, à Rome, dans une entreprise qui s'appelle Nota Bene, qui fait des prestations d'événementiel et d'agence de voyage. Ça va vraiment me permettre de découvrir tout ce monde et de confirmer mon choix si j'aime le monde événementiel ou alors si ce n'est pas fait pour moi. Mes missions concrètement là-bas, ça va être d'assister le CEO lors des déplacements, mais aussi lors de la création d'événements. Je vais contacter les clients, les prestataires, les fournisseurs, les aider à mettre en place l'événement le jour J. Être aux côtés d'un CEO, je pense que ça va m'apporter cette vision 360 de l'entreprise. Je pense que je vais apprendre beaucoup à ses côtés. L'année prochaine, je pars pour de nouvelles aventures. Je pars pendant un an en Espagne à l'ESIC Business School à Madrid. Cette école est réputée mondialement, notamment pour le marketing, mais aussi pour tout ce qui est logistique internationale. C'est pourquoi je vais faire un double diplôme International Business là-bas. Donc les cours vont vraiment être axés sur mon projet professionnel qui est travaillé dans l'événementiel, mais aussi la logistique internationale. Je vais pouvoir apprendre tout ça là-bas. Le plus surprenant dans tout ça, c'est que je ne parle même pas espagnol, comme quand je suis partie au Brésil. Je vais encore apprendre la langue sur l'OTA. Donc oui, je vais devoir encore apprendre une nouvelle langue, mais pour mon plus grand plaisir. Une de mes passions, c'est vraiment de voyager et de découvrir plein de cultures différentes à travers le monde. C'est grâce à Excelia que j'ai pu découvrir déjà trois pays en l'espace de deux ans. On apprend beaucoup de choses à Excelia. Il nous a vraiment plein de cartes en main pour que, dans le monde professionnel plus tard, on montre qu'on est adaptable, qu'on est prêt à relever plein de défis et qu'on mérite d'être embauché. Mon conseil que je pourrais donner, c'est vraiment de voyager, de partir international, partir dans l'inconnu, parce que c'est là où on va apprendre le plus sur nous, sur nos limites, sur ce qu'on aime, de découvrir plein de cultures, plein de choses différentes, d'aller parler avec des inconnus et de découvrir que ça va devenir tes meilleurs amis ou alors ta famille de cœur. C'est ça aussi l'international. J'ai adoré tous mes voyages et j'ai qu'une envie, c'est de repartir, refaire mes bagages et repartir dans l'inconnu.

Share

Embed

You may also like

Description

Une énergie débordante, un esprit globe-trotteur et une âme d’entrepreneure : Aurore s’épanouit pleinement chez Excelia. Étudiante ultra engagée, elle ne manque aucune occasion pour s’investir dans des projets collectifs, apprendre, donner et évoluer.


Assoiffée de voyages, son cursus chez Excelia lui ouvre les portes du Brésil, de l’Italie et de l’Espagne. Embarquez dans la vie trépidante d'Aurore, qui nous emmène avec elle sur le campus et à travers le Brésil.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Une énergie débordante, un esprit globetrotter et une âme d'entrepreneur, Aurore s'épanouit pleinement chez Excelia. Étudiante ultra engagée, elle ne manque aucune occasion pour s'investir dans des projets collectifs, pour apprendre, donner et évoluer. Assoiffée de voyage, son cursus chez Excelia lui ouvre les portes du Brésil, de l'Italie et de l'Espagne. Embarquez dans la vie trépidante d'Aurore qui nous emmène avec elle sur le campus et à travers le Brésil. Vous écoutez Les Étincelles, le podcast Excelia.

  • Aurore

    Je m'appelle Aurore Arnaud, j'ai 19 ans, je suis en deuxième année de Bachelor Business des Administrations Internationales, donc le BBA, à La Rochelle, sur le campus d'Excelia. Au lycée, donc j'étais au lycée en Vendée, j'ai fait un bac SMG, spécialité marketing. Pourquoi j'ai fait marketing ? Parce que je voulais vraiment chercher ce côté, comprendre le consommateur à travers des études de marché ou des choses comme ça. Et je voulais comprendre ce que c'était. Je me suis beaucoup plu parce qu'on a fait plein de projets diversifiés avec des entreprises, beaucoup de projets professionnels qui m'ont permis, je pense, de confirmer mon choix d'aller en école de commerce. Le BBA avec Célia, c'est un programme qui permet de découvrir le commerce international. On étudie vraiment tous les domaines du commerce, donc la RH, le marketing, la gestion, l'économie, mais avec des cas d'entreprise à l'international, ce qui nous permet d'avoir vraiment cet angle-là. Moi, j'ai choisi en plus de faire le programme English Track, tous les cours en anglais. J'avais peur parce qu'au lycée, quand j'étais en bac STMG, je me suis dit que le niveau d'anglais et tout, ça allait être compliqué. Mais en fait, pas du tout. Donc les cours d'English Track sont vraiment dispensés tout en anglais. Donc on a les mêmes cours que les French Track. Juste nous, nos intervenants et nos professeurs nous parlent vraiment en full English. Ce qui nous permet de discuter avec les autres élèves internationaux autour d'une même langue. Ce qui est bien plus simple pour communiquer, pour faire des projets de groupe. et aussi de nous améliorer notre niveau pour passer après un examen qui s'appelle le TOEFL. Le TOEFL, c'est quoi ? C'est vraiment un examen qui nous permet d'évaluer notre niveau de langue pour avoir accès après à l'expatriation qui est en troisième année. Je suis très contente d'avoir choisi cette voie-là parce que je suis améliorée et je me sens plus à l'aise aujourd'hui de parler en anglais. L'anglais, c'est vraiment vital quand on veut parler avec les autres. Donc, juste déjà pour notre métier plus tard, ça va être beaucoup plus facile. Mais même maintenant, quand on fait des stages, quand on parle musulmanitaire, juste le simple fait de voyager, l'anglais est vraiment important. En première année, Excelia nous propose de nous investir dans des associations. Donc moi, j'ai choisi d'être aux ambassadeurs. Je voulais vraiment représenter l'école et expliquer mon parcours, ce que j'ai fait. Parce que, voilà, en plus, j'ai fait le choix de faire un bac STMG. Donc je pense que j'allais me retrouver à travers des étudiants qui avaient le même questionnement, les mêmes peurs que moi. Je voulais vraiment présenter les valeurs d'Excelia, ce que c'était et que c'est une école magique. Parce que je trouve qu'Excelia, c'est vraiment une école merveilleuse sur différents aspects. Et surtout sur le plan associatif, on a 57 clubs et associations avec Célia. Arrivé au cours de ma première année, on a une mission militaire à faire pendant trois mois. J'avais l'ambition de partir en Amérique latine, parce que c'était vraiment des pays qui m'attiraient, notamment par la culture, le climat, les paysages, je voulais vraiment découvrir ce pays. Je voulais aller de base au Pérou, sauf que j'ai eu l'opportunité de partir au Brésil, grâce à l'association Diamantine Ton Coeur, qui est basée en France, mais qui a toute son action au Brésil, dans l'état du Minas Gerais, à Diamantina, une ville d'ailleurs qui est classée au patrimoine de l'UNESCO. Donc, c'est en octobre que je signe mon contrat de mission humanitaire. Et puis après, tout se fait naturellement. Je prépare mon départ avec les coordinateurs. Je me trouve un logement et je réserve l'avion. Je fais toute la logistique pour être prête pour le grand départ. Le seul frein, peut-être, c'était que je ne parlais pas du tout portugais. Je pars toute seule, hors de l'Europe, avec mes deux bagages pour trois mois d'aventure. Donc après 12 heures de vol entre Zurich, on est en Suisse et Sao Paulo au Brésil je me souviens que quand je descends de l'avion, la chaleur était impressionnante sur le tarmac j'ai senti que c'était vraiment le nouveau départ pour 3 mois et que je me sentais vraiment apaisée et je me suis dit ok j'ai vraiment fait le bon choix Quand je suis arrivée à Diamantina, on m'a installée dans un logement. Donc en fait, ça fait partie de l'association, ça s'appelle Réagir. C'est un logement pour les étudiants et pour les jeunes professionnels. Donc on a environ dix colloques ensemble. Ça nous permet aussi le soir, quand on a un petit coup de bouse, d'aller se parler ou même d'aller faire la fête ensemble. Comme ça, on vit dans un environnement commun, mais tout en ayant sa chambre et son intimité. Diamantina de son cœur, c'est une association qui aide les enfants issus de milieux défavorisés. souvent dans les favelas. L'association a deux entités, donc on a les piles, qui est plus une école pour les garçons, même si les filles y vont quand même pas mal. Donc ils sont environ 110. Et après, il y a VEM, qui est l'école des filles. Là, il y a un peu plus de monde. On est 180 personnes, voire 200 quand il y a des grosses classes. Les enfants sont répartis par niveau et âge. Donc ma mission là-bas était vraiment de soutenir les équipes éducatives. Donc je donnais des cours de soutien, des cours de langue, français, anglais. Je faisais aussi des cours de sport. Et mon plus gros projet, c'était de monter cette pièce de théâtre de A à Z. Donc j'ai écrit le script, j'ai fait les costumes, j'ai fait les décors. Et le but final était de le présenter devant la ville. Donc on a monté une petite troupe de théâtre de 30 enfants, filles et garçons. Ça a permis aux enfants, je pense, de se découvrir aussi un talent au niveau oratoire. Ils ont gagné confiance en eux parce que passer devant... 130 personnes pour faire une pièce de théâtre, c'est hyper intimidant. Et j'étais super contente du récita. C'était trois mois de travail intensif. Et le jour J, c'était vraiment le jour où on a fait cette représentation-là. Et c'est comme si on voyait la concrétisation de ce travail de trois mois intensif. Et je crois que ça a été le meilleur moment de ma mission magnitaire. Parce que j'en avais les larmes aux yeux. Et je pense que j'en ai encore les larmes aux yeux à l'heure d'aujourd'hui. Mais quel plaisir, franchement, quel plaisir. Et j'ai adoré ce que j'ai fait là-bas avec eux. J'avais tellement de stress et une grosse boule au vent. Je me suis dit, ça se trouve, ils vont tout perdre leur texte. Ça va être n'importe quoi. Et finalement, c'était magnifique. Tout s'est très bien déroulé, naturellement. Il n'y a eu aucun couac. et le fait que tout le monde applaudisse que ça crie, ça chante de partout et que les enfants me courent dans les bras à ce moment-là il y a eu beaucoup d'amour qui s'est dégagé, qui pédicative les parents et c'était que de la joie et beaucoup de larmes, de joie mais très fière d'avoir accompli ça pour eux Quand je suis partie du Brésil et que je partais vers l'aéroport, j'avais beaucoup d'émotions. Le cœur qui était serré parce que je me suis dit, ça y est, je quitte ma famille de cœur. J'ai revoit encore courir après la voiture, me lancer les derniers au revoir. C'était vraiment un moment de peine, mais en même temps un moment d'amour énorme qui me donnait et c'était comme un remerciement. Quand je suis revenue en France, je pensais déjà à mon projet professionnel de vouloir créer ma boîte d'événementiel en B2B. Et j'ai eu l'opportunité d'intégrer la Junior Entreprise parce que j'avais reçu un mail comme quoi il y avait des postes disponibles en tant que responsable. Et je me suis dit, bingo, c'est le bon moment. Et en tant que responsable RH, je pense que c'est l'opportunité de pouvoir tester de nouvelles choses, apprendre plein de compétences qui vont servir, notamment des recrutements, de la formation, de la passation. Et tout ça, ça va vraiment me permettre d'avoir vraiment ce bagage en main pour pouvoir être plus à l'aise lors de la création de mon entreprise. Donc XHJC, c'est quoi ? C'est une jeune entreprise qui offre des prestations de services aux entreprises et on met en relation les étudiants d'Excelia qui vont devenir consultants. Pour les entreprises. Donc on fait trois offres de prestations, communication, marketing et RSE. Donc j'ai fait mon entretien, j'ai été acceptée en tant que responsable RH. Donc j'ai fait toute la période de passation pendant l'été. Et en septembre, j'ai pris pleinement mes fonctions. J'ai fait mes premiers entretiens en tant que responsable pour recruter tous les chargés. Maintenant, je me sens beaucoup plus à l'aise d'être dans ce rôle de manageuse, mais en même temps aussi responsable de recruter de nouvelles personnes tout au long de l'année. Et je suis très fière d'avoir fait cette expérience-là. En étant responsable RH au sein d'une junior, je pense qu'on adhère vraiment à cette valeur d'entrepreneuriat. Et en tout cas, c'est le cas pour moi. J'ai vraiment envie de créer mon entreprise d'événementiel en B2B. C'est pourquoi, dans deux mois, je vais faire un stage en événementiel en Italie, à Rome, dans une entreprise qui s'appelle Nota Bene, qui fait des prestations d'événementiel et d'agence de voyage. Ça va vraiment me permettre de découvrir tout ce monde et de confirmer mon choix si j'aime le monde événementiel ou alors si ce n'est pas fait pour moi. Mes missions concrètement là-bas, ça va être d'assister le CEO lors des déplacements, mais aussi lors de la création d'événements. Je vais contacter les clients, les prestataires, les fournisseurs, les aider à mettre en place l'événement le jour J. Être aux côtés d'un CEO, je pense que ça va m'apporter cette vision 360 de l'entreprise. Je pense que je vais apprendre beaucoup à ses côtés. L'année prochaine, je pars pour de nouvelles aventures. Je pars pendant un an en Espagne à l'ESIC Business School à Madrid. Cette école est réputée mondialement, notamment pour le marketing, mais aussi pour tout ce qui est logistique internationale. C'est pourquoi je vais faire un double diplôme International Business là-bas. Donc les cours vont vraiment être axés sur mon projet professionnel qui est travaillé dans l'événementiel, mais aussi la logistique internationale. Je vais pouvoir apprendre tout ça là-bas. Le plus surprenant dans tout ça, c'est que je ne parle même pas espagnol, comme quand je suis partie au Brésil. Je vais encore apprendre la langue sur l'OTA. Donc oui, je vais devoir encore apprendre une nouvelle langue, mais pour mon plus grand plaisir. Une de mes passions, c'est vraiment de voyager et de découvrir plein de cultures différentes à travers le monde. C'est grâce à Excelia que j'ai pu découvrir déjà trois pays en l'espace de deux ans. On apprend beaucoup de choses à Excelia. Il nous a vraiment plein de cartes en main pour que, dans le monde professionnel plus tard, on montre qu'on est adaptable, qu'on est prêt à relever plein de défis et qu'on mérite d'être embauché. Mon conseil que je pourrais donner, c'est vraiment de voyager, de partir international, partir dans l'inconnu, parce que c'est là où on va apprendre le plus sur nous, sur nos limites, sur ce qu'on aime, de découvrir plein de cultures, plein de choses différentes, d'aller parler avec des inconnus et de découvrir que ça va devenir tes meilleurs amis ou alors ta famille de cœur. C'est ça aussi l'international. J'ai adoré tous mes voyages et j'ai qu'une envie, c'est de repartir, refaire mes bagages et repartir dans l'inconnu.

Description

Une énergie débordante, un esprit globe-trotteur et une âme d’entrepreneure : Aurore s’épanouit pleinement chez Excelia. Étudiante ultra engagée, elle ne manque aucune occasion pour s’investir dans des projets collectifs, apprendre, donner et évoluer.


Assoiffée de voyages, son cursus chez Excelia lui ouvre les portes du Brésil, de l’Italie et de l’Espagne. Embarquez dans la vie trépidante d'Aurore, qui nous emmène avec elle sur le campus et à travers le Brésil.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Une énergie débordante, un esprit globetrotter et une âme d'entrepreneur, Aurore s'épanouit pleinement chez Excelia. Étudiante ultra engagée, elle ne manque aucune occasion pour s'investir dans des projets collectifs, pour apprendre, donner et évoluer. Assoiffée de voyage, son cursus chez Excelia lui ouvre les portes du Brésil, de l'Italie et de l'Espagne. Embarquez dans la vie trépidante d'Aurore qui nous emmène avec elle sur le campus et à travers le Brésil. Vous écoutez Les Étincelles, le podcast Excelia.

  • Aurore

    Je m'appelle Aurore Arnaud, j'ai 19 ans, je suis en deuxième année de Bachelor Business des Administrations Internationales, donc le BBA, à La Rochelle, sur le campus d'Excelia. Au lycée, donc j'étais au lycée en Vendée, j'ai fait un bac SMG, spécialité marketing. Pourquoi j'ai fait marketing ? Parce que je voulais vraiment chercher ce côté, comprendre le consommateur à travers des études de marché ou des choses comme ça. Et je voulais comprendre ce que c'était. Je me suis beaucoup plu parce qu'on a fait plein de projets diversifiés avec des entreprises, beaucoup de projets professionnels qui m'ont permis, je pense, de confirmer mon choix d'aller en école de commerce. Le BBA avec Célia, c'est un programme qui permet de découvrir le commerce international. On étudie vraiment tous les domaines du commerce, donc la RH, le marketing, la gestion, l'économie, mais avec des cas d'entreprise à l'international, ce qui nous permet d'avoir vraiment cet angle-là. Moi, j'ai choisi en plus de faire le programme English Track, tous les cours en anglais. J'avais peur parce qu'au lycée, quand j'étais en bac STMG, je me suis dit que le niveau d'anglais et tout, ça allait être compliqué. Mais en fait, pas du tout. Donc les cours d'English Track sont vraiment dispensés tout en anglais. Donc on a les mêmes cours que les French Track. Juste nous, nos intervenants et nos professeurs nous parlent vraiment en full English. Ce qui nous permet de discuter avec les autres élèves internationaux autour d'une même langue. Ce qui est bien plus simple pour communiquer, pour faire des projets de groupe. et aussi de nous améliorer notre niveau pour passer après un examen qui s'appelle le TOEFL. Le TOEFL, c'est quoi ? C'est vraiment un examen qui nous permet d'évaluer notre niveau de langue pour avoir accès après à l'expatriation qui est en troisième année. Je suis très contente d'avoir choisi cette voie-là parce que je suis améliorée et je me sens plus à l'aise aujourd'hui de parler en anglais. L'anglais, c'est vraiment vital quand on veut parler avec les autres. Donc, juste déjà pour notre métier plus tard, ça va être beaucoup plus facile. Mais même maintenant, quand on fait des stages, quand on parle musulmanitaire, juste le simple fait de voyager, l'anglais est vraiment important. En première année, Excelia nous propose de nous investir dans des associations. Donc moi, j'ai choisi d'être aux ambassadeurs. Je voulais vraiment représenter l'école et expliquer mon parcours, ce que j'ai fait. Parce que, voilà, en plus, j'ai fait le choix de faire un bac STMG. Donc je pense que j'allais me retrouver à travers des étudiants qui avaient le même questionnement, les mêmes peurs que moi. Je voulais vraiment présenter les valeurs d'Excelia, ce que c'était et que c'est une école magique. Parce que je trouve qu'Excelia, c'est vraiment une école merveilleuse sur différents aspects. Et surtout sur le plan associatif, on a 57 clubs et associations avec Célia. Arrivé au cours de ma première année, on a une mission militaire à faire pendant trois mois. J'avais l'ambition de partir en Amérique latine, parce que c'était vraiment des pays qui m'attiraient, notamment par la culture, le climat, les paysages, je voulais vraiment découvrir ce pays. Je voulais aller de base au Pérou, sauf que j'ai eu l'opportunité de partir au Brésil, grâce à l'association Diamantine Ton Coeur, qui est basée en France, mais qui a toute son action au Brésil, dans l'état du Minas Gerais, à Diamantina, une ville d'ailleurs qui est classée au patrimoine de l'UNESCO. Donc, c'est en octobre que je signe mon contrat de mission humanitaire. Et puis après, tout se fait naturellement. Je prépare mon départ avec les coordinateurs. Je me trouve un logement et je réserve l'avion. Je fais toute la logistique pour être prête pour le grand départ. Le seul frein, peut-être, c'était que je ne parlais pas du tout portugais. Je pars toute seule, hors de l'Europe, avec mes deux bagages pour trois mois d'aventure. Donc après 12 heures de vol entre Zurich, on est en Suisse et Sao Paulo au Brésil je me souviens que quand je descends de l'avion, la chaleur était impressionnante sur le tarmac j'ai senti que c'était vraiment le nouveau départ pour 3 mois et que je me sentais vraiment apaisée et je me suis dit ok j'ai vraiment fait le bon choix Quand je suis arrivée à Diamantina, on m'a installée dans un logement. Donc en fait, ça fait partie de l'association, ça s'appelle Réagir. C'est un logement pour les étudiants et pour les jeunes professionnels. Donc on a environ dix colloques ensemble. Ça nous permet aussi le soir, quand on a un petit coup de bouse, d'aller se parler ou même d'aller faire la fête ensemble. Comme ça, on vit dans un environnement commun, mais tout en ayant sa chambre et son intimité. Diamantina de son cœur, c'est une association qui aide les enfants issus de milieux défavorisés. souvent dans les favelas. L'association a deux entités, donc on a les piles, qui est plus une école pour les garçons, même si les filles y vont quand même pas mal. Donc ils sont environ 110. Et après, il y a VEM, qui est l'école des filles. Là, il y a un peu plus de monde. On est 180 personnes, voire 200 quand il y a des grosses classes. Les enfants sont répartis par niveau et âge. Donc ma mission là-bas était vraiment de soutenir les équipes éducatives. Donc je donnais des cours de soutien, des cours de langue, français, anglais. Je faisais aussi des cours de sport. Et mon plus gros projet, c'était de monter cette pièce de théâtre de A à Z. Donc j'ai écrit le script, j'ai fait les costumes, j'ai fait les décors. Et le but final était de le présenter devant la ville. Donc on a monté une petite troupe de théâtre de 30 enfants, filles et garçons. Ça a permis aux enfants, je pense, de se découvrir aussi un talent au niveau oratoire. Ils ont gagné confiance en eux parce que passer devant... 130 personnes pour faire une pièce de théâtre, c'est hyper intimidant. Et j'étais super contente du récita. C'était trois mois de travail intensif. Et le jour J, c'était vraiment le jour où on a fait cette représentation-là. Et c'est comme si on voyait la concrétisation de ce travail de trois mois intensif. Et je crois que ça a été le meilleur moment de ma mission magnitaire. Parce que j'en avais les larmes aux yeux. Et je pense que j'en ai encore les larmes aux yeux à l'heure d'aujourd'hui. Mais quel plaisir, franchement, quel plaisir. Et j'ai adoré ce que j'ai fait là-bas avec eux. J'avais tellement de stress et une grosse boule au vent. Je me suis dit, ça se trouve, ils vont tout perdre leur texte. Ça va être n'importe quoi. Et finalement, c'était magnifique. Tout s'est très bien déroulé, naturellement. Il n'y a eu aucun couac. et le fait que tout le monde applaudisse que ça crie, ça chante de partout et que les enfants me courent dans les bras à ce moment-là il y a eu beaucoup d'amour qui s'est dégagé, qui pédicative les parents et c'était que de la joie et beaucoup de larmes, de joie mais très fière d'avoir accompli ça pour eux Quand je suis partie du Brésil et que je partais vers l'aéroport, j'avais beaucoup d'émotions. Le cœur qui était serré parce que je me suis dit, ça y est, je quitte ma famille de cœur. J'ai revoit encore courir après la voiture, me lancer les derniers au revoir. C'était vraiment un moment de peine, mais en même temps un moment d'amour énorme qui me donnait et c'était comme un remerciement. Quand je suis revenue en France, je pensais déjà à mon projet professionnel de vouloir créer ma boîte d'événementiel en B2B. Et j'ai eu l'opportunité d'intégrer la Junior Entreprise parce que j'avais reçu un mail comme quoi il y avait des postes disponibles en tant que responsable. Et je me suis dit, bingo, c'est le bon moment. Et en tant que responsable RH, je pense que c'est l'opportunité de pouvoir tester de nouvelles choses, apprendre plein de compétences qui vont servir, notamment des recrutements, de la formation, de la passation. Et tout ça, ça va vraiment me permettre d'avoir vraiment ce bagage en main pour pouvoir être plus à l'aise lors de la création de mon entreprise. Donc XHJC, c'est quoi ? C'est une jeune entreprise qui offre des prestations de services aux entreprises et on met en relation les étudiants d'Excelia qui vont devenir consultants. Pour les entreprises. Donc on fait trois offres de prestations, communication, marketing et RSE. Donc j'ai fait mon entretien, j'ai été acceptée en tant que responsable RH. Donc j'ai fait toute la période de passation pendant l'été. Et en septembre, j'ai pris pleinement mes fonctions. J'ai fait mes premiers entretiens en tant que responsable pour recruter tous les chargés. Maintenant, je me sens beaucoup plus à l'aise d'être dans ce rôle de manageuse, mais en même temps aussi responsable de recruter de nouvelles personnes tout au long de l'année. Et je suis très fière d'avoir fait cette expérience-là. En étant responsable RH au sein d'une junior, je pense qu'on adhère vraiment à cette valeur d'entrepreneuriat. Et en tout cas, c'est le cas pour moi. J'ai vraiment envie de créer mon entreprise d'événementiel en B2B. C'est pourquoi, dans deux mois, je vais faire un stage en événementiel en Italie, à Rome, dans une entreprise qui s'appelle Nota Bene, qui fait des prestations d'événementiel et d'agence de voyage. Ça va vraiment me permettre de découvrir tout ce monde et de confirmer mon choix si j'aime le monde événementiel ou alors si ce n'est pas fait pour moi. Mes missions concrètement là-bas, ça va être d'assister le CEO lors des déplacements, mais aussi lors de la création d'événements. Je vais contacter les clients, les prestataires, les fournisseurs, les aider à mettre en place l'événement le jour J. Être aux côtés d'un CEO, je pense que ça va m'apporter cette vision 360 de l'entreprise. Je pense que je vais apprendre beaucoup à ses côtés. L'année prochaine, je pars pour de nouvelles aventures. Je pars pendant un an en Espagne à l'ESIC Business School à Madrid. Cette école est réputée mondialement, notamment pour le marketing, mais aussi pour tout ce qui est logistique internationale. C'est pourquoi je vais faire un double diplôme International Business là-bas. Donc les cours vont vraiment être axés sur mon projet professionnel qui est travaillé dans l'événementiel, mais aussi la logistique internationale. Je vais pouvoir apprendre tout ça là-bas. Le plus surprenant dans tout ça, c'est que je ne parle même pas espagnol, comme quand je suis partie au Brésil. Je vais encore apprendre la langue sur l'OTA. Donc oui, je vais devoir encore apprendre une nouvelle langue, mais pour mon plus grand plaisir. Une de mes passions, c'est vraiment de voyager et de découvrir plein de cultures différentes à travers le monde. C'est grâce à Excelia que j'ai pu découvrir déjà trois pays en l'espace de deux ans. On apprend beaucoup de choses à Excelia. Il nous a vraiment plein de cartes en main pour que, dans le monde professionnel plus tard, on montre qu'on est adaptable, qu'on est prêt à relever plein de défis et qu'on mérite d'être embauché. Mon conseil que je pourrais donner, c'est vraiment de voyager, de partir international, partir dans l'inconnu, parce que c'est là où on va apprendre le plus sur nous, sur nos limites, sur ce qu'on aime, de découvrir plein de cultures, plein de choses différentes, d'aller parler avec des inconnus et de découvrir que ça va devenir tes meilleurs amis ou alors ta famille de cœur. C'est ça aussi l'international. J'ai adoré tous mes voyages et j'ai qu'une envie, c'est de repartir, refaire mes bagages et repartir dans l'inconnu.

Share

Embed

You may also like

undefined cover
undefined cover