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# 21 Anaïs, grosse et malade plurielle cover
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Les invisibles

# 21 Anaïs, grosse et malade plurielle

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1h04 |16/02/2023|

746

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Description

TW (Trigger Warning): viol, violences.


Quel est l’un des point commun entre le fait d’être grosse et de vivre avec des maladies chroniques ? L’I-N-V-I-S-I-B-I-L-I-T-É.
Si l’on croit encore (à tort) que les personnes grosses sont vues et entendues - tout comme les personnes malades - il est temps d’écouter cet épisode.

Être grosse et malade c’est aussi recevoir les foudres du validisme et de la grossophobie sans répit. Parce qu’aujourd’hui encore, dans les normes sociales, l’injonction c’est être mince et en bonne santé.

Anaïs vit avec une demi-douzaine de troubles et de maladies : le syndrome Klein-Levin, appelé fréquemment « syndrome de la belle au bois dormant » - un nom édulcoré qui nie les vraies souffrances, la dyslexie, le TDAH, la dépression, l’obésité et le SPOK.
Elle a accueilli chacun de ces diagnostics à l’âge adulte, dans des conditions difficiles.

Pour Anaïs, force est de constater qu’elle s’adapte en permanence à une société qui n’engage aucun effort pour s’adapter à sa condition. Elle décide alors de renverser la vapeur. C’est ainsi que se construit son identité de militante, artiste, performeuse et modèle photo pour dénoncer les violences qu’elle subit.

En exposant son corps nu, Anaïs offre un message fort aux personnes qui prétendent que « tout ce qui n’est pas normal n’est pas censé exister ». Si l’espace public n’est pas pensé pour les personnes grosses et malades, Anaïs choisi de se l’accaparer.

Au fur et à mesure de cet échange, on déconstruit un bout de notre validisme et de notre grossophobie, intériorisés chez chacun.e d’entre nous. Une heure de podcast ne vaut pas un bachelor en sociologie mais quand on déconstruit en direct avec un témoignage poignant comme celui d’Anaïs, on en ressort un peu moins discriminant.e.s. Forcément.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

TW (Trigger Warning): viol, violences.


Quel est l’un des point commun entre le fait d’être grosse et de vivre avec des maladies chroniques ? L’I-N-V-I-S-I-B-I-L-I-T-É.
Si l’on croit encore (à tort) que les personnes grosses sont vues et entendues - tout comme les personnes malades - il est temps d’écouter cet épisode.

Être grosse et malade c’est aussi recevoir les foudres du validisme et de la grossophobie sans répit. Parce qu’aujourd’hui encore, dans les normes sociales, l’injonction c’est être mince et en bonne santé.

Anaïs vit avec une demi-douzaine de troubles et de maladies : le syndrome Klein-Levin, appelé fréquemment « syndrome de la belle au bois dormant » - un nom édulcoré qui nie les vraies souffrances, la dyslexie, le TDAH, la dépression, l’obésité et le SPOK.
Elle a accueilli chacun de ces diagnostics à l’âge adulte, dans des conditions difficiles.

Pour Anaïs, force est de constater qu’elle s’adapte en permanence à une société qui n’engage aucun effort pour s’adapter à sa condition. Elle décide alors de renverser la vapeur. C’est ainsi que se construit son identité de militante, artiste, performeuse et modèle photo pour dénoncer les violences qu’elle subit.

En exposant son corps nu, Anaïs offre un message fort aux personnes qui prétendent que « tout ce qui n’est pas normal n’est pas censé exister ». Si l’espace public n’est pas pensé pour les personnes grosses et malades, Anaïs choisi de se l’accaparer.

Au fur et à mesure de cet échange, on déconstruit un bout de notre validisme et de notre grossophobie, intériorisés chez chacun.e d’entre nous. Une heure de podcast ne vaut pas un bachelor en sociologie mais quand on déconstruit en direct avec un témoignage poignant comme celui d’Anaïs, on en ressort un peu moins discriminant.e.s. Forcément.


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Quel est l’un des point commun entre le fait d’être grosse et de vivre avec des maladies chroniques ? L’I-N-V-I-S-I-B-I-L-I-T-É.
Si l’on croit encore (à tort) que les personnes grosses sont vues et entendues - tout comme les personnes malades - il est temps d’écouter cet épisode.

Être grosse et malade c’est aussi recevoir les foudres du validisme et de la grossophobie sans répit. Parce qu’aujourd’hui encore, dans les normes sociales, l’injonction c’est être mince et en bonne santé.

Anaïs vit avec une demi-douzaine de troubles et de maladies : le syndrome Klein-Levin, appelé fréquemment « syndrome de la belle au bois dormant » - un nom édulcoré qui nie les vraies souffrances, la dyslexie, le TDAH, la dépression, l’obésité et le SPOK.
Elle a accueilli chacun de ces diagnostics à l’âge adulte, dans des conditions difficiles.

Pour Anaïs, force est de constater qu’elle s’adapte en permanence à une société qui n’engage aucun effort pour s’adapter à sa condition. Elle décide alors de renverser la vapeur. C’est ainsi que se construit son identité de militante, artiste, performeuse et modèle photo pour dénoncer les violences qu’elle subit.

En exposant son corps nu, Anaïs offre un message fort aux personnes qui prétendent que « tout ce qui n’est pas normal n’est pas censé exister ». Si l’espace public n’est pas pensé pour les personnes grosses et malades, Anaïs choisi de se l’accaparer.

Au fur et à mesure de cet échange, on déconstruit un bout de notre validisme et de notre grossophobie, intériorisés chez chacun.e d’entre nous. Une heure de podcast ne vaut pas un bachelor en sociologie mais quand on déconstruit en direct avec un témoignage poignant comme celui d’Anaïs, on en ressort un peu moins discriminant.e.s. Forcément.


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Quel est l’un des point commun entre le fait d’être grosse et de vivre avec des maladies chroniques ? L’I-N-V-I-S-I-B-I-L-I-T-É.
Si l’on croit encore (à tort) que les personnes grosses sont vues et entendues - tout comme les personnes malades - il est temps d’écouter cet épisode.

Être grosse et malade c’est aussi recevoir les foudres du validisme et de la grossophobie sans répit. Parce qu’aujourd’hui encore, dans les normes sociales, l’injonction c’est être mince et en bonne santé.

Anaïs vit avec une demi-douzaine de troubles et de maladies : le syndrome Klein-Levin, appelé fréquemment « syndrome de la belle au bois dormant » - un nom édulcoré qui nie les vraies souffrances, la dyslexie, le TDAH, la dépression, l’obésité et le SPOK.
Elle a accueilli chacun de ces diagnostics à l’âge adulte, dans des conditions difficiles.

Pour Anaïs, force est de constater qu’elle s’adapte en permanence à une société qui n’engage aucun effort pour s’adapter à sa condition. Elle décide alors de renverser la vapeur. C’est ainsi que se construit son identité de militante, artiste, performeuse et modèle photo pour dénoncer les violences qu’elle subit.

En exposant son corps nu, Anaïs offre un message fort aux personnes qui prétendent que « tout ce qui n’est pas normal n’est pas censé exister ». Si l’espace public n’est pas pensé pour les personnes grosses et malades, Anaïs choisi de se l’accaparer.

Au fur et à mesure de cet échange, on déconstruit un bout de notre validisme et de notre grossophobie, intériorisés chez chacun.e d’entre nous. Une heure de podcast ne vaut pas un bachelor en sociologie mais quand on déconstruit en direct avec un témoignage poignant comme celui d’Anaïs, on en ressort un peu moins discriminant.e.s. Forcément.


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