- Speaker #0
Bonjour, bienvenue sur le podcast de Ma Révolution Pro, le podcast qui vous aide à sauter le pas de la reconversion professionnelle en vous proposant les meilleurs outils du développement personnel, des témoignages inspirants et des conseils d'experts. Je suis Clarence Mirkovic, psychopraticienne, coach professionnel et consultante en bilan de compétences. Si vous êtes à la recherche de votre nouvelle voie professionnelle, je vous invite à télécharger gratuitement votre livret d'exercices pour vous poser les bonnes questions. Vous trouverez le lien dans la description de cet épisode. Je vous laisse à présent avec mon invité du jour et je vous souhaite une très belle écoute.
- Speaker #1
Salut Klaus
- Speaker #0
Je suis vraiment en tout cas ravi de te recevoir ça fait un petit moment que je te suis sur Instagram et j'aime beaucoup l'authenticité avec laquelle tu partages ta vie et ton expérience entrepreneuriale mais peut-être qu'il y en a encore qui ne te connaissent pas donc est-ce que tu peux commencer par te présenter ?
- Speaker #1
Je m'appelle Victor, j'ai 29 ans et je me définis souvent comme un amoureux de la vie j'aime commencer par là parce que Je suis amoureux de la magie de la vie et de ce qu'elle peut nous apporter, un peu des oh waouh qu'on voit à tort et à travers, soit par la nature, par les animaux, et aussi et surtout par la concrétisation de projets qui nous tiennent à cœur. Et à côté de ça, je suis coach artificier depuis maintenant trois ans et demi et j'accompagne les entrepreneurs à concrétiser leurs projets de cœur.
- Speaker #0
C'est quoi un projet de cœur ? Comment tu le définirais ?
- Speaker #1
Pour moi, un projet de cœur, c'est un projet qui vient... qui vient des tripes, qui vient du cœur, comme son nom l'indique, c'est un peu l'idée du coup de cœur, c'est-à-dire l'idée que ce projet-là nous fait vibrer, ce projet-là fait sens pour nous, corresponde au pourquoi, un peu on est là aussi sur cette terre. Un projet qui peut paraître fou au début, je ne sais pas, dans le fait d'un tour du monde par exemple, ça peut être un projet de cœur, et se dire tiens, mais je n'ai jamais fait ça dans ma vie, mais par contre ça me fait vibrer. Et c'est cette vibration-là que je définirais comme le projet de cœur, c'est-à-dire ce... à la fois cette appréhension, mais en même temps cette excitation de lancer ce nouveau projet et se dire que voilà, c'est cette chose-là. Et généralement, les projets de cœur, c'est des projets qui reviennent. Si on n'a pas encore concrétisé un projet de cœur, c'est potentiellement, tiens, je rêve de monter un restaurant, je ne me suis pas encore autorisé à le faire parce que j'avais peut-être besoin d'autoriser ou d'expérimenter d'autres choses. Et souvent, ce projet-là revient par un vague. Et ça, pour moi, c'est un projet de cœur, c'est un projet qui est important pour soi, mais qu'on ne s'est peut-être pas encore autorisé ou que ce n'était pas encore le timing. d'y aller. Pour moi, un projet de cœur, c'est un projet où le cœur agit avant la tête et la tête est au service du cœur et pas l'inverse.
- Speaker #0
Alors, est-ce que c'est des choses qui viennent naturellement et comme tu dis, qui reviennent naturellement par vague ou est-ce qu'on peut, peut-être par du coaching ou des exercices spécifiques, mais finalement, aller l'identifier si on a envie d'aller vers ça ?
- Speaker #1
Je pense qu'il y a les deux. Je te dirais les deux. Je te dirais déjà, potentiellement, est-ce qu'on a des rêves dans la vie ? Tout simplement, pour moi, ça part de là, un projet de cœur, c'est... Qu'est-ce qui me fait vibrer ? On peut ne pas avoir de rêve dans la vie et c'est ok aussi. Et je pense que ça passe aussi beaucoup, et c'est là où je te rejoins sur l'accompagnement et d'être entouré. Ça passe aussi par un retour à la vulnérabilité, l'authenticité et à l'essence même de qui l'on est. Et généralement, c'est parce qu'on enlève des couches de l'oignon que le projet de cœur s'autorise à revibrer. Et j'ai cette phrase que j'aime bien dire à mes clients, c'est Laissez l'espace Autoriser l'espace au projet de cœur, de prendre sa place finalement. Et pour ça, ça nécessite de déconstruire des croyances, d'aller peut-être dépolluer son esprit, des émotions qui sont là, des choses qui peut-être nous prennent la tête et qui ne nous lèvent pas l'espace pour s'autoriser à ce projet de cœur. Et pour partager une anecdote, tu vois, j'accompagne des personnes sur ce projet de cœur et généralement la moitié de l'accompagnement s'est consacrée à déconstruire toute cette partie-là. Et une fois qu'on a posé les bases, on a l'espace nécessaire pour concrétiser son projet de cœur et se lancer vers ces projets-là.
- Speaker #0
Comment on sait qu'on a trouvé ce projet de cœur ?
- Speaker #1
Je te poserai cette question, qu'est-ce qui te fait lever le matin ? Si tu as envie de te lever le matin pour aller vers ce projet, pour aller aboutir. Alors, un projet de cœur, ça ne veut pas dire que c'est un projet facile. ça veut pas dire que ça y est c'est l'autoroute et tout va bien par contre c'est un projet qui nous fait vivre et c'est un projet qui nous donne envie de se lever le matin c'est un projet qui ramène le pourquoi on fait la chose le sens vraiment et je te demanderais voilà qu'est ce qui est important pour toi de ta vie est ce que ce que tu fais versus ce qui est important pour toi de ta vie c'est aligné c'est que c'est cohérent si oui ok bah peut-être que le projet de coeur va prendre différentes formes et on parle d'un projet de coeur mais il peut y avoir des projets de coeur il peut avoir différentes différentes façons différentes formes Mais je pense que... Avant ça, le projet de cœur c'est aussi une vision, une mission, un peu un fil rouge conducteur qui nous accompagne tout au long de sa vie. Et peut-être partager aux auditeurs qui n'ont peut-être pas encore trouvé ce projet de cœur ou qui s'interrogent, prenez toutes vos expériences professionnelles et essayez de trouver le point commun. Ça, ça peut être déjà la première base, en me disant, tiens, j'ai été DRH, puis ensuite je suis devenu consultant. Ok, l'humain, ça fait partie de moi. Ok, peut-être que le projet de cœur, il est autour de l'humain. Et ça, ça peut être déjà une première piste à explorer.
- Speaker #0
tu parlais justement des couches de l'oignon à enlever en tout cas d'un certain nombre de choses à déconstruire pour pouvoir y accéder et puis finalement se lancer quels seraient les premiers conseils que tu donnerais à quelqu'un qui a envie de se lancer dans son projet de coeur mais
- Speaker #1
qui n'ose pas je t'en donnerais trois, le premier c'est d'aller questionner la vision et la mission c'est à dire si la personne se projette dans 5 ans, dans 10 ans où est-ce qu'elle en est, qu'est-ce qu'elle fait, est-ce qu'elle est dans ce projet-là, quel projet. Et souvent, je dis aux entrepreneurs que j'accompagne, soit en incubateur ou en individuel, qu'en fait, ce qu'ils vendent des slips ou des chaussettes, ce n'est pas ça qui m'importe. Par contre, ce qui m'intéresse, c'est pourquoi ils le font. Pourquoi ils vont vendre des chaussettes ? Pourquoi ils vont vendre des slips ? Qu'est-ce qu'ils viennent chercher derrière ça ? Et c'est là un peu la vibration. Donc je dirais, premièrement, c'est ça. C'est de questionner le pourquoi. Pourquoi on se lève le matin ? Comment on se projette dans 5 ans, dans 10 ans ? Quelles sont les valeurs qui sont importantes pour nous dans la vie ? ça c'est des choses qui seraient englobées par le 1 le deuxième ce serait de se faire accompagner c'est aussi basique que ça par des personnes qui font du bilan de compétences du coaching, de la thérapie peu importe, il y a forcément une façon ou un besoin, un style qui correspond à la personne qui nous écoute ou alors de tester tu te dis tiens j'ai testé plusieurs coachs dans les coachs on a chacun notre couleur de coach donc on a peut-être pas les mêmes façons de faire et je crois que se faire accompagner, se faire entourer c'est quelque chose que je n'ai pas mis en oeuvre au début de mon aventure entrepreneuriale, que j'aurais aimé savoir plus tôt et qu'aujourd'hui je relance et je suis accompagné encore au quotidien donc voilà, je crois que être bien entouré c'est important dans la concrétisation d'un projet de coeur, d'un projet tout court et le dernier c'est ce mot qui nous fait peur mais qui est aussi important, c'est la patience c'est de se dire qu'un projet de cœur, c'est aussi une inertie, un temps, une temporalité, une patience à avoir. Faire confiance au processus, cette phrase qu'on aime bien, nous, en tant que coach. Et de se dire qu'avec ces trois-là, déjà, je pense qu'on peut avoir une base. Et derrière ça, vous pourriez peut-être, l'exercice que j'aime beaucoup faire, c'est le fameux vision board, le mood board, de prendre une feuille et de poser des images, des mots qui vous semblent importants à l'instant T. De vous autoriser cet espace, pour vous, avec vous. en tant que bien-être. Et je pense qu'avec les trois autres points, ce sera une bonne piste de décollage pour pouvoir concrétiser ce projet.
- Speaker #0
Tu vas vraiment définir la mission, pourquoi on se lève le matin, de mettre ça avec un vision board en images, en images et en mots. Quelles sont ensuite, selon toi, donc tu parlais effectivement d'accompagnement et d'être entouré, mais est-ce qu'il y a des étapes clés ensuite à respecter ou en tout cas toi qui te semble importante à suivre pour ensuite pouvoir vraiment se lancer ?
- Speaker #1
Je pense que la vision, la mission, c'est important. Après, si on rentre dans le détail d'une aventure entrepreneuriale à part entière, là derrière ça, moi j'y vois cinq grandes étapes qui seront la vision, la mission au premier. Je pense qu'on part tous de là. Je trouve que c'est important de partir de là parce que c'est ce qui fait qu'on pose les fondations de son projet, comme si vous posiez les poutres et les piliers de votre maison. Et ensuite, je pense que ce qui est intéressant, c'est d'aller questionner le client idéal, à qui on veut s'adresser avec ce projet-là, que ce soit un projet pro ou perso, mais que demain, vous avez envie d'écrire un livre. Qui est votre lecteur idéal ? Pourquoi il vient lire votre livre ? Et ça, ça va vous aider à... déjà cadré, le projet de cœur, parce que peut-être demain, vous avez l'envie de faire un tour du monde, par exemple. Et le projet, dans cinq ans, je me projette, j'aurai fait dix pays. Le premier client idéal, c'est vous. Donc, si vous étiez en face de vous, pourquoi vous avez envie de faire ce projet-là ? Qu'est-ce qui est important pour vous ? Ça, c'est le deuxième point. Le troisième point, je trouve que ce qui est important, c'est de cadrer, et c'est là ma couleur de gestion de projet, d'y amener des outils. que ce soit planification, budgétisation, gestion du temps, parce que, alors ça c'est ma croyance un peu, ma couleur un peu philosophique, j'ai pas le temps de passer mon énergie derrière des outils ou à faire des tableaux Excel. Donc s'il y a des outils qui font ça mieux que moi, et bah écoute, je les prends, et moi mon temps il est dans la nature, il est avec mes proches, il est avec tout ça. Et là, dans l'idée du projet de cœur, ça va vous aider aussi à dérouler un peu le programme en disant, tiens, ça y est, je sais où je vais, où je vais, et ça va avec le troisième point que je t'ai évoqué juste avant, la patience, en disant, tiens, Je sais que j'ai ce projet là pendant six mois. avec les étapes clés, j'ai plus qu'à les dérouler. Ça va vous aider aussi au niveau du cerveau parce que le cerveau n'aime pas l'inconnu. Donc vous allez lui amener du connu avec des tableaux, avec de la structure. Le quatrième point que je pourrais aborder, ce serait le mindset. Alors moi, je fais une distinction entre le mindset du manque et le mindset de l'investissement. Disons que le mindset du manque, c'est en gros, voilà, j'ai pas d'argent ou comment je vais faire pour trouver de l'argent. je ne sais pas, un peu un mindset à court terme. Comment je vais faire demain ? Comment je vais faire après-demain ? Qui est basé un peu sur des peurs. J'ai peur de ne pas regagner le même salaire qu'avant. Je n'ai pas... J'ai peur de tout ça. Versus, je trouve que le switch est hyper intéressant et je l'observe moi chez moi et chez mes clients ensuite. Le mindset de l'investissement, c'est un mindset qui est plus long terme. Et du coup, c'est de dire tiens, je vais aller voir Clarence, je vais aller voir Victor et je vais investir en moi. C'est-à-dire que c'est un projet qui est plutôt du long terme. Et je trouve que ça, ça permet au lieu d'être là au jour le jour, de se dire Si je métaphore un peu, c'est comme si vous projetiez sur... Plutôt que de voir les pas que vous allez faire pour monter la montagne, non, regardez la montagne, quelle montagne vous voulez faire, quelle montagne vous voulez accomplir, et ensuite vous ferez les pas les uns après les autres, mais tout en gardant cette montagne et ce monde-là de vue. Et je trouve que ce mindset-là, on manque aujourd'hui en tant qu'entrepreneur parce qu'on est pollué par des peurs, des croyances, des blocages, etc. Et le dernier point que je peux t'aborder sur ça, c'est l'équilibre de vie. et ça c'est mon bébé à moi c'est de faire attention à soi parce qu'on est le carburant de son projet on est le carburant aussi de sa vie et pour ça moi j'utilise les 5 B 5 B du bien-être qui serait bien bouger, bien manger, bien penser bien dormir et bien s'entourer et si vous avez ces 5 B là déjà vous avez une bonne base pour surmonter tout projet et surtout le projet de coeur que vous avez lancé
- Speaker #0
donc tu parlais là des cinq étapes clés pour toi tu accompagnes toi des entrepreneurs à se lancer justement dans leur projet quels sont les principaux obstacles que tu peux observer je te dirais là
- Speaker #1
j'en observe trois pareil j'aime bien le chiffre trois le premier c'est les peurs et derrière ça je retrouve un paquet de dix peurs qui sont avec des histoires différentes, les histoires sont propres à chacun. Mais il y a des peurs qui nous sont ancrées par l'éducation, par la société, qui sont la peur de l'échec, peur de la réussite, peur du regard des autres, peur de l'inconnu, peur de manquer d'argent, on en revient à ça, peur de réussir, peur de s'appeler une puissance. Ça sera le deuxième point que je vais t'aborder. Mais bref, je retrouve ces peurs-là partout, avec tout le monde, chacun. Et je voulais juste rappeler que... en fait il n'y a que 7% des peurs qui sont fonctionnelles tout le reste c'est le mécanisme du cerveau et c'est un mécanisme de protection à aller déconstruire, à aller rassurer parce que le besoin de la peur c'est d'être rassuré donc si vous avez ces peurs là c'est des peurs que je retrouve moi chez chacun ils sont légitimes et il n'y a pas de remise en question sur ça, donc ça c'est le premier point le deuxième point que je retrouve beaucoup chez les femmes mais en tout cas sur la part féminine parce qu'on en a vu Ding et Leung sur la part féminine c'est le côté peur de sa puissance Tiens, qu'est-ce que je vais devenir en brillant ? Qu'est-ce que je vais devenir en réussissant ? Qu'est-ce que je vais devenir en réalisant ce projet de cœur ? Qu'est-ce que ça va changer pour moi ? Parce qu'évidemment, si demain vous faites le choix de changer, vous allez faire changer de cas par votre bateau et ça va amener des changements aussi annexes sur d'autres sujets. Et le troisième point, c'est le côté Tiens, j'ai le droit à ça moi aussi. Comme si une autorisation de… En fait, ça peut se passer plus facilement que je ne le pensais. Et ça, je le retrouve récemment, les clientes qui me disent je n'ai pas l'impression de faire mes exercices, je n'ai pas l'impression de faire mes actions Je dis ben non, c'est toi qui les as choisis, ils sont importants pour toi Bon, ça se fait naturellement, tu poses l'intention, le mouvement, et du coup ça se fait. Et du coup, ces trois points-là, c'est les points que je revois, et je pourrais y ajouter le côté organisationnel, et c'est pour ça que je veux partager ça dans les points. La structure, le cadre, en disant tiens, l'erreur de vouloir, surtout que j'accompagne beaucoup de multipotentiels l'erreur d'avoir 7 projets en même temps et de se dire bah tiens j'ai envie de faire ça et aussi ça ok, posons on va faire peut-être les uns après les autres ça veut pas dire que les autres tu les oublies mais juste mieux vaut que tu vois un projet de coeur aboutir et un deuxième,
- Speaker #0
plutôt que 7 et aucun qui voit le jour ça va créer de l'infustration etc etc donc voilà ouais c'est intéressant ce que tu dis parce qu'effectivement on peut aussi avoir beaucoup d'enthousiasme au départ quand on se lance dans un projet de coeur, on a envie de faire plein de choses sauf qu'après comme tu dis il faut structurer ça peut être assez long finalement de démarrer et on peut avoir des phases de découragement où on a l'impression que ça n'avance plus ou au contraire même parfois peut-être qu'on recule est-ce que tu as des conseils ou des clés pour maintenir la motivation tout le long et pas abandonner son projet ?
- Speaker #1
et bah je te dirais j'ai une citation qui m'est venue quand tu m'as partagé de ça, je l'avais vu sur une vidéo c'était la motivation commence et la discipline termine et c'est de se dire ça pour moi le projet de coeur il y a aussi cette notion de plaisir tant que le plaisir est là c'est que le projet continue. Ça ne veut pas dire encore une fois que vous n'allez pas avoir des obstacles, mais est-ce que ça vous fait plaisir de lancer, etc. La motivation, c'est ce qui va vous lancer. C'est un peu ce qu'on a le 1er janvier, on va se remettre au sport. C'est la motivation qui va débuter jusqu'à entre 5 et 10 jours où là, on commence à avoir peut-être les premières combattures, les premiers obstacles qui vont arriver. Et là, c'est de se rappeler pourquoi on fait la chose, pourquoi vous le faites. et si vous avez un pourquoi qui est fort des valeurs qui sont fortes cette chose là vous allez le passer vous allez le surmonter et ensuite c'est de créer une discipline des habitudes avec le plaisir, encore une fois, autour, qui englobe un peu tout ça. Parce que pour créer une habitude, il faut entre 21 et 90 jours. Ça dépend des auteurs. Ils ont 21 jours. Vous allez avoir besoin de 21 jours pour vous créer ce nouveau cadre pour votre projet de cœur. Donc c'est vous dire, OK, au début, je sais que la motivation est là. Après, je vais essayer d'y mettre un peu de discipline. peut-être me rappeler de pourquoi je fais la chose mais un peu comme si on se met à faire attention à ce moment est-ce que ce bonbon ce paquet de bonbons va me faire du bien rentre dans mes objectifs, rentre dans mes envies oui, non, est-ce que ça me fait plaisir oui, non, et puis ensuite on avance
- Speaker #0
j'ai perdu le pied de ta question ouais je crois que tu as bien répondu en tout cas j'aime beaucoup la première phrase que tu as citée de la motivation commence et la discipline termine et qu'à un moment donné on peut se poser tellement de questions et il faut maintenir le fil tant qu'il y a du plaisir en tout cas dans l'idée du projet parce que c'est aussi je trouve il n'y a pas toujours que du plaisir parfois il y a des tâches qui sont un peu ingrates et que malgré tout il faut faire et d'où la discipline qui peut aider à ce moment là exactement
- Speaker #1
exactement je te rejoindrai sur le côté cadre moi j'ai ce côté spirituel, énergie, projet de coeur qui est équilibré j'ai aussi ce côté là capricorne, cadre, structure besoin de tableau etc et je partageais ça à des étudiants à qui j'ai donné des cours de gestion de projet justement et l'un des étudiants me disait mais est-ce que vous n'avez pas peur que votre cadre devienne rigide ? et ça généralement ça fait peur dans la discipline ça fait peur dans les habitudes que cette notion de rigidité et je crois que non en fait je crois que le cadre... qui est construit par soi, par toi ou par moi, et un cadre qui est adapté à la personne que je suis. Donc c'est un cadre qui est mouvant, et c'est un cadre qui va bouger. Et je prends souvent cet exemple-là, l'exemple des jeux de société. Ce qui vous fait prendre du plaisir dans un jeu de société, c'est le fait de jouer. mais avec des règles aussi. Demain, vous jouez sans règles, je ne sais pas, vous jouez au poker, vous jouez au blackjack, peu importe, sans ces règles-là, peut-être que ça devient un peu l'anarchie, on ne sait pas par où on commence, on ne sait pas comment mettre. C'est parce qu'il y a des règles que ça structure un peu le projet. Ça ne veut pas dire que vous n'allez pas vous amuser, ça ne veut pas dire que vous n'allez pas prendre du plaisir dans cette aventure-là. Mais par contre, ça va vous aider à cadrer, structurer, et surtout vous aider dans tout ce qui est charge mentale, vous vider la tête. Je ne sais pas, par exemple, je vais partager une anecdote, j'avais un vrai problème avec le rapport de l'argent et la gestion de l'argent. Récemment, j'ai mis en œuvre des tableaux, j'ai mis en œuvre des nouvelles habitudes et tous les 15 jours, le dimanche matin, je fais suivi de mes comptes. Au début, motivation, on y va. Puis à un moment, ça commence à perdre cette motivation, donc la discipline prend dessus. Et aujourd'hui, c'est rentrer dans mes habitudes et ça me prend 30 minutes tous les 15 jours et ça m'aide à reprendre la gestion de l'argent. Et c'est un peu la même chose avec tous les sujets. demain vous avez envie de vous mettre sur ce projet-là et à communiquer sur les réseaux sociaux, vous savez que c'est par là que votre client idéal passe, au début vous êtes motivé, vous allez faire un ou deux posts, je vous invite à créer peut-être une routine, peut-être dire, voilà, un post par semaine, c'est ce qui est adapté et sain pour moi, ok, comment, combien de temps ça peut te prendre ? Et puis si ce n'est pas toutes les semaines, peut-être préparer un jour par mois tout le contenu du mois. Et comme ça c'est fait, la discipline elle est posée. Et voilà, et du coup le cadre. Le cadre, mais un cadre qui est sain, qui est équilibré, qui correspond à chacun.
- Speaker #0
Quelles sont les erreurs que tu peux observer qui sont à éviter ?
- Speaker #1
Il y en a une que j'observe surtout en incubateur avec des jeunes étudiants entrepreneurs que j'accompagne et qui est normal, légitime, je suis passé par là. Encore une fois, je tape sur les doigts de personne. C'est ce côté, quand on est entrepreneur, on a ce projet de cœur, ça y est, on a l'énergie, on a cette motivation et on va parler tout de suite de la solution. tiens, je vais lancer un nouveau co-living par exemple, c'est le cas pour moi, un nouveau co-living, ça va être incroyable, ça à l'intérieur, ça à l'intérieur, ça à l'intérieur, ça à l'intérieur, et la question que je pose souvent, mais est-ce que ça, ça correspond à un besoin ? et pour moi le switch il est là c'est à dire l'erreur que je vois souvent c'est qu'on part de la solution pour aller parler à son client et je voudrais juste inviter les personnes qui nous écoutent qui ont potentiellement un projet à juste switcher c'est quoi le besoin auquel vous allez répondre chez votre client idéal et de là ce besoin là comment vous allez faire correspondre une solution je vais prendre un exemple concret les supermarchés, on va aux supermarchés parce que le premier besoin c'est de se nourrir on y va et du coup ça c'est le besoin de mon client le besoin des clients des supermarchés c'est de se nourrir à l'intérieur de ça une fois rentré il y a une vaste solution il y a plein de solutions pour correspondre et répondre à ce besoin de se nourrir que ce soit des fruits, des légumes, peanut butter et compagnie je trouve que c'est le même mécanisme que j'essaye de faire de faire switcher chez mes clients en leur disant voilà vous avez votre solution très bien on va la garder, ok maintenant on va aller questionner le besoin donc ça c'est la première chose La deuxième chose, l'erreur que je vois beaucoup, c'est cette tendance à donner 100% à son projet. On a tendance du coup derrière à s'épuiser, s'oublier et se dire que c'est normal au début, on a envie de trouver des nouveaux clients, on veut y aller, voilà, tac, je vais m'y mettre, je vais m'y mettre du bien. Faites-le au début, très bien. Mais plutôt que de voir ça comme un sprint, voyez plutôt ça sur un marathon et de se dire, voilà, mieux vaut que je travaille 4-5 heures par jour tous les jours de cette semaine. Donc peut-être faire moins, mais mieux. Et à côté de ça, d'avoir une vie, à côté de ça, d'être créatif, de faire du sport, de bien manger, etc. Et ça, ça va vous aider, en fait, parce que une Clarence ou un Victor qui est à 100% pour son projet, c'est... c'est encore mieux qu'un Victor qui est à 10% parce qu'il s'est épuisé ces derniers jours à chercher le client. Et ça, j'ai aussi envie de partager ça aux éditeurs, c'est que vous devez le ressentir sur les réseaux quand vous regardez les personnes qui publient, qui partagent. Ça se ressent quand vous êtes à la recherche de clients. Et je trouve que ce n'est pas agréable pour les personnes qui sont potentiellement vos futurs clients. Et c'est de se dire, voilà, plutôt que d'avoir peur, de faire passer la peur de manquer de clients dans votre communication, juste kiffez, vibrez votre projet vivez votre projet, faites à votre façon faites moins, faites mieux entourez-vous de personnes allez chercher les bons conseils et amusez-vous ça c'est aussi l'erreur que je vois et c'est normal encore une fois c'est légitime, je parle aujourd'hui avec 8 ans d'expérience donc c'est facile aussi pour moi aujourd'hui mais c'est de voir l'entrepreneuriat et la vie dans sa globalité comme un jeu et de se dire tiens j'ai rencontré cette personne comment elle peut répondre à mon besoin comment elle peut correspondre je ne sais pas la raison pour laquelle je suis devant toi aujourd'hui j'avais envie de parler j'ai posté un partage j'ai envie d'être invité sur des podcasts tu m'as contacté et on fait cet échange là ça m'amuse, il n'y a aucune pression, il n'y a aucune prospection agressive. Et ça, je trouve que... Voilà, vibrez votre cœur, vibrez les choses. Et pour ça, j'ai une métaphore que j'utilise bien et je terminerai par ça. C'est les boulangers qui font du bon pain avec le cœur, ils ne sont pas devant la vitrine à dire Tiens, viens acheter mon pain Non. Ils font du bon pain, ils font du bon produit avec le cœur, ils ont une histoire, ça donne envie d'y retourner, il y a des recommandations, ça parle, et je pense que ces boulangers-là, ils n'ont pas besoin de chercher du client. En tout cas, ils font ça avec le cœur et ça se ressent dans le produit.
- Speaker #0
Tu parles beaucoup d'équilibre et à quel point aussi ça peut être difficile quand on débute de s'autoriser à avoir cet équilibre et à ne pas être toujours à fond dans son projet. Quels sont toi les rituels, les habitudes que tu as mises en place pour justement maintenir ton équilibre ?
- Speaker #1
Avant ça, pour contextualiser un peu, je suis passé proche de deux épisodes. Je ne veux pas appeler ça burn-out, je ne pense pas que j'en étais là. En tout cas, je ne suis pas passé loin de cette chose-là dans l'aventure entrepreneuriale. Et j'ai questionné autour de moi et je m'étais rendu compte que plus de 70% des entrepreneurs ont souffert soit d'épuisement, soit de solitude dans l'aventure, soit les deux dans l'aventure. Et l'épuisement pour moi, après le deuxième épuisement que j'ai pu subir, je me suis dit en fait, ok pour repartir, par contre ce sera moi avant mon projet. Et ça c'est non négociable. c'est à dire si j'ai le choix entre aller faire du sport ou un rendez-vous qui est important pour moi pour mon projet je vais peut-être favoriser le sport parce que le sport c'est moi et sur ça, il y a des routines que je mets en oeuvre ça fait partie du cadre les routines matinales les routines matinales ça fait partie de soi et encore une fois je te reprends l'idée des règles et du cadre qui est adapté à chacun au début j'ai fait le fameux miracle morning qu'on voit partout Et en fait je m'étais rendu compte que Ok il y a des choses qui me conviennent Il y a des choses qui ne me conviennent pas donc j'ai pris la structure qui est le cadre de Savers et derrière je l'ai adapté à moi donc j'ai mis des choses qui font sens pour moi, donc de la méditation de l'écriture, du sport préparer mon pancake c'est mon petit rituel du matin voilà et du coup de encore une fois prendre ce qui m'est proposé, l'adapter à mes besoins, comme ça les routines et ensuite un autre outil que je pourrais partager aux auditeurs c'est de traquer son temps de travail Et ça c'est un truc que j'ai mis en oeuvre il y a deux ans de ça, via un outil qui est gratuit qui s'appelle Tougletrack. C'est gratuit, vous pouvez l'utiliser. Et ça vous permet juste de vous rendre compte déjà de combien de temps vous travaillez par semaine. Quand on se rend compte qu'on travaille entre 80 et 100 heures par semaine, déjà, mieux vaut les mettre au bon endroit. Et puis ça permet de se rendre compte aussi sur quel créneau de temporalité on est le plus efficace. Par exemple, de mon côté, je me suis rendu compte qu'entre 25 et 30 heures par semaine, c'est là où je suis le plus efficace. en termes de travail, en termes d'énergie, en termes de concentration. Donc je fais en sorte que mes semaines rentrent dans ce créneau-là. Évidemment, il y a de temps en temps des semaines qui dépassent, et il y en a d'autres qui y sont moins, mais dans la moyenne, ça reste entre 25 et 30 heures. ça c'est des choses qui sont pour moi importants pour respecter cet équilibre là et je te redirais les 5 B que je partage à mes clients c'est des trucs tout bêtes mais juste se rappeler que tous les jours si vous avez ces 5 B là déjà vous allez avoir beaucoup de choses qui vont changer que ce soit le bien bouger, 30 minutes d'activité physique juste aller marcher, aller danser, faire du sport si vous voulez, bien manger une alimentation saine qui nous ressemble je ne vous demande pas d'être végétarien mais en tout cas de manger avec conscience à la saison, etc. Ça, ça va vous donner le carburant. Le bien-penser, c'est tout ce qui est créativité, méditation, musique, faire en sorte que votre charge mentale soit la plus faible possible. Ça, c'est ce que j'essaye d'apporter avec ce B. Le bien-dormir, entre 7 et 9 heures de sommeil en fonction de chacun, et surtout de se coucher et de se lever sans le fameux téléphone. Ça, c'est quelque chose qui peut vous aider aussi. Ça, c'est l'axe d'amélioration. Je m'améliore de tous les jours. Moi, cet axe-là, je dois améliorer. Et le bien s'entourer. Bien s'entourer, c'est s'entourer de personnes qui sont positives, qui vont vous pousser à réussir. qui ne vont pas forcément être là pour vous brosser dans le sens du poil, mais qui vont savoir vous dire les choses avec respect, avec bienveillance, avec douceur, et qui vont vous encourager. Tiens, pourquoi ce projet-là est important ? Est-ce que tu as pensé à faire ça de telle façon ou de telle façon ? Plutôt que de dire, ben non, tu ne vas pas y arriver, etc. Bien s'entourer, pour moi, c'est ça. Et c'est savoir aussi s'entourer de mentors, s'entourer de personnes qui sont peut-être à l'étape où nous, on a envie d'être. Je te prends un exemple concret, je m'entoure d'entrepreneurs qui font déjà 100 000 euros par an, parce que c'est peut-être l'un de mes objectifs. Qu'est-ce qu'eux ont mis en œuvre et qu'est-ce que je peux mettre en œuvre moi par rapport à eux ? Et ça, je trouve intéressant et important. Je te dirais de ça.
- Speaker #0
super en tout cas merci pour tout ce partage il y a un autre point sur lequel j'aimerais avoir ton point de vue tu utilises beaucoup Instagram pour développer en tout cas pour communiquer autour de ton activité les réseaux sociaux il y a en tout cas beaucoup de gens que je peux accompagner qui partent ensuite sur des projets entrepreneuriaux qui ne sont pas hyper à l'aise avec les réseaux sociaux quels seraient tes conseils là aussi pour se lancer pour oser y aller merci pour aussi finalement que ça soit utile et efficace finalement pour développer l'activité ? Et qu'est-ce que toi t'en retires de cette communication ?
- Speaker #1
Alors je te dirais déjà, moi communiquer c'est un plaisir et ça fait partie de mes valeurs. Dans mes valeurs, il y a la valeur partage. Donc je fais ça parce que j'aime ça surtout. J'aime ça, j'aime partager. Tu vois, il y a un an et demi de ça, j'avais fait Compostelle. Et sur les étapes de Compostelle, je partageais tous les jours la réflexion du jour où je me filmais en story en train de... et on m'avait dit Victor tu devrais couper le téléphone et aller au portoir bah en fait non parce que pour moi ça fait sens et ça fait partie de mon coaching que de partager d'autoriser les gens à ça ensuite je dirais aux personnes peut-être que votre client idéal et c'est là l'intérêt de faire le client idéal ne se trouve pas sur les réseaux sociaux Déjà, peut-être que vous avez envie d'y aller, vous n'aimez pas ça, vous n'avez pas envie, vous ne savez pas par où commencer, mais peut-être que votre client n'y est pas. Donc ça ne sert peut-être à rien d'y aller. Et ensuite, s'il y est... et que vous avez du mal à vous y mettre, c'est de vous dire, tiens, peut-être vous questionnez déjà pourquoi. Est-ce qu'il y a peut-être une peur qui est derrière ça ? Regarde les autres, peur de se rendre visible. Ça, c'est des peurs qui font partie aussi. Parce que se montrer cérébraux des réseaux sociaux, c'est aussi accoucher d'une part de soi, d'accoucher de son projet, de mettre à la lumière son projet-là. Donc je comprends aussi cette peur. Et c'est de se poser la question aussi, quel serait le...
- Speaker #0
le rythme juste, je dirais, tiens, n'allez pas vous forcer parce que vous avez vu sur Instagram que le rythme idéal, c'est cinq fois par semaine, il faut faire deux reels, trois reels, deux... Non. C'est-à-dire, OK, moi, dans mon équilibre de vie, qu'est-ce que c'est ? Combien c'est par semaine ? Est-ce que c'est plutôt le matin ? Est-ce que c'est plutôt l'après-midi ? Mieux vaut que vous fassiez moins, mais mieux. Mieux vaut que vous vous gagnez en régularité, mieux vaut que vous postiez une fois par semaine toutes les semaines de l'année. plutôt que 3 fois, puis 2 fois, puis 6 fois, puis 1 fois. Non, voyez plutôt ça comme... Si déjà vous faites un poste par semaine, vous en ferez 52 par an, ce qui est déjà beaucoup. Ensuite, derrière ça, c'est de ramener le côté plaisir. Vous n'êtes pas forcé à publier, vous n'êtes pas forcé à ça. Si votre business en a besoin, adaptez les choses. Et si vous-même, vous n'aimez pas... n'hésitez pas à déléguer en fait. Ça, je vous partage aussi, de mon côté, les visuels. Au bout d'un moment, ça m'embêtait de les faire. Je me suis entouré d'une graphiste et elle fait mes visuels et moi, je fais les textes. Ça me permet de ramener aussi ce plaisir-là. Ça me permet de rééquilibrer un peu cette chose-là. Et encore une fois, de faire à son rythme, de faire à sa façon et de ne pas hésiter à tester, améliorer, changer. et les robots les robots d'Instagram et des algorithmes ils préfèrent encore une fois la régularité à des hauts des bas, des pics je dirais ça
- Speaker #1
Est-ce que tu as des ressources, podcasts, livres à recommander finalement à une personne qui aimerait se lancer dans un projet de coeur ?
- Speaker #0
Alors j'ai un podcast que j'adore qui est plutôt sur la partie un peu mindset. Il y en a deux que j'aime bien. Il y a Nouvel Oeil de Victoria Guillaumeau qui est une fille qui est incroyable. Elle est plus jeune que moi, elle doit avoir 25 ans. Et elle fait des trucs, elle interview déjà des grandes de ce monde. Ça vous montre que si cette personne-là sans lui manquer de respect, elle est loin de là, elle est talentueuse, elle ose. elle a interviewé des Mathieu Ricard des Charles Pépin etc donc je me dis si elle a réussi à le faire je pense que tout le monde on peut réussir à le faire dans ce podcast là il y a le podcast InPower de Louise Aubéry que j'aime bien aussi moi j'aime bien le mindset comprendre qu'est-ce qui amène par là et un livre, alors c'est un livre un peu philo mais qui peut correspondre à l'aventure entrepreneuriale et des projets de coeur surtout c'est La Rencontre de Charles Pépin Merci et notamment à l'intérieur il parle de l'imprévu et de l'inconnu en disant ouvrez-vous à l'imprévu, ouvrez-vous à l'inconnu et ouvrez-vous dans ce cas-là au projet de cœur, à l'inconnu du projet de cœur et avec ce mantra c'est va et vois va et vois et si votre libre arbitre est toujours là vous ferez toujours les bons choix et vous êtes toujours libre de repartir. Si jamais ce n'était pas le bon projet de cœur, ce n'était pas le bon moment, etc. Par contre, mieux vaut que vous ayez des remords que des regrets. Et ça, je pense que c'est une ressource que je peux apporter. Dans les vertus de l'échec, ça pourrait être aussi quelque chose de Charles Pépin. c'est des sujets là après j'ai pas de ressources on va dire techniques ça je pense qu'il y en a mieux il y a des personnes qui sont plus compétentes que moi sur ce sujet là mais en tout cas sur la partie philo et mindset c'est des choses qui sont très bien je
- Speaker #1
mettrai les noms dans la description de cet épisode est-ce que tu aurais un dernier conseil finalement à donner à quelqu'un qui hésiterait encore à se lancer je dirais que cette hésitation cette peur c'est peut-être la dernière marche
- Speaker #0
qui vous sépare de ce projet de cœur, de ce rêve-là. Et sur ça, il y a deux schémas. Il y a le schéma de la zone de confort, la zone de panique, d'apprentissage, et ensuite la zone de magie. C'est là qu'on vibre. Et la magie, c'est l'âme qui agit. Et ça c'est un peu une pensée que j'aime bien. Et puis la dernière chose avec laquelle je voudrais conclure c'est sauter et le parachute il arrive après. Parce que si vous ouvrez le parachute dans l'avion, je pense que vous ne faites pas long feu. que mieux vaut que vous sautiez et encore une fois le parachute si vous sautez sans parachute évidemment vous allez vous écraser mais par contre quand vous montez dans l'avion vous êtes préparé vous avez un sac à dos et le parachute qui est là et ça pour moi c'est le cadre, l'équilibre, la vision le pignon idéal qu'on a dit et ensuite lancez-vous je suis sûr que vous ne vous regretterez pas et les risques il n'y en a pas beaucoup super où est-ce qu'on peut te retrouver si on veut te suivre ? Le plus simple, c'est Instagram. Pour moi, c'est là où je suis le plus actif. C'est là où je suis le plus... VictorMaurice.coaching. C'est là où je partage tous mes projets de cœur. En ce moment, il y en a plein. Le co-living, les accompagnements individuels. et j'essaie de partager au quotidien des bonnes vibes, des good vibes pour autoriser les gens à, je sais pas, je partage ces moments où je joue de la guitare, ces moments où je chante mais je sais pas chanter, ces moments où je dessine et je sais pas dessiner justement pour autoriser les gens, faites-vous plaisir, personne ne vous dira rien, hormis vous et voilà, donc Victor me correspond au coaching.
- Speaker #1
Super un grand merci Victor pour tout ton partage, à bientôt.
- Speaker #0
A bientôt.
- Speaker #2
Merci d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout. Si ce podcast vous plaît, je vous remercie de bien vouloir lui laisser une note 5 étoiles sur votre plateforme d'écoute préférée. Et si vous souhaitez en savoir plus sur le bilan de compétences, vous pouvez prendre rendez-vous pour un entretien gratuit et sans engagement en cliquant sur le lien que vous trouverez dans la description de cet épisode. Je vous dis à très vite, au revoir.