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Ma Tirelire

#11 - Investir dans les plus belles start-up françaises - Mathieu Artaud (Caption)

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1h00 |16/12/2021
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Description

Jusqu’à présent, le particulier qui voulait investir en start-up n’avait que deux options : les sociétés en amorçage ou les sociétés cotées en bourse. Avec le marché secondaire Caption.market, il est désormais possible de racheter des actions de sociétés plus développées telles que ManoMano, Payfit, Feed, October ou Blablacar.


C’est ce qu’est venu nous expliquer aujourd’hui Mathieu Artaud, cofondateur de la plateforme Caption qui fédère déjà plus de 9 000 investisseurs !


6 points à retenir avant de se lancer dans l’aventure : 

  • Caption s’est fixé deux missions : redistribuer de la richesse pour les actionnaires qui n’ont normalement pas la capacité de revendre leurs actions pour cause d’absence de marché secondaire et démocratiser l’investissement en start-up
  • Les sociétés visées par Caption sont des sociétés mures qui ont déjà passé plusieurs étapes de développement et qui ont pour vocation, soit de continuer à s’étendre, soit de s’introduire en bourse (Série A jusqu’à la licorne). Il s’agit dès lors de projets moins risqués que les start-ups en early stage mais qui présentent encore de belles perspectives de rentabilité
  • Le ticket d’entrée est de 2 000€. Il était encore de 10 000€ il y a peu de temps mais Caption s’efforce de le réduire au maximum pour augmenter l’accessibilité
  • L’investisseur n’achète pas ses actions en direct auprès de la start-up. L’opération s’effectue via une société intermédiaire
  • Les vendeurs sont en compétition et c’est le prix le plus bas qui est affiché. Les investisseurs sont ainsi assurés de ne pas payer trop cher leurs actions
  • Les gains sont taxés à la flat-tax de 30%


Un avant-goût de l’épisode : 


« Là où Caption a une vraie valeur ajoutée, c’est que le salarié qui détient des actions de la société dans laquelle il travaille va pouvoir les convertir en liquidités pour financer ses projets personnels. Si on n’a pas la possibilité de vendre ses titres facilement, c’est de la richesse qui n’est que virtuelle. »


« La liquidité est une dimension très importante dans le prix de tout actif financier. Pouvoir revendre facilement implique forcément un prix plus élevé. »


« S’il fallait nous comparer, on pourrait dire que nous sommes une place de marché type Euronext pour les sociétés non cotées. »


« Quand il y a un doute, il n’y a pas de doute, il ne faut pas investir. »


Pour ceux qui ont envie d’aller plus loin : 


Vous avez aimé cet épisode de Ma Tirelire ? Abonnez-vous au podcast sur Apple PodcastsSpotifyDeezer, et Google Podcasts et notez-le 5 étoiles !

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Jusqu’à présent, le particulier qui voulait investir en start-up n’avait que deux options : les sociétés en amorçage ou les sociétés cotées en bourse. Avec le marché secondaire Caption.market, il est désormais possible de racheter des actions de sociétés plus développées telles que ManoMano, Payfit, Feed, October ou Blablacar.


C’est ce qu’est venu nous expliquer aujourd’hui Mathieu Artaud, cofondateur de la plateforme Caption qui fédère déjà plus de 9 000 investisseurs !


6 points à retenir avant de se lancer dans l’aventure : 

  • Caption s’est fixé deux missions : redistribuer de la richesse pour les actionnaires qui n’ont normalement pas la capacité de revendre leurs actions pour cause d’absence de marché secondaire et démocratiser l’investissement en start-up
  • Les sociétés visées par Caption sont des sociétés mures qui ont déjà passé plusieurs étapes de développement et qui ont pour vocation, soit de continuer à s’étendre, soit de s’introduire en bourse (Série A jusqu’à la licorne). Il s’agit dès lors de projets moins risqués que les start-ups en early stage mais qui présentent encore de belles perspectives de rentabilité
  • Le ticket d’entrée est de 2 000€. Il était encore de 10 000€ il y a peu de temps mais Caption s’efforce de le réduire au maximum pour augmenter l’accessibilité
  • L’investisseur n’achète pas ses actions en direct auprès de la start-up. L’opération s’effectue via une société intermédiaire
  • Les vendeurs sont en compétition et c’est le prix le plus bas qui est affiché. Les investisseurs sont ainsi assurés de ne pas payer trop cher leurs actions
  • Les gains sont taxés à la flat-tax de 30%


Un avant-goût de l’épisode : 


« Là où Caption a une vraie valeur ajoutée, c’est que le salarié qui détient des actions de la société dans laquelle il travaille va pouvoir les convertir en liquidités pour financer ses projets personnels. Si on n’a pas la possibilité de vendre ses titres facilement, c’est de la richesse qui n’est que virtuelle. »


« La liquidité est une dimension très importante dans le prix de tout actif financier. Pouvoir revendre facilement implique forcément un prix plus élevé. »


« S’il fallait nous comparer, on pourrait dire que nous sommes une place de marché type Euronext pour les sociétés non cotées. »


« Quand il y a un doute, il n’y a pas de doute, il ne faut pas investir. »


Pour ceux qui ont envie d’aller plus loin : 


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C’est ce qu’est venu nous expliquer aujourd’hui Mathieu Artaud, cofondateur de la plateforme Caption qui fédère déjà plus de 9 000 investisseurs !


6 points à retenir avant de se lancer dans l’aventure : 

  • Caption s’est fixé deux missions : redistribuer de la richesse pour les actionnaires qui n’ont normalement pas la capacité de revendre leurs actions pour cause d’absence de marché secondaire et démocratiser l’investissement en start-up
  • Les sociétés visées par Caption sont des sociétés mures qui ont déjà passé plusieurs étapes de développement et qui ont pour vocation, soit de continuer à s’étendre, soit de s’introduire en bourse (Série A jusqu’à la licorne). Il s’agit dès lors de projets moins risqués que les start-ups en early stage mais qui présentent encore de belles perspectives de rentabilité
  • Le ticket d’entrée est de 2 000€. Il était encore de 10 000€ il y a peu de temps mais Caption s’efforce de le réduire au maximum pour augmenter l’accessibilité
  • L’investisseur n’achète pas ses actions en direct auprès de la start-up. L’opération s’effectue via une société intermédiaire
  • Les vendeurs sont en compétition et c’est le prix le plus bas qui est affiché. Les investisseurs sont ainsi assurés de ne pas payer trop cher leurs actions
  • Les gains sont taxés à la flat-tax de 30%


Un avant-goût de l’épisode : 


« Là où Caption a une vraie valeur ajoutée, c’est que le salarié qui détient des actions de la société dans laquelle il travaille va pouvoir les convertir en liquidités pour financer ses projets personnels. Si on n’a pas la possibilité de vendre ses titres facilement, c’est de la richesse qui n’est que virtuelle. »


« La liquidité est une dimension très importante dans le prix de tout actif financier. Pouvoir revendre facilement implique forcément un prix plus élevé. »


« S’il fallait nous comparer, on pourrait dire que nous sommes une place de marché type Euronext pour les sociétés non cotées. »


« Quand il y a un doute, il n’y a pas de doute, il ne faut pas investir. »


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Jusqu’à présent, le particulier qui voulait investir en start-up n’avait que deux options : les sociétés en amorçage ou les sociétés cotées en bourse. Avec le marché secondaire Caption.market, il est désormais possible de racheter des actions de sociétés plus développées telles que ManoMano, Payfit, Feed, October ou Blablacar.


C’est ce qu’est venu nous expliquer aujourd’hui Mathieu Artaud, cofondateur de la plateforme Caption qui fédère déjà plus de 9 000 investisseurs !


6 points à retenir avant de se lancer dans l’aventure : 

  • Caption s’est fixé deux missions : redistribuer de la richesse pour les actionnaires qui n’ont normalement pas la capacité de revendre leurs actions pour cause d’absence de marché secondaire et démocratiser l’investissement en start-up
  • Les sociétés visées par Caption sont des sociétés mures qui ont déjà passé plusieurs étapes de développement et qui ont pour vocation, soit de continuer à s’étendre, soit de s’introduire en bourse (Série A jusqu’à la licorne). Il s’agit dès lors de projets moins risqués que les start-ups en early stage mais qui présentent encore de belles perspectives de rentabilité
  • Le ticket d’entrée est de 2 000€. Il était encore de 10 000€ il y a peu de temps mais Caption s’efforce de le réduire au maximum pour augmenter l’accessibilité
  • L’investisseur n’achète pas ses actions en direct auprès de la start-up. L’opération s’effectue via une société intermédiaire
  • Les vendeurs sont en compétition et c’est le prix le plus bas qui est affiché. Les investisseurs sont ainsi assurés de ne pas payer trop cher leurs actions
  • Les gains sont taxés à la flat-tax de 30%


Un avant-goût de l’épisode : 


« Là où Caption a une vraie valeur ajoutée, c’est que le salarié qui détient des actions de la société dans laquelle il travaille va pouvoir les convertir en liquidités pour financer ses projets personnels. Si on n’a pas la possibilité de vendre ses titres facilement, c’est de la richesse qui n’est que virtuelle. »


« La liquidité est une dimension très importante dans le prix de tout actif financier. Pouvoir revendre facilement implique forcément un prix plus élevé. »


« S’il fallait nous comparer, on pourrait dire que nous sommes une place de marché type Euronext pour les sociétés non cotées. »


« Quand il y a un doute, il n’y a pas de doute, il ne faut pas investir. »


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