S03 EP13 - CRM : l’atout indispensable aux Experts-Comptables cover
S03 EP13 - CRM : l’atout indispensable aux Experts-Comptables cover
Marketing du cabinet comptable

S03 EP13 - CRM : l’atout indispensable aux Experts-Comptables

S03 EP13 - CRM : l’atout indispensable aux Experts-Comptables

51min |05/08/2024
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S03 EP13 - CRM : l’atout indispensable aux Experts-Comptables cover
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Marketing du cabinet comptable

S03 EP13 - CRM : l’atout indispensable aux Experts-Comptables

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51min |05/08/2024
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Description

📌INFOS SUR L'EPISODE 

Aujourd’hui, je reçois Aryé Bismuth, Expert-Comptable et Cofondateur du CRM CABEO. Aryé a su transformer les défis de la profession d’expertise comptable en opportunités en développant un CRM spécialement conçu pour les cabinets d'expertise comptable. Au cours de cette conversation, nous explorons ensemble les avantages d'un CRM pour les experts-comptables, notamment le gain de temps, la fiabilité des données, et la centralisation des tâches. Aryé partage également des conseils pratiques pour intégrer un CRM dans votre cabinet, ainsi que des anecdotes sur l'importance de la réactivité et de la formation des collaborateurs. Un épisode incontournable pour tous ceux qui cherchent à optimiser la gestion de leur cabinet.


La durée de l'épisode est de 51 mins⏳.  


📚RESSOURCES 

Pour en savoir plus sur Arye et son CRM CABEO c'est par ici 😉 :


🚨MERCI AUX PARTENAIRES DE LA SAISON 3 (par ordre alphabétique) :

· AXONAUT 🔗pour la gestion interne du cabinet EC ;

· CLASSE 7 🔗édifie la communication des EC ;

· ECMA 🔗la solution digitale des EC ;

· SAGE 🔗la solution comptable des EC.


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Il ne me reste plus qu'une chose à vous dire : "bonne écoute" 🎧


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Bienvenue dans la troisième saison du podcast Marketing Cabinet comptable. Tous les 15 jours, je vous apporte des astuces marketing au travers d'interviews d'experts comptables. L'objectif reste inchangé, vous permettre de faire rayonner à votre tour votre cabinet. Alors, sans plus attendre, place à l'interview. Bonjour à tous, on se retrouve dans le 13ème épisode avec Aryé BISMUTH, où on va parler d'un... quelque chose qui me tient vraiment à cœur, c'est le CRM. Parce que je pense que le CRM, c'est le deuxième logiciel dans chaque prestation de service, ou même dans les entreprises industrielles. On a notre logiciel de production et derrière il faut un CRM pour tout gérer cela. Et donc j'ai eu la chance de rencontrer Aryé qui du coup va s'occuper, lui il est expert comptable et il s'occupe des CRM, il trouve que c'est très important donc on en profite. Bonjour, comment vas-tu ?

  • Aryé BISMUTH - invité

    Ça va et toi ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Ça va. Est-ce que tu peux te présenter pour les auditeurs qui ne te connaissent peut-être pas tous ?

  • Aryé BISMUTH - invité

    Alors, je m'appelle Aryé BISMUTH, j'ai 29 ans, on est sur Paris et on a créé un cabinet d'expertise comptable il y a 5 ans. Pour la petite histoire, à l'époque, en 2019, juste avant le Covid, mon associé et moi-même, on avait été les plus jeunes diplômés de la promotion. On a créé un cabinet, un an après à peine qu'on a été diplômés, donc c'est en 2019, sur la base de la réflexion de se dire, on va à un cabinet digital. mais on veut mettre l'humain et la relation client en centre. Donc, ce que je te disais tout à l'heure, c'est par exemple au cabinet, il n'y a pas de téléphone fixe, il n'y a pas de 0-1, c'est que des téléphones portables et des WhatsApp avec lesquels les clients peuvent communiquer. Même, on a une petite organisation, c'est quand un client a plusieurs sociétés, un grand groupe, etc., il a le droit d'avoir un groupe. un groupe WhatsApp, donc ça nous fait en même temps des conversations des fois des groupes WhatsApp sur lesquels il y a la collaboratrice sociale, le collaborateur comptable et l'expert comptable, et côté client, peut-être l'ARH, l'assistante de direction et le client lui-même. Et en fait, l'idée, c'est qu'on voulait vraiment qu'on dit que l'humain soit au centre, c'est pas juste qu'on va juste prêter attention à ce que le client nous dit, ce qu'un client recherche aujourd'hui dans un cabinet. au-delà du conseil, au-delà, parce qu'il y a plein de très bons experts comptables, etc. Mais il y a beaucoup de clients, quand ils viennent nous voir, le problème, c'est la réactivité. Et c'est ça, l'humain qui est au centre, c'est comme, aujourd'hui, par exemple, t'es dans quelle banque, Florian, à titre perso ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Là, moi, je suis à la CIC.

  • Aryé BISMUTH - invité

    T'es satisfait de ton conseiller ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Moi je le vois jamais

  • Aryé BISMUTH - invité

    Mais t'échanges avec lui par mail ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Ouais un petit peu par mail L'objectif moi c'est qu'on puisse avoir une réactivité Comme tu dis rapide, une petite question Qui me répondent assez rapidement Et si j'ai vraiment besoin, là on prend rendez-vous Mais c'est plus la réactivité qui est importante

  • Aryé BISMUTH - invité

    C'est exactement la même chose dans un cabinet C'est à dire que des fois on va juger une banque On va envoyer 4 mails dans l'année Mais sur les 4 mails qu'on va envoyer dans l'année Si le cabinet nous répond Ou si la banque nous répond rapidement On va dire ok ça c'est un cabinet qui est réactif, qui fait attention, etc. Si on te met deux semaines pour répondre, forcément ça va biaiser un petit peu le regard qu'on porte sur le professionnel. Donc en fait, le point de départ de la réflexion pour se dire on crée un CRM, il a été double, c'est-à-dire qu'on s'est dit à la fois on veut de la réactivité, donc au tout début c'était par rapport aux documents, donc que ce soit, il y a trois types de documents qu'on produit en interne au cabinet, il y a tous les documents juridiques. donc création, modification, dépôt des comptes, etc., sur lequel je ne voulais plus qu'il y ait de word qui soit pris, qui soit modifié. Il y a les documents, les attestations. En plus, pendant la période Covid, on en a eu beaucoup à faire, des attestations de chiffre d'affaires, des PV pour autoriser tel ou tel emprunt, etc., auprès des banques. Donc, il y avait tout ce qui est attestation, donc tous les documents qui sont signés par un cabinet. et tout ce qui est courrier, courrier d'état allemand, courrier de demande de remise gracieuse, les courriers de façon globale. Et donc on s'est attelé pendant un an, à l'origine c'était un CRM qui a été développé pour nous, pour nos besoins en interne, et en fait en avançant, plus tard dans la réflexion, on s'est dit en discutant avec d'autres confrères qu'on pouvait également aussi le proposer avec d'autres confrères. Donc au tout début KBO, c'était un CRM qui permettait de générer tous les documents du cabinet, pas que le juridique. mais aussi des documents et de façon extrêmement rapide. C'est vrai que la plupart des cabinets de notre taille, entre 5 et 20 collaborateurs, 90% du juridique qu'on fait par exemple, c'est du juridique classique, c'est du juridique récurrent, que ce soit sur des sessions, des transferts, etc. Donc, il y a d'autres solutions sur le marché, par exemple, qui proposent d'aller beaucoup plus loin dans les documents juridiques qui sont fournis. Et nous, l'idée, c'était déjà d'avoir le socle commun qui réponde à 90-95% des besoins. Et quand j'ai une transformation de GUE en SNC Affaires, dans ce cas-là, je passe par je reprends ma Intram Award et et que j'ajuste en fonction du cas. C'est de répondre à ses besoins et aussi d'avoir des documents qui puissent se produire super rapidement. Un autre exemple que je te donne, c'est quand un client vient au cabinet, en même temps que sur le logiciel qu'on remplissait les informations, qu'on définissait l'objet social des associés, tout de suite en finissant de remplir, Le client avait les statuts prêts et il y en a même, en 15 minutes, on faisait en même temps les statuts et en même temps, on ouvrait le compte sur Conto. Donc en fait, le client est sorti et disait Waouh, ça va vraiment super, super vite. Attention, ça c'est sur la phase production. Ça n'enlève pas toute la phase conseil, orientation qui est faite en amont. Mais c'est juste, il n'y a pas de délai pour produire des documents, pour donner un résultat au client.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Je me posais la question du coup, Tu as voulu créer toi-même ton CRM. C'est que ceux sur le marché, tu les trouvais peut-être pas assez adaptés aux experts comptables, mais tu es quand même un petit peu atypique. Tu as la vision de celui qui crée le CRM et tu as la vision expert comptable. Donc, tu sais un petit peu ce qu'on nous attend, nos besoins.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Oui. Alors, en fait, sur le marché... Bon, mis à part les attestations qu'on génère automatiquement sur KBO et les courriers, sur lesquels il n'y avait pas de solution, mais bon, après ça, tout existe déjà sur le marché. C'est-à-dire qu'aujourd'hui, vous avez de très bonnes solutions pour faire du juridique, vous avez de très bonnes solutions pour faire du suivi comptable. sur lequel vous avez des envois, des relances automatiques aux clients, il y en a même avec des API, avec des logiciels, vous avez des très bonnes solutions qui vont vous faire la facturation, qui vont vous générer les lettres de mission, les mandats de prélèvement, vous avez des très bonnes solutions qui vont calculer un boni ou un mali en fonction de ce que vous avez gagné, vous avez des très bonnes solutions pour la tise des temps, mais le problème... c'est que ça veut dire qu'à chaque fois que vous rentrez un client dans votre cabinet, vous devez déjà souscrire à 5 ou 6 offres, mais au-delà de ça, vous devez le rentrer dans 5, 6 plateformes, et demain vous avez un client qui part, il faut le sortir et il faut mettre à jour sur 5, 6 endroits différents, et des fois pour des solutions qui ne sont pas interconnectées entre elles, et je me suis dit, attends, c'est-à-dire quoi, demain j'ai un nouveau client qui vient. outils de production comptable et j'aide chacun son organisation, chacun son outil, c'est très difficile à remettre en cause. Mais après pour le reste, je dois avoir un logiciel de facturation sur lequel je dois renseigner mon client, je dois avoir un logiciel sur lequel je dois renseigner mes clients sur lequel je suis juridique, je dois renseigner mes clients sur un logiciel sur lequel je dois avoir mon suivi comptable, suivi fiscal, etc. Je dois avoir un logiciel aussi qui va me faire peut-être des tableaux de bord, des calculs de la rentabilité. Je me rappelle il y a 3 ou 4 ans au congrès à Bordeaux, il y avait un logiciel et je me suis dit quoi ? C'est-à-dire qu'à chaque fois que j'ai un client qui rentre et je dois le rentrer dans 6-7 endroits différents, il y a une modification. Non, c'est impossible. Donc, on s'est dit qu'en fait, on va faire une solution en SaaS vraiment très flexible sur lequel, en fait, le cabinet, ça ne remet pas du tout en cause son organisation, que ce soit stockage de documents. Donc, ce n'est un outil de stockage de documents et ce n'est pas en interaction avec l'outil de prod comptable. Par contre, Voilà, c'est ouvert et c'est sur lequel on va pouvoir faire aujourd'hui la facturation, l'analyse de la rentabilité du dossier. On a un tableau de bord et en fait, on a un endroit unique. sur lequel moi je passe beaucoup de temps dans la journée, quand je veux à la fois faire des documents, je rentre un nouveau client, je le convertis directement sur le CRM, je fais un point avec mon associé, j'ai directement toutes les informations sur le tableau de bord, je veux sortir un client du cabinet, il reçoit automatiquement le mail de fin de mission, le courrier de fin de mission, il veut faire une demande de remise grave, c'est-à-dire qu'en fait sur tout ce qui n'est pas prod et stockage, Tout est sur KBO.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Tu vas me répondre à la question suivante qui est pourquoi c'est aussi important d'avoir un CRM dans un cabinet alors que nombreux de nos confrères, ils n'en ont pas. Pourquoi, toi, tu me dirais, il faut absolument le prendre ?

  • Aryé BISMUTH - invité

    Il y a beaucoup de confrères qui fonctionnent avec des tableaux Excel. Beaucoup qui fonctionnent sur des sheets, sur des drives, etc. avec des tableaux Excel. c'est une organisation qu'on avait au tout tout début, avant d'avoir KBO, et qui fonctionne quand vous êtes vraiment dans un environnement où vous êtes soit en freelance seul, ou soit avec un collaborateur, et que vous maîtrisez, on va dire, vous maîtrisez encore tous les dossiers en direct, etc. Et même, en réalité, la réflexion est même, parce que... On ne gagne pas en visibilité, on doit à chaque fois recouper un peu les informations financières qu'on a sur d'autres Excel, on doit mettre à jour sur différents endroits, etc. Donc, pour répondre à la question... le premier avantage, c'est le gain de temps. Clairement, on gagne du temps. Et du temps, c'est la denrée la plus rare d'un expert comptable. Je le dis souvent, et ça peut étonner certains cabinets, mais aujourd'hui, on est 20 collaborateurs. On a fait par exemple 300 formalités de création en une année. J'avais mis un post sur LinkedIn sur lequel j'ai envoyé un screen de l'état d'avancement de l'INPI. Et on n'a pas de collaboratrice juridique. On n'a pas de collaboratrice juridique. Les formalités sont faites directement par les collaborateurs. ou directement par les experts fondables. À la nuit, ce qui prend le plus de temps, c'est remplir sur l'Inpi et faire la publicité dans le journal d'annonce légale. Mais voilà, ça veut dire que le rythme et la réactivité, surtout par exemple sur la création de société, en réalité, c'est une phase de round avec le client. C'est une phase de round dans laquelle on va se tester avec le client. Le client va tester un peu notre réactivité. C'est une phase où le client apprend à nous connaître et ça donne tout de suite une super bonne impression. Quand vous montrez que sur la phase de création de société, quand vous envoyez les documents, etc., vous êtes réactif, même sur un changement ou sur d'autres choses, là, il voit tout de suite que le cabinet est réactif et donc, quelque part, je peux compter dessus. Donc, le premier point, c'est vraiment le gain de temps. Vraiment, on peut faire l'économie d'un poste, on peut gagner beaucoup de temps pour pouvoir le consacrer à d'autres missions. Et le deuxième avantage, c'est vraiment avoir la vision globale. Si tu veux, tout à l'heure, je t'ouvrirai mon tableau de bord. une minute comme ça pour que tu puisses te rendre compte, mais on a vraiment un tableau de bord sur lequel, en fait, je n'ai pas besoin de me dire, attends, ce tableau de bord, il tient compte de ça, mais j'ai autre chose également aussi dans d'autres, ah, ça, ça n'a pas été pris en compte, etc. J'ai un tableau de bord où j'ai le chiffre d'affaires théorique, le chiffre d'affaires facturé, j'ai l'évolution des portefeuilles par collaborateur, en volume et aussi en euros, en nombre de dossiers. Je sais ce qui a pris le plus de temps dans une mission, est-ce que c'est la saisie ? tout au long de l'année, ou est-ce que c'est au moment du bilan ? Et vraiment, on a une vision globale, et on peut prendre des décisions stratégiques sur, par exemple, s'il y a des experts comptables qui utilisent des solutions marketing pour avoir des clients, ils ont tout de suite, en instantané, sur la période souhaitée, le graphique de l'origine des clients, est-ce qu'ils proviennent plus d'acquisitions sur les réseaux sociaux, est-ce qu'ils proviennent de bouche à oreille, est-ce qu'ils proviennent d'autres applications, etc. Donc c'est vraiment pour ce côté de se dire, en fait, quand je suis dessus, je sens que je maîtrise.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Et du coup, derrière, est-ce que c'est en instantané ? Je veux dire, là, on fait l'enregistrement le 25 juin, je peux savoir où t'en es sur les dossiers. C'est pas quelque chose que tu vas faire comme on vous habitude, l'Excel, on n'a pas le temps, faire une extraction, on va le regarder deux fois dans l'année, pour vraiment être sûr.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Attends, je peux te partager mon écran ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Ouais, vas-y.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Tu vois, par exemple, là, sur le cabinet, tu vois ? Là, tout de suite, sur mon tableau de bord, je peux calculer mon chiffre d'affaires théorique, mon chiffre d'affaires réel. Je sais combien de prospects il me reste à convertir, combien de clients en cours. je peux voir mes performances, je peux voir aussi l'évolution des portefeuilles par collaborateur en volume et en euros, je peux voir d'où viennent mes prospects, je peux avoir un filtre sur l'avancement comptable, bon tu vois on n'est pas très à jour encore sur 2024, mais voilà, on peut voir combien de dossiers ont été, en fonction des différents statuts, etc. Et en fait ce tableau de bord, c'est qu'une partie... de la synthèse de toutes les informations qu'on peut avoir. Donc ça veut dire que c'est pas qu'un outil sur lequel je vais devoir renseigner des éléments et sur lequel ça va me sortir un tableau de bord. Ça se fait automatiquement parce que le KBO aujourd'hui gère tous les aspects du suivi, suivi comptable, suivi fiscal, suivi de l'avancement des formalités juridiques, il gère toute la facturation, il gère tout ce qui est lié. à la prise en main d'une mission, un début de mission, une fin de mission. Donc voilà, j'ai arrêté de partager l'écran. Mais c'est pour te montrer une idée en fait, où je ne suis pas dans ce truc de dire, je dois alimenter pour avoir un visu. Je l'ai en instantané, uniquement parce que les collaborateurs l'utilisent. c'est vrai que souvent le frein quand vous mettez un CRM en place dans un cabinet c'est de se dire il y a peut-être des collaborateurs ça leur fait un outil en plus je sais pas si t'as déjà eu le cas de...

  • Florian DUFOUR - Hôte

    si si c'est toujours cette problématique c'est que l'une des limites c'est qu'il faut que derrière les collaborateurs renseignent l'information et considèrent que cet outil en plus va les aider à gagner du temps et pas être un outil comme le millefeuille qui te fait perdre encore du temps parce qu'on en a 50

  • Aryé BISMUTH - invité

    En fait, je suis d'accord, mais pour qu'un collaborateur utilise ce logiciel, il faut qu'il y trouve son gain et son intérêt. Et en fait, très souvent, le logiciel est... est très rapidement plébiscité par les collaborateurs. Les collaborateurs directement eux-mêmes, parce qu'eux-mêmes, ils ont un gain dans leur travail, dans leur exécution de mission. Je vais te donner un exemple. Par exemple, sur quoi là ? Tu peux renseigner les temps. Tu as une fiche de temps sur laquelle tu peux renseigner, etc. Je sais que le cabinet où je travaillais, c'était quelque chose, c'était un peu une tâche. que moi j'ai la vérité que j'aimais pas faire parce que je voyais pas et je voyais pas la valeur ajoutée c'était pour donner à ton supérieur en fait c'était uniquement le côté flicage tu vois dans kbo dans kbo par exemple on a le la saisie des temps se fait via un calendrier Donc imagine que tu as un rendez-vous avec un client, tu notes sur ton calendrier, ça va tout de suite automatiquement se remplir. Donc déjà, il n'y a pas cette double saisie entre ton calendrier partagé et la saisie des temps. Ça c'est la première chose. Et aussi la deuxième chose, c'est que le collaborateur, nous par exemple on leur laisse accès au suivi de mission, sur lequel on budgétise le temps de mission, et sur lequel le collaborateur voit le temps qu'il a renseigné. et sur lequel le collaborateur de lui-même peut dire Attends, attention, c'est un dossier qui a un peu dérapé. ok et je vais aller donc en fait il y a un intérêt pour le collaborateur de l'utiliser parce que ça permet des fois il y a des collaborateurs ils sont venus me voir ils m'ont dit regarde mon portefeuille aujourd'hui il a évolué très peu mais en terme de volume regarde voilà j'étais édité une fiche parce qu'on peut éditer la fiche des temps passés etc c'est pas forcément sur la gestion mensuelle mais c'est vraiment sur le bilan, ça nécessite, voilà, il y a beaucoup de choses à vérifier, etc., et c'est plutôt sur cet aspect-là que tu dois retravailler avec le client. Et en fait, le collaborateur, il... on va se dire la vérité, il connaît le montant que le cabinet, il facture les honoraires, et il sait le temps qu'il peut y passer ou pas. Et des fois, c'est vrai qu'il y a cette gêne du collaborateur de passer beaucoup de temps dans un dossier, qui le mérite, sur lequel il doit passer du temps, mais parce qu'il sait que le budget est limité. Et le fait d'ouvrir au collaborateur cette possibilité de se rendre compte, ok, on a prévu tant de temps, il y a plus de temps qui ont été passés, ok, il faut qu'on voit, il faut qu'on fasse un point avec le client, pour que tu aies peut-être plus de temps. pour bien faire le dossier, pour que tu aies plus le temps d'analyser les choses et pas d'être vraiment de subir, c'est comme ça que j'appelle moi, de subir le dossier, etc., en fait, les collaborateurs le prennent très bien.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Ça permet aux collaborateurs d'avoir une visibilité. Et moi, je voulais te poser une question, c'est toi, en tant que chef d'entreprise et responsable d'un cabinet, est-ce que ça t'a permis d'avoir cette visibilité, on va dire, tous les jours au lieu d'attendre un an, de mieux gérer ton cabinet, de dire, tiens, je vais pouvoir anticiper, il va falloir que j'embauche ?

  • Aryé BISMUTH - invité

    Tout à fait. Tout à fait. Tout à l'heure, je t'ai montré dans le tableau de bord, on a par exemple des pics des fois de prospects. On sait qu'après la période fiscale, on a beaucoup de créations de sociétés qu'on a fait depuis 2-3 mois sur lesquelles on doit fixer pas mal de rendez-vous avec les clients. Et là, par exemple, je sais que si j'ai 50-60 clients en attente... je sais que tout de suite je peux embaucher et je peux en 2-3 mois constituer un portefeuille neuf pour un collaborateur donc en fait je vais pas être dans la phase où je vais recevoir les clients me dire attends on va voir dès qu'il y a suffisamment je recrute ou je vais mal les disperser en attendant etc, non je sais qu'il y en a 60 je peux lancer une annonce pour chercher un collaborateur par exemple pour la rentrée et à partir du moment où je me laisse deux mois pour verrouiller le portefeuille, comme ça quand le collaborateur arrive, c'est un portefeuille clé en main.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Est-ce que tu as des experts comptables qui ont pris ta solution chez KBO ? Et derrière, ils sont venus vers toi en disant qu'il y a une grosse différence, ça me permet de mieux gérer le cabinet au quotidien ou en période fiscale ?

  • Aryé BISMUTH - invité

    Il faut savoir déjà que KBO, quand on a commencé à le développer, on a mis presque deux ans et demi. pour avoir le premier cabinet qui utilise la solution. Au début, c'est une solution qu'on a pu autofinancer. Je ne cherchais pas forcément, et aujourd'hui aussi je ne cherche pas la rentabilité, etc. Je cherchais à avoir des retours cabinets, parce que pendant trois ans, on va dire presque trois ans, c'est vrai qu'il y a beaucoup de cabinets, d'ailleurs j'en profite de cette interview pour les remercier, mais on a participé à tous les salons, on avait un stand, etc. et sur lequel à chaque fois... chacun a amené sa vision, une amélioration, ça peut être des améliorations très mineures, je te donne un exemple, sur le suivi fiscal, tu as le filtre classique en fonction, pour la TVA, du régime de TVA, etc. Nous, à Paris, SRL, SAS, 17, 19, 24, c'est-à-dire que 17, 19, 21, 24, donc bon, on les connaît les dates. Il y a un cabinet qui m'a dit, ben non, moi je gère des entreprises, je crois que dans le monde agricole, sur lequel des fois il y a des TVA le 5 ou le 10, sur un système différent, il m'a dit, ça serait bien, là je te donne un exemple mineur, mais il m'a dit, ça serait bien que tu aies une colonne, en plus, sur lequel on peut rajouter le jour, le jour de la date limite de déclaration. en une demi-heure, le développeur il a développé et c'était mis à jour. On a des cabinets qui m'ont dit, je te donne un exemple, j'aimerais bien avoir par exemple, la réflexion sur la saisie des temps, que tu peux saisir des temps pour la mission ou pour le bilan, c'est un cabinet qui nous l'a dit. Il nous a dit, c'est vrai que nous on avait l'habitude de regarder au global, il disait non, non, moi j'aimerais bien. Et en fait, la solution, on l'a construite, non pas à travers notre prisme. de nous, cabinets parisiens, etc. Mais à travers trois ans de retour, de visio, d'écoute, de rendez-vous, etc. avec d'autres confrères, de la même génération, mais aussi d'autres générations, etc. Et qui nous ont permis d'améliorer, d'améliorer la solution. Et je peux dire qu'aujourd'hui, depuis, on va dire, bien un an, on a une solution. Alors, elle est toujours en évolution, il y a toujours des mises à jour, etc. Mais qui est... je peux le dire sans prétention, qui est quand même aboutie. C'est-à-dire sur lequel, en termes de fonctionnalité principale, ça aboutit. Donc voilà, mais c'est-à-dire que ça ne s'est pas fait, ce n'est pas quelque chose sur lequel on est venu avec un plan, on a dit ok, on doit le faire, à telle date, on doit le commercialiser. Non, au début, c'était beaucoup de... Et vraiment... beaucoup, beaucoup de lindines, de personnes qui avaient entendu parler etc et c'est ça qui fait la beauté du métier parce que c'est des choses qui se construisent avec des confrères et vous voyez qu'à chaque fois un autre cabinet il a une autre façon, une autre méthode par exemple il y a une il y a quelque chose que je pourrais pas accéder mais un cabinet m'avait dit moi ça serait bien que par exemple quand il y a marqué payé, c'est un exemple, mais quand il y a marqué payé dans votre, par exemple, j'ai payé telle taxe pour un client, que ça aille vérifier sur le compte bancaire du client, parce que ça a été vraiment payé ou pas. Bon, on l'a noté quelque part, ça ne fait pas partie pour l'instant, en tout cas, des priorités de développement, mais ça veut dire que en fait, c'est vraiment ces retours qui enrichissent la solution et qui font qu'aujourd'hui, c'est une solution Moi, le meilleur compliment que m'avait fait, pourtant on avait un stand de 20 mètres carrés, je crois que c'était à Montpellier, c'était waouh C'est-à-dire que vous avez un stand qui n'est pas à la hauteur de la solution que vous proposez, etc.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Après, ton objectif, c'était plutôt pour toi, ton cabinet, et là, c'est de partager, donc c'est super bien. Il y a deux choses que je voudrais revenir avec toi, c'est sur les avantages. Il y a une chose importante, je trouve. c'est le fait d'automatiser les choses. Souvent, on perd énormément de temps à retaper des noms, des sirètes à gauche et à droite. Et la seconde, la fiabilité des données. Le fait que le problème, c'est qu'on a 50 Excel et que des fois, ce n'est pas fiable. La donnée n'est pas à jour, ainsi de suite. Est-ce que tu veux bien me remonter des infos là-dessus ?

  • Aryé BISMUTH - invité

    Exactement. Je vais te dire que je donne un exemple. Ce matin, j'ai fait une augmentation de capital d'un client. par exemple, j'ai fait le PV, et tout de suite après, il y a la possibilité de cliquer sur KBO et de mettre à jour le client. Donc ça me permet d'avoir des statuts mis à jour, mais ça me permet que toutes les informations juridiques futures que je vais faire sur ce client vont être en cohérence justement avec la modification que j'ai effectuée. Et le problème d'un Excel, c'est que un Excel, à terme, chacun l'utilise un petit peu à sa sauce. Chacun met les... Voilà, va mettre des notes, va mettre des commentaires. Par exemple, pour parler du Excel, puisque on peut prendre des exemples vraiment concrets et qui peuvent parler aux auditeurs, par exemple pour la TVA. La TVA, dans les tableaux dans les cabinets, c'est fait, affaire ou pas fait, ou une croix et pas de croix. Bon, sur KBO, vous pouvez renseigner un bon temps. ok donc déjà moi quand je fais ma tva là du mois de quand on a fait la tva du mois de mai j'ai en visu les montants qui ont été payés sur janvier février mars abril donc tout de suite en rouge quand c'est payé en verre quand ça en crédit donc tout de suite ça permet d'avoir une idée de ce qui a été payé ou pas ensuite il y avait souvent des fois on fait une tva le client il est peut-être pas prévenu et c'est là vous avez la possibilité tout de suite dès que vous avez renseigné le montant d'envoyer un mail automatiquement aux clients comme quoi qui va être débité de tel ou tel on a fait une demande de remboursement de tel ou tel montant de TVA et ensuite vous pouvez afficher les missions qui sont en cours, suspendues ou annulées donc ça veut dire que des fois imaginez que demain vous avez un collaborateur qui est malade il va arriver sur les TVA de son collègue pour les faire à sa place etc il va pas comprendre pourquoi certaines TVA ne sont pas faites depuis plusieurs mois par exemple. Pourquoi ? Parce que la mission est annulée, mais qu'il n'a pas eu le temps de voir en période fiscale avec l'expert comptable pour qu'il supprime la ligne. Donc au final, sur 30 TVA à faire, il en a toujours 5 ou 6 qui sont vides, mais parce qu'il y a une raison derrière. Vous voyez ce que je veux dire ? Et là, ça permet tout de suite, c'est-à-dire que tout le monde, on a le même dénominateur commun, tout le monde utilise le même outil, tout le monde consulte le même historique. En fait, on rationalise un peu le process. au niveau du travail et du fonctionnement, ça permet de gagner du temps, avec des envois automatiques de mail, etc. Mais ça permet aussi d'avoir une donnée qui est fiable. Combien de fois, par exemple, on faisait des dépôts de comptes annuels avec des adresses alors qu'il y a eu un transfert de chaise sociale, par exemple. parce que la collaboratrice n'avait pas eu... Mais parce que voilà, quand il y a un transfert de dossier social, il faut mettre à jour sur le logiciel, il faut mettre à sur la facturation, il faut mettre à jour, il faut mettre à jour, il faut mettre à jour. Et donc au final, s'il n'y a pas un process clair, une boucle qui est faite, etc., bon déjà ça prend du temps, mais quand bien même elle serait faite, ce n'est pas toujours fiable.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Bien sûr. Et surtout derrière, souvent c'est que toute la donnée est dans le collaborateur et quand le collaborateur est par là, on ne sait pas trop sa manière de faire. Là, ça te centralise et en fait, tout le monde est un peu au courant. Donc, c'est génial, ça.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Aujourd'hui, un bon collaborateur comptable, un collaborateur qui va avoir aujourd'hui la saisie, elle est quasi automatisée, etc. Ce qui va faire la différence, c'est l'appréhension du dossier. vous donnez un dossier dans le e-commerce, il va savoir où chercher, où cliquer, se poser en même temps les problématiques de TVA, s'il y a différents taux de TVA, se poser les problématiques, et il va savoir, donc il y a un chemin sur lequel il va pour atterrir sur un export qui retravaille, etc. Ce qu'on a mis, par exemple, sur KBO, et c'est vrai que des fois, quand vous passez d'un collaborateur à un autre qui passe un portefeuille, ou des fois, il y a un qui n'est pas présent, le temps de se dire, attends, où il va chercher ses ventes, où est-ce qu'il met les identifiants et les mots de passe, et une fois qu'on a les identifiants et les mots de passe, où est-ce qu'il voit comment il arrive à différencier sa TVA 5.5 et sa TVA... Comment il s'y prend ? Il peut perdre énormément de temps, donc ça va créer de la frustration chez le collaborateur. Là, vous avez des identifiants et des mots de passe que vous pouvez enregistrer, donc comme une petite base de données, d'identifiants et de mots de passe, on va dire, pas sensibles, des mots de passe de logiciels, d'applications, etc., qui permettent de récupérer des données comptables. et vous pouvez mettre des notes ou vous pouvez mettre même à on a laissé mettre la possibilité de mettre des pièces jointes des petits tutos sur lequel en fait il va mettre où est-ce qu'il clique, où est-ce qu'il met etc et sur lequel en fait le collaborateur il a juste à se connecter sur le client voir les identifiants et mots de passe et tout de suite voir les notes qui ont été laissées par rapport à ça et l'information est centralisée, c'est à dire que moi les collaborateurs il n'y a pas un document qui traîne dans le bureau de l'ordinateur ou sur lequel de en local ou sur un cahier sur lequel il met la manip là tout est centralisé au même endroit et encore une fois le but c'est qu'on gagne en fiabilité et on gagne en temps on le voit souvent moi j'avais eu le cas dans un cabinet où la

  • Florian DUFOUR - Hôte

    collaboratrice, on était le vendredi soir et puis elle partait en vacances et puis en fait elle avait une proposition auprès d'un client Elle a dit bon j'appellerai le cabinet lundi. Entre temps elle est partie en vacances, elle ne se rappelait plus. Le client entre temps appelle, l'expert, l'expert ne savait pas. Du coup en fait il y a une perte d'information. et puis même si elle l'avait marqué sur une feuille dans le bureau il serait peut-être pas venu le voir l'expert donc là ça te permet de te sensibiliser tu ouvres le dossier,

  • Aryé BISMUTH - invité

    tu sais que t'as une note ah tiens il y a ça ça ça ça même si elle est pas là au moins tu peux répondre à ton client t'es informé c'est exactement ça il y a un historique il faut savoir qui s'enregistre automatiquement sur chaque dossier quand on envoie des mails ou quand on met à jour etc on peut voir ce que chacun a fait on peut aussi euh C'est vrai que des fois, vous avez des cabinets, sur la période estivale, vous avez des stagiaires, des alternants qui viennent. Et en fait, par un stagiaire qui est là pour deux mois, vous savez, des fois, sans faire exprès, par mégarde, il peut supprimer des trucs. Sur un tableau Excel, on avait eu ce problème, etc. Là, il y a une gestion des droits qui fait que quand vous créez un collaborateur, vous pouvez tout de suite ce collaborateur. lui donner des accès sur lesquels vous pouvez lui permettre uniquement de consulter ou ne rendre pas du tout visible certains aspects un peu touchés, etc. Et ça permet aussi une fiabilisation par rapport à ça, parce que c'est vrai qu'on est continuellement attaqué en tant que cabinet.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    parce que voilà on a des mots de passe impôts gouffres en tout cas moi les impôts gouffres perso je les stocke nulle part parce que c'est relié à France Connect et ça ouvre après trop de choses et même j'avais eu un client qui avait eu une tentative sur une demande de remboursement de TVA sur un impôt gouffre pro du coup puisqu'il avait son propre espace etc, donc ça veut dire que la sécurité c'est une notion qui est super importante et le fait de pouvoir cloisonner comme ça c'était aussi un des objectifs de KBO, un collaborateur qui a accès à tout un Excel ou un stagiaire qui a accès à tout un Excel que ce soit en termes de sécurisation ou même sans faire exprès des fois il peut supprimer et pas revenir ou pas stocker etc et ça peut être une catastrophe pour le cabinet

  • Aryé BISMUTH - invité

    Les CRM, donc moi je suis d'accord avec toi, c'est obligatoire, il faut aller en mettre un. Par contre, est-ce que c'est possible de mettre un CRM chez tous les cabinets ? Est-ce qu'on peut dans un tout petit cabinet ou il n'y a pas d'utilité ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Nous, on a un expert comptable qui est même en freelance qui utilise notre solution, qui utilise notre CRM et que ça se passe super bien parce que lui-même, ça lui permet de... Lui, ça va être moins sur la vision globale et encore, mais ça va être surtout sur le gain de temps. il ne peut pas encore pour l'instant avoir une secrétaire juridique, mais ça lui permet d'aller 3-4 fois plus vite sur le juridique récurrent. Il a des modèles de courrier, parce que vous pouvez aussi personnaliser certains modèles, etc., de courrier et d'attestation. Hop, hop, hop, il se met ses modèles, et ensuite, quand il y a un client qui lui demande une attestation, il est même à l'autre bout du monde, il peut tout de suite lui sortir une attestation, on lui envoie une aide de mission. Ça va lui faciliter son onboarding. Et surtout, nous, on a voulu avoir des tarifs les adhésions qui sont par exemple un jeune expert comptable qui se lance la première année il va payer en illimité la solution 49 euros par mois donc c'est 99 jusqu'à 50 dossiers 49 euros par mois donc des prix des fonds qu'on serait que j'avais comparé avec certaines solutions juridiques qui existait sur le marché en fait notre solution juste avec une solution juridique, elle était déjà moins chère qu'une solution qui faisait uniquement le juridique. Alors que là, il y avait tout un panel de choses. Et moi, je conseillerais encore plus un expert comptable qui est en freelance et qui se lance. parce que tout de suite, il met les bases pour un cabinet sain, fiable. C'est vrai que justement, la problématique, quand on a dû intégrer des fois des cabinets qui avaient 500, 600 clients, voilà, ça se fait, ça se fait bien, on met une personne à disposition, mais ça prend du temps, il faut former des collaborateurs, des fois vous avez un peu de résistance aux changements, etc. Donc ça se fait, mais ça ne se fait pas aussi facilement que quelqu'un qui est en freelance, qui connaît parfaitement la solution, et que quand il va embaucher ses premiers collaborateurs ou quand il va commencer à travailler, ben voilà.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Mais moi je pense comme toi, un CRM ça doit être adapté un petit peu à tout le monde, c'est juste qu'on va dire, on ne va pas le voir de la même manière, tu prends celui qui se lance ex-Nilo, lui ça va permettre d'automatiser, je veux dire la gestion du mail, gagner du temps et de centraliser. la grande entreprise ou le gros cabinet c'est parce qu'on a de la déperdition sur tout ce qui va être les données on ne sait pas si le collaborateur a bien transmis ça permet en fait à la groupe au codire ou à la tête de groupe d'avoir une meilleure gestion en instantané dans tous les cas il n'y a que du positif je vois ou est-ce qu'au contraire tu pourrais me dire certaines limites t'aurais pu voir des retours de cabinet ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Non les limites ça va être des cabinets qui font nous s'adapter aux cabinets qui font déjà de l'expertise comptable Ok, un cabinet qui aurait quelques dossiers en expertise et vraiment d'autres dossiers en commissariat, etc., la solution apparaît toujours moins pertinente. Ou quelqu'un qui serait en mission, en DAF un peu, en freelance, etc. ce n'est pas quelque chose qui serait adapté.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Pour le social, tu le gères ou pas dedans ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Alors, le social, comment ça se gère ? En fait, tout le monde connaît le fameux tableau de suivi social sur lequel les collaborateurs sociaux renseignent le nombre d'articles qui sont faits, combien de sujets de paye, combien de contrats de travail, etc. Le gain sur le social qu'on va avoir, au-delà des documents de remise, etc., ça va être que les informations sociales, les variables sociales, s'intègrent automatiquement dans la facturation. Donc il n'y a pas besoin tous les mois de rentrer sur la facture et de devoir mettre une fiche de paye, trois fiches de paye, quatre fiches de paye, etc. en tenant compte du prix catalogue du cabinet, mais sur lequel, au moment de la lettre d'émission, on a pu faire des personnalisations avec le client. Donc il n'y a plus cette réflexion de se dire J'ai une connerie, la fiche de paye est à 25 euros, mais ce client, c'est une fiche de paye galère. Bon, il y a une exception, il paye 30 euros. le bulletin. Non, là vous le renseignez une fois les 30, et à chaque fois que vous allez mettre les variables, il va venir interroger la lettre de mission, et il va venir tout de suite remplir la facture.

  • Aryé BISMUTH - invité

    T'es sûr de ne pas te tromper au moins ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Et il n'y a pas d'oubli. En fait, parce que ce qui se passe dans la plupart des cabinets, c'est que vous avez une secrétaire qui retape le suivi social, elle le retape sur la facturation.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Oui, c'est ça. Et toi, au niveau du secrétariat, du coup, tu as un gain de temps énorme.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Énorme. On a une seule assistante de direction au cabinet. qui fait à la fois la facturation du cabinet, à la fois la relance des fois des prélèvements, qui fait aussi du juridique, qui est un peu un couteau suisse. Et en fait, on en avait une il y a trois ans, et on en a toujours une aujourd'hui. Et justement, si on peut se faire cette... normalement on aurait dû si le cabinet double tu doubles automatiquement en réalité avec les outils qui ont été mis à disposition et développés aujourd'hui on a une seule personne et je crois qu'aujourd'hui elle est moins débordée que ce qu'il y a il y a 3 ans mais tant mieux c'est juste parce qu'aujourd'hui elle est beaucoup plus dans la vérification le contrôle plutôt que dans la production en soi

  • Aryé BISMUTH - invité

    Moi, il y a une limite qui ressort souvent pour accompagner certains confrères du CRM, c'est les collaborateurs, la formation des collaborateurs sur l'outil. Qu'est-ce que tu en penses ? Qu'est-ce que tu pourrais nous donner comme des bons tips pour aider à utiliser ton outil KBO ? Est-ce qu'il faut le mettre directement dessus et tu te débrouilles ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Non, alors la solution est très intuitive. C'est une solution en SaaS qui est très intuitive. Maintenant, c'est vrai que nous, on fait une présentation globale. mais après on fait une formation adaptée. On ne fait pas la même formation au collaborateur comptable, au pôle juridique et à la personne qui l'utilise sur le social. Donc on fait une formation adaptée sur l'outil, sur les parties que la personne va devoir utiliser. et en ayant une approche sur laquelle on va surtout parler du gain que le collaborateur va avoir, plutôt que des conséquences hautes sur le logiciel. Et en fait, le retour qu'on a, c'est que, très clairement, quand aujourd'hui en un clic vous pouvez relancer tous vos dossiers le 5 du mois pour mettre à jour les pièces en un seul clic, quand vous pouvez faire des courriers de demande de remise gracieuse, vous pouvez faire en... en vraiment quelques secondes, quand vous pouvez réutiliser des modèles sur lesquels vous avez juste à renseigner les variables, etc., le collaborateur voit son gain et du coup, son travail d'analyse, etc., est beaucoup plus valorisé que le travail où il va prendre un document Word et il va devoir faire un remplace ou il va devoir regarder sur la matrice, etc. Donc, l'adhésion des collaborateurs, elle se crée... en montrant aux collaborateurs le gain clair qui va être fait sur l'outil, avec une utilisation de l'outil.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Est-ce qu'il faut, quand chaque cabinet est déjà en place, est-ce qu'il y a un petit travail à faire avant le retraitement de données, pour avoir la bonne donnée à mettre dans le CRM, et est-ce que c'est un projet qu'on peut suivre en période fiscale, ou est-ce qu'il vaut mieux le démarrer hors période pour toi ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    avril-mai je pense que c'est compliqué pour les cabinets j'ai jamais eu de cabinet qui ont fait des et quoique c'est vrai que j'ai eu Kadidja qui était venue te voir dans ton précédent podcast elle est très organisée donc elle a réussi à faire un onboarding en plein mois d'avril il y a des challenges ouais non en fait c'est vrai qu'on dit souvent la période de croissance d'un cabinet c'est souvent de juin à décembre c'est la période dans laquelle on peut vraiment se projeter sur les évolutions, prendre le temps, c'est d'ailleurs la même aussi la période du recrutement, etc. La période de février à avril, mais alors je sais qu'il y a des experts comptables qui sont beaucoup plus organisés que nous, mais bon la réalité fait qu'aujourd'hui un expert comptable, c'est vrai qu'il y a certains post-linkedin où vous avez des experts comptables qui vous expliquent qu'ils ont pris... trois semaines de vacances en plein mois d'avril et qui font ça parce qu'ils sont super bien organisés. Aujourd'hui, la réalité, quand vous discutez avec des confrères, c'est que vous avez deux ou trois mois dans l'année où vous êtes chargé et sur lequel, malheureusement, vous ne pouvez pas vous occuper d'intégrer de nouveaux outils, même des fois d'intégrer de nouveaux clients. Et voilà, mais tout dépend de l'organisation. Il y en a beaucoup qui ont profité de l'été pour le prendre en cours ou de la rentrée. Il y en a beaucoup sur lequel vous avez préparé en novembre-décembre pour qu'au 1er janvier, ça soit, paf, dimitré.

  • Aryé BISMUTH - invité

    On va parler du prix. Beaucoup vont dire tout le temps Ah bah, c'est un outil supplémentaire et ça va être cher pour ce qu'on va en faire. Qu'est-ce que tu penses ? Est-ce que ce n'est pas plutôt un investissement parce qu'au final, tu risques, comme tu me l'as dit, de gagner énormément de temps ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Déjà, pour le prix, Moi, j'ai une réflexion personnelle. Je n'ai aucun problème de payer à partir du moment où je vois un gain en termes de temps. Parce que notre temps, il est valorisé à un certain prix qui est souvent supérieur au coût d'un outil classique, etc. Alors, ça fait un outil supplémentaire, mais le KBO a la prétention de supprimer d'autres outils. et de pouvoir les centraliser en un seul endroit. C'est-à-dire que KBO va permettre, aujourd'hui le cabinet ne va plus utiliser son système de facturation, si elle le passe sur KBO. Ça va permettre de pouvoir, si elle utilise le juridique sur KBO, de supprimer un outil qu'elle paye, un abonnement pour le juridique, etc. Donc en fait, on va plus être dans un gain au niveau des outils qui sont faits, que ce soit sur les tableaux de bord, les lettres de mission, l'onboarding, etc. Et au final, pour un outil... vous en avez aujourd'hui l'équivalent de 4-5 en même temps et qui sont en même temps centralisés. C'est-à-dire sur lequel vous n'avez pas quand il y a un nouveau client, de le rentrer dans les 5 outils, quand il y a un client qui sort ou qui est modifié, de faire la modif ou de les supprimer dans les 5 outils.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Je voudrais que tu me donnes un conseil, ton conseil pour un expert comptable qui souhaite utiliser un CRM. Par où il faut qu'il commence en disant, tiens, j'ai écouté l'épisode, demain je me lance, on commence par quoi ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    En fait, la première chose qu'il doit faire et que je fais de toute façon, la première fois que je discute avec un expert comptable et qui est intéressé par KBO, c'est que je me dis, au niveau du premier point, c'est aujourd'hui, sur quoi il travaille, qu'est-ce qu'il utilise. c'est quoi le point de démarrage aujourd'hui qu'elle utilise comment sont entrées les données qui a accès voilà quelles sont les sources de frustration etc et à partir du moment où on sait pas on sait très bien moi j'ai moi j'ai des cabinets qui ont pris kbo il utilise de façon globale mais l'utilisent aussi et surtout pour le juridique ou pour le côté document un peu moins pour il y a des cabinets qui utilisent le suivi et les documents mais qui ne vont pas du tout l'utiliser pour la facturation parce que leur facturation est reliée à un outil type gocardless et qui permet en même temps de faire les prélèvements etc donc il ne faut pas se dire voilà aujourd'hui KBO m'intéresse, je suis forcément obligé de tout utiliser vous voyez ce que je veux dire ? Et le point de démarrage c'est faire le point sur l'existant, sur aujourd'hui, qu'elles sont les choses qui font perdre du temps en cabinet. Et à l'expert comptable également. et de se dire ok, à partir de ça, il prend contact avec moi, je ne fais pas la même démo à tous les experts comptables, j'adapte la démo justement en fonction de ses frustrations. Il y en a qui me disent par exemple dès le début, moi mon outil de facturation il est très bien, ok je sais que je ressaisis, j'ai écouté le postcast de Florian, je sais que je ressaisis les variables sociales, mais moi ça me permet d'avoir mon fichier pour les prélèvements et au final j'arrive à me débrouiller comme ça, etc. Par contre sur ça, ça m'intéresse. Donc ça veut dire d'ailleurs qu'on ne va pas perdre du temps à montrer des choses sur lesquelles en tout cas pour l'instant qui ne l'intéresse pas, mais surtout travailler sur les points sur lesquels on peut gagner du temps. Et souvent moi j'aime bien, je pose la question au client, en combien de temps tu fais ça, bah regarde-nous en combien de temps on peut le faire.

  • Aryé BISMUTH - invité

    C'est bien, tu permets de comparer ça. Je pense, comme tu le dis, une période d'audit, de regarder déjà qu'est-ce qu'on a, qu'est-ce qui pose problème, avant de faire la démarche benchmark, aller voir qu'est-ce qui existe en CRM.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Exactement.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Est-ce que tu aurais un dernier conseil à me donner ? Ou une chose que tu pourrais me rajouter sur le CRM en disant, quand même, ça, les cabinets, on ne peut plus se permettre de plus en avoir.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Alors, ça serait assez facile de parler de mon expérience personnelle, mais c'est vrai que souvent, en fait, comme moi, je ne suis pas éditeur de logiciel, je suis avant tout expert comptable. Les experts comptables, en fait, il y en a beaucoup, en fait, où une fois qu'ils m'ont parlé, je leur parle de moi, quelle était ma situation, et je leur montre aujourd'hui, avec KBO, en parlant de ma situation, de mon cabinet, aujourd'hui, combien un collaborateur arrive à gérer deux dossiers. combien de temps on peut faire certaines formalités juridiques, comment on arrive à relancer les clients, comment on arrive à faire super rapidement un onboarding complet sur un client, etc. Mais en fait, en me plaçant non pas du côté éditeur, mais en me plaçant du côté expert comptable. Et vraiment, ce n'est pas un slogan, mais aujourd'hui, on peut diviser par 3, par 4, par 5 le temps qu'on consacre à l'administratif en général, le temps qu'on consacre à la relance, le temps qu'on consacre à l'onboarding, à la mano, etc., en utilisant KBO.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Tu arriverais, en gros, à la question, est-ce que tu pourrais t'en passer et tu arriverais à faire le même niveau de mission, de chiffre d'affaires ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Impossible parce qu'on a un cabinet en croissance, donc on a une cadence qui est très élevée, que ce soit en termes de juridique, que ce soit aussi en termes d'onboarding de nouveaux clients. Aujourd'hui, par exemple, les onboarding clients, ils les font directement avec les collaborateurs. même si ça me prend 15 minutes, aujourd'hui, c'est quelque chose qu'ils font avec les collaborateurs, c'est les collaborateurs qui me font signer la lettre de mission, c'est les collaborateurs qui préparent directement la lettre de mission, qui préparent le mandat de prélèvement, qui préparent le budget, bien évidemment, une fois qu'on leur a indiqué, etc. Mais ça veut dire que pour un cabinet, surtout, qui est en croissance, et un cabinet qui n'est pas en croissance, mais qui veut vraiment rationaliser, gagner en visibilité, etc., je pense, en tout cas... si c'est un cabinet qui est surtout en expertise comptable avec des clients TPE, PME, etc. Comme la plupart, je pense, la grande majorité des cabinets. Mais comme je l'ai dit, un cabinet qui ne ferait que de l'audit ou du commissariat aux comptes, ou quelqu'un qui serait en freelance, en DAF, l'outil ne serait pas pertinent à ce niveau-là. Mais ça permet vraiment de gagner beaucoup de temps et de traiter toutes les demandes clients avec une rapidité. Et aujourd'hui, pour info, nous, dans un cabinet, on n'a jamais dépensé un seul euro en acquisition client. Si, il y avait juste Mia, la solution, je fais une dédicace à Eric Nidam, qui est une super solution avec laquelle on a travaillé sur moins d'une dizaine de clients. Aujourd'hui, le cabinet, on a 600 clients et on n'a jamais dépensé un seul euro en lead, en acquisition, en rachat de clientèle. Et qu'aujourd'hui, le plus dur, c'est d'avoir ses premiers clients. Et le conseil que je donnerais à un jeune expert comptable, c'est une fois que tu as tes premiers clients, que le bouche à oreille fonctionne bien, que tu mets les bons outils pour justement montrer à ce client que tu arrives à suivre son niveau de réactivité, parce que moi je pense que la clé d'un cabinet, c'est la réactivité, mais il faut avoir des outils pour intermer, sinon après on est submergé. et bien après ça peut aller très très vite parce qu'aujourd'hui c'est ce que les clients ils recherchent et voilà je pense que kbo peut aider à ça c'est un joli mot de la fin mais j'aimerais avant que on se laisse qu'on fasse un petit jeu c'est le jeu ceux ci ceux là pour je

  • Aryé BISMUTH - invité

    te donne deux alternatives et du petit lac elle te correspond mieux si tu veux bien merci alors est ce que tu préfères faire de la compta ou être sur ton logiciel de crm à à

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Je préfère être sur le CRM quand même. Mais je dirais les deux parce que des fois, on a besoin d'avoir un peu de technique. Ça fait du bien de se plonger dans les comptes. Mais aujourd'hui, un 25 juin, après une période fiscale intense, je prends beaucoup de plaisir à être sur KBO et à moins me connecter sur le logiciel comptable.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Tu es plutôt Insta ou LinkedIn, toi ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Les deux. LinkedIn le souci que j'ai avec LinkedIn c'est que pour beaucoup de jeunes experts comptables ça vend du rêve et je pense qu'il y a des personnes qui peuvent si quelqu'un va toute la journée regarder un feed LinkedIn idéaliser à l'extrême la vie professionnelle des gens que ce soit sur le salaire, sur le cadre de vie sur l'équilibre pro-vie perso et c'est de dire que finalement notre vie elle est pas non... il y a des experts comptables qui partent trois semaines en vacances au mois d'avril, qui font de la compta dans des Starbucks en buvant des cafés, etc. Alors que moi, je travaille en cabinet, etc. Je trouve que le problème que j'ai avec LinkedIn, c'est très intéressant, il y a beaucoup de contenu de retour très intéressant dans la profession, c'est que ça idéalise trop le côté. Et moi, j'aimerais avoir plus de confrères qui parlent de la réalité du métier de la profession, Mais le problème de notre profession, c'est que les personnes qui ont du temps, qui travaillent beaucoup, justement, ils n'ont pas le temps de faire des postes, etc. C'est vrai que Cadidia est une exception en la matière, mais c'est pour dire que, je dirais aux experts comptables, surtout aux jeunes qui se lancent, couper LinkedIn. Franchement, il faut couper LinkedIn, se concentrer sur son business et couper LinkedIn dans le sens où c'est bien pour avoir des relations pro, mais ne pas regarder et ne pas trop idéaliser ce qu'on peut voir parce que ça peut générer certaines frustrations et se dire à un moment donné qu'on n'est pas à sa place alors que la grande majorité de la profession ne correspond pas à ces standards esthétiques des réseaux.

  • Aryé BISMUTH - invité

    T'es plutôt chien ou chat toi ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Ni l'un ni l'autre, j'aime pas les animaux

  • Aryé BISMUTH - invité

    Comme ça c'est clair T'es plutôt costume cravate ou t-shirt jean ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Comment je suis habillé aujourd'hui ?

  • Aryé BISMUTH - invité

    Je vois pas la cravate

  • Florian DUFOUR - Hôte

    T-shirt mais toujours avec une veste T-shirt veste c'est une signature

  • Aryé BISMUTH - invité

    et la petite dernière tu préfères être en période d'été ou d'hiver ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    la question ne se pose pas mais c'est vrai qu'on a l'été on a la chance à Paris d'avoir l'hiver pendant l'été donc voilà jolie pirouette ça

  • Aryé BISMUTH - invité

    écoute on te remercie d'avoir passé une heure avec nous et nous faire voir que le CRM dans un cabinet d'expertise comptable c'est central et ça permet à beaucoup de confrères de pouvoir développer leur chiffre d'affaires de centraliser les données et continuer à faire ce super métier je te dis à bientôt merci beaucoup Florian Avant de se quitter, je vous invite à laisser un avis 5 étoiles sur votre plateforme d'écoute préférée et parler du podcast à vos confrères. J'en profite pour remercier mes partenaires qui, grâce à eux, me permettent de vous partager encore plus de contenu chaque mois. Merci, rendez-vous au prochain épisode !

Chapters

  • Présentation Aryé BISMUTH, Expert-Comptable et fondateur de CABEO (solution CRM)

    01:00

  • Les raisons du lancement de CABEO par Aryé

    06:07

  • Pourquoi un CRM est indispensable pour un cabinet d’expertise comptable

    09:12

  • L'impact du CRM sur la gestion cabinet

    17:57

  • Les avantages clés d'un CRM pour l’Expert-Comptable

    23:12

  • Le CRM est-il adapté à tous les cabinets d’expertise comptable

    31:04

  • Les enjeux pour intégrer un CRM (formation, prix, etc.)

    36:29

  • Comment mettre en place un CRM dans mon cabinet d’expertise comptable

    41:37

  • En apprendre plus sur Aryé avec le JEU "Ceci ou cela"

    47:46

Description

📌INFOS SUR L'EPISODE 

Aujourd’hui, je reçois Aryé Bismuth, Expert-Comptable et Cofondateur du CRM CABEO. Aryé a su transformer les défis de la profession d’expertise comptable en opportunités en développant un CRM spécialement conçu pour les cabinets d'expertise comptable. Au cours de cette conversation, nous explorons ensemble les avantages d'un CRM pour les experts-comptables, notamment le gain de temps, la fiabilité des données, et la centralisation des tâches. Aryé partage également des conseils pratiques pour intégrer un CRM dans votre cabinet, ainsi que des anecdotes sur l'importance de la réactivité et de la formation des collaborateurs. Un épisode incontournable pour tous ceux qui cherchent à optimiser la gestion de leur cabinet.


La durée de l'épisode est de 51 mins⏳.  


📚RESSOURCES 

Pour en savoir plus sur Arye et son CRM CABEO c'est par ici 😉 :


🚨MERCI AUX PARTENAIRES DE LA SAISON 3 (par ordre alphabétique) :

· AXONAUT 🔗pour la gestion interne du cabinet EC ;

· CLASSE 7 🔗édifie la communication des EC ;

· ECMA 🔗la solution digitale des EC ;

· SAGE 🔗la solution comptable des EC.


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Il ne me reste plus qu'une chose à vous dire : "bonne écoute" 🎧


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Bienvenue dans la troisième saison du podcast Marketing Cabinet comptable. Tous les 15 jours, je vous apporte des astuces marketing au travers d'interviews d'experts comptables. L'objectif reste inchangé, vous permettre de faire rayonner à votre tour votre cabinet. Alors, sans plus attendre, place à l'interview. Bonjour à tous, on se retrouve dans le 13ème épisode avec Aryé BISMUTH, où on va parler d'un... quelque chose qui me tient vraiment à cœur, c'est le CRM. Parce que je pense que le CRM, c'est le deuxième logiciel dans chaque prestation de service, ou même dans les entreprises industrielles. On a notre logiciel de production et derrière il faut un CRM pour tout gérer cela. Et donc j'ai eu la chance de rencontrer Aryé qui du coup va s'occuper, lui il est expert comptable et il s'occupe des CRM, il trouve que c'est très important donc on en profite. Bonjour, comment vas-tu ?

  • Aryé BISMUTH - invité

    Ça va et toi ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Ça va. Est-ce que tu peux te présenter pour les auditeurs qui ne te connaissent peut-être pas tous ?

  • Aryé BISMUTH - invité

    Alors, je m'appelle Aryé BISMUTH, j'ai 29 ans, on est sur Paris et on a créé un cabinet d'expertise comptable il y a 5 ans. Pour la petite histoire, à l'époque, en 2019, juste avant le Covid, mon associé et moi-même, on avait été les plus jeunes diplômés de la promotion. On a créé un cabinet, un an après à peine qu'on a été diplômés, donc c'est en 2019, sur la base de la réflexion de se dire, on va à un cabinet digital. mais on veut mettre l'humain et la relation client en centre. Donc, ce que je te disais tout à l'heure, c'est par exemple au cabinet, il n'y a pas de téléphone fixe, il n'y a pas de 0-1, c'est que des téléphones portables et des WhatsApp avec lesquels les clients peuvent communiquer. Même, on a une petite organisation, c'est quand un client a plusieurs sociétés, un grand groupe, etc., il a le droit d'avoir un groupe. un groupe WhatsApp, donc ça nous fait en même temps des conversations des fois des groupes WhatsApp sur lesquels il y a la collaboratrice sociale, le collaborateur comptable et l'expert comptable, et côté client, peut-être l'ARH, l'assistante de direction et le client lui-même. Et en fait, l'idée, c'est qu'on voulait vraiment qu'on dit que l'humain soit au centre, c'est pas juste qu'on va juste prêter attention à ce que le client nous dit, ce qu'un client recherche aujourd'hui dans un cabinet. au-delà du conseil, au-delà, parce qu'il y a plein de très bons experts comptables, etc. Mais il y a beaucoup de clients, quand ils viennent nous voir, le problème, c'est la réactivité. Et c'est ça, l'humain qui est au centre, c'est comme, aujourd'hui, par exemple, t'es dans quelle banque, Florian, à titre perso ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Là, moi, je suis à la CIC.

  • Aryé BISMUTH - invité

    T'es satisfait de ton conseiller ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Moi je le vois jamais

  • Aryé BISMUTH - invité

    Mais t'échanges avec lui par mail ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Ouais un petit peu par mail L'objectif moi c'est qu'on puisse avoir une réactivité Comme tu dis rapide, une petite question Qui me répondent assez rapidement Et si j'ai vraiment besoin, là on prend rendez-vous Mais c'est plus la réactivité qui est importante

  • Aryé BISMUTH - invité

    C'est exactement la même chose dans un cabinet C'est à dire que des fois on va juger une banque On va envoyer 4 mails dans l'année Mais sur les 4 mails qu'on va envoyer dans l'année Si le cabinet nous répond Ou si la banque nous répond rapidement On va dire ok ça c'est un cabinet qui est réactif, qui fait attention, etc. Si on te met deux semaines pour répondre, forcément ça va biaiser un petit peu le regard qu'on porte sur le professionnel. Donc en fait, le point de départ de la réflexion pour se dire on crée un CRM, il a été double, c'est-à-dire qu'on s'est dit à la fois on veut de la réactivité, donc au tout début c'était par rapport aux documents, donc que ce soit, il y a trois types de documents qu'on produit en interne au cabinet, il y a tous les documents juridiques. donc création, modification, dépôt des comptes, etc., sur lequel je ne voulais plus qu'il y ait de word qui soit pris, qui soit modifié. Il y a les documents, les attestations. En plus, pendant la période Covid, on en a eu beaucoup à faire, des attestations de chiffre d'affaires, des PV pour autoriser tel ou tel emprunt, etc., auprès des banques. Donc, il y avait tout ce qui est attestation, donc tous les documents qui sont signés par un cabinet. et tout ce qui est courrier, courrier d'état allemand, courrier de demande de remise gracieuse, les courriers de façon globale. Et donc on s'est attelé pendant un an, à l'origine c'était un CRM qui a été développé pour nous, pour nos besoins en interne, et en fait en avançant, plus tard dans la réflexion, on s'est dit en discutant avec d'autres confrères qu'on pouvait également aussi le proposer avec d'autres confrères. Donc au tout début KBO, c'était un CRM qui permettait de générer tous les documents du cabinet, pas que le juridique. mais aussi des documents et de façon extrêmement rapide. C'est vrai que la plupart des cabinets de notre taille, entre 5 et 20 collaborateurs, 90% du juridique qu'on fait par exemple, c'est du juridique classique, c'est du juridique récurrent, que ce soit sur des sessions, des transferts, etc. Donc, il y a d'autres solutions sur le marché, par exemple, qui proposent d'aller beaucoup plus loin dans les documents juridiques qui sont fournis. Et nous, l'idée, c'était déjà d'avoir le socle commun qui réponde à 90-95% des besoins. Et quand j'ai une transformation de GUE en SNC Affaires, dans ce cas-là, je passe par je reprends ma Intram Award et et que j'ajuste en fonction du cas. C'est de répondre à ses besoins et aussi d'avoir des documents qui puissent se produire super rapidement. Un autre exemple que je te donne, c'est quand un client vient au cabinet, en même temps que sur le logiciel qu'on remplissait les informations, qu'on définissait l'objet social des associés, tout de suite en finissant de remplir, Le client avait les statuts prêts et il y en a même, en 15 minutes, on faisait en même temps les statuts et en même temps, on ouvrait le compte sur Conto. Donc en fait, le client est sorti et disait Waouh, ça va vraiment super, super vite. Attention, ça c'est sur la phase production. Ça n'enlève pas toute la phase conseil, orientation qui est faite en amont. Mais c'est juste, il n'y a pas de délai pour produire des documents, pour donner un résultat au client.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Je me posais la question du coup, Tu as voulu créer toi-même ton CRM. C'est que ceux sur le marché, tu les trouvais peut-être pas assez adaptés aux experts comptables, mais tu es quand même un petit peu atypique. Tu as la vision de celui qui crée le CRM et tu as la vision expert comptable. Donc, tu sais un petit peu ce qu'on nous attend, nos besoins.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Oui. Alors, en fait, sur le marché... Bon, mis à part les attestations qu'on génère automatiquement sur KBO et les courriers, sur lesquels il n'y avait pas de solution, mais bon, après ça, tout existe déjà sur le marché. C'est-à-dire qu'aujourd'hui, vous avez de très bonnes solutions pour faire du juridique, vous avez de très bonnes solutions pour faire du suivi comptable. sur lequel vous avez des envois, des relances automatiques aux clients, il y en a même avec des API, avec des logiciels, vous avez des très bonnes solutions qui vont vous faire la facturation, qui vont vous générer les lettres de mission, les mandats de prélèvement, vous avez des très bonnes solutions qui vont calculer un boni ou un mali en fonction de ce que vous avez gagné, vous avez des très bonnes solutions pour la tise des temps, mais le problème... c'est que ça veut dire qu'à chaque fois que vous rentrez un client dans votre cabinet, vous devez déjà souscrire à 5 ou 6 offres, mais au-delà de ça, vous devez le rentrer dans 5, 6 plateformes, et demain vous avez un client qui part, il faut le sortir et il faut mettre à jour sur 5, 6 endroits différents, et des fois pour des solutions qui ne sont pas interconnectées entre elles, et je me suis dit, attends, c'est-à-dire quoi, demain j'ai un nouveau client qui vient. outils de production comptable et j'aide chacun son organisation, chacun son outil, c'est très difficile à remettre en cause. Mais après pour le reste, je dois avoir un logiciel de facturation sur lequel je dois renseigner mon client, je dois avoir un logiciel sur lequel je dois renseigner mes clients sur lequel je suis juridique, je dois renseigner mes clients sur un logiciel sur lequel je dois avoir mon suivi comptable, suivi fiscal, etc. Je dois avoir un logiciel aussi qui va me faire peut-être des tableaux de bord, des calculs de la rentabilité. Je me rappelle il y a 3 ou 4 ans au congrès à Bordeaux, il y avait un logiciel et je me suis dit quoi ? C'est-à-dire qu'à chaque fois que j'ai un client qui rentre et je dois le rentrer dans 6-7 endroits différents, il y a une modification. Non, c'est impossible. Donc, on s'est dit qu'en fait, on va faire une solution en SaaS vraiment très flexible sur lequel, en fait, le cabinet, ça ne remet pas du tout en cause son organisation, que ce soit stockage de documents. Donc, ce n'est un outil de stockage de documents et ce n'est pas en interaction avec l'outil de prod comptable. Par contre, Voilà, c'est ouvert et c'est sur lequel on va pouvoir faire aujourd'hui la facturation, l'analyse de la rentabilité du dossier. On a un tableau de bord et en fait, on a un endroit unique. sur lequel moi je passe beaucoup de temps dans la journée, quand je veux à la fois faire des documents, je rentre un nouveau client, je le convertis directement sur le CRM, je fais un point avec mon associé, j'ai directement toutes les informations sur le tableau de bord, je veux sortir un client du cabinet, il reçoit automatiquement le mail de fin de mission, le courrier de fin de mission, il veut faire une demande de remise grave, c'est-à-dire qu'en fait sur tout ce qui n'est pas prod et stockage, Tout est sur KBO.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Tu vas me répondre à la question suivante qui est pourquoi c'est aussi important d'avoir un CRM dans un cabinet alors que nombreux de nos confrères, ils n'en ont pas. Pourquoi, toi, tu me dirais, il faut absolument le prendre ?

  • Aryé BISMUTH - invité

    Il y a beaucoup de confrères qui fonctionnent avec des tableaux Excel. Beaucoup qui fonctionnent sur des sheets, sur des drives, etc. avec des tableaux Excel. c'est une organisation qu'on avait au tout tout début, avant d'avoir KBO, et qui fonctionne quand vous êtes vraiment dans un environnement où vous êtes soit en freelance seul, ou soit avec un collaborateur, et que vous maîtrisez, on va dire, vous maîtrisez encore tous les dossiers en direct, etc. Et même, en réalité, la réflexion est même, parce que... On ne gagne pas en visibilité, on doit à chaque fois recouper un peu les informations financières qu'on a sur d'autres Excel, on doit mettre à jour sur différents endroits, etc. Donc, pour répondre à la question... le premier avantage, c'est le gain de temps. Clairement, on gagne du temps. Et du temps, c'est la denrée la plus rare d'un expert comptable. Je le dis souvent, et ça peut étonner certains cabinets, mais aujourd'hui, on est 20 collaborateurs. On a fait par exemple 300 formalités de création en une année. J'avais mis un post sur LinkedIn sur lequel j'ai envoyé un screen de l'état d'avancement de l'INPI. Et on n'a pas de collaboratrice juridique. On n'a pas de collaboratrice juridique. Les formalités sont faites directement par les collaborateurs. ou directement par les experts fondables. À la nuit, ce qui prend le plus de temps, c'est remplir sur l'Inpi et faire la publicité dans le journal d'annonce légale. Mais voilà, ça veut dire que le rythme et la réactivité, surtout par exemple sur la création de société, en réalité, c'est une phase de round avec le client. C'est une phase de round dans laquelle on va se tester avec le client. Le client va tester un peu notre réactivité. C'est une phase où le client apprend à nous connaître et ça donne tout de suite une super bonne impression. Quand vous montrez que sur la phase de création de société, quand vous envoyez les documents, etc., vous êtes réactif, même sur un changement ou sur d'autres choses, là, il voit tout de suite que le cabinet est réactif et donc, quelque part, je peux compter dessus. Donc, le premier point, c'est vraiment le gain de temps. Vraiment, on peut faire l'économie d'un poste, on peut gagner beaucoup de temps pour pouvoir le consacrer à d'autres missions. Et le deuxième avantage, c'est vraiment avoir la vision globale. Si tu veux, tout à l'heure, je t'ouvrirai mon tableau de bord. une minute comme ça pour que tu puisses te rendre compte, mais on a vraiment un tableau de bord sur lequel, en fait, je n'ai pas besoin de me dire, attends, ce tableau de bord, il tient compte de ça, mais j'ai autre chose également aussi dans d'autres, ah, ça, ça n'a pas été pris en compte, etc. J'ai un tableau de bord où j'ai le chiffre d'affaires théorique, le chiffre d'affaires facturé, j'ai l'évolution des portefeuilles par collaborateur, en volume et aussi en euros, en nombre de dossiers. Je sais ce qui a pris le plus de temps dans une mission, est-ce que c'est la saisie ? tout au long de l'année, ou est-ce que c'est au moment du bilan ? Et vraiment, on a une vision globale, et on peut prendre des décisions stratégiques sur, par exemple, s'il y a des experts comptables qui utilisent des solutions marketing pour avoir des clients, ils ont tout de suite, en instantané, sur la période souhaitée, le graphique de l'origine des clients, est-ce qu'ils proviennent plus d'acquisitions sur les réseaux sociaux, est-ce qu'ils proviennent de bouche à oreille, est-ce qu'ils proviennent d'autres applications, etc. Donc c'est vraiment pour ce côté de se dire, en fait, quand je suis dessus, je sens que je maîtrise.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Et du coup, derrière, est-ce que c'est en instantané ? Je veux dire, là, on fait l'enregistrement le 25 juin, je peux savoir où t'en es sur les dossiers. C'est pas quelque chose que tu vas faire comme on vous habitude, l'Excel, on n'a pas le temps, faire une extraction, on va le regarder deux fois dans l'année, pour vraiment être sûr.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Attends, je peux te partager mon écran ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Ouais, vas-y.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Tu vois, par exemple, là, sur le cabinet, tu vois ? Là, tout de suite, sur mon tableau de bord, je peux calculer mon chiffre d'affaires théorique, mon chiffre d'affaires réel. Je sais combien de prospects il me reste à convertir, combien de clients en cours. je peux voir mes performances, je peux voir aussi l'évolution des portefeuilles par collaborateur en volume et en euros, je peux voir d'où viennent mes prospects, je peux avoir un filtre sur l'avancement comptable, bon tu vois on n'est pas très à jour encore sur 2024, mais voilà, on peut voir combien de dossiers ont été, en fonction des différents statuts, etc. Et en fait ce tableau de bord, c'est qu'une partie... de la synthèse de toutes les informations qu'on peut avoir. Donc ça veut dire que c'est pas qu'un outil sur lequel je vais devoir renseigner des éléments et sur lequel ça va me sortir un tableau de bord. Ça se fait automatiquement parce que le KBO aujourd'hui gère tous les aspects du suivi, suivi comptable, suivi fiscal, suivi de l'avancement des formalités juridiques, il gère toute la facturation, il gère tout ce qui est lié. à la prise en main d'une mission, un début de mission, une fin de mission. Donc voilà, j'ai arrêté de partager l'écran. Mais c'est pour te montrer une idée en fait, où je ne suis pas dans ce truc de dire, je dois alimenter pour avoir un visu. Je l'ai en instantané, uniquement parce que les collaborateurs l'utilisent. c'est vrai que souvent le frein quand vous mettez un CRM en place dans un cabinet c'est de se dire il y a peut-être des collaborateurs ça leur fait un outil en plus je sais pas si t'as déjà eu le cas de...

  • Florian DUFOUR - Hôte

    si si c'est toujours cette problématique c'est que l'une des limites c'est qu'il faut que derrière les collaborateurs renseignent l'information et considèrent que cet outil en plus va les aider à gagner du temps et pas être un outil comme le millefeuille qui te fait perdre encore du temps parce qu'on en a 50

  • Aryé BISMUTH - invité

    En fait, je suis d'accord, mais pour qu'un collaborateur utilise ce logiciel, il faut qu'il y trouve son gain et son intérêt. Et en fait, très souvent, le logiciel est... est très rapidement plébiscité par les collaborateurs. Les collaborateurs directement eux-mêmes, parce qu'eux-mêmes, ils ont un gain dans leur travail, dans leur exécution de mission. Je vais te donner un exemple. Par exemple, sur quoi là ? Tu peux renseigner les temps. Tu as une fiche de temps sur laquelle tu peux renseigner, etc. Je sais que le cabinet où je travaillais, c'était quelque chose, c'était un peu une tâche. que moi j'ai la vérité que j'aimais pas faire parce que je voyais pas et je voyais pas la valeur ajoutée c'était pour donner à ton supérieur en fait c'était uniquement le côté flicage tu vois dans kbo dans kbo par exemple on a le la saisie des temps se fait via un calendrier Donc imagine que tu as un rendez-vous avec un client, tu notes sur ton calendrier, ça va tout de suite automatiquement se remplir. Donc déjà, il n'y a pas cette double saisie entre ton calendrier partagé et la saisie des temps. Ça c'est la première chose. Et aussi la deuxième chose, c'est que le collaborateur, nous par exemple on leur laisse accès au suivi de mission, sur lequel on budgétise le temps de mission, et sur lequel le collaborateur voit le temps qu'il a renseigné. et sur lequel le collaborateur de lui-même peut dire Attends, attention, c'est un dossier qui a un peu dérapé. ok et je vais aller donc en fait il y a un intérêt pour le collaborateur de l'utiliser parce que ça permet des fois il y a des collaborateurs ils sont venus me voir ils m'ont dit regarde mon portefeuille aujourd'hui il a évolué très peu mais en terme de volume regarde voilà j'étais édité une fiche parce qu'on peut éditer la fiche des temps passés etc c'est pas forcément sur la gestion mensuelle mais c'est vraiment sur le bilan, ça nécessite, voilà, il y a beaucoup de choses à vérifier, etc., et c'est plutôt sur cet aspect-là que tu dois retravailler avec le client. Et en fait, le collaborateur, il... on va se dire la vérité, il connaît le montant que le cabinet, il facture les honoraires, et il sait le temps qu'il peut y passer ou pas. Et des fois, c'est vrai qu'il y a cette gêne du collaborateur de passer beaucoup de temps dans un dossier, qui le mérite, sur lequel il doit passer du temps, mais parce qu'il sait que le budget est limité. Et le fait d'ouvrir au collaborateur cette possibilité de se rendre compte, ok, on a prévu tant de temps, il y a plus de temps qui ont été passés, ok, il faut qu'on voit, il faut qu'on fasse un point avec le client, pour que tu aies peut-être plus de temps. pour bien faire le dossier, pour que tu aies plus le temps d'analyser les choses et pas d'être vraiment de subir, c'est comme ça que j'appelle moi, de subir le dossier, etc., en fait, les collaborateurs le prennent très bien.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Ça permet aux collaborateurs d'avoir une visibilité. Et moi, je voulais te poser une question, c'est toi, en tant que chef d'entreprise et responsable d'un cabinet, est-ce que ça t'a permis d'avoir cette visibilité, on va dire, tous les jours au lieu d'attendre un an, de mieux gérer ton cabinet, de dire, tiens, je vais pouvoir anticiper, il va falloir que j'embauche ?

  • Aryé BISMUTH - invité

    Tout à fait. Tout à fait. Tout à l'heure, je t'ai montré dans le tableau de bord, on a par exemple des pics des fois de prospects. On sait qu'après la période fiscale, on a beaucoup de créations de sociétés qu'on a fait depuis 2-3 mois sur lesquelles on doit fixer pas mal de rendez-vous avec les clients. Et là, par exemple, je sais que si j'ai 50-60 clients en attente... je sais que tout de suite je peux embaucher et je peux en 2-3 mois constituer un portefeuille neuf pour un collaborateur donc en fait je vais pas être dans la phase où je vais recevoir les clients me dire attends on va voir dès qu'il y a suffisamment je recrute ou je vais mal les disperser en attendant etc, non je sais qu'il y en a 60 je peux lancer une annonce pour chercher un collaborateur par exemple pour la rentrée et à partir du moment où je me laisse deux mois pour verrouiller le portefeuille, comme ça quand le collaborateur arrive, c'est un portefeuille clé en main.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Est-ce que tu as des experts comptables qui ont pris ta solution chez KBO ? Et derrière, ils sont venus vers toi en disant qu'il y a une grosse différence, ça me permet de mieux gérer le cabinet au quotidien ou en période fiscale ?

  • Aryé BISMUTH - invité

    Il faut savoir déjà que KBO, quand on a commencé à le développer, on a mis presque deux ans et demi. pour avoir le premier cabinet qui utilise la solution. Au début, c'est une solution qu'on a pu autofinancer. Je ne cherchais pas forcément, et aujourd'hui aussi je ne cherche pas la rentabilité, etc. Je cherchais à avoir des retours cabinets, parce que pendant trois ans, on va dire presque trois ans, c'est vrai qu'il y a beaucoup de cabinets, d'ailleurs j'en profite de cette interview pour les remercier, mais on a participé à tous les salons, on avait un stand, etc. et sur lequel à chaque fois... chacun a amené sa vision, une amélioration, ça peut être des améliorations très mineures, je te donne un exemple, sur le suivi fiscal, tu as le filtre classique en fonction, pour la TVA, du régime de TVA, etc. Nous, à Paris, SRL, SAS, 17, 19, 24, c'est-à-dire que 17, 19, 21, 24, donc bon, on les connaît les dates. Il y a un cabinet qui m'a dit, ben non, moi je gère des entreprises, je crois que dans le monde agricole, sur lequel des fois il y a des TVA le 5 ou le 10, sur un système différent, il m'a dit, ça serait bien, là je te donne un exemple mineur, mais il m'a dit, ça serait bien que tu aies une colonne, en plus, sur lequel on peut rajouter le jour, le jour de la date limite de déclaration. en une demi-heure, le développeur il a développé et c'était mis à jour. On a des cabinets qui m'ont dit, je te donne un exemple, j'aimerais bien avoir par exemple, la réflexion sur la saisie des temps, que tu peux saisir des temps pour la mission ou pour le bilan, c'est un cabinet qui nous l'a dit. Il nous a dit, c'est vrai que nous on avait l'habitude de regarder au global, il disait non, non, moi j'aimerais bien. Et en fait, la solution, on l'a construite, non pas à travers notre prisme. de nous, cabinets parisiens, etc. Mais à travers trois ans de retour, de visio, d'écoute, de rendez-vous, etc. avec d'autres confrères, de la même génération, mais aussi d'autres générations, etc. Et qui nous ont permis d'améliorer, d'améliorer la solution. Et je peux dire qu'aujourd'hui, depuis, on va dire, bien un an, on a une solution. Alors, elle est toujours en évolution, il y a toujours des mises à jour, etc. Mais qui est... je peux le dire sans prétention, qui est quand même aboutie. C'est-à-dire sur lequel, en termes de fonctionnalité principale, ça aboutit. Donc voilà, mais c'est-à-dire que ça ne s'est pas fait, ce n'est pas quelque chose sur lequel on est venu avec un plan, on a dit ok, on doit le faire, à telle date, on doit le commercialiser. Non, au début, c'était beaucoup de... Et vraiment... beaucoup, beaucoup de lindines, de personnes qui avaient entendu parler etc et c'est ça qui fait la beauté du métier parce que c'est des choses qui se construisent avec des confrères et vous voyez qu'à chaque fois un autre cabinet il a une autre façon, une autre méthode par exemple il y a une il y a quelque chose que je pourrais pas accéder mais un cabinet m'avait dit moi ça serait bien que par exemple quand il y a marqué payé, c'est un exemple, mais quand il y a marqué payé dans votre, par exemple, j'ai payé telle taxe pour un client, que ça aille vérifier sur le compte bancaire du client, parce que ça a été vraiment payé ou pas. Bon, on l'a noté quelque part, ça ne fait pas partie pour l'instant, en tout cas, des priorités de développement, mais ça veut dire que en fait, c'est vraiment ces retours qui enrichissent la solution et qui font qu'aujourd'hui, c'est une solution Moi, le meilleur compliment que m'avait fait, pourtant on avait un stand de 20 mètres carrés, je crois que c'était à Montpellier, c'était waouh C'est-à-dire que vous avez un stand qui n'est pas à la hauteur de la solution que vous proposez, etc.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Après, ton objectif, c'était plutôt pour toi, ton cabinet, et là, c'est de partager, donc c'est super bien. Il y a deux choses que je voudrais revenir avec toi, c'est sur les avantages. Il y a une chose importante, je trouve. c'est le fait d'automatiser les choses. Souvent, on perd énormément de temps à retaper des noms, des sirètes à gauche et à droite. Et la seconde, la fiabilité des données. Le fait que le problème, c'est qu'on a 50 Excel et que des fois, ce n'est pas fiable. La donnée n'est pas à jour, ainsi de suite. Est-ce que tu veux bien me remonter des infos là-dessus ?

  • Aryé BISMUTH - invité

    Exactement. Je vais te dire que je donne un exemple. Ce matin, j'ai fait une augmentation de capital d'un client. par exemple, j'ai fait le PV, et tout de suite après, il y a la possibilité de cliquer sur KBO et de mettre à jour le client. Donc ça me permet d'avoir des statuts mis à jour, mais ça me permet que toutes les informations juridiques futures que je vais faire sur ce client vont être en cohérence justement avec la modification que j'ai effectuée. Et le problème d'un Excel, c'est que un Excel, à terme, chacun l'utilise un petit peu à sa sauce. Chacun met les... Voilà, va mettre des notes, va mettre des commentaires. Par exemple, pour parler du Excel, puisque on peut prendre des exemples vraiment concrets et qui peuvent parler aux auditeurs, par exemple pour la TVA. La TVA, dans les tableaux dans les cabinets, c'est fait, affaire ou pas fait, ou une croix et pas de croix. Bon, sur KBO, vous pouvez renseigner un bon temps. ok donc déjà moi quand je fais ma tva là du mois de quand on a fait la tva du mois de mai j'ai en visu les montants qui ont été payés sur janvier février mars abril donc tout de suite en rouge quand c'est payé en verre quand ça en crédit donc tout de suite ça permet d'avoir une idée de ce qui a été payé ou pas ensuite il y avait souvent des fois on fait une tva le client il est peut-être pas prévenu et c'est là vous avez la possibilité tout de suite dès que vous avez renseigné le montant d'envoyer un mail automatiquement aux clients comme quoi qui va être débité de tel ou tel on a fait une demande de remboursement de tel ou tel montant de TVA et ensuite vous pouvez afficher les missions qui sont en cours, suspendues ou annulées donc ça veut dire que des fois imaginez que demain vous avez un collaborateur qui est malade il va arriver sur les TVA de son collègue pour les faire à sa place etc il va pas comprendre pourquoi certaines TVA ne sont pas faites depuis plusieurs mois par exemple. Pourquoi ? Parce que la mission est annulée, mais qu'il n'a pas eu le temps de voir en période fiscale avec l'expert comptable pour qu'il supprime la ligne. Donc au final, sur 30 TVA à faire, il en a toujours 5 ou 6 qui sont vides, mais parce qu'il y a une raison derrière. Vous voyez ce que je veux dire ? Et là, ça permet tout de suite, c'est-à-dire que tout le monde, on a le même dénominateur commun, tout le monde utilise le même outil, tout le monde consulte le même historique. En fait, on rationalise un peu le process. au niveau du travail et du fonctionnement, ça permet de gagner du temps, avec des envois automatiques de mail, etc. Mais ça permet aussi d'avoir une donnée qui est fiable. Combien de fois, par exemple, on faisait des dépôts de comptes annuels avec des adresses alors qu'il y a eu un transfert de chaise sociale, par exemple. parce que la collaboratrice n'avait pas eu... Mais parce que voilà, quand il y a un transfert de dossier social, il faut mettre à jour sur le logiciel, il faut mettre à sur la facturation, il faut mettre à jour, il faut mettre à jour, il faut mettre à jour. Et donc au final, s'il n'y a pas un process clair, une boucle qui est faite, etc., bon déjà ça prend du temps, mais quand bien même elle serait faite, ce n'est pas toujours fiable.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Bien sûr. Et surtout derrière, souvent c'est que toute la donnée est dans le collaborateur et quand le collaborateur est par là, on ne sait pas trop sa manière de faire. Là, ça te centralise et en fait, tout le monde est un peu au courant. Donc, c'est génial, ça.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Aujourd'hui, un bon collaborateur comptable, un collaborateur qui va avoir aujourd'hui la saisie, elle est quasi automatisée, etc. Ce qui va faire la différence, c'est l'appréhension du dossier. vous donnez un dossier dans le e-commerce, il va savoir où chercher, où cliquer, se poser en même temps les problématiques de TVA, s'il y a différents taux de TVA, se poser les problématiques, et il va savoir, donc il y a un chemin sur lequel il va pour atterrir sur un export qui retravaille, etc. Ce qu'on a mis, par exemple, sur KBO, et c'est vrai que des fois, quand vous passez d'un collaborateur à un autre qui passe un portefeuille, ou des fois, il y a un qui n'est pas présent, le temps de se dire, attends, où il va chercher ses ventes, où est-ce qu'il met les identifiants et les mots de passe, et une fois qu'on a les identifiants et les mots de passe, où est-ce qu'il voit comment il arrive à différencier sa TVA 5.5 et sa TVA... Comment il s'y prend ? Il peut perdre énormément de temps, donc ça va créer de la frustration chez le collaborateur. Là, vous avez des identifiants et des mots de passe que vous pouvez enregistrer, donc comme une petite base de données, d'identifiants et de mots de passe, on va dire, pas sensibles, des mots de passe de logiciels, d'applications, etc., qui permettent de récupérer des données comptables. et vous pouvez mettre des notes ou vous pouvez mettre même à on a laissé mettre la possibilité de mettre des pièces jointes des petits tutos sur lequel en fait il va mettre où est-ce qu'il clique, où est-ce qu'il met etc et sur lequel en fait le collaborateur il a juste à se connecter sur le client voir les identifiants et mots de passe et tout de suite voir les notes qui ont été laissées par rapport à ça et l'information est centralisée, c'est à dire que moi les collaborateurs il n'y a pas un document qui traîne dans le bureau de l'ordinateur ou sur lequel de en local ou sur un cahier sur lequel il met la manip là tout est centralisé au même endroit et encore une fois le but c'est qu'on gagne en fiabilité et on gagne en temps on le voit souvent moi j'avais eu le cas dans un cabinet où la

  • Florian DUFOUR - Hôte

    collaboratrice, on était le vendredi soir et puis elle partait en vacances et puis en fait elle avait une proposition auprès d'un client Elle a dit bon j'appellerai le cabinet lundi. Entre temps elle est partie en vacances, elle ne se rappelait plus. Le client entre temps appelle, l'expert, l'expert ne savait pas. Du coup en fait il y a une perte d'information. et puis même si elle l'avait marqué sur une feuille dans le bureau il serait peut-être pas venu le voir l'expert donc là ça te permet de te sensibiliser tu ouvres le dossier,

  • Aryé BISMUTH - invité

    tu sais que t'as une note ah tiens il y a ça ça ça ça même si elle est pas là au moins tu peux répondre à ton client t'es informé c'est exactement ça il y a un historique il faut savoir qui s'enregistre automatiquement sur chaque dossier quand on envoie des mails ou quand on met à jour etc on peut voir ce que chacun a fait on peut aussi euh C'est vrai que des fois, vous avez des cabinets, sur la période estivale, vous avez des stagiaires, des alternants qui viennent. Et en fait, par un stagiaire qui est là pour deux mois, vous savez, des fois, sans faire exprès, par mégarde, il peut supprimer des trucs. Sur un tableau Excel, on avait eu ce problème, etc. Là, il y a une gestion des droits qui fait que quand vous créez un collaborateur, vous pouvez tout de suite ce collaborateur. lui donner des accès sur lesquels vous pouvez lui permettre uniquement de consulter ou ne rendre pas du tout visible certains aspects un peu touchés, etc. Et ça permet aussi une fiabilisation par rapport à ça, parce que c'est vrai qu'on est continuellement attaqué en tant que cabinet.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    parce que voilà on a des mots de passe impôts gouffres en tout cas moi les impôts gouffres perso je les stocke nulle part parce que c'est relié à France Connect et ça ouvre après trop de choses et même j'avais eu un client qui avait eu une tentative sur une demande de remboursement de TVA sur un impôt gouffre pro du coup puisqu'il avait son propre espace etc, donc ça veut dire que la sécurité c'est une notion qui est super importante et le fait de pouvoir cloisonner comme ça c'était aussi un des objectifs de KBO, un collaborateur qui a accès à tout un Excel ou un stagiaire qui a accès à tout un Excel que ce soit en termes de sécurisation ou même sans faire exprès des fois il peut supprimer et pas revenir ou pas stocker etc et ça peut être une catastrophe pour le cabinet

  • Aryé BISMUTH - invité

    Les CRM, donc moi je suis d'accord avec toi, c'est obligatoire, il faut aller en mettre un. Par contre, est-ce que c'est possible de mettre un CRM chez tous les cabinets ? Est-ce qu'on peut dans un tout petit cabinet ou il n'y a pas d'utilité ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Nous, on a un expert comptable qui est même en freelance qui utilise notre solution, qui utilise notre CRM et que ça se passe super bien parce que lui-même, ça lui permet de... Lui, ça va être moins sur la vision globale et encore, mais ça va être surtout sur le gain de temps. il ne peut pas encore pour l'instant avoir une secrétaire juridique, mais ça lui permet d'aller 3-4 fois plus vite sur le juridique récurrent. Il a des modèles de courrier, parce que vous pouvez aussi personnaliser certains modèles, etc., de courrier et d'attestation. Hop, hop, hop, il se met ses modèles, et ensuite, quand il y a un client qui lui demande une attestation, il est même à l'autre bout du monde, il peut tout de suite lui sortir une attestation, on lui envoie une aide de mission. Ça va lui faciliter son onboarding. Et surtout, nous, on a voulu avoir des tarifs les adhésions qui sont par exemple un jeune expert comptable qui se lance la première année il va payer en illimité la solution 49 euros par mois donc c'est 99 jusqu'à 50 dossiers 49 euros par mois donc des prix des fonds qu'on serait que j'avais comparé avec certaines solutions juridiques qui existait sur le marché en fait notre solution juste avec une solution juridique, elle était déjà moins chère qu'une solution qui faisait uniquement le juridique. Alors que là, il y avait tout un panel de choses. Et moi, je conseillerais encore plus un expert comptable qui est en freelance et qui se lance. parce que tout de suite, il met les bases pour un cabinet sain, fiable. C'est vrai que justement, la problématique, quand on a dû intégrer des fois des cabinets qui avaient 500, 600 clients, voilà, ça se fait, ça se fait bien, on met une personne à disposition, mais ça prend du temps, il faut former des collaborateurs, des fois vous avez un peu de résistance aux changements, etc. Donc ça se fait, mais ça ne se fait pas aussi facilement que quelqu'un qui est en freelance, qui connaît parfaitement la solution, et que quand il va embaucher ses premiers collaborateurs ou quand il va commencer à travailler, ben voilà.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Mais moi je pense comme toi, un CRM ça doit être adapté un petit peu à tout le monde, c'est juste qu'on va dire, on ne va pas le voir de la même manière, tu prends celui qui se lance ex-Nilo, lui ça va permettre d'automatiser, je veux dire la gestion du mail, gagner du temps et de centraliser. la grande entreprise ou le gros cabinet c'est parce qu'on a de la déperdition sur tout ce qui va être les données on ne sait pas si le collaborateur a bien transmis ça permet en fait à la groupe au codire ou à la tête de groupe d'avoir une meilleure gestion en instantané dans tous les cas il n'y a que du positif je vois ou est-ce qu'au contraire tu pourrais me dire certaines limites t'aurais pu voir des retours de cabinet ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Non les limites ça va être des cabinets qui font nous s'adapter aux cabinets qui font déjà de l'expertise comptable Ok, un cabinet qui aurait quelques dossiers en expertise et vraiment d'autres dossiers en commissariat, etc., la solution apparaît toujours moins pertinente. Ou quelqu'un qui serait en mission, en DAF un peu, en freelance, etc. ce n'est pas quelque chose qui serait adapté.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Pour le social, tu le gères ou pas dedans ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Alors, le social, comment ça se gère ? En fait, tout le monde connaît le fameux tableau de suivi social sur lequel les collaborateurs sociaux renseignent le nombre d'articles qui sont faits, combien de sujets de paye, combien de contrats de travail, etc. Le gain sur le social qu'on va avoir, au-delà des documents de remise, etc., ça va être que les informations sociales, les variables sociales, s'intègrent automatiquement dans la facturation. Donc il n'y a pas besoin tous les mois de rentrer sur la facture et de devoir mettre une fiche de paye, trois fiches de paye, quatre fiches de paye, etc. en tenant compte du prix catalogue du cabinet, mais sur lequel, au moment de la lettre d'émission, on a pu faire des personnalisations avec le client. Donc il n'y a plus cette réflexion de se dire J'ai une connerie, la fiche de paye est à 25 euros, mais ce client, c'est une fiche de paye galère. Bon, il y a une exception, il paye 30 euros. le bulletin. Non, là vous le renseignez une fois les 30, et à chaque fois que vous allez mettre les variables, il va venir interroger la lettre de mission, et il va venir tout de suite remplir la facture.

  • Aryé BISMUTH - invité

    T'es sûr de ne pas te tromper au moins ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Et il n'y a pas d'oubli. En fait, parce que ce qui se passe dans la plupart des cabinets, c'est que vous avez une secrétaire qui retape le suivi social, elle le retape sur la facturation.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Oui, c'est ça. Et toi, au niveau du secrétariat, du coup, tu as un gain de temps énorme.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Énorme. On a une seule assistante de direction au cabinet. qui fait à la fois la facturation du cabinet, à la fois la relance des fois des prélèvements, qui fait aussi du juridique, qui est un peu un couteau suisse. Et en fait, on en avait une il y a trois ans, et on en a toujours une aujourd'hui. Et justement, si on peut se faire cette... normalement on aurait dû si le cabinet double tu doubles automatiquement en réalité avec les outils qui ont été mis à disposition et développés aujourd'hui on a une seule personne et je crois qu'aujourd'hui elle est moins débordée que ce qu'il y a il y a 3 ans mais tant mieux c'est juste parce qu'aujourd'hui elle est beaucoup plus dans la vérification le contrôle plutôt que dans la production en soi

  • Aryé BISMUTH - invité

    Moi, il y a une limite qui ressort souvent pour accompagner certains confrères du CRM, c'est les collaborateurs, la formation des collaborateurs sur l'outil. Qu'est-ce que tu en penses ? Qu'est-ce que tu pourrais nous donner comme des bons tips pour aider à utiliser ton outil KBO ? Est-ce qu'il faut le mettre directement dessus et tu te débrouilles ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Non, alors la solution est très intuitive. C'est une solution en SaaS qui est très intuitive. Maintenant, c'est vrai que nous, on fait une présentation globale. mais après on fait une formation adaptée. On ne fait pas la même formation au collaborateur comptable, au pôle juridique et à la personne qui l'utilise sur le social. Donc on fait une formation adaptée sur l'outil, sur les parties que la personne va devoir utiliser. et en ayant une approche sur laquelle on va surtout parler du gain que le collaborateur va avoir, plutôt que des conséquences hautes sur le logiciel. Et en fait, le retour qu'on a, c'est que, très clairement, quand aujourd'hui en un clic vous pouvez relancer tous vos dossiers le 5 du mois pour mettre à jour les pièces en un seul clic, quand vous pouvez faire des courriers de demande de remise gracieuse, vous pouvez faire en... en vraiment quelques secondes, quand vous pouvez réutiliser des modèles sur lesquels vous avez juste à renseigner les variables, etc., le collaborateur voit son gain et du coup, son travail d'analyse, etc., est beaucoup plus valorisé que le travail où il va prendre un document Word et il va devoir faire un remplace ou il va devoir regarder sur la matrice, etc. Donc, l'adhésion des collaborateurs, elle se crée... en montrant aux collaborateurs le gain clair qui va être fait sur l'outil, avec une utilisation de l'outil.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Est-ce qu'il faut, quand chaque cabinet est déjà en place, est-ce qu'il y a un petit travail à faire avant le retraitement de données, pour avoir la bonne donnée à mettre dans le CRM, et est-ce que c'est un projet qu'on peut suivre en période fiscale, ou est-ce qu'il vaut mieux le démarrer hors période pour toi ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    avril-mai je pense que c'est compliqué pour les cabinets j'ai jamais eu de cabinet qui ont fait des et quoique c'est vrai que j'ai eu Kadidja qui était venue te voir dans ton précédent podcast elle est très organisée donc elle a réussi à faire un onboarding en plein mois d'avril il y a des challenges ouais non en fait c'est vrai qu'on dit souvent la période de croissance d'un cabinet c'est souvent de juin à décembre c'est la période dans laquelle on peut vraiment se projeter sur les évolutions, prendre le temps, c'est d'ailleurs la même aussi la période du recrutement, etc. La période de février à avril, mais alors je sais qu'il y a des experts comptables qui sont beaucoup plus organisés que nous, mais bon la réalité fait qu'aujourd'hui un expert comptable, c'est vrai qu'il y a certains post-linkedin où vous avez des experts comptables qui vous expliquent qu'ils ont pris... trois semaines de vacances en plein mois d'avril et qui font ça parce qu'ils sont super bien organisés. Aujourd'hui, la réalité, quand vous discutez avec des confrères, c'est que vous avez deux ou trois mois dans l'année où vous êtes chargé et sur lequel, malheureusement, vous ne pouvez pas vous occuper d'intégrer de nouveaux outils, même des fois d'intégrer de nouveaux clients. Et voilà, mais tout dépend de l'organisation. Il y en a beaucoup qui ont profité de l'été pour le prendre en cours ou de la rentrée. Il y en a beaucoup sur lequel vous avez préparé en novembre-décembre pour qu'au 1er janvier, ça soit, paf, dimitré.

  • Aryé BISMUTH - invité

    On va parler du prix. Beaucoup vont dire tout le temps Ah bah, c'est un outil supplémentaire et ça va être cher pour ce qu'on va en faire. Qu'est-ce que tu penses ? Est-ce que ce n'est pas plutôt un investissement parce qu'au final, tu risques, comme tu me l'as dit, de gagner énormément de temps ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Déjà, pour le prix, Moi, j'ai une réflexion personnelle. Je n'ai aucun problème de payer à partir du moment où je vois un gain en termes de temps. Parce que notre temps, il est valorisé à un certain prix qui est souvent supérieur au coût d'un outil classique, etc. Alors, ça fait un outil supplémentaire, mais le KBO a la prétention de supprimer d'autres outils. et de pouvoir les centraliser en un seul endroit. C'est-à-dire que KBO va permettre, aujourd'hui le cabinet ne va plus utiliser son système de facturation, si elle le passe sur KBO. Ça va permettre de pouvoir, si elle utilise le juridique sur KBO, de supprimer un outil qu'elle paye, un abonnement pour le juridique, etc. Donc en fait, on va plus être dans un gain au niveau des outils qui sont faits, que ce soit sur les tableaux de bord, les lettres de mission, l'onboarding, etc. Et au final, pour un outil... vous en avez aujourd'hui l'équivalent de 4-5 en même temps et qui sont en même temps centralisés. C'est-à-dire sur lequel vous n'avez pas quand il y a un nouveau client, de le rentrer dans les 5 outils, quand il y a un client qui sort ou qui est modifié, de faire la modif ou de les supprimer dans les 5 outils.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Je voudrais que tu me donnes un conseil, ton conseil pour un expert comptable qui souhaite utiliser un CRM. Par où il faut qu'il commence en disant, tiens, j'ai écouté l'épisode, demain je me lance, on commence par quoi ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    En fait, la première chose qu'il doit faire et que je fais de toute façon, la première fois que je discute avec un expert comptable et qui est intéressé par KBO, c'est que je me dis, au niveau du premier point, c'est aujourd'hui, sur quoi il travaille, qu'est-ce qu'il utilise. c'est quoi le point de démarrage aujourd'hui qu'elle utilise comment sont entrées les données qui a accès voilà quelles sont les sources de frustration etc et à partir du moment où on sait pas on sait très bien moi j'ai moi j'ai des cabinets qui ont pris kbo il utilise de façon globale mais l'utilisent aussi et surtout pour le juridique ou pour le côté document un peu moins pour il y a des cabinets qui utilisent le suivi et les documents mais qui ne vont pas du tout l'utiliser pour la facturation parce que leur facturation est reliée à un outil type gocardless et qui permet en même temps de faire les prélèvements etc donc il ne faut pas se dire voilà aujourd'hui KBO m'intéresse, je suis forcément obligé de tout utiliser vous voyez ce que je veux dire ? Et le point de démarrage c'est faire le point sur l'existant, sur aujourd'hui, qu'elles sont les choses qui font perdre du temps en cabinet. Et à l'expert comptable également. et de se dire ok, à partir de ça, il prend contact avec moi, je ne fais pas la même démo à tous les experts comptables, j'adapte la démo justement en fonction de ses frustrations. Il y en a qui me disent par exemple dès le début, moi mon outil de facturation il est très bien, ok je sais que je ressaisis, j'ai écouté le postcast de Florian, je sais que je ressaisis les variables sociales, mais moi ça me permet d'avoir mon fichier pour les prélèvements et au final j'arrive à me débrouiller comme ça, etc. Par contre sur ça, ça m'intéresse. Donc ça veut dire d'ailleurs qu'on ne va pas perdre du temps à montrer des choses sur lesquelles en tout cas pour l'instant qui ne l'intéresse pas, mais surtout travailler sur les points sur lesquels on peut gagner du temps. Et souvent moi j'aime bien, je pose la question au client, en combien de temps tu fais ça, bah regarde-nous en combien de temps on peut le faire.

  • Aryé BISMUTH - invité

    C'est bien, tu permets de comparer ça. Je pense, comme tu le dis, une période d'audit, de regarder déjà qu'est-ce qu'on a, qu'est-ce qui pose problème, avant de faire la démarche benchmark, aller voir qu'est-ce qui existe en CRM.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Exactement.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Est-ce que tu aurais un dernier conseil à me donner ? Ou une chose que tu pourrais me rajouter sur le CRM en disant, quand même, ça, les cabinets, on ne peut plus se permettre de plus en avoir.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Alors, ça serait assez facile de parler de mon expérience personnelle, mais c'est vrai que souvent, en fait, comme moi, je ne suis pas éditeur de logiciel, je suis avant tout expert comptable. Les experts comptables, en fait, il y en a beaucoup, en fait, où une fois qu'ils m'ont parlé, je leur parle de moi, quelle était ma situation, et je leur montre aujourd'hui, avec KBO, en parlant de ma situation, de mon cabinet, aujourd'hui, combien un collaborateur arrive à gérer deux dossiers. combien de temps on peut faire certaines formalités juridiques, comment on arrive à relancer les clients, comment on arrive à faire super rapidement un onboarding complet sur un client, etc. Mais en fait, en me plaçant non pas du côté éditeur, mais en me plaçant du côté expert comptable. Et vraiment, ce n'est pas un slogan, mais aujourd'hui, on peut diviser par 3, par 4, par 5 le temps qu'on consacre à l'administratif en général, le temps qu'on consacre à la relance, le temps qu'on consacre à l'onboarding, à la mano, etc., en utilisant KBO.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Tu arriverais, en gros, à la question, est-ce que tu pourrais t'en passer et tu arriverais à faire le même niveau de mission, de chiffre d'affaires ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Impossible parce qu'on a un cabinet en croissance, donc on a une cadence qui est très élevée, que ce soit en termes de juridique, que ce soit aussi en termes d'onboarding de nouveaux clients. Aujourd'hui, par exemple, les onboarding clients, ils les font directement avec les collaborateurs. même si ça me prend 15 minutes, aujourd'hui, c'est quelque chose qu'ils font avec les collaborateurs, c'est les collaborateurs qui me font signer la lettre de mission, c'est les collaborateurs qui préparent directement la lettre de mission, qui préparent le mandat de prélèvement, qui préparent le budget, bien évidemment, une fois qu'on leur a indiqué, etc. Mais ça veut dire que pour un cabinet, surtout, qui est en croissance, et un cabinet qui n'est pas en croissance, mais qui veut vraiment rationaliser, gagner en visibilité, etc., je pense, en tout cas... si c'est un cabinet qui est surtout en expertise comptable avec des clients TPE, PME, etc. Comme la plupart, je pense, la grande majorité des cabinets. Mais comme je l'ai dit, un cabinet qui ne ferait que de l'audit ou du commissariat aux comptes, ou quelqu'un qui serait en freelance, en DAF, l'outil ne serait pas pertinent à ce niveau-là. Mais ça permet vraiment de gagner beaucoup de temps et de traiter toutes les demandes clients avec une rapidité. Et aujourd'hui, pour info, nous, dans un cabinet, on n'a jamais dépensé un seul euro en acquisition client. Si, il y avait juste Mia, la solution, je fais une dédicace à Eric Nidam, qui est une super solution avec laquelle on a travaillé sur moins d'une dizaine de clients. Aujourd'hui, le cabinet, on a 600 clients et on n'a jamais dépensé un seul euro en lead, en acquisition, en rachat de clientèle. Et qu'aujourd'hui, le plus dur, c'est d'avoir ses premiers clients. Et le conseil que je donnerais à un jeune expert comptable, c'est une fois que tu as tes premiers clients, que le bouche à oreille fonctionne bien, que tu mets les bons outils pour justement montrer à ce client que tu arrives à suivre son niveau de réactivité, parce que moi je pense que la clé d'un cabinet, c'est la réactivité, mais il faut avoir des outils pour intermer, sinon après on est submergé. et bien après ça peut aller très très vite parce qu'aujourd'hui c'est ce que les clients ils recherchent et voilà je pense que kbo peut aider à ça c'est un joli mot de la fin mais j'aimerais avant que on se laisse qu'on fasse un petit jeu c'est le jeu ceux ci ceux là pour je

  • Aryé BISMUTH - invité

    te donne deux alternatives et du petit lac elle te correspond mieux si tu veux bien merci alors est ce que tu préfères faire de la compta ou être sur ton logiciel de crm à à

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Je préfère être sur le CRM quand même. Mais je dirais les deux parce que des fois, on a besoin d'avoir un peu de technique. Ça fait du bien de se plonger dans les comptes. Mais aujourd'hui, un 25 juin, après une période fiscale intense, je prends beaucoup de plaisir à être sur KBO et à moins me connecter sur le logiciel comptable.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Tu es plutôt Insta ou LinkedIn, toi ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Les deux. LinkedIn le souci que j'ai avec LinkedIn c'est que pour beaucoup de jeunes experts comptables ça vend du rêve et je pense qu'il y a des personnes qui peuvent si quelqu'un va toute la journée regarder un feed LinkedIn idéaliser à l'extrême la vie professionnelle des gens que ce soit sur le salaire, sur le cadre de vie sur l'équilibre pro-vie perso et c'est de dire que finalement notre vie elle est pas non... il y a des experts comptables qui partent trois semaines en vacances au mois d'avril, qui font de la compta dans des Starbucks en buvant des cafés, etc. Alors que moi, je travaille en cabinet, etc. Je trouve que le problème que j'ai avec LinkedIn, c'est très intéressant, il y a beaucoup de contenu de retour très intéressant dans la profession, c'est que ça idéalise trop le côté. Et moi, j'aimerais avoir plus de confrères qui parlent de la réalité du métier de la profession, Mais le problème de notre profession, c'est que les personnes qui ont du temps, qui travaillent beaucoup, justement, ils n'ont pas le temps de faire des postes, etc. C'est vrai que Cadidia est une exception en la matière, mais c'est pour dire que, je dirais aux experts comptables, surtout aux jeunes qui se lancent, couper LinkedIn. Franchement, il faut couper LinkedIn, se concentrer sur son business et couper LinkedIn dans le sens où c'est bien pour avoir des relations pro, mais ne pas regarder et ne pas trop idéaliser ce qu'on peut voir parce que ça peut générer certaines frustrations et se dire à un moment donné qu'on n'est pas à sa place alors que la grande majorité de la profession ne correspond pas à ces standards esthétiques des réseaux.

  • Aryé BISMUTH - invité

    T'es plutôt chien ou chat toi ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Ni l'un ni l'autre, j'aime pas les animaux

  • Aryé BISMUTH - invité

    Comme ça c'est clair T'es plutôt costume cravate ou t-shirt jean ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Comment je suis habillé aujourd'hui ?

  • Aryé BISMUTH - invité

    Je vois pas la cravate

  • Florian DUFOUR - Hôte

    T-shirt mais toujours avec une veste T-shirt veste c'est une signature

  • Aryé BISMUTH - invité

    et la petite dernière tu préfères être en période d'été ou d'hiver ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    la question ne se pose pas mais c'est vrai qu'on a l'été on a la chance à Paris d'avoir l'hiver pendant l'été donc voilà jolie pirouette ça

  • Aryé BISMUTH - invité

    écoute on te remercie d'avoir passé une heure avec nous et nous faire voir que le CRM dans un cabinet d'expertise comptable c'est central et ça permet à beaucoup de confrères de pouvoir développer leur chiffre d'affaires de centraliser les données et continuer à faire ce super métier je te dis à bientôt merci beaucoup Florian Avant de se quitter, je vous invite à laisser un avis 5 étoiles sur votre plateforme d'écoute préférée et parler du podcast à vos confrères. J'en profite pour remercier mes partenaires qui, grâce à eux, me permettent de vous partager encore plus de contenu chaque mois. Merci, rendez-vous au prochain épisode !

Chapters

  • Présentation Aryé BISMUTH, Expert-Comptable et fondateur de CABEO (solution CRM)

    01:00

  • Les raisons du lancement de CABEO par Aryé

    06:07

  • Pourquoi un CRM est indispensable pour un cabinet d’expertise comptable

    09:12

  • L'impact du CRM sur la gestion cabinet

    17:57

  • Les avantages clés d'un CRM pour l’Expert-Comptable

    23:12

  • Le CRM est-il adapté à tous les cabinets d’expertise comptable

    31:04

  • Les enjeux pour intégrer un CRM (formation, prix, etc.)

    36:29

  • Comment mettre en place un CRM dans mon cabinet d’expertise comptable

    41:37

  • En apprendre plus sur Aryé avec le JEU "Ceci ou cela"

    47:46

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Description

📌INFOS SUR L'EPISODE 

Aujourd’hui, je reçois Aryé Bismuth, Expert-Comptable et Cofondateur du CRM CABEO. Aryé a su transformer les défis de la profession d’expertise comptable en opportunités en développant un CRM spécialement conçu pour les cabinets d'expertise comptable. Au cours de cette conversation, nous explorons ensemble les avantages d'un CRM pour les experts-comptables, notamment le gain de temps, la fiabilité des données, et la centralisation des tâches. Aryé partage également des conseils pratiques pour intégrer un CRM dans votre cabinet, ainsi que des anecdotes sur l'importance de la réactivité et de la formation des collaborateurs. Un épisode incontournable pour tous ceux qui cherchent à optimiser la gestion de leur cabinet.


La durée de l'épisode est de 51 mins⏳.  


📚RESSOURCES 

Pour en savoir plus sur Arye et son CRM CABEO c'est par ici 😉 :


🚨MERCI AUX PARTENAIRES DE LA SAISON 3 (par ordre alphabétique) :

· AXONAUT 🔗pour la gestion interne du cabinet EC ;

· CLASSE 7 🔗édifie la communication des EC ;

· ECMA 🔗la solution digitale des EC ;

· SAGE 🔗la solution comptable des EC.


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Il ne me reste plus qu'une chose à vous dire : "bonne écoute" 🎧


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Transcription

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Bienvenue dans la troisième saison du podcast Marketing Cabinet comptable. Tous les 15 jours, je vous apporte des astuces marketing au travers d'interviews d'experts comptables. L'objectif reste inchangé, vous permettre de faire rayonner à votre tour votre cabinet. Alors, sans plus attendre, place à l'interview. Bonjour à tous, on se retrouve dans le 13ème épisode avec Aryé BISMUTH, où on va parler d'un... quelque chose qui me tient vraiment à cœur, c'est le CRM. Parce que je pense que le CRM, c'est le deuxième logiciel dans chaque prestation de service, ou même dans les entreprises industrielles. On a notre logiciel de production et derrière il faut un CRM pour tout gérer cela. Et donc j'ai eu la chance de rencontrer Aryé qui du coup va s'occuper, lui il est expert comptable et il s'occupe des CRM, il trouve que c'est très important donc on en profite. Bonjour, comment vas-tu ?

  • Aryé BISMUTH - invité

    Ça va et toi ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Ça va. Est-ce que tu peux te présenter pour les auditeurs qui ne te connaissent peut-être pas tous ?

  • Aryé BISMUTH - invité

    Alors, je m'appelle Aryé BISMUTH, j'ai 29 ans, on est sur Paris et on a créé un cabinet d'expertise comptable il y a 5 ans. Pour la petite histoire, à l'époque, en 2019, juste avant le Covid, mon associé et moi-même, on avait été les plus jeunes diplômés de la promotion. On a créé un cabinet, un an après à peine qu'on a été diplômés, donc c'est en 2019, sur la base de la réflexion de se dire, on va à un cabinet digital. mais on veut mettre l'humain et la relation client en centre. Donc, ce que je te disais tout à l'heure, c'est par exemple au cabinet, il n'y a pas de téléphone fixe, il n'y a pas de 0-1, c'est que des téléphones portables et des WhatsApp avec lesquels les clients peuvent communiquer. Même, on a une petite organisation, c'est quand un client a plusieurs sociétés, un grand groupe, etc., il a le droit d'avoir un groupe. un groupe WhatsApp, donc ça nous fait en même temps des conversations des fois des groupes WhatsApp sur lesquels il y a la collaboratrice sociale, le collaborateur comptable et l'expert comptable, et côté client, peut-être l'ARH, l'assistante de direction et le client lui-même. Et en fait, l'idée, c'est qu'on voulait vraiment qu'on dit que l'humain soit au centre, c'est pas juste qu'on va juste prêter attention à ce que le client nous dit, ce qu'un client recherche aujourd'hui dans un cabinet. au-delà du conseil, au-delà, parce qu'il y a plein de très bons experts comptables, etc. Mais il y a beaucoup de clients, quand ils viennent nous voir, le problème, c'est la réactivité. Et c'est ça, l'humain qui est au centre, c'est comme, aujourd'hui, par exemple, t'es dans quelle banque, Florian, à titre perso ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Là, moi, je suis à la CIC.

  • Aryé BISMUTH - invité

    T'es satisfait de ton conseiller ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Moi je le vois jamais

  • Aryé BISMUTH - invité

    Mais t'échanges avec lui par mail ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Ouais un petit peu par mail L'objectif moi c'est qu'on puisse avoir une réactivité Comme tu dis rapide, une petite question Qui me répondent assez rapidement Et si j'ai vraiment besoin, là on prend rendez-vous Mais c'est plus la réactivité qui est importante

  • Aryé BISMUTH - invité

    C'est exactement la même chose dans un cabinet C'est à dire que des fois on va juger une banque On va envoyer 4 mails dans l'année Mais sur les 4 mails qu'on va envoyer dans l'année Si le cabinet nous répond Ou si la banque nous répond rapidement On va dire ok ça c'est un cabinet qui est réactif, qui fait attention, etc. Si on te met deux semaines pour répondre, forcément ça va biaiser un petit peu le regard qu'on porte sur le professionnel. Donc en fait, le point de départ de la réflexion pour se dire on crée un CRM, il a été double, c'est-à-dire qu'on s'est dit à la fois on veut de la réactivité, donc au tout début c'était par rapport aux documents, donc que ce soit, il y a trois types de documents qu'on produit en interne au cabinet, il y a tous les documents juridiques. donc création, modification, dépôt des comptes, etc., sur lequel je ne voulais plus qu'il y ait de word qui soit pris, qui soit modifié. Il y a les documents, les attestations. En plus, pendant la période Covid, on en a eu beaucoup à faire, des attestations de chiffre d'affaires, des PV pour autoriser tel ou tel emprunt, etc., auprès des banques. Donc, il y avait tout ce qui est attestation, donc tous les documents qui sont signés par un cabinet. et tout ce qui est courrier, courrier d'état allemand, courrier de demande de remise gracieuse, les courriers de façon globale. Et donc on s'est attelé pendant un an, à l'origine c'était un CRM qui a été développé pour nous, pour nos besoins en interne, et en fait en avançant, plus tard dans la réflexion, on s'est dit en discutant avec d'autres confrères qu'on pouvait également aussi le proposer avec d'autres confrères. Donc au tout début KBO, c'était un CRM qui permettait de générer tous les documents du cabinet, pas que le juridique. mais aussi des documents et de façon extrêmement rapide. C'est vrai que la plupart des cabinets de notre taille, entre 5 et 20 collaborateurs, 90% du juridique qu'on fait par exemple, c'est du juridique classique, c'est du juridique récurrent, que ce soit sur des sessions, des transferts, etc. Donc, il y a d'autres solutions sur le marché, par exemple, qui proposent d'aller beaucoup plus loin dans les documents juridiques qui sont fournis. Et nous, l'idée, c'était déjà d'avoir le socle commun qui réponde à 90-95% des besoins. Et quand j'ai une transformation de GUE en SNC Affaires, dans ce cas-là, je passe par je reprends ma Intram Award et et que j'ajuste en fonction du cas. C'est de répondre à ses besoins et aussi d'avoir des documents qui puissent se produire super rapidement. Un autre exemple que je te donne, c'est quand un client vient au cabinet, en même temps que sur le logiciel qu'on remplissait les informations, qu'on définissait l'objet social des associés, tout de suite en finissant de remplir, Le client avait les statuts prêts et il y en a même, en 15 minutes, on faisait en même temps les statuts et en même temps, on ouvrait le compte sur Conto. Donc en fait, le client est sorti et disait Waouh, ça va vraiment super, super vite. Attention, ça c'est sur la phase production. Ça n'enlève pas toute la phase conseil, orientation qui est faite en amont. Mais c'est juste, il n'y a pas de délai pour produire des documents, pour donner un résultat au client.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Je me posais la question du coup, Tu as voulu créer toi-même ton CRM. C'est que ceux sur le marché, tu les trouvais peut-être pas assez adaptés aux experts comptables, mais tu es quand même un petit peu atypique. Tu as la vision de celui qui crée le CRM et tu as la vision expert comptable. Donc, tu sais un petit peu ce qu'on nous attend, nos besoins.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Oui. Alors, en fait, sur le marché... Bon, mis à part les attestations qu'on génère automatiquement sur KBO et les courriers, sur lesquels il n'y avait pas de solution, mais bon, après ça, tout existe déjà sur le marché. C'est-à-dire qu'aujourd'hui, vous avez de très bonnes solutions pour faire du juridique, vous avez de très bonnes solutions pour faire du suivi comptable. sur lequel vous avez des envois, des relances automatiques aux clients, il y en a même avec des API, avec des logiciels, vous avez des très bonnes solutions qui vont vous faire la facturation, qui vont vous générer les lettres de mission, les mandats de prélèvement, vous avez des très bonnes solutions qui vont calculer un boni ou un mali en fonction de ce que vous avez gagné, vous avez des très bonnes solutions pour la tise des temps, mais le problème... c'est que ça veut dire qu'à chaque fois que vous rentrez un client dans votre cabinet, vous devez déjà souscrire à 5 ou 6 offres, mais au-delà de ça, vous devez le rentrer dans 5, 6 plateformes, et demain vous avez un client qui part, il faut le sortir et il faut mettre à jour sur 5, 6 endroits différents, et des fois pour des solutions qui ne sont pas interconnectées entre elles, et je me suis dit, attends, c'est-à-dire quoi, demain j'ai un nouveau client qui vient. outils de production comptable et j'aide chacun son organisation, chacun son outil, c'est très difficile à remettre en cause. Mais après pour le reste, je dois avoir un logiciel de facturation sur lequel je dois renseigner mon client, je dois avoir un logiciel sur lequel je dois renseigner mes clients sur lequel je suis juridique, je dois renseigner mes clients sur un logiciel sur lequel je dois avoir mon suivi comptable, suivi fiscal, etc. Je dois avoir un logiciel aussi qui va me faire peut-être des tableaux de bord, des calculs de la rentabilité. Je me rappelle il y a 3 ou 4 ans au congrès à Bordeaux, il y avait un logiciel et je me suis dit quoi ? C'est-à-dire qu'à chaque fois que j'ai un client qui rentre et je dois le rentrer dans 6-7 endroits différents, il y a une modification. Non, c'est impossible. Donc, on s'est dit qu'en fait, on va faire une solution en SaaS vraiment très flexible sur lequel, en fait, le cabinet, ça ne remet pas du tout en cause son organisation, que ce soit stockage de documents. Donc, ce n'est un outil de stockage de documents et ce n'est pas en interaction avec l'outil de prod comptable. Par contre, Voilà, c'est ouvert et c'est sur lequel on va pouvoir faire aujourd'hui la facturation, l'analyse de la rentabilité du dossier. On a un tableau de bord et en fait, on a un endroit unique. sur lequel moi je passe beaucoup de temps dans la journée, quand je veux à la fois faire des documents, je rentre un nouveau client, je le convertis directement sur le CRM, je fais un point avec mon associé, j'ai directement toutes les informations sur le tableau de bord, je veux sortir un client du cabinet, il reçoit automatiquement le mail de fin de mission, le courrier de fin de mission, il veut faire une demande de remise grave, c'est-à-dire qu'en fait sur tout ce qui n'est pas prod et stockage, Tout est sur KBO.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Tu vas me répondre à la question suivante qui est pourquoi c'est aussi important d'avoir un CRM dans un cabinet alors que nombreux de nos confrères, ils n'en ont pas. Pourquoi, toi, tu me dirais, il faut absolument le prendre ?

  • Aryé BISMUTH - invité

    Il y a beaucoup de confrères qui fonctionnent avec des tableaux Excel. Beaucoup qui fonctionnent sur des sheets, sur des drives, etc. avec des tableaux Excel. c'est une organisation qu'on avait au tout tout début, avant d'avoir KBO, et qui fonctionne quand vous êtes vraiment dans un environnement où vous êtes soit en freelance seul, ou soit avec un collaborateur, et que vous maîtrisez, on va dire, vous maîtrisez encore tous les dossiers en direct, etc. Et même, en réalité, la réflexion est même, parce que... On ne gagne pas en visibilité, on doit à chaque fois recouper un peu les informations financières qu'on a sur d'autres Excel, on doit mettre à jour sur différents endroits, etc. Donc, pour répondre à la question... le premier avantage, c'est le gain de temps. Clairement, on gagne du temps. Et du temps, c'est la denrée la plus rare d'un expert comptable. Je le dis souvent, et ça peut étonner certains cabinets, mais aujourd'hui, on est 20 collaborateurs. On a fait par exemple 300 formalités de création en une année. J'avais mis un post sur LinkedIn sur lequel j'ai envoyé un screen de l'état d'avancement de l'INPI. Et on n'a pas de collaboratrice juridique. On n'a pas de collaboratrice juridique. Les formalités sont faites directement par les collaborateurs. ou directement par les experts fondables. À la nuit, ce qui prend le plus de temps, c'est remplir sur l'Inpi et faire la publicité dans le journal d'annonce légale. Mais voilà, ça veut dire que le rythme et la réactivité, surtout par exemple sur la création de société, en réalité, c'est une phase de round avec le client. C'est une phase de round dans laquelle on va se tester avec le client. Le client va tester un peu notre réactivité. C'est une phase où le client apprend à nous connaître et ça donne tout de suite une super bonne impression. Quand vous montrez que sur la phase de création de société, quand vous envoyez les documents, etc., vous êtes réactif, même sur un changement ou sur d'autres choses, là, il voit tout de suite que le cabinet est réactif et donc, quelque part, je peux compter dessus. Donc, le premier point, c'est vraiment le gain de temps. Vraiment, on peut faire l'économie d'un poste, on peut gagner beaucoup de temps pour pouvoir le consacrer à d'autres missions. Et le deuxième avantage, c'est vraiment avoir la vision globale. Si tu veux, tout à l'heure, je t'ouvrirai mon tableau de bord. une minute comme ça pour que tu puisses te rendre compte, mais on a vraiment un tableau de bord sur lequel, en fait, je n'ai pas besoin de me dire, attends, ce tableau de bord, il tient compte de ça, mais j'ai autre chose également aussi dans d'autres, ah, ça, ça n'a pas été pris en compte, etc. J'ai un tableau de bord où j'ai le chiffre d'affaires théorique, le chiffre d'affaires facturé, j'ai l'évolution des portefeuilles par collaborateur, en volume et aussi en euros, en nombre de dossiers. Je sais ce qui a pris le plus de temps dans une mission, est-ce que c'est la saisie ? tout au long de l'année, ou est-ce que c'est au moment du bilan ? Et vraiment, on a une vision globale, et on peut prendre des décisions stratégiques sur, par exemple, s'il y a des experts comptables qui utilisent des solutions marketing pour avoir des clients, ils ont tout de suite, en instantané, sur la période souhaitée, le graphique de l'origine des clients, est-ce qu'ils proviennent plus d'acquisitions sur les réseaux sociaux, est-ce qu'ils proviennent de bouche à oreille, est-ce qu'ils proviennent d'autres applications, etc. Donc c'est vraiment pour ce côté de se dire, en fait, quand je suis dessus, je sens que je maîtrise.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Et du coup, derrière, est-ce que c'est en instantané ? Je veux dire, là, on fait l'enregistrement le 25 juin, je peux savoir où t'en es sur les dossiers. C'est pas quelque chose que tu vas faire comme on vous habitude, l'Excel, on n'a pas le temps, faire une extraction, on va le regarder deux fois dans l'année, pour vraiment être sûr.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Attends, je peux te partager mon écran ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Ouais, vas-y.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Tu vois, par exemple, là, sur le cabinet, tu vois ? Là, tout de suite, sur mon tableau de bord, je peux calculer mon chiffre d'affaires théorique, mon chiffre d'affaires réel. Je sais combien de prospects il me reste à convertir, combien de clients en cours. je peux voir mes performances, je peux voir aussi l'évolution des portefeuilles par collaborateur en volume et en euros, je peux voir d'où viennent mes prospects, je peux avoir un filtre sur l'avancement comptable, bon tu vois on n'est pas très à jour encore sur 2024, mais voilà, on peut voir combien de dossiers ont été, en fonction des différents statuts, etc. Et en fait ce tableau de bord, c'est qu'une partie... de la synthèse de toutes les informations qu'on peut avoir. Donc ça veut dire que c'est pas qu'un outil sur lequel je vais devoir renseigner des éléments et sur lequel ça va me sortir un tableau de bord. Ça se fait automatiquement parce que le KBO aujourd'hui gère tous les aspects du suivi, suivi comptable, suivi fiscal, suivi de l'avancement des formalités juridiques, il gère toute la facturation, il gère tout ce qui est lié. à la prise en main d'une mission, un début de mission, une fin de mission. Donc voilà, j'ai arrêté de partager l'écran. Mais c'est pour te montrer une idée en fait, où je ne suis pas dans ce truc de dire, je dois alimenter pour avoir un visu. Je l'ai en instantané, uniquement parce que les collaborateurs l'utilisent. c'est vrai que souvent le frein quand vous mettez un CRM en place dans un cabinet c'est de se dire il y a peut-être des collaborateurs ça leur fait un outil en plus je sais pas si t'as déjà eu le cas de...

  • Florian DUFOUR - Hôte

    si si c'est toujours cette problématique c'est que l'une des limites c'est qu'il faut que derrière les collaborateurs renseignent l'information et considèrent que cet outil en plus va les aider à gagner du temps et pas être un outil comme le millefeuille qui te fait perdre encore du temps parce qu'on en a 50

  • Aryé BISMUTH - invité

    En fait, je suis d'accord, mais pour qu'un collaborateur utilise ce logiciel, il faut qu'il y trouve son gain et son intérêt. Et en fait, très souvent, le logiciel est... est très rapidement plébiscité par les collaborateurs. Les collaborateurs directement eux-mêmes, parce qu'eux-mêmes, ils ont un gain dans leur travail, dans leur exécution de mission. Je vais te donner un exemple. Par exemple, sur quoi là ? Tu peux renseigner les temps. Tu as une fiche de temps sur laquelle tu peux renseigner, etc. Je sais que le cabinet où je travaillais, c'était quelque chose, c'était un peu une tâche. que moi j'ai la vérité que j'aimais pas faire parce que je voyais pas et je voyais pas la valeur ajoutée c'était pour donner à ton supérieur en fait c'était uniquement le côté flicage tu vois dans kbo dans kbo par exemple on a le la saisie des temps se fait via un calendrier Donc imagine que tu as un rendez-vous avec un client, tu notes sur ton calendrier, ça va tout de suite automatiquement se remplir. Donc déjà, il n'y a pas cette double saisie entre ton calendrier partagé et la saisie des temps. Ça c'est la première chose. Et aussi la deuxième chose, c'est que le collaborateur, nous par exemple on leur laisse accès au suivi de mission, sur lequel on budgétise le temps de mission, et sur lequel le collaborateur voit le temps qu'il a renseigné. et sur lequel le collaborateur de lui-même peut dire Attends, attention, c'est un dossier qui a un peu dérapé. ok et je vais aller donc en fait il y a un intérêt pour le collaborateur de l'utiliser parce que ça permet des fois il y a des collaborateurs ils sont venus me voir ils m'ont dit regarde mon portefeuille aujourd'hui il a évolué très peu mais en terme de volume regarde voilà j'étais édité une fiche parce qu'on peut éditer la fiche des temps passés etc c'est pas forcément sur la gestion mensuelle mais c'est vraiment sur le bilan, ça nécessite, voilà, il y a beaucoup de choses à vérifier, etc., et c'est plutôt sur cet aspect-là que tu dois retravailler avec le client. Et en fait, le collaborateur, il... on va se dire la vérité, il connaît le montant que le cabinet, il facture les honoraires, et il sait le temps qu'il peut y passer ou pas. Et des fois, c'est vrai qu'il y a cette gêne du collaborateur de passer beaucoup de temps dans un dossier, qui le mérite, sur lequel il doit passer du temps, mais parce qu'il sait que le budget est limité. Et le fait d'ouvrir au collaborateur cette possibilité de se rendre compte, ok, on a prévu tant de temps, il y a plus de temps qui ont été passés, ok, il faut qu'on voit, il faut qu'on fasse un point avec le client, pour que tu aies peut-être plus de temps. pour bien faire le dossier, pour que tu aies plus le temps d'analyser les choses et pas d'être vraiment de subir, c'est comme ça que j'appelle moi, de subir le dossier, etc., en fait, les collaborateurs le prennent très bien.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Ça permet aux collaborateurs d'avoir une visibilité. Et moi, je voulais te poser une question, c'est toi, en tant que chef d'entreprise et responsable d'un cabinet, est-ce que ça t'a permis d'avoir cette visibilité, on va dire, tous les jours au lieu d'attendre un an, de mieux gérer ton cabinet, de dire, tiens, je vais pouvoir anticiper, il va falloir que j'embauche ?

  • Aryé BISMUTH - invité

    Tout à fait. Tout à fait. Tout à l'heure, je t'ai montré dans le tableau de bord, on a par exemple des pics des fois de prospects. On sait qu'après la période fiscale, on a beaucoup de créations de sociétés qu'on a fait depuis 2-3 mois sur lesquelles on doit fixer pas mal de rendez-vous avec les clients. Et là, par exemple, je sais que si j'ai 50-60 clients en attente... je sais que tout de suite je peux embaucher et je peux en 2-3 mois constituer un portefeuille neuf pour un collaborateur donc en fait je vais pas être dans la phase où je vais recevoir les clients me dire attends on va voir dès qu'il y a suffisamment je recrute ou je vais mal les disperser en attendant etc, non je sais qu'il y en a 60 je peux lancer une annonce pour chercher un collaborateur par exemple pour la rentrée et à partir du moment où je me laisse deux mois pour verrouiller le portefeuille, comme ça quand le collaborateur arrive, c'est un portefeuille clé en main.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Est-ce que tu as des experts comptables qui ont pris ta solution chez KBO ? Et derrière, ils sont venus vers toi en disant qu'il y a une grosse différence, ça me permet de mieux gérer le cabinet au quotidien ou en période fiscale ?

  • Aryé BISMUTH - invité

    Il faut savoir déjà que KBO, quand on a commencé à le développer, on a mis presque deux ans et demi. pour avoir le premier cabinet qui utilise la solution. Au début, c'est une solution qu'on a pu autofinancer. Je ne cherchais pas forcément, et aujourd'hui aussi je ne cherche pas la rentabilité, etc. Je cherchais à avoir des retours cabinets, parce que pendant trois ans, on va dire presque trois ans, c'est vrai qu'il y a beaucoup de cabinets, d'ailleurs j'en profite de cette interview pour les remercier, mais on a participé à tous les salons, on avait un stand, etc. et sur lequel à chaque fois... chacun a amené sa vision, une amélioration, ça peut être des améliorations très mineures, je te donne un exemple, sur le suivi fiscal, tu as le filtre classique en fonction, pour la TVA, du régime de TVA, etc. Nous, à Paris, SRL, SAS, 17, 19, 24, c'est-à-dire que 17, 19, 21, 24, donc bon, on les connaît les dates. Il y a un cabinet qui m'a dit, ben non, moi je gère des entreprises, je crois que dans le monde agricole, sur lequel des fois il y a des TVA le 5 ou le 10, sur un système différent, il m'a dit, ça serait bien, là je te donne un exemple mineur, mais il m'a dit, ça serait bien que tu aies une colonne, en plus, sur lequel on peut rajouter le jour, le jour de la date limite de déclaration. en une demi-heure, le développeur il a développé et c'était mis à jour. On a des cabinets qui m'ont dit, je te donne un exemple, j'aimerais bien avoir par exemple, la réflexion sur la saisie des temps, que tu peux saisir des temps pour la mission ou pour le bilan, c'est un cabinet qui nous l'a dit. Il nous a dit, c'est vrai que nous on avait l'habitude de regarder au global, il disait non, non, moi j'aimerais bien. Et en fait, la solution, on l'a construite, non pas à travers notre prisme. de nous, cabinets parisiens, etc. Mais à travers trois ans de retour, de visio, d'écoute, de rendez-vous, etc. avec d'autres confrères, de la même génération, mais aussi d'autres générations, etc. Et qui nous ont permis d'améliorer, d'améliorer la solution. Et je peux dire qu'aujourd'hui, depuis, on va dire, bien un an, on a une solution. Alors, elle est toujours en évolution, il y a toujours des mises à jour, etc. Mais qui est... je peux le dire sans prétention, qui est quand même aboutie. C'est-à-dire sur lequel, en termes de fonctionnalité principale, ça aboutit. Donc voilà, mais c'est-à-dire que ça ne s'est pas fait, ce n'est pas quelque chose sur lequel on est venu avec un plan, on a dit ok, on doit le faire, à telle date, on doit le commercialiser. Non, au début, c'était beaucoup de... Et vraiment... beaucoup, beaucoup de lindines, de personnes qui avaient entendu parler etc et c'est ça qui fait la beauté du métier parce que c'est des choses qui se construisent avec des confrères et vous voyez qu'à chaque fois un autre cabinet il a une autre façon, une autre méthode par exemple il y a une il y a quelque chose que je pourrais pas accéder mais un cabinet m'avait dit moi ça serait bien que par exemple quand il y a marqué payé, c'est un exemple, mais quand il y a marqué payé dans votre, par exemple, j'ai payé telle taxe pour un client, que ça aille vérifier sur le compte bancaire du client, parce que ça a été vraiment payé ou pas. Bon, on l'a noté quelque part, ça ne fait pas partie pour l'instant, en tout cas, des priorités de développement, mais ça veut dire que en fait, c'est vraiment ces retours qui enrichissent la solution et qui font qu'aujourd'hui, c'est une solution Moi, le meilleur compliment que m'avait fait, pourtant on avait un stand de 20 mètres carrés, je crois que c'était à Montpellier, c'était waouh C'est-à-dire que vous avez un stand qui n'est pas à la hauteur de la solution que vous proposez, etc.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Après, ton objectif, c'était plutôt pour toi, ton cabinet, et là, c'est de partager, donc c'est super bien. Il y a deux choses que je voudrais revenir avec toi, c'est sur les avantages. Il y a une chose importante, je trouve. c'est le fait d'automatiser les choses. Souvent, on perd énormément de temps à retaper des noms, des sirètes à gauche et à droite. Et la seconde, la fiabilité des données. Le fait que le problème, c'est qu'on a 50 Excel et que des fois, ce n'est pas fiable. La donnée n'est pas à jour, ainsi de suite. Est-ce que tu veux bien me remonter des infos là-dessus ?

  • Aryé BISMUTH - invité

    Exactement. Je vais te dire que je donne un exemple. Ce matin, j'ai fait une augmentation de capital d'un client. par exemple, j'ai fait le PV, et tout de suite après, il y a la possibilité de cliquer sur KBO et de mettre à jour le client. Donc ça me permet d'avoir des statuts mis à jour, mais ça me permet que toutes les informations juridiques futures que je vais faire sur ce client vont être en cohérence justement avec la modification que j'ai effectuée. Et le problème d'un Excel, c'est que un Excel, à terme, chacun l'utilise un petit peu à sa sauce. Chacun met les... Voilà, va mettre des notes, va mettre des commentaires. Par exemple, pour parler du Excel, puisque on peut prendre des exemples vraiment concrets et qui peuvent parler aux auditeurs, par exemple pour la TVA. La TVA, dans les tableaux dans les cabinets, c'est fait, affaire ou pas fait, ou une croix et pas de croix. Bon, sur KBO, vous pouvez renseigner un bon temps. ok donc déjà moi quand je fais ma tva là du mois de quand on a fait la tva du mois de mai j'ai en visu les montants qui ont été payés sur janvier février mars abril donc tout de suite en rouge quand c'est payé en verre quand ça en crédit donc tout de suite ça permet d'avoir une idée de ce qui a été payé ou pas ensuite il y avait souvent des fois on fait une tva le client il est peut-être pas prévenu et c'est là vous avez la possibilité tout de suite dès que vous avez renseigné le montant d'envoyer un mail automatiquement aux clients comme quoi qui va être débité de tel ou tel on a fait une demande de remboursement de tel ou tel montant de TVA et ensuite vous pouvez afficher les missions qui sont en cours, suspendues ou annulées donc ça veut dire que des fois imaginez que demain vous avez un collaborateur qui est malade il va arriver sur les TVA de son collègue pour les faire à sa place etc il va pas comprendre pourquoi certaines TVA ne sont pas faites depuis plusieurs mois par exemple. Pourquoi ? Parce que la mission est annulée, mais qu'il n'a pas eu le temps de voir en période fiscale avec l'expert comptable pour qu'il supprime la ligne. Donc au final, sur 30 TVA à faire, il en a toujours 5 ou 6 qui sont vides, mais parce qu'il y a une raison derrière. Vous voyez ce que je veux dire ? Et là, ça permet tout de suite, c'est-à-dire que tout le monde, on a le même dénominateur commun, tout le monde utilise le même outil, tout le monde consulte le même historique. En fait, on rationalise un peu le process. au niveau du travail et du fonctionnement, ça permet de gagner du temps, avec des envois automatiques de mail, etc. Mais ça permet aussi d'avoir une donnée qui est fiable. Combien de fois, par exemple, on faisait des dépôts de comptes annuels avec des adresses alors qu'il y a eu un transfert de chaise sociale, par exemple. parce que la collaboratrice n'avait pas eu... Mais parce que voilà, quand il y a un transfert de dossier social, il faut mettre à jour sur le logiciel, il faut mettre à sur la facturation, il faut mettre à jour, il faut mettre à jour, il faut mettre à jour. Et donc au final, s'il n'y a pas un process clair, une boucle qui est faite, etc., bon déjà ça prend du temps, mais quand bien même elle serait faite, ce n'est pas toujours fiable.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Bien sûr. Et surtout derrière, souvent c'est que toute la donnée est dans le collaborateur et quand le collaborateur est par là, on ne sait pas trop sa manière de faire. Là, ça te centralise et en fait, tout le monde est un peu au courant. Donc, c'est génial, ça.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Aujourd'hui, un bon collaborateur comptable, un collaborateur qui va avoir aujourd'hui la saisie, elle est quasi automatisée, etc. Ce qui va faire la différence, c'est l'appréhension du dossier. vous donnez un dossier dans le e-commerce, il va savoir où chercher, où cliquer, se poser en même temps les problématiques de TVA, s'il y a différents taux de TVA, se poser les problématiques, et il va savoir, donc il y a un chemin sur lequel il va pour atterrir sur un export qui retravaille, etc. Ce qu'on a mis, par exemple, sur KBO, et c'est vrai que des fois, quand vous passez d'un collaborateur à un autre qui passe un portefeuille, ou des fois, il y a un qui n'est pas présent, le temps de se dire, attends, où il va chercher ses ventes, où est-ce qu'il met les identifiants et les mots de passe, et une fois qu'on a les identifiants et les mots de passe, où est-ce qu'il voit comment il arrive à différencier sa TVA 5.5 et sa TVA... Comment il s'y prend ? Il peut perdre énormément de temps, donc ça va créer de la frustration chez le collaborateur. Là, vous avez des identifiants et des mots de passe que vous pouvez enregistrer, donc comme une petite base de données, d'identifiants et de mots de passe, on va dire, pas sensibles, des mots de passe de logiciels, d'applications, etc., qui permettent de récupérer des données comptables. et vous pouvez mettre des notes ou vous pouvez mettre même à on a laissé mettre la possibilité de mettre des pièces jointes des petits tutos sur lequel en fait il va mettre où est-ce qu'il clique, où est-ce qu'il met etc et sur lequel en fait le collaborateur il a juste à se connecter sur le client voir les identifiants et mots de passe et tout de suite voir les notes qui ont été laissées par rapport à ça et l'information est centralisée, c'est à dire que moi les collaborateurs il n'y a pas un document qui traîne dans le bureau de l'ordinateur ou sur lequel de en local ou sur un cahier sur lequel il met la manip là tout est centralisé au même endroit et encore une fois le but c'est qu'on gagne en fiabilité et on gagne en temps on le voit souvent moi j'avais eu le cas dans un cabinet où la

  • Florian DUFOUR - Hôte

    collaboratrice, on était le vendredi soir et puis elle partait en vacances et puis en fait elle avait une proposition auprès d'un client Elle a dit bon j'appellerai le cabinet lundi. Entre temps elle est partie en vacances, elle ne se rappelait plus. Le client entre temps appelle, l'expert, l'expert ne savait pas. Du coup en fait il y a une perte d'information. et puis même si elle l'avait marqué sur une feuille dans le bureau il serait peut-être pas venu le voir l'expert donc là ça te permet de te sensibiliser tu ouvres le dossier,

  • Aryé BISMUTH - invité

    tu sais que t'as une note ah tiens il y a ça ça ça ça même si elle est pas là au moins tu peux répondre à ton client t'es informé c'est exactement ça il y a un historique il faut savoir qui s'enregistre automatiquement sur chaque dossier quand on envoie des mails ou quand on met à jour etc on peut voir ce que chacun a fait on peut aussi euh C'est vrai que des fois, vous avez des cabinets, sur la période estivale, vous avez des stagiaires, des alternants qui viennent. Et en fait, par un stagiaire qui est là pour deux mois, vous savez, des fois, sans faire exprès, par mégarde, il peut supprimer des trucs. Sur un tableau Excel, on avait eu ce problème, etc. Là, il y a une gestion des droits qui fait que quand vous créez un collaborateur, vous pouvez tout de suite ce collaborateur. lui donner des accès sur lesquels vous pouvez lui permettre uniquement de consulter ou ne rendre pas du tout visible certains aspects un peu touchés, etc. Et ça permet aussi une fiabilisation par rapport à ça, parce que c'est vrai qu'on est continuellement attaqué en tant que cabinet.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    parce que voilà on a des mots de passe impôts gouffres en tout cas moi les impôts gouffres perso je les stocke nulle part parce que c'est relié à France Connect et ça ouvre après trop de choses et même j'avais eu un client qui avait eu une tentative sur une demande de remboursement de TVA sur un impôt gouffre pro du coup puisqu'il avait son propre espace etc, donc ça veut dire que la sécurité c'est une notion qui est super importante et le fait de pouvoir cloisonner comme ça c'était aussi un des objectifs de KBO, un collaborateur qui a accès à tout un Excel ou un stagiaire qui a accès à tout un Excel que ce soit en termes de sécurisation ou même sans faire exprès des fois il peut supprimer et pas revenir ou pas stocker etc et ça peut être une catastrophe pour le cabinet

  • Aryé BISMUTH - invité

    Les CRM, donc moi je suis d'accord avec toi, c'est obligatoire, il faut aller en mettre un. Par contre, est-ce que c'est possible de mettre un CRM chez tous les cabinets ? Est-ce qu'on peut dans un tout petit cabinet ou il n'y a pas d'utilité ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Nous, on a un expert comptable qui est même en freelance qui utilise notre solution, qui utilise notre CRM et que ça se passe super bien parce que lui-même, ça lui permet de... Lui, ça va être moins sur la vision globale et encore, mais ça va être surtout sur le gain de temps. il ne peut pas encore pour l'instant avoir une secrétaire juridique, mais ça lui permet d'aller 3-4 fois plus vite sur le juridique récurrent. Il a des modèles de courrier, parce que vous pouvez aussi personnaliser certains modèles, etc., de courrier et d'attestation. Hop, hop, hop, il se met ses modèles, et ensuite, quand il y a un client qui lui demande une attestation, il est même à l'autre bout du monde, il peut tout de suite lui sortir une attestation, on lui envoie une aide de mission. Ça va lui faciliter son onboarding. Et surtout, nous, on a voulu avoir des tarifs les adhésions qui sont par exemple un jeune expert comptable qui se lance la première année il va payer en illimité la solution 49 euros par mois donc c'est 99 jusqu'à 50 dossiers 49 euros par mois donc des prix des fonds qu'on serait que j'avais comparé avec certaines solutions juridiques qui existait sur le marché en fait notre solution juste avec une solution juridique, elle était déjà moins chère qu'une solution qui faisait uniquement le juridique. Alors que là, il y avait tout un panel de choses. Et moi, je conseillerais encore plus un expert comptable qui est en freelance et qui se lance. parce que tout de suite, il met les bases pour un cabinet sain, fiable. C'est vrai que justement, la problématique, quand on a dû intégrer des fois des cabinets qui avaient 500, 600 clients, voilà, ça se fait, ça se fait bien, on met une personne à disposition, mais ça prend du temps, il faut former des collaborateurs, des fois vous avez un peu de résistance aux changements, etc. Donc ça se fait, mais ça ne se fait pas aussi facilement que quelqu'un qui est en freelance, qui connaît parfaitement la solution, et que quand il va embaucher ses premiers collaborateurs ou quand il va commencer à travailler, ben voilà.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Mais moi je pense comme toi, un CRM ça doit être adapté un petit peu à tout le monde, c'est juste qu'on va dire, on ne va pas le voir de la même manière, tu prends celui qui se lance ex-Nilo, lui ça va permettre d'automatiser, je veux dire la gestion du mail, gagner du temps et de centraliser. la grande entreprise ou le gros cabinet c'est parce qu'on a de la déperdition sur tout ce qui va être les données on ne sait pas si le collaborateur a bien transmis ça permet en fait à la groupe au codire ou à la tête de groupe d'avoir une meilleure gestion en instantané dans tous les cas il n'y a que du positif je vois ou est-ce qu'au contraire tu pourrais me dire certaines limites t'aurais pu voir des retours de cabinet ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Non les limites ça va être des cabinets qui font nous s'adapter aux cabinets qui font déjà de l'expertise comptable Ok, un cabinet qui aurait quelques dossiers en expertise et vraiment d'autres dossiers en commissariat, etc., la solution apparaît toujours moins pertinente. Ou quelqu'un qui serait en mission, en DAF un peu, en freelance, etc. ce n'est pas quelque chose qui serait adapté.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Pour le social, tu le gères ou pas dedans ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Alors, le social, comment ça se gère ? En fait, tout le monde connaît le fameux tableau de suivi social sur lequel les collaborateurs sociaux renseignent le nombre d'articles qui sont faits, combien de sujets de paye, combien de contrats de travail, etc. Le gain sur le social qu'on va avoir, au-delà des documents de remise, etc., ça va être que les informations sociales, les variables sociales, s'intègrent automatiquement dans la facturation. Donc il n'y a pas besoin tous les mois de rentrer sur la facture et de devoir mettre une fiche de paye, trois fiches de paye, quatre fiches de paye, etc. en tenant compte du prix catalogue du cabinet, mais sur lequel, au moment de la lettre d'émission, on a pu faire des personnalisations avec le client. Donc il n'y a plus cette réflexion de se dire J'ai une connerie, la fiche de paye est à 25 euros, mais ce client, c'est une fiche de paye galère. Bon, il y a une exception, il paye 30 euros. le bulletin. Non, là vous le renseignez une fois les 30, et à chaque fois que vous allez mettre les variables, il va venir interroger la lettre de mission, et il va venir tout de suite remplir la facture.

  • Aryé BISMUTH - invité

    T'es sûr de ne pas te tromper au moins ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Et il n'y a pas d'oubli. En fait, parce que ce qui se passe dans la plupart des cabinets, c'est que vous avez une secrétaire qui retape le suivi social, elle le retape sur la facturation.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Oui, c'est ça. Et toi, au niveau du secrétariat, du coup, tu as un gain de temps énorme.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Énorme. On a une seule assistante de direction au cabinet. qui fait à la fois la facturation du cabinet, à la fois la relance des fois des prélèvements, qui fait aussi du juridique, qui est un peu un couteau suisse. Et en fait, on en avait une il y a trois ans, et on en a toujours une aujourd'hui. Et justement, si on peut se faire cette... normalement on aurait dû si le cabinet double tu doubles automatiquement en réalité avec les outils qui ont été mis à disposition et développés aujourd'hui on a une seule personne et je crois qu'aujourd'hui elle est moins débordée que ce qu'il y a il y a 3 ans mais tant mieux c'est juste parce qu'aujourd'hui elle est beaucoup plus dans la vérification le contrôle plutôt que dans la production en soi

  • Aryé BISMUTH - invité

    Moi, il y a une limite qui ressort souvent pour accompagner certains confrères du CRM, c'est les collaborateurs, la formation des collaborateurs sur l'outil. Qu'est-ce que tu en penses ? Qu'est-ce que tu pourrais nous donner comme des bons tips pour aider à utiliser ton outil KBO ? Est-ce qu'il faut le mettre directement dessus et tu te débrouilles ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Non, alors la solution est très intuitive. C'est une solution en SaaS qui est très intuitive. Maintenant, c'est vrai que nous, on fait une présentation globale. mais après on fait une formation adaptée. On ne fait pas la même formation au collaborateur comptable, au pôle juridique et à la personne qui l'utilise sur le social. Donc on fait une formation adaptée sur l'outil, sur les parties que la personne va devoir utiliser. et en ayant une approche sur laquelle on va surtout parler du gain que le collaborateur va avoir, plutôt que des conséquences hautes sur le logiciel. Et en fait, le retour qu'on a, c'est que, très clairement, quand aujourd'hui en un clic vous pouvez relancer tous vos dossiers le 5 du mois pour mettre à jour les pièces en un seul clic, quand vous pouvez faire des courriers de demande de remise gracieuse, vous pouvez faire en... en vraiment quelques secondes, quand vous pouvez réutiliser des modèles sur lesquels vous avez juste à renseigner les variables, etc., le collaborateur voit son gain et du coup, son travail d'analyse, etc., est beaucoup plus valorisé que le travail où il va prendre un document Word et il va devoir faire un remplace ou il va devoir regarder sur la matrice, etc. Donc, l'adhésion des collaborateurs, elle se crée... en montrant aux collaborateurs le gain clair qui va être fait sur l'outil, avec une utilisation de l'outil.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Est-ce qu'il faut, quand chaque cabinet est déjà en place, est-ce qu'il y a un petit travail à faire avant le retraitement de données, pour avoir la bonne donnée à mettre dans le CRM, et est-ce que c'est un projet qu'on peut suivre en période fiscale, ou est-ce qu'il vaut mieux le démarrer hors période pour toi ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    avril-mai je pense que c'est compliqué pour les cabinets j'ai jamais eu de cabinet qui ont fait des et quoique c'est vrai que j'ai eu Kadidja qui était venue te voir dans ton précédent podcast elle est très organisée donc elle a réussi à faire un onboarding en plein mois d'avril il y a des challenges ouais non en fait c'est vrai qu'on dit souvent la période de croissance d'un cabinet c'est souvent de juin à décembre c'est la période dans laquelle on peut vraiment se projeter sur les évolutions, prendre le temps, c'est d'ailleurs la même aussi la période du recrutement, etc. La période de février à avril, mais alors je sais qu'il y a des experts comptables qui sont beaucoup plus organisés que nous, mais bon la réalité fait qu'aujourd'hui un expert comptable, c'est vrai qu'il y a certains post-linkedin où vous avez des experts comptables qui vous expliquent qu'ils ont pris... trois semaines de vacances en plein mois d'avril et qui font ça parce qu'ils sont super bien organisés. Aujourd'hui, la réalité, quand vous discutez avec des confrères, c'est que vous avez deux ou trois mois dans l'année où vous êtes chargé et sur lequel, malheureusement, vous ne pouvez pas vous occuper d'intégrer de nouveaux outils, même des fois d'intégrer de nouveaux clients. Et voilà, mais tout dépend de l'organisation. Il y en a beaucoup qui ont profité de l'été pour le prendre en cours ou de la rentrée. Il y en a beaucoup sur lequel vous avez préparé en novembre-décembre pour qu'au 1er janvier, ça soit, paf, dimitré.

  • Aryé BISMUTH - invité

    On va parler du prix. Beaucoup vont dire tout le temps Ah bah, c'est un outil supplémentaire et ça va être cher pour ce qu'on va en faire. Qu'est-ce que tu penses ? Est-ce que ce n'est pas plutôt un investissement parce qu'au final, tu risques, comme tu me l'as dit, de gagner énormément de temps ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Déjà, pour le prix, Moi, j'ai une réflexion personnelle. Je n'ai aucun problème de payer à partir du moment où je vois un gain en termes de temps. Parce que notre temps, il est valorisé à un certain prix qui est souvent supérieur au coût d'un outil classique, etc. Alors, ça fait un outil supplémentaire, mais le KBO a la prétention de supprimer d'autres outils. et de pouvoir les centraliser en un seul endroit. C'est-à-dire que KBO va permettre, aujourd'hui le cabinet ne va plus utiliser son système de facturation, si elle le passe sur KBO. Ça va permettre de pouvoir, si elle utilise le juridique sur KBO, de supprimer un outil qu'elle paye, un abonnement pour le juridique, etc. Donc en fait, on va plus être dans un gain au niveau des outils qui sont faits, que ce soit sur les tableaux de bord, les lettres de mission, l'onboarding, etc. Et au final, pour un outil... vous en avez aujourd'hui l'équivalent de 4-5 en même temps et qui sont en même temps centralisés. C'est-à-dire sur lequel vous n'avez pas quand il y a un nouveau client, de le rentrer dans les 5 outils, quand il y a un client qui sort ou qui est modifié, de faire la modif ou de les supprimer dans les 5 outils.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Je voudrais que tu me donnes un conseil, ton conseil pour un expert comptable qui souhaite utiliser un CRM. Par où il faut qu'il commence en disant, tiens, j'ai écouté l'épisode, demain je me lance, on commence par quoi ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    En fait, la première chose qu'il doit faire et que je fais de toute façon, la première fois que je discute avec un expert comptable et qui est intéressé par KBO, c'est que je me dis, au niveau du premier point, c'est aujourd'hui, sur quoi il travaille, qu'est-ce qu'il utilise. c'est quoi le point de démarrage aujourd'hui qu'elle utilise comment sont entrées les données qui a accès voilà quelles sont les sources de frustration etc et à partir du moment où on sait pas on sait très bien moi j'ai moi j'ai des cabinets qui ont pris kbo il utilise de façon globale mais l'utilisent aussi et surtout pour le juridique ou pour le côté document un peu moins pour il y a des cabinets qui utilisent le suivi et les documents mais qui ne vont pas du tout l'utiliser pour la facturation parce que leur facturation est reliée à un outil type gocardless et qui permet en même temps de faire les prélèvements etc donc il ne faut pas se dire voilà aujourd'hui KBO m'intéresse, je suis forcément obligé de tout utiliser vous voyez ce que je veux dire ? Et le point de démarrage c'est faire le point sur l'existant, sur aujourd'hui, qu'elles sont les choses qui font perdre du temps en cabinet. Et à l'expert comptable également. et de se dire ok, à partir de ça, il prend contact avec moi, je ne fais pas la même démo à tous les experts comptables, j'adapte la démo justement en fonction de ses frustrations. Il y en a qui me disent par exemple dès le début, moi mon outil de facturation il est très bien, ok je sais que je ressaisis, j'ai écouté le postcast de Florian, je sais que je ressaisis les variables sociales, mais moi ça me permet d'avoir mon fichier pour les prélèvements et au final j'arrive à me débrouiller comme ça, etc. Par contre sur ça, ça m'intéresse. Donc ça veut dire d'ailleurs qu'on ne va pas perdre du temps à montrer des choses sur lesquelles en tout cas pour l'instant qui ne l'intéresse pas, mais surtout travailler sur les points sur lesquels on peut gagner du temps. Et souvent moi j'aime bien, je pose la question au client, en combien de temps tu fais ça, bah regarde-nous en combien de temps on peut le faire.

  • Aryé BISMUTH - invité

    C'est bien, tu permets de comparer ça. Je pense, comme tu le dis, une période d'audit, de regarder déjà qu'est-ce qu'on a, qu'est-ce qui pose problème, avant de faire la démarche benchmark, aller voir qu'est-ce qui existe en CRM.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Exactement.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Est-ce que tu aurais un dernier conseil à me donner ? Ou une chose que tu pourrais me rajouter sur le CRM en disant, quand même, ça, les cabinets, on ne peut plus se permettre de plus en avoir.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Alors, ça serait assez facile de parler de mon expérience personnelle, mais c'est vrai que souvent, en fait, comme moi, je ne suis pas éditeur de logiciel, je suis avant tout expert comptable. Les experts comptables, en fait, il y en a beaucoup, en fait, où une fois qu'ils m'ont parlé, je leur parle de moi, quelle était ma situation, et je leur montre aujourd'hui, avec KBO, en parlant de ma situation, de mon cabinet, aujourd'hui, combien un collaborateur arrive à gérer deux dossiers. combien de temps on peut faire certaines formalités juridiques, comment on arrive à relancer les clients, comment on arrive à faire super rapidement un onboarding complet sur un client, etc. Mais en fait, en me plaçant non pas du côté éditeur, mais en me plaçant du côté expert comptable. Et vraiment, ce n'est pas un slogan, mais aujourd'hui, on peut diviser par 3, par 4, par 5 le temps qu'on consacre à l'administratif en général, le temps qu'on consacre à la relance, le temps qu'on consacre à l'onboarding, à la mano, etc., en utilisant KBO.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Tu arriverais, en gros, à la question, est-ce que tu pourrais t'en passer et tu arriverais à faire le même niveau de mission, de chiffre d'affaires ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Impossible parce qu'on a un cabinet en croissance, donc on a une cadence qui est très élevée, que ce soit en termes de juridique, que ce soit aussi en termes d'onboarding de nouveaux clients. Aujourd'hui, par exemple, les onboarding clients, ils les font directement avec les collaborateurs. même si ça me prend 15 minutes, aujourd'hui, c'est quelque chose qu'ils font avec les collaborateurs, c'est les collaborateurs qui me font signer la lettre de mission, c'est les collaborateurs qui préparent directement la lettre de mission, qui préparent le mandat de prélèvement, qui préparent le budget, bien évidemment, une fois qu'on leur a indiqué, etc. Mais ça veut dire que pour un cabinet, surtout, qui est en croissance, et un cabinet qui n'est pas en croissance, mais qui veut vraiment rationaliser, gagner en visibilité, etc., je pense, en tout cas... si c'est un cabinet qui est surtout en expertise comptable avec des clients TPE, PME, etc. Comme la plupart, je pense, la grande majorité des cabinets. Mais comme je l'ai dit, un cabinet qui ne ferait que de l'audit ou du commissariat aux comptes, ou quelqu'un qui serait en freelance, en DAF, l'outil ne serait pas pertinent à ce niveau-là. Mais ça permet vraiment de gagner beaucoup de temps et de traiter toutes les demandes clients avec une rapidité. Et aujourd'hui, pour info, nous, dans un cabinet, on n'a jamais dépensé un seul euro en acquisition client. Si, il y avait juste Mia, la solution, je fais une dédicace à Eric Nidam, qui est une super solution avec laquelle on a travaillé sur moins d'une dizaine de clients. Aujourd'hui, le cabinet, on a 600 clients et on n'a jamais dépensé un seul euro en lead, en acquisition, en rachat de clientèle. Et qu'aujourd'hui, le plus dur, c'est d'avoir ses premiers clients. Et le conseil que je donnerais à un jeune expert comptable, c'est une fois que tu as tes premiers clients, que le bouche à oreille fonctionne bien, que tu mets les bons outils pour justement montrer à ce client que tu arrives à suivre son niveau de réactivité, parce que moi je pense que la clé d'un cabinet, c'est la réactivité, mais il faut avoir des outils pour intermer, sinon après on est submergé. et bien après ça peut aller très très vite parce qu'aujourd'hui c'est ce que les clients ils recherchent et voilà je pense que kbo peut aider à ça c'est un joli mot de la fin mais j'aimerais avant que on se laisse qu'on fasse un petit jeu c'est le jeu ceux ci ceux là pour je

  • Aryé BISMUTH - invité

    te donne deux alternatives et du petit lac elle te correspond mieux si tu veux bien merci alors est ce que tu préfères faire de la compta ou être sur ton logiciel de crm à à

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Je préfère être sur le CRM quand même. Mais je dirais les deux parce que des fois, on a besoin d'avoir un peu de technique. Ça fait du bien de se plonger dans les comptes. Mais aujourd'hui, un 25 juin, après une période fiscale intense, je prends beaucoup de plaisir à être sur KBO et à moins me connecter sur le logiciel comptable.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Tu es plutôt Insta ou LinkedIn, toi ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Les deux. LinkedIn le souci que j'ai avec LinkedIn c'est que pour beaucoup de jeunes experts comptables ça vend du rêve et je pense qu'il y a des personnes qui peuvent si quelqu'un va toute la journée regarder un feed LinkedIn idéaliser à l'extrême la vie professionnelle des gens que ce soit sur le salaire, sur le cadre de vie sur l'équilibre pro-vie perso et c'est de dire que finalement notre vie elle est pas non... il y a des experts comptables qui partent trois semaines en vacances au mois d'avril, qui font de la compta dans des Starbucks en buvant des cafés, etc. Alors que moi, je travaille en cabinet, etc. Je trouve que le problème que j'ai avec LinkedIn, c'est très intéressant, il y a beaucoup de contenu de retour très intéressant dans la profession, c'est que ça idéalise trop le côté. Et moi, j'aimerais avoir plus de confrères qui parlent de la réalité du métier de la profession, Mais le problème de notre profession, c'est que les personnes qui ont du temps, qui travaillent beaucoup, justement, ils n'ont pas le temps de faire des postes, etc. C'est vrai que Cadidia est une exception en la matière, mais c'est pour dire que, je dirais aux experts comptables, surtout aux jeunes qui se lancent, couper LinkedIn. Franchement, il faut couper LinkedIn, se concentrer sur son business et couper LinkedIn dans le sens où c'est bien pour avoir des relations pro, mais ne pas regarder et ne pas trop idéaliser ce qu'on peut voir parce que ça peut générer certaines frustrations et se dire à un moment donné qu'on n'est pas à sa place alors que la grande majorité de la profession ne correspond pas à ces standards esthétiques des réseaux.

  • Aryé BISMUTH - invité

    T'es plutôt chien ou chat toi ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Ni l'un ni l'autre, j'aime pas les animaux

  • Aryé BISMUTH - invité

    Comme ça c'est clair T'es plutôt costume cravate ou t-shirt jean ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Comment je suis habillé aujourd'hui ?

  • Aryé BISMUTH - invité

    Je vois pas la cravate

  • Florian DUFOUR - Hôte

    T-shirt mais toujours avec une veste T-shirt veste c'est une signature

  • Aryé BISMUTH - invité

    et la petite dernière tu préfères être en période d'été ou d'hiver ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    la question ne se pose pas mais c'est vrai qu'on a l'été on a la chance à Paris d'avoir l'hiver pendant l'été donc voilà jolie pirouette ça

  • Aryé BISMUTH - invité

    écoute on te remercie d'avoir passé une heure avec nous et nous faire voir que le CRM dans un cabinet d'expertise comptable c'est central et ça permet à beaucoup de confrères de pouvoir développer leur chiffre d'affaires de centraliser les données et continuer à faire ce super métier je te dis à bientôt merci beaucoup Florian Avant de se quitter, je vous invite à laisser un avis 5 étoiles sur votre plateforme d'écoute préférée et parler du podcast à vos confrères. J'en profite pour remercier mes partenaires qui, grâce à eux, me permettent de vous partager encore plus de contenu chaque mois. Merci, rendez-vous au prochain épisode !

Chapters

  • Présentation Aryé BISMUTH, Expert-Comptable et fondateur de CABEO (solution CRM)

    01:00

  • Les raisons du lancement de CABEO par Aryé

    06:07

  • Pourquoi un CRM est indispensable pour un cabinet d’expertise comptable

    09:12

  • L'impact du CRM sur la gestion cabinet

    17:57

  • Les avantages clés d'un CRM pour l’Expert-Comptable

    23:12

  • Le CRM est-il adapté à tous les cabinets d’expertise comptable

    31:04

  • Les enjeux pour intégrer un CRM (formation, prix, etc.)

    36:29

  • Comment mettre en place un CRM dans mon cabinet d’expertise comptable

    41:37

  • En apprendre plus sur Aryé avec le JEU "Ceci ou cela"

    47:46

Description

📌INFOS SUR L'EPISODE 

Aujourd’hui, je reçois Aryé Bismuth, Expert-Comptable et Cofondateur du CRM CABEO. Aryé a su transformer les défis de la profession d’expertise comptable en opportunités en développant un CRM spécialement conçu pour les cabinets d'expertise comptable. Au cours de cette conversation, nous explorons ensemble les avantages d'un CRM pour les experts-comptables, notamment le gain de temps, la fiabilité des données, et la centralisation des tâches. Aryé partage également des conseils pratiques pour intégrer un CRM dans votre cabinet, ainsi que des anecdotes sur l'importance de la réactivité et de la formation des collaborateurs. Un épisode incontournable pour tous ceux qui cherchent à optimiser la gestion de leur cabinet.


La durée de l'épisode est de 51 mins⏳.  


📚RESSOURCES 

Pour en savoir plus sur Arye et son CRM CABEO c'est par ici 😉 :


🚨MERCI AUX PARTENAIRES DE LA SAISON 3 (par ordre alphabétique) :

· AXONAUT 🔗pour la gestion interne du cabinet EC ;

· CLASSE 7 🔗édifie la communication des EC ;

· ECMA 🔗la solution digitale des EC ;

· SAGE 🔗la solution comptable des EC.


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Il ne me reste plus qu'une chose à vous dire : "bonne écoute" 🎧


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Bienvenue dans la troisième saison du podcast Marketing Cabinet comptable. Tous les 15 jours, je vous apporte des astuces marketing au travers d'interviews d'experts comptables. L'objectif reste inchangé, vous permettre de faire rayonner à votre tour votre cabinet. Alors, sans plus attendre, place à l'interview. Bonjour à tous, on se retrouve dans le 13ème épisode avec Aryé BISMUTH, où on va parler d'un... quelque chose qui me tient vraiment à cœur, c'est le CRM. Parce que je pense que le CRM, c'est le deuxième logiciel dans chaque prestation de service, ou même dans les entreprises industrielles. On a notre logiciel de production et derrière il faut un CRM pour tout gérer cela. Et donc j'ai eu la chance de rencontrer Aryé qui du coup va s'occuper, lui il est expert comptable et il s'occupe des CRM, il trouve que c'est très important donc on en profite. Bonjour, comment vas-tu ?

  • Aryé BISMUTH - invité

    Ça va et toi ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Ça va. Est-ce que tu peux te présenter pour les auditeurs qui ne te connaissent peut-être pas tous ?

  • Aryé BISMUTH - invité

    Alors, je m'appelle Aryé BISMUTH, j'ai 29 ans, on est sur Paris et on a créé un cabinet d'expertise comptable il y a 5 ans. Pour la petite histoire, à l'époque, en 2019, juste avant le Covid, mon associé et moi-même, on avait été les plus jeunes diplômés de la promotion. On a créé un cabinet, un an après à peine qu'on a été diplômés, donc c'est en 2019, sur la base de la réflexion de se dire, on va à un cabinet digital. mais on veut mettre l'humain et la relation client en centre. Donc, ce que je te disais tout à l'heure, c'est par exemple au cabinet, il n'y a pas de téléphone fixe, il n'y a pas de 0-1, c'est que des téléphones portables et des WhatsApp avec lesquels les clients peuvent communiquer. Même, on a une petite organisation, c'est quand un client a plusieurs sociétés, un grand groupe, etc., il a le droit d'avoir un groupe. un groupe WhatsApp, donc ça nous fait en même temps des conversations des fois des groupes WhatsApp sur lesquels il y a la collaboratrice sociale, le collaborateur comptable et l'expert comptable, et côté client, peut-être l'ARH, l'assistante de direction et le client lui-même. Et en fait, l'idée, c'est qu'on voulait vraiment qu'on dit que l'humain soit au centre, c'est pas juste qu'on va juste prêter attention à ce que le client nous dit, ce qu'un client recherche aujourd'hui dans un cabinet. au-delà du conseil, au-delà, parce qu'il y a plein de très bons experts comptables, etc. Mais il y a beaucoup de clients, quand ils viennent nous voir, le problème, c'est la réactivité. Et c'est ça, l'humain qui est au centre, c'est comme, aujourd'hui, par exemple, t'es dans quelle banque, Florian, à titre perso ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Là, moi, je suis à la CIC.

  • Aryé BISMUTH - invité

    T'es satisfait de ton conseiller ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Moi je le vois jamais

  • Aryé BISMUTH - invité

    Mais t'échanges avec lui par mail ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Ouais un petit peu par mail L'objectif moi c'est qu'on puisse avoir une réactivité Comme tu dis rapide, une petite question Qui me répondent assez rapidement Et si j'ai vraiment besoin, là on prend rendez-vous Mais c'est plus la réactivité qui est importante

  • Aryé BISMUTH - invité

    C'est exactement la même chose dans un cabinet C'est à dire que des fois on va juger une banque On va envoyer 4 mails dans l'année Mais sur les 4 mails qu'on va envoyer dans l'année Si le cabinet nous répond Ou si la banque nous répond rapidement On va dire ok ça c'est un cabinet qui est réactif, qui fait attention, etc. Si on te met deux semaines pour répondre, forcément ça va biaiser un petit peu le regard qu'on porte sur le professionnel. Donc en fait, le point de départ de la réflexion pour se dire on crée un CRM, il a été double, c'est-à-dire qu'on s'est dit à la fois on veut de la réactivité, donc au tout début c'était par rapport aux documents, donc que ce soit, il y a trois types de documents qu'on produit en interne au cabinet, il y a tous les documents juridiques. donc création, modification, dépôt des comptes, etc., sur lequel je ne voulais plus qu'il y ait de word qui soit pris, qui soit modifié. Il y a les documents, les attestations. En plus, pendant la période Covid, on en a eu beaucoup à faire, des attestations de chiffre d'affaires, des PV pour autoriser tel ou tel emprunt, etc., auprès des banques. Donc, il y avait tout ce qui est attestation, donc tous les documents qui sont signés par un cabinet. et tout ce qui est courrier, courrier d'état allemand, courrier de demande de remise gracieuse, les courriers de façon globale. Et donc on s'est attelé pendant un an, à l'origine c'était un CRM qui a été développé pour nous, pour nos besoins en interne, et en fait en avançant, plus tard dans la réflexion, on s'est dit en discutant avec d'autres confrères qu'on pouvait également aussi le proposer avec d'autres confrères. Donc au tout début KBO, c'était un CRM qui permettait de générer tous les documents du cabinet, pas que le juridique. mais aussi des documents et de façon extrêmement rapide. C'est vrai que la plupart des cabinets de notre taille, entre 5 et 20 collaborateurs, 90% du juridique qu'on fait par exemple, c'est du juridique classique, c'est du juridique récurrent, que ce soit sur des sessions, des transferts, etc. Donc, il y a d'autres solutions sur le marché, par exemple, qui proposent d'aller beaucoup plus loin dans les documents juridiques qui sont fournis. Et nous, l'idée, c'était déjà d'avoir le socle commun qui réponde à 90-95% des besoins. Et quand j'ai une transformation de GUE en SNC Affaires, dans ce cas-là, je passe par je reprends ma Intram Award et et que j'ajuste en fonction du cas. C'est de répondre à ses besoins et aussi d'avoir des documents qui puissent se produire super rapidement. Un autre exemple que je te donne, c'est quand un client vient au cabinet, en même temps que sur le logiciel qu'on remplissait les informations, qu'on définissait l'objet social des associés, tout de suite en finissant de remplir, Le client avait les statuts prêts et il y en a même, en 15 minutes, on faisait en même temps les statuts et en même temps, on ouvrait le compte sur Conto. Donc en fait, le client est sorti et disait Waouh, ça va vraiment super, super vite. Attention, ça c'est sur la phase production. Ça n'enlève pas toute la phase conseil, orientation qui est faite en amont. Mais c'est juste, il n'y a pas de délai pour produire des documents, pour donner un résultat au client.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Je me posais la question du coup, Tu as voulu créer toi-même ton CRM. C'est que ceux sur le marché, tu les trouvais peut-être pas assez adaptés aux experts comptables, mais tu es quand même un petit peu atypique. Tu as la vision de celui qui crée le CRM et tu as la vision expert comptable. Donc, tu sais un petit peu ce qu'on nous attend, nos besoins.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Oui. Alors, en fait, sur le marché... Bon, mis à part les attestations qu'on génère automatiquement sur KBO et les courriers, sur lesquels il n'y avait pas de solution, mais bon, après ça, tout existe déjà sur le marché. C'est-à-dire qu'aujourd'hui, vous avez de très bonnes solutions pour faire du juridique, vous avez de très bonnes solutions pour faire du suivi comptable. sur lequel vous avez des envois, des relances automatiques aux clients, il y en a même avec des API, avec des logiciels, vous avez des très bonnes solutions qui vont vous faire la facturation, qui vont vous générer les lettres de mission, les mandats de prélèvement, vous avez des très bonnes solutions qui vont calculer un boni ou un mali en fonction de ce que vous avez gagné, vous avez des très bonnes solutions pour la tise des temps, mais le problème... c'est que ça veut dire qu'à chaque fois que vous rentrez un client dans votre cabinet, vous devez déjà souscrire à 5 ou 6 offres, mais au-delà de ça, vous devez le rentrer dans 5, 6 plateformes, et demain vous avez un client qui part, il faut le sortir et il faut mettre à jour sur 5, 6 endroits différents, et des fois pour des solutions qui ne sont pas interconnectées entre elles, et je me suis dit, attends, c'est-à-dire quoi, demain j'ai un nouveau client qui vient. outils de production comptable et j'aide chacun son organisation, chacun son outil, c'est très difficile à remettre en cause. Mais après pour le reste, je dois avoir un logiciel de facturation sur lequel je dois renseigner mon client, je dois avoir un logiciel sur lequel je dois renseigner mes clients sur lequel je suis juridique, je dois renseigner mes clients sur un logiciel sur lequel je dois avoir mon suivi comptable, suivi fiscal, etc. Je dois avoir un logiciel aussi qui va me faire peut-être des tableaux de bord, des calculs de la rentabilité. Je me rappelle il y a 3 ou 4 ans au congrès à Bordeaux, il y avait un logiciel et je me suis dit quoi ? C'est-à-dire qu'à chaque fois que j'ai un client qui rentre et je dois le rentrer dans 6-7 endroits différents, il y a une modification. Non, c'est impossible. Donc, on s'est dit qu'en fait, on va faire une solution en SaaS vraiment très flexible sur lequel, en fait, le cabinet, ça ne remet pas du tout en cause son organisation, que ce soit stockage de documents. Donc, ce n'est un outil de stockage de documents et ce n'est pas en interaction avec l'outil de prod comptable. Par contre, Voilà, c'est ouvert et c'est sur lequel on va pouvoir faire aujourd'hui la facturation, l'analyse de la rentabilité du dossier. On a un tableau de bord et en fait, on a un endroit unique. sur lequel moi je passe beaucoup de temps dans la journée, quand je veux à la fois faire des documents, je rentre un nouveau client, je le convertis directement sur le CRM, je fais un point avec mon associé, j'ai directement toutes les informations sur le tableau de bord, je veux sortir un client du cabinet, il reçoit automatiquement le mail de fin de mission, le courrier de fin de mission, il veut faire une demande de remise grave, c'est-à-dire qu'en fait sur tout ce qui n'est pas prod et stockage, Tout est sur KBO.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Tu vas me répondre à la question suivante qui est pourquoi c'est aussi important d'avoir un CRM dans un cabinet alors que nombreux de nos confrères, ils n'en ont pas. Pourquoi, toi, tu me dirais, il faut absolument le prendre ?

  • Aryé BISMUTH - invité

    Il y a beaucoup de confrères qui fonctionnent avec des tableaux Excel. Beaucoup qui fonctionnent sur des sheets, sur des drives, etc. avec des tableaux Excel. c'est une organisation qu'on avait au tout tout début, avant d'avoir KBO, et qui fonctionne quand vous êtes vraiment dans un environnement où vous êtes soit en freelance seul, ou soit avec un collaborateur, et que vous maîtrisez, on va dire, vous maîtrisez encore tous les dossiers en direct, etc. Et même, en réalité, la réflexion est même, parce que... On ne gagne pas en visibilité, on doit à chaque fois recouper un peu les informations financières qu'on a sur d'autres Excel, on doit mettre à jour sur différents endroits, etc. Donc, pour répondre à la question... le premier avantage, c'est le gain de temps. Clairement, on gagne du temps. Et du temps, c'est la denrée la plus rare d'un expert comptable. Je le dis souvent, et ça peut étonner certains cabinets, mais aujourd'hui, on est 20 collaborateurs. On a fait par exemple 300 formalités de création en une année. J'avais mis un post sur LinkedIn sur lequel j'ai envoyé un screen de l'état d'avancement de l'INPI. Et on n'a pas de collaboratrice juridique. On n'a pas de collaboratrice juridique. Les formalités sont faites directement par les collaborateurs. ou directement par les experts fondables. À la nuit, ce qui prend le plus de temps, c'est remplir sur l'Inpi et faire la publicité dans le journal d'annonce légale. Mais voilà, ça veut dire que le rythme et la réactivité, surtout par exemple sur la création de société, en réalité, c'est une phase de round avec le client. C'est une phase de round dans laquelle on va se tester avec le client. Le client va tester un peu notre réactivité. C'est une phase où le client apprend à nous connaître et ça donne tout de suite une super bonne impression. Quand vous montrez que sur la phase de création de société, quand vous envoyez les documents, etc., vous êtes réactif, même sur un changement ou sur d'autres choses, là, il voit tout de suite que le cabinet est réactif et donc, quelque part, je peux compter dessus. Donc, le premier point, c'est vraiment le gain de temps. Vraiment, on peut faire l'économie d'un poste, on peut gagner beaucoup de temps pour pouvoir le consacrer à d'autres missions. Et le deuxième avantage, c'est vraiment avoir la vision globale. Si tu veux, tout à l'heure, je t'ouvrirai mon tableau de bord. une minute comme ça pour que tu puisses te rendre compte, mais on a vraiment un tableau de bord sur lequel, en fait, je n'ai pas besoin de me dire, attends, ce tableau de bord, il tient compte de ça, mais j'ai autre chose également aussi dans d'autres, ah, ça, ça n'a pas été pris en compte, etc. J'ai un tableau de bord où j'ai le chiffre d'affaires théorique, le chiffre d'affaires facturé, j'ai l'évolution des portefeuilles par collaborateur, en volume et aussi en euros, en nombre de dossiers. Je sais ce qui a pris le plus de temps dans une mission, est-ce que c'est la saisie ? tout au long de l'année, ou est-ce que c'est au moment du bilan ? Et vraiment, on a une vision globale, et on peut prendre des décisions stratégiques sur, par exemple, s'il y a des experts comptables qui utilisent des solutions marketing pour avoir des clients, ils ont tout de suite, en instantané, sur la période souhaitée, le graphique de l'origine des clients, est-ce qu'ils proviennent plus d'acquisitions sur les réseaux sociaux, est-ce qu'ils proviennent de bouche à oreille, est-ce qu'ils proviennent d'autres applications, etc. Donc c'est vraiment pour ce côté de se dire, en fait, quand je suis dessus, je sens que je maîtrise.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Et du coup, derrière, est-ce que c'est en instantané ? Je veux dire, là, on fait l'enregistrement le 25 juin, je peux savoir où t'en es sur les dossiers. C'est pas quelque chose que tu vas faire comme on vous habitude, l'Excel, on n'a pas le temps, faire une extraction, on va le regarder deux fois dans l'année, pour vraiment être sûr.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Attends, je peux te partager mon écran ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Ouais, vas-y.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Tu vois, par exemple, là, sur le cabinet, tu vois ? Là, tout de suite, sur mon tableau de bord, je peux calculer mon chiffre d'affaires théorique, mon chiffre d'affaires réel. Je sais combien de prospects il me reste à convertir, combien de clients en cours. je peux voir mes performances, je peux voir aussi l'évolution des portefeuilles par collaborateur en volume et en euros, je peux voir d'où viennent mes prospects, je peux avoir un filtre sur l'avancement comptable, bon tu vois on n'est pas très à jour encore sur 2024, mais voilà, on peut voir combien de dossiers ont été, en fonction des différents statuts, etc. Et en fait ce tableau de bord, c'est qu'une partie... de la synthèse de toutes les informations qu'on peut avoir. Donc ça veut dire que c'est pas qu'un outil sur lequel je vais devoir renseigner des éléments et sur lequel ça va me sortir un tableau de bord. Ça se fait automatiquement parce que le KBO aujourd'hui gère tous les aspects du suivi, suivi comptable, suivi fiscal, suivi de l'avancement des formalités juridiques, il gère toute la facturation, il gère tout ce qui est lié. à la prise en main d'une mission, un début de mission, une fin de mission. Donc voilà, j'ai arrêté de partager l'écran. Mais c'est pour te montrer une idée en fait, où je ne suis pas dans ce truc de dire, je dois alimenter pour avoir un visu. Je l'ai en instantané, uniquement parce que les collaborateurs l'utilisent. c'est vrai que souvent le frein quand vous mettez un CRM en place dans un cabinet c'est de se dire il y a peut-être des collaborateurs ça leur fait un outil en plus je sais pas si t'as déjà eu le cas de...

  • Florian DUFOUR - Hôte

    si si c'est toujours cette problématique c'est que l'une des limites c'est qu'il faut que derrière les collaborateurs renseignent l'information et considèrent que cet outil en plus va les aider à gagner du temps et pas être un outil comme le millefeuille qui te fait perdre encore du temps parce qu'on en a 50

  • Aryé BISMUTH - invité

    En fait, je suis d'accord, mais pour qu'un collaborateur utilise ce logiciel, il faut qu'il y trouve son gain et son intérêt. Et en fait, très souvent, le logiciel est... est très rapidement plébiscité par les collaborateurs. Les collaborateurs directement eux-mêmes, parce qu'eux-mêmes, ils ont un gain dans leur travail, dans leur exécution de mission. Je vais te donner un exemple. Par exemple, sur quoi là ? Tu peux renseigner les temps. Tu as une fiche de temps sur laquelle tu peux renseigner, etc. Je sais que le cabinet où je travaillais, c'était quelque chose, c'était un peu une tâche. que moi j'ai la vérité que j'aimais pas faire parce que je voyais pas et je voyais pas la valeur ajoutée c'était pour donner à ton supérieur en fait c'était uniquement le côté flicage tu vois dans kbo dans kbo par exemple on a le la saisie des temps se fait via un calendrier Donc imagine que tu as un rendez-vous avec un client, tu notes sur ton calendrier, ça va tout de suite automatiquement se remplir. Donc déjà, il n'y a pas cette double saisie entre ton calendrier partagé et la saisie des temps. Ça c'est la première chose. Et aussi la deuxième chose, c'est que le collaborateur, nous par exemple on leur laisse accès au suivi de mission, sur lequel on budgétise le temps de mission, et sur lequel le collaborateur voit le temps qu'il a renseigné. et sur lequel le collaborateur de lui-même peut dire Attends, attention, c'est un dossier qui a un peu dérapé. ok et je vais aller donc en fait il y a un intérêt pour le collaborateur de l'utiliser parce que ça permet des fois il y a des collaborateurs ils sont venus me voir ils m'ont dit regarde mon portefeuille aujourd'hui il a évolué très peu mais en terme de volume regarde voilà j'étais édité une fiche parce qu'on peut éditer la fiche des temps passés etc c'est pas forcément sur la gestion mensuelle mais c'est vraiment sur le bilan, ça nécessite, voilà, il y a beaucoup de choses à vérifier, etc., et c'est plutôt sur cet aspect-là que tu dois retravailler avec le client. Et en fait, le collaborateur, il... on va se dire la vérité, il connaît le montant que le cabinet, il facture les honoraires, et il sait le temps qu'il peut y passer ou pas. Et des fois, c'est vrai qu'il y a cette gêne du collaborateur de passer beaucoup de temps dans un dossier, qui le mérite, sur lequel il doit passer du temps, mais parce qu'il sait que le budget est limité. Et le fait d'ouvrir au collaborateur cette possibilité de se rendre compte, ok, on a prévu tant de temps, il y a plus de temps qui ont été passés, ok, il faut qu'on voit, il faut qu'on fasse un point avec le client, pour que tu aies peut-être plus de temps. pour bien faire le dossier, pour que tu aies plus le temps d'analyser les choses et pas d'être vraiment de subir, c'est comme ça que j'appelle moi, de subir le dossier, etc., en fait, les collaborateurs le prennent très bien.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Ça permet aux collaborateurs d'avoir une visibilité. Et moi, je voulais te poser une question, c'est toi, en tant que chef d'entreprise et responsable d'un cabinet, est-ce que ça t'a permis d'avoir cette visibilité, on va dire, tous les jours au lieu d'attendre un an, de mieux gérer ton cabinet, de dire, tiens, je vais pouvoir anticiper, il va falloir que j'embauche ?

  • Aryé BISMUTH - invité

    Tout à fait. Tout à fait. Tout à l'heure, je t'ai montré dans le tableau de bord, on a par exemple des pics des fois de prospects. On sait qu'après la période fiscale, on a beaucoup de créations de sociétés qu'on a fait depuis 2-3 mois sur lesquelles on doit fixer pas mal de rendez-vous avec les clients. Et là, par exemple, je sais que si j'ai 50-60 clients en attente... je sais que tout de suite je peux embaucher et je peux en 2-3 mois constituer un portefeuille neuf pour un collaborateur donc en fait je vais pas être dans la phase où je vais recevoir les clients me dire attends on va voir dès qu'il y a suffisamment je recrute ou je vais mal les disperser en attendant etc, non je sais qu'il y en a 60 je peux lancer une annonce pour chercher un collaborateur par exemple pour la rentrée et à partir du moment où je me laisse deux mois pour verrouiller le portefeuille, comme ça quand le collaborateur arrive, c'est un portefeuille clé en main.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Est-ce que tu as des experts comptables qui ont pris ta solution chez KBO ? Et derrière, ils sont venus vers toi en disant qu'il y a une grosse différence, ça me permet de mieux gérer le cabinet au quotidien ou en période fiscale ?

  • Aryé BISMUTH - invité

    Il faut savoir déjà que KBO, quand on a commencé à le développer, on a mis presque deux ans et demi. pour avoir le premier cabinet qui utilise la solution. Au début, c'est une solution qu'on a pu autofinancer. Je ne cherchais pas forcément, et aujourd'hui aussi je ne cherche pas la rentabilité, etc. Je cherchais à avoir des retours cabinets, parce que pendant trois ans, on va dire presque trois ans, c'est vrai qu'il y a beaucoup de cabinets, d'ailleurs j'en profite de cette interview pour les remercier, mais on a participé à tous les salons, on avait un stand, etc. et sur lequel à chaque fois... chacun a amené sa vision, une amélioration, ça peut être des améliorations très mineures, je te donne un exemple, sur le suivi fiscal, tu as le filtre classique en fonction, pour la TVA, du régime de TVA, etc. Nous, à Paris, SRL, SAS, 17, 19, 24, c'est-à-dire que 17, 19, 21, 24, donc bon, on les connaît les dates. Il y a un cabinet qui m'a dit, ben non, moi je gère des entreprises, je crois que dans le monde agricole, sur lequel des fois il y a des TVA le 5 ou le 10, sur un système différent, il m'a dit, ça serait bien, là je te donne un exemple mineur, mais il m'a dit, ça serait bien que tu aies une colonne, en plus, sur lequel on peut rajouter le jour, le jour de la date limite de déclaration. en une demi-heure, le développeur il a développé et c'était mis à jour. On a des cabinets qui m'ont dit, je te donne un exemple, j'aimerais bien avoir par exemple, la réflexion sur la saisie des temps, que tu peux saisir des temps pour la mission ou pour le bilan, c'est un cabinet qui nous l'a dit. Il nous a dit, c'est vrai que nous on avait l'habitude de regarder au global, il disait non, non, moi j'aimerais bien. Et en fait, la solution, on l'a construite, non pas à travers notre prisme. de nous, cabinets parisiens, etc. Mais à travers trois ans de retour, de visio, d'écoute, de rendez-vous, etc. avec d'autres confrères, de la même génération, mais aussi d'autres générations, etc. Et qui nous ont permis d'améliorer, d'améliorer la solution. Et je peux dire qu'aujourd'hui, depuis, on va dire, bien un an, on a une solution. Alors, elle est toujours en évolution, il y a toujours des mises à jour, etc. Mais qui est... je peux le dire sans prétention, qui est quand même aboutie. C'est-à-dire sur lequel, en termes de fonctionnalité principale, ça aboutit. Donc voilà, mais c'est-à-dire que ça ne s'est pas fait, ce n'est pas quelque chose sur lequel on est venu avec un plan, on a dit ok, on doit le faire, à telle date, on doit le commercialiser. Non, au début, c'était beaucoup de... Et vraiment... beaucoup, beaucoup de lindines, de personnes qui avaient entendu parler etc et c'est ça qui fait la beauté du métier parce que c'est des choses qui se construisent avec des confrères et vous voyez qu'à chaque fois un autre cabinet il a une autre façon, une autre méthode par exemple il y a une il y a quelque chose que je pourrais pas accéder mais un cabinet m'avait dit moi ça serait bien que par exemple quand il y a marqué payé, c'est un exemple, mais quand il y a marqué payé dans votre, par exemple, j'ai payé telle taxe pour un client, que ça aille vérifier sur le compte bancaire du client, parce que ça a été vraiment payé ou pas. Bon, on l'a noté quelque part, ça ne fait pas partie pour l'instant, en tout cas, des priorités de développement, mais ça veut dire que en fait, c'est vraiment ces retours qui enrichissent la solution et qui font qu'aujourd'hui, c'est une solution Moi, le meilleur compliment que m'avait fait, pourtant on avait un stand de 20 mètres carrés, je crois que c'était à Montpellier, c'était waouh C'est-à-dire que vous avez un stand qui n'est pas à la hauteur de la solution que vous proposez, etc.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Après, ton objectif, c'était plutôt pour toi, ton cabinet, et là, c'est de partager, donc c'est super bien. Il y a deux choses que je voudrais revenir avec toi, c'est sur les avantages. Il y a une chose importante, je trouve. c'est le fait d'automatiser les choses. Souvent, on perd énormément de temps à retaper des noms, des sirètes à gauche et à droite. Et la seconde, la fiabilité des données. Le fait que le problème, c'est qu'on a 50 Excel et que des fois, ce n'est pas fiable. La donnée n'est pas à jour, ainsi de suite. Est-ce que tu veux bien me remonter des infos là-dessus ?

  • Aryé BISMUTH - invité

    Exactement. Je vais te dire que je donne un exemple. Ce matin, j'ai fait une augmentation de capital d'un client. par exemple, j'ai fait le PV, et tout de suite après, il y a la possibilité de cliquer sur KBO et de mettre à jour le client. Donc ça me permet d'avoir des statuts mis à jour, mais ça me permet que toutes les informations juridiques futures que je vais faire sur ce client vont être en cohérence justement avec la modification que j'ai effectuée. Et le problème d'un Excel, c'est que un Excel, à terme, chacun l'utilise un petit peu à sa sauce. Chacun met les... Voilà, va mettre des notes, va mettre des commentaires. Par exemple, pour parler du Excel, puisque on peut prendre des exemples vraiment concrets et qui peuvent parler aux auditeurs, par exemple pour la TVA. La TVA, dans les tableaux dans les cabinets, c'est fait, affaire ou pas fait, ou une croix et pas de croix. Bon, sur KBO, vous pouvez renseigner un bon temps. ok donc déjà moi quand je fais ma tva là du mois de quand on a fait la tva du mois de mai j'ai en visu les montants qui ont été payés sur janvier février mars abril donc tout de suite en rouge quand c'est payé en verre quand ça en crédit donc tout de suite ça permet d'avoir une idée de ce qui a été payé ou pas ensuite il y avait souvent des fois on fait une tva le client il est peut-être pas prévenu et c'est là vous avez la possibilité tout de suite dès que vous avez renseigné le montant d'envoyer un mail automatiquement aux clients comme quoi qui va être débité de tel ou tel on a fait une demande de remboursement de tel ou tel montant de TVA et ensuite vous pouvez afficher les missions qui sont en cours, suspendues ou annulées donc ça veut dire que des fois imaginez que demain vous avez un collaborateur qui est malade il va arriver sur les TVA de son collègue pour les faire à sa place etc il va pas comprendre pourquoi certaines TVA ne sont pas faites depuis plusieurs mois par exemple. Pourquoi ? Parce que la mission est annulée, mais qu'il n'a pas eu le temps de voir en période fiscale avec l'expert comptable pour qu'il supprime la ligne. Donc au final, sur 30 TVA à faire, il en a toujours 5 ou 6 qui sont vides, mais parce qu'il y a une raison derrière. Vous voyez ce que je veux dire ? Et là, ça permet tout de suite, c'est-à-dire que tout le monde, on a le même dénominateur commun, tout le monde utilise le même outil, tout le monde consulte le même historique. En fait, on rationalise un peu le process. au niveau du travail et du fonctionnement, ça permet de gagner du temps, avec des envois automatiques de mail, etc. Mais ça permet aussi d'avoir une donnée qui est fiable. Combien de fois, par exemple, on faisait des dépôts de comptes annuels avec des adresses alors qu'il y a eu un transfert de chaise sociale, par exemple. parce que la collaboratrice n'avait pas eu... Mais parce que voilà, quand il y a un transfert de dossier social, il faut mettre à jour sur le logiciel, il faut mettre à sur la facturation, il faut mettre à jour, il faut mettre à jour, il faut mettre à jour. Et donc au final, s'il n'y a pas un process clair, une boucle qui est faite, etc., bon déjà ça prend du temps, mais quand bien même elle serait faite, ce n'est pas toujours fiable.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Bien sûr. Et surtout derrière, souvent c'est que toute la donnée est dans le collaborateur et quand le collaborateur est par là, on ne sait pas trop sa manière de faire. Là, ça te centralise et en fait, tout le monde est un peu au courant. Donc, c'est génial, ça.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Aujourd'hui, un bon collaborateur comptable, un collaborateur qui va avoir aujourd'hui la saisie, elle est quasi automatisée, etc. Ce qui va faire la différence, c'est l'appréhension du dossier. vous donnez un dossier dans le e-commerce, il va savoir où chercher, où cliquer, se poser en même temps les problématiques de TVA, s'il y a différents taux de TVA, se poser les problématiques, et il va savoir, donc il y a un chemin sur lequel il va pour atterrir sur un export qui retravaille, etc. Ce qu'on a mis, par exemple, sur KBO, et c'est vrai que des fois, quand vous passez d'un collaborateur à un autre qui passe un portefeuille, ou des fois, il y a un qui n'est pas présent, le temps de se dire, attends, où il va chercher ses ventes, où est-ce qu'il met les identifiants et les mots de passe, et une fois qu'on a les identifiants et les mots de passe, où est-ce qu'il voit comment il arrive à différencier sa TVA 5.5 et sa TVA... Comment il s'y prend ? Il peut perdre énormément de temps, donc ça va créer de la frustration chez le collaborateur. Là, vous avez des identifiants et des mots de passe que vous pouvez enregistrer, donc comme une petite base de données, d'identifiants et de mots de passe, on va dire, pas sensibles, des mots de passe de logiciels, d'applications, etc., qui permettent de récupérer des données comptables. et vous pouvez mettre des notes ou vous pouvez mettre même à on a laissé mettre la possibilité de mettre des pièces jointes des petits tutos sur lequel en fait il va mettre où est-ce qu'il clique, où est-ce qu'il met etc et sur lequel en fait le collaborateur il a juste à se connecter sur le client voir les identifiants et mots de passe et tout de suite voir les notes qui ont été laissées par rapport à ça et l'information est centralisée, c'est à dire que moi les collaborateurs il n'y a pas un document qui traîne dans le bureau de l'ordinateur ou sur lequel de en local ou sur un cahier sur lequel il met la manip là tout est centralisé au même endroit et encore une fois le but c'est qu'on gagne en fiabilité et on gagne en temps on le voit souvent moi j'avais eu le cas dans un cabinet où la

  • Florian DUFOUR - Hôte

    collaboratrice, on était le vendredi soir et puis elle partait en vacances et puis en fait elle avait une proposition auprès d'un client Elle a dit bon j'appellerai le cabinet lundi. Entre temps elle est partie en vacances, elle ne se rappelait plus. Le client entre temps appelle, l'expert, l'expert ne savait pas. Du coup en fait il y a une perte d'information. et puis même si elle l'avait marqué sur une feuille dans le bureau il serait peut-être pas venu le voir l'expert donc là ça te permet de te sensibiliser tu ouvres le dossier,

  • Aryé BISMUTH - invité

    tu sais que t'as une note ah tiens il y a ça ça ça ça même si elle est pas là au moins tu peux répondre à ton client t'es informé c'est exactement ça il y a un historique il faut savoir qui s'enregistre automatiquement sur chaque dossier quand on envoie des mails ou quand on met à jour etc on peut voir ce que chacun a fait on peut aussi euh C'est vrai que des fois, vous avez des cabinets, sur la période estivale, vous avez des stagiaires, des alternants qui viennent. Et en fait, par un stagiaire qui est là pour deux mois, vous savez, des fois, sans faire exprès, par mégarde, il peut supprimer des trucs. Sur un tableau Excel, on avait eu ce problème, etc. Là, il y a une gestion des droits qui fait que quand vous créez un collaborateur, vous pouvez tout de suite ce collaborateur. lui donner des accès sur lesquels vous pouvez lui permettre uniquement de consulter ou ne rendre pas du tout visible certains aspects un peu touchés, etc. Et ça permet aussi une fiabilisation par rapport à ça, parce que c'est vrai qu'on est continuellement attaqué en tant que cabinet.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    parce que voilà on a des mots de passe impôts gouffres en tout cas moi les impôts gouffres perso je les stocke nulle part parce que c'est relié à France Connect et ça ouvre après trop de choses et même j'avais eu un client qui avait eu une tentative sur une demande de remboursement de TVA sur un impôt gouffre pro du coup puisqu'il avait son propre espace etc, donc ça veut dire que la sécurité c'est une notion qui est super importante et le fait de pouvoir cloisonner comme ça c'était aussi un des objectifs de KBO, un collaborateur qui a accès à tout un Excel ou un stagiaire qui a accès à tout un Excel que ce soit en termes de sécurisation ou même sans faire exprès des fois il peut supprimer et pas revenir ou pas stocker etc et ça peut être une catastrophe pour le cabinet

  • Aryé BISMUTH - invité

    Les CRM, donc moi je suis d'accord avec toi, c'est obligatoire, il faut aller en mettre un. Par contre, est-ce que c'est possible de mettre un CRM chez tous les cabinets ? Est-ce qu'on peut dans un tout petit cabinet ou il n'y a pas d'utilité ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Nous, on a un expert comptable qui est même en freelance qui utilise notre solution, qui utilise notre CRM et que ça se passe super bien parce que lui-même, ça lui permet de... Lui, ça va être moins sur la vision globale et encore, mais ça va être surtout sur le gain de temps. il ne peut pas encore pour l'instant avoir une secrétaire juridique, mais ça lui permet d'aller 3-4 fois plus vite sur le juridique récurrent. Il a des modèles de courrier, parce que vous pouvez aussi personnaliser certains modèles, etc., de courrier et d'attestation. Hop, hop, hop, il se met ses modèles, et ensuite, quand il y a un client qui lui demande une attestation, il est même à l'autre bout du monde, il peut tout de suite lui sortir une attestation, on lui envoie une aide de mission. Ça va lui faciliter son onboarding. Et surtout, nous, on a voulu avoir des tarifs les adhésions qui sont par exemple un jeune expert comptable qui se lance la première année il va payer en illimité la solution 49 euros par mois donc c'est 99 jusqu'à 50 dossiers 49 euros par mois donc des prix des fonds qu'on serait que j'avais comparé avec certaines solutions juridiques qui existait sur le marché en fait notre solution juste avec une solution juridique, elle était déjà moins chère qu'une solution qui faisait uniquement le juridique. Alors que là, il y avait tout un panel de choses. Et moi, je conseillerais encore plus un expert comptable qui est en freelance et qui se lance. parce que tout de suite, il met les bases pour un cabinet sain, fiable. C'est vrai que justement, la problématique, quand on a dû intégrer des fois des cabinets qui avaient 500, 600 clients, voilà, ça se fait, ça se fait bien, on met une personne à disposition, mais ça prend du temps, il faut former des collaborateurs, des fois vous avez un peu de résistance aux changements, etc. Donc ça se fait, mais ça ne se fait pas aussi facilement que quelqu'un qui est en freelance, qui connaît parfaitement la solution, et que quand il va embaucher ses premiers collaborateurs ou quand il va commencer à travailler, ben voilà.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Mais moi je pense comme toi, un CRM ça doit être adapté un petit peu à tout le monde, c'est juste qu'on va dire, on ne va pas le voir de la même manière, tu prends celui qui se lance ex-Nilo, lui ça va permettre d'automatiser, je veux dire la gestion du mail, gagner du temps et de centraliser. la grande entreprise ou le gros cabinet c'est parce qu'on a de la déperdition sur tout ce qui va être les données on ne sait pas si le collaborateur a bien transmis ça permet en fait à la groupe au codire ou à la tête de groupe d'avoir une meilleure gestion en instantané dans tous les cas il n'y a que du positif je vois ou est-ce qu'au contraire tu pourrais me dire certaines limites t'aurais pu voir des retours de cabinet ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Non les limites ça va être des cabinets qui font nous s'adapter aux cabinets qui font déjà de l'expertise comptable Ok, un cabinet qui aurait quelques dossiers en expertise et vraiment d'autres dossiers en commissariat, etc., la solution apparaît toujours moins pertinente. Ou quelqu'un qui serait en mission, en DAF un peu, en freelance, etc. ce n'est pas quelque chose qui serait adapté.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Pour le social, tu le gères ou pas dedans ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Alors, le social, comment ça se gère ? En fait, tout le monde connaît le fameux tableau de suivi social sur lequel les collaborateurs sociaux renseignent le nombre d'articles qui sont faits, combien de sujets de paye, combien de contrats de travail, etc. Le gain sur le social qu'on va avoir, au-delà des documents de remise, etc., ça va être que les informations sociales, les variables sociales, s'intègrent automatiquement dans la facturation. Donc il n'y a pas besoin tous les mois de rentrer sur la facture et de devoir mettre une fiche de paye, trois fiches de paye, quatre fiches de paye, etc. en tenant compte du prix catalogue du cabinet, mais sur lequel, au moment de la lettre d'émission, on a pu faire des personnalisations avec le client. Donc il n'y a plus cette réflexion de se dire J'ai une connerie, la fiche de paye est à 25 euros, mais ce client, c'est une fiche de paye galère. Bon, il y a une exception, il paye 30 euros. le bulletin. Non, là vous le renseignez une fois les 30, et à chaque fois que vous allez mettre les variables, il va venir interroger la lettre de mission, et il va venir tout de suite remplir la facture.

  • Aryé BISMUTH - invité

    T'es sûr de ne pas te tromper au moins ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Et il n'y a pas d'oubli. En fait, parce que ce qui se passe dans la plupart des cabinets, c'est que vous avez une secrétaire qui retape le suivi social, elle le retape sur la facturation.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Oui, c'est ça. Et toi, au niveau du secrétariat, du coup, tu as un gain de temps énorme.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Énorme. On a une seule assistante de direction au cabinet. qui fait à la fois la facturation du cabinet, à la fois la relance des fois des prélèvements, qui fait aussi du juridique, qui est un peu un couteau suisse. Et en fait, on en avait une il y a trois ans, et on en a toujours une aujourd'hui. Et justement, si on peut se faire cette... normalement on aurait dû si le cabinet double tu doubles automatiquement en réalité avec les outils qui ont été mis à disposition et développés aujourd'hui on a une seule personne et je crois qu'aujourd'hui elle est moins débordée que ce qu'il y a il y a 3 ans mais tant mieux c'est juste parce qu'aujourd'hui elle est beaucoup plus dans la vérification le contrôle plutôt que dans la production en soi

  • Aryé BISMUTH - invité

    Moi, il y a une limite qui ressort souvent pour accompagner certains confrères du CRM, c'est les collaborateurs, la formation des collaborateurs sur l'outil. Qu'est-ce que tu en penses ? Qu'est-ce que tu pourrais nous donner comme des bons tips pour aider à utiliser ton outil KBO ? Est-ce qu'il faut le mettre directement dessus et tu te débrouilles ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Non, alors la solution est très intuitive. C'est une solution en SaaS qui est très intuitive. Maintenant, c'est vrai que nous, on fait une présentation globale. mais après on fait une formation adaptée. On ne fait pas la même formation au collaborateur comptable, au pôle juridique et à la personne qui l'utilise sur le social. Donc on fait une formation adaptée sur l'outil, sur les parties que la personne va devoir utiliser. et en ayant une approche sur laquelle on va surtout parler du gain que le collaborateur va avoir, plutôt que des conséquences hautes sur le logiciel. Et en fait, le retour qu'on a, c'est que, très clairement, quand aujourd'hui en un clic vous pouvez relancer tous vos dossiers le 5 du mois pour mettre à jour les pièces en un seul clic, quand vous pouvez faire des courriers de demande de remise gracieuse, vous pouvez faire en... en vraiment quelques secondes, quand vous pouvez réutiliser des modèles sur lesquels vous avez juste à renseigner les variables, etc., le collaborateur voit son gain et du coup, son travail d'analyse, etc., est beaucoup plus valorisé que le travail où il va prendre un document Word et il va devoir faire un remplace ou il va devoir regarder sur la matrice, etc. Donc, l'adhésion des collaborateurs, elle se crée... en montrant aux collaborateurs le gain clair qui va être fait sur l'outil, avec une utilisation de l'outil.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Est-ce qu'il faut, quand chaque cabinet est déjà en place, est-ce qu'il y a un petit travail à faire avant le retraitement de données, pour avoir la bonne donnée à mettre dans le CRM, et est-ce que c'est un projet qu'on peut suivre en période fiscale, ou est-ce qu'il vaut mieux le démarrer hors période pour toi ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    avril-mai je pense que c'est compliqué pour les cabinets j'ai jamais eu de cabinet qui ont fait des et quoique c'est vrai que j'ai eu Kadidja qui était venue te voir dans ton précédent podcast elle est très organisée donc elle a réussi à faire un onboarding en plein mois d'avril il y a des challenges ouais non en fait c'est vrai qu'on dit souvent la période de croissance d'un cabinet c'est souvent de juin à décembre c'est la période dans laquelle on peut vraiment se projeter sur les évolutions, prendre le temps, c'est d'ailleurs la même aussi la période du recrutement, etc. La période de février à avril, mais alors je sais qu'il y a des experts comptables qui sont beaucoup plus organisés que nous, mais bon la réalité fait qu'aujourd'hui un expert comptable, c'est vrai qu'il y a certains post-linkedin où vous avez des experts comptables qui vous expliquent qu'ils ont pris... trois semaines de vacances en plein mois d'avril et qui font ça parce qu'ils sont super bien organisés. Aujourd'hui, la réalité, quand vous discutez avec des confrères, c'est que vous avez deux ou trois mois dans l'année où vous êtes chargé et sur lequel, malheureusement, vous ne pouvez pas vous occuper d'intégrer de nouveaux outils, même des fois d'intégrer de nouveaux clients. Et voilà, mais tout dépend de l'organisation. Il y en a beaucoup qui ont profité de l'été pour le prendre en cours ou de la rentrée. Il y en a beaucoup sur lequel vous avez préparé en novembre-décembre pour qu'au 1er janvier, ça soit, paf, dimitré.

  • Aryé BISMUTH - invité

    On va parler du prix. Beaucoup vont dire tout le temps Ah bah, c'est un outil supplémentaire et ça va être cher pour ce qu'on va en faire. Qu'est-ce que tu penses ? Est-ce que ce n'est pas plutôt un investissement parce qu'au final, tu risques, comme tu me l'as dit, de gagner énormément de temps ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Déjà, pour le prix, Moi, j'ai une réflexion personnelle. Je n'ai aucun problème de payer à partir du moment où je vois un gain en termes de temps. Parce que notre temps, il est valorisé à un certain prix qui est souvent supérieur au coût d'un outil classique, etc. Alors, ça fait un outil supplémentaire, mais le KBO a la prétention de supprimer d'autres outils. et de pouvoir les centraliser en un seul endroit. C'est-à-dire que KBO va permettre, aujourd'hui le cabinet ne va plus utiliser son système de facturation, si elle le passe sur KBO. Ça va permettre de pouvoir, si elle utilise le juridique sur KBO, de supprimer un outil qu'elle paye, un abonnement pour le juridique, etc. Donc en fait, on va plus être dans un gain au niveau des outils qui sont faits, que ce soit sur les tableaux de bord, les lettres de mission, l'onboarding, etc. Et au final, pour un outil... vous en avez aujourd'hui l'équivalent de 4-5 en même temps et qui sont en même temps centralisés. C'est-à-dire sur lequel vous n'avez pas quand il y a un nouveau client, de le rentrer dans les 5 outils, quand il y a un client qui sort ou qui est modifié, de faire la modif ou de les supprimer dans les 5 outils.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Je voudrais que tu me donnes un conseil, ton conseil pour un expert comptable qui souhaite utiliser un CRM. Par où il faut qu'il commence en disant, tiens, j'ai écouté l'épisode, demain je me lance, on commence par quoi ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    En fait, la première chose qu'il doit faire et que je fais de toute façon, la première fois que je discute avec un expert comptable et qui est intéressé par KBO, c'est que je me dis, au niveau du premier point, c'est aujourd'hui, sur quoi il travaille, qu'est-ce qu'il utilise. c'est quoi le point de démarrage aujourd'hui qu'elle utilise comment sont entrées les données qui a accès voilà quelles sont les sources de frustration etc et à partir du moment où on sait pas on sait très bien moi j'ai moi j'ai des cabinets qui ont pris kbo il utilise de façon globale mais l'utilisent aussi et surtout pour le juridique ou pour le côté document un peu moins pour il y a des cabinets qui utilisent le suivi et les documents mais qui ne vont pas du tout l'utiliser pour la facturation parce que leur facturation est reliée à un outil type gocardless et qui permet en même temps de faire les prélèvements etc donc il ne faut pas se dire voilà aujourd'hui KBO m'intéresse, je suis forcément obligé de tout utiliser vous voyez ce que je veux dire ? Et le point de démarrage c'est faire le point sur l'existant, sur aujourd'hui, qu'elles sont les choses qui font perdre du temps en cabinet. Et à l'expert comptable également. et de se dire ok, à partir de ça, il prend contact avec moi, je ne fais pas la même démo à tous les experts comptables, j'adapte la démo justement en fonction de ses frustrations. Il y en a qui me disent par exemple dès le début, moi mon outil de facturation il est très bien, ok je sais que je ressaisis, j'ai écouté le postcast de Florian, je sais que je ressaisis les variables sociales, mais moi ça me permet d'avoir mon fichier pour les prélèvements et au final j'arrive à me débrouiller comme ça, etc. Par contre sur ça, ça m'intéresse. Donc ça veut dire d'ailleurs qu'on ne va pas perdre du temps à montrer des choses sur lesquelles en tout cas pour l'instant qui ne l'intéresse pas, mais surtout travailler sur les points sur lesquels on peut gagner du temps. Et souvent moi j'aime bien, je pose la question au client, en combien de temps tu fais ça, bah regarde-nous en combien de temps on peut le faire.

  • Aryé BISMUTH - invité

    C'est bien, tu permets de comparer ça. Je pense, comme tu le dis, une période d'audit, de regarder déjà qu'est-ce qu'on a, qu'est-ce qui pose problème, avant de faire la démarche benchmark, aller voir qu'est-ce qui existe en CRM.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Exactement.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Est-ce que tu aurais un dernier conseil à me donner ? Ou une chose que tu pourrais me rajouter sur le CRM en disant, quand même, ça, les cabinets, on ne peut plus se permettre de plus en avoir.

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Alors, ça serait assez facile de parler de mon expérience personnelle, mais c'est vrai que souvent, en fait, comme moi, je ne suis pas éditeur de logiciel, je suis avant tout expert comptable. Les experts comptables, en fait, il y en a beaucoup, en fait, où une fois qu'ils m'ont parlé, je leur parle de moi, quelle était ma situation, et je leur montre aujourd'hui, avec KBO, en parlant de ma situation, de mon cabinet, aujourd'hui, combien un collaborateur arrive à gérer deux dossiers. combien de temps on peut faire certaines formalités juridiques, comment on arrive à relancer les clients, comment on arrive à faire super rapidement un onboarding complet sur un client, etc. Mais en fait, en me plaçant non pas du côté éditeur, mais en me plaçant du côté expert comptable. Et vraiment, ce n'est pas un slogan, mais aujourd'hui, on peut diviser par 3, par 4, par 5 le temps qu'on consacre à l'administratif en général, le temps qu'on consacre à la relance, le temps qu'on consacre à l'onboarding, à la mano, etc., en utilisant KBO.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Tu arriverais, en gros, à la question, est-ce que tu pourrais t'en passer et tu arriverais à faire le même niveau de mission, de chiffre d'affaires ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Impossible parce qu'on a un cabinet en croissance, donc on a une cadence qui est très élevée, que ce soit en termes de juridique, que ce soit aussi en termes d'onboarding de nouveaux clients. Aujourd'hui, par exemple, les onboarding clients, ils les font directement avec les collaborateurs. même si ça me prend 15 minutes, aujourd'hui, c'est quelque chose qu'ils font avec les collaborateurs, c'est les collaborateurs qui me font signer la lettre de mission, c'est les collaborateurs qui préparent directement la lettre de mission, qui préparent le mandat de prélèvement, qui préparent le budget, bien évidemment, une fois qu'on leur a indiqué, etc. Mais ça veut dire que pour un cabinet, surtout, qui est en croissance, et un cabinet qui n'est pas en croissance, mais qui veut vraiment rationaliser, gagner en visibilité, etc., je pense, en tout cas... si c'est un cabinet qui est surtout en expertise comptable avec des clients TPE, PME, etc. Comme la plupart, je pense, la grande majorité des cabinets. Mais comme je l'ai dit, un cabinet qui ne ferait que de l'audit ou du commissariat aux comptes, ou quelqu'un qui serait en freelance, en DAF, l'outil ne serait pas pertinent à ce niveau-là. Mais ça permet vraiment de gagner beaucoup de temps et de traiter toutes les demandes clients avec une rapidité. Et aujourd'hui, pour info, nous, dans un cabinet, on n'a jamais dépensé un seul euro en acquisition client. Si, il y avait juste Mia, la solution, je fais une dédicace à Eric Nidam, qui est une super solution avec laquelle on a travaillé sur moins d'une dizaine de clients. Aujourd'hui, le cabinet, on a 600 clients et on n'a jamais dépensé un seul euro en lead, en acquisition, en rachat de clientèle. Et qu'aujourd'hui, le plus dur, c'est d'avoir ses premiers clients. Et le conseil que je donnerais à un jeune expert comptable, c'est une fois que tu as tes premiers clients, que le bouche à oreille fonctionne bien, que tu mets les bons outils pour justement montrer à ce client que tu arrives à suivre son niveau de réactivité, parce que moi je pense que la clé d'un cabinet, c'est la réactivité, mais il faut avoir des outils pour intermer, sinon après on est submergé. et bien après ça peut aller très très vite parce qu'aujourd'hui c'est ce que les clients ils recherchent et voilà je pense que kbo peut aider à ça c'est un joli mot de la fin mais j'aimerais avant que on se laisse qu'on fasse un petit jeu c'est le jeu ceux ci ceux là pour je

  • Aryé BISMUTH - invité

    te donne deux alternatives et du petit lac elle te correspond mieux si tu veux bien merci alors est ce que tu préfères faire de la compta ou être sur ton logiciel de crm à à

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Je préfère être sur le CRM quand même. Mais je dirais les deux parce que des fois, on a besoin d'avoir un peu de technique. Ça fait du bien de se plonger dans les comptes. Mais aujourd'hui, un 25 juin, après une période fiscale intense, je prends beaucoup de plaisir à être sur KBO et à moins me connecter sur le logiciel comptable.

  • Aryé BISMUTH - invité

    Tu es plutôt Insta ou LinkedIn, toi ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Les deux. LinkedIn le souci que j'ai avec LinkedIn c'est que pour beaucoup de jeunes experts comptables ça vend du rêve et je pense qu'il y a des personnes qui peuvent si quelqu'un va toute la journée regarder un feed LinkedIn idéaliser à l'extrême la vie professionnelle des gens que ce soit sur le salaire, sur le cadre de vie sur l'équilibre pro-vie perso et c'est de dire que finalement notre vie elle est pas non... il y a des experts comptables qui partent trois semaines en vacances au mois d'avril, qui font de la compta dans des Starbucks en buvant des cafés, etc. Alors que moi, je travaille en cabinet, etc. Je trouve que le problème que j'ai avec LinkedIn, c'est très intéressant, il y a beaucoup de contenu de retour très intéressant dans la profession, c'est que ça idéalise trop le côté. Et moi, j'aimerais avoir plus de confrères qui parlent de la réalité du métier de la profession, Mais le problème de notre profession, c'est que les personnes qui ont du temps, qui travaillent beaucoup, justement, ils n'ont pas le temps de faire des postes, etc. C'est vrai que Cadidia est une exception en la matière, mais c'est pour dire que, je dirais aux experts comptables, surtout aux jeunes qui se lancent, couper LinkedIn. Franchement, il faut couper LinkedIn, se concentrer sur son business et couper LinkedIn dans le sens où c'est bien pour avoir des relations pro, mais ne pas regarder et ne pas trop idéaliser ce qu'on peut voir parce que ça peut générer certaines frustrations et se dire à un moment donné qu'on n'est pas à sa place alors que la grande majorité de la profession ne correspond pas à ces standards esthétiques des réseaux.

  • Aryé BISMUTH - invité

    T'es plutôt chien ou chat toi ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Ni l'un ni l'autre, j'aime pas les animaux

  • Aryé BISMUTH - invité

    Comme ça c'est clair T'es plutôt costume cravate ou t-shirt jean ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    Comment je suis habillé aujourd'hui ?

  • Aryé BISMUTH - invité

    Je vois pas la cravate

  • Florian DUFOUR - Hôte

    T-shirt mais toujours avec une veste T-shirt veste c'est une signature

  • Aryé BISMUTH - invité

    et la petite dernière tu préfères être en période d'été ou d'hiver ?

  • Florian DUFOUR - Hôte

    la question ne se pose pas mais c'est vrai qu'on a l'été on a la chance à Paris d'avoir l'hiver pendant l'été donc voilà jolie pirouette ça

  • Aryé BISMUTH - invité

    écoute on te remercie d'avoir passé une heure avec nous et nous faire voir que le CRM dans un cabinet d'expertise comptable c'est central et ça permet à beaucoup de confrères de pouvoir développer leur chiffre d'affaires de centraliser les données et continuer à faire ce super métier je te dis à bientôt merci beaucoup Florian Avant de se quitter, je vous invite à laisser un avis 5 étoiles sur votre plateforme d'écoute préférée et parler du podcast à vos confrères. J'en profite pour remercier mes partenaires qui, grâce à eux, me permettent de vous partager encore plus de contenu chaque mois. Merci, rendez-vous au prochain épisode !

Chapters

  • Présentation Aryé BISMUTH, Expert-Comptable et fondateur de CABEO (solution CRM)

    01:00

  • Les raisons du lancement de CABEO par Aryé

    06:07

  • Pourquoi un CRM est indispensable pour un cabinet d’expertise comptable

    09:12

  • L'impact du CRM sur la gestion cabinet

    17:57

  • Les avantages clés d'un CRM pour l’Expert-Comptable

    23:12

  • Le CRM est-il adapté à tous les cabinets d’expertise comptable

    31:04

  • Les enjeux pour intégrer un CRM (formation, prix, etc.)

    36:29

  • Comment mettre en place un CRM dans mon cabinet d’expertise comptable

    41:37

  • En apprendre plus sur Aryé avec le JEU "Ceci ou cela"

    47:46

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