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Marketing & Influence - le podcast de Cyril Attias

#82- Jean-Philippe Louis - Snap.inc

#82- Jean-Philippe Louis - Snap.inc

59min |26/06/2025
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Marketing & Influence - le podcast de Cyril Attias

#82- Jean-Philippe Louis - Snap.inc

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59min |26/06/2025
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Description

Dans cet épisode du podcast Marketing & Influence, Cyril Attias reçoit Jean-Philippe Louis, responsable Content & Creators Partnerships chez Snap France. Ensemble, ils décryptent la stratégie d’accompagnement des créateurs sur Snapchat, de la naissance du programme Snapstar à l’impact de Spotlight pour la découverte de nouveaux talents.

Jean-Philippe partage son parcours de journaliste à expert de l’écosystème créatif, ses conseils pour réussir sur Snap, et revient sur des success stories inspirantes comme Léna Situations ou Gaël Monfils. Vous découvrirez comment Snapchat soutient l’authenticité, la monétisation et l’innovation pour offrir aux créateurs et aux marques un terrain d’expression unique.

#Marketing #MarketingInfluence #Podcast #Digital #CréateursDeContenu #ADMSParis #Instagram #CyrilAttias #InfluenceMarketing #snapchat

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour, je suis Cyril Attias, fondateur de ADMS.Paris, Globe Group. Avec plus de 20 ans de carrière dans le digital, j'ai voulu créer un espace de dialogue avec celles et ceux qui façonnent l'univers du marketing, des médias sociaux et de l'influence. Marketing et influence, c'est le podcast qui décrypte en profondeur les stratégies des marques, des plateformes et des talents qui font bouger les lignes. Vous êtes directeur marketing, créateur de contenu, influenceur ou simplement passionné par l'écosystème digital ? Vous vivez entre TikTok, Instagram, Twitch ou LinkedIn ? Alors installez-vous et découvrez mon invité du jour. Bonjour, aujourd'hui je reçois Jean-Philippe Louis, Content and Creators Partnerships Manager chez Snap. On va parler ensemble de sa mission aux côtés des créateurs, comment il les accompagne, comment Snapchat les soutient avec des ressources dédiées, et surtout comment la plateforme les aide à créer du contenu. toujours plus impactants et adaptés à leur communauté. Ce podcast a été réalisé en partenariat avec Les Gens d'Internet, le média expert de l'influence et des créateurs de contenu, et ADMS.paris Globe Group, créateur de stratégie Impact. Bonjour Jean-Philippe.

  • Speaker #1

    Bonjour.

  • Speaker #0

    Bienvenue.

  • Speaker #1

    Merci.

  • Speaker #0

    Je suis ravi de t'accueillir. Est-ce que tu peux te présenter ? Pour commencer, parce qu'il faut qu'on pose le décor. Alors c'est parti.

  • Speaker #1

    Je suis Jean-Philippe Louis, mon nom de famille, beaucoup de prénoms. Je suis responsable...

  • Speaker #0

    Dans l'ordre, c'est bon.

  • Speaker #1

    Dans l'ordre, c'est bon. Ce n'est pas Jean-Louis, c'est Jean-Philippe. Je suis responsable des partenariats contenus pour la France, pour Snapchat. Et notamment la partie talent, créateur et les partenariats avec les créateurs de contenus par les Gimagines.

  • Speaker #0

    Ok, super. Est-ce que tu peux nous raconter ton parcours avant Snapchat ? J'imagine qu'il y a eu une vie avant Snapchat.

  • Speaker #1

    D'ailleurs,

  • Speaker #0

    on dit Snap ou Snapchat ?

  • Speaker #1

    Alors, Snap Inc. C'est la société.

  • Speaker #0

    Officiellement,

  • Speaker #1

    on dira Snap. C'est plutôt l'application.

  • Speaker #0

    Ok,

  • Speaker #1

    alors on dit Snap. Alors, mon parcours, il y en a eu plein. En fait, on va faire court. Je suis un ancien journaliste. J'ai travaillé dans la presse magazine, la presse quotidienne, radio, télé. Et puis, je suis arrivé en 2020 chez Snap pour gérer d'abord la partie médias. Il cherchait quelqu'un qui connaissait...

  • Speaker #0

    Il y a toujours une grosse partie média.

  • Speaker #1

    Il y a toujours une grosse partie média. Il cherchait quelqu'un qui pourrait rencontrer les publishers, connaître l'écosystème médiatique. Et donc, je suis arrivé d'abord pour ça, en éditorial, vraiment pour conseiller les publishers. Et puis, petit à petit, en gros, l'écosystème a grossi et on va en parler. Et du coup, ce qui m'amène maintenant à travailler aussi avec les créateurs.

  • Speaker #0

    Ok, donc... Le monde print, on va dire, médias classiques, jusqu'à ce stade.

  • Speaker #1

    Médias classiques, oui, exactement.

  • Speaker #0

    Une bonne position quand même. Oui,

  • Speaker #1

    alors sur les médias classiques, il y avait beaucoup de nouvelles écritures. On a travaillé sur le podcast des échos. J'avais aussi, j'étais responsable business music aussi aux échos. Et donc, j'avais un podcast qui s'appelait Business of Music.

  • Speaker #0

    Très bien.

  • Speaker #1

    Qui parlait de la musique.

  • Speaker #0

    Bon, alors tu es dans l'écosystème, c'est bon. Oui, ça va. Depuis longtemps. Et alors du coup, ça veut dire quoi ? Ton rôle chez Snapchat, tu t'occupes des créateurs, tu t'occupes de l'éditorial ?

  • Speaker #1

    Non, je m'occupe des partenariats avec tous les créateurs de contenu, et créateurs de contenu au sens large. On parle de la communauté, c'est-à-dire les comptes publics, ce qu'on appelle les Snapstars, on en parlera. Ce sont des comptes certifiés, ceux avec qui on a un vrai partenariat, et qui monétisent aussi parfois sur la plateforme, les célébrités, mais aussi les médias. type Le Monde Brut, etc. En fait, on va travailler ensemble pour développer l'écosystème. Mais mon travail, vraiment, il consiste surtout à améliorer et créer une expérience de contenu pertinente pour les utilisateurs sur Snap et toujours améliorer cette expérience. Et donc, le but pour nous, c'est faire en sorte que nos partenaires... puisse trouver notre audience, parler à notre audience et faire en sorte que notre audience puisse s'informer, se divertir avec des contenus de qualité et brand safe, évidemment.

  • Speaker #0

    D'accord. Donc toi, en fait, tu maîtrises la plateforme, tu maîtrises les messages et les codes, en tout cas, un peu plus que la moyenne, on va dire, mais en même temps, tu les aides à appréhender cette nouvelle écriture, ce nouveau format pour que ça puisse matcher avec les actualités et vos communautés.

  • Speaker #1

    C'est ça, il y a une part d'éducation parce que quand on est un créateur et qu'on utilise Snapchat, on l'utilise souvent pour soi, pour parler à ses amis, on crée du contenu, mais on ne sait pas vraiment où créer du contenu en utilisant l'application, sans savoir en fait quelles sont les bonnes pratiques. Et donc c'est notre rôle aussi de travailler ces bonnes pratiques, mais ça va être pareil aussi pour des médias, pour comprendre en fait comment leur ADN peuvent coller avec la plateforme.

  • Speaker #0

    D'accord. Du coup, c'est beaucoup de travail, ça, parce qu'il y a beaucoup de célébrités, des vérifiés, des créateurs.

  • Speaker #1

    Pas tout seul, heureusement.

  • Speaker #0

    C'est énorme. Oui, c'est énorme. Et ça se fait sous quel format ? Vous avez des masterclass ? Je ne sais pas, vous faites des… Oui,

  • Speaker #1

    alors, il y a une part de scale. Il y a la partie produit. Il y a aussi des notifications inaptes. Toutes ces choses-là sont déjà importantes pour que les créateurs puissent comprendre que, en fait, cette vidéo… a eu du succès. Donc, en gros, le créateur, il va se dire quand je fais ce type de contenu, j'arrive à atteindre une audience. Et puis, il y a cette partie...

  • Speaker #0

    Il y a des cours d'apprentissage.

  • Speaker #1

    Bien sûr, il y a... Il y a aussi le relationnel, tous les jours, au quotidien, avec les créateurs. C'est très important, évidemment. Et puis, il y a cette partie, effectivement, Snap School. Donc, ce sont des bonnes pratiques. On a créé, en fait, une école. Snap School, ce sont tout simplement des bonnes pratiques délivrées. En fait, ce sont des formations, des sessions, masterclass. Et on les fait, en fait, avec les agences, avec les créateurs, avec les célébrités, avec les médias. Et donc, l'idée, c'est qu'ils puissent vraiment comprendre Snapchat, comment Snapchat est pensé. La différence aussi avec les autres plateformes, c'est important.

  • Speaker #0

    C'est différenciant quand même.

  • Speaker #1

    Très différenciant.

  • Speaker #0

    Je ne sais pas si au début, on disait que ce n'était pas un réseau social.

  • Speaker #1

    C'était ça l'idée. En fait, Snapchat, c'est une caméra d'abord. Oui, c'est ça. C'est un sonprix. C'est toujours... C'est marrant, quand j'en parle notamment durant les Snap School, il y a cette volonté pour l'utilisateur, en tout cas pour Snapchat, que vous soyez actif sur la plateforme. C'est-à-dire, en gros, je suis sur la caméra, j'utilise la messagerie, je parle à mes amis, à ma famille. Et c'est vraiment le cœur de

  • Speaker #0

    Snapchat. Donc c'est un véritable écosystème de tout ce qu'on peut avoir besoin au quotidien. Où sont mes amis ? Je leur parle, je fais du contenu. Centralisé dans une application.

  • Speaker #1

    C'est ça, c'est tout. C'est plusieurs applications presque dans une application. Et l'idée, effectivement, c'est d'avoir toutes ces possibilités à la fois de communication et de création et de créativité, avec l'AR également, sur une même plateforme.

  • Speaker #0

    Ok. Alors depuis 2020, c'est ça, tu es arrivé en 2020. Est-ce que tu as vu une évolution côté créateur ? C'est-à-dire, est-ce qu'il y en a eu énormément, un peu moins, un peu plus ? Est-ce qu'ils sont plus exigeants ? Comment tu as vécu cette évolution depuis cinq ans maintenant ?

  • Speaker #1

    Oui, la plateforme a évolué. Alors, il y a une raison simple. On a lancé un programme qui s'appelle Snapstar, un programme de certification.

  • Speaker #0

    Donc ça, c'est quoi ?

  • Speaker #1

    Snapstar, c'est tout simplement, on va choisir les créateurs via des critères qui sont en ligne, qui sont engagement du compte, pertinence, qualité du contenu. Et en gros, ils vont être certifiés et ça va leur donner accès à toute une série de fonctionnalités, de produits pour émerger, pour augmenter l'audience et à terme pour monétiser. Sachant que lorsque je suis Snapstar, je ne monétise pas directement. Il y a encore des critères parce qu'on fait évidemment attention. à ce que les contenus qui soient monétisés soient de qualité. En fait, on va travailler avec les créateurs pour atteindre ce niveau.

  • Speaker #0

    C'est un star.

  • Speaker #1

    Tout le monde va se battre,

  • Speaker #0

    tout le monde va t'appeler.

  • Speaker #1

    Et donc, ce programme a été lancé en 2015, mais il manquait quelque chose, c'est tout simplement une expérience locale. On s'est staffé vraiment en 2020-2021 avec mon arrivée, mais aussi l'arrivée de Julie Bogard et aussi des équipes. content et créateur. Et l'idée, c'était vraiment de créer cette expérience locale. Puisque jusqu'à présent, en gros, il y avait une grosse part algorithmique et donc l'élément magique, qui est l'humain,

  • Speaker #0

    manquait. Voilà,

  • Speaker #1

    exactement. Et c'est vrai qu'on oublie quand même parfois que derrière ces algorithmes, il faut des humains, il faut cet élément magique. J'aime bien ce terme parce que j'avais entendu une fois...

  • Speaker #0

    L'algorithme sont les créateurs, il n'y a pas d'algorithme.

  • Speaker #1

    Exactement. Et donc... On a mené un audit, on a regardé comment la plateforme était considérée aussi par les créateurs. Et puis, il y a eu toute cette part d'action. Alors, cette part d'action, il y a eu une partie très positive qui consistait à aller chercher de nouveaux contenus, à aller travailler avec de nouveaux créateurs, de nouveaux types de créateurs, diversifier, voir quel vertical il manquait aussi. Est-ce qu'il y a, est-ce qu'on a, je suis passionné. de wellness, de beauté ? Est-ce qu'on a des contenus qui vont... Plus bizarrement. Voilà, exactement. Donc, il y a toute cette osite. Et puis aussi, cette partie... Qui sont les bons acteurs ? Qui sont les mauvais acteurs ? Est-ce qu'il y a du contenu qui ne devrait pas être présent sur la plateforme ? Évidemment, il a fallu faire ce travail-là également. Donc très rapidement, dès 2020-2021, même plutôt 2021, jusqu'à arriver à un écosystème un peu plus sain désormais, avec des critères, avec aussi des guidelines stricts, des règles communautaires très strictes et précises surtout pour nos créateurs.

  • Speaker #0

    Donc du coup, une évolution assez rapide quand même. Entre 2020 et maintenant, il y a les Snapstars. Tout le monde se bat pour les avoir. Il y a d'autres sujets aussi. Il y a les Spotlights, il y a les AR. Il y a pas mal d'autres produits. En fait, est-ce que c'est une spécificité Snapchat d'avoir toute une série de produits quand même qui, je pense, s'adresse à différents types de créateurs ou différents types d'audience ? Mais c'est quand même une boîte à outils. C'est-à-dire qu'à chaque fois qu'on parle de Snap... Ah ouais, mais il y a les feeds, il y a les AR, il y a l'imagine, il y a les tout. En fait, j'ai l'impression qu'il y a quand même pas mal d'outils derrière. Et ce qui fait peut-être, à mon avis, un peu plus votre différenciation par rapport au marché. Mais la stratégie derrière ces outils, c'est quoi ? C'est de pouvoir donner ce que veulent les créateurs. C'est ça. Ou de pouvoir augmenter l'expérience vidéo.

  • Speaker #1

    C'est un peu tout ça. Déjà, on est une plateforme, on est une société qui est basée sur l'innovation. Il y a beaucoup de stratégies d'acquisition, etc. dans les boîtes. Bien sûr. Et il y en a sûrement chez Snap. le cœur même de Snapchat, c'est d'innover, de créer des choses, des nouveaux produits. On le voit avec les arts, les lenses, etc. Donc l'idée pour nous, c'était, on a les créateurs, on a aussi des success stories, on avait énormément de créateurs qui commençaient sur Snap et en fait, qui allaient vers d'autres plateformes également parce qu'ils n'avaient pas les outils, les fonctionnalités et les produits pour être découverts, par exemple. Donc c'est la raison pour laquelle on a lancé Spotlight. C'est-à-dire que les stories, on a... créé ce format, on a mis au monde ce format Story.

  • Speaker #0

    Vous étiez les inventeurs du format quand vous vous accopiez assez rapidement, mais bon, c'était vous les premiers, ça on s'en souvient.

  • Speaker #1

    Mais Story, c'est de l'engagement. C'est beaucoup d'engagement même. C'est-à-dire on a des créateurs qui vont poster des Stories et vous allez avoir les abonnés qui vont regarder Snap par Snap « Tu n'as pas posté de Stories aujourd'hui, tout va bien, etc. » Donc voilà, c'est cet engagement. Mais il manquait cet élément qui est J'arrive sur Snap et je parle à mes amis. Et en fait, je me dis, j'aimerais avoir un compte public. Je me rends compte que j'ai un concept, j'ai des idées, je suis drôle ou je veux éduquer ou informer sur un sujet. Comment émerger sur la plateforme ? Et donc, on s'est rendu compte qu'il manquait ce produit. Parce que les stories, au final, on est sur l'engagement pour les abonnés. Et donc, du coup, c'est la raison pour laquelle on a créé Spotlight. Spotlight, c'est notre outil qui va permettre aux créateurs d'être vraiment découverts. découvert sur la plateforme. Et donc, on crée des outils aussi comme ça, des produits basés sur les feedbacks, sur l'expérience des créateurs, ce qu'ils manquent. On a aussi lancé des outils de collaboration commerciale parce qu'il manquait cette possibilité très simple pour un créateur d'appuyer sur un bouton et de dire je fais une collaboration commerciale avec la marque. La marque est taguée, elle peut ensuite mettre du paid, etc. Donc, ce sont tous ces produits-là. On avance aussi avec les créateurs, on les écoute beaucoup.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ce que j'ai l'impression par rapport à d'autres plateformes aujourd'hui qui sont très centrées sur les revenus publicitaires et sur le... Vous aussi sûrement, mais en tout cas, il y a quand même une écoute plus forte, j'ai l'impression, de la part de la communauté ou des créateurs de contenu et vous.

  • Speaker #1

    Il y a un accompagnement peut-être.

  • Speaker #0

    Oui,

  • Speaker #1

    un accompagnement. En gros, on essaie d'être proche de notre identité, de l'identité de la plateforme.

  • Speaker #0

    Il ne faut pas l'oublier. C'est ça qui est un danger aujourd'hui.

  • Speaker #1

    Et ce qui fait l'identité de la plateforme, c'est la proximité, c'est l'authenticité, etc. Et il faut que nous aussi, dans notre façon de travailler, qu'on soit liés, alignés avec cet ADN. Et donc, on va vraiment faire des snapschools, parfois virtuels, mais très souvent physiques. On va rencontrer les créateurs, on va discuter avec eux, on va prendre des feedbacks. On va vraiment essayer de travailler main dans la main. Et c'est pour ça que je disais que je ne suis pas responsable éditorial, mais partenariat, parce que du coup, on va vraiment nouer de vrais partenariats avec les créateurs. et on va aussi... les récompenser et récompenser leur engagement. Et ça, c'est un sujet qui est important parce qu'on demande beaucoup, tout le monde demande beaucoup aux créateurs. Mais c'est vrai qu'il y a ce besoin aussi pour un créateur de pouvoir se dire je vais pouvoir créer un business, je vais pouvoir lancer un business, je vais pouvoir vivre de mon engagement parce que sinon, c'est dommage de créer de l'engagement, de créer de l'engagement et de jamais être.

  • Speaker #0

    Aujourd'hui, tu as des créateurs qui vivent 100% des revenus Snapchat.

  • Speaker #1

    Oui, on en a.

  • Speaker #0

    Qui ont vraiment aimé la plateforme et qui l'ont appréhendée et intégrée et qui aujourd'hui ne font que du Snap ?

  • Speaker #1

    Alors, qui font que du Snap, je ne sais pas, parce que c'est pertinent de ne faire qu'une plateforme. C'est plutôt rare. En tout cas, oui, Snapchat devient leur plateforme d'inspiration principale. Ils vont d'abord poster et ensuite, ils vont explorer les autres plateformes. C'est une volonté pour eux d'aller, de d'abord créer sur Snap, de parler à leurs vrais fans, c'est un peu ce qu'ils disent, les vrais fans sont sur Snapchat, et ensuite, évidemment,

  • Speaker #0

    il y a une stratégie un peu plus grosse plateforme. Et du coup, il y a une typologie de créateur qui marche le mieux, par rapport à tout ce que tu peux voir, est-ce que c'est, je n'en sais rien, les humoristes, les wellness, ou les sportifs qui marchent le mieux ?

  • Speaker #1

    Non, j'aime bien dire... Je dis ça en Snap School, souvent on a 21 millions d'utilisateurs actifs tous les jours.

  • Speaker #0

    En France ?

  • Speaker #1

    En France, oui. D'accord. Du coup, 21 millions de personnes. Si 21 millions de personnes, c'est toujours la même chose. Évidemment, les 21 millions, tous ne regardent pas tous les contenus. Mais c'est vrai qu'on a une forte audience sur la plateforme. Donc, toutes les verticales sont possibles sur Snapchat. Il y a une chose qui est importante en revanche, c'est la compréhension des deux formats. qui sont Stories et Spotlight. Et c'est ce qui va faire qu'un créateur va être très fort sur la plateforme. Moi, je suis toujours fasciné par ce que l'ENA Situation a fait sur la plateforme en arrivant. Il n'y a pas si longtemps que ça, au final. Parce qu'on demande beaucoup, finalement, à quelqu'un comme l'ENA Situation. J'ai l'impression qu'il y a cette pression d'être au top, le premium, le parfait, énormément de demandes des marques, etc. On parle quand même de la plus grosse créatrice. en France. Et elle est arrivée, elle a commencé à poster sur Snapchat et c'était fascinant parce qu'en fait, il y a une maîtrise totale de la plateforme. Il y a une maîtrise de l'authenticité même sur les stories, c'est-à-dire qu'elle a réussi à garder son ADN, ce pour qui on la connaît, et à délivrer, donner de nouvelles choses, beaucoup plus que ce qu'on pourrait voir sur les autres plateformes. Et je suis assez fasciné par son compte.

  • Speaker #0

    Elle a fait la Snap School.

  • Speaker #1

    C'est surtout grâce à l'application et aux produits. Les produits sont faits pour... Moi, je suis juste là pour guider. Après,

  • Speaker #0

    elle interprète le sujet. Parce que l'ENA est arrivé il y a combien de temps ?

  • Speaker #1

    L'ENA est arrivé il n'y a pas si longtemps sur la plateforme. Et surtout, elle a... Je ne sais pas si elle était déjà présente sur la plateforme, mais elle est arrivée vraiment... Elle a commencé à poster énormément, à communiquer. sur la plateforme il y a un peu moins d'un an et effectivement depuis c'est une masterclass je pense qu'elle pourrait elle pourrait nous faire une masterclass pour nous dire Et là typiquement Léna elle arrive toute seule ou tu as été la chercher ? On l'accompagne,

  • Speaker #0

    on ne va pas la chercher mais on l'accompagne Tu la sensibilises au produit

  • Speaker #1

    On a beaucoup de demandes de créateurs qui disent comment je peux aller plus loin comment je peux devenir Snapstar, comment je peux être monétisé, comment juste je peux aussi avoir plus d'audience, une meilleure audience augmenter mon nombre d'abonnés et donc en fonction des demandes, nous on va mettre en place tout un système ça peut être ça va de quelque chose de très scalable comme un webinaire par exemple sur un sujet précis à la Snap School spécifique à

  • Speaker #0

    l'accompagnement au jour le jour T'as qui en France aujourd'hui à parler NAR, à K-pop ? Ou les derniers arrivés ? Ou ceux qui t'ont marqué récemment ?

  • Speaker #1

    Ceux qui m'ont marqué ? Gaël Monfils. Oui, c'est intéressant. Oui, parce que c'est toujours... Nous, on est la plateforme de l'authenticité. On va en parler. On a été créé pour ça. Tout le monde en parle maintenant.

  • Speaker #0

    D'accord.

  • Speaker #1

    J'ai vu que c'était le mot de 2023 aux États-Unis, selon le plus vieux dictionnaire américain. C'est le mot. Ce qui est intéressant pour nous, c'est un peu plus simple puisqu'en fait la plateforme a été conçue pour l'authenticité et ce qui me marque avec ce qui m'a frappé avec Gaël Monfils c'est qu'on parle quand même de Gaël Monfils on parle d'un top sportif qui joue en célébrité en célébrité aussi au niveau du sport clairement et qui joue des tournois qui est en compétition et il était en Australie et donc alors il faisait une compétition moi je suis toujours surpris de voir à quel point à 38 ans on a le même âge Merci. Comment il arrive à se battre ?

  • Speaker #0

    Il n'a pas encore arrêté. Non, il est encore dedans. C'est la force tranquille.

  • Speaker #1

    Exactement. Il a 38 ans et je le vois, il arrive à aller dans des tournois face à des mecs de 25 ans.

  • Speaker #0

    C'est facile. Il faut tenir quand même.

  • Speaker #1

    Il faut tenir, exactement. Et sur Snap, il débriefe. Et il débriefe. Et il débriefe. Et il répond aux questions. Et il débriefe les matchs. Et je me dis, c'est quand même fou de se dire que... Gaël Monfils, il sort de son tournoi il prend son téléphone et il débriefe sur Snap et moi je trouve ça fascinant et ça marche évidemment bien sûr, c'est un contenu hyper exclusif toutes les télés se battraient pour avoir je me suis demandé ça donnerait quoi effectivement si j'étais une télé j'avais ce type de contenu ou même une marque face à ce type de contenu, c'est quand même assez fascinant on est sur l'engagement plus Gaël Monfils il m'impressionne pas mal, il y en a plein d'autres Marcus aussi sur le côté un peu plus ... fashion, on a des sportifs vraiment c'est assez tu as Léa ou pas ?

  • Speaker #0

    Léa et lui ?

  • Speaker #1

    L'ILU, oui, bien sûr.

  • Speaker #0

    On travaille beaucoup avec elle.

  • Speaker #1

    Non, non, elle est super. C'est presque maintenant une ancienne de la plateforme. Elle se pose depuis longtemps. C'est super.

  • Speaker #0

    C'est vrai qu'elle a des grosses audiences aussi.

  • Speaker #1

    Et puis, ce que j'aime beaucoup, c'est qu'on a aussi tous une nouvelle génération de créateurs sur la plateforme. Je pense à Baki. Et ce que je vois avec ces créateurs, c'est qu'ils sont un peu plus, encore plus, un peu comme Lena, il y a une dimension un peu plus globale. D'accord. Ils parlent en français, ils parlent en anglais.

  • Speaker #0

    ils jouent presque avec l'algorithme au final ah oui alors ils sont plus niques que la moyenne il y en a qui parlent pas comme ça ils se disent c'est un contenu international exemple comme Mathéo Ciné ou Baki ce sont des créateurs un peu mode,

  • Speaker #1

    beauté, lifestyle et on a toujours ce j'ai toujours cette discussion si je fais des contenus mode comment respecter ma DA etc et en fait je me rends compte que ces créateurs plutôt Gen Z arrivent totalement à faire du premium et de l'authentique en même temps. Et c'est génial. Et c'est super bien. Et je pense, à mon avis, que ça vient du fait que cette génération est totalement digitale native et qu'elle arrive clairement, très rapidement, à distinguer le faux de l'authentique. Et du coup, ils arrivent vraiment à créer...

  • Speaker #0

    Il y en a des types chez eux.

  • Speaker #1

    Voilà, on arrive à faire du backstage, etc. Je me rappelle, Mathéo Siné, il est en tournage pour une grande marque de luxe et il est dans la voiture. Il fait... les backstage, du maquillage, etc., durant la Fashion Week, etc. C'est vraiment... Moi, je me régale à regarder ce type de contenu.

  • Speaker #0

    Et tu vois des contenus originaux ou bien en général, ils essayent d'observer ce qui se passe ailleurs ou de regarder ce qui se passe sur les grands comptes et de refaire pareil. Est-ce que tu vois une originalité quand même dans les contenus ?

  • Speaker #1

    Non, parce que Snapchat, c'est la plateforme où on est soi-même. Donc, c'est très original, surtout sur les stories. C'est vrai que le spotlight, c'est un peu différent. Au final... Les plateformes, on va avoir des plateformes très vitrines. On va avoir une plateforme où je vais mettre le meilleur de moi-même, le contenu monté, parfait. Je vais prendre à peu près 10 minutes pour poster une vidéo. Et puis, je vais avoir aussi un contenu un peu plus trendy. C'est-à-dire, en gros, je dois m'inscrire dans une trend pour être découvert ou pour être vu. Donc, en fait, ce n'est pas moi qui compte, c'est la trend. Sur Snapchat, c'est totalement l'inverse. il y a un créateur je pense qui Il ne sera pas fâché que je... Son nom, parce qu'on se connaît bien, qui s'appelle Tim, Timothée. Et Timothée, il est mannequin. Donc, il fait la Fashion Week, une séance avec le gros spark de luxe, etc. Et il poste sur Spotlight ce contenu très prévu, très bien fait, très beau. Et on discute et il me dit « Mais tu sais, JP, j'ai une autre passion, c'est que je suis aussi chanteur de gospel, etc. » Et il me dit « Mais je ne sais pas comment raconter ça sur les autres plateformes. » Et je lui ai dit, en fait, tu as un format assez fascinant pour ça, assez sympa pour ça, pardon, c'est les stories. Et du coup, ce qui est intéressant, c'est qu'il dévoile beaucoup plus sur Snap que ce qu'il pourrait dévoiler ailleurs. Parce que du coup, il va évidemment être le mannequin que tout le monde connaît. Mais il est aussi, sur Snap, le chanteur de gospel, la passion pour la musique, pour la spiritualité, tout ce qui est lié à son gospel et au mouvement. Mais du coup, voilà, il a cette...

  • Speaker #0

    Donc en fait, il a deux personnalités. C'est-à-dire qu'il est mannequin sur Spotlight. Non, il a sa seule personnalité. Oui, mais c'est sa facette. C'est les deux facettes de sa personnalité qu'il exprime sur deux canals différents de la personne.

  • Speaker #1

    Je pense que sur Snapchat, il a sa personnalité. Parce que sa personnalité, on est multifacette.

  • Speaker #0

    Bien sûr, oui, c'est ça. On n'est pas que mannequin, défilé, on est tout.

  • Speaker #1

    Je ne suis pas que responsable du partenariat contenu Snapchat. Ah bon ? J'aime aussi les restos.

  • Speaker #0

    tournant, surfe, tu as des passions.

  • Speaker #1

    Du coup, on ne se cantonne pas forcément à cette étiquette et on va plus loin. C'est ce qui est génial.

  • Speaker #0

    C'est cool quand même que les créateurs trouvent encore des expressions différentes ou des ressorts différents parce que c'est vrai qu'avec toutes les plateformes qu'on a aujourd'hui, on pourrait se dire que toutes les demandes sont comblées. Ils ont tout ce qu'il faut, tous les formats, tous les machins, mais ils se posent encore les questions de comment faire autre chose différemment. Je crois que le côté qui est intéressant avec les créateurs, c'est qu'ils veulent tous être différents.

  • Speaker #1

    C'est ça.

  • Speaker #0

    Et donc, qui veut être différent, va chercher à fond une USP produit pour se dire, tiens, j'ai maîtrisé ce sujet-là, donc je vais le faire mieux que les autres et donc je vais me différencier. Ou alors, je vais m'exprimer différemment selon les plateformes. Oui,

  • Speaker #1

    et puis, il y a ce côté où finalement, je réfléchis un peu moins, encore une fois, sur Story spécifiquement. Une créatrice disait, c'est drôle sur Snap, si je laisse tomber mon téléphone, je continue à filmer. Je continue de filmer. Je suis en train de poster, je prends mon téléphone, il tombe, je continue. Parce qu'en gros, je suis clairement sur... Je parle avec ma communauté. Snapchat a été créé pour les amis et la famille. Et au final, les créateurs vont s'insérer un peu dans ce sens-là. Et donc, il y a vraiment ce côté super fan dont je parlais. Les artistes aussi ont bien appréhendé, certains en tout cas, ont bien appréhendé Snapchat. Sur Spotlight, ils vont mettre par exemple les extraits de clips, les coulisses, les performances, les lives. Et puis sur les stories, ça va être les sessions studio, les discussions, les préparations, les chorégraphies, backstage, etc. Et en fait, les deux se marient. Ça marche super bien.

  • Speaker #0

    En fait, c'est quand même des bons formats qui sont faciles à « comprendre » , mais à maîtriser. Ça dépend de chacun. Mais ils ont trouvé leur place. Ils ont les off et les on.

  • Speaker #1

    Exactement.

  • Speaker #0

    Qui fait que…

  • Speaker #1

    Exactement, ça faut le faire.

  • Speaker #0

    Ça, c'est cool. Il y a un nouveau système de partage de revenus, je crois, sur les stories aujourd'hui, avec les créateurs. Tu peux nous en parler un peu ?

  • Speaker #1

    Oui. Je disais tout à l'heure, on demande beaucoup. Non, c'est juste, je voulais revenir sur ce que je disais tout à l'heure. On demande beaucoup aux créateurs. Je disais, je suis un ancien journaliste. J'écrivais des articles aussi sur les créateurs à l'époque. Et c'est vrai que j'ai l'impression qu'on demandait de plus en plus. On a posté 23. 20 fois par jour, 30 fois par jour. On les a pris par les machines. Il faut poster une vidéo de 3 minutes, de 5 minutes, de 20 minutes, avoir une équipe pour du montage, etc. pour faire du contenu un peu comme ce podcast. Très bien. Et à la fin, je trouvais que, enfin, pas moi, mais on trouvait qu'il fallait quand même récompenser cet engagement. Et donc, du coup, c'est tout simplement un simple partage de la valeur. Qu'est-ce que le partage de monétisation ? C'est tout simplement un programme de rêve cher, donc de partage de revenus. sur les publicités qui sont donc insérées dans les stocks. C'est très simple. Oui, c'est simple. Donc, en gros, on récompense l'engagement et on se rend compte effectivement que c'est un impact assez important pour les créateurs et même sur le nombre de postes sur la plateforme et même sur les interactions entre les créateurs et les fans. On est à 15 milliards d'interactions entre les créateurs et les fans. C'est assez fou.

  • Speaker #0

    La France, c'est un gros marché pour Snap.

  • Speaker #1

    La France, c'est l'un des plus gros marchés pour Snap. Je disais, on est à 27,8 millions d'utilisateurs mensuels, 21 millions d'utilisateurs actifs par jour. On est un très gros marché. Les US, la Grande-Bretagne, etc.

  • Speaker #0

    Top 3, c'est quoi ? US, France ? US, UK ?

  • Speaker #1

    Oui, US, UK et aussi l'Inde, forcément. très gros marché, mais après, en Europe, ce sera surtout Grande-Bretagne et France. Et puis après, il y a des marchés qui se développent très bien. L'Allemagne, les Nordiques, qui sont des marchés où, justement, en fait, on travaille, on commence à créer cette expérience locale qu'on a réussi à créer en France, où on est un peu plus mature, quand même. Oui,

  • Speaker #0

    c'était un des premiers marchés qui a été lancé, non ?

  • Speaker #1

    Oui, c'est l'un des premiers.

  • Speaker #0

    Parce qu'à l'époque, je me rappelle, Evan Spiegel, le patron, faisait la tournée au Cannes Lions, à la publicité. Il vient faire le tour en France. Il aimait bien la France. Et en même temps, il n'y a pas de marché que vous ne couvrez pas aujourd'hui. Vous couvrez tous les marchés.

  • Speaker #1

    On ne couvre pas tous les marchés, mais on couvre une grosse partie.

  • Speaker #0

    Une grosse partie. Et aujourd'hui, vous intervenez dans l'accompagnement des créateurs sur la partie monétisation aussi ?

  • Speaker #1

    Oui, bien sûr. On accompagne avec tout simplement... Déjà, on va donner informé sur les critères. L'idée, c'est de...

  • Speaker #0

    que les créateurs, que la communauté, je parlais de ce créateur qui crée du contenu juste avec ses potes et ensuite qui est en compte public et qui commence à publier, qu'il sache tout simplement quelles sont les règles pour arriver à la monétisation. Donc en gros, on va dans les Snap School, dans les relations, donner les informations concernant la monétisation. Quels sont les critères pour être monétisé, comment ça fonctionne. L'éducation et puis aussi les critères de qualité de contenu qui sont importants. Parce que quand on est monétisé, évidemment... comme disait le père de Spiderman, grand pouvoir, grande responsabilité. Donc l'idée, c'est vraiment de se dire qu'ils comprennent vraiment notre écosystème. Nous, je commence souvent les Snap School en disant aujourd'hui, c'est portes ouvertes. Vous allez tout savoir, vous allez comprendre comment ça fonctionne, comment monétiser sur la plateforme. Évidemment, il y a une volonté pour tous les créateurs d'être monétisés et notre but, c'est qu'ils puissent être monétisés. Donc notre but, c'est d'avancer avec eux pour qu'ils puissent arriver à ces... à cette échelle de monétisation. Et une fois qu'ils sont arrivés à cette échelle de monétisation, qu'ils puissent aussi bien monétiser. Donc, on va aussi leur livrer des bonnes pratiques, nombre de postes par jour, type de contenu, poster aussi pendant des moments importants. C'est important, la fashion week.

  • Speaker #1

    Vous avez des certifications, des genres de choses comme ça ? Non, ils n'ont pas de certification à passer, passer d'un niveau à l'autre.

  • Speaker #0

    Non, il n'y a pas de certification. Ils ont des critères. Il y a des critères qui permettent d'être. Monétiser, mais aussi on peut être démonétisé. Ah, moi aussi. Il faut faire attention. Donc en gros, les critères sont publics, ils sont assez connus. C'est-à-dire, il y a l'engagement, mais l'engagement n'est pas tout. Souvent, je vais avoir des créateurs qui vont dire, j'ai X milliers d'abonnés, pourquoi je ne suis pas monétisé ? En fait, l'engagement n'est pas tout. Il y a la pertinence, il y a l'authenticité. Tout simplement, le fait que le contenu m'appartienne. Si par exemple j'ai 600 000 abonnés mais c'est un contenu qui reprend tous les contenus sportifs de tous les médias, bon j'ai pas le droit, ça va être compliqué en plus de monétiser sur ce contenu. Donc l'authenticité est importante et puis surtout, et clairement je pense que c'est la ligne la plus importante, le respect de nos règles communautaires. Et c'est aussi là où il y a un gros travail d'éducation, comprendre quelles sont nos règles. qu'est-ce qu'une violation de nos règles communautaires, qu'est-ce qu'on peut faire et ne pas faire. Souvent aussi, il y a parfois de la bonne foi. Parfois, il y a beaucoup de créateurs qui disent qu'en fait, je ne savais pas. Je ne savais pas que je ne pouvais pas snapper en conduisant. Ça a l'air évident comme ça, mais en fait, non, c'est une violation. Parce que c'est dans le bonnet. Voilà. Ou si je le tiens avec une main, ça ne marche pas non plus. Et donc, du coup, il faut vraiment... aussi donner ces informations aux créateurs.

  • Speaker #1

    Et puis qu'ils les lisent, parce que j'imagine que ce n'est pas le premier document sur lequel ils se ruent en arrière.

  • Speaker #0

    Et puis, je vois, ils sont souvent soulagés, ravis de connaître tout ça. Ils se disent, ah bah attends...

  • Speaker #1

    Merci, je ne le ferai plus.

  • Speaker #0

    Genre, Fnip, regarde dans un mois, tu verras les contenus, ça va être bien différent. Donc non, on est vraiment dans une vraie relation avec ces créateurs.

  • Speaker #1

    C'est du management. C'est du management de talent.

  • Speaker #0

    Talent Management.

  • Speaker #1

    Les versions plateforme, ce qui est sympa. On a mis que ça les aide plus que les vrais talent managers.

  • Speaker #0

    Après, on travaille beaucoup. Dans le partenariat, ce qui est intéressant, c'est qu'on va travailler avec tous les acteurs de l'écosystème. Les talent managers aussi vont nous aider à tout simplement découvrir aussi, peut-être parfois faire de l'acquisition, éduquer aussi un peu plus à scale. Donc être sûr que... Créer cette économie d'échelle sur l'éducation des créateurs. Travailler sur les collabs. Je donne un exemple très clair. On a lancé Collab Studio il y a un peu plus d'un an. Et Collab Studio, on a travaillé avec des agences, Follow en France, WellArt, etc. pour fournir un service clé en main aux marques et aux annonceurs pour sourcer les talents, produire les assets, suivre et gérer la campagne. influence sur Snapchat. Donc, cette relation avec les agences des talent managers va aussi nous servir.

  • Speaker #1

    Oui, c'est obligatoire pour vous parce que vous ne pouvez pas prendre chaque talent individuellement en gestion. C'est compliqué. Et aujourd'hui, Collab Studio, c'est une plateforme où les agences viennent avec leurs talents. Les marques viennent toutes seules. Comment tu gères ? Comment vous gérez votre relation aux marques aujourd'hui ? Vous êtes très focus agence, j'ai l'impression, et créateur. Enfin, dans ton job, évidemment. Mais côté marque aussi, tu...

  • Speaker #0

    On va travailler avec tout le monde. Il y a plusieurs portes d'entrée. Souvent, ça peut être l'annonceur commence l'influence ou du moins commence l'influence sur Snapchat et veut comprendre comment ça fonctionne. Donc, en gros, on va leur fournir ce service clé en main. Et pour fournir ce service clé en main, nous, on n'est pas une agence, évidemment, de talent. Donc, on reconnaît clairement l'expertise de nos... partenaire et donc ces partenaires vont servir d'experts et vont vraiment travailler sur cette collaboration en fait on répète ce qu'on a fait sur la réalité augmentée la réalité augmentée il fallait alors maintenant on parle beaucoup de réalité augmentée mais à l'époque voilà exactement c'était nouveau donc quand on discute avec un cmo qu'on lui dit en fait on va augmenter cette table alors pour dans le cadre d'une campagne etc ou mettre en place une laine c'est ce qu'il faut quand même aussi éduquer créer des cas de studi, montrer que ça marche. On le sait, nous, mais il faut le montrer. Un show d'hôtel. Enfin, voilà.

  • Speaker #1

    Voilà. On va l'appuyer.

  • Speaker #0

    Et pour ça, évidemment, on va s'appuyer sur des experts. Et donc, on va travailler avec ces agences qui vont nous aider à mettre en place ces collaborations.

  • Speaker #1

    Exactement. Aujourd'hui, il y avait avant, enfin, je ne sais pas si ça existe toujours, mais on avait beaucoup de meubles avec des lents sur des événements physiques, des choses comme ça. Ça existe toujours, ça, aujourd'hui ? C'est un produit qui fonctionne ?

  • Speaker #0

    les reality augmentation ou les miroirs oui ça existe encore, on appelle ça des IR mirrors ça marche bien c'est intéressant ça ce côté un peu plateforme digitale qui passe aux events avec un produit physique on l'utilise beaucoup dans le cadre d'événements mais un peu réfléchi on va travailler avec des marques, on va travailler sur des grands moments il n'y a pas longtemps on a travaillé sur la sortie d'un film et donc du coup Du coup, il y avait des créateurs, Snap, les Air Mirrors et donc une lens qui reprenaient les codes du film. Je ne dirais pas le nom du film, mais si on disait trois fois des frites, en fait, des frites apparaissaient. Et donc, du coup, ça permettait vraiment de créer une expérience immersive et puis un peu plus à 360. En gros, les Air Mirrors et même les Air vont aider sur la partie création de contenu pour créer une expérience un peu plus augmentée. Mais je donne un exemple. On parle beaucoup d'autres choses que l'IA. Nous, l'idée de la réalité augmentée, c'est tout simplement augmenter la réalité, comme son nom l'indique, pas vivre dans un autre monde, mais tout simplement améliorer ou mieux comprendre, mieux appréhender le monde réel, le monde existant. Et ça, c'est passionnant parce que du coup, ça peut être très simple pour des petites histoires, une histoire très simple. Camera Kit pour Alastair Academy en décembre dernier où Nico se transforme en père Noël. C'est un travail qui a été mené avec Snapchat pour annoncer la chanson de Noël. Mais ça peut être pour des sujets un peu plus éducation, ça peut être pour la promotion d'un album, ou ça peut être même pour raconter de nouvelles histoires. Je prends l'exemple de Natoo qui avait créé ce... personnage qui s'appelait Tristian en reprenant la lens crying lens on l'appelle, la lens qui pleure et en gros la lens elle est phénoménale plus je rigole plus je pleure je sais qu'aux Etats-Unis dans les stades parfois ils l'utilisent pour le mettre sur les fans de l'équipe adverse comme ça quand ils perdent plus je rigole plus je pleure et donc elle a créé tout un personnage Tristian et là c'est Merci. pas l'augmentation de la réalité, c'est l'augmentation des histoires, augmenter les histoires via la réalité augmentée. Et ça, c'est assez canon. Et ce sont les créateurs qui l'ont fait.

  • Speaker #1

    Je me suis donné un outil à disposition, puis ils l'ont réinventé ou ils l'ont réinterprété en fonction de leurs histoires.

  • Speaker #0

    C'est ça. Et c'est aussi au final, c'est aussi le principe même de la tech, créer des produits innovants, des produits qui vont être affinitaires avec la cible. Donc ici, les créateurs.

  • Speaker #1

    mais aussi les utilisateurs et en fait laisser la créativité après s'exprimer à travers ces outils et des outils à créativité mise à disposition pour raconter des histoires c'est finalement raconter des personnages on a un peu dans le cinéma donc centrique vidéo centrique et aujourd'hui vous avez beaucoup de jeunes aides sur snapchat oui c'est quoi c'est plus de 80% d'audience

  • Speaker #0

    90 non c'est pas 80% de l'audience on a une forte haute pénétration sur la genzy Mais en revanche, c'est vrai qu'il y a ce cliché qui laisse entendre que

  • Speaker #1

    Snapchat est jeune. Il y a plein de clichés sur ça. Les réseaux sociaux déjà sont jeunes, ils sont genzis déjà.

  • Speaker #0

    On a la majorité, en tout cas en moyenne, on a une audience qui est plutôt plus de 30 ans. Et du coup, on a une forte population, plus de 25 ans sur la plateforme. Il faut comprendre que Snapchat a l'audience Snapchat. Moi, je suis un Snapchateur de la première heure, j'ai 38 ans. en fait j'ai grandi avec la plateforme et c'est la raison pour laquelle d'ailleurs sur la partie contenu quand on va travailler sur les nouvelles verticales on va se rendre compte que les contenus par exemple parentalité, immobilier famille bien-être etc on va voir des pics,

  • Speaker #1

    on va se rendre compte que ils ont grandi la première heure on grandit et maintenant ils deviennent parents c'est ça,

  • Speaker #0

    ils ont grandi mais en même temps ce qui est intéressant c'est que L'audience, elle est plus âgée, elle a vieillie de la plateforme, donc ça, c'est génial. C'est bien,

  • Speaker #1

    parce qu'ils sont fidèles aussi à la plateforme.

  • Speaker #0

    Mais la Gen Z s'approprie aussi la plateforme. Alors peut-être différemment, peut-être plus avec les Lens, avec Spotlight, etc., ou la Map, mais en gros, ils utilisent Snapchat également au quotidien. Et c'est assez d'ailleurs fascinant de voir l'utilisation en fonction des tranches d'âge. Il y a une utilisation classique qui est un peu la même pour tous, mais aussi, c'est vrai qu'il y a des spécificités. On a un peu, presque en côté, masse audience, qui est intéressant chez Snap.

  • Speaker #1

    Et quand une marque vient te voir, enfin, une marque veut utiliser Snapchat pour toucher cette audience, qu'est-ce que tu lui recommandes ? C'est quoi le meilleur format ?

  • Speaker #0

    Sur les formats ?

  • Speaker #1

    C'est compliqué, hein ?

  • Speaker #0

    surtout sur l'audience il y a énormément de possibilités pour aller cibler les audiences tout simplement donc déjà un bon ciblage fonctionne, on peut faire aussi du lookalike d'audience si on travaille avec des partenaires et puis aussi ce qui est bien c'est qu'on a des formats publicitaires full funnel et ça d'ailleurs on peut le faire avec les créateurs c'est à dire qu'on a des formats publicitaires qui vont permettre d'aller de l'awareness à la considération jusqu'à la conversion donc c'était des formats qui existaient déjà mais maintenant en fait on les a aussi associés aux créateurs et ce qu'on voit c'est que quand on utilise les assets créateurs face aux assets institutionnels on voit des clics, des taux de vue etc. beaucoup plus important que les assets instit pour une raison simple, la confiance l'authenticité, ce côté en public et fait pour la plateforme fait très natif et donc du coup ces formats publicitaires si en gros je parlais de marque je leur dirais tout simplement vous avez Merci. Tout est possible sur Snapchat. Tous vos KPIs, que ce soit de la performance, au reach, la conversion, etc. Tout ça, c'est possible sur Snapchat. On a des nouveaux formats qui ont été annoncés aux États-Unis, qui arriveront, je l'espère, en France, qui vont permettre aussi d'aller chercher du reach. On a le format First Commercial, un peu le prime time. Donc, il permet d'aller vraiment toucher une audience forte très rapidement. Donc, on a aussi pour les marques, tout en gardant cette authenticité, tout en gardant ce côté natif, toute cette série de formats publicitaires qui vont permettre d'aller chercher des audiences. Je prends un dernier exemple, Collectionad. Tout simplement, une publicité, la possibilité d'avoir des vignettes à l'intérieur pour aller directement chercher le produit ou en tout cas aller sur le lien. En fait, c'est super quand c'est en plus un créateur qui l'utilise et qui utilise le produit. en fait je peux directement cliquer sur le lien pour aller.

  • Speaker #1

    Ça, c'est un peu l'avant-garde. Là, il y a beaucoup de social commerce qui se met en route en ce moment. C'est un sujet dans lequel vous allez aller aussi, sur la vente de produits physiques, je dirais. C'est pas encore annoncé, c'est pas encore officiel. Je ne demande pas d'exclusivité, mais d'après toi...

  • Speaker #0

    J'essaierai de ne pas trop accrocher sur ce sujet-là. Tout simplement parce que je ne suis pas le spécialiste.

  • Speaker #1

    Après, ça serait complètement naturel d'avoir... Oui,

  • Speaker #0

    personnellement, je pense que c'est naturel, on y pense, on est dessus, il y aura...

  • Speaker #1

    Il faut faire de la meilleure façon possible.

  • Speaker #0

    Bien sûr. Et puis, on a déjà des formats aussi.

  • Speaker #1

    Oui,

  • Speaker #0

    c'est ça. Je parlais du collection.

  • Speaker #1

    Voilà, c'est un des premiers formats. Exactement. Ils n'ont plus que le panier. J'exagère.

  • Speaker #0

    Oui, de toute façon, on suit les tendances du marché. On regarde ce qui se passe.

  • Speaker #1

    Si les gens veulent, on va le faire.

  • Speaker #0

    Exactement. Et exactement, les créateurs. Encore une fois, il n'y a pas si longtemps que ça. Sur cette partie contenue, il n'y a pas si longtemps que ça. Spotlight n'existait pas. Et Spotlight n'est pas... l'idée vraiment de Spotlight, c'est de se dire, en fait, on a... comment faire en sorte que notre communauté qui est très forte puisse atteindre le niveau Snapstar. Pour ça, il faut être découvert.

  • Speaker #1

    Pour être découvert,

  • Speaker #0

    il faut du contenu. Et il faut un produit. Il faut un produit de découverte. Et donc Spotlight, c'est ce produit de découverte. Et ce produit de découverte, en fait, permet à la communauté de créer plus, aux Snapstars aussi de créer plus pour atteindre aussi peut-être la monétisation ou même les créateurs qui sont entre les deux, entre communauté et Snapstar, d'atteindre ce fameux levier. Et on voit d'ailleurs que le nombre de postes augmente et que aussi le contenu... le temps passé à regarder du contenu en augmentation de 25% sur l'année.

  • Speaker #1

    Donc quelqu'un de nouveau qui arrive sur Snap aujourd'hui va dans Spotlight et il a tout ce que il peut se créer.

  • Speaker #0

    Je pense que Spotlight c'est un bon moyen d'aller découvrir d'entrée.

  • Speaker #1

    D'entrer dans d'autres profils parce qu'après c'est un peu le problème des algorithmes. On est trop fermé sur des types de contenus qu'on a déjà vu et qu'on veut voir mais le Spotlight est quand même assez frais du coup pour pouvoir découvrir d'autres types de contenus où les créateurs

  • Speaker #0

    les stories je vais parler je vais regarder les contenus de ceux que j'aime je parlais des super fans Des gens que j'ai choisis. D'ailleurs, j'ai l'impression qu'on va presque suivre moins de comptes sur Snapchat parce qu'au final, on va suivre des comptes qu'on connaît. Même les créateurs, on va les suivre comme s'ils faisaient partie de notre cercle d'amis. Sur Ailleurs, je vais peut-être tout simplement… Je ne sais pas, je regarde un film, j'aime bien le réalisateur ou j'ai entendu parler de quelque chose, je vais suivre le compte. Je ne sais pas vraiment qui c'est, mais j'ai bien aimé une idée qui a marché et je vais suivre ce compte. compte-là et peut-être que je ne vais jamais y retourner. Sur Snapchat, on a plutôt cette impression que quand on est abonné aux stories, on regarde toutes les stories, on est vraiment à fond avec ce créateur. Mais il manquait cette partie découverte. Donc, comment faire pour aussi avoir plus de comptes à suivre ? Parce que peut-être que je ne savais pas.

  • Speaker #1

    Pour élargir un tout petit peu son spectre communautaire.

  • Speaker #0

    Et Spotlight est pas mal.

  • Speaker #1

    Et du coup, tu as des homologues comme toi dans d'autres pays, j'imagine ? Vous faites des conventions internationales, des gens comme toi, et vous partagez vos tips entre pays ?

  • Speaker #0

    On a des réunions.

  • Speaker #1

    On va éviter de se déplacer. Ma question derrière ça, c'est est-ce qu'il y a des usages particuliers par marché ? Est-ce que sur certains pays, ils adorent les stories, ils n'aiment pas les spotlights ? Il y a des spécificités.

  • Speaker #0

    La spécificité en France aussi, c'est qu'on a aussi beaucoup de créateurs qui sont nés sur Snap. donc ça c'est super parce que c'est quelque chose qu'on essaie de créer un peu plus au global d'avoir des créateurs qui commencent, je disais tout à l'heure cet exemple de je crée du contenu mais juste pour mes amis sur Snapchat, j'envoie des vidéos et puis je me rends compte qu'en fait je suis plutôt pas mal je suis assez drôle et donc du coup allez j'y vais, je crée un profil public et je commence à poster de manière naturelle et donc petit à petit je monte et c'est cette ... ce séjour-là, cette journée, qui est super intéressant pour nous. Et en France, ce qui est bien, c'est qu'il y en a déjà. Dans d'autres marchés, on est en train de les créer. D'autres marchés aussi sont très forts, par exemple, sur l'utilisation des lenses pour faire du contenu. D'autres marchés, il y a une forte consommation en spotlight. Donc, il n'y a pas du temps passé à regarder du contenu. Donc,

  • Speaker #1

    il y a quand même des différenciations au marché.

  • Speaker #0

    Il y a vraiment des différenciations. On va dire qu'il y a un socle commun. Et puis après, il y a des petites spécificités intéressantes. Et nous, on est là, évidemment. pour nourrir la plateforme, nourrir tout le monde pour qu'ils puissent comprendre ce qui marche et ce qui ne marche pas, donner des bonnes pratiques et des cas studiés, enfin des cas par marché.

  • Speaker #1

    Bon, écoute, du coup, c'est plutôt confortant, je trouve, d'avoir un socle commun et d'avoir des usages un peu partagés. Est-ce que tu as d'autres outils qui arrivent bientôt, là, côté créateur, ou des choses que tu peux nous dire ?

  • Speaker #0

    Ce que je peux dire, c'est qu'on l'a déjà annoncé, mais c'est assez nouveau quand même, donc j'en profite. pour en parler parce que peut-être qu'effectivement il n'est pas très connu c'est que s'il y a la monétisation pendant très longtemps on ne monétisait que sur les stories d'accord tout simplement voilà maintenant on a annoncé maintenant on a annoncé pardon les revenus sur les spotlights d'accord et donc ce qui est intéressant c'est que maintenant désormais quel que soit le contenu que je publie sur la plateforme en fait elle est monétisée alors spotlights à partir d'une minute mais en tout cas le contenu est monétisé et ça c'est en pas de plus pour récompenser l'engagement des créateurs, pour aider ces créateurs à créer un peu plus. Dans le meilleur des cas, on a des créateurs qui commencent sur la plateforme, qui se lancent sur la plateforme, qui créent un business sur la plateforme, qui réussissent à vivre, c'était l'une des premières questions, réussissent à vivre de leur engagement. C'est l'objectif et je pense qu'on va continuer dans ce sens.

  • Speaker #1

    Et tu peux cumuler de la rémunération plateforme du sharing revenu plus une collaboration commerciale avec une marque ? Bien sûr,

  • Speaker #0

    tout est possible. Et même je peux faire de la collaboration commerciale en étant Snapstar aussi sans forcément avoir énormément de revenus.

  • Speaker #1

    Donc s'il y a des auditeurs qui veulent être Snapstar, ils t'appellent ?

  • Speaker #0

    Alors surtout pas !

  • Speaker #1

    Ça va être la question qu'on va nous poser !

  • Speaker #0

    Non, non, si on a... Tout est en ligne. Tout est en ligne. On a des formulaires, etc. J'apparais généralement au moment où vous êtes Snapstar.

  • Speaker #1

    Voilà. Tu remets le diplôme du César.

  • Speaker #0

    C'est un peu ça. Non, l'idée, c'est que…

  • Speaker #1

    Tout se fait en ligne, on est d'accord.

  • Speaker #0

    Déjà, tout se fait en ligne. Et surtout, encore une fois, si vous faites du bon contenu, de qualité, engageant, que vous avez des idées, que vous êtes original, etc.

  • Speaker #1

    Il n'y a pas de problème. Il n'y a pas de problème. Ça arrive. Bon, alors allez-y. Faites du contenu. comme ça au snap star et puis dès que vous avez vu Jean-Philippe alors là c'est je suis pas tout seul je suis pas tout seul Jean-Philippe et ses équipes derrière c'est bon vous êtes sur la bonne voie super écoute on arrive à un moment de l'émission où je te pose un mot et on donne un autre d'accord comme ça allez donc Lens

  • Speaker #0

    Rire

  • Speaker #1

    Genzy

  • Speaker #0

    Authenticité et Los Angeles Maison mère. Maison en maison.

  • Speaker #1

    Parce que c'est vrai que Snap est toujours à Los Angeles. C'est aussi ce qui différencie la plateforme. C'est-à-dire qu'on est dans la ville du cinéma et pas dans la ville à Silicon Valley où là, c'est la tech, la tech, la tech. Donc, c'est aussi un élément de différenciation.

  • Speaker #0

    Mais aussi, Lance, j'ai dit rire parce que ça m'a fait penser à quelque chose. On parle de communication visuelle, de se sentir à l'aise, etc. J'aime bien cet exemple. Je vais parler un peu de moi. alors j'étais Noël, on passe Noël à la maison et donc il y a ma belle-mère et ma femme qui sont sur leur canapé sur mon canapé de la maison notre canapé et donc ma femme utilise les lenses ils étaient sur Snapchat et elles ne communiquaient pas, elles ne s'envoyaient pas des messages elles étaient juste côte à côte et elle prend le téléphone et elle s'amuse à utiliser les lents sur sa mère.

  • Speaker #1

    D'accord.

  • Speaker #0

    Et là, nous, on est à côté en train de dîner avec mon père et en fait, là, ça part en fou rire complet. Mais en fou rire complet. Et je me suis rappelé que ce n'était pas la première fois que ça arrivait parce que ça m'est arrivé avec ma mère un an avant. D'accord. Parce que ma mère, elle habite en Guadeloupe et dans le Tartu. Et on était tout simplement assis et en gros, j'utilisais les lents sur son visage. et en fait, on se marrait, mais elle pleurait. Et je me suis dit, c'est fou parce que même lorsqu'on ne communique pas en envoyant des messages ou en postant de la vidéo parce que ça n'a pas été posté, c'est pas erreur pour nous, mais en fait, on crée de l'interaction avec l'application.

  • Speaker #1

    Il y a des fonctions pour générer une émotion sans la publier.

  • Speaker #0

    C'est assez drôle.

  • Speaker #1

    En même temps, tu as une grosse influence à la maison, j'ai l'impression. Oui. Ta femme et ta belle-mère sur le canapé en train de faire du slap ?

  • Speaker #0

    C'est obligatoire ou pas ? Non, ce n'est pas une collaboration. C'est juste qu'elle est utilisatrice aussi de l'application.

  • Speaker #1

    C'est ça qui est sympa, je crois, avec les Lens, tu as raison de le dire. C'est qu'en fait, c'est une fonctionnalité où les gens peuvent juste jouer avec.

  • Speaker #0

    C'est ça. Et puis...

  • Speaker #1

    Et pas forcément le publier pour faire du contenu, mais jouer avec la plateforme. Oui,

  • Speaker #0

    et puis on parle beaucoup des Lens qui sont, voilà, la Lens pour être parfaite, etc. je t'invite à aller sur le carousel de l'ens Snapchat sur les premières l'ens c'est pas mal super si tu avais un conseil à donner à une marque qui hésite encore à venir sur Snap,

  • Speaker #1

    qu'est-ce que tu lui dirais ?

  • Speaker #0

    venez voir les créateurs non je dirais il y en a pour allez-y parce que vous pouvez tout faire vous pouvez vraiment tout faire et évidemment oui ne négligez pas les créateurs parce que c'est bon mon travail et je le disais sur les taux de clics, taux de flux, etc. sur les assets créateurs. Donc, évidemment, n'hésitez pas à aller sur cette partie. Mais, vous pouvez vraiment tout faire sur Snapchat. C'est une plateforme masse audience, grosse communauté, des vidéos de qualité, brands et effets, etc. Il y a un travail qui est fait et qui est vraiment minutieux, mené tous les jours par les équipes. Clairement, quel que soit La partie du funnel que vous souhaitez atteindre, ou même full funnel si vous voulez, en fait, vous allez y arriver sur Snapchat. Et c'est assez, en plus, marrant à voir.

  • Speaker #1

    Oui, après, je suis d'accord avec toi. Enfin, je pense qu'il y a tout sur Snap aujourd'hui. Faire des outils, ça. Je trouve que c'est la plateforme la plus créative, en fait, qui donne le plus de fonctionnalités pour aller dans la créativité. C'est ça. Ce que les marques aujourd'hui cherchent aussi, parce que finalement, elles veulent du contenu de qualité, un peu original. Des fois, elles reposent toutes sur le créateur, qui peut le faire, mais en même temps, s'il y a des outils et des aides à la création, c'est quand même intéressant,

  • Speaker #0

    je trouve. Et mon autre conseil, ce serait de ne pas hésiter à laisser le créateur s'exprimer et interpréter les meilleurs collabs. En fait, elles sont comme ça. Marcus, il est fascinant, parce que Marcus, on lui donne une collab et... il en fait quelque chose de merveilleux.

  • Speaker #1

    Il a son monde, son univers. Son univers,

  • Speaker #0

    sa manière de faire, de parler, d'interpréter les choses. Une marque a tout à gagner à travailler avec des créateurs comme lui.

  • Speaker #1

    Je suis d'accord. Et un jeune qui démarre sur Snap aujourd'hui, j'ouvre mon compte Snapchat aujourd'hui.

  • Speaker #0

    Pour devenir créateur.

  • Speaker #1

    Pour devenir créateur, oui.

  • Speaker #0

    Spotlight, Spotlight, Spotlight. Pourquoi ? Parce que Spotlight, c'est pour tout le monde. C'est pour se faire découvrir. et Stories, c'est un peu plus pour parler à ses abonnés. Stories aussi. Mais n'hésitez pas à aller sur Spotlight et à poster sur Spotlight et ça va venir. Et surtout, tout simplement, faites du contenu. cool, de qualité et amusez-vous, clairement amusez-vous.

  • Speaker #1

    Il faut tester aussi. Il faut trouver son style, son ton et sa communauté.

  • Speaker #0

    Exactement, il faut trouver son ton. On parlait de Léna's situation, je sais qu'elle disait que maintenant elle veut sur Stories avoir l'impression que Snapchat c'est son plus, qu'elle emmène dans ses projets, à ses événements. Voilà, trouver sa ligne, trouver son ton et surtout rester authentique dans cette vie.

  • Speaker #1

    Est-ce qu'il y a une campagne ou une création faite par un créateur qui t'a marqué récemment ? À part Lena, on vient de parler de Marcus et Gaël. Difficile du coup. Est-ce que tu n'as pas un truc qui t'a vraiment bluffé où tu t'es dit, là, ils ont été très loin avec les outils ?

  • Speaker #0

    Il y a eu une campagne Rabanne que j'ai bien aimée à Doel avec des Lens où ils avaient fait appel à, je crois, 8 créateurs. Ce qui est intéressant avec cette campagne, c'est que 8 créateurs... Merci. différents différents taux pour la même marque pour le même brief et donc j'aimais bien ce côté un peu casting au même moment au grand moment exactement squad même moment pour un moment important comme noël en termes de ouais c'était super créatif j'ai

  • Speaker #1

    vraiment aimé et ça donne une dimension différente à la campagne parce que du coup tout le monde fait pas la même chose j'imagine ouais c'est ce que j'appelle ici l'orchestre en fait tu peux avoir nous nous en fait on se positionne un peu comme étant des chefs d'orchestre humblement qu'on est, mais en fait c'est de dire si on vous fait un casting de 10 talents chacun va jouer sa partition et à la fin l'expérience globale va être géniale parce que ça va donner une image différente de la campagne et ça je trouve que c'est moins fait en ce moment en plus je trouve, mais c'est plutôt original quoi, parce que ça a été différent c'était original,

  • Speaker #0

    c'était vraiment bien fait, et puis il y avait le ton pour chaque lanceur les résultats étaient évidemment au rendez-vous, donc c'était une belle campagne je trouve.

  • Speaker #1

    Super ! bravo aux équipes c'est pas moi qui l'ai faite c'est pas vrai donc bravo aux équipes on félicitera nos amis de chez Pooch ouais exactement et Julien qui nous écoute normalement je vais le féliciter c'est lui qui est en charge de ça bravo à lui avant dernière question si tu étais sur une île des airs quel film ou quelle série ou quel livre tu emmènerais avec toi ?

  • Speaker #0

    alors je suis un ancien journaliste donc ce sera clairement papier ce qui fait bizarre c'est bien c'est bien bon mais après ça peut être aussi du cinéma ouais Merci.

  • Speaker #1

    Tu n'auras pas de problème de batterie.

  • Speaker #0

    Exactement. Sur une île déserte, c'est quand même pas mal d'avoir plutôt un livre. Pas du tout, si c'est moi, pas Snapchat, si c'est à moi qu'on pose la question, j'ai quelques livres références que je garderai toujours avec moi. Il y a ce livre qui s'appelle « Les maraudeurs » de Tom Cooper. C'est un livre dans le Bayou, après la marée noire, BP, etc. Et en gros, on va suivre des personnages un peu haut en couleur, qui vont essayer de tirer tous parti d'une manière différente, positive ou négative à chaque fois, de ce qui s'est passé, soit pour reconstruire, soit pour... Ça, c'est un livre assez drôle, et du coup, je pense que ça me divertirait. Et puis pour garder aussi l'esprit, pour avoir aimé la belle littérature, la belle écriture, etc., je dirais Nickel Boys de Colson Whitehead. parce que c'est un super bouquin sur la résilience. Et je trouve ça fascinant. Mais je pourrais en parler plus tard.

  • Speaker #1

    Tu reviendras, on fera une émission littéraire. Avec plaisir. Et alors, dernière question, celle qu'on ne prépare jamais en général. Je te le dis d'avance. Une personne ou un créateur, j'imagine, que tu me recommanderais d'inviter ?

  • Speaker #0

    Malheureusement, j'en ai déjà cité.

  • Speaker #1

    C'était pas mal.

  • Speaker #0

    C'était pas mal. Je trouve que Marcus est un créateur assez... Je l'aime beaucoup parce qu'il est en univers. Il a vraiment créé ça. J'aime beaucoup ce qu'il fait. Il y a des créatrices comme Paley, comme Louise RGT, qui sont des créatrices que je trouve aussi qui appréhendent très bien la plateforme. Donc oui, je pense que... Il y a un bon panel.

  • Speaker #1

    On commence par Marcus alors ? Oui, on peut commencer par Marcus. Tout le monde est témoin. Jean-Philippe, tu dois nous faire venir Marcus. Tu pourrais lui faire une demande peut-être.

  • Speaker #0

    Je peux faire une demande.

  • Speaker #1

    À l'occasion. S'il veut venir. En tout cas, c'est vrai que c'est intéressant aussi d'avoir le point de vue des créateurs. Bien sûr. Parce que c'est vrai que moi ici, je reçois les marques et les créateurs et les plateformes. Mais en fait, tu as des attentes différentes, tu as des expériences différentes côté créateur. Et c'est assez intéressant à écouter parce que c'est du vrai learning, je trouve. pour les marques et pour les plateformes. Jusqu'à ce qu'elles disent ce qu'elles pensent. Du coup, c'est pas mal.

  • Speaker #0

    Ouais et ce que j'aime c'est que finalement tout ce qu'on dit ça vient surtout des feedbacks des créateurs. Quand je parle de super fans, ça vient vraiment des feedbacks des créateurs. Je donne un exemple concret. Je ne sais même pas si je peux en parler, mais j'ai un créateur. Non, non, si, je peux en parler. Il y a un créateur, je ne dirai pas son nom parce que je ne lui ai pas demandé, qui m'a dit il n'y a pas longtemps, mais Jean-Philippe, c'est génial parce que sur Snapchat, je peux manger du riz. Voilà. Et en fait, c'est drôle, mais j'ai compris en gros ce qu'il y avait derrière. C'est qu'en fait, il disait tout simplement qu'il pouvait vraiment raconter sa vie, qu'il pouvait vraiment être authentique et qu'il n'avait pas cette pression. Peut-être que sur d'autres plateformes, il aurait fallu que ce soit en magie, de canard parfait, etc. Là, l'idée, c'était de se dire, en gros, même en finissant backstage, en faisant du riz, j'arrive à échanger avec ma communauté. Donc, ça m'a fait marrer.

  • Speaker #1

    Merci beaucoup, en tout cas, pour cet échange. On en sait un peu plus sur Snap. même si on connaissait bien la plateforme quand même. Et puis merci pour notre échange, j'espère que ça t'a plu. C'était super. Voilà, donc à très vite. Merci beaucoup. Merci à toutes et à tous d'avoir écouté cet épisode. J'espère qu'il vous a plu, inspiré ou donné matière à réflexion. Le podcast est désormais aussi disponible en vidéo sur YouTube. Pensez à vous abonner à la chaîne pour ne rien manquer. Si l'épisode vous a plu, n'hésitez pas à le partager, à laisser une note, un commentaire et en parler autour de vous. Un grand merci à notre partenaire Légendes Internet, le média de référence sur l'influence et les créateurs de contenus. Pour échanger, vous pouvez me contacter sur LinkedIn en tapant Cyril Atias ou par mail à podcast.marketinginfluence.fr. À bientôt !

Description

Dans cet épisode du podcast Marketing & Influence, Cyril Attias reçoit Jean-Philippe Louis, responsable Content & Creators Partnerships chez Snap France. Ensemble, ils décryptent la stratégie d’accompagnement des créateurs sur Snapchat, de la naissance du programme Snapstar à l’impact de Spotlight pour la découverte de nouveaux talents.

Jean-Philippe partage son parcours de journaliste à expert de l’écosystème créatif, ses conseils pour réussir sur Snap, et revient sur des success stories inspirantes comme Léna Situations ou Gaël Monfils. Vous découvrirez comment Snapchat soutient l’authenticité, la monétisation et l’innovation pour offrir aux créateurs et aux marques un terrain d’expression unique.

#Marketing #MarketingInfluence #Podcast #Digital #CréateursDeContenu #ADMSParis #Instagram #CyrilAttias #InfluenceMarketing #snapchat

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Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour, je suis Cyril Attias, fondateur de ADMS.Paris, Globe Group. Avec plus de 20 ans de carrière dans le digital, j'ai voulu créer un espace de dialogue avec celles et ceux qui façonnent l'univers du marketing, des médias sociaux et de l'influence. Marketing et influence, c'est le podcast qui décrypte en profondeur les stratégies des marques, des plateformes et des talents qui font bouger les lignes. Vous êtes directeur marketing, créateur de contenu, influenceur ou simplement passionné par l'écosystème digital ? Vous vivez entre TikTok, Instagram, Twitch ou LinkedIn ? Alors installez-vous et découvrez mon invité du jour. Bonjour, aujourd'hui je reçois Jean-Philippe Louis, Content and Creators Partnerships Manager chez Snap. On va parler ensemble de sa mission aux côtés des créateurs, comment il les accompagne, comment Snapchat les soutient avec des ressources dédiées, et surtout comment la plateforme les aide à créer du contenu. toujours plus impactants et adaptés à leur communauté. Ce podcast a été réalisé en partenariat avec Les Gens d'Internet, le média expert de l'influence et des créateurs de contenu, et ADMS.paris Globe Group, créateur de stratégie Impact. Bonjour Jean-Philippe.

  • Speaker #1

    Bonjour.

  • Speaker #0

    Bienvenue.

  • Speaker #1

    Merci.

  • Speaker #0

    Je suis ravi de t'accueillir. Est-ce que tu peux te présenter ? Pour commencer, parce qu'il faut qu'on pose le décor. Alors c'est parti.

  • Speaker #1

    Je suis Jean-Philippe Louis, mon nom de famille, beaucoup de prénoms. Je suis responsable...

  • Speaker #0

    Dans l'ordre, c'est bon.

  • Speaker #1

    Dans l'ordre, c'est bon. Ce n'est pas Jean-Louis, c'est Jean-Philippe. Je suis responsable des partenariats contenus pour la France, pour Snapchat. Et notamment la partie talent, créateur et les partenariats avec les créateurs de contenus par les Gimagines.

  • Speaker #0

    Ok, super. Est-ce que tu peux nous raconter ton parcours avant Snapchat ? J'imagine qu'il y a eu une vie avant Snapchat.

  • Speaker #1

    D'ailleurs,

  • Speaker #0

    on dit Snap ou Snapchat ?

  • Speaker #1

    Alors, Snap Inc. C'est la société.

  • Speaker #0

    Officiellement,

  • Speaker #1

    on dira Snap. C'est plutôt l'application.

  • Speaker #0

    Ok,

  • Speaker #1

    alors on dit Snap. Alors, mon parcours, il y en a eu plein. En fait, on va faire court. Je suis un ancien journaliste. J'ai travaillé dans la presse magazine, la presse quotidienne, radio, télé. Et puis, je suis arrivé en 2020 chez Snap pour gérer d'abord la partie médias. Il cherchait quelqu'un qui connaissait...

  • Speaker #0

    Il y a toujours une grosse partie média.

  • Speaker #1

    Il y a toujours une grosse partie média. Il cherchait quelqu'un qui pourrait rencontrer les publishers, connaître l'écosystème médiatique. Et donc, je suis arrivé d'abord pour ça, en éditorial, vraiment pour conseiller les publishers. Et puis, petit à petit, en gros, l'écosystème a grossi et on va en parler. Et du coup, ce qui m'amène maintenant à travailler aussi avec les créateurs.

  • Speaker #0

    Ok, donc... Le monde print, on va dire, médias classiques, jusqu'à ce stade.

  • Speaker #1

    Médias classiques, oui, exactement.

  • Speaker #0

    Une bonne position quand même. Oui,

  • Speaker #1

    alors sur les médias classiques, il y avait beaucoup de nouvelles écritures. On a travaillé sur le podcast des échos. J'avais aussi, j'étais responsable business music aussi aux échos. Et donc, j'avais un podcast qui s'appelait Business of Music.

  • Speaker #0

    Très bien.

  • Speaker #1

    Qui parlait de la musique.

  • Speaker #0

    Bon, alors tu es dans l'écosystème, c'est bon. Oui, ça va. Depuis longtemps. Et alors du coup, ça veut dire quoi ? Ton rôle chez Snapchat, tu t'occupes des créateurs, tu t'occupes de l'éditorial ?

  • Speaker #1

    Non, je m'occupe des partenariats avec tous les créateurs de contenu, et créateurs de contenu au sens large. On parle de la communauté, c'est-à-dire les comptes publics, ce qu'on appelle les Snapstars, on en parlera. Ce sont des comptes certifiés, ceux avec qui on a un vrai partenariat, et qui monétisent aussi parfois sur la plateforme, les célébrités, mais aussi les médias. type Le Monde Brut, etc. En fait, on va travailler ensemble pour développer l'écosystème. Mais mon travail, vraiment, il consiste surtout à améliorer et créer une expérience de contenu pertinente pour les utilisateurs sur Snap et toujours améliorer cette expérience. Et donc, le but pour nous, c'est faire en sorte que nos partenaires... puisse trouver notre audience, parler à notre audience et faire en sorte que notre audience puisse s'informer, se divertir avec des contenus de qualité et brand safe, évidemment.

  • Speaker #0

    D'accord. Donc toi, en fait, tu maîtrises la plateforme, tu maîtrises les messages et les codes, en tout cas, un peu plus que la moyenne, on va dire, mais en même temps, tu les aides à appréhender cette nouvelle écriture, ce nouveau format pour que ça puisse matcher avec les actualités et vos communautés.

  • Speaker #1

    C'est ça, il y a une part d'éducation parce que quand on est un créateur et qu'on utilise Snapchat, on l'utilise souvent pour soi, pour parler à ses amis, on crée du contenu, mais on ne sait pas vraiment où créer du contenu en utilisant l'application, sans savoir en fait quelles sont les bonnes pratiques. Et donc c'est notre rôle aussi de travailler ces bonnes pratiques, mais ça va être pareil aussi pour des médias, pour comprendre en fait comment leur ADN peuvent coller avec la plateforme.

  • Speaker #0

    D'accord. Du coup, c'est beaucoup de travail, ça, parce qu'il y a beaucoup de célébrités, des vérifiés, des créateurs.

  • Speaker #1

    Pas tout seul, heureusement.

  • Speaker #0

    C'est énorme. Oui, c'est énorme. Et ça se fait sous quel format ? Vous avez des masterclass ? Je ne sais pas, vous faites des… Oui,

  • Speaker #1

    alors, il y a une part de scale. Il y a la partie produit. Il y a aussi des notifications inaptes. Toutes ces choses-là sont déjà importantes pour que les créateurs puissent comprendre que, en fait, cette vidéo… a eu du succès. Donc, en gros, le créateur, il va se dire quand je fais ce type de contenu, j'arrive à atteindre une audience. Et puis, il y a cette partie...

  • Speaker #0

    Il y a des cours d'apprentissage.

  • Speaker #1

    Bien sûr, il y a... Il y a aussi le relationnel, tous les jours, au quotidien, avec les créateurs. C'est très important, évidemment. Et puis, il y a cette partie, effectivement, Snap School. Donc, ce sont des bonnes pratiques. On a créé, en fait, une école. Snap School, ce sont tout simplement des bonnes pratiques délivrées. En fait, ce sont des formations, des sessions, masterclass. Et on les fait, en fait, avec les agences, avec les créateurs, avec les célébrités, avec les médias. Et donc, l'idée, c'est qu'ils puissent vraiment comprendre Snapchat, comment Snapchat est pensé. La différence aussi avec les autres plateformes, c'est important.

  • Speaker #0

    C'est différenciant quand même.

  • Speaker #1

    Très différenciant.

  • Speaker #0

    Je ne sais pas si au début, on disait que ce n'était pas un réseau social.

  • Speaker #1

    C'était ça l'idée. En fait, Snapchat, c'est une caméra d'abord. Oui, c'est ça. C'est un sonprix. C'est toujours... C'est marrant, quand j'en parle notamment durant les Snap School, il y a cette volonté pour l'utilisateur, en tout cas pour Snapchat, que vous soyez actif sur la plateforme. C'est-à-dire, en gros, je suis sur la caméra, j'utilise la messagerie, je parle à mes amis, à ma famille. Et c'est vraiment le cœur de

  • Speaker #0

    Snapchat. Donc c'est un véritable écosystème de tout ce qu'on peut avoir besoin au quotidien. Où sont mes amis ? Je leur parle, je fais du contenu. Centralisé dans une application.

  • Speaker #1

    C'est ça, c'est tout. C'est plusieurs applications presque dans une application. Et l'idée, effectivement, c'est d'avoir toutes ces possibilités à la fois de communication et de création et de créativité, avec l'AR également, sur une même plateforme.

  • Speaker #0

    Ok. Alors depuis 2020, c'est ça, tu es arrivé en 2020. Est-ce que tu as vu une évolution côté créateur ? C'est-à-dire, est-ce qu'il y en a eu énormément, un peu moins, un peu plus ? Est-ce qu'ils sont plus exigeants ? Comment tu as vécu cette évolution depuis cinq ans maintenant ?

  • Speaker #1

    Oui, la plateforme a évolué. Alors, il y a une raison simple. On a lancé un programme qui s'appelle Snapstar, un programme de certification.

  • Speaker #0

    Donc ça, c'est quoi ?

  • Speaker #1

    Snapstar, c'est tout simplement, on va choisir les créateurs via des critères qui sont en ligne, qui sont engagement du compte, pertinence, qualité du contenu. Et en gros, ils vont être certifiés et ça va leur donner accès à toute une série de fonctionnalités, de produits pour émerger, pour augmenter l'audience et à terme pour monétiser. Sachant que lorsque je suis Snapstar, je ne monétise pas directement. Il y a encore des critères parce qu'on fait évidemment attention. à ce que les contenus qui soient monétisés soient de qualité. En fait, on va travailler avec les créateurs pour atteindre ce niveau.

  • Speaker #0

    C'est un star.

  • Speaker #1

    Tout le monde va se battre,

  • Speaker #0

    tout le monde va t'appeler.

  • Speaker #1

    Et donc, ce programme a été lancé en 2015, mais il manquait quelque chose, c'est tout simplement une expérience locale. On s'est staffé vraiment en 2020-2021 avec mon arrivée, mais aussi l'arrivée de Julie Bogard et aussi des équipes. content et créateur. Et l'idée, c'était vraiment de créer cette expérience locale. Puisque jusqu'à présent, en gros, il y avait une grosse part algorithmique et donc l'élément magique, qui est l'humain,

  • Speaker #0

    manquait. Voilà,

  • Speaker #1

    exactement. Et c'est vrai qu'on oublie quand même parfois que derrière ces algorithmes, il faut des humains, il faut cet élément magique. J'aime bien ce terme parce que j'avais entendu une fois...

  • Speaker #0

    L'algorithme sont les créateurs, il n'y a pas d'algorithme.

  • Speaker #1

    Exactement. Et donc... On a mené un audit, on a regardé comment la plateforme était considérée aussi par les créateurs. Et puis, il y a eu toute cette part d'action. Alors, cette part d'action, il y a eu une partie très positive qui consistait à aller chercher de nouveaux contenus, à aller travailler avec de nouveaux créateurs, de nouveaux types de créateurs, diversifier, voir quel vertical il manquait aussi. Est-ce qu'il y a, est-ce qu'on a, je suis passionné. de wellness, de beauté ? Est-ce qu'on a des contenus qui vont... Plus bizarrement. Voilà, exactement. Donc, il y a toute cette osite. Et puis aussi, cette partie... Qui sont les bons acteurs ? Qui sont les mauvais acteurs ? Est-ce qu'il y a du contenu qui ne devrait pas être présent sur la plateforme ? Évidemment, il a fallu faire ce travail-là également. Donc très rapidement, dès 2020-2021, même plutôt 2021, jusqu'à arriver à un écosystème un peu plus sain désormais, avec des critères, avec aussi des guidelines stricts, des règles communautaires très strictes et précises surtout pour nos créateurs.

  • Speaker #0

    Donc du coup, une évolution assez rapide quand même. Entre 2020 et maintenant, il y a les Snapstars. Tout le monde se bat pour les avoir. Il y a d'autres sujets aussi. Il y a les Spotlights, il y a les AR. Il y a pas mal d'autres produits. En fait, est-ce que c'est une spécificité Snapchat d'avoir toute une série de produits quand même qui, je pense, s'adresse à différents types de créateurs ou différents types d'audience ? Mais c'est quand même une boîte à outils. C'est-à-dire qu'à chaque fois qu'on parle de Snap... Ah ouais, mais il y a les feeds, il y a les AR, il y a l'imagine, il y a les tout. En fait, j'ai l'impression qu'il y a quand même pas mal d'outils derrière. Et ce qui fait peut-être, à mon avis, un peu plus votre différenciation par rapport au marché. Mais la stratégie derrière ces outils, c'est quoi ? C'est de pouvoir donner ce que veulent les créateurs. C'est ça. Ou de pouvoir augmenter l'expérience vidéo.

  • Speaker #1

    C'est un peu tout ça. Déjà, on est une plateforme, on est une société qui est basée sur l'innovation. Il y a beaucoup de stratégies d'acquisition, etc. dans les boîtes. Bien sûr. Et il y en a sûrement chez Snap. le cœur même de Snapchat, c'est d'innover, de créer des choses, des nouveaux produits. On le voit avec les arts, les lenses, etc. Donc l'idée pour nous, c'était, on a les créateurs, on a aussi des success stories, on avait énormément de créateurs qui commençaient sur Snap et en fait, qui allaient vers d'autres plateformes également parce qu'ils n'avaient pas les outils, les fonctionnalités et les produits pour être découverts, par exemple. Donc c'est la raison pour laquelle on a lancé Spotlight. C'est-à-dire que les stories, on a... créé ce format, on a mis au monde ce format Story.

  • Speaker #0

    Vous étiez les inventeurs du format quand vous vous accopiez assez rapidement, mais bon, c'était vous les premiers, ça on s'en souvient.

  • Speaker #1

    Mais Story, c'est de l'engagement. C'est beaucoup d'engagement même. C'est-à-dire on a des créateurs qui vont poster des Stories et vous allez avoir les abonnés qui vont regarder Snap par Snap « Tu n'as pas posté de Stories aujourd'hui, tout va bien, etc. » Donc voilà, c'est cet engagement. Mais il manquait cet élément qui est J'arrive sur Snap et je parle à mes amis. Et en fait, je me dis, j'aimerais avoir un compte public. Je me rends compte que j'ai un concept, j'ai des idées, je suis drôle ou je veux éduquer ou informer sur un sujet. Comment émerger sur la plateforme ? Et donc, on s'est rendu compte qu'il manquait ce produit. Parce que les stories, au final, on est sur l'engagement pour les abonnés. Et donc, du coup, c'est la raison pour laquelle on a créé Spotlight. Spotlight, c'est notre outil qui va permettre aux créateurs d'être vraiment découverts. découvert sur la plateforme. Et donc, on crée des outils aussi comme ça, des produits basés sur les feedbacks, sur l'expérience des créateurs, ce qu'ils manquent. On a aussi lancé des outils de collaboration commerciale parce qu'il manquait cette possibilité très simple pour un créateur d'appuyer sur un bouton et de dire je fais une collaboration commerciale avec la marque. La marque est taguée, elle peut ensuite mettre du paid, etc. Donc, ce sont tous ces produits-là. On avance aussi avec les créateurs, on les écoute beaucoup.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ce que j'ai l'impression par rapport à d'autres plateformes aujourd'hui qui sont très centrées sur les revenus publicitaires et sur le... Vous aussi sûrement, mais en tout cas, il y a quand même une écoute plus forte, j'ai l'impression, de la part de la communauté ou des créateurs de contenu et vous.

  • Speaker #1

    Il y a un accompagnement peut-être.

  • Speaker #0

    Oui,

  • Speaker #1

    un accompagnement. En gros, on essaie d'être proche de notre identité, de l'identité de la plateforme.

  • Speaker #0

    Il ne faut pas l'oublier. C'est ça qui est un danger aujourd'hui.

  • Speaker #1

    Et ce qui fait l'identité de la plateforme, c'est la proximité, c'est l'authenticité, etc. Et il faut que nous aussi, dans notre façon de travailler, qu'on soit liés, alignés avec cet ADN. Et donc, on va vraiment faire des snapschools, parfois virtuels, mais très souvent physiques. On va rencontrer les créateurs, on va discuter avec eux, on va prendre des feedbacks. On va vraiment essayer de travailler main dans la main. Et c'est pour ça que je disais que je ne suis pas responsable éditorial, mais partenariat, parce que du coup, on va vraiment nouer de vrais partenariats avec les créateurs. et on va aussi... les récompenser et récompenser leur engagement. Et ça, c'est un sujet qui est important parce qu'on demande beaucoup, tout le monde demande beaucoup aux créateurs. Mais c'est vrai qu'il y a ce besoin aussi pour un créateur de pouvoir se dire je vais pouvoir créer un business, je vais pouvoir lancer un business, je vais pouvoir vivre de mon engagement parce que sinon, c'est dommage de créer de l'engagement, de créer de l'engagement et de jamais être.

  • Speaker #0

    Aujourd'hui, tu as des créateurs qui vivent 100% des revenus Snapchat.

  • Speaker #1

    Oui, on en a.

  • Speaker #0

    Qui ont vraiment aimé la plateforme et qui l'ont appréhendée et intégrée et qui aujourd'hui ne font que du Snap ?

  • Speaker #1

    Alors, qui font que du Snap, je ne sais pas, parce que c'est pertinent de ne faire qu'une plateforme. C'est plutôt rare. En tout cas, oui, Snapchat devient leur plateforme d'inspiration principale. Ils vont d'abord poster et ensuite, ils vont explorer les autres plateformes. C'est une volonté pour eux d'aller, de d'abord créer sur Snap, de parler à leurs vrais fans, c'est un peu ce qu'ils disent, les vrais fans sont sur Snapchat, et ensuite, évidemment,

  • Speaker #0

    il y a une stratégie un peu plus grosse plateforme. Et du coup, il y a une typologie de créateur qui marche le mieux, par rapport à tout ce que tu peux voir, est-ce que c'est, je n'en sais rien, les humoristes, les wellness, ou les sportifs qui marchent le mieux ?

  • Speaker #1

    Non, j'aime bien dire... Je dis ça en Snap School, souvent on a 21 millions d'utilisateurs actifs tous les jours.

  • Speaker #0

    En France ?

  • Speaker #1

    En France, oui. D'accord. Du coup, 21 millions de personnes. Si 21 millions de personnes, c'est toujours la même chose. Évidemment, les 21 millions, tous ne regardent pas tous les contenus. Mais c'est vrai qu'on a une forte audience sur la plateforme. Donc, toutes les verticales sont possibles sur Snapchat. Il y a une chose qui est importante en revanche, c'est la compréhension des deux formats. qui sont Stories et Spotlight. Et c'est ce qui va faire qu'un créateur va être très fort sur la plateforme. Moi, je suis toujours fasciné par ce que l'ENA Situation a fait sur la plateforme en arrivant. Il n'y a pas si longtemps que ça, au final. Parce qu'on demande beaucoup, finalement, à quelqu'un comme l'ENA Situation. J'ai l'impression qu'il y a cette pression d'être au top, le premium, le parfait, énormément de demandes des marques, etc. On parle quand même de la plus grosse créatrice. en France. Et elle est arrivée, elle a commencé à poster sur Snapchat et c'était fascinant parce qu'en fait, il y a une maîtrise totale de la plateforme. Il y a une maîtrise de l'authenticité même sur les stories, c'est-à-dire qu'elle a réussi à garder son ADN, ce pour qui on la connaît, et à délivrer, donner de nouvelles choses, beaucoup plus que ce qu'on pourrait voir sur les autres plateformes. Et je suis assez fasciné par son compte.

  • Speaker #0

    Elle a fait la Snap School.

  • Speaker #1

    C'est surtout grâce à l'application et aux produits. Les produits sont faits pour... Moi, je suis juste là pour guider. Après,

  • Speaker #0

    elle interprète le sujet. Parce que l'ENA est arrivé il y a combien de temps ?

  • Speaker #1

    L'ENA est arrivé il n'y a pas si longtemps sur la plateforme. Et surtout, elle a... Je ne sais pas si elle était déjà présente sur la plateforme, mais elle est arrivée vraiment... Elle a commencé à poster énormément, à communiquer. sur la plateforme il y a un peu moins d'un an et effectivement depuis c'est une masterclass je pense qu'elle pourrait elle pourrait nous faire une masterclass pour nous dire Et là typiquement Léna elle arrive toute seule ou tu as été la chercher ? On l'accompagne,

  • Speaker #0

    on ne va pas la chercher mais on l'accompagne Tu la sensibilises au produit

  • Speaker #1

    On a beaucoup de demandes de créateurs qui disent comment je peux aller plus loin comment je peux devenir Snapstar, comment je peux être monétisé, comment juste je peux aussi avoir plus d'audience, une meilleure audience augmenter mon nombre d'abonnés et donc en fonction des demandes, nous on va mettre en place tout un système ça peut être ça va de quelque chose de très scalable comme un webinaire par exemple sur un sujet précis à la Snap School spécifique à

  • Speaker #0

    l'accompagnement au jour le jour T'as qui en France aujourd'hui à parler NAR, à K-pop ? Ou les derniers arrivés ? Ou ceux qui t'ont marqué récemment ?

  • Speaker #1

    Ceux qui m'ont marqué ? Gaël Monfils. Oui, c'est intéressant. Oui, parce que c'est toujours... Nous, on est la plateforme de l'authenticité. On va en parler. On a été créé pour ça. Tout le monde en parle maintenant.

  • Speaker #0

    D'accord.

  • Speaker #1

    J'ai vu que c'était le mot de 2023 aux États-Unis, selon le plus vieux dictionnaire américain. C'est le mot. Ce qui est intéressant pour nous, c'est un peu plus simple puisqu'en fait la plateforme a été conçue pour l'authenticité et ce qui me marque avec ce qui m'a frappé avec Gaël Monfils c'est qu'on parle quand même de Gaël Monfils on parle d'un top sportif qui joue en célébrité en célébrité aussi au niveau du sport clairement et qui joue des tournois qui est en compétition et il était en Australie et donc alors il faisait une compétition moi je suis toujours surpris de voir à quel point à 38 ans on a le même âge Merci. Comment il arrive à se battre ?

  • Speaker #0

    Il n'a pas encore arrêté. Non, il est encore dedans. C'est la force tranquille.

  • Speaker #1

    Exactement. Il a 38 ans et je le vois, il arrive à aller dans des tournois face à des mecs de 25 ans.

  • Speaker #0

    C'est facile. Il faut tenir quand même.

  • Speaker #1

    Il faut tenir, exactement. Et sur Snap, il débriefe. Et il débriefe. Et il débriefe. Et il répond aux questions. Et il débriefe les matchs. Et je me dis, c'est quand même fou de se dire que... Gaël Monfils, il sort de son tournoi il prend son téléphone et il débriefe sur Snap et moi je trouve ça fascinant et ça marche évidemment bien sûr, c'est un contenu hyper exclusif toutes les télés se battraient pour avoir je me suis demandé ça donnerait quoi effectivement si j'étais une télé j'avais ce type de contenu ou même une marque face à ce type de contenu, c'est quand même assez fascinant on est sur l'engagement plus Gaël Monfils il m'impressionne pas mal, il y en a plein d'autres Marcus aussi sur le côté un peu plus ... fashion, on a des sportifs vraiment c'est assez tu as Léa ou pas ?

  • Speaker #0

    Léa et lui ?

  • Speaker #1

    L'ILU, oui, bien sûr.

  • Speaker #0

    On travaille beaucoup avec elle.

  • Speaker #1

    Non, non, elle est super. C'est presque maintenant une ancienne de la plateforme. Elle se pose depuis longtemps. C'est super.

  • Speaker #0

    C'est vrai qu'elle a des grosses audiences aussi.

  • Speaker #1

    Et puis, ce que j'aime beaucoup, c'est qu'on a aussi tous une nouvelle génération de créateurs sur la plateforme. Je pense à Baki. Et ce que je vois avec ces créateurs, c'est qu'ils sont un peu plus, encore plus, un peu comme Lena, il y a une dimension un peu plus globale. D'accord. Ils parlent en français, ils parlent en anglais.

  • Speaker #0

    ils jouent presque avec l'algorithme au final ah oui alors ils sont plus niques que la moyenne il y en a qui parlent pas comme ça ils se disent c'est un contenu international exemple comme Mathéo Ciné ou Baki ce sont des créateurs un peu mode,

  • Speaker #1

    beauté, lifestyle et on a toujours ce j'ai toujours cette discussion si je fais des contenus mode comment respecter ma DA etc et en fait je me rends compte que ces créateurs plutôt Gen Z arrivent totalement à faire du premium et de l'authentique en même temps. Et c'est génial. Et c'est super bien. Et je pense, à mon avis, que ça vient du fait que cette génération est totalement digitale native et qu'elle arrive clairement, très rapidement, à distinguer le faux de l'authentique. Et du coup, ils arrivent vraiment à créer...

  • Speaker #0

    Il y en a des types chez eux.

  • Speaker #1

    Voilà, on arrive à faire du backstage, etc. Je me rappelle, Mathéo Siné, il est en tournage pour une grande marque de luxe et il est dans la voiture. Il fait... les backstage, du maquillage, etc., durant la Fashion Week, etc. C'est vraiment... Moi, je me régale à regarder ce type de contenu.

  • Speaker #0

    Et tu vois des contenus originaux ou bien en général, ils essayent d'observer ce qui se passe ailleurs ou de regarder ce qui se passe sur les grands comptes et de refaire pareil. Est-ce que tu vois une originalité quand même dans les contenus ?

  • Speaker #1

    Non, parce que Snapchat, c'est la plateforme où on est soi-même. Donc, c'est très original, surtout sur les stories. C'est vrai que le spotlight, c'est un peu différent. Au final... Les plateformes, on va avoir des plateformes très vitrines. On va avoir une plateforme où je vais mettre le meilleur de moi-même, le contenu monté, parfait. Je vais prendre à peu près 10 minutes pour poster une vidéo. Et puis, je vais avoir aussi un contenu un peu plus trendy. C'est-à-dire, en gros, je dois m'inscrire dans une trend pour être découvert ou pour être vu. Donc, en fait, ce n'est pas moi qui compte, c'est la trend. Sur Snapchat, c'est totalement l'inverse. il y a un créateur je pense qui Il ne sera pas fâché que je... Son nom, parce qu'on se connaît bien, qui s'appelle Tim, Timothée. Et Timothée, il est mannequin. Donc, il fait la Fashion Week, une séance avec le gros spark de luxe, etc. Et il poste sur Spotlight ce contenu très prévu, très bien fait, très beau. Et on discute et il me dit « Mais tu sais, JP, j'ai une autre passion, c'est que je suis aussi chanteur de gospel, etc. » Et il me dit « Mais je ne sais pas comment raconter ça sur les autres plateformes. » Et je lui ai dit, en fait, tu as un format assez fascinant pour ça, assez sympa pour ça, pardon, c'est les stories. Et du coup, ce qui est intéressant, c'est qu'il dévoile beaucoup plus sur Snap que ce qu'il pourrait dévoiler ailleurs. Parce que du coup, il va évidemment être le mannequin que tout le monde connaît. Mais il est aussi, sur Snap, le chanteur de gospel, la passion pour la musique, pour la spiritualité, tout ce qui est lié à son gospel et au mouvement. Mais du coup, voilà, il a cette...

  • Speaker #0

    Donc en fait, il a deux personnalités. C'est-à-dire qu'il est mannequin sur Spotlight. Non, il a sa seule personnalité. Oui, mais c'est sa facette. C'est les deux facettes de sa personnalité qu'il exprime sur deux canals différents de la personne.

  • Speaker #1

    Je pense que sur Snapchat, il a sa personnalité. Parce que sa personnalité, on est multifacette.

  • Speaker #0

    Bien sûr, oui, c'est ça. On n'est pas que mannequin, défilé, on est tout.

  • Speaker #1

    Je ne suis pas que responsable du partenariat contenu Snapchat. Ah bon ? J'aime aussi les restos.

  • Speaker #0

    tournant, surfe, tu as des passions.

  • Speaker #1

    Du coup, on ne se cantonne pas forcément à cette étiquette et on va plus loin. C'est ce qui est génial.

  • Speaker #0

    C'est cool quand même que les créateurs trouvent encore des expressions différentes ou des ressorts différents parce que c'est vrai qu'avec toutes les plateformes qu'on a aujourd'hui, on pourrait se dire que toutes les demandes sont comblées. Ils ont tout ce qu'il faut, tous les formats, tous les machins, mais ils se posent encore les questions de comment faire autre chose différemment. Je crois que le côté qui est intéressant avec les créateurs, c'est qu'ils veulent tous être différents.

  • Speaker #1

    C'est ça.

  • Speaker #0

    Et donc, qui veut être différent, va chercher à fond une USP produit pour se dire, tiens, j'ai maîtrisé ce sujet-là, donc je vais le faire mieux que les autres et donc je vais me différencier. Ou alors, je vais m'exprimer différemment selon les plateformes. Oui,

  • Speaker #1

    et puis, il y a ce côté où finalement, je réfléchis un peu moins, encore une fois, sur Story spécifiquement. Une créatrice disait, c'est drôle sur Snap, si je laisse tomber mon téléphone, je continue à filmer. Je continue de filmer. Je suis en train de poster, je prends mon téléphone, il tombe, je continue. Parce qu'en gros, je suis clairement sur... Je parle avec ma communauté. Snapchat a été créé pour les amis et la famille. Et au final, les créateurs vont s'insérer un peu dans ce sens-là. Et donc, il y a vraiment ce côté super fan dont je parlais. Les artistes aussi ont bien appréhendé, certains en tout cas, ont bien appréhendé Snapchat. Sur Spotlight, ils vont mettre par exemple les extraits de clips, les coulisses, les performances, les lives. Et puis sur les stories, ça va être les sessions studio, les discussions, les préparations, les chorégraphies, backstage, etc. Et en fait, les deux se marient. Ça marche super bien.

  • Speaker #0

    En fait, c'est quand même des bons formats qui sont faciles à « comprendre » , mais à maîtriser. Ça dépend de chacun. Mais ils ont trouvé leur place. Ils ont les off et les on.

  • Speaker #1

    Exactement.

  • Speaker #0

    Qui fait que…

  • Speaker #1

    Exactement, ça faut le faire.

  • Speaker #0

    Ça, c'est cool. Il y a un nouveau système de partage de revenus, je crois, sur les stories aujourd'hui, avec les créateurs. Tu peux nous en parler un peu ?

  • Speaker #1

    Oui. Je disais tout à l'heure, on demande beaucoup. Non, c'est juste, je voulais revenir sur ce que je disais tout à l'heure. On demande beaucoup aux créateurs. Je disais, je suis un ancien journaliste. J'écrivais des articles aussi sur les créateurs à l'époque. Et c'est vrai que j'ai l'impression qu'on demandait de plus en plus. On a posté 23. 20 fois par jour, 30 fois par jour. On les a pris par les machines. Il faut poster une vidéo de 3 minutes, de 5 minutes, de 20 minutes, avoir une équipe pour du montage, etc. pour faire du contenu un peu comme ce podcast. Très bien. Et à la fin, je trouvais que, enfin, pas moi, mais on trouvait qu'il fallait quand même récompenser cet engagement. Et donc, du coup, c'est tout simplement un simple partage de la valeur. Qu'est-ce que le partage de monétisation ? C'est tout simplement un programme de rêve cher, donc de partage de revenus. sur les publicités qui sont donc insérées dans les stocks. C'est très simple. Oui, c'est simple. Donc, en gros, on récompense l'engagement et on se rend compte effectivement que c'est un impact assez important pour les créateurs et même sur le nombre de postes sur la plateforme et même sur les interactions entre les créateurs et les fans. On est à 15 milliards d'interactions entre les créateurs et les fans. C'est assez fou.

  • Speaker #0

    La France, c'est un gros marché pour Snap.

  • Speaker #1

    La France, c'est l'un des plus gros marchés pour Snap. Je disais, on est à 27,8 millions d'utilisateurs mensuels, 21 millions d'utilisateurs actifs par jour. On est un très gros marché. Les US, la Grande-Bretagne, etc.

  • Speaker #0

    Top 3, c'est quoi ? US, France ? US, UK ?

  • Speaker #1

    Oui, US, UK et aussi l'Inde, forcément. très gros marché, mais après, en Europe, ce sera surtout Grande-Bretagne et France. Et puis après, il y a des marchés qui se développent très bien. L'Allemagne, les Nordiques, qui sont des marchés où, justement, en fait, on travaille, on commence à créer cette expérience locale qu'on a réussi à créer en France, où on est un peu plus mature, quand même. Oui,

  • Speaker #0

    c'était un des premiers marchés qui a été lancé, non ?

  • Speaker #1

    Oui, c'est l'un des premiers.

  • Speaker #0

    Parce qu'à l'époque, je me rappelle, Evan Spiegel, le patron, faisait la tournée au Cannes Lions, à la publicité. Il vient faire le tour en France. Il aimait bien la France. Et en même temps, il n'y a pas de marché que vous ne couvrez pas aujourd'hui. Vous couvrez tous les marchés.

  • Speaker #1

    On ne couvre pas tous les marchés, mais on couvre une grosse partie.

  • Speaker #0

    Une grosse partie. Et aujourd'hui, vous intervenez dans l'accompagnement des créateurs sur la partie monétisation aussi ?

  • Speaker #1

    Oui, bien sûr. On accompagne avec tout simplement... Déjà, on va donner informé sur les critères. L'idée, c'est de...

  • Speaker #0

    que les créateurs, que la communauté, je parlais de ce créateur qui crée du contenu juste avec ses potes et ensuite qui est en compte public et qui commence à publier, qu'il sache tout simplement quelles sont les règles pour arriver à la monétisation. Donc en gros, on va dans les Snap School, dans les relations, donner les informations concernant la monétisation. Quels sont les critères pour être monétisé, comment ça fonctionne. L'éducation et puis aussi les critères de qualité de contenu qui sont importants. Parce que quand on est monétisé, évidemment... comme disait le père de Spiderman, grand pouvoir, grande responsabilité. Donc l'idée, c'est vraiment de se dire qu'ils comprennent vraiment notre écosystème. Nous, je commence souvent les Snap School en disant aujourd'hui, c'est portes ouvertes. Vous allez tout savoir, vous allez comprendre comment ça fonctionne, comment monétiser sur la plateforme. Évidemment, il y a une volonté pour tous les créateurs d'être monétisés et notre but, c'est qu'ils puissent être monétisés. Donc notre but, c'est d'avancer avec eux pour qu'ils puissent arriver à ces... à cette échelle de monétisation. Et une fois qu'ils sont arrivés à cette échelle de monétisation, qu'ils puissent aussi bien monétiser. Donc, on va aussi leur livrer des bonnes pratiques, nombre de postes par jour, type de contenu, poster aussi pendant des moments importants. C'est important, la fashion week.

  • Speaker #1

    Vous avez des certifications, des genres de choses comme ça ? Non, ils n'ont pas de certification à passer, passer d'un niveau à l'autre.

  • Speaker #0

    Non, il n'y a pas de certification. Ils ont des critères. Il y a des critères qui permettent d'être. Monétiser, mais aussi on peut être démonétisé. Ah, moi aussi. Il faut faire attention. Donc en gros, les critères sont publics, ils sont assez connus. C'est-à-dire, il y a l'engagement, mais l'engagement n'est pas tout. Souvent, je vais avoir des créateurs qui vont dire, j'ai X milliers d'abonnés, pourquoi je ne suis pas monétisé ? En fait, l'engagement n'est pas tout. Il y a la pertinence, il y a l'authenticité. Tout simplement, le fait que le contenu m'appartienne. Si par exemple j'ai 600 000 abonnés mais c'est un contenu qui reprend tous les contenus sportifs de tous les médias, bon j'ai pas le droit, ça va être compliqué en plus de monétiser sur ce contenu. Donc l'authenticité est importante et puis surtout, et clairement je pense que c'est la ligne la plus importante, le respect de nos règles communautaires. Et c'est aussi là où il y a un gros travail d'éducation, comprendre quelles sont nos règles. qu'est-ce qu'une violation de nos règles communautaires, qu'est-ce qu'on peut faire et ne pas faire. Souvent aussi, il y a parfois de la bonne foi. Parfois, il y a beaucoup de créateurs qui disent qu'en fait, je ne savais pas. Je ne savais pas que je ne pouvais pas snapper en conduisant. Ça a l'air évident comme ça, mais en fait, non, c'est une violation. Parce que c'est dans le bonnet. Voilà. Ou si je le tiens avec une main, ça ne marche pas non plus. Et donc, du coup, il faut vraiment... aussi donner ces informations aux créateurs.

  • Speaker #1

    Et puis qu'ils les lisent, parce que j'imagine que ce n'est pas le premier document sur lequel ils se ruent en arrière.

  • Speaker #0

    Et puis, je vois, ils sont souvent soulagés, ravis de connaître tout ça. Ils se disent, ah bah attends...

  • Speaker #1

    Merci, je ne le ferai plus.

  • Speaker #0

    Genre, Fnip, regarde dans un mois, tu verras les contenus, ça va être bien différent. Donc non, on est vraiment dans une vraie relation avec ces créateurs.

  • Speaker #1

    C'est du management. C'est du management de talent.

  • Speaker #0

    Talent Management.

  • Speaker #1

    Les versions plateforme, ce qui est sympa. On a mis que ça les aide plus que les vrais talent managers.

  • Speaker #0

    Après, on travaille beaucoup. Dans le partenariat, ce qui est intéressant, c'est qu'on va travailler avec tous les acteurs de l'écosystème. Les talent managers aussi vont nous aider à tout simplement découvrir aussi, peut-être parfois faire de l'acquisition, éduquer aussi un peu plus à scale. Donc être sûr que... Créer cette économie d'échelle sur l'éducation des créateurs. Travailler sur les collabs. Je donne un exemple très clair. On a lancé Collab Studio il y a un peu plus d'un an. Et Collab Studio, on a travaillé avec des agences, Follow en France, WellArt, etc. pour fournir un service clé en main aux marques et aux annonceurs pour sourcer les talents, produire les assets, suivre et gérer la campagne. influence sur Snapchat. Donc, cette relation avec les agences des talent managers va aussi nous servir.

  • Speaker #1

    Oui, c'est obligatoire pour vous parce que vous ne pouvez pas prendre chaque talent individuellement en gestion. C'est compliqué. Et aujourd'hui, Collab Studio, c'est une plateforme où les agences viennent avec leurs talents. Les marques viennent toutes seules. Comment tu gères ? Comment vous gérez votre relation aux marques aujourd'hui ? Vous êtes très focus agence, j'ai l'impression, et créateur. Enfin, dans ton job, évidemment. Mais côté marque aussi, tu...

  • Speaker #0

    On va travailler avec tout le monde. Il y a plusieurs portes d'entrée. Souvent, ça peut être l'annonceur commence l'influence ou du moins commence l'influence sur Snapchat et veut comprendre comment ça fonctionne. Donc, en gros, on va leur fournir ce service clé en main. Et pour fournir ce service clé en main, nous, on n'est pas une agence, évidemment, de talent. Donc, on reconnaît clairement l'expertise de nos... partenaire et donc ces partenaires vont servir d'experts et vont vraiment travailler sur cette collaboration en fait on répète ce qu'on a fait sur la réalité augmentée la réalité augmentée il fallait alors maintenant on parle beaucoup de réalité augmentée mais à l'époque voilà exactement c'était nouveau donc quand on discute avec un cmo qu'on lui dit en fait on va augmenter cette table alors pour dans le cadre d'une campagne etc ou mettre en place une laine c'est ce qu'il faut quand même aussi éduquer créer des cas de studi, montrer que ça marche. On le sait, nous, mais il faut le montrer. Un show d'hôtel. Enfin, voilà.

  • Speaker #1

    Voilà. On va l'appuyer.

  • Speaker #0

    Et pour ça, évidemment, on va s'appuyer sur des experts. Et donc, on va travailler avec ces agences qui vont nous aider à mettre en place ces collaborations.

  • Speaker #1

    Exactement. Aujourd'hui, il y avait avant, enfin, je ne sais pas si ça existe toujours, mais on avait beaucoup de meubles avec des lents sur des événements physiques, des choses comme ça. Ça existe toujours, ça, aujourd'hui ? C'est un produit qui fonctionne ?

  • Speaker #0

    les reality augmentation ou les miroirs oui ça existe encore, on appelle ça des IR mirrors ça marche bien c'est intéressant ça ce côté un peu plateforme digitale qui passe aux events avec un produit physique on l'utilise beaucoup dans le cadre d'événements mais un peu réfléchi on va travailler avec des marques, on va travailler sur des grands moments il n'y a pas longtemps on a travaillé sur la sortie d'un film et donc du coup Du coup, il y avait des créateurs, Snap, les Air Mirrors et donc une lens qui reprenaient les codes du film. Je ne dirais pas le nom du film, mais si on disait trois fois des frites, en fait, des frites apparaissaient. Et donc, du coup, ça permettait vraiment de créer une expérience immersive et puis un peu plus à 360. En gros, les Air Mirrors et même les Air vont aider sur la partie création de contenu pour créer une expérience un peu plus augmentée. Mais je donne un exemple. On parle beaucoup d'autres choses que l'IA. Nous, l'idée de la réalité augmentée, c'est tout simplement augmenter la réalité, comme son nom l'indique, pas vivre dans un autre monde, mais tout simplement améliorer ou mieux comprendre, mieux appréhender le monde réel, le monde existant. Et ça, c'est passionnant parce que du coup, ça peut être très simple pour des petites histoires, une histoire très simple. Camera Kit pour Alastair Academy en décembre dernier où Nico se transforme en père Noël. C'est un travail qui a été mené avec Snapchat pour annoncer la chanson de Noël. Mais ça peut être pour des sujets un peu plus éducation, ça peut être pour la promotion d'un album, ou ça peut être même pour raconter de nouvelles histoires. Je prends l'exemple de Natoo qui avait créé ce... personnage qui s'appelait Tristian en reprenant la lens crying lens on l'appelle, la lens qui pleure et en gros la lens elle est phénoménale plus je rigole plus je pleure je sais qu'aux Etats-Unis dans les stades parfois ils l'utilisent pour le mettre sur les fans de l'équipe adverse comme ça quand ils perdent plus je rigole plus je pleure et donc elle a créé tout un personnage Tristian et là c'est Merci. pas l'augmentation de la réalité, c'est l'augmentation des histoires, augmenter les histoires via la réalité augmentée. Et ça, c'est assez canon. Et ce sont les créateurs qui l'ont fait.

  • Speaker #1

    Je me suis donné un outil à disposition, puis ils l'ont réinventé ou ils l'ont réinterprété en fonction de leurs histoires.

  • Speaker #0

    C'est ça. Et c'est aussi au final, c'est aussi le principe même de la tech, créer des produits innovants, des produits qui vont être affinitaires avec la cible. Donc ici, les créateurs.

  • Speaker #1

    mais aussi les utilisateurs et en fait laisser la créativité après s'exprimer à travers ces outils et des outils à créativité mise à disposition pour raconter des histoires c'est finalement raconter des personnages on a un peu dans le cinéma donc centrique vidéo centrique et aujourd'hui vous avez beaucoup de jeunes aides sur snapchat oui c'est quoi c'est plus de 80% d'audience

  • Speaker #0

    90 non c'est pas 80% de l'audience on a une forte haute pénétration sur la genzy Mais en revanche, c'est vrai qu'il y a ce cliché qui laisse entendre que

  • Speaker #1

    Snapchat est jeune. Il y a plein de clichés sur ça. Les réseaux sociaux déjà sont jeunes, ils sont genzis déjà.

  • Speaker #0

    On a la majorité, en tout cas en moyenne, on a une audience qui est plutôt plus de 30 ans. Et du coup, on a une forte population, plus de 25 ans sur la plateforme. Il faut comprendre que Snapchat a l'audience Snapchat. Moi, je suis un Snapchateur de la première heure, j'ai 38 ans. en fait j'ai grandi avec la plateforme et c'est la raison pour laquelle d'ailleurs sur la partie contenu quand on va travailler sur les nouvelles verticales on va se rendre compte que les contenus par exemple parentalité, immobilier famille bien-être etc on va voir des pics,

  • Speaker #1

    on va se rendre compte que ils ont grandi la première heure on grandit et maintenant ils deviennent parents c'est ça,

  • Speaker #0

    ils ont grandi mais en même temps ce qui est intéressant c'est que L'audience, elle est plus âgée, elle a vieillie de la plateforme, donc ça, c'est génial. C'est bien,

  • Speaker #1

    parce qu'ils sont fidèles aussi à la plateforme.

  • Speaker #0

    Mais la Gen Z s'approprie aussi la plateforme. Alors peut-être différemment, peut-être plus avec les Lens, avec Spotlight, etc., ou la Map, mais en gros, ils utilisent Snapchat également au quotidien. Et c'est assez d'ailleurs fascinant de voir l'utilisation en fonction des tranches d'âge. Il y a une utilisation classique qui est un peu la même pour tous, mais aussi, c'est vrai qu'il y a des spécificités. On a un peu, presque en côté, masse audience, qui est intéressant chez Snap.

  • Speaker #1

    Et quand une marque vient te voir, enfin, une marque veut utiliser Snapchat pour toucher cette audience, qu'est-ce que tu lui recommandes ? C'est quoi le meilleur format ?

  • Speaker #0

    Sur les formats ?

  • Speaker #1

    C'est compliqué, hein ?

  • Speaker #0

    surtout sur l'audience il y a énormément de possibilités pour aller cibler les audiences tout simplement donc déjà un bon ciblage fonctionne, on peut faire aussi du lookalike d'audience si on travaille avec des partenaires et puis aussi ce qui est bien c'est qu'on a des formats publicitaires full funnel et ça d'ailleurs on peut le faire avec les créateurs c'est à dire qu'on a des formats publicitaires qui vont permettre d'aller de l'awareness à la considération jusqu'à la conversion donc c'était des formats qui existaient déjà mais maintenant en fait on les a aussi associés aux créateurs et ce qu'on voit c'est que quand on utilise les assets créateurs face aux assets institutionnels on voit des clics, des taux de vue etc. beaucoup plus important que les assets instit pour une raison simple, la confiance l'authenticité, ce côté en public et fait pour la plateforme fait très natif et donc du coup ces formats publicitaires si en gros je parlais de marque je leur dirais tout simplement vous avez Merci. Tout est possible sur Snapchat. Tous vos KPIs, que ce soit de la performance, au reach, la conversion, etc. Tout ça, c'est possible sur Snapchat. On a des nouveaux formats qui ont été annoncés aux États-Unis, qui arriveront, je l'espère, en France, qui vont permettre aussi d'aller chercher du reach. On a le format First Commercial, un peu le prime time. Donc, il permet d'aller vraiment toucher une audience forte très rapidement. Donc, on a aussi pour les marques, tout en gardant cette authenticité, tout en gardant ce côté natif, toute cette série de formats publicitaires qui vont permettre d'aller chercher des audiences. Je prends un dernier exemple, Collectionad. Tout simplement, une publicité, la possibilité d'avoir des vignettes à l'intérieur pour aller directement chercher le produit ou en tout cas aller sur le lien. En fait, c'est super quand c'est en plus un créateur qui l'utilise et qui utilise le produit. en fait je peux directement cliquer sur le lien pour aller.

  • Speaker #1

    Ça, c'est un peu l'avant-garde. Là, il y a beaucoup de social commerce qui se met en route en ce moment. C'est un sujet dans lequel vous allez aller aussi, sur la vente de produits physiques, je dirais. C'est pas encore annoncé, c'est pas encore officiel. Je ne demande pas d'exclusivité, mais d'après toi...

  • Speaker #0

    J'essaierai de ne pas trop accrocher sur ce sujet-là. Tout simplement parce que je ne suis pas le spécialiste.

  • Speaker #1

    Après, ça serait complètement naturel d'avoir... Oui,

  • Speaker #0

    personnellement, je pense que c'est naturel, on y pense, on est dessus, il y aura...

  • Speaker #1

    Il faut faire de la meilleure façon possible.

  • Speaker #0

    Bien sûr. Et puis, on a déjà des formats aussi.

  • Speaker #1

    Oui,

  • Speaker #0

    c'est ça. Je parlais du collection.

  • Speaker #1

    Voilà, c'est un des premiers formats. Exactement. Ils n'ont plus que le panier. J'exagère.

  • Speaker #0

    Oui, de toute façon, on suit les tendances du marché. On regarde ce qui se passe.

  • Speaker #1

    Si les gens veulent, on va le faire.

  • Speaker #0

    Exactement. Et exactement, les créateurs. Encore une fois, il n'y a pas si longtemps que ça. Sur cette partie contenue, il n'y a pas si longtemps que ça. Spotlight n'existait pas. Et Spotlight n'est pas... l'idée vraiment de Spotlight, c'est de se dire, en fait, on a... comment faire en sorte que notre communauté qui est très forte puisse atteindre le niveau Snapstar. Pour ça, il faut être découvert.

  • Speaker #1

    Pour être découvert,

  • Speaker #0

    il faut du contenu. Et il faut un produit. Il faut un produit de découverte. Et donc Spotlight, c'est ce produit de découverte. Et ce produit de découverte, en fait, permet à la communauté de créer plus, aux Snapstars aussi de créer plus pour atteindre aussi peut-être la monétisation ou même les créateurs qui sont entre les deux, entre communauté et Snapstar, d'atteindre ce fameux levier. Et on voit d'ailleurs que le nombre de postes augmente et que aussi le contenu... le temps passé à regarder du contenu en augmentation de 25% sur l'année.

  • Speaker #1

    Donc quelqu'un de nouveau qui arrive sur Snap aujourd'hui va dans Spotlight et il a tout ce que il peut se créer.

  • Speaker #0

    Je pense que Spotlight c'est un bon moyen d'aller découvrir d'entrée.

  • Speaker #1

    D'entrer dans d'autres profils parce qu'après c'est un peu le problème des algorithmes. On est trop fermé sur des types de contenus qu'on a déjà vu et qu'on veut voir mais le Spotlight est quand même assez frais du coup pour pouvoir découvrir d'autres types de contenus où les créateurs

  • Speaker #0

    les stories je vais parler je vais regarder les contenus de ceux que j'aime je parlais des super fans Des gens que j'ai choisis. D'ailleurs, j'ai l'impression qu'on va presque suivre moins de comptes sur Snapchat parce qu'au final, on va suivre des comptes qu'on connaît. Même les créateurs, on va les suivre comme s'ils faisaient partie de notre cercle d'amis. Sur Ailleurs, je vais peut-être tout simplement… Je ne sais pas, je regarde un film, j'aime bien le réalisateur ou j'ai entendu parler de quelque chose, je vais suivre le compte. Je ne sais pas vraiment qui c'est, mais j'ai bien aimé une idée qui a marché et je vais suivre ce compte. compte-là et peut-être que je ne vais jamais y retourner. Sur Snapchat, on a plutôt cette impression que quand on est abonné aux stories, on regarde toutes les stories, on est vraiment à fond avec ce créateur. Mais il manquait cette partie découverte. Donc, comment faire pour aussi avoir plus de comptes à suivre ? Parce que peut-être que je ne savais pas.

  • Speaker #1

    Pour élargir un tout petit peu son spectre communautaire.

  • Speaker #0

    Et Spotlight est pas mal.

  • Speaker #1

    Et du coup, tu as des homologues comme toi dans d'autres pays, j'imagine ? Vous faites des conventions internationales, des gens comme toi, et vous partagez vos tips entre pays ?

  • Speaker #0

    On a des réunions.

  • Speaker #1

    On va éviter de se déplacer. Ma question derrière ça, c'est est-ce qu'il y a des usages particuliers par marché ? Est-ce que sur certains pays, ils adorent les stories, ils n'aiment pas les spotlights ? Il y a des spécificités.

  • Speaker #0

    La spécificité en France aussi, c'est qu'on a aussi beaucoup de créateurs qui sont nés sur Snap. donc ça c'est super parce que c'est quelque chose qu'on essaie de créer un peu plus au global d'avoir des créateurs qui commencent, je disais tout à l'heure cet exemple de je crée du contenu mais juste pour mes amis sur Snapchat, j'envoie des vidéos et puis je me rends compte qu'en fait je suis plutôt pas mal je suis assez drôle et donc du coup allez j'y vais, je crée un profil public et je commence à poster de manière naturelle et donc petit à petit je monte et c'est cette ... ce séjour-là, cette journée, qui est super intéressant pour nous. Et en France, ce qui est bien, c'est qu'il y en a déjà. Dans d'autres marchés, on est en train de les créer. D'autres marchés aussi sont très forts, par exemple, sur l'utilisation des lenses pour faire du contenu. D'autres marchés, il y a une forte consommation en spotlight. Donc, il n'y a pas du temps passé à regarder du contenu. Donc,

  • Speaker #1

    il y a quand même des différenciations au marché.

  • Speaker #0

    Il y a vraiment des différenciations. On va dire qu'il y a un socle commun. Et puis après, il y a des petites spécificités intéressantes. Et nous, on est là, évidemment. pour nourrir la plateforme, nourrir tout le monde pour qu'ils puissent comprendre ce qui marche et ce qui ne marche pas, donner des bonnes pratiques et des cas studiés, enfin des cas par marché.

  • Speaker #1

    Bon, écoute, du coup, c'est plutôt confortant, je trouve, d'avoir un socle commun et d'avoir des usages un peu partagés. Est-ce que tu as d'autres outils qui arrivent bientôt, là, côté créateur, ou des choses que tu peux nous dire ?

  • Speaker #0

    Ce que je peux dire, c'est qu'on l'a déjà annoncé, mais c'est assez nouveau quand même, donc j'en profite. pour en parler parce que peut-être qu'effectivement il n'est pas très connu c'est que s'il y a la monétisation pendant très longtemps on ne monétisait que sur les stories d'accord tout simplement voilà maintenant on a annoncé maintenant on a annoncé pardon les revenus sur les spotlights d'accord et donc ce qui est intéressant c'est que maintenant désormais quel que soit le contenu que je publie sur la plateforme en fait elle est monétisée alors spotlights à partir d'une minute mais en tout cas le contenu est monétisé et ça c'est en pas de plus pour récompenser l'engagement des créateurs, pour aider ces créateurs à créer un peu plus. Dans le meilleur des cas, on a des créateurs qui commencent sur la plateforme, qui se lancent sur la plateforme, qui créent un business sur la plateforme, qui réussissent à vivre, c'était l'une des premières questions, réussissent à vivre de leur engagement. C'est l'objectif et je pense qu'on va continuer dans ce sens.

  • Speaker #1

    Et tu peux cumuler de la rémunération plateforme du sharing revenu plus une collaboration commerciale avec une marque ? Bien sûr,

  • Speaker #0

    tout est possible. Et même je peux faire de la collaboration commerciale en étant Snapstar aussi sans forcément avoir énormément de revenus.

  • Speaker #1

    Donc s'il y a des auditeurs qui veulent être Snapstar, ils t'appellent ?

  • Speaker #0

    Alors surtout pas !

  • Speaker #1

    Ça va être la question qu'on va nous poser !

  • Speaker #0

    Non, non, si on a... Tout est en ligne. Tout est en ligne. On a des formulaires, etc. J'apparais généralement au moment où vous êtes Snapstar.

  • Speaker #1

    Voilà. Tu remets le diplôme du César.

  • Speaker #0

    C'est un peu ça. Non, l'idée, c'est que…

  • Speaker #1

    Tout se fait en ligne, on est d'accord.

  • Speaker #0

    Déjà, tout se fait en ligne. Et surtout, encore une fois, si vous faites du bon contenu, de qualité, engageant, que vous avez des idées, que vous êtes original, etc.

  • Speaker #1

    Il n'y a pas de problème. Il n'y a pas de problème. Ça arrive. Bon, alors allez-y. Faites du contenu. comme ça au snap star et puis dès que vous avez vu Jean-Philippe alors là c'est je suis pas tout seul je suis pas tout seul Jean-Philippe et ses équipes derrière c'est bon vous êtes sur la bonne voie super écoute on arrive à un moment de l'émission où je te pose un mot et on donne un autre d'accord comme ça allez donc Lens

  • Speaker #0

    Rire

  • Speaker #1

    Genzy

  • Speaker #0

    Authenticité et Los Angeles Maison mère. Maison en maison.

  • Speaker #1

    Parce que c'est vrai que Snap est toujours à Los Angeles. C'est aussi ce qui différencie la plateforme. C'est-à-dire qu'on est dans la ville du cinéma et pas dans la ville à Silicon Valley où là, c'est la tech, la tech, la tech. Donc, c'est aussi un élément de différenciation.

  • Speaker #0

    Mais aussi, Lance, j'ai dit rire parce que ça m'a fait penser à quelque chose. On parle de communication visuelle, de se sentir à l'aise, etc. J'aime bien cet exemple. Je vais parler un peu de moi. alors j'étais Noël, on passe Noël à la maison et donc il y a ma belle-mère et ma femme qui sont sur leur canapé sur mon canapé de la maison notre canapé et donc ma femme utilise les lenses ils étaient sur Snapchat et elles ne communiquaient pas, elles ne s'envoyaient pas des messages elles étaient juste côte à côte et elle prend le téléphone et elle s'amuse à utiliser les lents sur sa mère.

  • Speaker #1

    D'accord.

  • Speaker #0

    Et là, nous, on est à côté en train de dîner avec mon père et en fait, là, ça part en fou rire complet. Mais en fou rire complet. Et je me suis rappelé que ce n'était pas la première fois que ça arrivait parce que ça m'est arrivé avec ma mère un an avant. D'accord. Parce que ma mère, elle habite en Guadeloupe et dans le Tartu. Et on était tout simplement assis et en gros, j'utilisais les lents sur son visage. et en fait, on se marrait, mais elle pleurait. Et je me suis dit, c'est fou parce que même lorsqu'on ne communique pas en envoyant des messages ou en postant de la vidéo parce que ça n'a pas été posté, c'est pas erreur pour nous, mais en fait, on crée de l'interaction avec l'application.

  • Speaker #1

    Il y a des fonctions pour générer une émotion sans la publier.

  • Speaker #0

    C'est assez drôle.

  • Speaker #1

    En même temps, tu as une grosse influence à la maison, j'ai l'impression. Oui. Ta femme et ta belle-mère sur le canapé en train de faire du slap ?

  • Speaker #0

    C'est obligatoire ou pas ? Non, ce n'est pas une collaboration. C'est juste qu'elle est utilisatrice aussi de l'application.

  • Speaker #1

    C'est ça qui est sympa, je crois, avec les Lens, tu as raison de le dire. C'est qu'en fait, c'est une fonctionnalité où les gens peuvent juste jouer avec.

  • Speaker #0

    C'est ça. Et puis...

  • Speaker #1

    Et pas forcément le publier pour faire du contenu, mais jouer avec la plateforme. Oui,

  • Speaker #0

    et puis on parle beaucoup des Lens qui sont, voilà, la Lens pour être parfaite, etc. je t'invite à aller sur le carousel de l'ens Snapchat sur les premières l'ens c'est pas mal super si tu avais un conseil à donner à une marque qui hésite encore à venir sur Snap,

  • Speaker #1

    qu'est-ce que tu lui dirais ?

  • Speaker #0

    venez voir les créateurs non je dirais il y en a pour allez-y parce que vous pouvez tout faire vous pouvez vraiment tout faire et évidemment oui ne négligez pas les créateurs parce que c'est bon mon travail et je le disais sur les taux de clics, taux de flux, etc. sur les assets créateurs. Donc, évidemment, n'hésitez pas à aller sur cette partie. Mais, vous pouvez vraiment tout faire sur Snapchat. C'est une plateforme masse audience, grosse communauté, des vidéos de qualité, brands et effets, etc. Il y a un travail qui est fait et qui est vraiment minutieux, mené tous les jours par les équipes. Clairement, quel que soit La partie du funnel que vous souhaitez atteindre, ou même full funnel si vous voulez, en fait, vous allez y arriver sur Snapchat. Et c'est assez, en plus, marrant à voir.

  • Speaker #1

    Oui, après, je suis d'accord avec toi. Enfin, je pense qu'il y a tout sur Snap aujourd'hui. Faire des outils, ça. Je trouve que c'est la plateforme la plus créative, en fait, qui donne le plus de fonctionnalités pour aller dans la créativité. C'est ça. Ce que les marques aujourd'hui cherchent aussi, parce que finalement, elles veulent du contenu de qualité, un peu original. Des fois, elles reposent toutes sur le créateur, qui peut le faire, mais en même temps, s'il y a des outils et des aides à la création, c'est quand même intéressant,

  • Speaker #0

    je trouve. Et mon autre conseil, ce serait de ne pas hésiter à laisser le créateur s'exprimer et interpréter les meilleurs collabs. En fait, elles sont comme ça. Marcus, il est fascinant, parce que Marcus, on lui donne une collab et... il en fait quelque chose de merveilleux.

  • Speaker #1

    Il a son monde, son univers. Son univers,

  • Speaker #0

    sa manière de faire, de parler, d'interpréter les choses. Une marque a tout à gagner à travailler avec des créateurs comme lui.

  • Speaker #1

    Je suis d'accord. Et un jeune qui démarre sur Snap aujourd'hui, j'ouvre mon compte Snapchat aujourd'hui.

  • Speaker #0

    Pour devenir créateur.

  • Speaker #1

    Pour devenir créateur, oui.

  • Speaker #0

    Spotlight, Spotlight, Spotlight. Pourquoi ? Parce que Spotlight, c'est pour tout le monde. C'est pour se faire découvrir. et Stories, c'est un peu plus pour parler à ses abonnés. Stories aussi. Mais n'hésitez pas à aller sur Spotlight et à poster sur Spotlight et ça va venir. Et surtout, tout simplement, faites du contenu. cool, de qualité et amusez-vous, clairement amusez-vous.

  • Speaker #1

    Il faut tester aussi. Il faut trouver son style, son ton et sa communauté.

  • Speaker #0

    Exactement, il faut trouver son ton. On parlait de Léna's situation, je sais qu'elle disait que maintenant elle veut sur Stories avoir l'impression que Snapchat c'est son plus, qu'elle emmène dans ses projets, à ses événements. Voilà, trouver sa ligne, trouver son ton et surtout rester authentique dans cette vie.

  • Speaker #1

    Est-ce qu'il y a une campagne ou une création faite par un créateur qui t'a marqué récemment ? À part Lena, on vient de parler de Marcus et Gaël. Difficile du coup. Est-ce que tu n'as pas un truc qui t'a vraiment bluffé où tu t'es dit, là, ils ont été très loin avec les outils ?

  • Speaker #0

    Il y a eu une campagne Rabanne que j'ai bien aimée à Doel avec des Lens où ils avaient fait appel à, je crois, 8 créateurs. Ce qui est intéressant avec cette campagne, c'est que 8 créateurs... Merci. différents différents taux pour la même marque pour le même brief et donc j'aimais bien ce côté un peu casting au même moment au grand moment exactement squad même moment pour un moment important comme noël en termes de ouais c'était super créatif j'ai

  • Speaker #1

    vraiment aimé et ça donne une dimension différente à la campagne parce que du coup tout le monde fait pas la même chose j'imagine ouais c'est ce que j'appelle ici l'orchestre en fait tu peux avoir nous nous en fait on se positionne un peu comme étant des chefs d'orchestre humblement qu'on est, mais en fait c'est de dire si on vous fait un casting de 10 talents chacun va jouer sa partition et à la fin l'expérience globale va être géniale parce que ça va donner une image différente de la campagne et ça je trouve que c'est moins fait en ce moment en plus je trouve, mais c'est plutôt original quoi, parce que ça a été différent c'était original,

  • Speaker #0

    c'était vraiment bien fait, et puis il y avait le ton pour chaque lanceur les résultats étaient évidemment au rendez-vous, donc c'était une belle campagne je trouve.

  • Speaker #1

    Super ! bravo aux équipes c'est pas moi qui l'ai faite c'est pas vrai donc bravo aux équipes on félicitera nos amis de chez Pooch ouais exactement et Julien qui nous écoute normalement je vais le féliciter c'est lui qui est en charge de ça bravo à lui avant dernière question si tu étais sur une île des airs quel film ou quelle série ou quel livre tu emmènerais avec toi ?

  • Speaker #0

    alors je suis un ancien journaliste donc ce sera clairement papier ce qui fait bizarre c'est bien c'est bien bon mais après ça peut être aussi du cinéma ouais Merci.

  • Speaker #1

    Tu n'auras pas de problème de batterie.

  • Speaker #0

    Exactement. Sur une île déserte, c'est quand même pas mal d'avoir plutôt un livre. Pas du tout, si c'est moi, pas Snapchat, si c'est à moi qu'on pose la question, j'ai quelques livres références que je garderai toujours avec moi. Il y a ce livre qui s'appelle « Les maraudeurs » de Tom Cooper. C'est un livre dans le Bayou, après la marée noire, BP, etc. Et en gros, on va suivre des personnages un peu haut en couleur, qui vont essayer de tirer tous parti d'une manière différente, positive ou négative à chaque fois, de ce qui s'est passé, soit pour reconstruire, soit pour... Ça, c'est un livre assez drôle, et du coup, je pense que ça me divertirait. Et puis pour garder aussi l'esprit, pour avoir aimé la belle littérature, la belle écriture, etc., je dirais Nickel Boys de Colson Whitehead. parce que c'est un super bouquin sur la résilience. Et je trouve ça fascinant. Mais je pourrais en parler plus tard.

  • Speaker #1

    Tu reviendras, on fera une émission littéraire. Avec plaisir. Et alors, dernière question, celle qu'on ne prépare jamais en général. Je te le dis d'avance. Une personne ou un créateur, j'imagine, que tu me recommanderais d'inviter ?

  • Speaker #0

    Malheureusement, j'en ai déjà cité.

  • Speaker #1

    C'était pas mal.

  • Speaker #0

    C'était pas mal. Je trouve que Marcus est un créateur assez... Je l'aime beaucoup parce qu'il est en univers. Il a vraiment créé ça. J'aime beaucoup ce qu'il fait. Il y a des créatrices comme Paley, comme Louise RGT, qui sont des créatrices que je trouve aussi qui appréhendent très bien la plateforme. Donc oui, je pense que... Il y a un bon panel.

  • Speaker #1

    On commence par Marcus alors ? Oui, on peut commencer par Marcus. Tout le monde est témoin. Jean-Philippe, tu dois nous faire venir Marcus. Tu pourrais lui faire une demande peut-être.

  • Speaker #0

    Je peux faire une demande.

  • Speaker #1

    À l'occasion. S'il veut venir. En tout cas, c'est vrai que c'est intéressant aussi d'avoir le point de vue des créateurs. Bien sûr. Parce que c'est vrai que moi ici, je reçois les marques et les créateurs et les plateformes. Mais en fait, tu as des attentes différentes, tu as des expériences différentes côté créateur. Et c'est assez intéressant à écouter parce que c'est du vrai learning, je trouve. pour les marques et pour les plateformes. Jusqu'à ce qu'elles disent ce qu'elles pensent. Du coup, c'est pas mal.

  • Speaker #0

    Ouais et ce que j'aime c'est que finalement tout ce qu'on dit ça vient surtout des feedbacks des créateurs. Quand je parle de super fans, ça vient vraiment des feedbacks des créateurs. Je donne un exemple concret. Je ne sais même pas si je peux en parler, mais j'ai un créateur. Non, non, si, je peux en parler. Il y a un créateur, je ne dirai pas son nom parce que je ne lui ai pas demandé, qui m'a dit il n'y a pas longtemps, mais Jean-Philippe, c'est génial parce que sur Snapchat, je peux manger du riz. Voilà. Et en fait, c'est drôle, mais j'ai compris en gros ce qu'il y avait derrière. C'est qu'en fait, il disait tout simplement qu'il pouvait vraiment raconter sa vie, qu'il pouvait vraiment être authentique et qu'il n'avait pas cette pression. Peut-être que sur d'autres plateformes, il aurait fallu que ce soit en magie, de canard parfait, etc. Là, l'idée, c'était de se dire, en gros, même en finissant backstage, en faisant du riz, j'arrive à échanger avec ma communauté. Donc, ça m'a fait marrer.

  • Speaker #1

    Merci beaucoup, en tout cas, pour cet échange. On en sait un peu plus sur Snap. même si on connaissait bien la plateforme quand même. Et puis merci pour notre échange, j'espère que ça t'a plu. C'était super. Voilà, donc à très vite. Merci beaucoup. Merci à toutes et à tous d'avoir écouté cet épisode. J'espère qu'il vous a plu, inspiré ou donné matière à réflexion. Le podcast est désormais aussi disponible en vidéo sur YouTube. Pensez à vous abonner à la chaîne pour ne rien manquer. Si l'épisode vous a plu, n'hésitez pas à le partager, à laisser une note, un commentaire et en parler autour de vous. Un grand merci à notre partenaire Légendes Internet, le média de référence sur l'influence et les créateurs de contenus. Pour échanger, vous pouvez me contacter sur LinkedIn en tapant Cyril Atias ou par mail à podcast.marketinginfluence.fr. À bientôt !

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Description

Dans cet épisode du podcast Marketing & Influence, Cyril Attias reçoit Jean-Philippe Louis, responsable Content & Creators Partnerships chez Snap France. Ensemble, ils décryptent la stratégie d’accompagnement des créateurs sur Snapchat, de la naissance du programme Snapstar à l’impact de Spotlight pour la découverte de nouveaux talents.

Jean-Philippe partage son parcours de journaliste à expert de l’écosystème créatif, ses conseils pour réussir sur Snap, et revient sur des success stories inspirantes comme Léna Situations ou Gaël Monfils. Vous découvrirez comment Snapchat soutient l’authenticité, la monétisation et l’innovation pour offrir aux créateurs et aux marques un terrain d’expression unique.

#Marketing #MarketingInfluence #Podcast #Digital #CréateursDeContenu #ADMSParis #Instagram #CyrilAttias #InfluenceMarketing #snapchat

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour, je suis Cyril Attias, fondateur de ADMS.Paris, Globe Group. Avec plus de 20 ans de carrière dans le digital, j'ai voulu créer un espace de dialogue avec celles et ceux qui façonnent l'univers du marketing, des médias sociaux et de l'influence. Marketing et influence, c'est le podcast qui décrypte en profondeur les stratégies des marques, des plateformes et des talents qui font bouger les lignes. Vous êtes directeur marketing, créateur de contenu, influenceur ou simplement passionné par l'écosystème digital ? Vous vivez entre TikTok, Instagram, Twitch ou LinkedIn ? Alors installez-vous et découvrez mon invité du jour. Bonjour, aujourd'hui je reçois Jean-Philippe Louis, Content and Creators Partnerships Manager chez Snap. On va parler ensemble de sa mission aux côtés des créateurs, comment il les accompagne, comment Snapchat les soutient avec des ressources dédiées, et surtout comment la plateforme les aide à créer du contenu. toujours plus impactants et adaptés à leur communauté. Ce podcast a été réalisé en partenariat avec Les Gens d'Internet, le média expert de l'influence et des créateurs de contenu, et ADMS.paris Globe Group, créateur de stratégie Impact. Bonjour Jean-Philippe.

  • Speaker #1

    Bonjour.

  • Speaker #0

    Bienvenue.

  • Speaker #1

    Merci.

  • Speaker #0

    Je suis ravi de t'accueillir. Est-ce que tu peux te présenter ? Pour commencer, parce qu'il faut qu'on pose le décor. Alors c'est parti.

  • Speaker #1

    Je suis Jean-Philippe Louis, mon nom de famille, beaucoup de prénoms. Je suis responsable...

  • Speaker #0

    Dans l'ordre, c'est bon.

  • Speaker #1

    Dans l'ordre, c'est bon. Ce n'est pas Jean-Louis, c'est Jean-Philippe. Je suis responsable des partenariats contenus pour la France, pour Snapchat. Et notamment la partie talent, créateur et les partenariats avec les créateurs de contenus par les Gimagines.

  • Speaker #0

    Ok, super. Est-ce que tu peux nous raconter ton parcours avant Snapchat ? J'imagine qu'il y a eu une vie avant Snapchat.

  • Speaker #1

    D'ailleurs,

  • Speaker #0

    on dit Snap ou Snapchat ?

  • Speaker #1

    Alors, Snap Inc. C'est la société.

  • Speaker #0

    Officiellement,

  • Speaker #1

    on dira Snap. C'est plutôt l'application.

  • Speaker #0

    Ok,

  • Speaker #1

    alors on dit Snap. Alors, mon parcours, il y en a eu plein. En fait, on va faire court. Je suis un ancien journaliste. J'ai travaillé dans la presse magazine, la presse quotidienne, radio, télé. Et puis, je suis arrivé en 2020 chez Snap pour gérer d'abord la partie médias. Il cherchait quelqu'un qui connaissait...

  • Speaker #0

    Il y a toujours une grosse partie média.

  • Speaker #1

    Il y a toujours une grosse partie média. Il cherchait quelqu'un qui pourrait rencontrer les publishers, connaître l'écosystème médiatique. Et donc, je suis arrivé d'abord pour ça, en éditorial, vraiment pour conseiller les publishers. Et puis, petit à petit, en gros, l'écosystème a grossi et on va en parler. Et du coup, ce qui m'amène maintenant à travailler aussi avec les créateurs.

  • Speaker #0

    Ok, donc... Le monde print, on va dire, médias classiques, jusqu'à ce stade.

  • Speaker #1

    Médias classiques, oui, exactement.

  • Speaker #0

    Une bonne position quand même. Oui,

  • Speaker #1

    alors sur les médias classiques, il y avait beaucoup de nouvelles écritures. On a travaillé sur le podcast des échos. J'avais aussi, j'étais responsable business music aussi aux échos. Et donc, j'avais un podcast qui s'appelait Business of Music.

  • Speaker #0

    Très bien.

  • Speaker #1

    Qui parlait de la musique.

  • Speaker #0

    Bon, alors tu es dans l'écosystème, c'est bon. Oui, ça va. Depuis longtemps. Et alors du coup, ça veut dire quoi ? Ton rôle chez Snapchat, tu t'occupes des créateurs, tu t'occupes de l'éditorial ?

  • Speaker #1

    Non, je m'occupe des partenariats avec tous les créateurs de contenu, et créateurs de contenu au sens large. On parle de la communauté, c'est-à-dire les comptes publics, ce qu'on appelle les Snapstars, on en parlera. Ce sont des comptes certifiés, ceux avec qui on a un vrai partenariat, et qui monétisent aussi parfois sur la plateforme, les célébrités, mais aussi les médias. type Le Monde Brut, etc. En fait, on va travailler ensemble pour développer l'écosystème. Mais mon travail, vraiment, il consiste surtout à améliorer et créer une expérience de contenu pertinente pour les utilisateurs sur Snap et toujours améliorer cette expérience. Et donc, le but pour nous, c'est faire en sorte que nos partenaires... puisse trouver notre audience, parler à notre audience et faire en sorte que notre audience puisse s'informer, se divertir avec des contenus de qualité et brand safe, évidemment.

  • Speaker #0

    D'accord. Donc toi, en fait, tu maîtrises la plateforme, tu maîtrises les messages et les codes, en tout cas, un peu plus que la moyenne, on va dire, mais en même temps, tu les aides à appréhender cette nouvelle écriture, ce nouveau format pour que ça puisse matcher avec les actualités et vos communautés.

  • Speaker #1

    C'est ça, il y a une part d'éducation parce que quand on est un créateur et qu'on utilise Snapchat, on l'utilise souvent pour soi, pour parler à ses amis, on crée du contenu, mais on ne sait pas vraiment où créer du contenu en utilisant l'application, sans savoir en fait quelles sont les bonnes pratiques. Et donc c'est notre rôle aussi de travailler ces bonnes pratiques, mais ça va être pareil aussi pour des médias, pour comprendre en fait comment leur ADN peuvent coller avec la plateforme.

  • Speaker #0

    D'accord. Du coup, c'est beaucoup de travail, ça, parce qu'il y a beaucoup de célébrités, des vérifiés, des créateurs.

  • Speaker #1

    Pas tout seul, heureusement.

  • Speaker #0

    C'est énorme. Oui, c'est énorme. Et ça se fait sous quel format ? Vous avez des masterclass ? Je ne sais pas, vous faites des… Oui,

  • Speaker #1

    alors, il y a une part de scale. Il y a la partie produit. Il y a aussi des notifications inaptes. Toutes ces choses-là sont déjà importantes pour que les créateurs puissent comprendre que, en fait, cette vidéo… a eu du succès. Donc, en gros, le créateur, il va se dire quand je fais ce type de contenu, j'arrive à atteindre une audience. Et puis, il y a cette partie...

  • Speaker #0

    Il y a des cours d'apprentissage.

  • Speaker #1

    Bien sûr, il y a... Il y a aussi le relationnel, tous les jours, au quotidien, avec les créateurs. C'est très important, évidemment. Et puis, il y a cette partie, effectivement, Snap School. Donc, ce sont des bonnes pratiques. On a créé, en fait, une école. Snap School, ce sont tout simplement des bonnes pratiques délivrées. En fait, ce sont des formations, des sessions, masterclass. Et on les fait, en fait, avec les agences, avec les créateurs, avec les célébrités, avec les médias. Et donc, l'idée, c'est qu'ils puissent vraiment comprendre Snapchat, comment Snapchat est pensé. La différence aussi avec les autres plateformes, c'est important.

  • Speaker #0

    C'est différenciant quand même.

  • Speaker #1

    Très différenciant.

  • Speaker #0

    Je ne sais pas si au début, on disait que ce n'était pas un réseau social.

  • Speaker #1

    C'était ça l'idée. En fait, Snapchat, c'est une caméra d'abord. Oui, c'est ça. C'est un sonprix. C'est toujours... C'est marrant, quand j'en parle notamment durant les Snap School, il y a cette volonté pour l'utilisateur, en tout cas pour Snapchat, que vous soyez actif sur la plateforme. C'est-à-dire, en gros, je suis sur la caméra, j'utilise la messagerie, je parle à mes amis, à ma famille. Et c'est vraiment le cœur de

  • Speaker #0

    Snapchat. Donc c'est un véritable écosystème de tout ce qu'on peut avoir besoin au quotidien. Où sont mes amis ? Je leur parle, je fais du contenu. Centralisé dans une application.

  • Speaker #1

    C'est ça, c'est tout. C'est plusieurs applications presque dans une application. Et l'idée, effectivement, c'est d'avoir toutes ces possibilités à la fois de communication et de création et de créativité, avec l'AR également, sur une même plateforme.

  • Speaker #0

    Ok. Alors depuis 2020, c'est ça, tu es arrivé en 2020. Est-ce que tu as vu une évolution côté créateur ? C'est-à-dire, est-ce qu'il y en a eu énormément, un peu moins, un peu plus ? Est-ce qu'ils sont plus exigeants ? Comment tu as vécu cette évolution depuis cinq ans maintenant ?

  • Speaker #1

    Oui, la plateforme a évolué. Alors, il y a une raison simple. On a lancé un programme qui s'appelle Snapstar, un programme de certification.

  • Speaker #0

    Donc ça, c'est quoi ?

  • Speaker #1

    Snapstar, c'est tout simplement, on va choisir les créateurs via des critères qui sont en ligne, qui sont engagement du compte, pertinence, qualité du contenu. Et en gros, ils vont être certifiés et ça va leur donner accès à toute une série de fonctionnalités, de produits pour émerger, pour augmenter l'audience et à terme pour monétiser. Sachant que lorsque je suis Snapstar, je ne monétise pas directement. Il y a encore des critères parce qu'on fait évidemment attention. à ce que les contenus qui soient monétisés soient de qualité. En fait, on va travailler avec les créateurs pour atteindre ce niveau.

  • Speaker #0

    C'est un star.

  • Speaker #1

    Tout le monde va se battre,

  • Speaker #0

    tout le monde va t'appeler.

  • Speaker #1

    Et donc, ce programme a été lancé en 2015, mais il manquait quelque chose, c'est tout simplement une expérience locale. On s'est staffé vraiment en 2020-2021 avec mon arrivée, mais aussi l'arrivée de Julie Bogard et aussi des équipes. content et créateur. Et l'idée, c'était vraiment de créer cette expérience locale. Puisque jusqu'à présent, en gros, il y avait une grosse part algorithmique et donc l'élément magique, qui est l'humain,

  • Speaker #0

    manquait. Voilà,

  • Speaker #1

    exactement. Et c'est vrai qu'on oublie quand même parfois que derrière ces algorithmes, il faut des humains, il faut cet élément magique. J'aime bien ce terme parce que j'avais entendu une fois...

  • Speaker #0

    L'algorithme sont les créateurs, il n'y a pas d'algorithme.

  • Speaker #1

    Exactement. Et donc... On a mené un audit, on a regardé comment la plateforme était considérée aussi par les créateurs. Et puis, il y a eu toute cette part d'action. Alors, cette part d'action, il y a eu une partie très positive qui consistait à aller chercher de nouveaux contenus, à aller travailler avec de nouveaux créateurs, de nouveaux types de créateurs, diversifier, voir quel vertical il manquait aussi. Est-ce qu'il y a, est-ce qu'on a, je suis passionné. de wellness, de beauté ? Est-ce qu'on a des contenus qui vont... Plus bizarrement. Voilà, exactement. Donc, il y a toute cette osite. Et puis aussi, cette partie... Qui sont les bons acteurs ? Qui sont les mauvais acteurs ? Est-ce qu'il y a du contenu qui ne devrait pas être présent sur la plateforme ? Évidemment, il a fallu faire ce travail-là également. Donc très rapidement, dès 2020-2021, même plutôt 2021, jusqu'à arriver à un écosystème un peu plus sain désormais, avec des critères, avec aussi des guidelines stricts, des règles communautaires très strictes et précises surtout pour nos créateurs.

  • Speaker #0

    Donc du coup, une évolution assez rapide quand même. Entre 2020 et maintenant, il y a les Snapstars. Tout le monde se bat pour les avoir. Il y a d'autres sujets aussi. Il y a les Spotlights, il y a les AR. Il y a pas mal d'autres produits. En fait, est-ce que c'est une spécificité Snapchat d'avoir toute une série de produits quand même qui, je pense, s'adresse à différents types de créateurs ou différents types d'audience ? Mais c'est quand même une boîte à outils. C'est-à-dire qu'à chaque fois qu'on parle de Snap... Ah ouais, mais il y a les feeds, il y a les AR, il y a l'imagine, il y a les tout. En fait, j'ai l'impression qu'il y a quand même pas mal d'outils derrière. Et ce qui fait peut-être, à mon avis, un peu plus votre différenciation par rapport au marché. Mais la stratégie derrière ces outils, c'est quoi ? C'est de pouvoir donner ce que veulent les créateurs. C'est ça. Ou de pouvoir augmenter l'expérience vidéo.

  • Speaker #1

    C'est un peu tout ça. Déjà, on est une plateforme, on est une société qui est basée sur l'innovation. Il y a beaucoup de stratégies d'acquisition, etc. dans les boîtes. Bien sûr. Et il y en a sûrement chez Snap. le cœur même de Snapchat, c'est d'innover, de créer des choses, des nouveaux produits. On le voit avec les arts, les lenses, etc. Donc l'idée pour nous, c'était, on a les créateurs, on a aussi des success stories, on avait énormément de créateurs qui commençaient sur Snap et en fait, qui allaient vers d'autres plateformes également parce qu'ils n'avaient pas les outils, les fonctionnalités et les produits pour être découverts, par exemple. Donc c'est la raison pour laquelle on a lancé Spotlight. C'est-à-dire que les stories, on a... créé ce format, on a mis au monde ce format Story.

  • Speaker #0

    Vous étiez les inventeurs du format quand vous vous accopiez assez rapidement, mais bon, c'était vous les premiers, ça on s'en souvient.

  • Speaker #1

    Mais Story, c'est de l'engagement. C'est beaucoup d'engagement même. C'est-à-dire on a des créateurs qui vont poster des Stories et vous allez avoir les abonnés qui vont regarder Snap par Snap « Tu n'as pas posté de Stories aujourd'hui, tout va bien, etc. » Donc voilà, c'est cet engagement. Mais il manquait cet élément qui est J'arrive sur Snap et je parle à mes amis. Et en fait, je me dis, j'aimerais avoir un compte public. Je me rends compte que j'ai un concept, j'ai des idées, je suis drôle ou je veux éduquer ou informer sur un sujet. Comment émerger sur la plateforme ? Et donc, on s'est rendu compte qu'il manquait ce produit. Parce que les stories, au final, on est sur l'engagement pour les abonnés. Et donc, du coup, c'est la raison pour laquelle on a créé Spotlight. Spotlight, c'est notre outil qui va permettre aux créateurs d'être vraiment découverts. découvert sur la plateforme. Et donc, on crée des outils aussi comme ça, des produits basés sur les feedbacks, sur l'expérience des créateurs, ce qu'ils manquent. On a aussi lancé des outils de collaboration commerciale parce qu'il manquait cette possibilité très simple pour un créateur d'appuyer sur un bouton et de dire je fais une collaboration commerciale avec la marque. La marque est taguée, elle peut ensuite mettre du paid, etc. Donc, ce sont tous ces produits-là. On avance aussi avec les créateurs, on les écoute beaucoup.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ce que j'ai l'impression par rapport à d'autres plateformes aujourd'hui qui sont très centrées sur les revenus publicitaires et sur le... Vous aussi sûrement, mais en tout cas, il y a quand même une écoute plus forte, j'ai l'impression, de la part de la communauté ou des créateurs de contenu et vous.

  • Speaker #1

    Il y a un accompagnement peut-être.

  • Speaker #0

    Oui,

  • Speaker #1

    un accompagnement. En gros, on essaie d'être proche de notre identité, de l'identité de la plateforme.

  • Speaker #0

    Il ne faut pas l'oublier. C'est ça qui est un danger aujourd'hui.

  • Speaker #1

    Et ce qui fait l'identité de la plateforme, c'est la proximité, c'est l'authenticité, etc. Et il faut que nous aussi, dans notre façon de travailler, qu'on soit liés, alignés avec cet ADN. Et donc, on va vraiment faire des snapschools, parfois virtuels, mais très souvent physiques. On va rencontrer les créateurs, on va discuter avec eux, on va prendre des feedbacks. On va vraiment essayer de travailler main dans la main. Et c'est pour ça que je disais que je ne suis pas responsable éditorial, mais partenariat, parce que du coup, on va vraiment nouer de vrais partenariats avec les créateurs. et on va aussi... les récompenser et récompenser leur engagement. Et ça, c'est un sujet qui est important parce qu'on demande beaucoup, tout le monde demande beaucoup aux créateurs. Mais c'est vrai qu'il y a ce besoin aussi pour un créateur de pouvoir se dire je vais pouvoir créer un business, je vais pouvoir lancer un business, je vais pouvoir vivre de mon engagement parce que sinon, c'est dommage de créer de l'engagement, de créer de l'engagement et de jamais être.

  • Speaker #0

    Aujourd'hui, tu as des créateurs qui vivent 100% des revenus Snapchat.

  • Speaker #1

    Oui, on en a.

  • Speaker #0

    Qui ont vraiment aimé la plateforme et qui l'ont appréhendée et intégrée et qui aujourd'hui ne font que du Snap ?

  • Speaker #1

    Alors, qui font que du Snap, je ne sais pas, parce que c'est pertinent de ne faire qu'une plateforme. C'est plutôt rare. En tout cas, oui, Snapchat devient leur plateforme d'inspiration principale. Ils vont d'abord poster et ensuite, ils vont explorer les autres plateformes. C'est une volonté pour eux d'aller, de d'abord créer sur Snap, de parler à leurs vrais fans, c'est un peu ce qu'ils disent, les vrais fans sont sur Snapchat, et ensuite, évidemment,

  • Speaker #0

    il y a une stratégie un peu plus grosse plateforme. Et du coup, il y a une typologie de créateur qui marche le mieux, par rapport à tout ce que tu peux voir, est-ce que c'est, je n'en sais rien, les humoristes, les wellness, ou les sportifs qui marchent le mieux ?

  • Speaker #1

    Non, j'aime bien dire... Je dis ça en Snap School, souvent on a 21 millions d'utilisateurs actifs tous les jours.

  • Speaker #0

    En France ?

  • Speaker #1

    En France, oui. D'accord. Du coup, 21 millions de personnes. Si 21 millions de personnes, c'est toujours la même chose. Évidemment, les 21 millions, tous ne regardent pas tous les contenus. Mais c'est vrai qu'on a une forte audience sur la plateforme. Donc, toutes les verticales sont possibles sur Snapchat. Il y a une chose qui est importante en revanche, c'est la compréhension des deux formats. qui sont Stories et Spotlight. Et c'est ce qui va faire qu'un créateur va être très fort sur la plateforme. Moi, je suis toujours fasciné par ce que l'ENA Situation a fait sur la plateforme en arrivant. Il n'y a pas si longtemps que ça, au final. Parce qu'on demande beaucoup, finalement, à quelqu'un comme l'ENA Situation. J'ai l'impression qu'il y a cette pression d'être au top, le premium, le parfait, énormément de demandes des marques, etc. On parle quand même de la plus grosse créatrice. en France. Et elle est arrivée, elle a commencé à poster sur Snapchat et c'était fascinant parce qu'en fait, il y a une maîtrise totale de la plateforme. Il y a une maîtrise de l'authenticité même sur les stories, c'est-à-dire qu'elle a réussi à garder son ADN, ce pour qui on la connaît, et à délivrer, donner de nouvelles choses, beaucoup plus que ce qu'on pourrait voir sur les autres plateformes. Et je suis assez fasciné par son compte.

  • Speaker #0

    Elle a fait la Snap School.

  • Speaker #1

    C'est surtout grâce à l'application et aux produits. Les produits sont faits pour... Moi, je suis juste là pour guider. Après,

  • Speaker #0

    elle interprète le sujet. Parce que l'ENA est arrivé il y a combien de temps ?

  • Speaker #1

    L'ENA est arrivé il n'y a pas si longtemps sur la plateforme. Et surtout, elle a... Je ne sais pas si elle était déjà présente sur la plateforme, mais elle est arrivée vraiment... Elle a commencé à poster énormément, à communiquer. sur la plateforme il y a un peu moins d'un an et effectivement depuis c'est une masterclass je pense qu'elle pourrait elle pourrait nous faire une masterclass pour nous dire Et là typiquement Léna elle arrive toute seule ou tu as été la chercher ? On l'accompagne,

  • Speaker #0

    on ne va pas la chercher mais on l'accompagne Tu la sensibilises au produit

  • Speaker #1

    On a beaucoup de demandes de créateurs qui disent comment je peux aller plus loin comment je peux devenir Snapstar, comment je peux être monétisé, comment juste je peux aussi avoir plus d'audience, une meilleure audience augmenter mon nombre d'abonnés et donc en fonction des demandes, nous on va mettre en place tout un système ça peut être ça va de quelque chose de très scalable comme un webinaire par exemple sur un sujet précis à la Snap School spécifique à

  • Speaker #0

    l'accompagnement au jour le jour T'as qui en France aujourd'hui à parler NAR, à K-pop ? Ou les derniers arrivés ? Ou ceux qui t'ont marqué récemment ?

  • Speaker #1

    Ceux qui m'ont marqué ? Gaël Monfils. Oui, c'est intéressant. Oui, parce que c'est toujours... Nous, on est la plateforme de l'authenticité. On va en parler. On a été créé pour ça. Tout le monde en parle maintenant.

  • Speaker #0

    D'accord.

  • Speaker #1

    J'ai vu que c'était le mot de 2023 aux États-Unis, selon le plus vieux dictionnaire américain. C'est le mot. Ce qui est intéressant pour nous, c'est un peu plus simple puisqu'en fait la plateforme a été conçue pour l'authenticité et ce qui me marque avec ce qui m'a frappé avec Gaël Monfils c'est qu'on parle quand même de Gaël Monfils on parle d'un top sportif qui joue en célébrité en célébrité aussi au niveau du sport clairement et qui joue des tournois qui est en compétition et il était en Australie et donc alors il faisait une compétition moi je suis toujours surpris de voir à quel point à 38 ans on a le même âge Merci. Comment il arrive à se battre ?

  • Speaker #0

    Il n'a pas encore arrêté. Non, il est encore dedans. C'est la force tranquille.

  • Speaker #1

    Exactement. Il a 38 ans et je le vois, il arrive à aller dans des tournois face à des mecs de 25 ans.

  • Speaker #0

    C'est facile. Il faut tenir quand même.

  • Speaker #1

    Il faut tenir, exactement. Et sur Snap, il débriefe. Et il débriefe. Et il débriefe. Et il répond aux questions. Et il débriefe les matchs. Et je me dis, c'est quand même fou de se dire que... Gaël Monfils, il sort de son tournoi il prend son téléphone et il débriefe sur Snap et moi je trouve ça fascinant et ça marche évidemment bien sûr, c'est un contenu hyper exclusif toutes les télés se battraient pour avoir je me suis demandé ça donnerait quoi effectivement si j'étais une télé j'avais ce type de contenu ou même une marque face à ce type de contenu, c'est quand même assez fascinant on est sur l'engagement plus Gaël Monfils il m'impressionne pas mal, il y en a plein d'autres Marcus aussi sur le côté un peu plus ... fashion, on a des sportifs vraiment c'est assez tu as Léa ou pas ?

  • Speaker #0

    Léa et lui ?

  • Speaker #1

    L'ILU, oui, bien sûr.

  • Speaker #0

    On travaille beaucoup avec elle.

  • Speaker #1

    Non, non, elle est super. C'est presque maintenant une ancienne de la plateforme. Elle se pose depuis longtemps. C'est super.

  • Speaker #0

    C'est vrai qu'elle a des grosses audiences aussi.

  • Speaker #1

    Et puis, ce que j'aime beaucoup, c'est qu'on a aussi tous une nouvelle génération de créateurs sur la plateforme. Je pense à Baki. Et ce que je vois avec ces créateurs, c'est qu'ils sont un peu plus, encore plus, un peu comme Lena, il y a une dimension un peu plus globale. D'accord. Ils parlent en français, ils parlent en anglais.

  • Speaker #0

    ils jouent presque avec l'algorithme au final ah oui alors ils sont plus niques que la moyenne il y en a qui parlent pas comme ça ils se disent c'est un contenu international exemple comme Mathéo Ciné ou Baki ce sont des créateurs un peu mode,

  • Speaker #1

    beauté, lifestyle et on a toujours ce j'ai toujours cette discussion si je fais des contenus mode comment respecter ma DA etc et en fait je me rends compte que ces créateurs plutôt Gen Z arrivent totalement à faire du premium et de l'authentique en même temps. Et c'est génial. Et c'est super bien. Et je pense, à mon avis, que ça vient du fait que cette génération est totalement digitale native et qu'elle arrive clairement, très rapidement, à distinguer le faux de l'authentique. Et du coup, ils arrivent vraiment à créer...

  • Speaker #0

    Il y en a des types chez eux.

  • Speaker #1

    Voilà, on arrive à faire du backstage, etc. Je me rappelle, Mathéo Siné, il est en tournage pour une grande marque de luxe et il est dans la voiture. Il fait... les backstage, du maquillage, etc., durant la Fashion Week, etc. C'est vraiment... Moi, je me régale à regarder ce type de contenu.

  • Speaker #0

    Et tu vois des contenus originaux ou bien en général, ils essayent d'observer ce qui se passe ailleurs ou de regarder ce qui se passe sur les grands comptes et de refaire pareil. Est-ce que tu vois une originalité quand même dans les contenus ?

  • Speaker #1

    Non, parce que Snapchat, c'est la plateforme où on est soi-même. Donc, c'est très original, surtout sur les stories. C'est vrai que le spotlight, c'est un peu différent. Au final... Les plateformes, on va avoir des plateformes très vitrines. On va avoir une plateforme où je vais mettre le meilleur de moi-même, le contenu monté, parfait. Je vais prendre à peu près 10 minutes pour poster une vidéo. Et puis, je vais avoir aussi un contenu un peu plus trendy. C'est-à-dire, en gros, je dois m'inscrire dans une trend pour être découvert ou pour être vu. Donc, en fait, ce n'est pas moi qui compte, c'est la trend. Sur Snapchat, c'est totalement l'inverse. il y a un créateur je pense qui Il ne sera pas fâché que je... Son nom, parce qu'on se connaît bien, qui s'appelle Tim, Timothée. Et Timothée, il est mannequin. Donc, il fait la Fashion Week, une séance avec le gros spark de luxe, etc. Et il poste sur Spotlight ce contenu très prévu, très bien fait, très beau. Et on discute et il me dit « Mais tu sais, JP, j'ai une autre passion, c'est que je suis aussi chanteur de gospel, etc. » Et il me dit « Mais je ne sais pas comment raconter ça sur les autres plateformes. » Et je lui ai dit, en fait, tu as un format assez fascinant pour ça, assez sympa pour ça, pardon, c'est les stories. Et du coup, ce qui est intéressant, c'est qu'il dévoile beaucoup plus sur Snap que ce qu'il pourrait dévoiler ailleurs. Parce que du coup, il va évidemment être le mannequin que tout le monde connaît. Mais il est aussi, sur Snap, le chanteur de gospel, la passion pour la musique, pour la spiritualité, tout ce qui est lié à son gospel et au mouvement. Mais du coup, voilà, il a cette...

  • Speaker #0

    Donc en fait, il a deux personnalités. C'est-à-dire qu'il est mannequin sur Spotlight. Non, il a sa seule personnalité. Oui, mais c'est sa facette. C'est les deux facettes de sa personnalité qu'il exprime sur deux canals différents de la personne.

  • Speaker #1

    Je pense que sur Snapchat, il a sa personnalité. Parce que sa personnalité, on est multifacette.

  • Speaker #0

    Bien sûr, oui, c'est ça. On n'est pas que mannequin, défilé, on est tout.

  • Speaker #1

    Je ne suis pas que responsable du partenariat contenu Snapchat. Ah bon ? J'aime aussi les restos.

  • Speaker #0

    tournant, surfe, tu as des passions.

  • Speaker #1

    Du coup, on ne se cantonne pas forcément à cette étiquette et on va plus loin. C'est ce qui est génial.

  • Speaker #0

    C'est cool quand même que les créateurs trouvent encore des expressions différentes ou des ressorts différents parce que c'est vrai qu'avec toutes les plateformes qu'on a aujourd'hui, on pourrait se dire que toutes les demandes sont comblées. Ils ont tout ce qu'il faut, tous les formats, tous les machins, mais ils se posent encore les questions de comment faire autre chose différemment. Je crois que le côté qui est intéressant avec les créateurs, c'est qu'ils veulent tous être différents.

  • Speaker #1

    C'est ça.

  • Speaker #0

    Et donc, qui veut être différent, va chercher à fond une USP produit pour se dire, tiens, j'ai maîtrisé ce sujet-là, donc je vais le faire mieux que les autres et donc je vais me différencier. Ou alors, je vais m'exprimer différemment selon les plateformes. Oui,

  • Speaker #1

    et puis, il y a ce côté où finalement, je réfléchis un peu moins, encore une fois, sur Story spécifiquement. Une créatrice disait, c'est drôle sur Snap, si je laisse tomber mon téléphone, je continue à filmer. Je continue de filmer. Je suis en train de poster, je prends mon téléphone, il tombe, je continue. Parce qu'en gros, je suis clairement sur... Je parle avec ma communauté. Snapchat a été créé pour les amis et la famille. Et au final, les créateurs vont s'insérer un peu dans ce sens-là. Et donc, il y a vraiment ce côté super fan dont je parlais. Les artistes aussi ont bien appréhendé, certains en tout cas, ont bien appréhendé Snapchat. Sur Spotlight, ils vont mettre par exemple les extraits de clips, les coulisses, les performances, les lives. Et puis sur les stories, ça va être les sessions studio, les discussions, les préparations, les chorégraphies, backstage, etc. Et en fait, les deux se marient. Ça marche super bien.

  • Speaker #0

    En fait, c'est quand même des bons formats qui sont faciles à « comprendre » , mais à maîtriser. Ça dépend de chacun. Mais ils ont trouvé leur place. Ils ont les off et les on.

  • Speaker #1

    Exactement.

  • Speaker #0

    Qui fait que…

  • Speaker #1

    Exactement, ça faut le faire.

  • Speaker #0

    Ça, c'est cool. Il y a un nouveau système de partage de revenus, je crois, sur les stories aujourd'hui, avec les créateurs. Tu peux nous en parler un peu ?

  • Speaker #1

    Oui. Je disais tout à l'heure, on demande beaucoup. Non, c'est juste, je voulais revenir sur ce que je disais tout à l'heure. On demande beaucoup aux créateurs. Je disais, je suis un ancien journaliste. J'écrivais des articles aussi sur les créateurs à l'époque. Et c'est vrai que j'ai l'impression qu'on demandait de plus en plus. On a posté 23. 20 fois par jour, 30 fois par jour. On les a pris par les machines. Il faut poster une vidéo de 3 minutes, de 5 minutes, de 20 minutes, avoir une équipe pour du montage, etc. pour faire du contenu un peu comme ce podcast. Très bien. Et à la fin, je trouvais que, enfin, pas moi, mais on trouvait qu'il fallait quand même récompenser cet engagement. Et donc, du coup, c'est tout simplement un simple partage de la valeur. Qu'est-ce que le partage de monétisation ? C'est tout simplement un programme de rêve cher, donc de partage de revenus. sur les publicités qui sont donc insérées dans les stocks. C'est très simple. Oui, c'est simple. Donc, en gros, on récompense l'engagement et on se rend compte effectivement que c'est un impact assez important pour les créateurs et même sur le nombre de postes sur la plateforme et même sur les interactions entre les créateurs et les fans. On est à 15 milliards d'interactions entre les créateurs et les fans. C'est assez fou.

  • Speaker #0

    La France, c'est un gros marché pour Snap.

  • Speaker #1

    La France, c'est l'un des plus gros marchés pour Snap. Je disais, on est à 27,8 millions d'utilisateurs mensuels, 21 millions d'utilisateurs actifs par jour. On est un très gros marché. Les US, la Grande-Bretagne, etc.

  • Speaker #0

    Top 3, c'est quoi ? US, France ? US, UK ?

  • Speaker #1

    Oui, US, UK et aussi l'Inde, forcément. très gros marché, mais après, en Europe, ce sera surtout Grande-Bretagne et France. Et puis après, il y a des marchés qui se développent très bien. L'Allemagne, les Nordiques, qui sont des marchés où, justement, en fait, on travaille, on commence à créer cette expérience locale qu'on a réussi à créer en France, où on est un peu plus mature, quand même. Oui,

  • Speaker #0

    c'était un des premiers marchés qui a été lancé, non ?

  • Speaker #1

    Oui, c'est l'un des premiers.

  • Speaker #0

    Parce qu'à l'époque, je me rappelle, Evan Spiegel, le patron, faisait la tournée au Cannes Lions, à la publicité. Il vient faire le tour en France. Il aimait bien la France. Et en même temps, il n'y a pas de marché que vous ne couvrez pas aujourd'hui. Vous couvrez tous les marchés.

  • Speaker #1

    On ne couvre pas tous les marchés, mais on couvre une grosse partie.

  • Speaker #0

    Une grosse partie. Et aujourd'hui, vous intervenez dans l'accompagnement des créateurs sur la partie monétisation aussi ?

  • Speaker #1

    Oui, bien sûr. On accompagne avec tout simplement... Déjà, on va donner informé sur les critères. L'idée, c'est de...

  • Speaker #0

    que les créateurs, que la communauté, je parlais de ce créateur qui crée du contenu juste avec ses potes et ensuite qui est en compte public et qui commence à publier, qu'il sache tout simplement quelles sont les règles pour arriver à la monétisation. Donc en gros, on va dans les Snap School, dans les relations, donner les informations concernant la monétisation. Quels sont les critères pour être monétisé, comment ça fonctionne. L'éducation et puis aussi les critères de qualité de contenu qui sont importants. Parce que quand on est monétisé, évidemment... comme disait le père de Spiderman, grand pouvoir, grande responsabilité. Donc l'idée, c'est vraiment de se dire qu'ils comprennent vraiment notre écosystème. Nous, je commence souvent les Snap School en disant aujourd'hui, c'est portes ouvertes. Vous allez tout savoir, vous allez comprendre comment ça fonctionne, comment monétiser sur la plateforme. Évidemment, il y a une volonté pour tous les créateurs d'être monétisés et notre but, c'est qu'ils puissent être monétisés. Donc notre but, c'est d'avancer avec eux pour qu'ils puissent arriver à ces... à cette échelle de monétisation. Et une fois qu'ils sont arrivés à cette échelle de monétisation, qu'ils puissent aussi bien monétiser. Donc, on va aussi leur livrer des bonnes pratiques, nombre de postes par jour, type de contenu, poster aussi pendant des moments importants. C'est important, la fashion week.

  • Speaker #1

    Vous avez des certifications, des genres de choses comme ça ? Non, ils n'ont pas de certification à passer, passer d'un niveau à l'autre.

  • Speaker #0

    Non, il n'y a pas de certification. Ils ont des critères. Il y a des critères qui permettent d'être. Monétiser, mais aussi on peut être démonétisé. Ah, moi aussi. Il faut faire attention. Donc en gros, les critères sont publics, ils sont assez connus. C'est-à-dire, il y a l'engagement, mais l'engagement n'est pas tout. Souvent, je vais avoir des créateurs qui vont dire, j'ai X milliers d'abonnés, pourquoi je ne suis pas monétisé ? En fait, l'engagement n'est pas tout. Il y a la pertinence, il y a l'authenticité. Tout simplement, le fait que le contenu m'appartienne. Si par exemple j'ai 600 000 abonnés mais c'est un contenu qui reprend tous les contenus sportifs de tous les médias, bon j'ai pas le droit, ça va être compliqué en plus de monétiser sur ce contenu. Donc l'authenticité est importante et puis surtout, et clairement je pense que c'est la ligne la plus importante, le respect de nos règles communautaires. Et c'est aussi là où il y a un gros travail d'éducation, comprendre quelles sont nos règles. qu'est-ce qu'une violation de nos règles communautaires, qu'est-ce qu'on peut faire et ne pas faire. Souvent aussi, il y a parfois de la bonne foi. Parfois, il y a beaucoup de créateurs qui disent qu'en fait, je ne savais pas. Je ne savais pas que je ne pouvais pas snapper en conduisant. Ça a l'air évident comme ça, mais en fait, non, c'est une violation. Parce que c'est dans le bonnet. Voilà. Ou si je le tiens avec une main, ça ne marche pas non plus. Et donc, du coup, il faut vraiment... aussi donner ces informations aux créateurs.

  • Speaker #1

    Et puis qu'ils les lisent, parce que j'imagine que ce n'est pas le premier document sur lequel ils se ruent en arrière.

  • Speaker #0

    Et puis, je vois, ils sont souvent soulagés, ravis de connaître tout ça. Ils se disent, ah bah attends...

  • Speaker #1

    Merci, je ne le ferai plus.

  • Speaker #0

    Genre, Fnip, regarde dans un mois, tu verras les contenus, ça va être bien différent. Donc non, on est vraiment dans une vraie relation avec ces créateurs.

  • Speaker #1

    C'est du management. C'est du management de talent.

  • Speaker #0

    Talent Management.

  • Speaker #1

    Les versions plateforme, ce qui est sympa. On a mis que ça les aide plus que les vrais talent managers.

  • Speaker #0

    Après, on travaille beaucoup. Dans le partenariat, ce qui est intéressant, c'est qu'on va travailler avec tous les acteurs de l'écosystème. Les talent managers aussi vont nous aider à tout simplement découvrir aussi, peut-être parfois faire de l'acquisition, éduquer aussi un peu plus à scale. Donc être sûr que... Créer cette économie d'échelle sur l'éducation des créateurs. Travailler sur les collabs. Je donne un exemple très clair. On a lancé Collab Studio il y a un peu plus d'un an. Et Collab Studio, on a travaillé avec des agences, Follow en France, WellArt, etc. pour fournir un service clé en main aux marques et aux annonceurs pour sourcer les talents, produire les assets, suivre et gérer la campagne. influence sur Snapchat. Donc, cette relation avec les agences des talent managers va aussi nous servir.

  • Speaker #1

    Oui, c'est obligatoire pour vous parce que vous ne pouvez pas prendre chaque talent individuellement en gestion. C'est compliqué. Et aujourd'hui, Collab Studio, c'est une plateforme où les agences viennent avec leurs talents. Les marques viennent toutes seules. Comment tu gères ? Comment vous gérez votre relation aux marques aujourd'hui ? Vous êtes très focus agence, j'ai l'impression, et créateur. Enfin, dans ton job, évidemment. Mais côté marque aussi, tu...

  • Speaker #0

    On va travailler avec tout le monde. Il y a plusieurs portes d'entrée. Souvent, ça peut être l'annonceur commence l'influence ou du moins commence l'influence sur Snapchat et veut comprendre comment ça fonctionne. Donc, en gros, on va leur fournir ce service clé en main. Et pour fournir ce service clé en main, nous, on n'est pas une agence, évidemment, de talent. Donc, on reconnaît clairement l'expertise de nos... partenaire et donc ces partenaires vont servir d'experts et vont vraiment travailler sur cette collaboration en fait on répète ce qu'on a fait sur la réalité augmentée la réalité augmentée il fallait alors maintenant on parle beaucoup de réalité augmentée mais à l'époque voilà exactement c'était nouveau donc quand on discute avec un cmo qu'on lui dit en fait on va augmenter cette table alors pour dans le cadre d'une campagne etc ou mettre en place une laine c'est ce qu'il faut quand même aussi éduquer créer des cas de studi, montrer que ça marche. On le sait, nous, mais il faut le montrer. Un show d'hôtel. Enfin, voilà.

  • Speaker #1

    Voilà. On va l'appuyer.

  • Speaker #0

    Et pour ça, évidemment, on va s'appuyer sur des experts. Et donc, on va travailler avec ces agences qui vont nous aider à mettre en place ces collaborations.

  • Speaker #1

    Exactement. Aujourd'hui, il y avait avant, enfin, je ne sais pas si ça existe toujours, mais on avait beaucoup de meubles avec des lents sur des événements physiques, des choses comme ça. Ça existe toujours, ça, aujourd'hui ? C'est un produit qui fonctionne ?

  • Speaker #0

    les reality augmentation ou les miroirs oui ça existe encore, on appelle ça des IR mirrors ça marche bien c'est intéressant ça ce côté un peu plateforme digitale qui passe aux events avec un produit physique on l'utilise beaucoup dans le cadre d'événements mais un peu réfléchi on va travailler avec des marques, on va travailler sur des grands moments il n'y a pas longtemps on a travaillé sur la sortie d'un film et donc du coup Du coup, il y avait des créateurs, Snap, les Air Mirrors et donc une lens qui reprenaient les codes du film. Je ne dirais pas le nom du film, mais si on disait trois fois des frites, en fait, des frites apparaissaient. Et donc, du coup, ça permettait vraiment de créer une expérience immersive et puis un peu plus à 360. En gros, les Air Mirrors et même les Air vont aider sur la partie création de contenu pour créer une expérience un peu plus augmentée. Mais je donne un exemple. On parle beaucoup d'autres choses que l'IA. Nous, l'idée de la réalité augmentée, c'est tout simplement augmenter la réalité, comme son nom l'indique, pas vivre dans un autre monde, mais tout simplement améliorer ou mieux comprendre, mieux appréhender le monde réel, le monde existant. Et ça, c'est passionnant parce que du coup, ça peut être très simple pour des petites histoires, une histoire très simple. Camera Kit pour Alastair Academy en décembre dernier où Nico se transforme en père Noël. C'est un travail qui a été mené avec Snapchat pour annoncer la chanson de Noël. Mais ça peut être pour des sujets un peu plus éducation, ça peut être pour la promotion d'un album, ou ça peut être même pour raconter de nouvelles histoires. Je prends l'exemple de Natoo qui avait créé ce... personnage qui s'appelait Tristian en reprenant la lens crying lens on l'appelle, la lens qui pleure et en gros la lens elle est phénoménale plus je rigole plus je pleure je sais qu'aux Etats-Unis dans les stades parfois ils l'utilisent pour le mettre sur les fans de l'équipe adverse comme ça quand ils perdent plus je rigole plus je pleure et donc elle a créé tout un personnage Tristian et là c'est Merci. pas l'augmentation de la réalité, c'est l'augmentation des histoires, augmenter les histoires via la réalité augmentée. Et ça, c'est assez canon. Et ce sont les créateurs qui l'ont fait.

  • Speaker #1

    Je me suis donné un outil à disposition, puis ils l'ont réinventé ou ils l'ont réinterprété en fonction de leurs histoires.

  • Speaker #0

    C'est ça. Et c'est aussi au final, c'est aussi le principe même de la tech, créer des produits innovants, des produits qui vont être affinitaires avec la cible. Donc ici, les créateurs.

  • Speaker #1

    mais aussi les utilisateurs et en fait laisser la créativité après s'exprimer à travers ces outils et des outils à créativité mise à disposition pour raconter des histoires c'est finalement raconter des personnages on a un peu dans le cinéma donc centrique vidéo centrique et aujourd'hui vous avez beaucoup de jeunes aides sur snapchat oui c'est quoi c'est plus de 80% d'audience

  • Speaker #0

    90 non c'est pas 80% de l'audience on a une forte haute pénétration sur la genzy Mais en revanche, c'est vrai qu'il y a ce cliché qui laisse entendre que

  • Speaker #1

    Snapchat est jeune. Il y a plein de clichés sur ça. Les réseaux sociaux déjà sont jeunes, ils sont genzis déjà.

  • Speaker #0

    On a la majorité, en tout cas en moyenne, on a une audience qui est plutôt plus de 30 ans. Et du coup, on a une forte population, plus de 25 ans sur la plateforme. Il faut comprendre que Snapchat a l'audience Snapchat. Moi, je suis un Snapchateur de la première heure, j'ai 38 ans. en fait j'ai grandi avec la plateforme et c'est la raison pour laquelle d'ailleurs sur la partie contenu quand on va travailler sur les nouvelles verticales on va se rendre compte que les contenus par exemple parentalité, immobilier famille bien-être etc on va voir des pics,

  • Speaker #1

    on va se rendre compte que ils ont grandi la première heure on grandit et maintenant ils deviennent parents c'est ça,

  • Speaker #0

    ils ont grandi mais en même temps ce qui est intéressant c'est que L'audience, elle est plus âgée, elle a vieillie de la plateforme, donc ça, c'est génial. C'est bien,

  • Speaker #1

    parce qu'ils sont fidèles aussi à la plateforme.

  • Speaker #0

    Mais la Gen Z s'approprie aussi la plateforme. Alors peut-être différemment, peut-être plus avec les Lens, avec Spotlight, etc., ou la Map, mais en gros, ils utilisent Snapchat également au quotidien. Et c'est assez d'ailleurs fascinant de voir l'utilisation en fonction des tranches d'âge. Il y a une utilisation classique qui est un peu la même pour tous, mais aussi, c'est vrai qu'il y a des spécificités. On a un peu, presque en côté, masse audience, qui est intéressant chez Snap.

  • Speaker #1

    Et quand une marque vient te voir, enfin, une marque veut utiliser Snapchat pour toucher cette audience, qu'est-ce que tu lui recommandes ? C'est quoi le meilleur format ?

  • Speaker #0

    Sur les formats ?

  • Speaker #1

    C'est compliqué, hein ?

  • Speaker #0

    surtout sur l'audience il y a énormément de possibilités pour aller cibler les audiences tout simplement donc déjà un bon ciblage fonctionne, on peut faire aussi du lookalike d'audience si on travaille avec des partenaires et puis aussi ce qui est bien c'est qu'on a des formats publicitaires full funnel et ça d'ailleurs on peut le faire avec les créateurs c'est à dire qu'on a des formats publicitaires qui vont permettre d'aller de l'awareness à la considération jusqu'à la conversion donc c'était des formats qui existaient déjà mais maintenant en fait on les a aussi associés aux créateurs et ce qu'on voit c'est que quand on utilise les assets créateurs face aux assets institutionnels on voit des clics, des taux de vue etc. beaucoup plus important que les assets instit pour une raison simple, la confiance l'authenticité, ce côté en public et fait pour la plateforme fait très natif et donc du coup ces formats publicitaires si en gros je parlais de marque je leur dirais tout simplement vous avez Merci. Tout est possible sur Snapchat. Tous vos KPIs, que ce soit de la performance, au reach, la conversion, etc. Tout ça, c'est possible sur Snapchat. On a des nouveaux formats qui ont été annoncés aux États-Unis, qui arriveront, je l'espère, en France, qui vont permettre aussi d'aller chercher du reach. On a le format First Commercial, un peu le prime time. Donc, il permet d'aller vraiment toucher une audience forte très rapidement. Donc, on a aussi pour les marques, tout en gardant cette authenticité, tout en gardant ce côté natif, toute cette série de formats publicitaires qui vont permettre d'aller chercher des audiences. Je prends un dernier exemple, Collectionad. Tout simplement, une publicité, la possibilité d'avoir des vignettes à l'intérieur pour aller directement chercher le produit ou en tout cas aller sur le lien. En fait, c'est super quand c'est en plus un créateur qui l'utilise et qui utilise le produit. en fait je peux directement cliquer sur le lien pour aller.

  • Speaker #1

    Ça, c'est un peu l'avant-garde. Là, il y a beaucoup de social commerce qui se met en route en ce moment. C'est un sujet dans lequel vous allez aller aussi, sur la vente de produits physiques, je dirais. C'est pas encore annoncé, c'est pas encore officiel. Je ne demande pas d'exclusivité, mais d'après toi...

  • Speaker #0

    J'essaierai de ne pas trop accrocher sur ce sujet-là. Tout simplement parce que je ne suis pas le spécialiste.

  • Speaker #1

    Après, ça serait complètement naturel d'avoir... Oui,

  • Speaker #0

    personnellement, je pense que c'est naturel, on y pense, on est dessus, il y aura...

  • Speaker #1

    Il faut faire de la meilleure façon possible.

  • Speaker #0

    Bien sûr. Et puis, on a déjà des formats aussi.

  • Speaker #1

    Oui,

  • Speaker #0

    c'est ça. Je parlais du collection.

  • Speaker #1

    Voilà, c'est un des premiers formats. Exactement. Ils n'ont plus que le panier. J'exagère.

  • Speaker #0

    Oui, de toute façon, on suit les tendances du marché. On regarde ce qui se passe.

  • Speaker #1

    Si les gens veulent, on va le faire.

  • Speaker #0

    Exactement. Et exactement, les créateurs. Encore une fois, il n'y a pas si longtemps que ça. Sur cette partie contenue, il n'y a pas si longtemps que ça. Spotlight n'existait pas. Et Spotlight n'est pas... l'idée vraiment de Spotlight, c'est de se dire, en fait, on a... comment faire en sorte que notre communauté qui est très forte puisse atteindre le niveau Snapstar. Pour ça, il faut être découvert.

  • Speaker #1

    Pour être découvert,

  • Speaker #0

    il faut du contenu. Et il faut un produit. Il faut un produit de découverte. Et donc Spotlight, c'est ce produit de découverte. Et ce produit de découverte, en fait, permet à la communauté de créer plus, aux Snapstars aussi de créer plus pour atteindre aussi peut-être la monétisation ou même les créateurs qui sont entre les deux, entre communauté et Snapstar, d'atteindre ce fameux levier. Et on voit d'ailleurs que le nombre de postes augmente et que aussi le contenu... le temps passé à regarder du contenu en augmentation de 25% sur l'année.

  • Speaker #1

    Donc quelqu'un de nouveau qui arrive sur Snap aujourd'hui va dans Spotlight et il a tout ce que il peut se créer.

  • Speaker #0

    Je pense que Spotlight c'est un bon moyen d'aller découvrir d'entrée.

  • Speaker #1

    D'entrer dans d'autres profils parce qu'après c'est un peu le problème des algorithmes. On est trop fermé sur des types de contenus qu'on a déjà vu et qu'on veut voir mais le Spotlight est quand même assez frais du coup pour pouvoir découvrir d'autres types de contenus où les créateurs

  • Speaker #0

    les stories je vais parler je vais regarder les contenus de ceux que j'aime je parlais des super fans Des gens que j'ai choisis. D'ailleurs, j'ai l'impression qu'on va presque suivre moins de comptes sur Snapchat parce qu'au final, on va suivre des comptes qu'on connaît. Même les créateurs, on va les suivre comme s'ils faisaient partie de notre cercle d'amis. Sur Ailleurs, je vais peut-être tout simplement… Je ne sais pas, je regarde un film, j'aime bien le réalisateur ou j'ai entendu parler de quelque chose, je vais suivre le compte. Je ne sais pas vraiment qui c'est, mais j'ai bien aimé une idée qui a marché et je vais suivre ce compte. compte-là et peut-être que je ne vais jamais y retourner. Sur Snapchat, on a plutôt cette impression que quand on est abonné aux stories, on regarde toutes les stories, on est vraiment à fond avec ce créateur. Mais il manquait cette partie découverte. Donc, comment faire pour aussi avoir plus de comptes à suivre ? Parce que peut-être que je ne savais pas.

  • Speaker #1

    Pour élargir un tout petit peu son spectre communautaire.

  • Speaker #0

    Et Spotlight est pas mal.

  • Speaker #1

    Et du coup, tu as des homologues comme toi dans d'autres pays, j'imagine ? Vous faites des conventions internationales, des gens comme toi, et vous partagez vos tips entre pays ?

  • Speaker #0

    On a des réunions.

  • Speaker #1

    On va éviter de se déplacer. Ma question derrière ça, c'est est-ce qu'il y a des usages particuliers par marché ? Est-ce que sur certains pays, ils adorent les stories, ils n'aiment pas les spotlights ? Il y a des spécificités.

  • Speaker #0

    La spécificité en France aussi, c'est qu'on a aussi beaucoup de créateurs qui sont nés sur Snap. donc ça c'est super parce que c'est quelque chose qu'on essaie de créer un peu plus au global d'avoir des créateurs qui commencent, je disais tout à l'heure cet exemple de je crée du contenu mais juste pour mes amis sur Snapchat, j'envoie des vidéos et puis je me rends compte qu'en fait je suis plutôt pas mal je suis assez drôle et donc du coup allez j'y vais, je crée un profil public et je commence à poster de manière naturelle et donc petit à petit je monte et c'est cette ... ce séjour-là, cette journée, qui est super intéressant pour nous. Et en France, ce qui est bien, c'est qu'il y en a déjà. Dans d'autres marchés, on est en train de les créer. D'autres marchés aussi sont très forts, par exemple, sur l'utilisation des lenses pour faire du contenu. D'autres marchés, il y a une forte consommation en spotlight. Donc, il n'y a pas du temps passé à regarder du contenu. Donc,

  • Speaker #1

    il y a quand même des différenciations au marché.

  • Speaker #0

    Il y a vraiment des différenciations. On va dire qu'il y a un socle commun. Et puis après, il y a des petites spécificités intéressantes. Et nous, on est là, évidemment. pour nourrir la plateforme, nourrir tout le monde pour qu'ils puissent comprendre ce qui marche et ce qui ne marche pas, donner des bonnes pratiques et des cas studiés, enfin des cas par marché.

  • Speaker #1

    Bon, écoute, du coup, c'est plutôt confortant, je trouve, d'avoir un socle commun et d'avoir des usages un peu partagés. Est-ce que tu as d'autres outils qui arrivent bientôt, là, côté créateur, ou des choses que tu peux nous dire ?

  • Speaker #0

    Ce que je peux dire, c'est qu'on l'a déjà annoncé, mais c'est assez nouveau quand même, donc j'en profite. pour en parler parce que peut-être qu'effectivement il n'est pas très connu c'est que s'il y a la monétisation pendant très longtemps on ne monétisait que sur les stories d'accord tout simplement voilà maintenant on a annoncé maintenant on a annoncé pardon les revenus sur les spotlights d'accord et donc ce qui est intéressant c'est que maintenant désormais quel que soit le contenu que je publie sur la plateforme en fait elle est monétisée alors spotlights à partir d'une minute mais en tout cas le contenu est monétisé et ça c'est en pas de plus pour récompenser l'engagement des créateurs, pour aider ces créateurs à créer un peu plus. Dans le meilleur des cas, on a des créateurs qui commencent sur la plateforme, qui se lancent sur la plateforme, qui créent un business sur la plateforme, qui réussissent à vivre, c'était l'une des premières questions, réussissent à vivre de leur engagement. C'est l'objectif et je pense qu'on va continuer dans ce sens.

  • Speaker #1

    Et tu peux cumuler de la rémunération plateforme du sharing revenu plus une collaboration commerciale avec une marque ? Bien sûr,

  • Speaker #0

    tout est possible. Et même je peux faire de la collaboration commerciale en étant Snapstar aussi sans forcément avoir énormément de revenus.

  • Speaker #1

    Donc s'il y a des auditeurs qui veulent être Snapstar, ils t'appellent ?

  • Speaker #0

    Alors surtout pas !

  • Speaker #1

    Ça va être la question qu'on va nous poser !

  • Speaker #0

    Non, non, si on a... Tout est en ligne. Tout est en ligne. On a des formulaires, etc. J'apparais généralement au moment où vous êtes Snapstar.

  • Speaker #1

    Voilà. Tu remets le diplôme du César.

  • Speaker #0

    C'est un peu ça. Non, l'idée, c'est que…

  • Speaker #1

    Tout se fait en ligne, on est d'accord.

  • Speaker #0

    Déjà, tout se fait en ligne. Et surtout, encore une fois, si vous faites du bon contenu, de qualité, engageant, que vous avez des idées, que vous êtes original, etc.

  • Speaker #1

    Il n'y a pas de problème. Il n'y a pas de problème. Ça arrive. Bon, alors allez-y. Faites du contenu. comme ça au snap star et puis dès que vous avez vu Jean-Philippe alors là c'est je suis pas tout seul je suis pas tout seul Jean-Philippe et ses équipes derrière c'est bon vous êtes sur la bonne voie super écoute on arrive à un moment de l'émission où je te pose un mot et on donne un autre d'accord comme ça allez donc Lens

  • Speaker #0

    Rire

  • Speaker #1

    Genzy

  • Speaker #0

    Authenticité et Los Angeles Maison mère. Maison en maison.

  • Speaker #1

    Parce que c'est vrai que Snap est toujours à Los Angeles. C'est aussi ce qui différencie la plateforme. C'est-à-dire qu'on est dans la ville du cinéma et pas dans la ville à Silicon Valley où là, c'est la tech, la tech, la tech. Donc, c'est aussi un élément de différenciation.

  • Speaker #0

    Mais aussi, Lance, j'ai dit rire parce que ça m'a fait penser à quelque chose. On parle de communication visuelle, de se sentir à l'aise, etc. J'aime bien cet exemple. Je vais parler un peu de moi. alors j'étais Noël, on passe Noël à la maison et donc il y a ma belle-mère et ma femme qui sont sur leur canapé sur mon canapé de la maison notre canapé et donc ma femme utilise les lenses ils étaient sur Snapchat et elles ne communiquaient pas, elles ne s'envoyaient pas des messages elles étaient juste côte à côte et elle prend le téléphone et elle s'amuse à utiliser les lents sur sa mère.

  • Speaker #1

    D'accord.

  • Speaker #0

    Et là, nous, on est à côté en train de dîner avec mon père et en fait, là, ça part en fou rire complet. Mais en fou rire complet. Et je me suis rappelé que ce n'était pas la première fois que ça arrivait parce que ça m'est arrivé avec ma mère un an avant. D'accord. Parce que ma mère, elle habite en Guadeloupe et dans le Tartu. Et on était tout simplement assis et en gros, j'utilisais les lents sur son visage. et en fait, on se marrait, mais elle pleurait. Et je me suis dit, c'est fou parce que même lorsqu'on ne communique pas en envoyant des messages ou en postant de la vidéo parce que ça n'a pas été posté, c'est pas erreur pour nous, mais en fait, on crée de l'interaction avec l'application.

  • Speaker #1

    Il y a des fonctions pour générer une émotion sans la publier.

  • Speaker #0

    C'est assez drôle.

  • Speaker #1

    En même temps, tu as une grosse influence à la maison, j'ai l'impression. Oui. Ta femme et ta belle-mère sur le canapé en train de faire du slap ?

  • Speaker #0

    C'est obligatoire ou pas ? Non, ce n'est pas une collaboration. C'est juste qu'elle est utilisatrice aussi de l'application.

  • Speaker #1

    C'est ça qui est sympa, je crois, avec les Lens, tu as raison de le dire. C'est qu'en fait, c'est une fonctionnalité où les gens peuvent juste jouer avec.

  • Speaker #0

    C'est ça. Et puis...

  • Speaker #1

    Et pas forcément le publier pour faire du contenu, mais jouer avec la plateforme. Oui,

  • Speaker #0

    et puis on parle beaucoup des Lens qui sont, voilà, la Lens pour être parfaite, etc. je t'invite à aller sur le carousel de l'ens Snapchat sur les premières l'ens c'est pas mal super si tu avais un conseil à donner à une marque qui hésite encore à venir sur Snap,

  • Speaker #1

    qu'est-ce que tu lui dirais ?

  • Speaker #0

    venez voir les créateurs non je dirais il y en a pour allez-y parce que vous pouvez tout faire vous pouvez vraiment tout faire et évidemment oui ne négligez pas les créateurs parce que c'est bon mon travail et je le disais sur les taux de clics, taux de flux, etc. sur les assets créateurs. Donc, évidemment, n'hésitez pas à aller sur cette partie. Mais, vous pouvez vraiment tout faire sur Snapchat. C'est une plateforme masse audience, grosse communauté, des vidéos de qualité, brands et effets, etc. Il y a un travail qui est fait et qui est vraiment minutieux, mené tous les jours par les équipes. Clairement, quel que soit La partie du funnel que vous souhaitez atteindre, ou même full funnel si vous voulez, en fait, vous allez y arriver sur Snapchat. Et c'est assez, en plus, marrant à voir.

  • Speaker #1

    Oui, après, je suis d'accord avec toi. Enfin, je pense qu'il y a tout sur Snap aujourd'hui. Faire des outils, ça. Je trouve que c'est la plateforme la plus créative, en fait, qui donne le plus de fonctionnalités pour aller dans la créativité. C'est ça. Ce que les marques aujourd'hui cherchent aussi, parce que finalement, elles veulent du contenu de qualité, un peu original. Des fois, elles reposent toutes sur le créateur, qui peut le faire, mais en même temps, s'il y a des outils et des aides à la création, c'est quand même intéressant,

  • Speaker #0

    je trouve. Et mon autre conseil, ce serait de ne pas hésiter à laisser le créateur s'exprimer et interpréter les meilleurs collabs. En fait, elles sont comme ça. Marcus, il est fascinant, parce que Marcus, on lui donne une collab et... il en fait quelque chose de merveilleux.

  • Speaker #1

    Il a son monde, son univers. Son univers,

  • Speaker #0

    sa manière de faire, de parler, d'interpréter les choses. Une marque a tout à gagner à travailler avec des créateurs comme lui.

  • Speaker #1

    Je suis d'accord. Et un jeune qui démarre sur Snap aujourd'hui, j'ouvre mon compte Snapchat aujourd'hui.

  • Speaker #0

    Pour devenir créateur.

  • Speaker #1

    Pour devenir créateur, oui.

  • Speaker #0

    Spotlight, Spotlight, Spotlight. Pourquoi ? Parce que Spotlight, c'est pour tout le monde. C'est pour se faire découvrir. et Stories, c'est un peu plus pour parler à ses abonnés. Stories aussi. Mais n'hésitez pas à aller sur Spotlight et à poster sur Spotlight et ça va venir. Et surtout, tout simplement, faites du contenu. cool, de qualité et amusez-vous, clairement amusez-vous.

  • Speaker #1

    Il faut tester aussi. Il faut trouver son style, son ton et sa communauté.

  • Speaker #0

    Exactement, il faut trouver son ton. On parlait de Léna's situation, je sais qu'elle disait que maintenant elle veut sur Stories avoir l'impression que Snapchat c'est son plus, qu'elle emmène dans ses projets, à ses événements. Voilà, trouver sa ligne, trouver son ton et surtout rester authentique dans cette vie.

  • Speaker #1

    Est-ce qu'il y a une campagne ou une création faite par un créateur qui t'a marqué récemment ? À part Lena, on vient de parler de Marcus et Gaël. Difficile du coup. Est-ce que tu n'as pas un truc qui t'a vraiment bluffé où tu t'es dit, là, ils ont été très loin avec les outils ?

  • Speaker #0

    Il y a eu une campagne Rabanne que j'ai bien aimée à Doel avec des Lens où ils avaient fait appel à, je crois, 8 créateurs. Ce qui est intéressant avec cette campagne, c'est que 8 créateurs... Merci. différents différents taux pour la même marque pour le même brief et donc j'aimais bien ce côté un peu casting au même moment au grand moment exactement squad même moment pour un moment important comme noël en termes de ouais c'était super créatif j'ai

  • Speaker #1

    vraiment aimé et ça donne une dimension différente à la campagne parce que du coup tout le monde fait pas la même chose j'imagine ouais c'est ce que j'appelle ici l'orchestre en fait tu peux avoir nous nous en fait on se positionne un peu comme étant des chefs d'orchestre humblement qu'on est, mais en fait c'est de dire si on vous fait un casting de 10 talents chacun va jouer sa partition et à la fin l'expérience globale va être géniale parce que ça va donner une image différente de la campagne et ça je trouve que c'est moins fait en ce moment en plus je trouve, mais c'est plutôt original quoi, parce que ça a été différent c'était original,

  • Speaker #0

    c'était vraiment bien fait, et puis il y avait le ton pour chaque lanceur les résultats étaient évidemment au rendez-vous, donc c'était une belle campagne je trouve.

  • Speaker #1

    Super ! bravo aux équipes c'est pas moi qui l'ai faite c'est pas vrai donc bravo aux équipes on félicitera nos amis de chez Pooch ouais exactement et Julien qui nous écoute normalement je vais le féliciter c'est lui qui est en charge de ça bravo à lui avant dernière question si tu étais sur une île des airs quel film ou quelle série ou quel livre tu emmènerais avec toi ?

  • Speaker #0

    alors je suis un ancien journaliste donc ce sera clairement papier ce qui fait bizarre c'est bien c'est bien bon mais après ça peut être aussi du cinéma ouais Merci.

  • Speaker #1

    Tu n'auras pas de problème de batterie.

  • Speaker #0

    Exactement. Sur une île déserte, c'est quand même pas mal d'avoir plutôt un livre. Pas du tout, si c'est moi, pas Snapchat, si c'est à moi qu'on pose la question, j'ai quelques livres références que je garderai toujours avec moi. Il y a ce livre qui s'appelle « Les maraudeurs » de Tom Cooper. C'est un livre dans le Bayou, après la marée noire, BP, etc. Et en gros, on va suivre des personnages un peu haut en couleur, qui vont essayer de tirer tous parti d'une manière différente, positive ou négative à chaque fois, de ce qui s'est passé, soit pour reconstruire, soit pour... Ça, c'est un livre assez drôle, et du coup, je pense que ça me divertirait. Et puis pour garder aussi l'esprit, pour avoir aimé la belle littérature, la belle écriture, etc., je dirais Nickel Boys de Colson Whitehead. parce que c'est un super bouquin sur la résilience. Et je trouve ça fascinant. Mais je pourrais en parler plus tard.

  • Speaker #1

    Tu reviendras, on fera une émission littéraire. Avec plaisir. Et alors, dernière question, celle qu'on ne prépare jamais en général. Je te le dis d'avance. Une personne ou un créateur, j'imagine, que tu me recommanderais d'inviter ?

  • Speaker #0

    Malheureusement, j'en ai déjà cité.

  • Speaker #1

    C'était pas mal.

  • Speaker #0

    C'était pas mal. Je trouve que Marcus est un créateur assez... Je l'aime beaucoup parce qu'il est en univers. Il a vraiment créé ça. J'aime beaucoup ce qu'il fait. Il y a des créatrices comme Paley, comme Louise RGT, qui sont des créatrices que je trouve aussi qui appréhendent très bien la plateforme. Donc oui, je pense que... Il y a un bon panel.

  • Speaker #1

    On commence par Marcus alors ? Oui, on peut commencer par Marcus. Tout le monde est témoin. Jean-Philippe, tu dois nous faire venir Marcus. Tu pourrais lui faire une demande peut-être.

  • Speaker #0

    Je peux faire une demande.

  • Speaker #1

    À l'occasion. S'il veut venir. En tout cas, c'est vrai que c'est intéressant aussi d'avoir le point de vue des créateurs. Bien sûr. Parce que c'est vrai que moi ici, je reçois les marques et les créateurs et les plateformes. Mais en fait, tu as des attentes différentes, tu as des expériences différentes côté créateur. Et c'est assez intéressant à écouter parce que c'est du vrai learning, je trouve. pour les marques et pour les plateformes. Jusqu'à ce qu'elles disent ce qu'elles pensent. Du coup, c'est pas mal.

  • Speaker #0

    Ouais et ce que j'aime c'est que finalement tout ce qu'on dit ça vient surtout des feedbacks des créateurs. Quand je parle de super fans, ça vient vraiment des feedbacks des créateurs. Je donne un exemple concret. Je ne sais même pas si je peux en parler, mais j'ai un créateur. Non, non, si, je peux en parler. Il y a un créateur, je ne dirai pas son nom parce que je ne lui ai pas demandé, qui m'a dit il n'y a pas longtemps, mais Jean-Philippe, c'est génial parce que sur Snapchat, je peux manger du riz. Voilà. Et en fait, c'est drôle, mais j'ai compris en gros ce qu'il y avait derrière. C'est qu'en fait, il disait tout simplement qu'il pouvait vraiment raconter sa vie, qu'il pouvait vraiment être authentique et qu'il n'avait pas cette pression. Peut-être que sur d'autres plateformes, il aurait fallu que ce soit en magie, de canard parfait, etc. Là, l'idée, c'était de se dire, en gros, même en finissant backstage, en faisant du riz, j'arrive à échanger avec ma communauté. Donc, ça m'a fait marrer.

  • Speaker #1

    Merci beaucoup, en tout cas, pour cet échange. On en sait un peu plus sur Snap. même si on connaissait bien la plateforme quand même. Et puis merci pour notre échange, j'espère que ça t'a plu. C'était super. Voilà, donc à très vite. Merci beaucoup. Merci à toutes et à tous d'avoir écouté cet épisode. J'espère qu'il vous a plu, inspiré ou donné matière à réflexion. Le podcast est désormais aussi disponible en vidéo sur YouTube. Pensez à vous abonner à la chaîne pour ne rien manquer. Si l'épisode vous a plu, n'hésitez pas à le partager, à laisser une note, un commentaire et en parler autour de vous. Un grand merci à notre partenaire Légendes Internet, le média de référence sur l'influence et les créateurs de contenus. Pour échanger, vous pouvez me contacter sur LinkedIn en tapant Cyril Atias ou par mail à podcast.marketinginfluence.fr. À bientôt !

Description

Dans cet épisode du podcast Marketing & Influence, Cyril Attias reçoit Jean-Philippe Louis, responsable Content & Creators Partnerships chez Snap France. Ensemble, ils décryptent la stratégie d’accompagnement des créateurs sur Snapchat, de la naissance du programme Snapstar à l’impact de Spotlight pour la découverte de nouveaux talents.

Jean-Philippe partage son parcours de journaliste à expert de l’écosystème créatif, ses conseils pour réussir sur Snap, et revient sur des success stories inspirantes comme Léna Situations ou Gaël Monfils. Vous découvrirez comment Snapchat soutient l’authenticité, la monétisation et l’innovation pour offrir aux créateurs et aux marques un terrain d’expression unique.

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🚀 Un podcast soutenu par adms.paris | Globe Groupe et Les Gens d'Internet premier média dédié à l'actualité social media et influence en France.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour, je suis Cyril Attias, fondateur de ADMS.Paris, Globe Group. Avec plus de 20 ans de carrière dans le digital, j'ai voulu créer un espace de dialogue avec celles et ceux qui façonnent l'univers du marketing, des médias sociaux et de l'influence. Marketing et influence, c'est le podcast qui décrypte en profondeur les stratégies des marques, des plateformes et des talents qui font bouger les lignes. Vous êtes directeur marketing, créateur de contenu, influenceur ou simplement passionné par l'écosystème digital ? Vous vivez entre TikTok, Instagram, Twitch ou LinkedIn ? Alors installez-vous et découvrez mon invité du jour. Bonjour, aujourd'hui je reçois Jean-Philippe Louis, Content and Creators Partnerships Manager chez Snap. On va parler ensemble de sa mission aux côtés des créateurs, comment il les accompagne, comment Snapchat les soutient avec des ressources dédiées, et surtout comment la plateforme les aide à créer du contenu. toujours plus impactants et adaptés à leur communauté. Ce podcast a été réalisé en partenariat avec Les Gens d'Internet, le média expert de l'influence et des créateurs de contenu, et ADMS.paris Globe Group, créateur de stratégie Impact. Bonjour Jean-Philippe.

  • Speaker #1

    Bonjour.

  • Speaker #0

    Bienvenue.

  • Speaker #1

    Merci.

  • Speaker #0

    Je suis ravi de t'accueillir. Est-ce que tu peux te présenter ? Pour commencer, parce qu'il faut qu'on pose le décor. Alors c'est parti.

  • Speaker #1

    Je suis Jean-Philippe Louis, mon nom de famille, beaucoup de prénoms. Je suis responsable...

  • Speaker #0

    Dans l'ordre, c'est bon.

  • Speaker #1

    Dans l'ordre, c'est bon. Ce n'est pas Jean-Louis, c'est Jean-Philippe. Je suis responsable des partenariats contenus pour la France, pour Snapchat. Et notamment la partie talent, créateur et les partenariats avec les créateurs de contenus par les Gimagines.

  • Speaker #0

    Ok, super. Est-ce que tu peux nous raconter ton parcours avant Snapchat ? J'imagine qu'il y a eu une vie avant Snapchat.

  • Speaker #1

    D'ailleurs,

  • Speaker #0

    on dit Snap ou Snapchat ?

  • Speaker #1

    Alors, Snap Inc. C'est la société.

  • Speaker #0

    Officiellement,

  • Speaker #1

    on dira Snap. C'est plutôt l'application.

  • Speaker #0

    Ok,

  • Speaker #1

    alors on dit Snap. Alors, mon parcours, il y en a eu plein. En fait, on va faire court. Je suis un ancien journaliste. J'ai travaillé dans la presse magazine, la presse quotidienne, radio, télé. Et puis, je suis arrivé en 2020 chez Snap pour gérer d'abord la partie médias. Il cherchait quelqu'un qui connaissait...

  • Speaker #0

    Il y a toujours une grosse partie média.

  • Speaker #1

    Il y a toujours une grosse partie média. Il cherchait quelqu'un qui pourrait rencontrer les publishers, connaître l'écosystème médiatique. Et donc, je suis arrivé d'abord pour ça, en éditorial, vraiment pour conseiller les publishers. Et puis, petit à petit, en gros, l'écosystème a grossi et on va en parler. Et du coup, ce qui m'amène maintenant à travailler aussi avec les créateurs.

  • Speaker #0

    Ok, donc... Le monde print, on va dire, médias classiques, jusqu'à ce stade.

  • Speaker #1

    Médias classiques, oui, exactement.

  • Speaker #0

    Une bonne position quand même. Oui,

  • Speaker #1

    alors sur les médias classiques, il y avait beaucoup de nouvelles écritures. On a travaillé sur le podcast des échos. J'avais aussi, j'étais responsable business music aussi aux échos. Et donc, j'avais un podcast qui s'appelait Business of Music.

  • Speaker #0

    Très bien.

  • Speaker #1

    Qui parlait de la musique.

  • Speaker #0

    Bon, alors tu es dans l'écosystème, c'est bon. Oui, ça va. Depuis longtemps. Et alors du coup, ça veut dire quoi ? Ton rôle chez Snapchat, tu t'occupes des créateurs, tu t'occupes de l'éditorial ?

  • Speaker #1

    Non, je m'occupe des partenariats avec tous les créateurs de contenu, et créateurs de contenu au sens large. On parle de la communauté, c'est-à-dire les comptes publics, ce qu'on appelle les Snapstars, on en parlera. Ce sont des comptes certifiés, ceux avec qui on a un vrai partenariat, et qui monétisent aussi parfois sur la plateforme, les célébrités, mais aussi les médias. type Le Monde Brut, etc. En fait, on va travailler ensemble pour développer l'écosystème. Mais mon travail, vraiment, il consiste surtout à améliorer et créer une expérience de contenu pertinente pour les utilisateurs sur Snap et toujours améliorer cette expérience. Et donc, le but pour nous, c'est faire en sorte que nos partenaires... puisse trouver notre audience, parler à notre audience et faire en sorte que notre audience puisse s'informer, se divertir avec des contenus de qualité et brand safe, évidemment.

  • Speaker #0

    D'accord. Donc toi, en fait, tu maîtrises la plateforme, tu maîtrises les messages et les codes, en tout cas, un peu plus que la moyenne, on va dire, mais en même temps, tu les aides à appréhender cette nouvelle écriture, ce nouveau format pour que ça puisse matcher avec les actualités et vos communautés.

  • Speaker #1

    C'est ça, il y a une part d'éducation parce que quand on est un créateur et qu'on utilise Snapchat, on l'utilise souvent pour soi, pour parler à ses amis, on crée du contenu, mais on ne sait pas vraiment où créer du contenu en utilisant l'application, sans savoir en fait quelles sont les bonnes pratiques. Et donc c'est notre rôle aussi de travailler ces bonnes pratiques, mais ça va être pareil aussi pour des médias, pour comprendre en fait comment leur ADN peuvent coller avec la plateforme.

  • Speaker #0

    D'accord. Du coup, c'est beaucoup de travail, ça, parce qu'il y a beaucoup de célébrités, des vérifiés, des créateurs.

  • Speaker #1

    Pas tout seul, heureusement.

  • Speaker #0

    C'est énorme. Oui, c'est énorme. Et ça se fait sous quel format ? Vous avez des masterclass ? Je ne sais pas, vous faites des… Oui,

  • Speaker #1

    alors, il y a une part de scale. Il y a la partie produit. Il y a aussi des notifications inaptes. Toutes ces choses-là sont déjà importantes pour que les créateurs puissent comprendre que, en fait, cette vidéo… a eu du succès. Donc, en gros, le créateur, il va se dire quand je fais ce type de contenu, j'arrive à atteindre une audience. Et puis, il y a cette partie...

  • Speaker #0

    Il y a des cours d'apprentissage.

  • Speaker #1

    Bien sûr, il y a... Il y a aussi le relationnel, tous les jours, au quotidien, avec les créateurs. C'est très important, évidemment. Et puis, il y a cette partie, effectivement, Snap School. Donc, ce sont des bonnes pratiques. On a créé, en fait, une école. Snap School, ce sont tout simplement des bonnes pratiques délivrées. En fait, ce sont des formations, des sessions, masterclass. Et on les fait, en fait, avec les agences, avec les créateurs, avec les célébrités, avec les médias. Et donc, l'idée, c'est qu'ils puissent vraiment comprendre Snapchat, comment Snapchat est pensé. La différence aussi avec les autres plateformes, c'est important.

  • Speaker #0

    C'est différenciant quand même.

  • Speaker #1

    Très différenciant.

  • Speaker #0

    Je ne sais pas si au début, on disait que ce n'était pas un réseau social.

  • Speaker #1

    C'était ça l'idée. En fait, Snapchat, c'est une caméra d'abord. Oui, c'est ça. C'est un sonprix. C'est toujours... C'est marrant, quand j'en parle notamment durant les Snap School, il y a cette volonté pour l'utilisateur, en tout cas pour Snapchat, que vous soyez actif sur la plateforme. C'est-à-dire, en gros, je suis sur la caméra, j'utilise la messagerie, je parle à mes amis, à ma famille. Et c'est vraiment le cœur de

  • Speaker #0

    Snapchat. Donc c'est un véritable écosystème de tout ce qu'on peut avoir besoin au quotidien. Où sont mes amis ? Je leur parle, je fais du contenu. Centralisé dans une application.

  • Speaker #1

    C'est ça, c'est tout. C'est plusieurs applications presque dans une application. Et l'idée, effectivement, c'est d'avoir toutes ces possibilités à la fois de communication et de création et de créativité, avec l'AR également, sur une même plateforme.

  • Speaker #0

    Ok. Alors depuis 2020, c'est ça, tu es arrivé en 2020. Est-ce que tu as vu une évolution côté créateur ? C'est-à-dire, est-ce qu'il y en a eu énormément, un peu moins, un peu plus ? Est-ce qu'ils sont plus exigeants ? Comment tu as vécu cette évolution depuis cinq ans maintenant ?

  • Speaker #1

    Oui, la plateforme a évolué. Alors, il y a une raison simple. On a lancé un programme qui s'appelle Snapstar, un programme de certification.

  • Speaker #0

    Donc ça, c'est quoi ?

  • Speaker #1

    Snapstar, c'est tout simplement, on va choisir les créateurs via des critères qui sont en ligne, qui sont engagement du compte, pertinence, qualité du contenu. Et en gros, ils vont être certifiés et ça va leur donner accès à toute une série de fonctionnalités, de produits pour émerger, pour augmenter l'audience et à terme pour monétiser. Sachant que lorsque je suis Snapstar, je ne monétise pas directement. Il y a encore des critères parce qu'on fait évidemment attention. à ce que les contenus qui soient monétisés soient de qualité. En fait, on va travailler avec les créateurs pour atteindre ce niveau.

  • Speaker #0

    C'est un star.

  • Speaker #1

    Tout le monde va se battre,

  • Speaker #0

    tout le monde va t'appeler.

  • Speaker #1

    Et donc, ce programme a été lancé en 2015, mais il manquait quelque chose, c'est tout simplement une expérience locale. On s'est staffé vraiment en 2020-2021 avec mon arrivée, mais aussi l'arrivée de Julie Bogard et aussi des équipes. content et créateur. Et l'idée, c'était vraiment de créer cette expérience locale. Puisque jusqu'à présent, en gros, il y avait une grosse part algorithmique et donc l'élément magique, qui est l'humain,

  • Speaker #0

    manquait. Voilà,

  • Speaker #1

    exactement. Et c'est vrai qu'on oublie quand même parfois que derrière ces algorithmes, il faut des humains, il faut cet élément magique. J'aime bien ce terme parce que j'avais entendu une fois...

  • Speaker #0

    L'algorithme sont les créateurs, il n'y a pas d'algorithme.

  • Speaker #1

    Exactement. Et donc... On a mené un audit, on a regardé comment la plateforme était considérée aussi par les créateurs. Et puis, il y a eu toute cette part d'action. Alors, cette part d'action, il y a eu une partie très positive qui consistait à aller chercher de nouveaux contenus, à aller travailler avec de nouveaux créateurs, de nouveaux types de créateurs, diversifier, voir quel vertical il manquait aussi. Est-ce qu'il y a, est-ce qu'on a, je suis passionné. de wellness, de beauté ? Est-ce qu'on a des contenus qui vont... Plus bizarrement. Voilà, exactement. Donc, il y a toute cette osite. Et puis aussi, cette partie... Qui sont les bons acteurs ? Qui sont les mauvais acteurs ? Est-ce qu'il y a du contenu qui ne devrait pas être présent sur la plateforme ? Évidemment, il a fallu faire ce travail-là également. Donc très rapidement, dès 2020-2021, même plutôt 2021, jusqu'à arriver à un écosystème un peu plus sain désormais, avec des critères, avec aussi des guidelines stricts, des règles communautaires très strictes et précises surtout pour nos créateurs.

  • Speaker #0

    Donc du coup, une évolution assez rapide quand même. Entre 2020 et maintenant, il y a les Snapstars. Tout le monde se bat pour les avoir. Il y a d'autres sujets aussi. Il y a les Spotlights, il y a les AR. Il y a pas mal d'autres produits. En fait, est-ce que c'est une spécificité Snapchat d'avoir toute une série de produits quand même qui, je pense, s'adresse à différents types de créateurs ou différents types d'audience ? Mais c'est quand même une boîte à outils. C'est-à-dire qu'à chaque fois qu'on parle de Snap... Ah ouais, mais il y a les feeds, il y a les AR, il y a l'imagine, il y a les tout. En fait, j'ai l'impression qu'il y a quand même pas mal d'outils derrière. Et ce qui fait peut-être, à mon avis, un peu plus votre différenciation par rapport au marché. Mais la stratégie derrière ces outils, c'est quoi ? C'est de pouvoir donner ce que veulent les créateurs. C'est ça. Ou de pouvoir augmenter l'expérience vidéo.

  • Speaker #1

    C'est un peu tout ça. Déjà, on est une plateforme, on est une société qui est basée sur l'innovation. Il y a beaucoup de stratégies d'acquisition, etc. dans les boîtes. Bien sûr. Et il y en a sûrement chez Snap. le cœur même de Snapchat, c'est d'innover, de créer des choses, des nouveaux produits. On le voit avec les arts, les lenses, etc. Donc l'idée pour nous, c'était, on a les créateurs, on a aussi des success stories, on avait énormément de créateurs qui commençaient sur Snap et en fait, qui allaient vers d'autres plateformes également parce qu'ils n'avaient pas les outils, les fonctionnalités et les produits pour être découverts, par exemple. Donc c'est la raison pour laquelle on a lancé Spotlight. C'est-à-dire que les stories, on a... créé ce format, on a mis au monde ce format Story.

  • Speaker #0

    Vous étiez les inventeurs du format quand vous vous accopiez assez rapidement, mais bon, c'était vous les premiers, ça on s'en souvient.

  • Speaker #1

    Mais Story, c'est de l'engagement. C'est beaucoup d'engagement même. C'est-à-dire on a des créateurs qui vont poster des Stories et vous allez avoir les abonnés qui vont regarder Snap par Snap « Tu n'as pas posté de Stories aujourd'hui, tout va bien, etc. » Donc voilà, c'est cet engagement. Mais il manquait cet élément qui est J'arrive sur Snap et je parle à mes amis. Et en fait, je me dis, j'aimerais avoir un compte public. Je me rends compte que j'ai un concept, j'ai des idées, je suis drôle ou je veux éduquer ou informer sur un sujet. Comment émerger sur la plateforme ? Et donc, on s'est rendu compte qu'il manquait ce produit. Parce que les stories, au final, on est sur l'engagement pour les abonnés. Et donc, du coup, c'est la raison pour laquelle on a créé Spotlight. Spotlight, c'est notre outil qui va permettre aux créateurs d'être vraiment découverts. découvert sur la plateforme. Et donc, on crée des outils aussi comme ça, des produits basés sur les feedbacks, sur l'expérience des créateurs, ce qu'ils manquent. On a aussi lancé des outils de collaboration commerciale parce qu'il manquait cette possibilité très simple pour un créateur d'appuyer sur un bouton et de dire je fais une collaboration commerciale avec la marque. La marque est taguée, elle peut ensuite mettre du paid, etc. Donc, ce sont tous ces produits-là. On avance aussi avec les créateurs, on les écoute beaucoup.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ce que j'ai l'impression par rapport à d'autres plateformes aujourd'hui qui sont très centrées sur les revenus publicitaires et sur le... Vous aussi sûrement, mais en tout cas, il y a quand même une écoute plus forte, j'ai l'impression, de la part de la communauté ou des créateurs de contenu et vous.

  • Speaker #1

    Il y a un accompagnement peut-être.

  • Speaker #0

    Oui,

  • Speaker #1

    un accompagnement. En gros, on essaie d'être proche de notre identité, de l'identité de la plateforme.

  • Speaker #0

    Il ne faut pas l'oublier. C'est ça qui est un danger aujourd'hui.

  • Speaker #1

    Et ce qui fait l'identité de la plateforme, c'est la proximité, c'est l'authenticité, etc. Et il faut que nous aussi, dans notre façon de travailler, qu'on soit liés, alignés avec cet ADN. Et donc, on va vraiment faire des snapschools, parfois virtuels, mais très souvent physiques. On va rencontrer les créateurs, on va discuter avec eux, on va prendre des feedbacks. On va vraiment essayer de travailler main dans la main. Et c'est pour ça que je disais que je ne suis pas responsable éditorial, mais partenariat, parce que du coup, on va vraiment nouer de vrais partenariats avec les créateurs. et on va aussi... les récompenser et récompenser leur engagement. Et ça, c'est un sujet qui est important parce qu'on demande beaucoup, tout le monde demande beaucoup aux créateurs. Mais c'est vrai qu'il y a ce besoin aussi pour un créateur de pouvoir se dire je vais pouvoir créer un business, je vais pouvoir lancer un business, je vais pouvoir vivre de mon engagement parce que sinon, c'est dommage de créer de l'engagement, de créer de l'engagement et de jamais être.

  • Speaker #0

    Aujourd'hui, tu as des créateurs qui vivent 100% des revenus Snapchat.

  • Speaker #1

    Oui, on en a.

  • Speaker #0

    Qui ont vraiment aimé la plateforme et qui l'ont appréhendée et intégrée et qui aujourd'hui ne font que du Snap ?

  • Speaker #1

    Alors, qui font que du Snap, je ne sais pas, parce que c'est pertinent de ne faire qu'une plateforme. C'est plutôt rare. En tout cas, oui, Snapchat devient leur plateforme d'inspiration principale. Ils vont d'abord poster et ensuite, ils vont explorer les autres plateformes. C'est une volonté pour eux d'aller, de d'abord créer sur Snap, de parler à leurs vrais fans, c'est un peu ce qu'ils disent, les vrais fans sont sur Snapchat, et ensuite, évidemment,

  • Speaker #0

    il y a une stratégie un peu plus grosse plateforme. Et du coup, il y a une typologie de créateur qui marche le mieux, par rapport à tout ce que tu peux voir, est-ce que c'est, je n'en sais rien, les humoristes, les wellness, ou les sportifs qui marchent le mieux ?

  • Speaker #1

    Non, j'aime bien dire... Je dis ça en Snap School, souvent on a 21 millions d'utilisateurs actifs tous les jours.

  • Speaker #0

    En France ?

  • Speaker #1

    En France, oui. D'accord. Du coup, 21 millions de personnes. Si 21 millions de personnes, c'est toujours la même chose. Évidemment, les 21 millions, tous ne regardent pas tous les contenus. Mais c'est vrai qu'on a une forte audience sur la plateforme. Donc, toutes les verticales sont possibles sur Snapchat. Il y a une chose qui est importante en revanche, c'est la compréhension des deux formats. qui sont Stories et Spotlight. Et c'est ce qui va faire qu'un créateur va être très fort sur la plateforme. Moi, je suis toujours fasciné par ce que l'ENA Situation a fait sur la plateforme en arrivant. Il n'y a pas si longtemps que ça, au final. Parce qu'on demande beaucoup, finalement, à quelqu'un comme l'ENA Situation. J'ai l'impression qu'il y a cette pression d'être au top, le premium, le parfait, énormément de demandes des marques, etc. On parle quand même de la plus grosse créatrice. en France. Et elle est arrivée, elle a commencé à poster sur Snapchat et c'était fascinant parce qu'en fait, il y a une maîtrise totale de la plateforme. Il y a une maîtrise de l'authenticité même sur les stories, c'est-à-dire qu'elle a réussi à garder son ADN, ce pour qui on la connaît, et à délivrer, donner de nouvelles choses, beaucoup plus que ce qu'on pourrait voir sur les autres plateformes. Et je suis assez fasciné par son compte.

  • Speaker #0

    Elle a fait la Snap School.

  • Speaker #1

    C'est surtout grâce à l'application et aux produits. Les produits sont faits pour... Moi, je suis juste là pour guider. Après,

  • Speaker #0

    elle interprète le sujet. Parce que l'ENA est arrivé il y a combien de temps ?

  • Speaker #1

    L'ENA est arrivé il n'y a pas si longtemps sur la plateforme. Et surtout, elle a... Je ne sais pas si elle était déjà présente sur la plateforme, mais elle est arrivée vraiment... Elle a commencé à poster énormément, à communiquer. sur la plateforme il y a un peu moins d'un an et effectivement depuis c'est une masterclass je pense qu'elle pourrait elle pourrait nous faire une masterclass pour nous dire Et là typiquement Léna elle arrive toute seule ou tu as été la chercher ? On l'accompagne,

  • Speaker #0

    on ne va pas la chercher mais on l'accompagne Tu la sensibilises au produit

  • Speaker #1

    On a beaucoup de demandes de créateurs qui disent comment je peux aller plus loin comment je peux devenir Snapstar, comment je peux être monétisé, comment juste je peux aussi avoir plus d'audience, une meilleure audience augmenter mon nombre d'abonnés et donc en fonction des demandes, nous on va mettre en place tout un système ça peut être ça va de quelque chose de très scalable comme un webinaire par exemple sur un sujet précis à la Snap School spécifique à

  • Speaker #0

    l'accompagnement au jour le jour T'as qui en France aujourd'hui à parler NAR, à K-pop ? Ou les derniers arrivés ? Ou ceux qui t'ont marqué récemment ?

  • Speaker #1

    Ceux qui m'ont marqué ? Gaël Monfils. Oui, c'est intéressant. Oui, parce que c'est toujours... Nous, on est la plateforme de l'authenticité. On va en parler. On a été créé pour ça. Tout le monde en parle maintenant.

  • Speaker #0

    D'accord.

  • Speaker #1

    J'ai vu que c'était le mot de 2023 aux États-Unis, selon le plus vieux dictionnaire américain. C'est le mot. Ce qui est intéressant pour nous, c'est un peu plus simple puisqu'en fait la plateforme a été conçue pour l'authenticité et ce qui me marque avec ce qui m'a frappé avec Gaël Monfils c'est qu'on parle quand même de Gaël Monfils on parle d'un top sportif qui joue en célébrité en célébrité aussi au niveau du sport clairement et qui joue des tournois qui est en compétition et il était en Australie et donc alors il faisait une compétition moi je suis toujours surpris de voir à quel point à 38 ans on a le même âge Merci. Comment il arrive à se battre ?

  • Speaker #0

    Il n'a pas encore arrêté. Non, il est encore dedans. C'est la force tranquille.

  • Speaker #1

    Exactement. Il a 38 ans et je le vois, il arrive à aller dans des tournois face à des mecs de 25 ans.

  • Speaker #0

    C'est facile. Il faut tenir quand même.

  • Speaker #1

    Il faut tenir, exactement. Et sur Snap, il débriefe. Et il débriefe. Et il débriefe. Et il répond aux questions. Et il débriefe les matchs. Et je me dis, c'est quand même fou de se dire que... Gaël Monfils, il sort de son tournoi il prend son téléphone et il débriefe sur Snap et moi je trouve ça fascinant et ça marche évidemment bien sûr, c'est un contenu hyper exclusif toutes les télés se battraient pour avoir je me suis demandé ça donnerait quoi effectivement si j'étais une télé j'avais ce type de contenu ou même une marque face à ce type de contenu, c'est quand même assez fascinant on est sur l'engagement plus Gaël Monfils il m'impressionne pas mal, il y en a plein d'autres Marcus aussi sur le côté un peu plus ... fashion, on a des sportifs vraiment c'est assez tu as Léa ou pas ?

  • Speaker #0

    Léa et lui ?

  • Speaker #1

    L'ILU, oui, bien sûr.

  • Speaker #0

    On travaille beaucoup avec elle.

  • Speaker #1

    Non, non, elle est super. C'est presque maintenant une ancienne de la plateforme. Elle se pose depuis longtemps. C'est super.

  • Speaker #0

    C'est vrai qu'elle a des grosses audiences aussi.

  • Speaker #1

    Et puis, ce que j'aime beaucoup, c'est qu'on a aussi tous une nouvelle génération de créateurs sur la plateforme. Je pense à Baki. Et ce que je vois avec ces créateurs, c'est qu'ils sont un peu plus, encore plus, un peu comme Lena, il y a une dimension un peu plus globale. D'accord. Ils parlent en français, ils parlent en anglais.

  • Speaker #0

    ils jouent presque avec l'algorithme au final ah oui alors ils sont plus niques que la moyenne il y en a qui parlent pas comme ça ils se disent c'est un contenu international exemple comme Mathéo Ciné ou Baki ce sont des créateurs un peu mode,

  • Speaker #1

    beauté, lifestyle et on a toujours ce j'ai toujours cette discussion si je fais des contenus mode comment respecter ma DA etc et en fait je me rends compte que ces créateurs plutôt Gen Z arrivent totalement à faire du premium et de l'authentique en même temps. Et c'est génial. Et c'est super bien. Et je pense, à mon avis, que ça vient du fait que cette génération est totalement digitale native et qu'elle arrive clairement, très rapidement, à distinguer le faux de l'authentique. Et du coup, ils arrivent vraiment à créer...

  • Speaker #0

    Il y en a des types chez eux.

  • Speaker #1

    Voilà, on arrive à faire du backstage, etc. Je me rappelle, Mathéo Siné, il est en tournage pour une grande marque de luxe et il est dans la voiture. Il fait... les backstage, du maquillage, etc., durant la Fashion Week, etc. C'est vraiment... Moi, je me régale à regarder ce type de contenu.

  • Speaker #0

    Et tu vois des contenus originaux ou bien en général, ils essayent d'observer ce qui se passe ailleurs ou de regarder ce qui se passe sur les grands comptes et de refaire pareil. Est-ce que tu vois une originalité quand même dans les contenus ?

  • Speaker #1

    Non, parce que Snapchat, c'est la plateforme où on est soi-même. Donc, c'est très original, surtout sur les stories. C'est vrai que le spotlight, c'est un peu différent. Au final... Les plateformes, on va avoir des plateformes très vitrines. On va avoir une plateforme où je vais mettre le meilleur de moi-même, le contenu monté, parfait. Je vais prendre à peu près 10 minutes pour poster une vidéo. Et puis, je vais avoir aussi un contenu un peu plus trendy. C'est-à-dire, en gros, je dois m'inscrire dans une trend pour être découvert ou pour être vu. Donc, en fait, ce n'est pas moi qui compte, c'est la trend. Sur Snapchat, c'est totalement l'inverse. il y a un créateur je pense qui Il ne sera pas fâché que je... Son nom, parce qu'on se connaît bien, qui s'appelle Tim, Timothée. Et Timothée, il est mannequin. Donc, il fait la Fashion Week, une séance avec le gros spark de luxe, etc. Et il poste sur Spotlight ce contenu très prévu, très bien fait, très beau. Et on discute et il me dit « Mais tu sais, JP, j'ai une autre passion, c'est que je suis aussi chanteur de gospel, etc. » Et il me dit « Mais je ne sais pas comment raconter ça sur les autres plateformes. » Et je lui ai dit, en fait, tu as un format assez fascinant pour ça, assez sympa pour ça, pardon, c'est les stories. Et du coup, ce qui est intéressant, c'est qu'il dévoile beaucoup plus sur Snap que ce qu'il pourrait dévoiler ailleurs. Parce que du coup, il va évidemment être le mannequin que tout le monde connaît. Mais il est aussi, sur Snap, le chanteur de gospel, la passion pour la musique, pour la spiritualité, tout ce qui est lié à son gospel et au mouvement. Mais du coup, voilà, il a cette...

  • Speaker #0

    Donc en fait, il a deux personnalités. C'est-à-dire qu'il est mannequin sur Spotlight. Non, il a sa seule personnalité. Oui, mais c'est sa facette. C'est les deux facettes de sa personnalité qu'il exprime sur deux canals différents de la personne.

  • Speaker #1

    Je pense que sur Snapchat, il a sa personnalité. Parce que sa personnalité, on est multifacette.

  • Speaker #0

    Bien sûr, oui, c'est ça. On n'est pas que mannequin, défilé, on est tout.

  • Speaker #1

    Je ne suis pas que responsable du partenariat contenu Snapchat. Ah bon ? J'aime aussi les restos.

  • Speaker #0

    tournant, surfe, tu as des passions.

  • Speaker #1

    Du coup, on ne se cantonne pas forcément à cette étiquette et on va plus loin. C'est ce qui est génial.

  • Speaker #0

    C'est cool quand même que les créateurs trouvent encore des expressions différentes ou des ressorts différents parce que c'est vrai qu'avec toutes les plateformes qu'on a aujourd'hui, on pourrait se dire que toutes les demandes sont comblées. Ils ont tout ce qu'il faut, tous les formats, tous les machins, mais ils se posent encore les questions de comment faire autre chose différemment. Je crois que le côté qui est intéressant avec les créateurs, c'est qu'ils veulent tous être différents.

  • Speaker #1

    C'est ça.

  • Speaker #0

    Et donc, qui veut être différent, va chercher à fond une USP produit pour se dire, tiens, j'ai maîtrisé ce sujet-là, donc je vais le faire mieux que les autres et donc je vais me différencier. Ou alors, je vais m'exprimer différemment selon les plateformes. Oui,

  • Speaker #1

    et puis, il y a ce côté où finalement, je réfléchis un peu moins, encore une fois, sur Story spécifiquement. Une créatrice disait, c'est drôle sur Snap, si je laisse tomber mon téléphone, je continue à filmer. Je continue de filmer. Je suis en train de poster, je prends mon téléphone, il tombe, je continue. Parce qu'en gros, je suis clairement sur... Je parle avec ma communauté. Snapchat a été créé pour les amis et la famille. Et au final, les créateurs vont s'insérer un peu dans ce sens-là. Et donc, il y a vraiment ce côté super fan dont je parlais. Les artistes aussi ont bien appréhendé, certains en tout cas, ont bien appréhendé Snapchat. Sur Spotlight, ils vont mettre par exemple les extraits de clips, les coulisses, les performances, les lives. Et puis sur les stories, ça va être les sessions studio, les discussions, les préparations, les chorégraphies, backstage, etc. Et en fait, les deux se marient. Ça marche super bien.

  • Speaker #0

    En fait, c'est quand même des bons formats qui sont faciles à « comprendre » , mais à maîtriser. Ça dépend de chacun. Mais ils ont trouvé leur place. Ils ont les off et les on.

  • Speaker #1

    Exactement.

  • Speaker #0

    Qui fait que…

  • Speaker #1

    Exactement, ça faut le faire.

  • Speaker #0

    Ça, c'est cool. Il y a un nouveau système de partage de revenus, je crois, sur les stories aujourd'hui, avec les créateurs. Tu peux nous en parler un peu ?

  • Speaker #1

    Oui. Je disais tout à l'heure, on demande beaucoup. Non, c'est juste, je voulais revenir sur ce que je disais tout à l'heure. On demande beaucoup aux créateurs. Je disais, je suis un ancien journaliste. J'écrivais des articles aussi sur les créateurs à l'époque. Et c'est vrai que j'ai l'impression qu'on demandait de plus en plus. On a posté 23. 20 fois par jour, 30 fois par jour. On les a pris par les machines. Il faut poster une vidéo de 3 minutes, de 5 minutes, de 20 minutes, avoir une équipe pour du montage, etc. pour faire du contenu un peu comme ce podcast. Très bien. Et à la fin, je trouvais que, enfin, pas moi, mais on trouvait qu'il fallait quand même récompenser cet engagement. Et donc, du coup, c'est tout simplement un simple partage de la valeur. Qu'est-ce que le partage de monétisation ? C'est tout simplement un programme de rêve cher, donc de partage de revenus. sur les publicités qui sont donc insérées dans les stocks. C'est très simple. Oui, c'est simple. Donc, en gros, on récompense l'engagement et on se rend compte effectivement que c'est un impact assez important pour les créateurs et même sur le nombre de postes sur la plateforme et même sur les interactions entre les créateurs et les fans. On est à 15 milliards d'interactions entre les créateurs et les fans. C'est assez fou.

  • Speaker #0

    La France, c'est un gros marché pour Snap.

  • Speaker #1

    La France, c'est l'un des plus gros marchés pour Snap. Je disais, on est à 27,8 millions d'utilisateurs mensuels, 21 millions d'utilisateurs actifs par jour. On est un très gros marché. Les US, la Grande-Bretagne, etc.

  • Speaker #0

    Top 3, c'est quoi ? US, France ? US, UK ?

  • Speaker #1

    Oui, US, UK et aussi l'Inde, forcément. très gros marché, mais après, en Europe, ce sera surtout Grande-Bretagne et France. Et puis après, il y a des marchés qui se développent très bien. L'Allemagne, les Nordiques, qui sont des marchés où, justement, en fait, on travaille, on commence à créer cette expérience locale qu'on a réussi à créer en France, où on est un peu plus mature, quand même. Oui,

  • Speaker #0

    c'était un des premiers marchés qui a été lancé, non ?

  • Speaker #1

    Oui, c'est l'un des premiers.

  • Speaker #0

    Parce qu'à l'époque, je me rappelle, Evan Spiegel, le patron, faisait la tournée au Cannes Lions, à la publicité. Il vient faire le tour en France. Il aimait bien la France. Et en même temps, il n'y a pas de marché que vous ne couvrez pas aujourd'hui. Vous couvrez tous les marchés.

  • Speaker #1

    On ne couvre pas tous les marchés, mais on couvre une grosse partie.

  • Speaker #0

    Une grosse partie. Et aujourd'hui, vous intervenez dans l'accompagnement des créateurs sur la partie monétisation aussi ?

  • Speaker #1

    Oui, bien sûr. On accompagne avec tout simplement... Déjà, on va donner informé sur les critères. L'idée, c'est de...

  • Speaker #0

    que les créateurs, que la communauté, je parlais de ce créateur qui crée du contenu juste avec ses potes et ensuite qui est en compte public et qui commence à publier, qu'il sache tout simplement quelles sont les règles pour arriver à la monétisation. Donc en gros, on va dans les Snap School, dans les relations, donner les informations concernant la monétisation. Quels sont les critères pour être monétisé, comment ça fonctionne. L'éducation et puis aussi les critères de qualité de contenu qui sont importants. Parce que quand on est monétisé, évidemment... comme disait le père de Spiderman, grand pouvoir, grande responsabilité. Donc l'idée, c'est vraiment de se dire qu'ils comprennent vraiment notre écosystème. Nous, je commence souvent les Snap School en disant aujourd'hui, c'est portes ouvertes. Vous allez tout savoir, vous allez comprendre comment ça fonctionne, comment monétiser sur la plateforme. Évidemment, il y a une volonté pour tous les créateurs d'être monétisés et notre but, c'est qu'ils puissent être monétisés. Donc notre but, c'est d'avancer avec eux pour qu'ils puissent arriver à ces... à cette échelle de monétisation. Et une fois qu'ils sont arrivés à cette échelle de monétisation, qu'ils puissent aussi bien monétiser. Donc, on va aussi leur livrer des bonnes pratiques, nombre de postes par jour, type de contenu, poster aussi pendant des moments importants. C'est important, la fashion week.

  • Speaker #1

    Vous avez des certifications, des genres de choses comme ça ? Non, ils n'ont pas de certification à passer, passer d'un niveau à l'autre.

  • Speaker #0

    Non, il n'y a pas de certification. Ils ont des critères. Il y a des critères qui permettent d'être. Monétiser, mais aussi on peut être démonétisé. Ah, moi aussi. Il faut faire attention. Donc en gros, les critères sont publics, ils sont assez connus. C'est-à-dire, il y a l'engagement, mais l'engagement n'est pas tout. Souvent, je vais avoir des créateurs qui vont dire, j'ai X milliers d'abonnés, pourquoi je ne suis pas monétisé ? En fait, l'engagement n'est pas tout. Il y a la pertinence, il y a l'authenticité. Tout simplement, le fait que le contenu m'appartienne. Si par exemple j'ai 600 000 abonnés mais c'est un contenu qui reprend tous les contenus sportifs de tous les médias, bon j'ai pas le droit, ça va être compliqué en plus de monétiser sur ce contenu. Donc l'authenticité est importante et puis surtout, et clairement je pense que c'est la ligne la plus importante, le respect de nos règles communautaires. Et c'est aussi là où il y a un gros travail d'éducation, comprendre quelles sont nos règles. qu'est-ce qu'une violation de nos règles communautaires, qu'est-ce qu'on peut faire et ne pas faire. Souvent aussi, il y a parfois de la bonne foi. Parfois, il y a beaucoup de créateurs qui disent qu'en fait, je ne savais pas. Je ne savais pas que je ne pouvais pas snapper en conduisant. Ça a l'air évident comme ça, mais en fait, non, c'est une violation. Parce que c'est dans le bonnet. Voilà. Ou si je le tiens avec une main, ça ne marche pas non plus. Et donc, du coup, il faut vraiment... aussi donner ces informations aux créateurs.

  • Speaker #1

    Et puis qu'ils les lisent, parce que j'imagine que ce n'est pas le premier document sur lequel ils se ruent en arrière.

  • Speaker #0

    Et puis, je vois, ils sont souvent soulagés, ravis de connaître tout ça. Ils se disent, ah bah attends...

  • Speaker #1

    Merci, je ne le ferai plus.

  • Speaker #0

    Genre, Fnip, regarde dans un mois, tu verras les contenus, ça va être bien différent. Donc non, on est vraiment dans une vraie relation avec ces créateurs.

  • Speaker #1

    C'est du management. C'est du management de talent.

  • Speaker #0

    Talent Management.

  • Speaker #1

    Les versions plateforme, ce qui est sympa. On a mis que ça les aide plus que les vrais talent managers.

  • Speaker #0

    Après, on travaille beaucoup. Dans le partenariat, ce qui est intéressant, c'est qu'on va travailler avec tous les acteurs de l'écosystème. Les talent managers aussi vont nous aider à tout simplement découvrir aussi, peut-être parfois faire de l'acquisition, éduquer aussi un peu plus à scale. Donc être sûr que... Créer cette économie d'échelle sur l'éducation des créateurs. Travailler sur les collabs. Je donne un exemple très clair. On a lancé Collab Studio il y a un peu plus d'un an. Et Collab Studio, on a travaillé avec des agences, Follow en France, WellArt, etc. pour fournir un service clé en main aux marques et aux annonceurs pour sourcer les talents, produire les assets, suivre et gérer la campagne. influence sur Snapchat. Donc, cette relation avec les agences des talent managers va aussi nous servir.

  • Speaker #1

    Oui, c'est obligatoire pour vous parce que vous ne pouvez pas prendre chaque talent individuellement en gestion. C'est compliqué. Et aujourd'hui, Collab Studio, c'est une plateforme où les agences viennent avec leurs talents. Les marques viennent toutes seules. Comment tu gères ? Comment vous gérez votre relation aux marques aujourd'hui ? Vous êtes très focus agence, j'ai l'impression, et créateur. Enfin, dans ton job, évidemment. Mais côté marque aussi, tu...

  • Speaker #0

    On va travailler avec tout le monde. Il y a plusieurs portes d'entrée. Souvent, ça peut être l'annonceur commence l'influence ou du moins commence l'influence sur Snapchat et veut comprendre comment ça fonctionne. Donc, en gros, on va leur fournir ce service clé en main. Et pour fournir ce service clé en main, nous, on n'est pas une agence, évidemment, de talent. Donc, on reconnaît clairement l'expertise de nos... partenaire et donc ces partenaires vont servir d'experts et vont vraiment travailler sur cette collaboration en fait on répète ce qu'on a fait sur la réalité augmentée la réalité augmentée il fallait alors maintenant on parle beaucoup de réalité augmentée mais à l'époque voilà exactement c'était nouveau donc quand on discute avec un cmo qu'on lui dit en fait on va augmenter cette table alors pour dans le cadre d'une campagne etc ou mettre en place une laine c'est ce qu'il faut quand même aussi éduquer créer des cas de studi, montrer que ça marche. On le sait, nous, mais il faut le montrer. Un show d'hôtel. Enfin, voilà.

  • Speaker #1

    Voilà. On va l'appuyer.

  • Speaker #0

    Et pour ça, évidemment, on va s'appuyer sur des experts. Et donc, on va travailler avec ces agences qui vont nous aider à mettre en place ces collaborations.

  • Speaker #1

    Exactement. Aujourd'hui, il y avait avant, enfin, je ne sais pas si ça existe toujours, mais on avait beaucoup de meubles avec des lents sur des événements physiques, des choses comme ça. Ça existe toujours, ça, aujourd'hui ? C'est un produit qui fonctionne ?

  • Speaker #0

    les reality augmentation ou les miroirs oui ça existe encore, on appelle ça des IR mirrors ça marche bien c'est intéressant ça ce côté un peu plateforme digitale qui passe aux events avec un produit physique on l'utilise beaucoup dans le cadre d'événements mais un peu réfléchi on va travailler avec des marques, on va travailler sur des grands moments il n'y a pas longtemps on a travaillé sur la sortie d'un film et donc du coup Du coup, il y avait des créateurs, Snap, les Air Mirrors et donc une lens qui reprenaient les codes du film. Je ne dirais pas le nom du film, mais si on disait trois fois des frites, en fait, des frites apparaissaient. Et donc, du coup, ça permettait vraiment de créer une expérience immersive et puis un peu plus à 360. En gros, les Air Mirrors et même les Air vont aider sur la partie création de contenu pour créer une expérience un peu plus augmentée. Mais je donne un exemple. On parle beaucoup d'autres choses que l'IA. Nous, l'idée de la réalité augmentée, c'est tout simplement augmenter la réalité, comme son nom l'indique, pas vivre dans un autre monde, mais tout simplement améliorer ou mieux comprendre, mieux appréhender le monde réel, le monde existant. Et ça, c'est passionnant parce que du coup, ça peut être très simple pour des petites histoires, une histoire très simple. Camera Kit pour Alastair Academy en décembre dernier où Nico se transforme en père Noël. C'est un travail qui a été mené avec Snapchat pour annoncer la chanson de Noël. Mais ça peut être pour des sujets un peu plus éducation, ça peut être pour la promotion d'un album, ou ça peut être même pour raconter de nouvelles histoires. Je prends l'exemple de Natoo qui avait créé ce... personnage qui s'appelait Tristian en reprenant la lens crying lens on l'appelle, la lens qui pleure et en gros la lens elle est phénoménale plus je rigole plus je pleure je sais qu'aux Etats-Unis dans les stades parfois ils l'utilisent pour le mettre sur les fans de l'équipe adverse comme ça quand ils perdent plus je rigole plus je pleure et donc elle a créé tout un personnage Tristian et là c'est Merci. pas l'augmentation de la réalité, c'est l'augmentation des histoires, augmenter les histoires via la réalité augmentée. Et ça, c'est assez canon. Et ce sont les créateurs qui l'ont fait.

  • Speaker #1

    Je me suis donné un outil à disposition, puis ils l'ont réinventé ou ils l'ont réinterprété en fonction de leurs histoires.

  • Speaker #0

    C'est ça. Et c'est aussi au final, c'est aussi le principe même de la tech, créer des produits innovants, des produits qui vont être affinitaires avec la cible. Donc ici, les créateurs.

  • Speaker #1

    mais aussi les utilisateurs et en fait laisser la créativité après s'exprimer à travers ces outils et des outils à créativité mise à disposition pour raconter des histoires c'est finalement raconter des personnages on a un peu dans le cinéma donc centrique vidéo centrique et aujourd'hui vous avez beaucoup de jeunes aides sur snapchat oui c'est quoi c'est plus de 80% d'audience

  • Speaker #0

    90 non c'est pas 80% de l'audience on a une forte haute pénétration sur la genzy Mais en revanche, c'est vrai qu'il y a ce cliché qui laisse entendre que

  • Speaker #1

    Snapchat est jeune. Il y a plein de clichés sur ça. Les réseaux sociaux déjà sont jeunes, ils sont genzis déjà.

  • Speaker #0

    On a la majorité, en tout cas en moyenne, on a une audience qui est plutôt plus de 30 ans. Et du coup, on a une forte population, plus de 25 ans sur la plateforme. Il faut comprendre que Snapchat a l'audience Snapchat. Moi, je suis un Snapchateur de la première heure, j'ai 38 ans. en fait j'ai grandi avec la plateforme et c'est la raison pour laquelle d'ailleurs sur la partie contenu quand on va travailler sur les nouvelles verticales on va se rendre compte que les contenus par exemple parentalité, immobilier famille bien-être etc on va voir des pics,

  • Speaker #1

    on va se rendre compte que ils ont grandi la première heure on grandit et maintenant ils deviennent parents c'est ça,

  • Speaker #0

    ils ont grandi mais en même temps ce qui est intéressant c'est que L'audience, elle est plus âgée, elle a vieillie de la plateforme, donc ça, c'est génial. C'est bien,

  • Speaker #1

    parce qu'ils sont fidèles aussi à la plateforme.

  • Speaker #0

    Mais la Gen Z s'approprie aussi la plateforme. Alors peut-être différemment, peut-être plus avec les Lens, avec Spotlight, etc., ou la Map, mais en gros, ils utilisent Snapchat également au quotidien. Et c'est assez d'ailleurs fascinant de voir l'utilisation en fonction des tranches d'âge. Il y a une utilisation classique qui est un peu la même pour tous, mais aussi, c'est vrai qu'il y a des spécificités. On a un peu, presque en côté, masse audience, qui est intéressant chez Snap.

  • Speaker #1

    Et quand une marque vient te voir, enfin, une marque veut utiliser Snapchat pour toucher cette audience, qu'est-ce que tu lui recommandes ? C'est quoi le meilleur format ?

  • Speaker #0

    Sur les formats ?

  • Speaker #1

    C'est compliqué, hein ?

  • Speaker #0

    surtout sur l'audience il y a énormément de possibilités pour aller cibler les audiences tout simplement donc déjà un bon ciblage fonctionne, on peut faire aussi du lookalike d'audience si on travaille avec des partenaires et puis aussi ce qui est bien c'est qu'on a des formats publicitaires full funnel et ça d'ailleurs on peut le faire avec les créateurs c'est à dire qu'on a des formats publicitaires qui vont permettre d'aller de l'awareness à la considération jusqu'à la conversion donc c'était des formats qui existaient déjà mais maintenant en fait on les a aussi associés aux créateurs et ce qu'on voit c'est que quand on utilise les assets créateurs face aux assets institutionnels on voit des clics, des taux de vue etc. beaucoup plus important que les assets instit pour une raison simple, la confiance l'authenticité, ce côté en public et fait pour la plateforme fait très natif et donc du coup ces formats publicitaires si en gros je parlais de marque je leur dirais tout simplement vous avez Merci. Tout est possible sur Snapchat. Tous vos KPIs, que ce soit de la performance, au reach, la conversion, etc. Tout ça, c'est possible sur Snapchat. On a des nouveaux formats qui ont été annoncés aux États-Unis, qui arriveront, je l'espère, en France, qui vont permettre aussi d'aller chercher du reach. On a le format First Commercial, un peu le prime time. Donc, il permet d'aller vraiment toucher une audience forte très rapidement. Donc, on a aussi pour les marques, tout en gardant cette authenticité, tout en gardant ce côté natif, toute cette série de formats publicitaires qui vont permettre d'aller chercher des audiences. Je prends un dernier exemple, Collectionad. Tout simplement, une publicité, la possibilité d'avoir des vignettes à l'intérieur pour aller directement chercher le produit ou en tout cas aller sur le lien. En fait, c'est super quand c'est en plus un créateur qui l'utilise et qui utilise le produit. en fait je peux directement cliquer sur le lien pour aller.

  • Speaker #1

    Ça, c'est un peu l'avant-garde. Là, il y a beaucoup de social commerce qui se met en route en ce moment. C'est un sujet dans lequel vous allez aller aussi, sur la vente de produits physiques, je dirais. C'est pas encore annoncé, c'est pas encore officiel. Je ne demande pas d'exclusivité, mais d'après toi...

  • Speaker #0

    J'essaierai de ne pas trop accrocher sur ce sujet-là. Tout simplement parce que je ne suis pas le spécialiste.

  • Speaker #1

    Après, ça serait complètement naturel d'avoir... Oui,

  • Speaker #0

    personnellement, je pense que c'est naturel, on y pense, on est dessus, il y aura...

  • Speaker #1

    Il faut faire de la meilleure façon possible.

  • Speaker #0

    Bien sûr. Et puis, on a déjà des formats aussi.

  • Speaker #1

    Oui,

  • Speaker #0

    c'est ça. Je parlais du collection.

  • Speaker #1

    Voilà, c'est un des premiers formats. Exactement. Ils n'ont plus que le panier. J'exagère.

  • Speaker #0

    Oui, de toute façon, on suit les tendances du marché. On regarde ce qui se passe.

  • Speaker #1

    Si les gens veulent, on va le faire.

  • Speaker #0

    Exactement. Et exactement, les créateurs. Encore une fois, il n'y a pas si longtemps que ça. Sur cette partie contenue, il n'y a pas si longtemps que ça. Spotlight n'existait pas. Et Spotlight n'est pas... l'idée vraiment de Spotlight, c'est de se dire, en fait, on a... comment faire en sorte que notre communauté qui est très forte puisse atteindre le niveau Snapstar. Pour ça, il faut être découvert.

  • Speaker #1

    Pour être découvert,

  • Speaker #0

    il faut du contenu. Et il faut un produit. Il faut un produit de découverte. Et donc Spotlight, c'est ce produit de découverte. Et ce produit de découverte, en fait, permet à la communauté de créer plus, aux Snapstars aussi de créer plus pour atteindre aussi peut-être la monétisation ou même les créateurs qui sont entre les deux, entre communauté et Snapstar, d'atteindre ce fameux levier. Et on voit d'ailleurs que le nombre de postes augmente et que aussi le contenu... le temps passé à regarder du contenu en augmentation de 25% sur l'année.

  • Speaker #1

    Donc quelqu'un de nouveau qui arrive sur Snap aujourd'hui va dans Spotlight et il a tout ce que il peut se créer.

  • Speaker #0

    Je pense que Spotlight c'est un bon moyen d'aller découvrir d'entrée.

  • Speaker #1

    D'entrer dans d'autres profils parce qu'après c'est un peu le problème des algorithmes. On est trop fermé sur des types de contenus qu'on a déjà vu et qu'on veut voir mais le Spotlight est quand même assez frais du coup pour pouvoir découvrir d'autres types de contenus où les créateurs

  • Speaker #0

    les stories je vais parler je vais regarder les contenus de ceux que j'aime je parlais des super fans Des gens que j'ai choisis. D'ailleurs, j'ai l'impression qu'on va presque suivre moins de comptes sur Snapchat parce qu'au final, on va suivre des comptes qu'on connaît. Même les créateurs, on va les suivre comme s'ils faisaient partie de notre cercle d'amis. Sur Ailleurs, je vais peut-être tout simplement… Je ne sais pas, je regarde un film, j'aime bien le réalisateur ou j'ai entendu parler de quelque chose, je vais suivre le compte. Je ne sais pas vraiment qui c'est, mais j'ai bien aimé une idée qui a marché et je vais suivre ce compte. compte-là et peut-être que je ne vais jamais y retourner. Sur Snapchat, on a plutôt cette impression que quand on est abonné aux stories, on regarde toutes les stories, on est vraiment à fond avec ce créateur. Mais il manquait cette partie découverte. Donc, comment faire pour aussi avoir plus de comptes à suivre ? Parce que peut-être que je ne savais pas.

  • Speaker #1

    Pour élargir un tout petit peu son spectre communautaire.

  • Speaker #0

    Et Spotlight est pas mal.

  • Speaker #1

    Et du coup, tu as des homologues comme toi dans d'autres pays, j'imagine ? Vous faites des conventions internationales, des gens comme toi, et vous partagez vos tips entre pays ?

  • Speaker #0

    On a des réunions.

  • Speaker #1

    On va éviter de se déplacer. Ma question derrière ça, c'est est-ce qu'il y a des usages particuliers par marché ? Est-ce que sur certains pays, ils adorent les stories, ils n'aiment pas les spotlights ? Il y a des spécificités.

  • Speaker #0

    La spécificité en France aussi, c'est qu'on a aussi beaucoup de créateurs qui sont nés sur Snap. donc ça c'est super parce que c'est quelque chose qu'on essaie de créer un peu plus au global d'avoir des créateurs qui commencent, je disais tout à l'heure cet exemple de je crée du contenu mais juste pour mes amis sur Snapchat, j'envoie des vidéos et puis je me rends compte qu'en fait je suis plutôt pas mal je suis assez drôle et donc du coup allez j'y vais, je crée un profil public et je commence à poster de manière naturelle et donc petit à petit je monte et c'est cette ... ce séjour-là, cette journée, qui est super intéressant pour nous. Et en France, ce qui est bien, c'est qu'il y en a déjà. Dans d'autres marchés, on est en train de les créer. D'autres marchés aussi sont très forts, par exemple, sur l'utilisation des lenses pour faire du contenu. D'autres marchés, il y a une forte consommation en spotlight. Donc, il n'y a pas du temps passé à regarder du contenu. Donc,

  • Speaker #1

    il y a quand même des différenciations au marché.

  • Speaker #0

    Il y a vraiment des différenciations. On va dire qu'il y a un socle commun. Et puis après, il y a des petites spécificités intéressantes. Et nous, on est là, évidemment. pour nourrir la plateforme, nourrir tout le monde pour qu'ils puissent comprendre ce qui marche et ce qui ne marche pas, donner des bonnes pratiques et des cas studiés, enfin des cas par marché.

  • Speaker #1

    Bon, écoute, du coup, c'est plutôt confortant, je trouve, d'avoir un socle commun et d'avoir des usages un peu partagés. Est-ce que tu as d'autres outils qui arrivent bientôt, là, côté créateur, ou des choses que tu peux nous dire ?

  • Speaker #0

    Ce que je peux dire, c'est qu'on l'a déjà annoncé, mais c'est assez nouveau quand même, donc j'en profite. pour en parler parce que peut-être qu'effectivement il n'est pas très connu c'est que s'il y a la monétisation pendant très longtemps on ne monétisait que sur les stories d'accord tout simplement voilà maintenant on a annoncé maintenant on a annoncé pardon les revenus sur les spotlights d'accord et donc ce qui est intéressant c'est que maintenant désormais quel que soit le contenu que je publie sur la plateforme en fait elle est monétisée alors spotlights à partir d'une minute mais en tout cas le contenu est monétisé et ça c'est en pas de plus pour récompenser l'engagement des créateurs, pour aider ces créateurs à créer un peu plus. Dans le meilleur des cas, on a des créateurs qui commencent sur la plateforme, qui se lancent sur la plateforme, qui créent un business sur la plateforme, qui réussissent à vivre, c'était l'une des premières questions, réussissent à vivre de leur engagement. C'est l'objectif et je pense qu'on va continuer dans ce sens.

  • Speaker #1

    Et tu peux cumuler de la rémunération plateforme du sharing revenu plus une collaboration commerciale avec une marque ? Bien sûr,

  • Speaker #0

    tout est possible. Et même je peux faire de la collaboration commerciale en étant Snapstar aussi sans forcément avoir énormément de revenus.

  • Speaker #1

    Donc s'il y a des auditeurs qui veulent être Snapstar, ils t'appellent ?

  • Speaker #0

    Alors surtout pas !

  • Speaker #1

    Ça va être la question qu'on va nous poser !

  • Speaker #0

    Non, non, si on a... Tout est en ligne. Tout est en ligne. On a des formulaires, etc. J'apparais généralement au moment où vous êtes Snapstar.

  • Speaker #1

    Voilà. Tu remets le diplôme du César.

  • Speaker #0

    C'est un peu ça. Non, l'idée, c'est que…

  • Speaker #1

    Tout se fait en ligne, on est d'accord.

  • Speaker #0

    Déjà, tout se fait en ligne. Et surtout, encore une fois, si vous faites du bon contenu, de qualité, engageant, que vous avez des idées, que vous êtes original, etc.

  • Speaker #1

    Il n'y a pas de problème. Il n'y a pas de problème. Ça arrive. Bon, alors allez-y. Faites du contenu. comme ça au snap star et puis dès que vous avez vu Jean-Philippe alors là c'est je suis pas tout seul je suis pas tout seul Jean-Philippe et ses équipes derrière c'est bon vous êtes sur la bonne voie super écoute on arrive à un moment de l'émission où je te pose un mot et on donne un autre d'accord comme ça allez donc Lens

  • Speaker #0

    Rire

  • Speaker #1

    Genzy

  • Speaker #0

    Authenticité et Los Angeles Maison mère. Maison en maison.

  • Speaker #1

    Parce que c'est vrai que Snap est toujours à Los Angeles. C'est aussi ce qui différencie la plateforme. C'est-à-dire qu'on est dans la ville du cinéma et pas dans la ville à Silicon Valley où là, c'est la tech, la tech, la tech. Donc, c'est aussi un élément de différenciation.

  • Speaker #0

    Mais aussi, Lance, j'ai dit rire parce que ça m'a fait penser à quelque chose. On parle de communication visuelle, de se sentir à l'aise, etc. J'aime bien cet exemple. Je vais parler un peu de moi. alors j'étais Noël, on passe Noël à la maison et donc il y a ma belle-mère et ma femme qui sont sur leur canapé sur mon canapé de la maison notre canapé et donc ma femme utilise les lenses ils étaient sur Snapchat et elles ne communiquaient pas, elles ne s'envoyaient pas des messages elles étaient juste côte à côte et elle prend le téléphone et elle s'amuse à utiliser les lents sur sa mère.

  • Speaker #1

    D'accord.

  • Speaker #0

    Et là, nous, on est à côté en train de dîner avec mon père et en fait, là, ça part en fou rire complet. Mais en fou rire complet. Et je me suis rappelé que ce n'était pas la première fois que ça arrivait parce que ça m'est arrivé avec ma mère un an avant. D'accord. Parce que ma mère, elle habite en Guadeloupe et dans le Tartu. Et on était tout simplement assis et en gros, j'utilisais les lents sur son visage. et en fait, on se marrait, mais elle pleurait. Et je me suis dit, c'est fou parce que même lorsqu'on ne communique pas en envoyant des messages ou en postant de la vidéo parce que ça n'a pas été posté, c'est pas erreur pour nous, mais en fait, on crée de l'interaction avec l'application.

  • Speaker #1

    Il y a des fonctions pour générer une émotion sans la publier.

  • Speaker #0

    C'est assez drôle.

  • Speaker #1

    En même temps, tu as une grosse influence à la maison, j'ai l'impression. Oui. Ta femme et ta belle-mère sur le canapé en train de faire du slap ?

  • Speaker #0

    C'est obligatoire ou pas ? Non, ce n'est pas une collaboration. C'est juste qu'elle est utilisatrice aussi de l'application.

  • Speaker #1

    C'est ça qui est sympa, je crois, avec les Lens, tu as raison de le dire. C'est qu'en fait, c'est une fonctionnalité où les gens peuvent juste jouer avec.

  • Speaker #0

    C'est ça. Et puis...

  • Speaker #1

    Et pas forcément le publier pour faire du contenu, mais jouer avec la plateforme. Oui,

  • Speaker #0

    et puis on parle beaucoup des Lens qui sont, voilà, la Lens pour être parfaite, etc. je t'invite à aller sur le carousel de l'ens Snapchat sur les premières l'ens c'est pas mal super si tu avais un conseil à donner à une marque qui hésite encore à venir sur Snap,

  • Speaker #1

    qu'est-ce que tu lui dirais ?

  • Speaker #0

    venez voir les créateurs non je dirais il y en a pour allez-y parce que vous pouvez tout faire vous pouvez vraiment tout faire et évidemment oui ne négligez pas les créateurs parce que c'est bon mon travail et je le disais sur les taux de clics, taux de flux, etc. sur les assets créateurs. Donc, évidemment, n'hésitez pas à aller sur cette partie. Mais, vous pouvez vraiment tout faire sur Snapchat. C'est une plateforme masse audience, grosse communauté, des vidéos de qualité, brands et effets, etc. Il y a un travail qui est fait et qui est vraiment minutieux, mené tous les jours par les équipes. Clairement, quel que soit La partie du funnel que vous souhaitez atteindre, ou même full funnel si vous voulez, en fait, vous allez y arriver sur Snapchat. Et c'est assez, en plus, marrant à voir.

  • Speaker #1

    Oui, après, je suis d'accord avec toi. Enfin, je pense qu'il y a tout sur Snap aujourd'hui. Faire des outils, ça. Je trouve que c'est la plateforme la plus créative, en fait, qui donne le plus de fonctionnalités pour aller dans la créativité. C'est ça. Ce que les marques aujourd'hui cherchent aussi, parce que finalement, elles veulent du contenu de qualité, un peu original. Des fois, elles reposent toutes sur le créateur, qui peut le faire, mais en même temps, s'il y a des outils et des aides à la création, c'est quand même intéressant,

  • Speaker #0

    je trouve. Et mon autre conseil, ce serait de ne pas hésiter à laisser le créateur s'exprimer et interpréter les meilleurs collabs. En fait, elles sont comme ça. Marcus, il est fascinant, parce que Marcus, on lui donne une collab et... il en fait quelque chose de merveilleux.

  • Speaker #1

    Il a son monde, son univers. Son univers,

  • Speaker #0

    sa manière de faire, de parler, d'interpréter les choses. Une marque a tout à gagner à travailler avec des créateurs comme lui.

  • Speaker #1

    Je suis d'accord. Et un jeune qui démarre sur Snap aujourd'hui, j'ouvre mon compte Snapchat aujourd'hui.

  • Speaker #0

    Pour devenir créateur.

  • Speaker #1

    Pour devenir créateur, oui.

  • Speaker #0

    Spotlight, Spotlight, Spotlight. Pourquoi ? Parce que Spotlight, c'est pour tout le monde. C'est pour se faire découvrir. et Stories, c'est un peu plus pour parler à ses abonnés. Stories aussi. Mais n'hésitez pas à aller sur Spotlight et à poster sur Spotlight et ça va venir. Et surtout, tout simplement, faites du contenu. cool, de qualité et amusez-vous, clairement amusez-vous.

  • Speaker #1

    Il faut tester aussi. Il faut trouver son style, son ton et sa communauté.

  • Speaker #0

    Exactement, il faut trouver son ton. On parlait de Léna's situation, je sais qu'elle disait que maintenant elle veut sur Stories avoir l'impression que Snapchat c'est son plus, qu'elle emmène dans ses projets, à ses événements. Voilà, trouver sa ligne, trouver son ton et surtout rester authentique dans cette vie.

  • Speaker #1

    Est-ce qu'il y a une campagne ou une création faite par un créateur qui t'a marqué récemment ? À part Lena, on vient de parler de Marcus et Gaël. Difficile du coup. Est-ce que tu n'as pas un truc qui t'a vraiment bluffé où tu t'es dit, là, ils ont été très loin avec les outils ?

  • Speaker #0

    Il y a eu une campagne Rabanne que j'ai bien aimée à Doel avec des Lens où ils avaient fait appel à, je crois, 8 créateurs. Ce qui est intéressant avec cette campagne, c'est que 8 créateurs... Merci. différents différents taux pour la même marque pour le même brief et donc j'aimais bien ce côté un peu casting au même moment au grand moment exactement squad même moment pour un moment important comme noël en termes de ouais c'était super créatif j'ai

  • Speaker #1

    vraiment aimé et ça donne une dimension différente à la campagne parce que du coup tout le monde fait pas la même chose j'imagine ouais c'est ce que j'appelle ici l'orchestre en fait tu peux avoir nous nous en fait on se positionne un peu comme étant des chefs d'orchestre humblement qu'on est, mais en fait c'est de dire si on vous fait un casting de 10 talents chacun va jouer sa partition et à la fin l'expérience globale va être géniale parce que ça va donner une image différente de la campagne et ça je trouve que c'est moins fait en ce moment en plus je trouve, mais c'est plutôt original quoi, parce que ça a été différent c'était original,

  • Speaker #0

    c'était vraiment bien fait, et puis il y avait le ton pour chaque lanceur les résultats étaient évidemment au rendez-vous, donc c'était une belle campagne je trouve.

  • Speaker #1

    Super ! bravo aux équipes c'est pas moi qui l'ai faite c'est pas vrai donc bravo aux équipes on félicitera nos amis de chez Pooch ouais exactement et Julien qui nous écoute normalement je vais le féliciter c'est lui qui est en charge de ça bravo à lui avant dernière question si tu étais sur une île des airs quel film ou quelle série ou quel livre tu emmènerais avec toi ?

  • Speaker #0

    alors je suis un ancien journaliste donc ce sera clairement papier ce qui fait bizarre c'est bien c'est bien bon mais après ça peut être aussi du cinéma ouais Merci.

  • Speaker #1

    Tu n'auras pas de problème de batterie.

  • Speaker #0

    Exactement. Sur une île déserte, c'est quand même pas mal d'avoir plutôt un livre. Pas du tout, si c'est moi, pas Snapchat, si c'est à moi qu'on pose la question, j'ai quelques livres références que je garderai toujours avec moi. Il y a ce livre qui s'appelle « Les maraudeurs » de Tom Cooper. C'est un livre dans le Bayou, après la marée noire, BP, etc. Et en gros, on va suivre des personnages un peu haut en couleur, qui vont essayer de tirer tous parti d'une manière différente, positive ou négative à chaque fois, de ce qui s'est passé, soit pour reconstruire, soit pour... Ça, c'est un livre assez drôle, et du coup, je pense que ça me divertirait. Et puis pour garder aussi l'esprit, pour avoir aimé la belle littérature, la belle écriture, etc., je dirais Nickel Boys de Colson Whitehead. parce que c'est un super bouquin sur la résilience. Et je trouve ça fascinant. Mais je pourrais en parler plus tard.

  • Speaker #1

    Tu reviendras, on fera une émission littéraire. Avec plaisir. Et alors, dernière question, celle qu'on ne prépare jamais en général. Je te le dis d'avance. Une personne ou un créateur, j'imagine, que tu me recommanderais d'inviter ?

  • Speaker #0

    Malheureusement, j'en ai déjà cité.

  • Speaker #1

    C'était pas mal.

  • Speaker #0

    C'était pas mal. Je trouve que Marcus est un créateur assez... Je l'aime beaucoup parce qu'il est en univers. Il a vraiment créé ça. J'aime beaucoup ce qu'il fait. Il y a des créatrices comme Paley, comme Louise RGT, qui sont des créatrices que je trouve aussi qui appréhendent très bien la plateforme. Donc oui, je pense que... Il y a un bon panel.

  • Speaker #1

    On commence par Marcus alors ? Oui, on peut commencer par Marcus. Tout le monde est témoin. Jean-Philippe, tu dois nous faire venir Marcus. Tu pourrais lui faire une demande peut-être.

  • Speaker #0

    Je peux faire une demande.

  • Speaker #1

    À l'occasion. S'il veut venir. En tout cas, c'est vrai que c'est intéressant aussi d'avoir le point de vue des créateurs. Bien sûr. Parce que c'est vrai que moi ici, je reçois les marques et les créateurs et les plateformes. Mais en fait, tu as des attentes différentes, tu as des expériences différentes côté créateur. Et c'est assez intéressant à écouter parce que c'est du vrai learning, je trouve. pour les marques et pour les plateformes. Jusqu'à ce qu'elles disent ce qu'elles pensent. Du coup, c'est pas mal.

  • Speaker #0

    Ouais et ce que j'aime c'est que finalement tout ce qu'on dit ça vient surtout des feedbacks des créateurs. Quand je parle de super fans, ça vient vraiment des feedbacks des créateurs. Je donne un exemple concret. Je ne sais même pas si je peux en parler, mais j'ai un créateur. Non, non, si, je peux en parler. Il y a un créateur, je ne dirai pas son nom parce que je ne lui ai pas demandé, qui m'a dit il n'y a pas longtemps, mais Jean-Philippe, c'est génial parce que sur Snapchat, je peux manger du riz. Voilà. Et en fait, c'est drôle, mais j'ai compris en gros ce qu'il y avait derrière. C'est qu'en fait, il disait tout simplement qu'il pouvait vraiment raconter sa vie, qu'il pouvait vraiment être authentique et qu'il n'avait pas cette pression. Peut-être que sur d'autres plateformes, il aurait fallu que ce soit en magie, de canard parfait, etc. Là, l'idée, c'était de se dire, en gros, même en finissant backstage, en faisant du riz, j'arrive à échanger avec ma communauté. Donc, ça m'a fait marrer.

  • Speaker #1

    Merci beaucoup, en tout cas, pour cet échange. On en sait un peu plus sur Snap. même si on connaissait bien la plateforme quand même. Et puis merci pour notre échange, j'espère que ça t'a plu. C'était super. Voilà, donc à très vite. Merci beaucoup. Merci à toutes et à tous d'avoir écouté cet épisode. J'espère qu'il vous a plu, inspiré ou donné matière à réflexion. Le podcast est désormais aussi disponible en vidéo sur YouTube. Pensez à vous abonner à la chaîne pour ne rien manquer. Si l'épisode vous a plu, n'hésitez pas à le partager, à laisser une note, un commentaire et en parler autour de vous. Un grand merci à notre partenaire Légendes Internet, le média de référence sur l'influence et les créateurs de contenus. Pour échanger, vous pouvez me contacter sur LinkedIn en tapant Cyril Atias ou par mail à podcast.marketinginfluence.fr. À bientôt !

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