Description

Nouvel épisode Témoignage !

Stephen Alamo est le seul médecin français de l’Agence Spatiale Européenne (ESA).

Dans ce 1er épisode il nous raconte comment est ce qu’on devient médecin des astronautes!

De Paris où il a débuté ses études de médecine, à Toulouse où il intègre le service de médecine d’urgence et l’Institut de Médecine Spatiales (MEDES/ CNES), il nous raconte comment sa vie d’urgentiste a pu lui servir pour atteindre l’ESA à Cologne et le site d’entraînement de Thomas Pesquet et des autres astronautes européens!

Pour être prêt un rude entraînement sera réalisé en partie à Houston centre d’entrainement de la NASA.

Pour finalement devenir le médecin de Andreas Mogensen, astronautes Danois.

Il fera équipe avec un autre médecin : Alessandro Alcibiade.

Leur mentor: Adrianos Golemis.

Mais l’histoire commence quand?

Avec son papa, en bout de piste de l’aeroport d’Orly à ecouter la tour de controle, et avec une passion folle pour l’histoire spatiale internationale.

Un premier épisode qui nous ouvre les porte sur une 2eme partie dans laquelle il sera question de décollage de fusée en direction de l’ISS et de teleconsultation depuis l’espace !

Incroyable!

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Transcription

• Speaker #0

  C'est des souvenirs qui sont assez tendres de mon père. À l'époque, il y avait ce qu'on appelait les scanners. C'était les radios portatives sur lesquelles on pouvait écouter les pompiers, la police et surtout le trafic aérien. Et on partait en voiture et on faisait ce qu'on appelle maintenant du spotter. C'est les gens qui vont prendre en photo les avions au décollage ou à l'atterrissage dans les aéroports ou qui sont fans de ça, vont sur des aérodromes. Au bout des... Exactement, ou qui font beaucoup de meetings aériens et on fait du spotting mais sans vraiment être dans ce milieu-là c'est-à-dire qu'on part avec le scanner, on se met en bout de piste à Orly à l'époque où il y avait un tout petit muret, c'était pas sécurisé comme maintenant et à l'époque, je parle de l'époque où c'était Air Inter, AOM ces compagnies-là, et on se met en bout de piste et on regarde les avions décoller en écoutant le contrôle aérien donc depuis dans la voiture quand il faisait froid ou dehors quand il faisait beau et c'est des souvenirs comme ça, c'est de la transmission de passion