Speaker #0Il est minuit à Bali, l'heure de notre rendez-vous avec l'évolution naturelle. Un moment rien que pour vous, une pause, pour découvrir d'autres philosophies de vie, des modes de pensée différents. Minuit à Bali vous offre la possibilité d'explorer ce que nous sommes vraiment, de mieux comprendre ce qui nous anime, ce qui nous fait vibrer, aimer et avancer. Ce qui peut nous permettre d'être plus en équilibre, plus heureux. Je m'appelle David Mott, je suis accompagnateur en évolution naturelle, Master Coach certifié, mais je me définis plutôt comme un explorateur du vivant. Ce qui m'intéresse tout particulièrement, c'est le changement, celui que nous préparons ou celui qui nous surprend. Ensemble, nous allons dépasser nos limites, réinventer notre vie ou la vivre autrement. Parce qu'il n'est jamais trop tard de devenir la personne que vous avez toujours voulu être. Et c'est maintenant, quand il est minuit. Bye bye. Nous n'avons pas le temps. Nous n'avons pas le temps pour nous, nous n'avons pas le temps pour les autres, nous n'avons pas de... temps à gaspiller, tout est programmé, tout est préparé. Le temps est précieux, bien évidemment. Nous avons les emplois du temps chargés, que ce soit professionnel ou personnel, d'ailleurs. Et ce temps, nous le passons et nous le mesurons à faire des choses qui sont importantes. D'ailleurs, peut-être que vous écoutez ce podcast actuellement dans une salle de sport, peut-être, ou dans votre lit, parce que c'est le seul moyen d'écouter un podcast tranquillement, sans qu'on vous ennuie, ou alors en train de cuisiner, vous vous vous promenez, vous êtes dans un bus, dans un métro, mais vous faites encore une fois deux choses en même temps, parce que le temps est précieux, et que vous avez besoin de l'optimiser, comme on dit. Et pourtant, ce temps... Ce temps, eh bien, c'est là qu'il en est question dans ce podcast, mais à la manière japonaise. Un pas après l'autre, 1% de mieux chaque jour, et c'est ce que nous allons voir aujourd'hui, après avoir exploré ensemble le Ling Shi, le Kensugi, puis l'Ikigai. Je vous invite bien sûr à écouter ces précédents podcasts, il y en a 3 ou 4 je crois. Je vous invite maintenant à découvrir le moteur quotidien qui relie ces idées. entre elles, donc le linkshi, le kensugi, l'ikigai, et bien nous avons le kaizen. Ah, c'est un grand mot, le kaizen, et c'est une promesse aussi. Le mot kaizen, il vient de deux kanji japonais, le kai qui veut dire changer, transformer, et le zen qui veut dire bon, meilleur, vertueux. Donc le kaizen, et bien, ça signifie littéralement changer pour le mieux. Et cet épisode est très important, puisque ça va nous permettre de mieux comprendre comment changer sa vie, tout simplement, ou la vivre autrement. pas avec des bouleversements flamboyants ou pas des grands soirs, mais seulement une suite d'ajustements minuscules et constants. C'est le battement discret d'une horloge qui, à force d'avancer, finit par remodeler la pièce tout entière. Alors je fais l'introduction en vous parlant de ce temps qui file et qui est rapide. Et comme je l'ai dit dans les précédents épisodes, vous recevez un WhatsApp, il faut y répondre tout de suite. Un mail, il était hors de question de répondre une heure après. Après, ça va être compliqué, il faut s'organiser. Nous sommes dans la notion d'instantanéité. Nous voulons tout, tout de suite. Nous devons tous faire tout de suite avec ces nouvelles technologies qui sont autour de nous, qui nous facilitent la vie, mais aussi nous donnent des priorités différentes. Alors, le Kaizen, il vient d'où ? Cette approche est née dans les ateliers de Toyota. Juste après la Seconde Guerre mondiale, il y avait faute de moyens. On s'est impliqué à supprimer un gaspillage et à raccourcir un parcours, à lisser le geste chaque jour. Et 10 ans plus tard, la fiabilité japonaise surpassait le reste du monde. Donc vous voyez que Kaizen, ça date juste après la Seconde Guerre mondiale. Mais derrière les usines, il y avait une philosophie humaine. L'excellence n'était pas un exploit. Ça devait être une habitude. Chaque jour, compter. On disait dans cette volonté d'optimiser chaque geste qu'on pouvait faire dans cette usine, on peut toujours améliorer quelque chose. Et même un geste minuscule a de la valeur. Voilà la philosophie humaine du Kaizen, qui date encore une fois de la Seconde Guerre mondiale, juste après. Le Kaizen, c'est une discipline bienveillante qui permet de progresser sans se faire violence. Déjà, ça nous parle. Parce qu'effectivement, quand nous nous fixons des buts, nous voulons immédiatement avoir des résultats. Et tout de suite, on va le faire, on va se forcer, on va tout mettre, on va mettre le paquet. Et souvent, ça ne fonctionne pas. Voyons plutôt de près la philosophie du Kaizen à travers 7 principes fondamentaux du Kaizen. Le premier principe fondamental est le changement commence maintenant. Ça vous rappelle quelque chose, je suppose. Le changement c'est maintenant. Mais là c'est une réalité fondamentale du Kaizen, le changement commence maintenant. Pas demain, pas lundi, pas quand les conditions seront parfaites. Le Kaizen commence avec ce que vous avez là, là où vous êtes maintenant. Un seul geste, aujourd'hui, vaut mieux qu'un plan parfait jamais exécuté. Et ça, je pense que vous savez de quoi je parle. Le deuxième principe fondamental, c'est le progrès vaut mieux que la perfection. Le perfectionnisme est un poison pour l'action. Je l'ai souvent dit, les gens parfaits qui se croient parfaits sont souvent très ennuyeux parce qu'ils ne se remettent pas en question, ils ne réfléchissent pas à leur éventuel échec, ils sont focalisés sur la perfection, ce qui est une... Une direction qui n'est pas forcément la bonne pour optimiser le Kaizen. Donc le perfectionnisme est un poison pour l'action. Le Kaizen vous invite à faire un peu mieux, mais pas à être parfait, un peu mieux. Mieux vaut 1% d'amélioration. Je vous la refais, cette phrase. Le deuxième principe fondamental du Kaizen, c'est mieux vaut 1% d'amélioration par jour, bien sûr, que 100% d'idéal jamais réalisé. En troisième partie, nous avons la constance est plus puissante que l'intensité. Un exemple, vous faites 15 minutes de méditation par jour, et bien c'est plus transformant que 3 heures une fois par mois. Apprendre 5 mots d'anglais par jour vous rendra bilingue plus sûrement qu'un stage intensif oublié dans la foulée. La force tranquille, là aussi ça rappellera peut-être quelque chose pour les plus anciens, la force tranquille bat toujours le coup d'éclat. La constance est plus puissante que l'intensité. Le quatrième pilier du Kaizen, c'est l'environnement l'emporte sur la volonté. On parle souvent de cet environnement dans Minua Bali. Le Kaizen intègre l'idée que votre environnement doit soutenir votre intention. Oui, on ne résiste pas au frigo plein de sucre, et je suis le premier à ne pas résister. On ne médite pas dans une pièce bruyante, même si on peut le faire, bien sûr, mais ça ne va pas optimiser la méditation. Le Kaizen est aussi aménager l'espace. pour faciliter la discipline. Ça, c'est le quatrième point. Le cinquième, tout problème est une opportunité d'amélioration. Au lieu de voir un obstacle comme un échec, et je vous encourage à écouter l'épisode sur l'échec et la force de l'échec qui peut nous amener justement vers les réussites, le Kaizen vous pousse à vous demander. Que puis-je ajuster pour que ça fonctionne mieux demain ? Chaque erreur devient matière à apprendre. Pas de culpabilité, juste de l'observation et bien sûr un petit ajustement. Ok ? Tout problème est une opportunité. d'amélioration. Le sixième point, l'avant dernier donc, les petites victoires créent un grand élan. Ça doit vous rappeler des choses puisque nous le voyons dans beaucoup d'épisodes de Minuit à Bali, les petites victoires c'est important de les célébrer. Célébrer chaque avancée, même minuscule, renforce la motivation. Un Kaizen bien mené, bien organisé vous amène à ressentir de la satisfaction quotidienne. Pas à attendre le succès final comme une récompense lointaine. On dit souvent l'important c'est le chemin. Pas la finalité. C'est là que nous voyons que le chemin est déjà le résultat. Et pour finir, tout commence par une question simple. Le Kaizen ne commence pas par comment tout changer, mais par comment puis-je m'améliorer de 1% ou améliorer la situation de 1%. Qu'est-ce que je peux faire aujourd'hui que je ne faisais pas hier ? C'est une démarche modeste, mais terriblement puissante. Nous venons de voir les sept fondamentaux du Kaizen. Mais alors qu'est-ce qui n'est pas Kaizen en fait ? Puisqu'on vient de voir ce qu'était le Kaizen. Ce qui n'est pas Kaizen par exemple, ce n'est pas de la lenteur pour la lenteur. Le Kaizen, ce n'est pas un appel à la procrastination douce ou à la mollesse. C'est une discipline d'action continue, pas une excuse à ne rien faire. Ce n'est pas de l'auto-complaisance, puisque le Kaizen vous pousse à faire mieux, toujours, mais sans brutalité. Il remplace l'auto-flagellation par la responsabilité quotidienne. Et pour finir, ce n'est pas réservé aux entreprises. On pourrait penser en effet que c'est lié au management, à l'optimisation des gestes techniques, à une organisation différente qui permet d'optimiser les entreprises. Mais en fait, même si le Kaizen a été popularisé dans le monde industriel, ça s'applique aussi à la santé, aux relations, aux finances personnelles, à la spiritualité et à la créativité. Donc je pense que vous avez compris, à travers ces sept fondamentaux, ce qui était le Kaizen. Mais concrètement, comment l'appliquer dans son envie, son besoin de changer sa vie, ou d'évoluer naturellement vers quelque chose qui nous ressemble, et être en finalité la personne que nous avons toujours voulu être ? Nous l'avons vu à travers les autres épisodes, les épisodes précédents, qu'il y avait une possibilité de pouvoir évoluer, d'avancer, de sortir même de la procrastination. Comment pouvons-nous nous y prendre ? C'est l'objectif même de l'accompagnement que je vous propose pour changer sa vie ou la vivre autrement. Utilisez les différents leviers comme le Ling Shi que nous avons vu, le Kensugi qui va nous permettre de retrouver notre estime de soi, et comme les précédents très importants sur le Ikigai, cet épisode qui nous permet de comprendre l'importance de trouver ce qui donne de la valeur à notre vie, ce qui nous donne tout simplement envie de nous lever le matin. Eh bien... A ce propos, d'ailleurs, je fais une petite parenthèse, à ce propos, quand je parlais du Kigai, certains m'ont répondu, bah oui, ce qui me donne envie de me lever le matin, c'est mes enfants. C'est mon enfant qui me donne la motivation pour avancer. C'est super mignon, mais ce n'était pas la question. On parle bien de vous, de vos envies, de votre vie. Car si vous êtes bien en vous, en équilibre, vous serez forcément bien avec ceux qui vous entourent, au diapason. Mais ce n'est pas forcément le cas. Et si vous êtes décalé, triste, dépressif ou en mode sacrifice, ça ne marchera pas. Et même si vous vous réveillez le matin et vous levez le matin pour vos enfants, ils vont peut-être pâtir du fait que vous n'êtes pas en équilibre. Donc la recherche, elle est bien d'abord personnelle. Je vous propose donc de passer de la théorie à la pratique, de passer à l'action. Et comme je suis certain de pouvoir vous apporter un vrai accompagnement, je vous propose un premier entretien gratuit, une séance, juste pour faire le point sur vos envies, pour aligner vos envies avec des actions qui pourraient être mises en place pour les vivre. Car seule l'action peut permettre de passer du projet, de la simple envie, du rêve. parfois à quelque chose que vous allez pouvoir vivre vraiment. N'hésitez pas. Mais je ne vais pas vous laisser sans billet, sans pouvoir vous mettre en action par vous-même, si vous le souhaitez. Ce n'est pas le genre de la maison. C'est la raison pour laquelle nous allons voir ensemble les cinq piliers du Kaizen, que les Japonais ont décliné en cinq verbes d'action, les fameux cinq S. Je vous les raconte ici comme un petit chemin éclairé au lanterne. On va se faire ça de façon poétique. Vous y allez tout doucement, vous avancez tout doucement, pas à pas, en respirant ce parfum de sel et de jasmin qui flotte souvent sur les nuits balinaises. En tout cas, on y va. Cinq piliers pour avancer et pour essayer de se construire à travers ce caisson. Le premier s'appelle série, donc on va appeler ça trier. Et on va donc commencer par éclaircir le chemin. Tout ce que vous possédez, objets, fichiers, engagements, occupe un coin de votre conscience. Gardez l'essentiel. Donnez ou jetez le reste. Imaginez-vous vidant le sable superflu de vos poches. Vous marchez aussitôt plus léger. Enlevez un poids de vos épaules. Chaque semaine, vous choisissez trois éléments à éliminer sans regret. Très vite, l'air circule mieux autour de vous et en vous. Mais c'est donc de trier, de ne pas s'embarrasser de choses qui ne vous appartiennent pas ou qui ne vous appartiennent plus. On s'aperçoit très rapidement qu'il y a beaucoup de choses qu'on a stockées de façon matérielle, dans le garage, dans votre chambre, qui ne l'avez pas utilisée depuis des années. On va trier. Ensuite, deuxième pilier, ça s'appelle le seitan. Ça s'appelle ranger. Une place pour chaque chose. Chaque chose a sa place. Les rouleaux de la plage frappent toujours au même endroit. Eh bien, inspirons-nous de cette précision naturelle. Décidez qu'un chargeur, par exemple, un chargeur d'ordinateur, eh bien, vivra désormais dans le second tiroir. Qu'un dossier inbox recueillera systématiquement tout nouveau fichier. Qu'un carnet unique accueillera vos idées vagabondes. Il dure souvent, je vous conseille, je vous propose d'écrire vos idées sur un carnet. Eh bien, ça peut être un seul et même carnet. Quand l'emplacement est immuable, chercher, c'est plus un acte, vous gagnez de l'énergie créative pour ce qui compte. Donc, trier, et puis ensuite on va ranger. Mais on ne va pas s'arrêter là, parce que le troisième pilier, qui s'appelle Seiso, le troisième... C'est nettoyer. Nettoyer, ce n'est pas seulement rendre propre. C'est clore un cycle et signaler au cerveau qu'il peut tourner la page. Comment on fait ? Par exemple, le soir, avant de quitter votre espace, passez une petite lingette microfibre sur l'écran. Vous alignez vos stylos. Je pense à Manu qui adore aligner ses stylos. Fermez l'ordinateur. La surface dégagée agit comme un gong silencieux. À notre cerveau, ça nous envoie le fait que ce chapitre est terminé, cette journée est terminée, cette action est terminée. Le lendemain, vous revenez dans un décor neuf, prêt à accueillir l'effort suivant. On parle du bureau, on parle de la cuisine, on parle d'un endroit où à un moment donné... On va le nettoyer, on va le préparer pour le lendemain, pour que le lendemain, on puisse tout simplement être, même pas surpris, pouvoir commencer sa journée dans les bonnes conditions. Ça vous semble peut-être stupide, bête ou alors évident, mais c'est quand même un des, en tout cas le troisième pilier du Kaizen. Le quatrième s'appelle Senkensou, ça veut dire standardisé. Alors là, c'est important. Quand un micro-test fonctionne réellement, je donne un exemple. Le matin, par exemple, vous prenez un grand verre d'eau citronnée des lobes. C'est une bonne habitude. Ou alors, répondre au courriel en bloc de 20 minutes. Eh bien, si ça vous convient, vous gravez ça dans votre routine. C'est ce que j'ai mis en place de mon côté. Tous les matins, j'ai mis en place des petites habitudes, certains appelleront ça morning routine, mais je n'ai pas choisi des grands bouleversements que je vais devoir m'obliger à tenir et qui vont me demander une grande rigueur ou du courage, mais plutôt des gestes simples. Et au fil du temps, c'est devenu naturel, et ça me fait du bien, et ça me simplifie la vie. Collez ces petits changements sur un post-it, et puis ces nouvelles habitudes de vie, vous allez les mettre sur le frigo. Voilà. Programmez-les dans un agenda si elles doivent se réaliser sur votre lieu de travail. Automatisez une alarme et... Le mois venu, révisez vos standards. Certains auront besoin de relever, d'autres abandonner. Le Kaizen ne fige rien. Il conserve le meilleur provisoire jusqu'à la version suivante. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que vous pouvez mettre en place des réflexes du matin, une petite gym de 5 minutes, de 10 minutes, mettre des crèmes, pourquoi pas, ou ranger la chambre de vos enfants le matin. Ou alors, je ne sais pas, vous pouvez imaginer des routines simples. Mais si ça ne convient pas, si vous n'arrivez pas à le faire, vous vous en changez. Vous en gardez certaines et d'autres, vous pouvez les prolonger. Au lieu de faire 5 minutes de gym, vous en faites 10 minutes. Mais toujours en gardant cette idée que cela soit naturel, pour que ça soit standardisé. compris par le cerveau, rappelez-vous des épisodes sur l'inconscient qui sont très importants, là aussi c'est au tout début du podcast de Minua Bali, vous allez trouver une série de trois épisodes sur l'inconscient. L'inconscient lui, il est feignant, donc on va lui proposer des choses simples qu'il va pouvoir accepter. Le cinquième et dernier pilier, le shiksuk, qui signifie discipliner. La volonté est un muscle qui se fatigue. L'habitude, elle, tient lieu de pilote automatique. Vous ancrez vos nouveaux gestes à des repères fixes. Après le café, vous videz l'inbox. Après votre séance sportive, vous notez trois microsuccès. Puis vous surveillez la chaîne. Un jour raté n'est rien. Deux d'affilé, ça ouvre la brèche, ça pique un peu. Rappelez-vous, la régularité imperceptible déplace plus de montagnes que l'enthousiasme ponctuel. OK. Vous faites du sport le matin, 5 minutes, 10 minutes, le lendemain, 5, 10 minutes. Mais par contre, vous continuez et vous êtes régulier. Inutile de faire une demi-heure tous les jours si vous ne le sentez pas. Vous faites 5, 10 minutes. Et puis si vous loupez une journée, OK, c'est un jour raté, c'est rien. Mais deux d'affilé, ce n'est pas acceptable, en tout cas pour vous. Parce que sinon, ça ouvre une brèche. Aimez-vous, faites-vous plaisir en faisant ces petites routines parce que le plaisir est important et que là aussi votre inconscient appréciera que vous preniez plaisir. Le Kaizen, c'est le carburant de votre Ikigai. Nous l'avons vu, cet Ikigai, lors de l'épisode précédent. Nous avons cartographié votre Ikigai, ce lieu où se rencontrent ce que vous aimez, ce pour quoi vous êtes doué, ce dont le monde a besoin et ce pour quoi vous êtes doué. on peut vous rémunérer mais sans direction le caïzen vous fera certes avancé mais n'importe où aligné sur votre guillaume et bien ça devient une fusée à propégole l'en un carburant lent intérêt interrogez-vous donc chaque à chaque micro amélioration ok m'emmène-t-elle vers mon nord nord-intérieur. Mon ikigai, si vous préférez. Si la réponse est non, supprimez, simplifiez ou déléguez. Et si c'est oui, eh bien, doublez la mise. J'ai envie de vous proposer un défi pour terminer ce podcast. Attention, le défi de Minua Bali. Un grain de sable en moins, un pas de plus. Je vous propose deux expériences, là, tout de suite. Je vous propose un défi de 24 heures et un défi de 30 jours. Nous avons vu les cinq piliers. Je ne vais pas vous les renommer, remontez dans le podcast si vous le souhaitez. Choisissez un des cinq piliers. Par exemple, trier, ranger, et accomplissez une action de moins de 10 minutes avant demain minuit. Ok ? Peut-être trois mails à supprimer, peut-être un tiroir à organiser, peut-être votre première alarme au citronné à mettre en place. Mettez en place une petite routine. Défi 24 heures. Choisissez un des cinq piliers et accomplissez une action de moins de 10 minutes avant demain minuit. C'est clair pour vous ? Choisissez un des cinq piliers. Ça, c'est votre premier défi. Défi 30 jours. Vous sélectionnez un domaine. Finance, forme, santé, créativité, ce que vous voulez. Et vous engagez à une micro-action quotidienne. OK ? 35, 30 croix. Une petite victoire appelle la suivante. C'est mathématique et presque magique. Je vous donne un exemple. Ça fait longtemps que vous n'avez pas pris soin de vous en termes de sport, par exemple. C'est un exemple. Eh bien, vous dites que tous les matins, vous ferez 5 minutes. 5 minutes, tous les matins. Pendant 30 jours. Je ne vous demande pas de faire, rajouter une minute de plus, deux minutes de plus, cinq minutes tous les matins et vous vous y tenez. C'est le principe de l'eau citronnée. Tous les matins, vous pouvez vous dire, je boirai tous les matins un bon verre et sans plus. Excellent pour la santé de boire de l'eau, de l'eau minérale. Enfin, avec les problèmes qu'il y a avec l'eau minérale en ce moment, prenez de l'eau filtrée, pourquoi pas. Mais vous vous dites tous les matins, je prends de l'eau et puis tiens deux oméga 3 avec et je m'y tiens et tous les jours, je le fais. Voilà. Défi 24 heures, vous choisissez un des cinq piliers et vous accomplissez une action de moins de 10 minutes avant demain minuit. 24 heures, ça va. Et puis le défi 30 jours, là, ce n'est pas compliqué. Vous choisissez un domaine, finance, forme, créativité, autre chose. Et vous engagez à une micro-action quotidienne. 30 cases, 30 croix. Ne vous mettez pas un challenge que vous ne pouvez pas relever. C'est juste des petites victoires qui appellent la suivante. Allez. Comme je vous sens chaud bouillant, chaud patata, je vais même rajouter un défi. Arrêtez de réfléchir, de mentaliser, en attendant qu'une lumière blanche apparaisse du ciel pour vous parler et vous donner l'ordre d'avancer. Envoyez-moi un message. Et parlons ensemble de votre chemin, de votre ikigai et passons à l'action. Je vous rappelle, la première séance est gratuite. Il n'y a aucun engagement. Parlons-en ensemble. Passez à l'action, c'est aussi laisser des commentaires sur Facebook, vous le savez. S'abonner pour ne pas manquer les prochains épisodes. Écoutez les épisodes sur le Lingxi, le Kensugi et l'Ikigai. C'est important, ça peut vraiment transformer votre vie, en tout cas la changer. Ils sont juste avant cet épisode. Ou s'il vous a besoin d'un booster supplémentaire, des choses que vous n'avez pas forcément compris, des choses inconscientes que vous n'avez pas compris, vous pouvez aussi écouter les épisodes 31 et 32, et 33 sur le syndrome de l'imposteur. Il n'y a pas longtemps que je les ai faits. qui peuvent justement vous permettre d'avancer ou de vous mettre en action. Car tout est là. L'action. Souvenez-vous, plus 1% aujourd'hui vaut mieux que 100% rêver mais jamais réaliser. Avancer d'un pas, puis de deux. Tout doucement, mais pour de bon. C'est bien ça l'esprit de ce podcast pour changer sa vie ou la vivre autrement. Bonne nuit, ou pour lever le soleil, je ne sais pas à quel moment vous m'écoutez. Bonne journée tout simplement, et on se retrouve très vite quand il sera minuit à Bali.