Speaker #0Tu t'es déjà demandé quel rôle jouait l'alcool dans ta vie ? Peut-être que c'est ton allié pour décompresser après une journée de merde, ton compagnon de fête, ou juste ce petit truc qui traîne dans ton frigo juste au cas où. Mais est-ce que tu t'es déjà demandé si ce verre te faisait vraiment du bien ? Ou si c'était juste une habitude bien installée ? Après un an sans alcool, j'ai découvert des trucs dingues. Spoiler alert, mon anxiété a pris une baffe et mon cerveau de TDAH a kiffé. ma vie sociale n'a pas implosé. Eh si, c'est possible. Dans cet épisode, je te propose d'explorer ton rapport à l'alcool sans pression ni moralisation. Alors, attrape ton verre de pétillante ou tentez glacé, soyons fous et reste avec moi. Bienvenue dans Mission Anxiété Zéro. Ici, c'est ton safe space sans langue de bois dans lequel je vais t'aider à questionner tes automatismes émotionnels. Moi, c'est Sandra, je suis sophro-analyste et ma mission, c'est d'accompagner mes clients à prendre soin de leur bien-être mental pour être plus heureux, mieux concentrés et mettre plus de sens dans leur quotidien. Alors si toi aussi, tu cherches des solutions concrètes et actionnables pour gérer tes émotions et mettre ton anxiété à zéro, installe-toi, tu es au bon endroit. Bienvenue dans ce quatorzième épisode de Mission Anxiété Zéro. Aujourd'hui, on parle d'un sujet qui m'a tenu à cœur au cours de l'année écoulée et que j'ai expérimenté, du coup, en 2024, l'impact de l'alcool sur l'anxiété et la santé mentale. Mais avant tout, petite mise au point, ce n'est pas un épisode pour te dire de tout arrêter ou de te lancer dans un défi fou, mais plutôt une invitation à poser de la... conscience sur ton rapport avec l'alcool. Que ce soit d'ailleurs l'alcool ou toute autre substance addictive, que ce soit la cigarette, le sucre ou d'autres drogues. Pendant un an, j'ai fait une pause totale avec l'alcool. C'était pas une pause intentionnelle à la base, mais j'étais curieuse de voir ce qui se passerait. Je voulais savoir si ça apporterait quelque chose à ma vie et juste observer. comment mon corps, mon esprit et ma relation avec moi-même et les autres allaient évoluer. Et laisse-moi te dire que j'ai eu des surprises. Alors, dans cet épisode, je vais te partager ce que j'ai appris, les bénéfices que j'ai observés, mais surtout te donner des clés pour mieux comprendre ton propre rapport à ta consommation d'alcool ou d'autres substances. Aujourd'hui, on va explorer ensemble pourquoi et comment l'alcool peut influencer ton anxiété, les petites habitudes, ou automatisme qu'on ne voit pas forcément, et surtout, ce que ça pourrait changer dans ta vie si tu consommais différemment, que ce soit moins pareil ou pas du tout. Si tu es prêt à explorer tout ça avec moi, on démarre avec mon retour d'expérience après un an de sobriété. J'ai pris la décision d'arrêter l'alcool pendant un an. Pas parce que je pensais en consommer de façon problématique, mais parce qu'à la base, j'ai une prise de conscience en soirée avec des personnes que je fréquentais depuis longtemps. Et alors que j'ai une consommation d'alcool plutôt... Enfin, que j'avais une consommation d'alcool plutôt raisonnée, d'ordinaire, pendant la soirée, je me suis demandé pourquoi je buvais autant ce soir-là. D'abord, je me suis raconté à moi-même que c'était parce que ça faisait longtemps, qu'on ne s'était pas tous retrouvés, que j'étais contente de les voir. Mais je me suis vite rendu compte que pas du tout, en fait. Je m'ennuyais comme ce n'était pas permis. Parce que même si j'étais contente de voir que tout le monde allait bien, je me suis aperçue que mes choix de vie personnelle des dernières années m'avaient totalement éloignée de ces personnes, et qu'on n'avait plus grand-chose en commun. Tellement plus rien en commun, en fait, que je buvais, parce que cette soirée, pour moi, était super, super, super ennuyeuse. Donc ok, je suis rentrée chez moi en me disant que c'était quand même pas à moi de me faire du mal à mon corps pour m'adapter à quelque chose, en fait, qui... qui ne me fait pas du bien et qui n'est pas bon pour moi. Et je me suis dit, ok, je ne boirai plus que pour les grandes occasions. Sauf que ça ne s'est pas passé comme j'avais espéré. Lorsque la grande occasion est arrivée quelques mois plus tard, mon corps a eu une réaction lorsque j'ai porté mon verre de vin à mes lèvres et mes mâchoires se sont crispées au moment où le verre a touché mes lèvres. Mes mâchoires se sont crispées, ma bouche était bloquée, fermée et je pouvais simplement... pas apporter le verre, il ne pouvait pas entrer dans ma bouche, ma bouche ne s'ouvrait pas. Et ça s'est reproduit à chaque fois que j'ai voulu tenter de boire de l'alcool ensuite. Donc, je n'ai pas vraiment compris pourquoi ça arrivait, mais j'ai simplement décidé d'écouter ce que me disait mon corps. Je ne savais pas combien de temps ça allait durer, mais je me suis dit, ok, il n'en veut pas, c'est tout. on ne boira pas ou on ne boira plus. Même si je n'ai aucune idée de combien de temps ça va durer. J'étais un peu déçue, parce que je n'étais pas une grande consommatrice d'alcool, mais du coup, je pensais que ça rendrait les grandes occasions encore plus spéciales. C'était un peu comme, je ne sais pas, fumer le calumet de la paix. Mais je me suis dit, bon, c'est tout. Ok, on arrête de boire complètement, écoute ton corps. Mais alors, profites-en pour mettre l'expérience à profit et observe. Ce que j'ai pu en voir, en tout cas, c'est qu'avant d'arrêter l'alcool, je pensais que ma consommation n'était rien de bien méchant. Et c'est vrai que je ne buvais pas assez pour que cela ait un impact physique évident. En revanche, sur la partie mentale et sur la gestion de mon TDAH, c'était une autre histoire. D'abord, il y a eu les lendemains de veille, enfin les lendemains de fête. Avec un cerveau TDAH qui a tendance à s'embrouiller et à manquer de clarté, déjà les matins normaux, ces matinées post-alcool étaient un véritable cauchemar. Mon cerveau était vraiment comme en défaut de mode et incapable de se fixer sur quoi que ce soit. Je pouvais littéralement passer des heures à errer chez moi en attendant que le câblage décide de bien se rebrancher à l'endroit où il faut, peut-être dans quelques minutes, quelques heures. C'était vraiment terrible. Mentalement, c'était... bloqué avant de pouvoir enfin retrouver un semblant de concentration plusieurs heures plus tard. Et puis, il y avait ce que je ressentais pendant que je buvais aussi. C'est-à-dire que dès que je sentais, ce n'était pas le moment où j'étais ivre, mais déjà au premier verre, tu sais, cette sensation-là, quand tu sens que tu bois de l'alcool, j'ai remarqué en ne buvant plus. Mais ça m'a fait prendre conscience, en buvant des choses sans alcool par la suite, dans les mêmes moments, que j'avais une vague d'anxiété qui arrivait, qui s'installait assez insidieusement lorsque je consommais de l'alcool, dès le premier verre. Ce n'était pas nécessairement une anxiété liée à un événement ou à une situation précise, mais c'était une espèce de mal-être diffus et irrationnel, parfois accompagné de pensées négatives. voire potentiellement dangereuse pour moi-même aussi dans certains moments, qu'il n'y avait aucune raison d'être là en fait. C'était comme si la simple présence d'alcool dans mon organisme amplifiait les bugs de mon cerveau. Et avec un TDAH, où l'esprit est déjà parfois un tourbillon de pensée, cette anxiété supplémentaire rendait tout encore plus laborieux. L'alcool désorganisait encore plus mes... mes réflexions et me rendait incapable de poser des actions alignées ou constructives. Alors que je ne buvais vraiment pas régulièrement, je pense que je devais avoir une consommation autour de quelques verres une fois tous les mois, mois et demi, ou tous les deux mois, ça dépendait. J'avais une consommation vraiment très décousue à l'époque. Mais pour le peu que je consommais, je ressentais déjà un effet néfaste sur les symptômes du TDAH, mais je n'en ai réellement pris conscience. que lorsque j'ai arrêté ma consommation d'alcool et que j'ai pu comparer à ce moment-là que ce genre de pensée ou d'embrouille n'arrivait plus quand je buvais de l'alcool ou sur les lendemains de fête. Donc depuis que j'ai arrêté, j'ai retrouvé de la clarté mentale que je ne savais même pas que j'avais perdue, puisque je n'avais même pas pris conscience du dysfonctionnement avant d'arrêter et de pouvoir comparer. Mon cerveau est plus calme, je le sens plus stable aussi et moins enclin à ces épisodes d'anxiété ou de pensées qui partent dans tous les sens et rarement en positif. Donc surtout, je n'ai plus cette impression d'être déconnectée de moi-même ou de mes priorités. Et ça m'a aidée à mieux comprendre mon TDAH et à le gérer de façon plus sereine. Et c'est certainement pour ça que sur l'année 2024, j'ai été beaucoup mieux concentrée. Sur mon travail, j'ai beaucoup mieux performé dans mes projets. Et alors, je ne dis pas que tout est grâce au fait que j'ai arrêté de consommer de l'alcool. Ça, je ne pense pas parce que j'en consommais vraiment trop peu que pour qu'il n'y ait que ça. Mais je me rends compte que j'ai supprimé un facteur qui m'était délétère, en fait, sans même que je m'en rende compte. Alors, j'ai réalisé que l'alcool, même en petite quantité, pouvait influencer mon humeur. ma productivité et ma gestion des émotions, mais aussi ma capacité à prendre les bonnes décisions dans certains moments. Je me suis rendue compte de mes comportements automatiques aussi. Par exemple, je me suis surprise pendant un match de la NFL Et machinalement, je m'étais levée pour aller chercher une bière dans le frigo. Bière dont je n'avais absolument pas du tout envie, mais c'était vraiment un automatisme. Et ça s'est fait tout seul. Je n'y ai même pas pensé, en fait. Moment de pub, et je me vois me lever et puis me diriger vers le frigo. J'en ai beaucoup ri, mais je me suis dit, les automatismes, des fois, peuvent faire quand même des choses assez étonnantes sans qu'on s'en rende compte. Et puis... Bière que j'ai remplacée par une version sans alcool. J'ai aussi observé que la consommation d'alcool, c'était aussi pour moi un moyen d'aller chercher de la désinhibition sur les sujets sensibles. Et que le fait de ne plus en boire, ça m'a obligée à prendre les sujets sensibles à bras-le-corps, sans chercher à me débarrasser du sujet ou à l'expédier dans un état de demi-conscience. sans le regarder réellement en face et totalement, et en assumant pleinement mes pensées. J'ai dû apprendre à faire ça, clairement à aller jusqu'au bout des situations ou des choses à dire qui n'étaient peut-être pas agréables ou qui étaient peut-être difficiles, et de les assumer totalement, et de prendre encore plus mes responsabilités et mes décisions de façon totalement consciente face à une situation. Alors on a vu comment l'arrêt de l'alcool... peut aider à mieux gérer l'anxiété et le TDAH. Mais parlons maintenant de pourquoi ça arrive. Quels sont les liens entre l'alcool et l'anxiété et pourquoi l'alcool, qu'on associe souvent à la détente, peut en réalité amplifier notre mal-être mental ? J'ai fait mes petites recherches et voici ce que j'ai trouvé sur les liens entre l'alcool et l'anxiété. Premièrement, l'alcool a un effet trompeur sur l'anxiété à court terme. L'alcool est souvent perçu comme un moyen de réduire le stress en raison de ses propriétés sédatives et dépresseurs du système nerveux central. Mais initialement, il peut diminuer les peurs et les soucis, oui, en offrant une sensation temporaire de relaxation, oui, sauf que sur le long terme, ça ne fonctionne pas ou ça ne fonctionne plus. Donc l'alcool aggrave l'anxiété à long terme, parce que bien qu'elle puisse offrir ce soulagement momentané, et excessives va en réalité favoriser et aggraver l'anxiété et la dépression. Et donc, si l'alcool peut être perçu comme un remède à court terme, ça va se transformer en poison à long terme. Alors ça, c'est des infos que j'ai trouvées, entre autres, sur Alcool Info Service. Il faut savoir aussi que l'anxiété est amplifiée par l'effet rebond. Qu'est-ce que ça veut dire ? Une fois que les effets relaxants de l'alcool se sont dissipés, le cerveau peut subir une phase de compensation qui va entraîner une augmentation de l'anxiété et des pensées négatives. C'est un phénomène qu'on appelle aussi parfois le anxiety L'alcool, en modifiant l'équilibre chimique du cerveau, va ou peut engendrer des sentiments d'anxiété lors de la période de dégrisement. Sur le cycle alcool-anxiété, utiliser l'alcool pour atténuer l'anxiété sur le long terme, ça va créer un cercle vicieux. Je dis sur le long terme, mais il faut savoir que c'est un long terme qui peut arriver beaucoup plus rapidement, sur une durée beaucoup plus courte dans le temps que ce qu'on peut imaginer. Bien que l'alcool puisse réduire les peurs et les soucis, ou du moins nous donner cette impression, une consommation régulière et excessive va en réalité favoriser et aggraver l'anxiété et la dépression. Et sur un cerveau TDAH, je parle du cerveau TDAH parce que c'est le cas... que je connais le mieux puisque c'est celui qui me concerne. Mais il faut savoir que tous les cerveaux neuroatypiques sont encore plus sensibles à l'alcool et que les personnes atteintes notamment du TDAH peuvent être plus vulnérables aux effets de l'alcool. Et l'impulsivité et les troubles du système de la récompense qui caractérisent les personnes avec un TDAH, ça rend les individus avec un TDAH plus susceptibles de consommer de l'alcool. Et ça va venir augmenter le risque d'accoutumance et des troubles autour de l'usage de l'alcool. J'aimerais que tu prennes le temps de te poser ces quelques questions pour t'aider à réfléchir à ton propre rapport à l'alcool. Pas pour te culpabiliser, mais pour te permettre de prendre un peu de recul. Parce que quand on sait que 1 décès sur 20 en Europe est lié à l'alcool, c'est important de comprendre ce qu'on consomme, pourquoi on le fait. Et si c'est vraiment aligné avec ce qui est bon pour nous ? Trop souvent, on reste dans le déni où on normalise sa consommation sans même s'en rendre compte. Alors ces questions, encore une fois, elles ne sont pas là pour te juger ni pour te faire la morale. T'es assez grand, tu sais ce qui est bon pour toi. Elles sont plutôt là pour te guider vers un peu plus de clarté. Et je t'invite vraiment à prendre un moment pour y répondre honnêtement et comprendre ce que ça te dit sur toi-même. Pourquoi est-ce que tu consommes de l'alcool ? Est-ce que c'est pour te détendre ? Est-ce que c'est pour te sociabiliser ? Est-ce que c'est pour fuir quelque chose, une situation ou une émotion ? Prends le temps de comprendre le pourquoi. C'est vraiment une étape clé. Et de comprendre, est-ce que alors c'est nécessaire pour cette raison de consommer de l'alcool ? Oui ou non ? Ça, il n'y a que toi qui peux répondre à cette question, naturellement. C'est pour ça que je t'encourage à y réfléchir. Qu'est-ce que ça t'apporte vraiment ? Demande-toi, est-ce que l'alcool améliore vraiment ta vie ? Ou est-ce que c'est devenu une habitude automatique ? parfois, ce n'est pas toujours simple de trouver la réponse à cette question parce que la ligne entre les deux, des fois, est vraiment très mince. Et c'est important, quand tu réponds à ces questions, que tu restes gentil avec toi-même. Parce que le but, ce n'est pas que tu viennes à te juger, mais vraiment que tu comprennes. Et la dernière question que j'aimerais que tu te poses, c'est qu'est-ce qui changerait si tu consommais moins d'alcool ou plus du tout ? Ce n'est pas une injonction, en aucun cas. Mais c'est une simple invitation à explorer ce que l'alcool représente toi et si ça te convient. Un peu comme je te disais tout à l'heure, quand je te donnais l'exemple que, à force de ne plus boire et de trinquer sans alcool, je me suis rendu compte que ce sentiment d'anxiété, avec des émotions désagréables qui arrivaient sans vraiment que je comprenne pourquoi, même quand il n'y avait aucun rapport, avait disparu. Et ce qui m'a fait complètement un bien fou, mais je n'aurais pas pu en prendre conscience si je n'avais pas fait le test d'essayer de moins boire. Et si, en écoutant cet épisode, tu t'es rendu compte que tu te posais des questions sur ton rapport à l'alcool, à l'anxiété, et sur d'autres comportements automatiques qui influencent ton bien-être, sache que tu n'as pas à être seul pour traverser ça. Avec mon accompagnement Mission Anxiété Zéro L'Antidote, je t'accompagne de près pendant 4 mois pour t'aider à trouver ton autonomie émotionnelle. Cet accompagnement hybride combine des séances de thérapie hebdomadaire personnalisées et un programme en ligne structuré pour t'apporter à la fois la théorie et les outils nécessaires à ta transformation en thérapie. On avance ensemble, semaine après semaine, pour explorer les sources profondes de ton anxiété, décoder les signaux de ton corps et t'aider à retrouver un équilibre émotionnel durable. Si tu veux en savoir plus ou simplement faire un point sur ce que tu traverses, je t'invite à réserver ton appel découverte. gratuit. Cet échange est sans engagement et c'est l'occasion de poser tes questions et de repartir avec des pistes concrètes pour avancer. Tu trouveras le lien dans la description de cet épisode. Pour résumer, même si mon année sans alcool m'a apporté plus de clarté, moins d'anxiété et un meilleur équilibre, je suis pas là pour te dire quoi faire. Mon but encore une fois est de t'aider à te poser des questions sur ton propre rapport, que ce soit à l'alcool ou à n'importe quelle autre substance addictive. Que ce soit la cigarette, le sucre, les drogues ou n'importe quelle autre substance qui peut potentiellement être toxique pour toi. Il n'y a rien de bien ou rien de mal. Souviens-toi que ce qui est important, c'est juste de comprendre pourquoi tu le fais. Changer ta consommation n'a pas besoin d'être radical. Même de petites prises de conscience et des petites décisions peuvent déjà avoir un impact positif sur ton bien-être mental. Viens me raconter sur Instagram. ou LinkedIn ce que cet épisode t'a inspiré comme réflexion. Je suis déjà super curieuse d'entendre ton retour d'expérience. Nous voilà déjà à la fin de cet épisode et j'espère qu'il aura semé des graines de réflexion bienveillantes en toi. Si cet épisode t'a plu, je serai gratitude que tu me laisses 5 étoiles sur ta plateforme d'écoute préférée. Et pense aussi à t'abonner pour t'assurer de ne rater aucun des prochains épisodes. Pour apprendre à gérer tes crises d'anxiété comme un sophro-analyste, n'oublie pas de télécharger gratuitement ton patch Anxiété Zéro via le lien en description de l'épisode. D'ici le prochain épisode, je te souhaite le meilleur et n'oublie pas, quoi que tu traverses, tu n'es pas seul.