Transformer un métier passion en business durable dans l’automobile ft. Bertrand Petremont | Moteur & Marketing

Description

L’Essence de l’Automobile : comment créer un showroom rentable sans perdre l’âme et la passion.

Dans cet épisode de Moteur & Marketing, Vivien reçoit Bertrand Petremont, fondateur de L’Essence de l’Automobile, un showroom chaleureux et singulier qui mêle voitures de collection, artisans français, œuvres d’art et passion brute.

Après 25 ans d’expérience dans l’après-vente auto chez Volkswagen, Peugeot, SEAT, Porsche, Honda ou Audi, Bertrand a décidé de quitter les process lourds pour créer un lieu où convivialité, transparence et plaisir reprennent toute leur place.

Ce showroom n’est pas qu’un espace de vente.
C’est un lieu de vie, un endroit où chaque voiture, chaque objet et chaque artiste raconte une histoire.
C'est finalement un modèle qui fonctionne : acquisition intelligente, communauté engagée, présence terrain, presse, partenariats et rassemblements réguliers.

Vous découvrirez :

• Comment il a transformé 25 ans d’expérience en un modèle de showroom fondé sur l’humain et la passion.
• Son ADN business : convivialité, transparence, sélection rigoureuse et storytelling autour de chaque véhicule.
• Ses piliers d’acquisition : site web travaillé, réseaux sociaux, dépôts-ventes, événements et présence terrain chaque week-end.
• Pourquoi la presse et les médias viennent régulièrement chez lui et ce que cela apporte réellement.
• Son écosystème de partenaires : services, artisans, artistes et comment il les sélectionne.
• Sa vision de la passion automobile et du rôle des jeunes générations dans le marché collection/timer.

Un épisode riche, humain et authentique pour comprendre comment on peut vivre de l’automobile passion, tout en construisant un business durable, cohérent et profondément ancré dans le partage.

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Partenariat, sponsoring : rejoignez l’aventure dès maintenant : contac@apmf.agency
Nouvel épisode toutes les deux semaines : abonnez-vous pour ne rien manquer.

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

Speaker #0
Alors, salut Bertrand. Merci déjà pour ton accueil dans ton super showroom dont on va parler. Bertrand, tu as plus de 25 ans d'expérience dans l'automobile, si je ne dis pas de bêtises.
Speaker #2
À peu près, oui, effectivement.
Speaker #1
Est-ce que tu pourrais nous raconter un peu ton parcours pro ? Et surtout, comment est-ce que tu es venu à fonder le showroom dont je vais te laisser donner le nom ?
Speaker #2
Tout d'abord, je vais me présenter. Je m'appelle Bertrand Petremont. Je suis le fondateur de l'essence de l'automobile. c'est une boîte qui est aujourd'hui à peu près un petit peu plus de trois ans et demi. Donc ça, c'est la finalité finalement du jour. Mon parcours scolaire déjà, parce qu'en fin de compte, avant d'avoir une expérience professionnelle, à proprement dire, on a une expérience scolaire. J'ai fait mes études autour de l'automobile au Garak, l'École nationale des professions de l'automobile et du motocycle à Argenteuil. j'ai fait un cursus de 6 ans ans là-bas, du CAP au BTS, 4 ans mécanique auto, CAP, BE, EBEC Pro, et un BTS, assistant de gestion, PME, PMI, options automobiles, donc tout ça dans le cadre de ce lycée professionnel qui est axé à 200% sur les métiers de la mobilité maintenant, mais surtout les métiers de l'automobile à mon époque. sortie de l'école j'ai fait Comme il se devait, un service national qui m'a servi beaucoup, parce que finalement, je suis retourné à la caisse outil, et j'étais mécanicien à la police de Paris, et je réparais les voitures de police pour la préfecture de police de Paris. Donc j'ai fait ça pendant neuf ans. mois, enfin 8 mois exactement, et donc ça m'a permis d'en retrouver un petit peu mes premières armes de mécanicien qui me manquaient, et ça fait du bien de retourner un petit peu à la caisse à outils et de retrouver toutes ces odeurs, ces sensations, et puis de remettre les mains un peu dans le cambouis. Sorti de là, j'ai été réceptionnaire, alors je me suis tout de suite dirigé finalement sur le côté réception. de l'après-vente puisque le côté après-vente était ma formation de base et je souhaitais vraiment accompagner les clients autour du commerce de l'après-vente conseil et donc accueillir et puis diriger finalement les clients qui déposaient leur véhicule à l'atelier pour recueillir les... les pannes, les plaintes clients autour de leurs autos. J'ai fait ça quelques années. J'ai commencé chez Volkswagen. J'ai fait ça pendant un an. Puis, je suis parti assez rapidement et j'ai rejoint la maison Peugeot. La maison Peugeot, je suis resté chez Vauban, le groupe Vauban Automobiles, qui n'avait que Peugeot à l'époque. et je suis resté 4 ans à peu près tout seul. gérer une petite agence Peugeot à Bougival, où j'étais avec trois mécaniciens et puis moi, et je gérais le magasin, la réception, les commandes, enfin j'étais vraiment complètement autonome, et c'est ce qui m'a permis finalement d'accumuler énormément d'expérience autour de l'après-vente automobile et de la gestion. d'un commerce. Et ça, ça m'a vraiment beaucoup plu puisque j'étais vraiment multicarte et c'est ce qui m'a permis vraiment de m'éclater dans mon travail. Et mon patron, enfin mon ancien patron, qui était Olivier Oussard, qui est toujours président du groupe Vauban d'ailleurs, a tout de suite compris mes... Comment j'étais câblé et finalement m'a bougé assez rapidement de poste pour éviter que je m'ennuie. Parce que dès l'instant où j'étais en position de confort, je m'ennuyais, il fallait que je retrouve ce que j'appelle une certaine... Alors un certain challenge, mais une certaine aussi anxiété pour que je sois dans mon milieu. et la zone de confort voilà donc tous les 2-3 ans Il me bougeait de poste et de site pour justement m'alimenter en ce sens. Donc j'ai fait pas mal de sites pour le coup, pour le groupe Boban. Donc Bougival, j'ai commencé, après j'ai fait Chambourcy, Les Mureaux. Chambourcy, les Mureaux, j'ai fait un peu mon tesson, j'ai fait pas mal de sites, pas mal de postes aussi, et j'ai fini chez eux par la création du premier site autre marque que Peugeot, avec l'ouverture et la création du site Seat à Chambourcy. Donc je suis retourné dans la famille Volkswagen, puisque Seat fait partie du groupe Volkswagen, Et donc là... J'ai ce que j'appelle retrouvé mes premières armes tout en gérant une ouverture des process extrêmement importants et lourds chez Volkswagen, avec des formations et des diplômes à obtenir, obligatoires pour avoir tous les cursus. Et là j'étais responsable garanti, responsable magasin. responsable réception, chef d'atelier, etc. Donc je cumulais toutes les casquettes sur un tout petit site finalement, puisque j'ai commencé avec deux techniciens, trois ponts, un magasin et moi.
Speaker #1
Voilà.
Speaker #2
Mais je gérais toute la... En fait j'étais l'homme de l'ombre, mais l'homme indispensable finalement, le chef d'orchestre qui me permettait... alors Effectivement de m'éclater, mais il y a un moment donné, la machine, tellement c'était lourd, elle a commencé à s'épuiser, et il fallait, alors soit il fallait de l'aide, parce qu'il y a un moment donné, quand on ouvre c'est bien, donc on monte en puissance, mais il y a un moment donné, stop, on ne peut plus, et donc là on n'a plus été trop en phase avec les directives de la direction de l'époque, et donc j'ai quitté SEAT, pour repartir sur un... toujours dans l'après-vente et là j'ai été chez Porsche à Vélizy je suis pas resté très longtemps, je suis resté une petite année là-bas pareil parce qu'il y avait des process bien lourds mais surtout c'était le comment dire, les embouteillages et le trajet pour y aller qui a fini par me lasser et là donc je suis reparti sur Sur ma première marque qui était Volkswagen, Paris 7ème arrondissement, groupe Fairplay, je suis resté quelques années là-bas et puis j'ai remondi sur la marque Honda Japoto, Paris 16, et j'ai passé 4-5 ans de merveilleuses années avec une équipe extraordinaire, une direction sympa, une marque super, et alors pareil, toujours dans le multicarte. Je suis toujours resté un peu le couteau de Suisse, à gérer tout un tas de choses, l'après-vente, le côté magasin, le côté développement commercial, après-vente, etc. En fait, je suis toujours resté à peu près dans les mêmes fonctions, et c'est ce qui me permettait finalement d'avoir cette diversité et de ne pas m'ennuyer. Jusqu'à un moment où on a commencé à me cloisonner. Non pas chez Honda, mais chez d'autres marques comme Alfa Romeo, Mercedes et Audi, où j'ai terminé finalement ma carrière, en tout cas de chef après-vente, Audi Boer, où c'était une très bonne boîte, mais à un moment donné, j'étais trop dans l'administratif, j'avais plus ce côté front office ou beaucoup moins. Et puis ça devenait vraiment pareil, des process pour des process, et à la fin ça m'ennuyait. Il fallait toujours correspondre à la virgule près aux normes du constructeur, qui pour moi n'avaient plus de logique et qui nous empêchaient de travailler au quotidien. Donc j'ai préféré laisser la place à d'autres. d'autres personnes et c'est là que je me suis rendu compte que via ma passion automobile que je vivais du vendredi soir au dimanche soir, et grâce aussi à ma compagne, m'a ouvert les yeux sur le fait que j'avais beaucoup de flèches à mon arc et que je pouvais aujourd'hui monter ma propre boîte autour de ce que j'aime le plus au monde professionnellement et personnellement, c'est l'automobile passion. Donc on retrouve des vraies valeurs, des vrais échanges. On n'est pas dans une pression. Alors, pas la pression. En tant que chez l'entreprise, on a une pression, bien évidemment. Néanmoins, on n'a pas la peur au vent du mal fait, du chiffre à tout prix, quoi qu'il en coûte, etc. Ça n'existe pas. Donc je suis maître de moi-même, j'ai des priorités, bien évidemment. Il faut vivre. Néanmoins, c'est une bonne pression. Ce n'est pas une pression négative. Et puis, je vis au quotidien avec des voitures exceptionnelles, des clients passionnés, une clientèle passionnée, des gens qui partagent ça au quotidien. Et ce n'est que du plaisir. Et donc, ça fait trois ans et demi maintenant, un petit peu plus de trois ans et demi que je fais tourner cette boutique. Alors j'y ai bien évidemment mis une patte personnelle en y mettant aussi des œuvres d'art, des produits made in France, de l'artisanat français et surtout beaucoup de cœur et une approche commerciale extrêmement rigoureuse. Mais ça c'est mes restes et je pense que c'est une bonne école. Les restes justement du parcours professionnel que j'ai eu avant, qui me permet d'avoir ce que j'appelle une analyse technique, mais aussi une analyse commerciale, et de détecter un petit peu les besoins de nos clients.
Speaker #1
Ok, tu viens de le dire, donc tu as un showroom, c'est vrai, qui mélange, c'est un lieu qui est très convivial, qui mélange l'exigence et l'authenticité. Alors justement, tu en as déjà un petit peu parlé, mais est-ce que tu pourrais vraiment définir l'ADN pur ? de l'essence de l'automobile et en fait les valeurs justement qui distinguent des autres acteurs de ce milieu.
Speaker #2
L'ADN de l'essence de l'automobile déjà, elle est sur un mot, c'est la convivialité. C'est l'ouverture, la convivialité. Et c'est surtout le fait que chaque personne puisse, quoi qu'il arrive, s'offrir un petit bout de l'essence de l'automobile. Ça peut être un objet, Ça peut être une voiture, ça peut être un tableau, quelque chose. Mais en tout cas, comme dans l'automobile, j'essaye d'avoir un panel de prix qui soit le plus ouvert possible, tout en ayant une qualité extrêmement rigoureuse et toujours bien documenter les véhicules. Voilà. Donc ça, c'est la DML propre, c'est-à-dire transparence. et suivi des autos avec ou sans expertise. Ça, on pourra éventuellement en reparler plus tard. Mais en tout cas, il faut que ça soit un produit de qualité exceptionnel. par une rareté, par un dossier, par son histoire, par beaucoup de points qui font qu'à un moment donné, on puisse raconter une histoire à l'objet. Ça peut être une sculpture, mais ça peut être une voiture, un dessin, via l'artiste, etc. Il faut toujours qu'il y ait ce côté humain autour de l'ADN de l'essence de l'automobile. Et c'est un peu la force. Si on fait aussi des rassemblements mensuels aujourd'hui, c'est pour ce que j'appelle avoir un socle et faire partager cette passion à des visiteurs, des amateurs, des amatrices, des passionnés, des collectionneurs. Mais l'essence de l'automobile, il faut qu'elle vive autour de ce cercle-là. Et c'est pour moi le plus important. Le partage et animer. cette passion et cette détermination à montrer ce que nos artistes français peuvent faire. Et quand je dis les artistes français, c'est dans le sens large du terme, parce que j'en ai qui viennent vraiment des quatre coins de la France.
Speaker #1
Juste pour un peu rebondir sur ce que tu viens de dire et pour parler un peu plus de business et marketing, aujourd'hui concrètement, qu'est-ce que tu mets en place pour attirer tes nouveaux clients ? On va peut-être parler plus sur les achats de voitures que tout ce que tu fais. Mais voilà, pour que les gens comprennent, on travaille ensemble. D'ailleurs,
Speaker #2
tu es un de mes premiers clients et je te remercie de ta confiance. Alors, APMF, pour citer ton agence, a fait un gros travail au niveau du site internet, et en fait toujours d'ailleurs, puisqu'il est en perpétuelle évolution. Mais je pense que l'évolution est pour moi normale, puisque les technologies avancent. Les visibilités se bougent et il ne faut pas rester sur le bord du chemin et attendre que le train passe. Donc effectivement, je suis suffisamment alerte et attentif au monde qui m'entoure pour ne pas rester immobile à ma concurrence, à mes confrères. Je ne suis pas le seul à être dans ce domaine-là. Néanmoins, il faut toujours essayer de se démarquer dans un sens ou dans un autre, et puis surtout apporter une visibilité intelligente et une communication bienveillante sur le monde de l'automobile actuel. L'automobile passion, bien évidemment, je ne parle pas de l'automobile actuel, mais de l'automobile passion actuel, que ce soit des véhicules des années 60 ou un timer d'aujourd'hui. qui sont en plein boom en termes de commerce. Mais voilà, il faut écouter nos clients, il faut écouter nos jeunes, parce que c'est les jeunes aussi qui font qu'à un moment donné, ce seront eux les futurs clients, ou en tout cas les futurs ambassadeurs de l'essence de l'automobile. Donc c'est pour ça que je me dois de leur ouvrir la porte, de leur montrer ce qu'on fait et de les écouter. Et c'est grâce aux réseaux sociaux aujourd'hui, grâce au rassemblement mensuel, qu'on a une certaine communauté qui nous suit et qui montre que les jeunes, quoi qu'on en dise, ils aiment quand même l'automobile. Et de plus en plus. Et c'est ça qui me réjouit finalement. C'est que les jeunes d'aujourd'hui qui malheureusement vivent une période assez sombre de l'automobile via les technologies électriques et hybrides, reviennent vers les fondamentaux du passé et se disent que c'est vrai que les voitures d'avant étaient vraiment sympas. Et je les rejoins et c'est pour ça qu'on leur montre parce que ce qu'ils n'ont pas eu, eux, à leur âge, on leur montre ce qu'on a eu, nous, à leur âge. Et c'est ça qui est bien.
Speaker #1
Ok, très clair. Donc juste pour résumer, toi en fait, tes canaux d'acquisition, pour employer un peu les termes de marketing. Canaux d'acquisition,
Speaker #2
on fait beaucoup de dépôts-ventes, très clairement. C'est les réseaux. C'est le site internet, c'est nos rassemblements, c'est notre présence sur différents rassemblements du dimanche. Parce qu'aujourd'hui on est ouvert du lundi au samedi, mais le dimanche, que ça soit mon collaborateur comme moi-même, on est sur différents événements le dimanche. Alors je dirais pas tous les dimanches, mais beaucoup. Et on est sur le terrain parce qu'on aime ça. En fait on ne se force pas. C'est ça qui est bien. J'ai pas l'impression d'être au travail quand je viens au travail.
Speaker #1
Un métier passion ?
Speaker #2
C'est un métier passion, mais c'est un métier... Alors c'est piégeux le métier passion parce qu'on met le doigt dedans, on sait jamais comment on... On n'en sort pas. On ne compte pas 16 ans. Ça, c'est normal. Quand j'étais salarié, déjà, je ne les comptais pas. Mais là, c'est même pire que tout. Si je pouvais y passer H24, je le ferais. Néanmoins, il y a des limites quand même à ne pas dépasser. Mais ça reste quand même ce que j'appelle du rêve au quotidien. On a la chance d'avoir des voitures exceptionnelles, d'avoir des clients extrêmement sympas. et passionné. On a un site, parce que l'essence de l'automobile est un lieu assez magique, rempli de lumière. On est sur un site industriel qui est sympa et on est dans un endroit géographique qui est tout aussi sympa, puisque les Yvelines, c'est un très beau département. On a la chance d'avoir des routes Tout autour qui sont exceptionnels, que ce soit dans l'Eure, le Vexin, la Normandie, dans les Yvelines, on est à côté de Rambouillet, on est à côté de toutes ces belles routes finalement. On est à 5 minutes de la pleine campagne, donc on peut se régaler très très vite à faire des sorties, faire des rallies. Et c'est pour ça que les centres d'automobiles d'ailleurs travaillent en collaboration avec certains clubs pour faire des départs de rallyes. pour faire des arrivées de rallye touristiques, l'organisation de l'Assemblée Générale pour les clubs. Donc on loue l'espace avec des prestations, ça peut être des petits déjeuners, des déjeuners, ou alors un food truck, on peut faire venir un food truck. Tout ça, je veux dire, dans la bonne humeur et le plaisir de l'automobile. Et ça c'est vraiment génial, parce qu'en fait c'est que des rencontres. Et finalement, les rencontres ramènent des rencontres et c'est infini.
Speaker #1
Alors justement, je voulais te poser une question là-dessus par rapport aux rencontres. On te voit très très souvent dans la presse, dans les médias, alors que ce soit en ligne ou papier. Pourquoi ? Qu'est-ce que ça t'amène ? Est-ce que c'est une volonté ? Est-ce que c'est eux qui viennent te chercher ? Est-ce que ça crée un buzz ? Est-ce que ça crée une clientèle ? Alors je sais que ce n'est pas facile à mesurer parce que ce n'est pas quantifiable directement. Oui,
Speaker #2
alors... Alors que ce soit la presse écrite comme les émissions télé, alors j'y suis peu, mais ça m'arrive, on n'est pas... C'est assez difficile à expliquer, mais que ce soit les gens connus ou moins connus, ils apportent effectivement quelque chose de... Bon, ils ont leur image. Il passe à la télé, donc automatiquement, je veux dire, l'écho médiatique de tout ça est quand même assez gros, non mesurable. Néanmoins, c'est toujours un plaisir, effectivement, de recevoir Dominique Chapatte, François Allain, Grégory Galifi, Thomas Bastard, Le Taune, enfin bon, tous ces gens-là. qui au quotidien on les voit à la télé et puis ils viennent à l'essence de l'automobile donc c'est vraiment sympa après la presse écrite c'est pareil avec Sport Auto Classique Autoplus Classique et Autoplus Unetimer voire Autoretro et bien d'autres, il y a Unetimer Magazine etc viennent de temps en temps pour faire des reportages sur les voitures que nous avons parce qu'encore une fois ... Mon rôle est de transmettre et de montrer et de faire vivre à nos clients et à nos... Je dirais pas fans, mais notre communauté, que l'automobile ne s'arrête pas à...
Speaker #1
Un GT3
Speaker #2
RS. Un RS3 Audi de 2015. Il y a autant d'automobiles... que de personnes dans le monde. En fait, chaque voiture est unique et c'est un peu ça que je veux vous montrer. C'est que la diversité est tellement grande que finalement, c'est inépuisable.
Speaker #1
Tu as beaucoup de partenaires, qu'on peut voir notamment sur ton site et dans ton showroom. Quels sont tes critères pour les accepter, pour faire une collaboration ? Et concrètement, qu'est-ce que ça apporte à ton concept et aussi à tes clients, par exemple, qui achètent une voiture ? Qu'est-ce que ça peut leur amener ?
Speaker #2
Alors. Les partenaires de l'essence de l'automobile, j'ai plusieurs types de partenaires. J'ai les partenaires liés à un service, ça peut être MySmartObject, pour ne pas les citer, au niveau du traceur en cas de vol. ce que j'appelle donc du service de protection. Ça peut être aussi le service carte grise, le service carte grise, enfin tout un tas de choses, expertise, etc. Donc ça, c'est des partenaires vraiment métiers et des partenaires artistiques. Les partenaires métiers que je viens d'expliquer, c'est une approche qui va se faire sur leur savoir-faire. Et sur l'éthique de leur service qui doit rester avant tout en France. Donc ça à la base, il faut que ça soit en France. Si ce n'est pas en France, je ne fais pas. Il faut que la personne, je l'appelle, elle me réponde. Ça c'est la base de la base. Partie artistique c'est différent. Partie esthétique, bon déjà, il faut que la personne ait un... est un talent, est du talent, qu'elle corresponde à ce que j'aime et qu'elle veuille bien évidemment travailler avec l'essence de l'automobile et puis qu'elle montre un petit peu tout le savoir-faire qu'un artiste, je vais dire inconnu, parce que ce qui m'intéresse moi c'est montrer les richesses de l'artisanat et de tous ces artistes de l'ombre qui font des choses incroyables et qu'on arrive. Et franchement, ils ont du mal à être visibles. Voire ils sont complètement noyés dans la masse et ils n'arrivent pas à émerger finalement, ne serait-ce que d'avoir un minimum de visibilité sur tout ça. Donc c'est un peu mon rôle. Si on doit parler économie et économique sur cette tranche-là, il n'y en a pas. En fait, je le fais vraiment, déjà parce que c'est beau. Ça donne à l'essence de l'automobile une beauté intérieure et une diversité exceptionnelles. Et ça permet de montrer à tous nos visiteurs qu'une sculpture faite en pierre, comme sur mon bureau là, ou une sculpture faite en résine sur l'autre côté de mon bureau, c'est deux artistes d'univers complètement différents, mais qui finalement font un travail tout aussi exceptionnel l'un comme l'autre. Des exemples, j'en ai des milliers. En fait, si je m'écoutais, je serais un accumulateur de choses exceptionnelles, sauf que je suis tout seul. Et je ne peux pas tout faire, je ne peux pas tout représenter et je n'ai pas assez de temps.
Speaker #1
Très clair, ok. Pour conclure sur une note un peu plus légère, on va dire, est-ce que tu as une anecdote ou quelque chose d'insolite ou même de drôle qui te serait arrivé en lien avec l'essence de l'automobile ?
Speaker #2
On va partir sur une vente, enfin sur une visite plutôt, je ne dirais même pas une vente, c'est une visite. Client qui venait de province, il avait, je ne sais plus exactement la région, mais il venait de loin. Il avait 4-5 heures de route. Il arrive ici, en fait, il m'avait appelé, il avait pris rendez-vous pour voir une Alfa Romeo, un coupé Bertone Rosso Amarento. Donc, on est sur un Bordeaux, Bordeaux-Lidevins. Il avait craqué sur cette voiture, sur photo et tout. Il était vraiment très, très intéressé par cette voiture. Il souhaitait la voir. Chose qu'il a faite avec un ami. Donc ils se sont déplacés. Ils ont vu la voiture, il a bien évidemment pris la voiture, mais au moment où il a pris cette voiture-là, il a fait bien évidemment un tour dans le showroom, et il ne s'est pas arrêté à acheter que cette voiture-là, mais il a acheté une deuxième, il s'est arrêté aussi sur une Triumph TR 250, qui est la soeur jumelle de la TR5. Donc très beau modèle, un peu moins rare que la TR5, mais tout aussi prestigieux. Et donc il est reparti non pas avec une, mais avec deux voitures ce jour-là. C'était un peu l'anecdote où la personne achète deux pages d'histoire, une anglaise et une italienne, à peu près des mêmes années, mais ça reste un super souvenir. Et puis un client qui, justement, chef d'entreprise, lui avait eu un pépin de santé assez important. et qui s'est dit, il faut que je me fasse plaisir maintenant, il faut que j'en profite, et il a craqué sur ces deux voitures.
Speaker #1
D'accord,
Speaker #2
ok.
Speaker #1
Bon, alors, pour finir, finir, finir, donc si on veut te retrouver, site internet, l'essence de l'automobile.fr.
Speaker #2
www.lessence-de-l'automobile.fr L'essence de l'automobile, tout attaché, sans apostrophe et au singulier, je le précise, .fr Auberge en ville, ça c'est la ville. Un boulevard de vente de Mantes, ça c'est l'adresse, ouvert du lundi au samedi, et puis retrouvez aussi nous sur les réseaux sociaux, Instagram l'essence de l'automobile, Facebook l'essence de l'automobile, LinkedIn l'essence de l'automobile, et TikTok l'essence de l'automobile. Avec tout ça, je pense que vous n'allez pas trop vous perdre, et puis surtout... est très important. Venez nous voir. C'est important.
Speaker #1
OK. Eh bien, écoute, merci beaucoup pour cet échange et puis longue vie à l'autopassion, alors.
Speaker #0
C'est ça.
Speaker #1
Allez, merci Bertrand. Merci Vivien. ciao ciao

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Comment booster votre business automobile ? Développer votre visibilité en ligne et attirer plus de clients ?

Le podcast Moteur & Marketing est dédié aux professionnels de l'automobile : marchands, mandataires, garages, concessionnaires, conciergeries, showrooms, pilotes, centres de detailing, ateliers de covering, écuries de course et bien d'autres.

Dans chaque épisode, des experts et acteurs clés du secteur automobile partagent leurs astuces, stratégies et expériences. Vous découvrirez comment ils ont relevé les défis du marché, attiré plus de clients et construit des entreprises performantes.

Au programme :

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Moteur & Marketing, c’est le mélange parfait entre des interviews exclusives, des stratégies éprouvées et des astuces pratiques pour réussir dans le secteur automobile.

Démarrez les moteurs, booster votre business, gagnez la course !

Par Vivien Leleu, fondateur de l'agence marketing automobile, APMF.

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Transcription

Speaker #0
Alors, salut Bertrand. Merci déjà pour ton accueil dans ton super showroom dont on va parler. Bertrand, tu as plus de 25 ans d'expérience dans l'automobile, si je ne dis pas de bêtises.
Speaker #2
À peu près, oui, effectivement.
Speaker #1
Est-ce que tu pourrais nous raconter un peu ton parcours pro ? Et surtout, comment est-ce que tu es venu à fonder le showroom dont je vais te laisser donner le nom ?
Speaker #2
Tout d'abord, je vais me présenter. Je m'appelle Bertrand Petremont. Je suis le fondateur de l'essence de l'automobile. c'est une boîte qui est aujourd'hui à peu près un petit peu plus de trois ans et demi. Donc ça, c'est la finalité finalement du jour. Mon parcours scolaire déjà, parce qu'en fin de compte, avant d'avoir une expérience professionnelle, à proprement dire, on a une expérience scolaire. J'ai fait mes études autour de l'automobile au Garak, l'École nationale des professions de l'automobile et du motocycle à Argenteuil. j'ai fait un cursus de 6 ans ans là-bas, du CAP au BTS, 4 ans mécanique auto, CAP, BE, EBEC Pro, et un BTS, assistant de gestion, PME, PMI, options automobiles, donc tout ça dans le cadre de ce lycée professionnel qui est axé à 200% sur les métiers de la mobilité maintenant, mais surtout les métiers de l'automobile à mon époque. sortie de l'école j'ai fait Comme il se devait, un service national qui m'a servi beaucoup, parce que finalement, je suis retourné à la caisse outil, et j'étais mécanicien à la police de Paris, et je réparais les voitures de police pour la préfecture de police de Paris. Donc j'ai fait ça pendant neuf ans. mois, enfin 8 mois exactement, et donc ça m'a permis d'en retrouver un petit peu mes premières armes de mécanicien qui me manquaient, et ça fait du bien de retourner un petit peu à la caisse à outils et de retrouver toutes ces odeurs, ces sensations, et puis de remettre les mains un peu dans le cambouis. Sorti de là, j'ai été réceptionnaire, alors je me suis tout de suite dirigé finalement sur le côté réception. de l'après-vente puisque le côté après-vente était ma formation de base et je souhaitais vraiment accompagner les clients autour du commerce de l'après-vente conseil et donc accueillir et puis diriger finalement les clients qui déposaient leur véhicule à l'atelier pour recueillir les... les pannes, les plaintes clients autour de leurs autos. J'ai fait ça quelques années. J'ai commencé chez Volkswagen. J'ai fait ça pendant un an. Puis, je suis parti assez rapidement et j'ai rejoint la maison Peugeot. La maison Peugeot, je suis resté chez Vauban, le groupe Vauban Automobiles, qui n'avait que Peugeot à l'époque. et je suis resté 4 ans à peu près tout seul. gérer une petite agence Peugeot à Bougival, où j'étais avec trois mécaniciens et puis moi, et je gérais le magasin, la réception, les commandes, enfin j'étais vraiment complètement autonome, et c'est ce qui m'a permis finalement d'accumuler énormément d'expérience autour de l'après-vente automobile et de la gestion. d'un commerce. Et ça, ça m'a vraiment beaucoup plu puisque j'étais vraiment multicarte et c'est ce qui m'a permis vraiment de m'éclater dans mon travail. Et mon patron, enfin mon ancien patron, qui était Olivier Oussard, qui est toujours président du groupe Vauban d'ailleurs, a tout de suite compris mes... Comment j'étais câblé et finalement m'a bougé assez rapidement de poste pour éviter que je m'ennuie. Parce que dès l'instant où j'étais en position de confort, je m'ennuyais, il fallait que je retrouve ce que j'appelle une certaine... Alors un certain challenge, mais une certaine aussi anxiété pour que je sois dans mon milieu. et la zone de confort voilà donc tous les 2-3 ans Il me bougeait de poste et de site pour justement m'alimenter en ce sens. Donc j'ai fait pas mal de sites pour le coup, pour le groupe Boban. Donc Bougival, j'ai commencé, après j'ai fait Chambourcy, Les Mureaux. Chambourcy, les Mureaux, j'ai fait un peu mon tesson, j'ai fait pas mal de sites, pas mal de postes aussi, et j'ai fini chez eux par la création du premier site autre marque que Peugeot, avec l'ouverture et la création du site Seat à Chambourcy. Donc je suis retourné dans la famille Volkswagen, puisque Seat fait partie du groupe Volkswagen, Et donc là... J'ai ce que j'appelle retrouvé mes premières armes tout en gérant une ouverture des process extrêmement importants et lourds chez Volkswagen, avec des formations et des diplômes à obtenir, obligatoires pour avoir tous les cursus. Et là j'étais responsable garanti, responsable magasin. responsable réception, chef d'atelier, etc. Donc je cumulais toutes les casquettes sur un tout petit site finalement, puisque j'ai commencé avec deux techniciens, trois ponts, un magasin et moi.
Speaker #1
Voilà.
Speaker #2
Mais je gérais toute la... En fait j'étais l'homme de l'ombre, mais l'homme indispensable finalement, le chef d'orchestre qui me permettait... alors Effectivement de m'éclater, mais il y a un moment donné, la machine, tellement c'était lourd, elle a commencé à s'épuiser, et il fallait, alors soit il fallait de l'aide, parce qu'il y a un moment donné, quand on ouvre c'est bien, donc on monte en puissance, mais il y a un moment donné, stop, on ne peut plus, et donc là on n'a plus été trop en phase avec les directives de la direction de l'époque, et donc j'ai quitté SEAT, pour repartir sur un... toujours dans l'après-vente et là j'ai été chez Porsche à Vélizy je suis pas resté très longtemps, je suis resté une petite année là-bas pareil parce qu'il y avait des process bien lourds mais surtout c'était le comment dire, les embouteillages et le trajet pour y aller qui a fini par me lasser et là donc je suis reparti sur Sur ma première marque qui était Volkswagen, Paris 7ème arrondissement, groupe Fairplay, je suis resté quelques années là-bas et puis j'ai remondi sur la marque Honda Japoto, Paris 16, et j'ai passé 4-5 ans de merveilleuses années avec une équipe extraordinaire, une direction sympa, une marque super, et alors pareil, toujours dans le multicarte. Je suis toujours resté un peu le couteau de Suisse, à gérer tout un tas de choses, l'après-vente, le côté magasin, le côté développement commercial, après-vente, etc. En fait, je suis toujours resté à peu près dans les mêmes fonctions, et c'est ce qui me permettait finalement d'avoir cette diversité et de ne pas m'ennuyer. Jusqu'à un moment où on a commencé à me cloisonner. Non pas chez Honda, mais chez d'autres marques comme Alfa Romeo, Mercedes et Audi, où j'ai terminé finalement ma carrière, en tout cas de chef après-vente, Audi Boer, où c'était une très bonne boîte, mais à un moment donné, j'étais trop dans l'administratif, j'avais plus ce côté front office ou beaucoup moins. Et puis ça devenait vraiment pareil, des process pour des process, et à la fin ça m'ennuyait. Il fallait toujours correspondre à la virgule près aux normes du constructeur, qui pour moi n'avaient plus de logique et qui nous empêchaient de travailler au quotidien. Donc j'ai préféré laisser la place à d'autres. d'autres personnes et c'est là que je me suis rendu compte que via ma passion automobile que je vivais du vendredi soir au dimanche soir, et grâce aussi à ma compagne, m'a ouvert les yeux sur le fait que j'avais beaucoup de flèches à mon arc et que je pouvais aujourd'hui monter ma propre boîte autour de ce que j'aime le plus au monde professionnellement et personnellement, c'est l'automobile passion. Donc on retrouve des vraies valeurs, des vrais échanges. On n'est pas dans une pression. Alors, pas la pression. En tant que chez l'entreprise, on a une pression, bien évidemment. Néanmoins, on n'a pas la peur au vent du mal fait, du chiffre à tout prix, quoi qu'il en coûte, etc. Ça n'existe pas. Donc je suis maître de moi-même, j'ai des priorités, bien évidemment. Il faut vivre. Néanmoins, c'est une bonne pression. Ce n'est pas une pression négative. Et puis, je vis au quotidien avec des voitures exceptionnelles, des clients passionnés, une clientèle passionnée, des gens qui partagent ça au quotidien. Et ce n'est que du plaisir. Et donc, ça fait trois ans et demi maintenant, un petit peu plus de trois ans et demi que je fais tourner cette boutique. Alors j'y ai bien évidemment mis une patte personnelle en y mettant aussi des œuvres d'art, des produits made in France, de l'artisanat français et surtout beaucoup de cœur et une approche commerciale extrêmement rigoureuse. Mais ça c'est mes restes et je pense que c'est une bonne école. Les restes justement du parcours professionnel que j'ai eu avant, qui me permet d'avoir ce que j'appelle une analyse technique, mais aussi une analyse commerciale, et de détecter un petit peu les besoins de nos clients.
Speaker #1
Ok, tu viens de le dire, donc tu as un showroom, c'est vrai, qui mélange, c'est un lieu qui est très convivial, qui mélange l'exigence et l'authenticité. Alors justement, tu en as déjà un petit peu parlé, mais est-ce que tu pourrais vraiment définir l'ADN pur ? de l'essence de l'automobile et en fait les valeurs justement qui distinguent des autres acteurs de ce milieu.
Speaker #2
L'ADN de l'essence de l'automobile déjà, elle est sur un mot, c'est la convivialité. C'est l'ouverture, la convivialité. Et c'est surtout le fait que chaque personne puisse, quoi qu'il arrive, s'offrir un petit bout de l'essence de l'automobile. Ça peut être un objet, Ça peut être une voiture, ça peut être un tableau, quelque chose. Mais en tout cas, comme dans l'automobile, j'essaye d'avoir un panel de prix qui soit le plus ouvert possible, tout en ayant une qualité extrêmement rigoureuse et toujours bien documenter les véhicules. Voilà. Donc ça, c'est la DML propre, c'est-à-dire transparence. et suivi des autos avec ou sans expertise. Ça, on pourra éventuellement en reparler plus tard. Mais en tout cas, il faut que ça soit un produit de qualité exceptionnel. par une rareté, par un dossier, par son histoire, par beaucoup de points qui font qu'à un moment donné, on puisse raconter une histoire à l'objet. Ça peut être une sculpture, mais ça peut être une voiture, un dessin, via l'artiste, etc. Il faut toujours qu'il y ait ce côté humain autour de l'ADN de l'essence de l'automobile. Et c'est un peu la force. Si on fait aussi des rassemblements mensuels aujourd'hui, c'est pour ce que j'appelle avoir un socle et faire partager cette passion à des visiteurs, des amateurs, des amatrices, des passionnés, des collectionneurs. Mais l'essence de l'automobile, il faut qu'elle vive autour de ce cercle-là. Et c'est pour moi le plus important. Le partage et animer. cette passion et cette détermination à montrer ce que nos artistes français peuvent faire. Et quand je dis les artistes français, c'est dans le sens large du terme, parce que j'en ai qui viennent vraiment des quatre coins de la France.
Speaker #1
Juste pour un peu rebondir sur ce que tu viens de dire et pour parler un peu plus de business et marketing, aujourd'hui concrètement, qu'est-ce que tu mets en place pour attirer tes nouveaux clients ? On va peut-être parler plus sur les achats de voitures que tout ce que tu fais. Mais voilà, pour que les gens comprennent, on travaille ensemble. D'ailleurs,
Speaker #2
tu es un de mes premiers clients et je te remercie de ta confiance. Alors, APMF, pour citer ton agence, a fait un gros travail au niveau du site internet, et en fait toujours d'ailleurs, puisqu'il est en perpétuelle évolution. Mais je pense que l'évolution est pour moi normale, puisque les technologies avancent. Les visibilités se bougent et il ne faut pas rester sur le bord du chemin et attendre que le train passe. Donc effectivement, je suis suffisamment alerte et attentif au monde qui m'entoure pour ne pas rester immobile à ma concurrence, à mes confrères. Je ne suis pas le seul à être dans ce domaine-là. Néanmoins, il faut toujours essayer de se démarquer dans un sens ou dans un autre, et puis surtout apporter une visibilité intelligente et une communication bienveillante sur le monde de l'automobile actuel. L'automobile passion, bien évidemment, je ne parle pas de l'automobile actuel, mais de l'automobile passion actuel, que ce soit des véhicules des années 60 ou un timer d'aujourd'hui. qui sont en plein boom en termes de commerce. Mais voilà, il faut écouter nos clients, il faut écouter nos jeunes, parce que c'est les jeunes aussi qui font qu'à un moment donné, ce seront eux les futurs clients, ou en tout cas les futurs ambassadeurs de l'essence de l'automobile. Donc c'est pour ça que je me dois de leur ouvrir la porte, de leur montrer ce qu'on fait et de les écouter. Et c'est grâce aux réseaux sociaux aujourd'hui, grâce au rassemblement mensuel, qu'on a une certaine communauté qui nous suit et qui montre que les jeunes, quoi qu'on en dise, ils aiment quand même l'automobile. Et de plus en plus. Et c'est ça qui me réjouit finalement. C'est que les jeunes d'aujourd'hui qui malheureusement vivent une période assez sombre de l'automobile via les technologies électriques et hybrides, reviennent vers les fondamentaux du passé et se disent que c'est vrai que les voitures d'avant étaient vraiment sympas. Et je les rejoins et c'est pour ça qu'on leur montre parce que ce qu'ils n'ont pas eu, eux, à leur âge, on leur montre ce qu'on a eu, nous, à leur âge. Et c'est ça qui est bien.
Speaker #1
Ok, très clair. Donc juste pour résumer, toi en fait, tes canaux d'acquisition, pour employer un peu les termes de marketing. Canaux d'acquisition,
Speaker #2
on fait beaucoup de dépôts-ventes, très clairement. C'est les réseaux. C'est le site internet, c'est nos rassemblements, c'est notre présence sur différents rassemblements du dimanche. Parce qu'aujourd'hui on est ouvert du lundi au samedi, mais le dimanche, que ça soit mon collaborateur comme moi-même, on est sur différents événements le dimanche. Alors je dirais pas tous les dimanches, mais beaucoup. Et on est sur le terrain parce qu'on aime ça. En fait on ne se force pas. C'est ça qui est bien. J'ai pas l'impression d'être au travail quand je viens au travail.
Speaker #1
Un métier passion ?
Speaker #2
C'est un métier passion, mais c'est un métier... Alors c'est piégeux le métier passion parce qu'on met le doigt dedans, on sait jamais comment on... On n'en sort pas. On ne compte pas 16 ans. Ça, c'est normal. Quand j'étais salarié, déjà, je ne les comptais pas. Mais là, c'est même pire que tout. Si je pouvais y passer H24, je le ferais. Néanmoins, il y a des limites quand même à ne pas dépasser. Mais ça reste quand même ce que j'appelle du rêve au quotidien. On a la chance d'avoir des voitures exceptionnelles, d'avoir des clients extrêmement sympas. et passionné. On a un site, parce que l'essence de l'automobile est un lieu assez magique, rempli de lumière. On est sur un site industriel qui est sympa et on est dans un endroit géographique qui est tout aussi sympa, puisque les Yvelines, c'est un très beau département. On a la chance d'avoir des routes Tout autour qui sont exceptionnels, que ce soit dans l'Eure, le Vexin, la Normandie, dans les Yvelines, on est à côté de Rambouillet, on est à côté de toutes ces belles routes finalement. On est à 5 minutes de la pleine campagne, donc on peut se régaler très très vite à faire des sorties, faire des rallies. Et c'est pour ça que les centres d'automobiles d'ailleurs travaillent en collaboration avec certains clubs pour faire des départs de rallyes. pour faire des arrivées de rallye touristiques, l'organisation de l'Assemblée Générale pour les clubs. Donc on loue l'espace avec des prestations, ça peut être des petits déjeuners, des déjeuners, ou alors un food truck, on peut faire venir un food truck. Tout ça, je veux dire, dans la bonne humeur et le plaisir de l'automobile. Et ça c'est vraiment génial, parce qu'en fait c'est que des rencontres. Et finalement, les rencontres ramènent des rencontres et c'est infini.
Speaker #1
Alors justement, je voulais te poser une question là-dessus par rapport aux rencontres. On te voit très très souvent dans la presse, dans les médias, alors que ce soit en ligne ou papier. Pourquoi ? Qu'est-ce que ça t'amène ? Est-ce que c'est une volonté ? Est-ce que c'est eux qui viennent te chercher ? Est-ce que ça crée un buzz ? Est-ce que ça crée une clientèle ? Alors je sais que ce n'est pas facile à mesurer parce que ce n'est pas quantifiable directement. Oui,
Speaker #2
alors... Alors que ce soit la presse écrite comme les émissions télé, alors j'y suis peu, mais ça m'arrive, on n'est pas... C'est assez difficile à expliquer, mais que ce soit les gens connus ou moins connus, ils apportent effectivement quelque chose de... Bon, ils ont leur image. Il passe à la télé, donc automatiquement, je veux dire, l'écho médiatique de tout ça est quand même assez gros, non mesurable. Néanmoins, c'est toujours un plaisir, effectivement, de recevoir Dominique Chapatte, François Allain, Grégory Galifi, Thomas Bastard, Le Taune, enfin bon, tous ces gens-là. qui au quotidien on les voit à la télé et puis ils viennent à l'essence de l'automobile donc c'est vraiment sympa après la presse écrite c'est pareil avec Sport Auto Classique Autoplus Classique et Autoplus Unetimer voire Autoretro et bien d'autres, il y a Unetimer Magazine etc viennent de temps en temps pour faire des reportages sur les voitures que nous avons parce qu'encore une fois ... Mon rôle est de transmettre et de montrer et de faire vivre à nos clients et à nos... Je dirais pas fans, mais notre communauté, que l'automobile ne s'arrête pas à...
Speaker #1
Un GT3
Speaker #2
RS. Un RS3 Audi de 2015. Il y a autant d'automobiles... que de personnes dans le monde. En fait, chaque voiture est unique et c'est un peu ça que je veux vous montrer. C'est que la diversité est tellement grande que finalement, c'est inépuisable.
Speaker #1
Tu as beaucoup de partenaires, qu'on peut voir notamment sur ton site et dans ton showroom. Quels sont tes critères pour les accepter, pour faire une collaboration ? Et concrètement, qu'est-ce que ça apporte à ton concept et aussi à tes clients, par exemple, qui achètent une voiture ? Qu'est-ce que ça peut leur amener ?
Speaker #2
Alors. Les partenaires de l'essence de l'automobile, j'ai plusieurs types de partenaires. J'ai les partenaires liés à un service, ça peut être MySmartObject, pour ne pas les citer, au niveau du traceur en cas de vol. ce que j'appelle donc du service de protection. Ça peut être aussi le service carte grise, le service carte grise, enfin tout un tas de choses, expertise, etc. Donc ça, c'est des partenaires vraiment métiers et des partenaires artistiques. Les partenaires métiers que je viens d'expliquer, c'est une approche qui va se faire sur leur savoir-faire. Et sur l'éthique de leur service qui doit rester avant tout en France. Donc ça à la base, il faut que ça soit en France. Si ce n'est pas en France, je ne fais pas. Il faut que la personne, je l'appelle, elle me réponde. Ça c'est la base de la base. Partie artistique c'est différent. Partie esthétique, bon déjà, il faut que la personne ait un... est un talent, est du talent, qu'elle corresponde à ce que j'aime et qu'elle veuille bien évidemment travailler avec l'essence de l'automobile et puis qu'elle montre un petit peu tout le savoir-faire qu'un artiste, je vais dire inconnu, parce que ce qui m'intéresse moi c'est montrer les richesses de l'artisanat et de tous ces artistes de l'ombre qui font des choses incroyables et qu'on arrive. Et franchement, ils ont du mal à être visibles. Voire ils sont complètement noyés dans la masse et ils n'arrivent pas à émerger finalement, ne serait-ce que d'avoir un minimum de visibilité sur tout ça. Donc c'est un peu mon rôle. Si on doit parler économie et économique sur cette tranche-là, il n'y en a pas. En fait, je le fais vraiment, déjà parce que c'est beau. Ça donne à l'essence de l'automobile une beauté intérieure et une diversité exceptionnelles. Et ça permet de montrer à tous nos visiteurs qu'une sculpture faite en pierre, comme sur mon bureau là, ou une sculpture faite en résine sur l'autre côté de mon bureau, c'est deux artistes d'univers complètement différents, mais qui finalement font un travail tout aussi exceptionnel l'un comme l'autre. Des exemples, j'en ai des milliers. En fait, si je m'écoutais, je serais un accumulateur de choses exceptionnelles, sauf que je suis tout seul. Et je ne peux pas tout faire, je ne peux pas tout représenter et je n'ai pas assez de temps.
Speaker #1
Très clair, ok. Pour conclure sur une note un peu plus légère, on va dire, est-ce que tu as une anecdote ou quelque chose d'insolite ou même de drôle qui te serait arrivé en lien avec l'essence de l'automobile ?
Speaker #2
On va partir sur une vente, enfin sur une visite plutôt, je ne dirais même pas une vente, c'est une visite. Client qui venait de province, il avait, je ne sais plus exactement la région, mais il venait de loin. Il avait 4-5 heures de route. Il arrive ici, en fait, il m'avait appelé, il avait pris rendez-vous pour voir une Alfa Romeo, un coupé Bertone Rosso Amarento. Donc, on est sur un Bordeaux, Bordeaux-Lidevins. Il avait craqué sur cette voiture, sur photo et tout. Il était vraiment très, très intéressé par cette voiture. Il souhaitait la voir. Chose qu'il a faite avec un ami. Donc ils se sont déplacés. Ils ont vu la voiture, il a bien évidemment pris la voiture, mais au moment où il a pris cette voiture-là, il a fait bien évidemment un tour dans le showroom, et il ne s'est pas arrêté à acheter que cette voiture-là, mais il a acheté une deuxième, il s'est arrêté aussi sur une Triumph TR 250, qui est la soeur jumelle de la TR5. Donc très beau modèle, un peu moins rare que la TR5, mais tout aussi prestigieux. Et donc il est reparti non pas avec une, mais avec deux voitures ce jour-là. C'était un peu l'anecdote où la personne achète deux pages d'histoire, une anglaise et une italienne, à peu près des mêmes années, mais ça reste un super souvenir. Et puis un client qui, justement, chef d'entreprise, lui avait eu un pépin de santé assez important. et qui s'est dit, il faut que je me fasse plaisir maintenant, il faut que j'en profite, et il a craqué sur ces deux voitures.
Speaker #1
D'accord,
Speaker #2
ok.
Speaker #1
Bon, alors, pour finir, finir, finir, donc si on veut te retrouver, site internet, l'essence de l'automobile.fr.
Speaker #2
www.lessence-de-l'automobile.fr L'essence de l'automobile, tout attaché, sans apostrophe et au singulier, je le précise, .fr Auberge en ville, ça c'est la ville. Un boulevard de vente de Mantes, ça c'est l'adresse, ouvert du lundi au samedi, et puis retrouvez aussi nous sur les réseaux sociaux, Instagram l'essence de l'automobile, Facebook l'essence de l'automobile, LinkedIn l'essence de l'automobile, et TikTok l'essence de l'automobile. Avec tout ça, je pense que vous n'allez pas trop vous perdre, et puis surtout... est très important. Venez nous voir. C'est important.
Speaker #1
OK. Eh bien, écoute, merci beaucoup pour cet échange et puis longue vie à l'autopassion, alors.
Speaker #0
C'est ça.
Speaker #1
Allez, merci Bertrand. Merci Vivien. ciao ciao

About Moteur & Marketing

Au programme :

Les meilleures pratiques pour booster vos ventes et votre visibilité.
Des conseils concrets pour optimiser vos outils marketing.
Des retours d’expérience inspirants pour transformer vos idées en résultats.

Moteur & Marketing, c’est le mélange parfait entre des interviews exclusives, des stratégies éprouvées et des astuces pratiques pour réussir dans le secteur automobile.

Démarrez les moteurs, booster votre business, gagnez la course !

Par Vivien Leleu, fondateur de l'agence marketing automobile, APMF.

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Speaker #0
Alors, salut Bertrand. Merci déjà pour ton accueil dans ton super showroom dont on va parler. Bertrand, tu as plus de 25 ans d'expérience dans l'automobile, si je ne dis pas de bêtises.
Speaker #2
À peu près, oui, effectivement.
Speaker #1
Est-ce que tu pourrais nous raconter un peu ton parcours pro ? Et surtout, comment est-ce que tu es venu à fonder le showroom dont je vais te laisser donner le nom ?
Speaker #2
Tout d'abord, je vais me présenter. Je m'appelle Bertrand Petremont. Je suis le fondateur de l'essence de l'automobile. c'est une boîte qui est aujourd'hui à peu près un petit peu plus de trois ans et demi. Donc ça, c'est la finalité finalement du jour. Mon parcours scolaire déjà, parce qu'en fin de compte, avant d'avoir une expérience professionnelle, à proprement dire, on a une expérience scolaire. J'ai fait mes études autour de l'automobile au Garak, l'École nationale des professions de l'automobile et du motocycle à Argenteuil. j'ai fait un cursus de 6 ans ans là-bas, du CAP au BTS, 4 ans mécanique auto, CAP, BE, EBEC Pro, et un BTS, assistant de gestion, PME, PMI, options automobiles, donc tout ça dans le cadre de ce lycée professionnel qui est axé à 200% sur les métiers de la mobilité maintenant, mais surtout les métiers de l'automobile à mon époque. sortie de l'école j'ai fait Comme il se devait, un service national qui m'a servi beaucoup, parce que finalement, je suis retourné à la caisse outil, et j'étais mécanicien à la police de Paris, et je réparais les voitures de police pour la préfecture de police de Paris. Donc j'ai fait ça pendant neuf ans. mois, enfin 8 mois exactement, et donc ça m'a permis d'en retrouver un petit peu mes premières armes de mécanicien qui me manquaient, et ça fait du bien de retourner un petit peu à la caisse à outils et de retrouver toutes ces odeurs, ces sensations, et puis de remettre les mains un peu dans le cambouis. Sorti de là, j'ai été réceptionnaire, alors je me suis tout de suite dirigé finalement sur le côté réception. de l'après-vente puisque le côté après-vente était ma formation de base et je souhaitais vraiment accompagner les clients autour du commerce de l'après-vente conseil et donc accueillir et puis diriger finalement les clients qui déposaient leur véhicule à l'atelier pour recueillir les... les pannes, les plaintes clients autour de leurs autos. J'ai fait ça quelques années. J'ai commencé chez Volkswagen. J'ai fait ça pendant un an. Puis, je suis parti assez rapidement et j'ai rejoint la maison Peugeot. La maison Peugeot, je suis resté chez Vauban, le groupe Vauban Automobiles, qui n'avait que Peugeot à l'époque. et je suis resté 4 ans à peu près tout seul. gérer une petite agence Peugeot à Bougival, où j'étais avec trois mécaniciens et puis moi, et je gérais le magasin, la réception, les commandes, enfin j'étais vraiment complètement autonome, et c'est ce qui m'a permis finalement d'accumuler énormément d'expérience autour de l'après-vente automobile et de la gestion. d'un commerce. Et ça, ça m'a vraiment beaucoup plu puisque j'étais vraiment multicarte et c'est ce qui m'a permis vraiment de m'éclater dans mon travail. Et mon patron, enfin mon ancien patron, qui était Olivier Oussard, qui est toujours président du groupe Vauban d'ailleurs, a tout de suite compris mes... Comment j'étais câblé et finalement m'a bougé assez rapidement de poste pour éviter que je m'ennuie. Parce que dès l'instant où j'étais en position de confort, je m'ennuyais, il fallait que je retrouve ce que j'appelle une certaine... Alors un certain challenge, mais une certaine aussi anxiété pour que je sois dans mon milieu. et la zone de confort voilà donc tous les 2-3 ans Il me bougeait de poste et de site pour justement m'alimenter en ce sens. Donc j'ai fait pas mal de sites pour le coup, pour le groupe Boban. Donc Bougival, j'ai commencé, après j'ai fait Chambourcy, Les Mureaux. Chambourcy, les Mureaux, j'ai fait un peu mon tesson, j'ai fait pas mal de sites, pas mal de postes aussi, et j'ai fini chez eux par la création du premier site autre marque que Peugeot, avec l'ouverture et la création du site Seat à Chambourcy. Donc je suis retourné dans la famille Volkswagen, puisque Seat fait partie du groupe Volkswagen, Et donc là... J'ai ce que j'appelle retrouvé mes premières armes tout en gérant une ouverture des process extrêmement importants et lourds chez Volkswagen, avec des formations et des diplômes à obtenir, obligatoires pour avoir tous les cursus. Et là j'étais responsable garanti, responsable magasin. responsable réception, chef d'atelier, etc. Donc je cumulais toutes les casquettes sur un tout petit site finalement, puisque j'ai commencé avec deux techniciens, trois ponts, un magasin et moi.
Speaker #1
Voilà.
Speaker #2
Mais je gérais toute la... En fait j'étais l'homme de l'ombre, mais l'homme indispensable finalement, le chef d'orchestre qui me permettait... alors Effectivement de m'éclater, mais il y a un moment donné, la machine, tellement c'était lourd, elle a commencé à s'épuiser, et il fallait, alors soit il fallait de l'aide, parce qu'il y a un moment donné, quand on ouvre c'est bien, donc on monte en puissance, mais il y a un moment donné, stop, on ne peut plus, et donc là on n'a plus été trop en phase avec les directives de la direction de l'époque, et donc j'ai quitté SEAT, pour repartir sur un... toujours dans l'après-vente et là j'ai été chez Porsche à Vélizy je suis pas resté très longtemps, je suis resté une petite année là-bas pareil parce qu'il y avait des process bien lourds mais surtout c'était le comment dire, les embouteillages et le trajet pour y aller qui a fini par me lasser et là donc je suis reparti sur Sur ma première marque qui était Volkswagen, Paris 7ème arrondissement, groupe Fairplay, je suis resté quelques années là-bas et puis j'ai remondi sur la marque Honda Japoto, Paris 16, et j'ai passé 4-5 ans de merveilleuses années avec une équipe extraordinaire, une direction sympa, une marque super, et alors pareil, toujours dans le multicarte. Je suis toujours resté un peu le couteau de Suisse, à gérer tout un tas de choses, l'après-vente, le côté magasin, le côté développement commercial, après-vente, etc. En fait, je suis toujours resté à peu près dans les mêmes fonctions, et c'est ce qui me permettait finalement d'avoir cette diversité et de ne pas m'ennuyer. Jusqu'à un moment où on a commencé à me cloisonner. Non pas chez Honda, mais chez d'autres marques comme Alfa Romeo, Mercedes et Audi, où j'ai terminé finalement ma carrière, en tout cas de chef après-vente, Audi Boer, où c'était une très bonne boîte, mais à un moment donné, j'étais trop dans l'administratif, j'avais plus ce côté front office ou beaucoup moins. Et puis ça devenait vraiment pareil, des process pour des process, et à la fin ça m'ennuyait. Il fallait toujours correspondre à la virgule près aux normes du constructeur, qui pour moi n'avaient plus de logique et qui nous empêchaient de travailler au quotidien. Donc j'ai préféré laisser la place à d'autres. d'autres personnes et c'est là que je me suis rendu compte que via ma passion automobile que je vivais du vendredi soir au dimanche soir, et grâce aussi à ma compagne, m'a ouvert les yeux sur le fait que j'avais beaucoup de flèches à mon arc et que je pouvais aujourd'hui monter ma propre boîte autour de ce que j'aime le plus au monde professionnellement et personnellement, c'est l'automobile passion. Donc on retrouve des vraies valeurs, des vrais échanges. On n'est pas dans une pression. Alors, pas la pression. En tant que chez l'entreprise, on a une pression, bien évidemment. Néanmoins, on n'a pas la peur au vent du mal fait, du chiffre à tout prix, quoi qu'il en coûte, etc. Ça n'existe pas. Donc je suis maître de moi-même, j'ai des priorités, bien évidemment. Il faut vivre. Néanmoins, c'est une bonne pression. Ce n'est pas une pression négative. Et puis, je vis au quotidien avec des voitures exceptionnelles, des clients passionnés, une clientèle passionnée, des gens qui partagent ça au quotidien. Et ce n'est que du plaisir. Et donc, ça fait trois ans et demi maintenant, un petit peu plus de trois ans et demi que je fais tourner cette boutique. Alors j'y ai bien évidemment mis une patte personnelle en y mettant aussi des œuvres d'art, des produits made in France, de l'artisanat français et surtout beaucoup de cœur et une approche commerciale extrêmement rigoureuse. Mais ça c'est mes restes et je pense que c'est une bonne école. Les restes justement du parcours professionnel que j'ai eu avant, qui me permet d'avoir ce que j'appelle une analyse technique, mais aussi une analyse commerciale, et de détecter un petit peu les besoins de nos clients.
Speaker #1
Ok, tu viens de le dire, donc tu as un showroom, c'est vrai, qui mélange, c'est un lieu qui est très convivial, qui mélange l'exigence et l'authenticité. Alors justement, tu en as déjà un petit peu parlé, mais est-ce que tu pourrais vraiment définir l'ADN pur ? de l'essence de l'automobile et en fait les valeurs justement qui distinguent des autres acteurs de ce milieu.
Speaker #2
L'ADN de l'essence de l'automobile déjà, elle est sur un mot, c'est la convivialité. C'est l'ouverture, la convivialité. Et c'est surtout le fait que chaque personne puisse, quoi qu'il arrive, s'offrir un petit bout de l'essence de l'automobile. Ça peut être un objet, Ça peut être une voiture, ça peut être un tableau, quelque chose. Mais en tout cas, comme dans l'automobile, j'essaye d'avoir un panel de prix qui soit le plus ouvert possible, tout en ayant une qualité extrêmement rigoureuse et toujours bien documenter les véhicules. Voilà. Donc ça, c'est la DML propre, c'est-à-dire transparence. et suivi des autos avec ou sans expertise. Ça, on pourra éventuellement en reparler plus tard. Mais en tout cas, il faut que ça soit un produit de qualité exceptionnel. par une rareté, par un dossier, par son histoire, par beaucoup de points qui font qu'à un moment donné, on puisse raconter une histoire à l'objet. Ça peut être une sculpture, mais ça peut être une voiture, un dessin, via l'artiste, etc. Il faut toujours qu'il y ait ce côté humain autour de l'ADN de l'essence de l'automobile. Et c'est un peu la force. Si on fait aussi des rassemblements mensuels aujourd'hui, c'est pour ce que j'appelle avoir un socle et faire partager cette passion à des visiteurs, des amateurs, des amatrices, des passionnés, des collectionneurs. Mais l'essence de l'automobile, il faut qu'elle vive autour de ce cercle-là. Et c'est pour moi le plus important. Le partage et animer. cette passion et cette détermination à montrer ce que nos artistes français peuvent faire. Et quand je dis les artistes français, c'est dans le sens large du terme, parce que j'en ai qui viennent vraiment des quatre coins de la France.
Speaker #1
Juste pour un peu rebondir sur ce que tu viens de dire et pour parler un peu plus de business et marketing, aujourd'hui concrètement, qu'est-ce que tu mets en place pour attirer tes nouveaux clients ? On va peut-être parler plus sur les achats de voitures que tout ce que tu fais. Mais voilà, pour que les gens comprennent, on travaille ensemble. D'ailleurs,
Speaker #2
tu es un de mes premiers clients et je te remercie de ta confiance. Alors, APMF, pour citer ton agence, a fait un gros travail au niveau du site internet, et en fait toujours d'ailleurs, puisqu'il est en perpétuelle évolution. Mais je pense que l'évolution est pour moi normale, puisque les technologies avancent. Les visibilités se bougent et il ne faut pas rester sur le bord du chemin et attendre que le train passe. Donc effectivement, je suis suffisamment alerte et attentif au monde qui m'entoure pour ne pas rester immobile à ma concurrence, à mes confrères. Je ne suis pas le seul à être dans ce domaine-là. Néanmoins, il faut toujours essayer de se démarquer dans un sens ou dans un autre, et puis surtout apporter une visibilité intelligente et une communication bienveillante sur le monde de l'automobile actuel. L'automobile passion, bien évidemment, je ne parle pas de l'automobile actuel, mais de l'automobile passion actuel, que ce soit des véhicules des années 60 ou un timer d'aujourd'hui. qui sont en plein boom en termes de commerce. Mais voilà, il faut écouter nos clients, il faut écouter nos jeunes, parce que c'est les jeunes aussi qui font qu'à un moment donné, ce seront eux les futurs clients, ou en tout cas les futurs ambassadeurs de l'essence de l'automobile. Donc c'est pour ça que je me dois de leur ouvrir la porte, de leur montrer ce qu'on fait et de les écouter. Et c'est grâce aux réseaux sociaux aujourd'hui, grâce au rassemblement mensuel, qu'on a une certaine communauté qui nous suit et qui montre que les jeunes, quoi qu'on en dise, ils aiment quand même l'automobile. Et de plus en plus. Et c'est ça qui me réjouit finalement. C'est que les jeunes d'aujourd'hui qui malheureusement vivent une période assez sombre de l'automobile via les technologies électriques et hybrides, reviennent vers les fondamentaux du passé et se disent que c'est vrai que les voitures d'avant étaient vraiment sympas. Et je les rejoins et c'est pour ça qu'on leur montre parce que ce qu'ils n'ont pas eu, eux, à leur âge, on leur montre ce qu'on a eu, nous, à leur âge. Et c'est ça qui est bien.
Speaker #1
Ok, très clair. Donc juste pour résumer, toi en fait, tes canaux d'acquisition, pour employer un peu les termes de marketing. Canaux d'acquisition,
Speaker #2
on fait beaucoup de dépôts-ventes, très clairement. C'est les réseaux. C'est le site internet, c'est nos rassemblements, c'est notre présence sur différents rassemblements du dimanche. Parce qu'aujourd'hui on est ouvert du lundi au samedi, mais le dimanche, que ça soit mon collaborateur comme moi-même, on est sur différents événements le dimanche. Alors je dirais pas tous les dimanches, mais beaucoup. Et on est sur le terrain parce qu'on aime ça. En fait on ne se force pas. C'est ça qui est bien. J'ai pas l'impression d'être au travail quand je viens au travail.
Speaker #1
Un métier passion ?
Speaker #2
C'est un métier passion, mais c'est un métier... Alors c'est piégeux le métier passion parce qu'on met le doigt dedans, on sait jamais comment on... On n'en sort pas. On ne compte pas 16 ans. Ça, c'est normal. Quand j'étais salarié, déjà, je ne les comptais pas. Mais là, c'est même pire que tout. Si je pouvais y passer H24, je le ferais. Néanmoins, il y a des limites quand même à ne pas dépasser. Mais ça reste quand même ce que j'appelle du rêve au quotidien. On a la chance d'avoir des voitures exceptionnelles, d'avoir des clients extrêmement sympas. et passionné. On a un site, parce que l'essence de l'automobile est un lieu assez magique, rempli de lumière. On est sur un site industriel qui est sympa et on est dans un endroit géographique qui est tout aussi sympa, puisque les Yvelines, c'est un très beau département. On a la chance d'avoir des routes Tout autour qui sont exceptionnels, que ce soit dans l'Eure, le Vexin, la Normandie, dans les Yvelines, on est à côté de Rambouillet, on est à côté de toutes ces belles routes finalement. On est à 5 minutes de la pleine campagne, donc on peut se régaler très très vite à faire des sorties, faire des rallies. Et c'est pour ça que les centres d'automobiles d'ailleurs travaillent en collaboration avec certains clubs pour faire des départs de rallyes. pour faire des arrivées de rallye touristiques, l'organisation de l'Assemblée Générale pour les clubs. Donc on loue l'espace avec des prestations, ça peut être des petits déjeuners, des déjeuners, ou alors un food truck, on peut faire venir un food truck. Tout ça, je veux dire, dans la bonne humeur et le plaisir de l'automobile. Et ça c'est vraiment génial, parce qu'en fait c'est que des rencontres. Et finalement, les rencontres ramènent des rencontres et c'est infini.
Speaker #1
Alors justement, je voulais te poser une question là-dessus par rapport aux rencontres. On te voit très très souvent dans la presse, dans les médias, alors que ce soit en ligne ou papier. Pourquoi ? Qu'est-ce que ça t'amène ? Est-ce que c'est une volonté ? Est-ce que c'est eux qui viennent te chercher ? Est-ce que ça crée un buzz ? Est-ce que ça crée une clientèle ? Alors je sais que ce n'est pas facile à mesurer parce que ce n'est pas quantifiable directement. Oui,
Speaker #2
alors... Alors que ce soit la presse écrite comme les émissions télé, alors j'y suis peu, mais ça m'arrive, on n'est pas... C'est assez difficile à expliquer, mais que ce soit les gens connus ou moins connus, ils apportent effectivement quelque chose de... Bon, ils ont leur image. Il passe à la télé, donc automatiquement, je veux dire, l'écho médiatique de tout ça est quand même assez gros, non mesurable. Néanmoins, c'est toujours un plaisir, effectivement, de recevoir Dominique Chapatte, François Allain, Grégory Galifi, Thomas Bastard, Le Taune, enfin bon, tous ces gens-là. qui au quotidien on les voit à la télé et puis ils viennent à l'essence de l'automobile donc c'est vraiment sympa après la presse écrite c'est pareil avec Sport Auto Classique Autoplus Classique et Autoplus Unetimer voire Autoretro et bien d'autres, il y a Unetimer Magazine etc viennent de temps en temps pour faire des reportages sur les voitures que nous avons parce qu'encore une fois ... Mon rôle est de transmettre et de montrer et de faire vivre à nos clients et à nos... Je dirais pas fans, mais notre communauté, que l'automobile ne s'arrête pas à...
Speaker #1
Un GT3
Speaker #2
RS. Un RS3 Audi de 2015. Il y a autant d'automobiles... que de personnes dans le monde. En fait, chaque voiture est unique et c'est un peu ça que je veux vous montrer. C'est que la diversité est tellement grande que finalement, c'est inépuisable.
Speaker #1
Tu as beaucoup de partenaires, qu'on peut voir notamment sur ton site et dans ton showroom. Quels sont tes critères pour les accepter, pour faire une collaboration ? Et concrètement, qu'est-ce que ça apporte à ton concept et aussi à tes clients, par exemple, qui achètent une voiture ? Qu'est-ce que ça peut leur amener ?
Speaker #2
Alors. Les partenaires de l'essence de l'automobile, j'ai plusieurs types de partenaires. J'ai les partenaires liés à un service, ça peut être MySmartObject, pour ne pas les citer, au niveau du traceur en cas de vol. ce que j'appelle donc du service de protection. Ça peut être aussi le service carte grise, le service carte grise, enfin tout un tas de choses, expertise, etc. Donc ça, c'est des partenaires vraiment métiers et des partenaires artistiques. Les partenaires métiers que je viens d'expliquer, c'est une approche qui va se faire sur leur savoir-faire. Et sur l'éthique de leur service qui doit rester avant tout en France. Donc ça à la base, il faut que ça soit en France. Si ce n'est pas en France, je ne fais pas. Il faut que la personne, je l'appelle, elle me réponde. Ça c'est la base de la base. Partie artistique c'est différent. Partie esthétique, bon déjà, il faut que la personne ait un... est un talent, est du talent, qu'elle corresponde à ce que j'aime et qu'elle veuille bien évidemment travailler avec l'essence de l'automobile et puis qu'elle montre un petit peu tout le savoir-faire qu'un artiste, je vais dire inconnu, parce que ce qui m'intéresse moi c'est montrer les richesses de l'artisanat et de tous ces artistes de l'ombre qui font des choses incroyables et qu'on arrive. Et franchement, ils ont du mal à être visibles. Voire ils sont complètement noyés dans la masse et ils n'arrivent pas à émerger finalement, ne serait-ce que d'avoir un minimum de visibilité sur tout ça. Donc c'est un peu mon rôle. Si on doit parler économie et économique sur cette tranche-là, il n'y en a pas. En fait, je le fais vraiment, déjà parce que c'est beau. Ça donne à l'essence de l'automobile une beauté intérieure et une diversité exceptionnelles. Et ça permet de montrer à tous nos visiteurs qu'une sculpture faite en pierre, comme sur mon bureau là, ou une sculpture faite en résine sur l'autre côté de mon bureau, c'est deux artistes d'univers complètement différents, mais qui finalement font un travail tout aussi exceptionnel l'un comme l'autre. Des exemples, j'en ai des milliers. En fait, si je m'écoutais, je serais un accumulateur de choses exceptionnelles, sauf que je suis tout seul. Et je ne peux pas tout faire, je ne peux pas tout représenter et je n'ai pas assez de temps.
Speaker #1
Très clair, ok. Pour conclure sur une note un peu plus légère, on va dire, est-ce que tu as une anecdote ou quelque chose d'insolite ou même de drôle qui te serait arrivé en lien avec l'essence de l'automobile ?
Speaker #2
On va partir sur une vente, enfin sur une visite plutôt, je ne dirais même pas une vente, c'est une visite. Client qui venait de province, il avait, je ne sais plus exactement la région, mais il venait de loin. Il avait 4-5 heures de route. Il arrive ici, en fait, il m'avait appelé, il avait pris rendez-vous pour voir une Alfa Romeo, un coupé Bertone Rosso Amarento. Donc, on est sur un Bordeaux, Bordeaux-Lidevins. Il avait craqué sur cette voiture, sur photo et tout. Il était vraiment très, très intéressé par cette voiture. Il souhaitait la voir. Chose qu'il a faite avec un ami. Donc ils se sont déplacés. Ils ont vu la voiture, il a bien évidemment pris la voiture, mais au moment où il a pris cette voiture-là, il a fait bien évidemment un tour dans le showroom, et il ne s'est pas arrêté à acheter que cette voiture-là, mais il a acheté une deuxième, il s'est arrêté aussi sur une Triumph TR 250, qui est la soeur jumelle de la TR5. Donc très beau modèle, un peu moins rare que la TR5, mais tout aussi prestigieux. Et donc il est reparti non pas avec une, mais avec deux voitures ce jour-là. C'était un peu l'anecdote où la personne achète deux pages d'histoire, une anglaise et une italienne, à peu près des mêmes années, mais ça reste un super souvenir. Et puis un client qui, justement, chef d'entreprise, lui avait eu un pépin de santé assez important. et qui s'est dit, il faut que je me fasse plaisir maintenant, il faut que j'en profite, et il a craqué sur ces deux voitures.
Speaker #1
D'accord,
Speaker #2
ok.
Speaker #1
Bon, alors, pour finir, finir, finir, donc si on veut te retrouver, site internet, l'essence de l'automobile.fr.
Speaker #2
www.lessence-de-l'automobile.fr L'essence de l'automobile, tout attaché, sans apostrophe et au singulier, je le précise, .fr Auberge en ville, ça c'est la ville. Un boulevard de vente de Mantes, ça c'est l'adresse, ouvert du lundi au samedi, et puis retrouvez aussi nous sur les réseaux sociaux, Instagram l'essence de l'automobile, Facebook l'essence de l'automobile, LinkedIn l'essence de l'automobile, et TikTok l'essence de l'automobile. Avec tout ça, je pense que vous n'allez pas trop vous perdre, et puis surtout... est très important. Venez nous voir. C'est important.
Speaker #1
OK. Eh bien, écoute, merci beaucoup pour cet échange et puis longue vie à l'autopassion, alors.
Speaker #0
C'est ça.
Speaker #1
Allez, merci Bertrand. Merci Vivien. ciao ciao

About Moteur & Marketing

Au programme :

Les meilleures pratiques pour booster vos ventes et votre visibilité.
Des conseils concrets pour optimiser vos outils marketing.
Des retours d’expérience inspirants pour transformer vos idées en résultats.

Moteur & Marketing, c’est le mélange parfait entre des interviews exclusives, des stratégies éprouvées et des astuces pratiques pour réussir dans le secteur automobile.

Démarrez les moteurs, booster votre business, gagnez la course !

Par Vivien Leleu, fondateur de l'agence marketing automobile, APMF.

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Description

L’Essence de l’Automobile : comment créer un showroom rentable sans perdre l’âme et la passion.

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Transcription

Speaker #0
Alors, salut Bertrand. Merci déjà pour ton accueil dans ton super showroom dont on va parler. Bertrand, tu as plus de 25 ans d'expérience dans l'automobile, si je ne dis pas de bêtises.
Speaker #2
À peu près, oui, effectivement.
Speaker #1
Est-ce que tu pourrais nous raconter un peu ton parcours pro ? Et surtout, comment est-ce que tu es venu à fonder le showroom dont je vais te laisser donner le nom ?
Speaker #2
Tout d'abord, je vais me présenter. Je m'appelle Bertrand Petremont. Je suis le fondateur de l'essence de l'automobile. c'est une boîte qui est aujourd'hui à peu près un petit peu plus de trois ans et demi. Donc ça, c'est la finalité finalement du jour. Mon parcours scolaire déjà, parce qu'en fin de compte, avant d'avoir une expérience professionnelle, à proprement dire, on a une expérience scolaire. J'ai fait mes études autour de l'automobile au Garak, l'École nationale des professions de l'automobile et du motocycle à Argenteuil. j'ai fait un cursus de 6 ans ans là-bas, du CAP au BTS, 4 ans mécanique auto, CAP, BE, EBEC Pro, et un BTS, assistant de gestion, PME, PMI, options automobiles, donc tout ça dans le cadre de ce lycée professionnel qui est axé à 200% sur les métiers de la mobilité maintenant, mais surtout les métiers de l'automobile à mon époque. sortie de l'école j'ai fait Comme il se devait, un service national qui m'a servi beaucoup, parce que finalement, je suis retourné à la caisse outil, et j'étais mécanicien à la police de Paris, et je réparais les voitures de police pour la préfecture de police de Paris. Donc j'ai fait ça pendant neuf ans. mois, enfin 8 mois exactement, et donc ça m'a permis d'en retrouver un petit peu mes premières armes de mécanicien qui me manquaient, et ça fait du bien de retourner un petit peu à la caisse à outils et de retrouver toutes ces odeurs, ces sensations, et puis de remettre les mains un peu dans le cambouis. Sorti de là, j'ai été réceptionnaire, alors je me suis tout de suite dirigé finalement sur le côté réception. de l'après-vente puisque le côté après-vente était ma formation de base et je souhaitais vraiment accompagner les clients autour du commerce de l'après-vente conseil et donc accueillir et puis diriger finalement les clients qui déposaient leur véhicule à l'atelier pour recueillir les... les pannes, les plaintes clients autour de leurs autos. J'ai fait ça quelques années. J'ai commencé chez Volkswagen. J'ai fait ça pendant un an. Puis, je suis parti assez rapidement et j'ai rejoint la maison Peugeot. La maison Peugeot, je suis resté chez Vauban, le groupe Vauban Automobiles, qui n'avait que Peugeot à l'époque. et je suis resté 4 ans à peu près tout seul. gérer une petite agence Peugeot à Bougival, où j'étais avec trois mécaniciens et puis moi, et je gérais le magasin, la réception, les commandes, enfin j'étais vraiment complètement autonome, et c'est ce qui m'a permis finalement d'accumuler énormément d'expérience autour de l'après-vente automobile et de la gestion. d'un commerce. Et ça, ça m'a vraiment beaucoup plu puisque j'étais vraiment multicarte et c'est ce qui m'a permis vraiment de m'éclater dans mon travail. Et mon patron, enfin mon ancien patron, qui était Olivier Oussard, qui est toujours président du groupe Vauban d'ailleurs, a tout de suite compris mes... Comment j'étais câblé et finalement m'a bougé assez rapidement de poste pour éviter que je m'ennuie. Parce que dès l'instant où j'étais en position de confort, je m'ennuyais, il fallait que je retrouve ce que j'appelle une certaine... Alors un certain challenge, mais une certaine aussi anxiété pour que je sois dans mon milieu. et la zone de confort voilà donc tous les 2-3 ans Il me bougeait de poste et de site pour justement m'alimenter en ce sens. Donc j'ai fait pas mal de sites pour le coup, pour le groupe Boban. Donc Bougival, j'ai commencé, après j'ai fait Chambourcy, Les Mureaux. Chambourcy, les Mureaux, j'ai fait un peu mon tesson, j'ai fait pas mal de sites, pas mal de postes aussi, et j'ai fini chez eux par la création du premier site autre marque que Peugeot, avec l'ouverture et la création du site Seat à Chambourcy. Donc je suis retourné dans la famille Volkswagen, puisque Seat fait partie du groupe Volkswagen, Et donc là... J'ai ce que j'appelle retrouvé mes premières armes tout en gérant une ouverture des process extrêmement importants et lourds chez Volkswagen, avec des formations et des diplômes à obtenir, obligatoires pour avoir tous les cursus. Et là j'étais responsable garanti, responsable magasin. responsable réception, chef d'atelier, etc. Donc je cumulais toutes les casquettes sur un tout petit site finalement, puisque j'ai commencé avec deux techniciens, trois ponts, un magasin et moi.
Speaker #1
Voilà.
Speaker #2
Mais je gérais toute la... En fait j'étais l'homme de l'ombre, mais l'homme indispensable finalement, le chef d'orchestre qui me permettait... alors Effectivement de m'éclater, mais il y a un moment donné, la machine, tellement c'était lourd, elle a commencé à s'épuiser, et il fallait, alors soit il fallait de l'aide, parce qu'il y a un moment donné, quand on ouvre c'est bien, donc on monte en puissance, mais il y a un moment donné, stop, on ne peut plus, et donc là on n'a plus été trop en phase avec les directives de la direction de l'époque, et donc j'ai quitté SEAT, pour repartir sur un... toujours dans l'après-vente et là j'ai été chez Porsche à Vélizy je suis pas resté très longtemps, je suis resté une petite année là-bas pareil parce qu'il y avait des process bien lourds mais surtout c'était le comment dire, les embouteillages et le trajet pour y aller qui a fini par me lasser et là donc je suis reparti sur Sur ma première marque qui était Volkswagen, Paris 7ème arrondissement, groupe Fairplay, je suis resté quelques années là-bas et puis j'ai remondi sur la marque Honda Japoto, Paris 16, et j'ai passé 4-5 ans de merveilleuses années avec une équipe extraordinaire, une direction sympa, une marque super, et alors pareil, toujours dans le multicarte. Je suis toujours resté un peu le couteau de Suisse, à gérer tout un tas de choses, l'après-vente, le côté magasin, le côté développement commercial, après-vente, etc. En fait, je suis toujours resté à peu près dans les mêmes fonctions, et c'est ce qui me permettait finalement d'avoir cette diversité et de ne pas m'ennuyer. Jusqu'à un moment où on a commencé à me cloisonner. Non pas chez Honda, mais chez d'autres marques comme Alfa Romeo, Mercedes et Audi, où j'ai terminé finalement ma carrière, en tout cas de chef après-vente, Audi Boer, où c'était une très bonne boîte, mais à un moment donné, j'étais trop dans l'administratif, j'avais plus ce côté front office ou beaucoup moins. Et puis ça devenait vraiment pareil, des process pour des process, et à la fin ça m'ennuyait. Il fallait toujours correspondre à la virgule près aux normes du constructeur, qui pour moi n'avaient plus de logique et qui nous empêchaient de travailler au quotidien. Donc j'ai préféré laisser la place à d'autres. d'autres personnes et c'est là que je me suis rendu compte que via ma passion automobile que je vivais du vendredi soir au dimanche soir, et grâce aussi à ma compagne, m'a ouvert les yeux sur le fait que j'avais beaucoup de flèches à mon arc et que je pouvais aujourd'hui monter ma propre boîte autour de ce que j'aime le plus au monde professionnellement et personnellement, c'est l'automobile passion. Donc on retrouve des vraies valeurs, des vrais échanges. On n'est pas dans une pression. Alors, pas la pression. En tant que chez l'entreprise, on a une pression, bien évidemment. Néanmoins, on n'a pas la peur au vent du mal fait, du chiffre à tout prix, quoi qu'il en coûte, etc. Ça n'existe pas. Donc je suis maître de moi-même, j'ai des priorités, bien évidemment. Il faut vivre. Néanmoins, c'est une bonne pression. Ce n'est pas une pression négative. Et puis, je vis au quotidien avec des voitures exceptionnelles, des clients passionnés, une clientèle passionnée, des gens qui partagent ça au quotidien. Et ce n'est que du plaisir. Et donc, ça fait trois ans et demi maintenant, un petit peu plus de trois ans et demi que je fais tourner cette boutique. Alors j'y ai bien évidemment mis une patte personnelle en y mettant aussi des œuvres d'art, des produits made in France, de l'artisanat français et surtout beaucoup de cœur et une approche commerciale extrêmement rigoureuse. Mais ça c'est mes restes et je pense que c'est une bonne école. Les restes justement du parcours professionnel que j'ai eu avant, qui me permet d'avoir ce que j'appelle une analyse technique, mais aussi une analyse commerciale, et de détecter un petit peu les besoins de nos clients.
Speaker #1
Ok, tu viens de le dire, donc tu as un showroom, c'est vrai, qui mélange, c'est un lieu qui est très convivial, qui mélange l'exigence et l'authenticité. Alors justement, tu en as déjà un petit peu parlé, mais est-ce que tu pourrais vraiment définir l'ADN pur ? de l'essence de l'automobile et en fait les valeurs justement qui distinguent des autres acteurs de ce milieu.
Speaker #2
L'ADN de l'essence de l'automobile déjà, elle est sur un mot, c'est la convivialité. C'est l'ouverture, la convivialité. Et c'est surtout le fait que chaque personne puisse, quoi qu'il arrive, s'offrir un petit bout de l'essence de l'automobile. Ça peut être un objet, Ça peut être une voiture, ça peut être un tableau, quelque chose. Mais en tout cas, comme dans l'automobile, j'essaye d'avoir un panel de prix qui soit le plus ouvert possible, tout en ayant une qualité extrêmement rigoureuse et toujours bien documenter les véhicules. Voilà. Donc ça, c'est la DML propre, c'est-à-dire transparence. et suivi des autos avec ou sans expertise. Ça, on pourra éventuellement en reparler plus tard. Mais en tout cas, il faut que ça soit un produit de qualité exceptionnel. par une rareté, par un dossier, par son histoire, par beaucoup de points qui font qu'à un moment donné, on puisse raconter une histoire à l'objet. Ça peut être une sculpture, mais ça peut être une voiture, un dessin, via l'artiste, etc. Il faut toujours qu'il y ait ce côté humain autour de l'ADN de l'essence de l'automobile. Et c'est un peu la force. Si on fait aussi des rassemblements mensuels aujourd'hui, c'est pour ce que j'appelle avoir un socle et faire partager cette passion à des visiteurs, des amateurs, des amatrices, des passionnés, des collectionneurs. Mais l'essence de l'automobile, il faut qu'elle vive autour de ce cercle-là. Et c'est pour moi le plus important. Le partage et animer. cette passion et cette détermination à montrer ce que nos artistes français peuvent faire. Et quand je dis les artistes français, c'est dans le sens large du terme, parce que j'en ai qui viennent vraiment des quatre coins de la France.
Speaker #1
Juste pour un peu rebondir sur ce que tu viens de dire et pour parler un peu plus de business et marketing, aujourd'hui concrètement, qu'est-ce que tu mets en place pour attirer tes nouveaux clients ? On va peut-être parler plus sur les achats de voitures que tout ce que tu fais. Mais voilà, pour que les gens comprennent, on travaille ensemble. D'ailleurs,
Speaker #2
tu es un de mes premiers clients et je te remercie de ta confiance. Alors, APMF, pour citer ton agence, a fait un gros travail au niveau du site internet, et en fait toujours d'ailleurs, puisqu'il est en perpétuelle évolution. Mais je pense que l'évolution est pour moi normale, puisque les technologies avancent. Les visibilités se bougent et il ne faut pas rester sur le bord du chemin et attendre que le train passe. Donc effectivement, je suis suffisamment alerte et attentif au monde qui m'entoure pour ne pas rester immobile à ma concurrence, à mes confrères. Je ne suis pas le seul à être dans ce domaine-là. Néanmoins, il faut toujours essayer de se démarquer dans un sens ou dans un autre, et puis surtout apporter une visibilité intelligente et une communication bienveillante sur le monde de l'automobile actuel. L'automobile passion, bien évidemment, je ne parle pas de l'automobile actuel, mais de l'automobile passion actuel, que ce soit des véhicules des années 60 ou un timer d'aujourd'hui. qui sont en plein boom en termes de commerce. Mais voilà, il faut écouter nos clients, il faut écouter nos jeunes, parce que c'est les jeunes aussi qui font qu'à un moment donné, ce seront eux les futurs clients, ou en tout cas les futurs ambassadeurs de l'essence de l'automobile. Donc c'est pour ça que je me dois de leur ouvrir la porte, de leur montrer ce qu'on fait et de les écouter. Et c'est grâce aux réseaux sociaux aujourd'hui, grâce au rassemblement mensuel, qu'on a une certaine communauté qui nous suit et qui montre que les jeunes, quoi qu'on en dise, ils aiment quand même l'automobile. Et de plus en plus. Et c'est ça qui me réjouit finalement. C'est que les jeunes d'aujourd'hui qui malheureusement vivent une période assez sombre de l'automobile via les technologies électriques et hybrides, reviennent vers les fondamentaux du passé et se disent que c'est vrai que les voitures d'avant étaient vraiment sympas. Et je les rejoins et c'est pour ça qu'on leur montre parce que ce qu'ils n'ont pas eu, eux, à leur âge, on leur montre ce qu'on a eu, nous, à leur âge. Et c'est ça qui est bien.
Speaker #1
Ok, très clair. Donc juste pour résumer, toi en fait, tes canaux d'acquisition, pour employer un peu les termes de marketing. Canaux d'acquisition,
Speaker #2
on fait beaucoup de dépôts-ventes, très clairement. C'est les réseaux. C'est le site internet, c'est nos rassemblements, c'est notre présence sur différents rassemblements du dimanche. Parce qu'aujourd'hui on est ouvert du lundi au samedi, mais le dimanche, que ça soit mon collaborateur comme moi-même, on est sur différents événements le dimanche. Alors je dirais pas tous les dimanches, mais beaucoup. Et on est sur le terrain parce qu'on aime ça. En fait on ne se force pas. C'est ça qui est bien. J'ai pas l'impression d'être au travail quand je viens au travail.
Speaker #1
Un métier passion ?
Speaker #2
C'est un métier passion, mais c'est un métier... Alors c'est piégeux le métier passion parce qu'on met le doigt dedans, on sait jamais comment on... On n'en sort pas. On ne compte pas 16 ans. Ça, c'est normal. Quand j'étais salarié, déjà, je ne les comptais pas. Mais là, c'est même pire que tout. Si je pouvais y passer H24, je le ferais. Néanmoins, il y a des limites quand même à ne pas dépasser. Mais ça reste quand même ce que j'appelle du rêve au quotidien. On a la chance d'avoir des voitures exceptionnelles, d'avoir des clients extrêmement sympas. et passionné. On a un site, parce que l'essence de l'automobile est un lieu assez magique, rempli de lumière. On est sur un site industriel qui est sympa et on est dans un endroit géographique qui est tout aussi sympa, puisque les Yvelines, c'est un très beau département. On a la chance d'avoir des routes Tout autour qui sont exceptionnels, que ce soit dans l'Eure, le Vexin, la Normandie, dans les Yvelines, on est à côté de Rambouillet, on est à côté de toutes ces belles routes finalement. On est à 5 minutes de la pleine campagne, donc on peut se régaler très très vite à faire des sorties, faire des rallies. Et c'est pour ça que les centres d'automobiles d'ailleurs travaillent en collaboration avec certains clubs pour faire des départs de rallyes. pour faire des arrivées de rallye touristiques, l'organisation de l'Assemblée Générale pour les clubs. Donc on loue l'espace avec des prestations, ça peut être des petits déjeuners, des déjeuners, ou alors un food truck, on peut faire venir un food truck. Tout ça, je veux dire, dans la bonne humeur et le plaisir de l'automobile. Et ça c'est vraiment génial, parce qu'en fait c'est que des rencontres. Et finalement, les rencontres ramènent des rencontres et c'est infini.
Speaker #1
Alors justement, je voulais te poser une question là-dessus par rapport aux rencontres. On te voit très très souvent dans la presse, dans les médias, alors que ce soit en ligne ou papier. Pourquoi ? Qu'est-ce que ça t'amène ? Est-ce que c'est une volonté ? Est-ce que c'est eux qui viennent te chercher ? Est-ce que ça crée un buzz ? Est-ce que ça crée une clientèle ? Alors je sais que ce n'est pas facile à mesurer parce que ce n'est pas quantifiable directement. Oui,
Speaker #2
alors... Alors que ce soit la presse écrite comme les émissions télé, alors j'y suis peu, mais ça m'arrive, on n'est pas... C'est assez difficile à expliquer, mais que ce soit les gens connus ou moins connus, ils apportent effectivement quelque chose de... Bon, ils ont leur image. Il passe à la télé, donc automatiquement, je veux dire, l'écho médiatique de tout ça est quand même assez gros, non mesurable. Néanmoins, c'est toujours un plaisir, effectivement, de recevoir Dominique Chapatte, François Allain, Grégory Galifi, Thomas Bastard, Le Taune, enfin bon, tous ces gens-là. qui au quotidien on les voit à la télé et puis ils viennent à l'essence de l'automobile donc c'est vraiment sympa après la presse écrite c'est pareil avec Sport Auto Classique Autoplus Classique et Autoplus Unetimer voire Autoretro et bien d'autres, il y a Unetimer Magazine etc viennent de temps en temps pour faire des reportages sur les voitures que nous avons parce qu'encore une fois ... Mon rôle est de transmettre et de montrer et de faire vivre à nos clients et à nos... Je dirais pas fans, mais notre communauté, que l'automobile ne s'arrête pas à...
Speaker #1
Un GT3
Speaker #2
RS. Un RS3 Audi de 2015. Il y a autant d'automobiles... que de personnes dans le monde. En fait, chaque voiture est unique et c'est un peu ça que je veux vous montrer. C'est que la diversité est tellement grande que finalement, c'est inépuisable.
Speaker #1
Tu as beaucoup de partenaires, qu'on peut voir notamment sur ton site et dans ton showroom. Quels sont tes critères pour les accepter, pour faire une collaboration ? Et concrètement, qu'est-ce que ça apporte à ton concept et aussi à tes clients, par exemple, qui achètent une voiture ? Qu'est-ce que ça peut leur amener ?
Speaker #2
Alors. Les partenaires de l'essence de l'automobile, j'ai plusieurs types de partenaires. J'ai les partenaires liés à un service, ça peut être MySmartObject, pour ne pas les citer, au niveau du traceur en cas de vol. ce que j'appelle donc du service de protection. Ça peut être aussi le service carte grise, le service carte grise, enfin tout un tas de choses, expertise, etc. Donc ça, c'est des partenaires vraiment métiers et des partenaires artistiques. Les partenaires métiers que je viens d'expliquer, c'est une approche qui va se faire sur leur savoir-faire. Et sur l'éthique de leur service qui doit rester avant tout en France. Donc ça à la base, il faut que ça soit en France. Si ce n'est pas en France, je ne fais pas. Il faut que la personne, je l'appelle, elle me réponde. Ça c'est la base de la base. Partie artistique c'est différent. Partie esthétique, bon déjà, il faut que la personne ait un... est un talent, est du talent, qu'elle corresponde à ce que j'aime et qu'elle veuille bien évidemment travailler avec l'essence de l'automobile et puis qu'elle montre un petit peu tout le savoir-faire qu'un artiste, je vais dire inconnu, parce que ce qui m'intéresse moi c'est montrer les richesses de l'artisanat et de tous ces artistes de l'ombre qui font des choses incroyables et qu'on arrive. Et franchement, ils ont du mal à être visibles. Voire ils sont complètement noyés dans la masse et ils n'arrivent pas à émerger finalement, ne serait-ce que d'avoir un minimum de visibilité sur tout ça. Donc c'est un peu mon rôle. Si on doit parler économie et économique sur cette tranche-là, il n'y en a pas. En fait, je le fais vraiment, déjà parce que c'est beau. Ça donne à l'essence de l'automobile une beauté intérieure et une diversité exceptionnelles. Et ça permet de montrer à tous nos visiteurs qu'une sculpture faite en pierre, comme sur mon bureau là, ou une sculpture faite en résine sur l'autre côté de mon bureau, c'est deux artistes d'univers complètement différents, mais qui finalement font un travail tout aussi exceptionnel l'un comme l'autre. Des exemples, j'en ai des milliers. En fait, si je m'écoutais, je serais un accumulateur de choses exceptionnelles, sauf que je suis tout seul. Et je ne peux pas tout faire, je ne peux pas tout représenter et je n'ai pas assez de temps.
Speaker #1
Très clair, ok. Pour conclure sur une note un peu plus légère, on va dire, est-ce que tu as une anecdote ou quelque chose d'insolite ou même de drôle qui te serait arrivé en lien avec l'essence de l'automobile ?
Speaker #2
On va partir sur une vente, enfin sur une visite plutôt, je ne dirais même pas une vente, c'est une visite. Client qui venait de province, il avait, je ne sais plus exactement la région, mais il venait de loin. Il avait 4-5 heures de route. Il arrive ici, en fait, il m'avait appelé, il avait pris rendez-vous pour voir une Alfa Romeo, un coupé Bertone Rosso Amarento. Donc, on est sur un Bordeaux, Bordeaux-Lidevins. Il avait craqué sur cette voiture, sur photo et tout. Il était vraiment très, très intéressé par cette voiture. Il souhaitait la voir. Chose qu'il a faite avec un ami. Donc ils se sont déplacés. Ils ont vu la voiture, il a bien évidemment pris la voiture, mais au moment où il a pris cette voiture-là, il a fait bien évidemment un tour dans le showroom, et il ne s'est pas arrêté à acheter que cette voiture-là, mais il a acheté une deuxième, il s'est arrêté aussi sur une Triumph TR 250, qui est la soeur jumelle de la TR5. Donc très beau modèle, un peu moins rare que la TR5, mais tout aussi prestigieux. Et donc il est reparti non pas avec une, mais avec deux voitures ce jour-là. C'était un peu l'anecdote où la personne achète deux pages d'histoire, une anglaise et une italienne, à peu près des mêmes années, mais ça reste un super souvenir. Et puis un client qui, justement, chef d'entreprise, lui avait eu un pépin de santé assez important. et qui s'est dit, il faut que je me fasse plaisir maintenant, il faut que j'en profite, et il a craqué sur ces deux voitures.
Speaker #1
D'accord,
Speaker #2
ok.
Speaker #1
Bon, alors, pour finir, finir, finir, donc si on veut te retrouver, site internet, l'essence de l'automobile.fr.
Speaker #2
www.lessence-de-l'automobile.fr L'essence de l'automobile, tout attaché, sans apostrophe et au singulier, je le précise, .fr Auberge en ville, ça c'est la ville. Un boulevard de vente de Mantes, ça c'est l'adresse, ouvert du lundi au samedi, et puis retrouvez aussi nous sur les réseaux sociaux, Instagram l'essence de l'automobile, Facebook l'essence de l'automobile, LinkedIn l'essence de l'automobile, et TikTok l'essence de l'automobile. Avec tout ça, je pense que vous n'allez pas trop vous perdre, et puis surtout... est très important. Venez nous voir. C'est important.
Speaker #1
OK. Eh bien, écoute, merci beaucoup pour cet échange et puis longue vie à l'autopassion, alors.
Speaker #0
C'est ça.
Speaker #1
Allez, merci Bertrand. Merci Vivien. ciao ciao

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Moteur & Marketing, c’est le mélange parfait entre des interviews exclusives, des stratégies éprouvées et des astuces pratiques pour réussir dans le secteur automobile.

Démarrez les moteurs, booster votre business, gagnez la course !

Par Vivien Leleu, fondateur de l'agence marketing automobile, APMF.

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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