Speaker #0Certains voient l'activité physique comme un investissement pour leur santé et leur bien-être. Vous voulez en faire partie ? Bienvenue chez Mouvementale. Je m'appelle Magali Dubois et je m'adresse particulièrement aux non-sportifs et à tous ceux qui aimeraient enfin réussir à adopter un mode de vie actif dans la durée. C'est en vous partageant des connaissances, des expériences et des points de vue différents que j'ai l'intention de vous aider à bâtir l'état d'esprit et la motivation nécessaire pour le faire. Alors j'espère que ça vous aidera et que vous aurez envie d'en parler autour de vous. Saviez-vous que vous avez la possibilité de rendre vos efforts plus faciles sans même baisser l'intensité de votre séance ? Ça veut dire qu'on peut apprendre à mieux vivre nos efforts sans forcément diminuer l'effort, c'est-à-dire diminuer la difficulté de l'effort au sens de « je porte moins lourd si je suis en train de faire de la muscu » , « je cours moins vite si je suis en train de courir » . Sans chercher à diminuer l'intensité, on peut vivre différemment notre effort. Et j'adore moi ce sujet parce qu'il peut vraiment justement vous aider à vivre autrement vos activités physiques. Surtout quand on démarre par exemple l'activité physique, donc quand on se remet à l'activité physique, souvent c'est difficile. Donc surtout quand on démarre l'activité physique ou quand on n'aime pas trop faire d'efforts, quand on n'aime pas le ressenti de l'effort, quand on... on associe l'effort à quelque chose de vraiment très désagréable, justement, c'est dans ces moments où chercher à faciliter un petit peu l'effort, ça devrait vous aider. Donc, dans cet épisode, ça devrait particulièrement vous intéresser si vous vivez souvent mal vos efforts ou si c'est un peu pénible, c'est un peu horrible parfois. Donc, écoutez la suite de l'épisode, ça devrait quand même vous donner quelques astuces pour justement faire en sorte que votre effort soit à vos yeux. plus agréable. Avez-vous déjà remarqué que selon comment vous êtes luné, selon votre moral, ça va avoir une influence sur comment vous vivez un petit peu votre effort ? Ça veut dire que l'effort peut paraître plus ou moins difficile selon si on est dans un bon mood ou dans un mauvais mood. Est-ce que vous avez déjà remarqué ça ? Ça, ça devrait déjà vous donner quelques petites indications. Parce que quand on n'a pas le moral, notre tête ne nous aide pas du tout dans ces moments-là. Ça veut dire que quand on n'a pas le moral, souvent on est dans des pensées un peu limitantes, négatives, on rumine, etc. Et ça, ce n'est pas très aidant pour vivre l'effort. Souvent, au contraire, ça vient un peu en rajouter une couche. Et le moindre petit truc qu'on est en train de vivre nous paraît beaucoup plus compliqué, beaucoup plus difficile. Et c'est le cas quand on fait un effort physique et qu'on n'est pas forcément bien dans notre tête. à l'inverse quand on est dans un bon mood quand on a la patate, quand on est plein d'énergie, etc., souvent, les pensées qu'on a dans ces moments-là sont des pensées qui sont plutôt dynamiques, positives, qui sont plutôt aidantes. Et ces pensées-là, elles vont nous donner plus une sensation de légèreté, vont nous donner l'impression que c'est un peu plus facile, que la vie est plus facile. C'est la même chose si on fait des efforts dans ces moments-là, les efforts vont paraître un peu plus faciles. Et ce qu'il faut commencer à comprendre, c'est que la manière dont on va justement se parler dans notre tête, Not... petite voix intérieure va influencer notre perception de l'effort. Et selon cette petite voix, on va donc percevoir l'effort comme étant plus facile ou plus difficile, sans même changer donc le niveau d'intensité de notre effort en lui-même. Il y a des études qui sont super intéressantes sur le sujet et qui montrent que la manière dont on se parle dans notre tête influence, comme je viens de le dire, la perception de notre effort, la manière dont on perçoit l'effort. Ils se sont même rendus compte Et là, c'était notamment le cas sur une étude qui évaluait ce principe-là auprès de cyclistes. Ils se sont rendus compte qu'en se parlant d'une certaine manière, ces mêmes cyclistes avaient pu s'entraîner à des intensités plus élevées sans même se rendre compte que l'intensité était plus élevée. C'est-à-dire qu'ils ont pu s'entraîner à des niveaux d'intensité plus élevés sans avoir l'impression que l'effort était plus difficile. Et ça, moi, je trouve ça juste fascinant. de se rendre compte qu'on peut influencer la manière dont on reçoit l'effort et que ce n'est pas juste l'effort en lui-même. Ce n'est pas qu'une question d'intensité, de physique, qui fait que l'effort est facile ou difficile à nos yeux. Non, pas du tout. Ça passe beaucoup par comment on interprète et ce qui se passe dans notre tête. La prochaine fois que vous ferez un effort physique, je vous encourage à prêter attention à votre petite voix intérieure, à ce que vous êtes en train de vous raconter dans votre tête en même temps que vous faites l'effort. Observez justement comment vous vous parlez, tout en remarquant, et c'est là où c'est intéressant, tout en remarquant à quel point vous êtes en train de subir ou pas votre effort, à quel point l'effort est horrible pour vous à vos yeux. Donc remarquez d'une part quelles pensées vous avez, Et en même temps, est-ce que là, l'effort, il est horrible ou pas à mes yeux ? Est-ce que je suis en train de subir ou pas ? Et quand vous aurez fait un peu ces constats, quand vous aurez fait ces observations, ça vous donnera un peu des indications sur, finalement, est-ce que ma petite voix, elle est adaptée ou est-ce qu'elle est plutôt aidante ou plutôt limitante ? Pour certaines personnes, vous allez vous rendre compte que si l'effort, il est plutôt, on va dire, agréable, ou en tout cas qu'il n'est pas vécu comme quelque chose d'horrible, peut-être que votre petite voix, elle est adaptée à ce moment. Pour d'autres, vous allez peut-être vous rendre compte qu'en fait, vous ne vous aidez pas du tout dans ces moments. Et au contraire, vous avez un discours interne, donc c'est la petite voix intérieure. Vous avez un discours interne qui est plutôt limitant et qui vient rajouter une couche et qui vient justement, qui ne vous aide pas tout simplement. Donc faites un petit peu le test. Et ensuite, ce que je vous propose, c'est de tester différentes manières de vous parler. Je vais vous en proposer deux. La première, c'est d'orienter votre petite voix intérieure. sur votre ressenti, sur votre respiration, votre posture. Donc par exemple, si on parle de posture, ça pourrait être là, allez, tiens-toi à droite, ou ouvre un peu plus tes épaules. Si on est sur la respiration, pour quelqu'un qui est en train de courir, par exemple, ça pourrait être se concentrer sur le rythme, ce genre de trucs. Ça pourrait être se concentrer sur le ressenti sur différentes parties du corps. la technique du geste. Essayez cette première forme de discours interne qui est plutôt orientée soit sur le ressenti de l'effort, soit sur le côté un peu plus technique, sur comment faire son effort. Donc, ça peut être en se focalisant sur la respiration, sur la posture, sur le geste en lui-même, etc. Testez ça. Et puis ensuite, testez une autre forme. Testez plutôt d'orienter vos pensées sur des phrases motivationnelles, sur des phrases qui vont être encourageantes. Ça peut être par exemple, allez, je sais que je peux y arriver, je l'ai déjà fait, je sais que j'en suis capable, etc. Mais je vous invite aussi et surtout à tester de vous parler à la deuxième personne du singulier. Il y a vraiment des études qui montrent que chez certaines personnes, ça va avoir encore plus d'impact, ça va dire que ça va être encore plus aidant et être plus puissant. Donc par exemple de se dire, tu sais que tu peux y arriver, tu l'as déjà fait, t'en es capable. etc. En fait, ça donne la sensation au cerveau que cette petite voix, elle vient de l'extérieur. Ça donne la sensation que c'est quelqu'un qui est à côté de nous, qui est en train de nous encourager. Et du coup, ça peut avoir plus d'effets. Donc, essayez ça. Essayez cette petite voix un peu plus encourageante, motivationnelle. Et vous pouvez aussi vous amuser pendant la même séance à switcher entre ces deux formes-là, entre la forme un peu plus orientée sur... on va dire, le processus que vous êtes en train de faire sur votre respiration, la technique, le geste, sur votre ressenti, tout ça. Et aussi de tester plutôt la forme motivationnelle. Et vous switchez, vous testez et vous voyez un peu ce qui se passe. Est-ce que là, ça vous aide ? Est-ce que là, vous avez l'impression qu'au contraire, c'est pas agréable ? Ça va pas ? Ça vous énerve plus qu'autre chose ? Et ce qu'il faut savoir aussi, c'est qu'on n'est pas sensible à la même forme de petite voix tout au long. de l'effort en lui-même. Surtout si on fait un effort d'endurance, un effort long, on va avoir besoin par moments de changer de style de petite voix, de style de discours interne, parce qu'on ne peut pas se parler non-stop. Par exemple, on ne peut pas s'encourager non-stop à se répéter la même phrase en boucle pendant une heure. Ça commence à paraître un peu compliqué. Donc, parfois, ça va être intéressant de switcher. Et c'est ça que je vous propose de tester pour voir aussi qu'est-ce qui passe le mieux, à quel moment. Et vous verrez que si vous êtes dans un bon mood ou dans un mauvais mood, peut-être que vous serez plus sensible à l'une ou l'autre de ces deux manières de se parler. Et après, sachez qu'il y a aussi plein d'autres manières de se parler. Mais là, dans cet épisode, je ne vais pas tout vous présenter. Mais déjà, de savoir que vous pouvez vous aider en modifiant un peu ce que vous êtes en train de vous raconter dans votre tête, ça, c'est énorme, je pense. Ça vous fait une belle corde à votre arc et j'espère que vous allez vous en servir et la tester pour ensuite pouvoir mieux vivre vos efforts. Parce que qui dit mieux vivre son effort dit je continue, je le refais, j'y retourne et je persévère dans mes efforts. Alors qu'à l'inverse, si à chaque fois vous subissez ou vous voyez l'effort comme quelque chose d'horrible, je pense qu'à un moment donné, vous allez lâcher parce que rien d'agréable. Et si ce n'est pas agréable, pourquoi je continuerais de le faire ? Voilà un petit peu le raisonnement. À partir de cet épisode, vous avez donc, comme je l'ai dit, une nouvelle corde à votre arc. Vous savez que vos pensées vont influencer vos efforts dans le bon comme dans le mauvais sens. Maintenant, j'avais envie, dans cet épisode, de vous donner une autre manière de mieux vivre votre effort. Vous partagez une deuxième façon de justement percevoir votre effort comme plus facile que ce qui peut être habituellement. Et cette forme-là, c'est plutôt celle de la distraction, de la diversion. C'est faire en sorte de détourner un peu notre attention vers d'autres choses. Ça va être le cas si on partage une activité avec quelqu'un, par exemple. Surtout si vous êtes en train de faire un effort, qu'en plus vous parlez. Alors ça ne veut pas dire qu'il faut parler tout le temps pendant l'effort, parce qu'à un moment donné, votre effort ne sera peut-être pas toujours efficace. Et surtout, ça risque de perturber un petit peu votre respiration. Mais en tout cas, de pratiquer avec quelqu'un, d'être en bonne compagnie, ça peut vraiment aider. Et je repense à une personne que j'ai accompagnée, qui justement à la base était venue me voir et elle avait comme objectif de courir 10 kilomètres. Et en fait, au milieu de l'accompagnement, un jour, elle me dit « Ah bah ça y est, j'ai réussi à faire mes 10 kilomètres » . Alors bien sûr, elle y était allée progressivement, mais elle me dit « J'ai réussi à faire mes 10 kilomètres, je ne pensais pas que j'allais le faire ce jour-là, mais en fait, j'étais avec ma copine » . Et on discutait, on avançait, elle m'encouragait, machin. Et petit à petit, elle a réussi à franchir ses 10 kilomètres, alors qu'elle ne s'en sentait pas forcément capable le jour J. Si elle était partie en se disant « aujourd'hui, je fais 10 kilomètres » , peut-être que ça aurait été un peu plus compliqué. Alors que là, de partager, d'être avec quelqu'un qu'elle apprécie aussi, ça l'a aidé à faire ses 10 kilomètres. Et en plus de ça, elle me dit « j'ai pas trouvé ça si long, ça s'est plutôt bien passé » . Alors qu'en parallèle, de le faire seul de son côté, le temps lui aurait peut-être paru beaucoup plus long. Parce que quand on est un peu solo dans son truc, surtout si 10 kilomètres, ça ne se fait pas en 10 minutes, donc l'effort peut paraître beaucoup plus long. Alors que pourtant, c'est le même effort. C'est juste que là, dans la première situation, elle était avec quelqu'un. Et la deuxième situation, seule face à soi-même, on a le temps de retracer un peu toute notre vie pendant une heure. Pendant une heure, voire plus. Donc c'est pour ça que c'est intéressant de se dire que... partager une activité avec quelqu'un, ça peut vraiment nous aider, nous aider à vivre l'effort un peu plus facilement. Et ça a été le cas aussi il n'y a pas très longtemps, donc j'ai organisé le challenge Oser. C'est un challenge sur un week-end et justement dans ce challenge, l'idée est de regrouper différents types de personnes qui n'ont pas forcément les mêmes niveaux de conditions physiques, mais de les regrouper pour se challenger sur... on va dire, un effort qui est inhabituel, dans des conditions aussi inhabituelles. Et au premier abord, l'effort, en fait, aurait pu paraître très difficile aux yeux de certaines personnes. Et je le sais ça parce que, justement, moi, j'avais un peu mené mon enquête pour savoir quelles étaient les capacités de chacun, qu'est-ce qu'ils avaient déjà fait comme type d'effort, etc. auparavant. Et pour certains, je sais qu'ils n'avaient jamais fait ce type d'effort-là, ou en tout cas pas depuis très longtemps. Et à la fin de l'effort en lui-même, donc on était tout un petit groupe, En fait, tout le monde a super bien vécu le challenge parce qu'il y avait cet effet-là de groupe, cet effet qui porte un peu cette cohésion d'équipe, qui fait que quand il y a quelqu'un qui galère, il y en a un autre qui vient l'aider, et inversement. Et juste ça, ça change complètement l'effort. C'est-à-dire que ça donne la sensation que l'effort est plus facile que ce qu'il pourrait l'être habituellement. Et des exemples comme ça, j'en ai vraiment des tonnes et des tonnes. Et c'est fou, en fait, de se dire qu'on a cette possibilité-là de... de mieux vivre ses efforts. Autre chose que je voulais vous partager, c'est la musique. La musique, c'est vraiment un excellent moyen de vivre son effort différemment. Moi, je m'en sers énormément de ça. J'adore utiliser la musique. Ça peut être soit quand je cours, soit quand je fais des efforts très intenses. Ça peut être soit sur des efforts longs, soit sur des efforts très courts. Mais j'adore utiliser ça parce que... En mettant des musiques, moi, qui vont justement me booster, me stimuler, qui vont me faire de l'effet, comme je dis, Tout simplement, parfois, j'ai vraiment la sensation que je suis capable de tout, que je n'ai pas de limites. Ça me met vraiment dans une énergie particulière. Et puis, de se concentrer sur la musique, c'est aussi une forme de distraction. C'est pour ça que je vous parle de ça juste à la suite de mon exemple précédent, quand je parle de pratiquer avec quelqu'un. La musique, c'est un peu le même style. C'est-à-dire que pendant qu'on écoute de la musique, on va plus facilement oublier peut-être nos problèmes en lien avec le boulot, nous nos difficultés perso, parce qu'en fait, on va être en train d'écouter la musique, d'être porté par le rythme, voire même de chanter dans notre tête. Et ça, ça fait vraiment l'effet d'une distraction. Et moi, je m'en sers beaucoup, comme je le disais. Notamment, même, j'adore faire ça quand je cours et qu'il pleut ou qu'il fait moche. J'adore mettre des musiques un peu plus... qui rappellent le soleil, qui rappellent un peu l'été, parce que du coup, ça crée comme un décalage entre ce qui se passe réellement. Et ce que je pense, c'est-à-dire comment j'interprète la pluie, le temps qui est pourri, et justement ce qui se passe dans ma tête, où là j'amène un peu du soleil dans ma tête. Donc l'effort paraît beaucoup plus facile derrière, parce que je ne suis pas en train de faire un effort, en plus dans des conditions pourries, je suis en train de faire un effort, certes dans des conditions qui, pour la majorité et le commun des mortels, ne sont pas forcément les plus agréables, mais dans ma tête, je le perçois différemment, parce que la musique m'aide à le percevoir différemment. Et moi, perso, je sais que je suis très sensible à la musique, mais je vous invite franchement à tester ça. Et à tester aussi différents types de musique, parce que parfois, on a besoin d'être dans un certain mood. Parfois, il y a des musiques qui nous parlent plus. Il y a des périodes où on est plus branché sur certains styles de musique. Donc, il faut vraiment tester. Et selon aussi le type d'activité, peut-être que toutes les musiques ne feront pas le même effet. Donc, testez. En fait, de toute manière, la... La conclusion de cet épisode, c'est de tester ces différentes formes. Parce qu'au final, vous avez trois possibilités pour agir sur votre perception de l'effort. C'est d'une part d'apprendre déjà à observer ce qui se passe dans votre tête, à observer un peu ce que vous racontez et d'agir dessus. Donc de tester différentes manières de vous parler. Et ensuite, peut-être aller partager des activités avec d'autres personnes. Tout en sachant que, je ne sais plus si je l'ai dit, j'en oublie ce que je raconte au fur et à mesure de l'épisode, mais Si vous passez votre temps, pendant que vous pratiquez avec quelqu'un, à être focus sur une forme de comparaison un peu négative, c'est-à-dire que si pendant toute la séance, vous vous dites « Non, mais de toute façon, je dois être un gros boulet. Non, mais je suis trop nulle. Non, mais elle, elle a trop de facilité. J'ai l'impression que c'est hyper facile pour elle. » Si vous êtes branché là-dessus, c'est sûr que pratiquer avec quelqu'un, ça ne va peut-être pas vous aider. Donc, il y a certainement un travail à faire sur comment est-ce que vous vivez l'effort, comment est-ce que vous vous comparez par rapport aux autres. Et là, je vous invite tout simplement à venir me voir si vous avez besoin d'être sur le sujet. Mais si vous n'êtes pas dans ce process là et si au contraire, ça vous aide d'être avec quelqu'un, testez-le, essayez justement peut-être de changer aussi de partenaire pour voir un peu quel effet ça a. Et aussi, comme je viens de le dire, testez la musique. Regardez un petit peu ce que ça vous fait et comment est-ce que vous percevez l'effort quand vous faites en musique versus quand vous ne pratiquez pas avec de la musique, par exemple. Il faut vraiment faire des tests comme ça. Et c'est la meilleure manière de savoir ce qui passe, c'est ça, c'est de tester. Vous pouvez aussi tester la musique plus certains types de pensées. Vous pouvez tester de pratiquer avec quelqu'un par moment, quand vous ne discutez pas, en vous focalisant sur certains types de pensées. Vous pouvez combiner un petit peu tout ça. Mais le meilleur moyen, c'est donc de tester pour savoir ce qui vous convient le mieux et selon les types d'efforts aussi, ce qui vous convient le mieux. J'espère que cet épisode vous aura permis de vous donner un petit peu d'espoir pour les personnes qui ont vraiment du mal ou qui subissent leurs efforts en permanence. J'espère que ça vous aura donné un peu d'espoir sur le fait que vous pouvez agir sur ça et vous pouvez vivre différemment vos efforts sans même chercher à toujours ralentir ou à vous freiner au niveau de l'intensité, au niveau de peut-être la difficulté de l'effort. Voilà, je vous laisse tester ça. et surtout, franchement... Moi, je vous invite à me partager un peu ce que vous avez vécu en testant tout ça, que ce soit sur Instagram, sur LinkedIn, sur Facebook, sur YouTube, peu importe où est-ce que vous m'écrivez. Mais j'aimerais trop que vous m'écriviez pour me partager votre ressenti sur ce que vous avez testé, ce que ça a donné. Parce que moi, ça enrichit vraiment ma pratique et ça me permet, en fait, avec tous vos feedbacks, toutes vos histoires, de mieux comprendre un petit peu ce qui se joue pour vous, comprendre ce qui vous aide, ce qui ne vous aide pas. Peut-être de découvrir qu'il y a d'autres choses encore que je n'ai pas pensé aborder. et derrière de pouvoir vous procurer encore de nouveaux épisodes tels que celui-ci. En tout cas, j'espère que ça vous a plu. Et si c'est le cas, foncez mettre une jolie note au podcast pour encourager d'autres personnes à l'écouter. Et je vous retrouve tout bientôt pour un prochain épisode. À très vite. Ciao ! C'est tout pour aujourd'hui, enfin presque. Avant de partir, j'ai deux questions pour vous. La première, c'est quelle est la chose que vous pourriez retenir de cet épisode ? Et la deuxième, à qui vous pourriez la raconter ? En partageant ce podcast et en lui attribuant la meilleure note possible, vous inspirez d'autres personnes à être plus actives. Et comme votre avis compte beaucoup pour moi, n'hésitez pas à me faire part de vos réflexions, j'essaierai de vous répondre. À bientôt !