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Mouvemental

#61 Voilà pourquoi tu finis toujours par lâcher

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15min |06/09/2025
Play
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#61 Voilà pourquoi tu finis toujours par lâcher

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15min |06/09/2025
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Description

🔥 Pourquoi ça finit toujours par foirer ?
Tu connais le scénario par cœur : tu reprends le sport en septembre… et quelques mois plus tard, tout s’écroule. Et pourtant, tu avais la motivation !


Dans cet épisode, je t’aide à comprendre ce qui se cache vraiment derrière ce cycle de stop & go ⤵️

✨ Tu découvriras :

  • Pourquoi les « excuses » ne sont pas le vrai problème, mais juste la partie visible de l’iceberg.

  • Comment ton état d’esprit influence ta capacité à reprendre (ou à abandonner).

  • La clé pour adapter ton rythme d’activité physique sans culpabiliser ni tout laisser tomber.


Bonne écoute 🎧

Magali


👉 Je vérifie si Mouvemental est fait pour moi 👈


----------------------------

Retrouvez-moi par ici ⤵️

Site Internet

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Instagram

Facebook

LinkedIn


🙋🏻‍♀️ À propos de moi :

Je suis Magali, fondatrice de Mouvemental.
J’aide les personnes qui veulent bouger mais galèrent à s’y mettre (ou à s’y tenir) à intégrer l’activité physique dans leur quotidien, sans se faire violence.


🤸🏻‍♀️ Mon truc, c’est l’Activité Physique Adaptée : c’est moi qui m’adapte à toi, pas l’inverse.


🧠 Et comme le mental compte autant que le corps, je t’accompagne aussi à mieux comprendre tes blocages, tes freins, et à te créer un état d’esprit qui t’aide vraiment à avancer.


Pendant 6 ans, j’ai accompagné plus de 2000 personnes touchées par le cancer à reprendre une activité. C’est là que je me suis posée cette question qui me guide encore aujourd’hui :
👉 comment faire pour bouger de façon régulière, durable… et choisie ?


Aujourd’hui, je continue d’apprendre sans arrêt (prépa mentale, PNL, neurosciences, motivation, pédagogie…).
Et je transmets tout ça à travers ce podcast, mes accompagnements, et toujours… avec beaucoup d’envie.


🚲 En dehors de ça, je suis une ex-basketteuse passionnée reconvertie en sportive à la carte, toujours sur mon vélo !

Si tu veux retrouver de l’énergie, de la confiance, et une pratique qui te ressemble… tu es au bon endroit.


👉 Je vérifie si Mouvemental est fait pour moi 👈


Magali


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Certains voient l'activité physique comme un investissement pour leur santé et leur bien-être. Vous voulez en faire partie ? Bienvenue chez Mouvemental. Je m'appelle Magali Dubois et je m'adresse particulièrement aux non-sportifs et à tous ceux qui aimeraient enfin réussir à adopter un mode de vie actif dans la durée. C'est en vous partageant des connaissances, des expériences et des points de vue différents que j'ai l'intention de vous aider à bâtir l'état d'esprit et la motivation nécessaire pour le faire. Alors j'espère que ça vous aidera et que vous aurez envie d'en parler autour de vous. À chaque rentrée, c'est pareil. Tu reprends le sport, tu arrêtes. Tu reprends, tu arrêtes, tu reprends, tu arrêtes, etc. La musique, on la connaît. Mais pourquoi est-ce que tu répètes le même scénario à chaque fois ? Alors que t'es motivé, t'es plein d'entrain à cette... en cette nouvelle rentrée. Mais au fond, tu te demandes toujours est-ce que ça va durer ? Est-ce que je vais réussir à faire durer le truc ? Parce qu'en fait, tout simplement, à chaque fois, tu sais comment ça se termine. Alors voici ce qui se passe. Je vais essayer de décortiquer comment ça peut se passer pour toi. Allez, je ne vais pas forcément tomber dans le mille, mais tu vas avoir une idée un petit peu plus précise de ce que j'entends par là et de ce qui pose réellement problème. En fait, qu'est-ce qui te barre réellement la route au fond ? Ce qui se passe, c'est qu'en septembre, c'est une nouvelle rentrée, donc c'est l'opportunité de s'inscrire dans une nouvelle activité. C'est à ce moment qu'on y réfléchit, parce que généralement, les activités vont de septembre à juin. Et en plus, il y a les promos de la rentrée, il y a les portes ouvertes des différentes associations, etc. Donc, tu saisis cette opportunité, tu choisis une activité, tu te lances dedans, tu t'inscris. Et voilà, tu commences à y aller tranquillement, à prendre la température, à voir un petit peu si tu aimes bien l'environnement, si tu aimes bien le prof, si tu aimes bien l'activité, si tu aimes bien les gens. Bref, tu vois un petit peu comment ça se coordonne dans ton emploi du temps par rapport au boulot, ta famille, tout ça. Donc, le mois de septembre, c'est un peu le test aussi. Et puis, à cette époque-là, il fait encore plutôt beau, bon. Donc voilà, la météo, ce n'est pas un réel problème à ce moment. Ensuite, on arrive au mois d'octobre, donc deuxième mois. Deuxième mois, là, tu as pris déjà un peu tes marques, tu commences à voir quelques petits progrès, donc ça te motive. Et puis, le temps, il est encore correct. Mais qu'est-ce qui se passe ? Il y a les vacances scolaires qui arrivent. Qui dit vacances scolaires dit changement de rythme. Donc là, tu sors de ton cadre et tu rentres dans un cadre complètement différent, avec les vacances en plus, ou en tout cas, un rythme qui est différent parce que parfois, certaines associations, ne font pas les cours pendant les vacances, etc. Donc, il y a quand même un premier changement, un premier obstacle qui peut se présenter. Troisième mois, le mois de novembre. Le mois de novembre, il faut reprendre après les vacances. Donc, tu y retournes. Et puis, c'est vrai qu'à cette époque-là, il commence à faire un peu gris, un peu froid. En plus, on se rapproche terriblement de la fin de l'année. Donc, généralement, il y a les gros dossiers à clôturer pour le 31 décembre au boulot. Donc, pression qui monte avec le boulot, plus de charge mentale, plus de charge de travail, donc plus de pression. Et tu passes plus d'énergie dans le boulot parce que tu as envie de finir dans les temps, tu n'as pas envie d'être sous l'eau, etc. Donc, finalement, le sport, ça passe un petit peu après. Ensuite, on arrive au mois de décembre, donc quatrième mois. Et là, on est vraiment très proche de la fin d'année, on est dans la fin d'année. Mais en plus de ça, il y a les fêtes qui se rajoutent, les fêtes de Noël. Il faut aller faire les cadeaux, il faut préparer les potentielles vacances, préparer les potentielles fêtes avec la famille. Et en plus de ça, quand c'est Noël, il y a tous les repas de Noël, les repas de famille qui s'éternisent, ou bref, on passe plus de temps à manger que finalement à bouger. Et du coup, à chaque papillote, tu te retrouves à culpabiliser de... En fait, là, forcément, on mange plus que d'habitude. Donc, si en plus de ça, tu te soucies de ton poids, En fait, vraiment, à chaque papillote, tu te dis, mais oh là là, ça va être une catastrophe, ça va être super dur de reprendre. Ça va être encore une fois hyper compliqué. Et puis, tu culpabilises parce que tu manges plus et que tu ne bouges pas assez ou moins. Donc, il y a vraiment ce truc-là qui s'installe et qui provoque un peu une sorte d'anxiété dans le fond pour certains. Et ensuite, on arrive en janvier. À janvier, là, c'est différent. Il y a une page qui se tourne. On entre dans une nouvelle année. Il y a les bonnes résolutions. Donc là, ça redonne un coup de boost, on se fixe des résolutions, on est tout content, on se dit « Waouh, ça va aller cette fois, c'est la bonne » . Donc tu te lances, tu y vas à fond, tu y vas à fond, tu t'y mets. Bon, au passage, il fait quand même froid, donc c'est vrai que ce n'est pas toujours si facile que ça. Voilà, tu y vas et qu'est-ce qui se passe ? Tu te crames. Tu te crames parce que justement, il y a le froid, il y a peut-être les rhumes aussi qui viennent. Bref, il y a différents petits trucs qui te rappellent quand même un peu à la réalité. Même si tu es très optimiste et que tu as envie de réussir à aller au bout de tes résolutions, il y a quand même deux, trois petites choses qui te ramènent à la réalité. Et puis ensuite, je ne vais pas continuer tous les mois, mais on peut s'imaginer qu'il y a les ponts qui arrivent, il y a encore les vacances scolaires, il y a les coups de mou. Il y a les grippes, les Covid et tout le tralala. Il y a peut-être les embrouilles avec les collègues. Il y a la famille à gérer, les premiers barbecues, la chaleur, etc. Bref, il y a plein de trucs qui se répètent d'année en année et pour lesquels on ne peut pas forcément tout changer. Ces événements, ils arrivent, ils arrivent. Et ça devient vraiment terrible parce que finalement, chaque excuse s'accumule façon millefeuille. Et si toi, tu n'es pas gourmand de base en sport, franchement, ça va être très compliqué pour toi de persévérer. Et de peu que ce soit pas... Enfin, que t'aies pas la sensation que ce soit facile de faire du sport, là, franchement, c'est complètement cuit. Enfin, pas totalement, parce que sinon, vous repartirez de cet épisode complètement dépité, ça serait un gros flop, et c'est pas du tout mon intention, c'est plutôt de vous aider à comprendre quelque chose. Ce qu'il faut comprendre, c'est qu'il n'y a jamais de condition parfaite qui dure dans le temps et qui puisse te faciliter la tâche pleinement. Ça n'existe pas. Ça n'existe pas, parce que comme je viens de le dire, c'est un peu cyclique, tous ces trucs-là, ça revient, ça revient, ça revient. Donc le problème, il n'est pas là. En tout cas, moi, je n'ai pas le secret pour enlever tous ces obstacles-là. Et je ne pense pas qu'il faille les enlever. On ne va pas commencer à enlever les vacances, on ne va pas commencer à enlever les fêtes, les chocolats de Pâques, etc. Franchement, on ne va pas commencer à arriver dans une vie complètement plate. Je pense que ça ne serait pas bien plus épanouissant. Donc on ne peut pas forcément enlever tous ces trucs qui peuvent... interrompre un peu notre chemin et nous barrer la route, on va dire, de l'activité physique. Et on ne peut pas non plus dire que ceux qui arrivent à faire du sport régulièrement ne vivent pas toutes ces choses-là, n'ont pas de préoccupations, n'ont rien à gérer. Non, ce n'est pas possible. D'ailleurs, petite parenthèse, moi, j'ai de la facilité à faire du sport, j'en fais régulièrement, etc. Pour autant, je suis face à... plein de trucs que vous rencontrez aussi, mais il y a quand même des petites nuances à avoir, vous allez voir. Donc finalement, on se rend compte que ce n'est pas réellement toutes ces excuses le vrai problème, il y a quelque chose de plus profond qui se joue à ce niveau. En réalité, c'est plutôt ce que l'on en fait de toutes ces choses-là qui viennent un petit peu perturber le cours de notre activité physique, c'est plutôt ce que l'on en fait et comment on les manage en quelque sorte, ces challenges, je pourrais les appeler comme ça, et pour bien les manager, C'est vraiment ça qui va faire la différence entre des personnes qui arrivent à les manager et des personnes qui ont plus de difficultés. C'est ce qui se joue dans la tête. Par exemple, tu vas avoir besoin, si tu as de la difficulté, tu vas avoir besoin de travailler sur ton rapport au sport, ton rapport à l'activité physique, ton rapport à toi-même. Comment est-ce que tu te vois par rapport au fait de te sentir capable de réussir ou pas à persévérer tes efforts dans le temps ? Ta relation à l'échec, à la réussite ? Bref. Il y a énormément de choses. En fait, tout ce qui fait partie finalement de l'état d'esprit et de comment tu te représentes cette reprise d'activité physique, comment tu te représentes ce mode de vie actif que tu t'imagines, c'est ça qui fait une grande différence entre les personnes qui arrivent et les personnes qui n'y arrivent pas. Et si ces choses-là ne sont pas travaillées, si tu ne mets pas le doigt dessus, si tu ne vas pas un petit peu... confronter ton état d'esprit là-dessus, tout simplement, ça va ne faire que t'écraser encore plus sous ce millefeuille d'excuses. Donc là, à ce niveau de l'épisode, on se rend compte que ce ne sont pas les excuses le vrai problème, c'est plutôt ce qui se cache derrière, qui fait que, je ne sais pas moi, quand il y a une grosse charge de travail qui arrive, si justement tu travailles plus, etc., et que du coup, tu n'arrives pas à faire tes séances et que tu en conclus que finalement, ce n'est pas possible pour toi, que finalement, tu n'es pas capable de maintenir le rythme et que du coup, tu abandonnes, là, justement, c'est là qu'il y a un petit truc qui ne va pas. Il y a un petit truc qui ne va pas dans le fait que si déjà, tu ne crois pas que tu vas pouvoir reprendre derrière ou si pour toi, tu vois ça comme un abandon, peut-être que ça ne va pas t'aider en fait. Ça va juste rajouter une pièce de plus dans la machine de « je suis nulle, je n'arrive pas à tenir dans la régularité, dans la constance » . Je ne suis pas fréquent dans mes activités, etc. Ça va juste rajouter une couche là-dessus. Et c'est complètement possible pour n'importe qui qui a envie justement de faire évoluer un petit peu ça dans son état d'esprit. C'est possible de travailler cette manière de voir un petit peu les choses. Et dans cet épisode, il y a autre chose que j'ai envie de souligner, puisque finalement, j'ai décortiqué un petit peu ce qui pouvait se jouer mois après mois, en tout cas les obstacles qu'on peut rencontrer mois après mois. Et il y a un truc qui me paraît juste indispensable à avoir en tête. Puisqu'on comprend que c'est cyclique, c'est-à-dire que chaque année, c'est un peu la même chose. Chaque année, on fait face à un changement de saison. Chaque année, il y a des vacances. Chaque année, on a froid l'hiver, du coup, on tombe plus malade, etc. Chaque année, en tout cas, il y a plus de virus qui circulent. Chaque année, c'est un peu les mêmes choses qui se produisent. Donc, quand on comprend ça, déjà, il faut se dire que ce n'est pas possible de s'imaginer un mode de vie actif qui soit toujours le même, de la même manière, et qui ne varie pas selon ce qui se passe. Je vais essayer d'être un peu plus claire dans la manière dont je l'exprime, mais c'est vraiment une question de rythme. On ne peut pas s'imaginer... avoir le même niveau d'activité physique tout le temps, de la même manière, c'est-à-dire avoir les mêmes activités tout le temps, avoir la même fréquence tout le temps, mettre la même intensité tout le temps. Tout simplement, exemple tout bête, vous êtes inscrit dans une association, vous faites deux séances par semaine, il arrive les vacances scolaires, pendant les vacances scolaires, ils ne font pas les cours en question, vous n'allez donc pas pouvoir faire ces cours-là. Il va falloir donc trouver une manière de s'adapter. trouver un rythme peut-être un peu différent pendant l'espace d'un temps, l'espace des vacances, avant de reprendre autrement. Et quand on arrive à comprendre que c'est plus une question de rythme, une question d'adaptation qui fait que derrière, on arrive à persévérer de mois après mois et d'année en année, là, on commence à avoir gagné en grande partie ce qui nous freine le plus d'habitude. Donc la conclusion un petit peu à ce que je viens de dire là, c'est que tu ne peux pas t'imaginer avoir un rythme d'activité physique qui colle à absolument tout, à absolument toutes ces phases-là que tu vas rencontrer d'un mois sur l'autre ou d'une année sur l'autre. Pour moi, c'est impossible. C'est impossible d'autant plus que, je crois que je l'ai déjà cité dans un précédent épisode, en avançant dans l'âge, en avançant dans le temps, forcément qu'au niveau de notre condition physique, nos capacités, il y a des choses qui vont évoluer. Donc on ne peut pas s'imaginer être capable non plus de faire ce qu'on faisait peut-être quand on avait 10 ans, que quand on en aura 80. Donc juste, déjà, par rapport à ça, il y a des choses qui vont obligatoirement évoluer. Donc c'est important de prendre en considération cette chose-là, de comprendre que, puisque la vie bouge, puisqu'on est dans quelque chose d'assez mouvant, il faut trouver une manière de voir l'activité physique comme quelque chose qui n'est pas stable, qui n'est pas fixe, qui bouge, qui s'adapte, qui se réorganise, qui se recalibre, etc. Et pour bien comprendre tout ça, je parle notamment de ce qu'on appelle le jeu fini et le jeu infini dans le deuxième épisode du podcast mouvemental. Je vous invite vraiment à aller l'écouter dans la foulée pour comprendre un petit peu la vision et l'état d'esprit qui vous permettraient d'avoir plus de facilité dans votre pratique de l'activité physique. Franchement, foncez l'écouter dans la foulée si ça vous plaît déjà cette dernière idée que je viens de vous partager. En tout cas, j'espère que sur cet épisode, ça vous aide à comprendre plusieurs choses. et à comprendre qu'il faut aller plus loin, chercher plus loin qu'en fait, finalement, j'arrive pas à pratiquer parce que je suis fatiguée ou j'arrive pas à pratiquer parce que j'ai trop de boulot. C'est pas ça, les vraies raisons. Dans le fond, il y a bien d'autres choses qui sont bien plus ancrées, bien plus profondes, sur lesquelles vous allez être obligés d'aller travailler un petit peu, ou en tout cas, vous y atteler pour faire évoluer ça. Sinon, je peux vous garantir que vous allez rencontrer des difficultés. Vous allez continuer de rencontrer des difficultés et surtout, continuer à... avoir du mal à les surmonter. Et c'est là toute la nuance. Ce n'est pas tant de faire face à des difficultés, c'est plutôt la capacité de les surmonter. Et c'est sur ça que j'aimerais vous amener. C'est sur ça que aussi les épisodes du podcast servent. Donc franchement, nourrissez-vous des épisodes. Écoutez-les le plus souvent possible. Il y en a beaucoup maintenant sur plein de sujets. Donc j'espère aussi que ça vous permet d'enrichir un petit peu votre vision des choses par rapport à l'activité physique, que ça vous donne aussi un petit peu de... d'espoir sur la manière dont vous pouvez concevoir les choses. Parce que oui, il y a des recommandations en activité physique, mais ces recommandations qui sont de 150 minutes par semaine ou 30 minutes 5 fois par semaine d'une activité physique modérée à soutenue, avec des activités plutôt cardio, etc. Si on suit ce truc-là au pied de la lettre, vous pouvez bien vous imaginer à quel point c'est compliqué que ça puisse coller tout le temps, toutes les semaines, tous les mois de votre vie. Voilà, je vous souhaite une très belle journée. On se retrouve bientôt pour un prochain épisode. Bye ! C'est tout pour aujourd'hui, enfin presque. Avant de partir, j'ai deux questions pour vous. La première, c'est quelle est la chose que vous pourriez retenir de cet épisode ? Et la deuxième, à qui vous pourriez la raconter ? En partageant ce podcast et en lui attribuant la meilleure note possible, vous inspirez d'autres personnes à être plus actives. Et comme votre avis compte beaucoup pour moi, n'hésitez pas à me faire part de vos réflexions, j'essaierai de vous répondre. À bientôt !

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🔥 Pourquoi ça finit toujours par foirer ?
Tu connais le scénario par cœur : tu reprends le sport en septembre… et quelques mois plus tard, tout s’écroule. Et pourtant, tu avais la motivation !


Dans cet épisode, je t’aide à comprendre ce qui se cache vraiment derrière ce cycle de stop & go ⤵️

✨ Tu découvriras :

  • Pourquoi les « excuses » ne sont pas le vrai problème, mais juste la partie visible de l’iceberg.

  • Comment ton état d’esprit influence ta capacité à reprendre (ou à abandonner).

  • La clé pour adapter ton rythme d’activité physique sans culpabiliser ni tout laisser tomber.


Bonne écoute 🎧

Magali


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🙋🏻‍♀️ À propos de moi :

Je suis Magali, fondatrice de Mouvemental.
J’aide les personnes qui veulent bouger mais galèrent à s’y mettre (ou à s’y tenir) à intégrer l’activité physique dans leur quotidien, sans se faire violence.


🤸🏻‍♀️ Mon truc, c’est l’Activité Physique Adaptée : c’est moi qui m’adapte à toi, pas l’inverse.


🧠 Et comme le mental compte autant que le corps, je t’accompagne aussi à mieux comprendre tes blocages, tes freins, et à te créer un état d’esprit qui t’aide vraiment à avancer.


Pendant 6 ans, j’ai accompagné plus de 2000 personnes touchées par le cancer à reprendre une activité. C’est là que je me suis posée cette question qui me guide encore aujourd’hui :
👉 comment faire pour bouger de façon régulière, durable… et choisie ?


Aujourd’hui, je continue d’apprendre sans arrêt (prépa mentale, PNL, neurosciences, motivation, pédagogie…).
Et je transmets tout ça à travers ce podcast, mes accompagnements, et toujours… avec beaucoup d’envie.


🚲 En dehors de ça, je suis une ex-basketteuse passionnée reconvertie en sportive à la carte, toujours sur mon vélo !

Si tu veux retrouver de l’énergie, de la confiance, et une pratique qui te ressemble… tu es au bon endroit.


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Magali


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  • Speaker #0

    Certains voient l'activité physique comme un investissement pour leur santé et leur bien-être. Vous voulez en faire partie ? Bienvenue chez Mouvemental. Je m'appelle Magali Dubois et je m'adresse particulièrement aux non-sportifs et à tous ceux qui aimeraient enfin réussir à adopter un mode de vie actif dans la durée. C'est en vous partageant des connaissances, des expériences et des points de vue différents que j'ai l'intention de vous aider à bâtir l'état d'esprit et la motivation nécessaire pour le faire. Alors j'espère que ça vous aidera et que vous aurez envie d'en parler autour de vous. À chaque rentrée, c'est pareil. Tu reprends le sport, tu arrêtes. Tu reprends, tu arrêtes, tu reprends, tu arrêtes, etc. La musique, on la connaît. Mais pourquoi est-ce que tu répètes le même scénario à chaque fois ? Alors que t'es motivé, t'es plein d'entrain à cette... en cette nouvelle rentrée. Mais au fond, tu te demandes toujours est-ce que ça va durer ? Est-ce que je vais réussir à faire durer le truc ? Parce qu'en fait, tout simplement, à chaque fois, tu sais comment ça se termine. Alors voici ce qui se passe. Je vais essayer de décortiquer comment ça peut se passer pour toi. Allez, je ne vais pas forcément tomber dans le mille, mais tu vas avoir une idée un petit peu plus précise de ce que j'entends par là et de ce qui pose réellement problème. En fait, qu'est-ce qui te barre réellement la route au fond ? Ce qui se passe, c'est qu'en septembre, c'est une nouvelle rentrée, donc c'est l'opportunité de s'inscrire dans une nouvelle activité. C'est à ce moment qu'on y réfléchit, parce que généralement, les activités vont de septembre à juin. Et en plus, il y a les promos de la rentrée, il y a les portes ouvertes des différentes associations, etc. Donc, tu saisis cette opportunité, tu choisis une activité, tu te lances dedans, tu t'inscris. Et voilà, tu commences à y aller tranquillement, à prendre la température, à voir un petit peu si tu aimes bien l'environnement, si tu aimes bien le prof, si tu aimes bien l'activité, si tu aimes bien les gens. Bref, tu vois un petit peu comment ça se coordonne dans ton emploi du temps par rapport au boulot, ta famille, tout ça. Donc, le mois de septembre, c'est un peu le test aussi. Et puis, à cette époque-là, il fait encore plutôt beau, bon. Donc voilà, la météo, ce n'est pas un réel problème à ce moment. Ensuite, on arrive au mois d'octobre, donc deuxième mois. Deuxième mois, là, tu as pris déjà un peu tes marques, tu commences à voir quelques petits progrès, donc ça te motive. Et puis, le temps, il est encore correct. Mais qu'est-ce qui se passe ? Il y a les vacances scolaires qui arrivent. Qui dit vacances scolaires dit changement de rythme. Donc là, tu sors de ton cadre et tu rentres dans un cadre complètement différent, avec les vacances en plus, ou en tout cas, un rythme qui est différent parce que parfois, certaines associations, ne font pas les cours pendant les vacances, etc. Donc, il y a quand même un premier changement, un premier obstacle qui peut se présenter. Troisième mois, le mois de novembre. Le mois de novembre, il faut reprendre après les vacances. Donc, tu y retournes. Et puis, c'est vrai qu'à cette époque-là, il commence à faire un peu gris, un peu froid. En plus, on se rapproche terriblement de la fin de l'année. Donc, généralement, il y a les gros dossiers à clôturer pour le 31 décembre au boulot. Donc, pression qui monte avec le boulot, plus de charge mentale, plus de charge de travail, donc plus de pression. Et tu passes plus d'énergie dans le boulot parce que tu as envie de finir dans les temps, tu n'as pas envie d'être sous l'eau, etc. Donc, finalement, le sport, ça passe un petit peu après. Ensuite, on arrive au mois de décembre, donc quatrième mois. Et là, on est vraiment très proche de la fin d'année, on est dans la fin d'année. Mais en plus de ça, il y a les fêtes qui se rajoutent, les fêtes de Noël. Il faut aller faire les cadeaux, il faut préparer les potentielles vacances, préparer les potentielles fêtes avec la famille. Et en plus de ça, quand c'est Noël, il y a tous les repas de Noël, les repas de famille qui s'éternisent, ou bref, on passe plus de temps à manger que finalement à bouger. Et du coup, à chaque papillote, tu te retrouves à culpabiliser de... En fait, là, forcément, on mange plus que d'habitude. Donc, si en plus de ça, tu te soucies de ton poids, En fait, vraiment, à chaque papillote, tu te dis, mais oh là là, ça va être une catastrophe, ça va être super dur de reprendre. Ça va être encore une fois hyper compliqué. Et puis, tu culpabilises parce que tu manges plus et que tu ne bouges pas assez ou moins. Donc, il y a vraiment ce truc-là qui s'installe et qui provoque un peu une sorte d'anxiété dans le fond pour certains. Et ensuite, on arrive en janvier. À janvier, là, c'est différent. Il y a une page qui se tourne. On entre dans une nouvelle année. Il y a les bonnes résolutions. Donc là, ça redonne un coup de boost, on se fixe des résolutions, on est tout content, on se dit « Waouh, ça va aller cette fois, c'est la bonne » . Donc tu te lances, tu y vas à fond, tu y vas à fond, tu t'y mets. Bon, au passage, il fait quand même froid, donc c'est vrai que ce n'est pas toujours si facile que ça. Voilà, tu y vas et qu'est-ce qui se passe ? Tu te crames. Tu te crames parce que justement, il y a le froid, il y a peut-être les rhumes aussi qui viennent. Bref, il y a différents petits trucs qui te rappellent quand même un peu à la réalité. Même si tu es très optimiste et que tu as envie de réussir à aller au bout de tes résolutions, il y a quand même deux, trois petites choses qui te ramènent à la réalité. Et puis ensuite, je ne vais pas continuer tous les mois, mais on peut s'imaginer qu'il y a les ponts qui arrivent, il y a encore les vacances scolaires, il y a les coups de mou. Il y a les grippes, les Covid et tout le tralala. Il y a peut-être les embrouilles avec les collègues. Il y a la famille à gérer, les premiers barbecues, la chaleur, etc. Bref, il y a plein de trucs qui se répètent d'année en année et pour lesquels on ne peut pas forcément tout changer. Ces événements, ils arrivent, ils arrivent. Et ça devient vraiment terrible parce que finalement, chaque excuse s'accumule façon millefeuille. Et si toi, tu n'es pas gourmand de base en sport, franchement, ça va être très compliqué pour toi de persévérer. Et de peu que ce soit pas... Enfin, que t'aies pas la sensation que ce soit facile de faire du sport, là, franchement, c'est complètement cuit. Enfin, pas totalement, parce que sinon, vous repartirez de cet épisode complètement dépité, ça serait un gros flop, et c'est pas du tout mon intention, c'est plutôt de vous aider à comprendre quelque chose. Ce qu'il faut comprendre, c'est qu'il n'y a jamais de condition parfaite qui dure dans le temps et qui puisse te faciliter la tâche pleinement. Ça n'existe pas. Ça n'existe pas, parce que comme je viens de le dire, c'est un peu cyclique, tous ces trucs-là, ça revient, ça revient, ça revient. Donc le problème, il n'est pas là. En tout cas, moi, je n'ai pas le secret pour enlever tous ces obstacles-là. Et je ne pense pas qu'il faille les enlever. On ne va pas commencer à enlever les vacances, on ne va pas commencer à enlever les fêtes, les chocolats de Pâques, etc. Franchement, on ne va pas commencer à arriver dans une vie complètement plate. Je pense que ça ne serait pas bien plus épanouissant. Donc on ne peut pas forcément enlever tous ces trucs qui peuvent... interrompre un peu notre chemin et nous barrer la route, on va dire, de l'activité physique. Et on ne peut pas non plus dire que ceux qui arrivent à faire du sport régulièrement ne vivent pas toutes ces choses-là, n'ont pas de préoccupations, n'ont rien à gérer. Non, ce n'est pas possible. D'ailleurs, petite parenthèse, moi, j'ai de la facilité à faire du sport, j'en fais régulièrement, etc. Pour autant, je suis face à... plein de trucs que vous rencontrez aussi, mais il y a quand même des petites nuances à avoir, vous allez voir. Donc finalement, on se rend compte que ce n'est pas réellement toutes ces excuses le vrai problème, il y a quelque chose de plus profond qui se joue à ce niveau. En réalité, c'est plutôt ce que l'on en fait de toutes ces choses-là qui viennent un petit peu perturber le cours de notre activité physique, c'est plutôt ce que l'on en fait et comment on les manage en quelque sorte, ces challenges, je pourrais les appeler comme ça, et pour bien les manager, C'est vraiment ça qui va faire la différence entre des personnes qui arrivent à les manager et des personnes qui ont plus de difficultés. C'est ce qui se joue dans la tête. Par exemple, tu vas avoir besoin, si tu as de la difficulté, tu vas avoir besoin de travailler sur ton rapport au sport, ton rapport à l'activité physique, ton rapport à toi-même. Comment est-ce que tu te vois par rapport au fait de te sentir capable de réussir ou pas à persévérer tes efforts dans le temps ? Ta relation à l'échec, à la réussite ? Bref. Il y a énormément de choses. En fait, tout ce qui fait partie finalement de l'état d'esprit et de comment tu te représentes cette reprise d'activité physique, comment tu te représentes ce mode de vie actif que tu t'imagines, c'est ça qui fait une grande différence entre les personnes qui arrivent et les personnes qui n'y arrivent pas. Et si ces choses-là ne sont pas travaillées, si tu ne mets pas le doigt dessus, si tu ne vas pas un petit peu... confronter ton état d'esprit là-dessus, tout simplement, ça va ne faire que t'écraser encore plus sous ce millefeuille d'excuses. Donc là, à ce niveau de l'épisode, on se rend compte que ce ne sont pas les excuses le vrai problème, c'est plutôt ce qui se cache derrière, qui fait que, je ne sais pas moi, quand il y a une grosse charge de travail qui arrive, si justement tu travailles plus, etc., et que du coup, tu n'arrives pas à faire tes séances et que tu en conclus que finalement, ce n'est pas possible pour toi, que finalement, tu n'es pas capable de maintenir le rythme et que du coup, tu abandonnes, là, justement, c'est là qu'il y a un petit truc qui ne va pas. Il y a un petit truc qui ne va pas dans le fait que si déjà, tu ne crois pas que tu vas pouvoir reprendre derrière ou si pour toi, tu vois ça comme un abandon, peut-être que ça ne va pas t'aider en fait. Ça va juste rajouter une pièce de plus dans la machine de « je suis nulle, je n'arrive pas à tenir dans la régularité, dans la constance » . Je ne suis pas fréquent dans mes activités, etc. Ça va juste rajouter une couche là-dessus. Et c'est complètement possible pour n'importe qui qui a envie justement de faire évoluer un petit peu ça dans son état d'esprit. C'est possible de travailler cette manière de voir un petit peu les choses. Et dans cet épisode, il y a autre chose que j'ai envie de souligner, puisque finalement, j'ai décortiqué un petit peu ce qui pouvait se jouer mois après mois, en tout cas les obstacles qu'on peut rencontrer mois après mois. Et il y a un truc qui me paraît juste indispensable à avoir en tête. Puisqu'on comprend que c'est cyclique, c'est-à-dire que chaque année, c'est un peu la même chose. Chaque année, on fait face à un changement de saison. Chaque année, il y a des vacances. Chaque année, on a froid l'hiver, du coup, on tombe plus malade, etc. Chaque année, en tout cas, il y a plus de virus qui circulent. Chaque année, c'est un peu les mêmes choses qui se produisent. Donc, quand on comprend ça, déjà, il faut se dire que ce n'est pas possible de s'imaginer un mode de vie actif qui soit toujours le même, de la même manière, et qui ne varie pas selon ce qui se passe. Je vais essayer d'être un peu plus claire dans la manière dont je l'exprime, mais c'est vraiment une question de rythme. On ne peut pas s'imaginer... avoir le même niveau d'activité physique tout le temps, de la même manière, c'est-à-dire avoir les mêmes activités tout le temps, avoir la même fréquence tout le temps, mettre la même intensité tout le temps. Tout simplement, exemple tout bête, vous êtes inscrit dans une association, vous faites deux séances par semaine, il arrive les vacances scolaires, pendant les vacances scolaires, ils ne font pas les cours en question, vous n'allez donc pas pouvoir faire ces cours-là. Il va falloir donc trouver une manière de s'adapter. trouver un rythme peut-être un peu différent pendant l'espace d'un temps, l'espace des vacances, avant de reprendre autrement. Et quand on arrive à comprendre que c'est plus une question de rythme, une question d'adaptation qui fait que derrière, on arrive à persévérer de mois après mois et d'année en année, là, on commence à avoir gagné en grande partie ce qui nous freine le plus d'habitude. Donc la conclusion un petit peu à ce que je viens de dire là, c'est que tu ne peux pas t'imaginer avoir un rythme d'activité physique qui colle à absolument tout, à absolument toutes ces phases-là que tu vas rencontrer d'un mois sur l'autre ou d'une année sur l'autre. Pour moi, c'est impossible. C'est impossible d'autant plus que, je crois que je l'ai déjà cité dans un précédent épisode, en avançant dans l'âge, en avançant dans le temps, forcément qu'au niveau de notre condition physique, nos capacités, il y a des choses qui vont évoluer. Donc on ne peut pas s'imaginer être capable non plus de faire ce qu'on faisait peut-être quand on avait 10 ans, que quand on en aura 80. Donc juste, déjà, par rapport à ça, il y a des choses qui vont obligatoirement évoluer. Donc c'est important de prendre en considération cette chose-là, de comprendre que, puisque la vie bouge, puisqu'on est dans quelque chose d'assez mouvant, il faut trouver une manière de voir l'activité physique comme quelque chose qui n'est pas stable, qui n'est pas fixe, qui bouge, qui s'adapte, qui se réorganise, qui se recalibre, etc. Et pour bien comprendre tout ça, je parle notamment de ce qu'on appelle le jeu fini et le jeu infini dans le deuxième épisode du podcast mouvemental. Je vous invite vraiment à aller l'écouter dans la foulée pour comprendre un petit peu la vision et l'état d'esprit qui vous permettraient d'avoir plus de facilité dans votre pratique de l'activité physique. Franchement, foncez l'écouter dans la foulée si ça vous plaît déjà cette dernière idée que je viens de vous partager. En tout cas, j'espère que sur cet épisode, ça vous aide à comprendre plusieurs choses. et à comprendre qu'il faut aller plus loin, chercher plus loin qu'en fait, finalement, j'arrive pas à pratiquer parce que je suis fatiguée ou j'arrive pas à pratiquer parce que j'ai trop de boulot. C'est pas ça, les vraies raisons. Dans le fond, il y a bien d'autres choses qui sont bien plus ancrées, bien plus profondes, sur lesquelles vous allez être obligés d'aller travailler un petit peu, ou en tout cas, vous y atteler pour faire évoluer ça. Sinon, je peux vous garantir que vous allez rencontrer des difficultés. Vous allez continuer de rencontrer des difficultés et surtout, continuer à... avoir du mal à les surmonter. Et c'est là toute la nuance. Ce n'est pas tant de faire face à des difficultés, c'est plutôt la capacité de les surmonter. Et c'est sur ça que j'aimerais vous amener. C'est sur ça que aussi les épisodes du podcast servent. Donc franchement, nourrissez-vous des épisodes. Écoutez-les le plus souvent possible. Il y en a beaucoup maintenant sur plein de sujets. Donc j'espère aussi que ça vous permet d'enrichir un petit peu votre vision des choses par rapport à l'activité physique, que ça vous donne aussi un petit peu de... d'espoir sur la manière dont vous pouvez concevoir les choses. Parce que oui, il y a des recommandations en activité physique, mais ces recommandations qui sont de 150 minutes par semaine ou 30 minutes 5 fois par semaine d'une activité physique modérée à soutenue, avec des activités plutôt cardio, etc. Si on suit ce truc-là au pied de la lettre, vous pouvez bien vous imaginer à quel point c'est compliqué que ça puisse coller tout le temps, toutes les semaines, tous les mois de votre vie. Voilà, je vous souhaite une très belle journée. On se retrouve bientôt pour un prochain épisode. Bye ! C'est tout pour aujourd'hui, enfin presque. Avant de partir, j'ai deux questions pour vous. La première, c'est quelle est la chose que vous pourriez retenir de cet épisode ? Et la deuxième, à qui vous pourriez la raconter ? En partageant ce podcast et en lui attribuant la meilleure note possible, vous inspirez d'autres personnes à être plus actives. Et comme votre avis compte beaucoup pour moi, n'hésitez pas à me faire part de vos réflexions, j'essaierai de vous répondre. À bientôt !

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Description

🔥 Pourquoi ça finit toujours par foirer ?
Tu connais le scénario par cœur : tu reprends le sport en septembre… et quelques mois plus tard, tout s’écroule. Et pourtant, tu avais la motivation !


Dans cet épisode, je t’aide à comprendre ce qui se cache vraiment derrière ce cycle de stop & go ⤵️

✨ Tu découvriras :

  • Pourquoi les « excuses » ne sont pas le vrai problème, mais juste la partie visible de l’iceberg.

  • Comment ton état d’esprit influence ta capacité à reprendre (ou à abandonner).

  • La clé pour adapter ton rythme d’activité physique sans culpabiliser ni tout laisser tomber.


Bonne écoute 🎧

Magali


👉 Je vérifie si Mouvemental est fait pour moi 👈


----------------------------

Retrouvez-moi par ici ⤵️

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🙋🏻‍♀️ À propos de moi :

Je suis Magali, fondatrice de Mouvemental.
J’aide les personnes qui veulent bouger mais galèrent à s’y mettre (ou à s’y tenir) à intégrer l’activité physique dans leur quotidien, sans se faire violence.


🤸🏻‍♀️ Mon truc, c’est l’Activité Physique Adaptée : c’est moi qui m’adapte à toi, pas l’inverse.


🧠 Et comme le mental compte autant que le corps, je t’accompagne aussi à mieux comprendre tes blocages, tes freins, et à te créer un état d’esprit qui t’aide vraiment à avancer.


Pendant 6 ans, j’ai accompagné plus de 2000 personnes touchées par le cancer à reprendre une activité. C’est là que je me suis posée cette question qui me guide encore aujourd’hui :
👉 comment faire pour bouger de façon régulière, durable… et choisie ?


Aujourd’hui, je continue d’apprendre sans arrêt (prépa mentale, PNL, neurosciences, motivation, pédagogie…).
Et je transmets tout ça à travers ce podcast, mes accompagnements, et toujours… avec beaucoup d’envie.


🚲 En dehors de ça, je suis une ex-basketteuse passionnée reconvertie en sportive à la carte, toujours sur mon vélo !

Si tu veux retrouver de l’énergie, de la confiance, et une pratique qui te ressemble… tu es au bon endroit.


👉 Je vérifie si Mouvemental est fait pour moi 👈


Magali


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Certains voient l'activité physique comme un investissement pour leur santé et leur bien-être. Vous voulez en faire partie ? Bienvenue chez Mouvemental. Je m'appelle Magali Dubois et je m'adresse particulièrement aux non-sportifs et à tous ceux qui aimeraient enfin réussir à adopter un mode de vie actif dans la durée. C'est en vous partageant des connaissances, des expériences et des points de vue différents que j'ai l'intention de vous aider à bâtir l'état d'esprit et la motivation nécessaire pour le faire. Alors j'espère que ça vous aidera et que vous aurez envie d'en parler autour de vous. À chaque rentrée, c'est pareil. Tu reprends le sport, tu arrêtes. Tu reprends, tu arrêtes, tu reprends, tu arrêtes, etc. La musique, on la connaît. Mais pourquoi est-ce que tu répètes le même scénario à chaque fois ? Alors que t'es motivé, t'es plein d'entrain à cette... en cette nouvelle rentrée. Mais au fond, tu te demandes toujours est-ce que ça va durer ? Est-ce que je vais réussir à faire durer le truc ? Parce qu'en fait, tout simplement, à chaque fois, tu sais comment ça se termine. Alors voici ce qui se passe. Je vais essayer de décortiquer comment ça peut se passer pour toi. Allez, je ne vais pas forcément tomber dans le mille, mais tu vas avoir une idée un petit peu plus précise de ce que j'entends par là et de ce qui pose réellement problème. En fait, qu'est-ce qui te barre réellement la route au fond ? Ce qui se passe, c'est qu'en septembre, c'est une nouvelle rentrée, donc c'est l'opportunité de s'inscrire dans une nouvelle activité. C'est à ce moment qu'on y réfléchit, parce que généralement, les activités vont de septembre à juin. Et en plus, il y a les promos de la rentrée, il y a les portes ouvertes des différentes associations, etc. Donc, tu saisis cette opportunité, tu choisis une activité, tu te lances dedans, tu t'inscris. Et voilà, tu commences à y aller tranquillement, à prendre la température, à voir un petit peu si tu aimes bien l'environnement, si tu aimes bien le prof, si tu aimes bien l'activité, si tu aimes bien les gens. Bref, tu vois un petit peu comment ça se coordonne dans ton emploi du temps par rapport au boulot, ta famille, tout ça. Donc, le mois de septembre, c'est un peu le test aussi. Et puis, à cette époque-là, il fait encore plutôt beau, bon. Donc voilà, la météo, ce n'est pas un réel problème à ce moment. Ensuite, on arrive au mois d'octobre, donc deuxième mois. Deuxième mois, là, tu as pris déjà un peu tes marques, tu commences à voir quelques petits progrès, donc ça te motive. Et puis, le temps, il est encore correct. Mais qu'est-ce qui se passe ? Il y a les vacances scolaires qui arrivent. Qui dit vacances scolaires dit changement de rythme. Donc là, tu sors de ton cadre et tu rentres dans un cadre complètement différent, avec les vacances en plus, ou en tout cas, un rythme qui est différent parce que parfois, certaines associations, ne font pas les cours pendant les vacances, etc. Donc, il y a quand même un premier changement, un premier obstacle qui peut se présenter. Troisième mois, le mois de novembre. Le mois de novembre, il faut reprendre après les vacances. Donc, tu y retournes. Et puis, c'est vrai qu'à cette époque-là, il commence à faire un peu gris, un peu froid. En plus, on se rapproche terriblement de la fin de l'année. Donc, généralement, il y a les gros dossiers à clôturer pour le 31 décembre au boulot. Donc, pression qui monte avec le boulot, plus de charge mentale, plus de charge de travail, donc plus de pression. Et tu passes plus d'énergie dans le boulot parce que tu as envie de finir dans les temps, tu n'as pas envie d'être sous l'eau, etc. Donc, finalement, le sport, ça passe un petit peu après. Ensuite, on arrive au mois de décembre, donc quatrième mois. Et là, on est vraiment très proche de la fin d'année, on est dans la fin d'année. Mais en plus de ça, il y a les fêtes qui se rajoutent, les fêtes de Noël. Il faut aller faire les cadeaux, il faut préparer les potentielles vacances, préparer les potentielles fêtes avec la famille. Et en plus de ça, quand c'est Noël, il y a tous les repas de Noël, les repas de famille qui s'éternisent, ou bref, on passe plus de temps à manger que finalement à bouger. Et du coup, à chaque papillote, tu te retrouves à culpabiliser de... En fait, là, forcément, on mange plus que d'habitude. Donc, si en plus de ça, tu te soucies de ton poids, En fait, vraiment, à chaque papillote, tu te dis, mais oh là là, ça va être une catastrophe, ça va être super dur de reprendre. Ça va être encore une fois hyper compliqué. Et puis, tu culpabilises parce que tu manges plus et que tu ne bouges pas assez ou moins. Donc, il y a vraiment ce truc-là qui s'installe et qui provoque un peu une sorte d'anxiété dans le fond pour certains. Et ensuite, on arrive en janvier. À janvier, là, c'est différent. Il y a une page qui se tourne. On entre dans une nouvelle année. Il y a les bonnes résolutions. Donc là, ça redonne un coup de boost, on se fixe des résolutions, on est tout content, on se dit « Waouh, ça va aller cette fois, c'est la bonne » . Donc tu te lances, tu y vas à fond, tu y vas à fond, tu t'y mets. Bon, au passage, il fait quand même froid, donc c'est vrai que ce n'est pas toujours si facile que ça. Voilà, tu y vas et qu'est-ce qui se passe ? Tu te crames. Tu te crames parce que justement, il y a le froid, il y a peut-être les rhumes aussi qui viennent. Bref, il y a différents petits trucs qui te rappellent quand même un peu à la réalité. Même si tu es très optimiste et que tu as envie de réussir à aller au bout de tes résolutions, il y a quand même deux, trois petites choses qui te ramènent à la réalité. Et puis ensuite, je ne vais pas continuer tous les mois, mais on peut s'imaginer qu'il y a les ponts qui arrivent, il y a encore les vacances scolaires, il y a les coups de mou. Il y a les grippes, les Covid et tout le tralala. Il y a peut-être les embrouilles avec les collègues. Il y a la famille à gérer, les premiers barbecues, la chaleur, etc. Bref, il y a plein de trucs qui se répètent d'année en année et pour lesquels on ne peut pas forcément tout changer. Ces événements, ils arrivent, ils arrivent. Et ça devient vraiment terrible parce que finalement, chaque excuse s'accumule façon millefeuille. Et si toi, tu n'es pas gourmand de base en sport, franchement, ça va être très compliqué pour toi de persévérer. Et de peu que ce soit pas... Enfin, que t'aies pas la sensation que ce soit facile de faire du sport, là, franchement, c'est complètement cuit. Enfin, pas totalement, parce que sinon, vous repartirez de cet épisode complètement dépité, ça serait un gros flop, et c'est pas du tout mon intention, c'est plutôt de vous aider à comprendre quelque chose. Ce qu'il faut comprendre, c'est qu'il n'y a jamais de condition parfaite qui dure dans le temps et qui puisse te faciliter la tâche pleinement. Ça n'existe pas. Ça n'existe pas, parce que comme je viens de le dire, c'est un peu cyclique, tous ces trucs-là, ça revient, ça revient, ça revient. Donc le problème, il n'est pas là. En tout cas, moi, je n'ai pas le secret pour enlever tous ces obstacles-là. Et je ne pense pas qu'il faille les enlever. On ne va pas commencer à enlever les vacances, on ne va pas commencer à enlever les fêtes, les chocolats de Pâques, etc. Franchement, on ne va pas commencer à arriver dans une vie complètement plate. Je pense que ça ne serait pas bien plus épanouissant. Donc on ne peut pas forcément enlever tous ces trucs qui peuvent... interrompre un peu notre chemin et nous barrer la route, on va dire, de l'activité physique. Et on ne peut pas non plus dire que ceux qui arrivent à faire du sport régulièrement ne vivent pas toutes ces choses-là, n'ont pas de préoccupations, n'ont rien à gérer. Non, ce n'est pas possible. D'ailleurs, petite parenthèse, moi, j'ai de la facilité à faire du sport, j'en fais régulièrement, etc. Pour autant, je suis face à... plein de trucs que vous rencontrez aussi, mais il y a quand même des petites nuances à avoir, vous allez voir. Donc finalement, on se rend compte que ce n'est pas réellement toutes ces excuses le vrai problème, il y a quelque chose de plus profond qui se joue à ce niveau. En réalité, c'est plutôt ce que l'on en fait de toutes ces choses-là qui viennent un petit peu perturber le cours de notre activité physique, c'est plutôt ce que l'on en fait et comment on les manage en quelque sorte, ces challenges, je pourrais les appeler comme ça, et pour bien les manager, C'est vraiment ça qui va faire la différence entre des personnes qui arrivent à les manager et des personnes qui ont plus de difficultés. C'est ce qui se joue dans la tête. Par exemple, tu vas avoir besoin, si tu as de la difficulté, tu vas avoir besoin de travailler sur ton rapport au sport, ton rapport à l'activité physique, ton rapport à toi-même. Comment est-ce que tu te vois par rapport au fait de te sentir capable de réussir ou pas à persévérer tes efforts dans le temps ? Ta relation à l'échec, à la réussite ? Bref. Il y a énormément de choses. En fait, tout ce qui fait partie finalement de l'état d'esprit et de comment tu te représentes cette reprise d'activité physique, comment tu te représentes ce mode de vie actif que tu t'imagines, c'est ça qui fait une grande différence entre les personnes qui arrivent et les personnes qui n'y arrivent pas. Et si ces choses-là ne sont pas travaillées, si tu ne mets pas le doigt dessus, si tu ne vas pas un petit peu... confronter ton état d'esprit là-dessus, tout simplement, ça va ne faire que t'écraser encore plus sous ce millefeuille d'excuses. Donc là, à ce niveau de l'épisode, on se rend compte que ce ne sont pas les excuses le vrai problème, c'est plutôt ce qui se cache derrière, qui fait que, je ne sais pas moi, quand il y a une grosse charge de travail qui arrive, si justement tu travailles plus, etc., et que du coup, tu n'arrives pas à faire tes séances et que tu en conclus que finalement, ce n'est pas possible pour toi, que finalement, tu n'es pas capable de maintenir le rythme et que du coup, tu abandonnes, là, justement, c'est là qu'il y a un petit truc qui ne va pas. Il y a un petit truc qui ne va pas dans le fait que si déjà, tu ne crois pas que tu vas pouvoir reprendre derrière ou si pour toi, tu vois ça comme un abandon, peut-être que ça ne va pas t'aider en fait. Ça va juste rajouter une pièce de plus dans la machine de « je suis nulle, je n'arrive pas à tenir dans la régularité, dans la constance » . Je ne suis pas fréquent dans mes activités, etc. Ça va juste rajouter une couche là-dessus. Et c'est complètement possible pour n'importe qui qui a envie justement de faire évoluer un petit peu ça dans son état d'esprit. C'est possible de travailler cette manière de voir un petit peu les choses. Et dans cet épisode, il y a autre chose que j'ai envie de souligner, puisque finalement, j'ai décortiqué un petit peu ce qui pouvait se jouer mois après mois, en tout cas les obstacles qu'on peut rencontrer mois après mois. Et il y a un truc qui me paraît juste indispensable à avoir en tête. Puisqu'on comprend que c'est cyclique, c'est-à-dire que chaque année, c'est un peu la même chose. Chaque année, on fait face à un changement de saison. Chaque année, il y a des vacances. Chaque année, on a froid l'hiver, du coup, on tombe plus malade, etc. Chaque année, en tout cas, il y a plus de virus qui circulent. Chaque année, c'est un peu les mêmes choses qui se produisent. Donc, quand on comprend ça, déjà, il faut se dire que ce n'est pas possible de s'imaginer un mode de vie actif qui soit toujours le même, de la même manière, et qui ne varie pas selon ce qui se passe. Je vais essayer d'être un peu plus claire dans la manière dont je l'exprime, mais c'est vraiment une question de rythme. On ne peut pas s'imaginer... avoir le même niveau d'activité physique tout le temps, de la même manière, c'est-à-dire avoir les mêmes activités tout le temps, avoir la même fréquence tout le temps, mettre la même intensité tout le temps. Tout simplement, exemple tout bête, vous êtes inscrit dans une association, vous faites deux séances par semaine, il arrive les vacances scolaires, pendant les vacances scolaires, ils ne font pas les cours en question, vous n'allez donc pas pouvoir faire ces cours-là. Il va falloir donc trouver une manière de s'adapter. trouver un rythme peut-être un peu différent pendant l'espace d'un temps, l'espace des vacances, avant de reprendre autrement. Et quand on arrive à comprendre que c'est plus une question de rythme, une question d'adaptation qui fait que derrière, on arrive à persévérer de mois après mois et d'année en année, là, on commence à avoir gagné en grande partie ce qui nous freine le plus d'habitude. Donc la conclusion un petit peu à ce que je viens de dire là, c'est que tu ne peux pas t'imaginer avoir un rythme d'activité physique qui colle à absolument tout, à absolument toutes ces phases-là que tu vas rencontrer d'un mois sur l'autre ou d'une année sur l'autre. Pour moi, c'est impossible. C'est impossible d'autant plus que, je crois que je l'ai déjà cité dans un précédent épisode, en avançant dans l'âge, en avançant dans le temps, forcément qu'au niveau de notre condition physique, nos capacités, il y a des choses qui vont évoluer. Donc on ne peut pas s'imaginer être capable non plus de faire ce qu'on faisait peut-être quand on avait 10 ans, que quand on en aura 80. Donc juste, déjà, par rapport à ça, il y a des choses qui vont obligatoirement évoluer. Donc c'est important de prendre en considération cette chose-là, de comprendre que, puisque la vie bouge, puisqu'on est dans quelque chose d'assez mouvant, il faut trouver une manière de voir l'activité physique comme quelque chose qui n'est pas stable, qui n'est pas fixe, qui bouge, qui s'adapte, qui se réorganise, qui se recalibre, etc. Et pour bien comprendre tout ça, je parle notamment de ce qu'on appelle le jeu fini et le jeu infini dans le deuxième épisode du podcast mouvemental. Je vous invite vraiment à aller l'écouter dans la foulée pour comprendre un petit peu la vision et l'état d'esprit qui vous permettraient d'avoir plus de facilité dans votre pratique de l'activité physique. 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Et c'est sur ça que j'aimerais vous amener. C'est sur ça que aussi les épisodes du podcast servent. Donc franchement, nourrissez-vous des épisodes. Écoutez-les le plus souvent possible. Il y en a beaucoup maintenant sur plein de sujets. Donc j'espère aussi que ça vous permet d'enrichir un petit peu votre vision des choses par rapport à l'activité physique, que ça vous donne aussi un petit peu de... d'espoir sur la manière dont vous pouvez concevoir les choses. Parce que oui, il y a des recommandations en activité physique, mais ces recommandations qui sont de 150 minutes par semaine ou 30 minutes 5 fois par semaine d'une activité physique modérée à soutenue, avec des activités plutôt cardio, etc. Si on suit ce truc-là au pied de la lettre, vous pouvez bien vous imaginer à quel point c'est compliqué que ça puisse coller tout le temps, toutes les semaines, tous les mois de votre vie. Voilà, je vous souhaite une très belle journée. On se retrouve bientôt pour un prochain épisode. Bye ! 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Tu connais le scénario par cœur : tu reprends le sport en septembre… et quelques mois plus tard, tout s’écroule. Et pourtant, tu avais la motivation !


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🤸🏻‍♀️ Mon truc, c’est l’Activité Physique Adaptée : c’est moi qui m’adapte à toi, pas l’inverse.


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    Certains voient l'activité physique comme un investissement pour leur santé et leur bien-être. Vous voulez en faire partie ? Bienvenue chez Mouvemental. Je m'appelle Magali Dubois et je m'adresse particulièrement aux non-sportifs et à tous ceux qui aimeraient enfin réussir à adopter un mode de vie actif dans la durée. C'est en vous partageant des connaissances, des expériences et des points de vue différents que j'ai l'intention de vous aider à bâtir l'état d'esprit et la motivation nécessaire pour le faire. Alors j'espère que ça vous aidera et que vous aurez envie d'en parler autour de vous. À chaque rentrée, c'est pareil. Tu reprends le sport, tu arrêtes. Tu reprends, tu arrêtes, tu reprends, tu arrêtes, etc. La musique, on la connaît. Mais pourquoi est-ce que tu répètes le même scénario à chaque fois ? Alors que t'es motivé, t'es plein d'entrain à cette... en cette nouvelle rentrée. Mais au fond, tu te demandes toujours est-ce que ça va durer ? Est-ce que je vais réussir à faire durer le truc ? Parce qu'en fait, tout simplement, à chaque fois, tu sais comment ça se termine. Alors voici ce qui se passe. Je vais essayer de décortiquer comment ça peut se passer pour toi. Allez, je ne vais pas forcément tomber dans le mille, mais tu vas avoir une idée un petit peu plus précise de ce que j'entends par là et de ce qui pose réellement problème. En fait, qu'est-ce qui te barre réellement la route au fond ? Ce qui se passe, c'est qu'en septembre, c'est une nouvelle rentrée, donc c'est l'opportunité de s'inscrire dans une nouvelle activité. C'est à ce moment qu'on y réfléchit, parce que généralement, les activités vont de septembre à juin. Et en plus, il y a les promos de la rentrée, il y a les portes ouvertes des différentes associations, etc. Donc, tu saisis cette opportunité, tu choisis une activité, tu te lances dedans, tu t'inscris. Et voilà, tu commences à y aller tranquillement, à prendre la température, à voir un petit peu si tu aimes bien l'environnement, si tu aimes bien le prof, si tu aimes bien l'activité, si tu aimes bien les gens. Bref, tu vois un petit peu comment ça se coordonne dans ton emploi du temps par rapport au boulot, ta famille, tout ça. Donc, le mois de septembre, c'est un peu le test aussi. Et puis, à cette époque-là, il fait encore plutôt beau, bon. Donc voilà, la météo, ce n'est pas un réel problème à ce moment. Ensuite, on arrive au mois d'octobre, donc deuxième mois. Deuxième mois, là, tu as pris déjà un peu tes marques, tu commences à voir quelques petits progrès, donc ça te motive. Et puis, le temps, il est encore correct. Mais qu'est-ce qui se passe ? Il y a les vacances scolaires qui arrivent. Qui dit vacances scolaires dit changement de rythme. Donc là, tu sors de ton cadre et tu rentres dans un cadre complètement différent, avec les vacances en plus, ou en tout cas, un rythme qui est différent parce que parfois, certaines associations, ne font pas les cours pendant les vacances, etc. Donc, il y a quand même un premier changement, un premier obstacle qui peut se présenter. Troisième mois, le mois de novembre. Le mois de novembre, il faut reprendre après les vacances. Donc, tu y retournes. Et puis, c'est vrai qu'à cette époque-là, il commence à faire un peu gris, un peu froid. En plus, on se rapproche terriblement de la fin de l'année. Donc, généralement, il y a les gros dossiers à clôturer pour le 31 décembre au boulot. Donc, pression qui monte avec le boulot, plus de charge mentale, plus de charge de travail, donc plus de pression. Et tu passes plus d'énergie dans le boulot parce que tu as envie de finir dans les temps, tu n'as pas envie d'être sous l'eau, etc. Donc, finalement, le sport, ça passe un petit peu après. Ensuite, on arrive au mois de décembre, donc quatrième mois. Et là, on est vraiment très proche de la fin d'année, on est dans la fin d'année. Mais en plus de ça, il y a les fêtes qui se rajoutent, les fêtes de Noël. Il faut aller faire les cadeaux, il faut préparer les potentielles vacances, préparer les potentielles fêtes avec la famille. Et en plus de ça, quand c'est Noël, il y a tous les repas de Noël, les repas de famille qui s'éternisent, ou bref, on passe plus de temps à manger que finalement à bouger. Et du coup, à chaque papillote, tu te retrouves à culpabiliser de... En fait, là, forcément, on mange plus que d'habitude. Donc, si en plus de ça, tu te soucies de ton poids, En fait, vraiment, à chaque papillote, tu te dis, mais oh là là, ça va être une catastrophe, ça va être super dur de reprendre. Ça va être encore une fois hyper compliqué. Et puis, tu culpabilises parce que tu manges plus et que tu ne bouges pas assez ou moins. Donc, il y a vraiment ce truc-là qui s'installe et qui provoque un peu une sorte d'anxiété dans le fond pour certains. Et ensuite, on arrive en janvier. À janvier, là, c'est différent. Il y a une page qui se tourne. On entre dans une nouvelle année. Il y a les bonnes résolutions. Donc là, ça redonne un coup de boost, on se fixe des résolutions, on est tout content, on se dit « Waouh, ça va aller cette fois, c'est la bonne » . Donc tu te lances, tu y vas à fond, tu y vas à fond, tu t'y mets. Bon, au passage, il fait quand même froid, donc c'est vrai que ce n'est pas toujours si facile que ça. Voilà, tu y vas et qu'est-ce qui se passe ? Tu te crames. Tu te crames parce que justement, il y a le froid, il y a peut-être les rhumes aussi qui viennent. Bref, il y a différents petits trucs qui te rappellent quand même un peu à la réalité. Même si tu es très optimiste et que tu as envie de réussir à aller au bout de tes résolutions, il y a quand même deux, trois petites choses qui te ramènent à la réalité. Et puis ensuite, je ne vais pas continuer tous les mois, mais on peut s'imaginer qu'il y a les ponts qui arrivent, il y a encore les vacances scolaires, il y a les coups de mou. Il y a les grippes, les Covid et tout le tralala. Il y a peut-être les embrouilles avec les collègues. Il y a la famille à gérer, les premiers barbecues, la chaleur, etc. Bref, il y a plein de trucs qui se répètent d'année en année et pour lesquels on ne peut pas forcément tout changer. Ces événements, ils arrivent, ils arrivent. Et ça devient vraiment terrible parce que finalement, chaque excuse s'accumule façon millefeuille. Et si toi, tu n'es pas gourmand de base en sport, franchement, ça va être très compliqué pour toi de persévérer. Et de peu que ce soit pas... Enfin, que t'aies pas la sensation que ce soit facile de faire du sport, là, franchement, c'est complètement cuit. Enfin, pas totalement, parce que sinon, vous repartirez de cet épisode complètement dépité, ça serait un gros flop, et c'est pas du tout mon intention, c'est plutôt de vous aider à comprendre quelque chose. Ce qu'il faut comprendre, c'est qu'il n'y a jamais de condition parfaite qui dure dans le temps et qui puisse te faciliter la tâche pleinement. Ça n'existe pas. Ça n'existe pas, parce que comme je viens de le dire, c'est un peu cyclique, tous ces trucs-là, ça revient, ça revient, ça revient. Donc le problème, il n'est pas là. En tout cas, moi, je n'ai pas le secret pour enlever tous ces obstacles-là. Et je ne pense pas qu'il faille les enlever. On ne va pas commencer à enlever les vacances, on ne va pas commencer à enlever les fêtes, les chocolats de Pâques, etc. Franchement, on ne va pas commencer à arriver dans une vie complètement plate. Je pense que ça ne serait pas bien plus épanouissant. Donc on ne peut pas forcément enlever tous ces trucs qui peuvent... interrompre un peu notre chemin et nous barrer la route, on va dire, de l'activité physique. Et on ne peut pas non plus dire que ceux qui arrivent à faire du sport régulièrement ne vivent pas toutes ces choses-là, n'ont pas de préoccupations, n'ont rien à gérer. Non, ce n'est pas possible. D'ailleurs, petite parenthèse, moi, j'ai de la facilité à faire du sport, j'en fais régulièrement, etc. Pour autant, je suis face à... plein de trucs que vous rencontrez aussi, mais il y a quand même des petites nuances à avoir, vous allez voir. Donc finalement, on se rend compte que ce n'est pas réellement toutes ces excuses le vrai problème, il y a quelque chose de plus profond qui se joue à ce niveau. En réalité, c'est plutôt ce que l'on en fait de toutes ces choses-là qui viennent un petit peu perturber le cours de notre activité physique, c'est plutôt ce que l'on en fait et comment on les manage en quelque sorte, ces challenges, je pourrais les appeler comme ça, et pour bien les manager, C'est vraiment ça qui va faire la différence entre des personnes qui arrivent à les manager et des personnes qui ont plus de difficultés. C'est ce qui se joue dans la tête. Par exemple, tu vas avoir besoin, si tu as de la difficulté, tu vas avoir besoin de travailler sur ton rapport au sport, ton rapport à l'activité physique, ton rapport à toi-même. Comment est-ce que tu te vois par rapport au fait de te sentir capable de réussir ou pas à persévérer tes efforts dans le temps ? Ta relation à l'échec, à la réussite ? Bref. Il y a énormément de choses. En fait, tout ce qui fait partie finalement de l'état d'esprit et de comment tu te représentes cette reprise d'activité physique, comment tu te représentes ce mode de vie actif que tu t'imagines, c'est ça qui fait une grande différence entre les personnes qui arrivent et les personnes qui n'y arrivent pas. Et si ces choses-là ne sont pas travaillées, si tu ne mets pas le doigt dessus, si tu ne vas pas un petit peu... confronter ton état d'esprit là-dessus, tout simplement, ça va ne faire que t'écraser encore plus sous ce millefeuille d'excuses. Donc là, à ce niveau de l'épisode, on se rend compte que ce ne sont pas les excuses le vrai problème, c'est plutôt ce qui se cache derrière, qui fait que, je ne sais pas moi, quand il y a une grosse charge de travail qui arrive, si justement tu travailles plus, etc., et que du coup, tu n'arrives pas à faire tes séances et que tu en conclus que finalement, ce n'est pas possible pour toi, que finalement, tu n'es pas capable de maintenir le rythme et que du coup, tu abandonnes, là, justement, c'est là qu'il y a un petit truc qui ne va pas. Il y a un petit truc qui ne va pas dans le fait que si déjà, tu ne crois pas que tu vas pouvoir reprendre derrière ou si pour toi, tu vois ça comme un abandon, peut-être que ça ne va pas t'aider en fait. Ça va juste rajouter une pièce de plus dans la machine de « je suis nulle, je n'arrive pas à tenir dans la régularité, dans la constance » . Je ne suis pas fréquent dans mes activités, etc. Ça va juste rajouter une couche là-dessus. Et c'est complètement possible pour n'importe qui qui a envie justement de faire évoluer un petit peu ça dans son état d'esprit. C'est possible de travailler cette manière de voir un petit peu les choses. Et dans cet épisode, il y a autre chose que j'ai envie de souligner, puisque finalement, j'ai décortiqué un petit peu ce qui pouvait se jouer mois après mois, en tout cas les obstacles qu'on peut rencontrer mois après mois. Et il y a un truc qui me paraît juste indispensable à avoir en tête. Puisqu'on comprend que c'est cyclique, c'est-à-dire que chaque année, c'est un peu la même chose. Chaque année, on fait face à un changement de saison. Chaque année, il y a des vacances. Chaque année, on a froid l'hiver, du coup, on tombe plus malade, etc. Chaque année, en tout cas, il y a plus de virus qui circulent. Chaque année, c'est un peu les mêmes choses qui se produisent. Donc, quand on comprend ça, déjà, il faut se dire que ce n'est pas possible de s'imaginer un mode de vie actif qui soit toujours le même, de la même manière, et qui ne varie pas selon ce qui se passe. Je vais essayer d'être un peu plus claire dans la manière dont je l'exprime, mais c'est vraiment une question de rythme. On ne peut pas s'imaginer... avoir le même niveau d'activité physique tout le temps, de la même manière, c'est-à-dire avoir les mêmes activités tout le temps, avoir la même fréquence tout le temps, mettre la même intensité tout le temps. Tout simplement, exemple tout bête, vous êtes inscrit dans une association, vous faites deux séances par semaine, il arrive les vacances scolaires, pendant les vacances scolaires, ils ne font pas les cours en question, vous n'allez donc pas pouvoir faire ces cours-là. Il va falloir donc trouver une manière de s'adapter. trouver un rythme peut-être un peu différent pendant l'espace d'un temps, l'espace des vacances, avant de reprendre autrement. Et quand on arrive à comprendre que c'est plus une question de rythme, une question d'adaptation qui fait que derrière, on arrive à persévérer de mois après mois et d'année en année, là, on commence à avoir gagné en grande partie ce qui nous freine le plus d'habitude. Donc la conclusion un petit peu à ce que je viens de dire là, c'est que tu ne peux pas t'imaginer avoir un rythme d'activité physique qui colle à absolument tout, à absolument toutes ces phases-là que tu vas rencontrer d'un mois sur l'autre ou d'une année sur l'autre. Pour moi, c'est impossible. C'est impossible d'autant plus que, je crois que je l'ai déjà cité dans un précédent épisode, en avançant dans l'âge, en avançant dans le temps, forcément qu'au niveau de notre condition physique, nos capacités, il y a des choses qui vont évoluer. Donc on ne peut pas s'imaginer être capable non plus de faire ce qu'on faisait peut-être quand on avait 10 ans, que quand on en aura 80. Donc juste, déjà, par rapport à ça, il y a des choses qui vont obligatoirement évoluer. Donc c'est important de prendre en considération cette chose-là, de comprendre que, puisque la vie bouge, puisqu'on est dans quelque chose d'assez mouvant, il faut trouver une manière de voir l'activité physique comme quelque chose qui n'est pas stable, qui n'est pas fixe, qui bouge, qui s'adapte, qui se réorganise, qui se recalibre, etc. Et pour bien comprendre tout ça, je parle notamment de ce qu'on appelle le jeu fini et le jeu infini dans le deuxième épisode du podcast mouvemental. Je vous invite vraiment à aller l'écouter dans la foulée pour comprendre un petit peu la vision et l'état d'esprit qui vous permettraient d'avoir plus de facilité dans votre pratique de l'activité physique. Franchement, foncez l'écouter dans la foulée si ça vous plaît déjà cette dernière idée que je viens de vous partager. En tout cas, j'espère que sur cet épisode, ça vous aide à comprendre plusieurs choses. et à comprendre qu'il faut aller plus loin, chercher plus loin qu'en fait, finalement, j'arrive pas à pratiquer parce que je suis fatiguée ou j'arrive pas à pratiquer parce que j'ai trop de boulot. C'est pas ça, les vraies raisons. Dans le fond, il y a bien d'autres choses qui sont bien plus ancrées, bien plus profondes, sur lesquelles vous allez être obligés d'aller travailler un petit peu, ou en tout cas, vous y atteler pour faire évoluer ça. Sinon, je peux vous garantir que vous allez rencontrer des difficultés. Vous allez continuer de rencontrer des difficultés et surtout, continuer à... avoir du mal à les surmonter. Et c'est là toute la nuance. Ce n'est pas tant de faire face à des difficultés, c'est plutôt la capacité de les surmonter. Et c'est sur ça que j'aimerais vous amener. C'est sur ça que aussi les épisodes du podcast servent. Donc franchement, nourrissez-vous des épisodes. Écoutez-les le plus souvent possible. Il y en a beaucoup maintenant sur plein de sujets. Donc j'espère aussi que ça vous permet d'enrichir un petit peu votre vision des choses par rapport à l'activité physique, que ça vous donne aussi un petit peu de... d'espoir sur la manière dont vous pouvez concevoir les choses. Parce que oui, il y a des recommandations en activité physique, mais ces recommandations qui sont de 150 minutes par semaine ou 30 minutes 5 fois par semaine d'une activité physique modérée à soutenue, avec des activités plutôt cardio, etc. Si on suit ce truc-là au pied de la lettre, vous pouvez bien vous imaginer à quel point c'est compliqué que ça puisse coller tout le temps, toutes les semaines, tous les mois de votre vie. Voilà, je vous souhaite une très belle journée. On se retrouve bientôt pour un prochain épisode. Bye ! C'est tout pour aujourd'hui, enfin presque. Avant de partir, j'ai deux questions pour vous. La première, c'est quelle est la chose que vous pourriez retenir de cet épisode ? Et la deuxième, à qui vous pourriez la raconter ? En partageant ce podcast et en lui attribuant la meilleure note possible, vous inspirez d'autres personnes à être plus actives. Et comme votre avis compte beaucoup pour moi, n'hésitez pas à me faire part de vos réflexions, j'essaierai de vous répondre. À bientôt !

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