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Ne me cassez pas le peigne

Ce que je veux que tu saches

Ce que je veux que tu saches

31min |12/06/2025|

96

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31min |12/06/2025|

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Description


🔥 Résumé percutant de l’épisode "Ne me cassez pas le peigne" 🔥


Julie revient cash, cash, CASH après une semaine de masterclass intense — et autant vous dire que ça n’a rien d’un petit atelier Pinterest avec des paillettes et trois tips recyclés. Non. Elle vous balance du VRAI : du mindset, du business, de la santé mentale, de la santé tout court, et du ras-le-bol.


🎙️ Dans cet épisode sans filtre :

* Elle dézingue les masterclass qui n’apportent rien (« une heure par jour pour brasser du vent ? Non merci. »)

Elle revient sur son choix vital de prendre soin de sa santé pour continuer à performer*.

* Elle partage ses galères techniques (oui, le micro qui saute… encore), mais aussi son kiff de pouvoir ENFIN enregistrer sans galérer comme en 2002.

* Elle annonce un nouveau programme de fou qui ne sera PAS pour les poissons panés du « je vais réfléchir ».


Et surtout… elle vous botte les fesses si vous êtes encore en train de calculer pendant que d'autres passent à l'action, prennent des risques et encaissent.


💥 Julie n'accompagnera plus les poissons panés.

💥 Julie ne joue plus avec celles qui veulent "voir si ça marche".

💥 Julie prépare une armée de coiffeuses cheffes d'entreprise qui savent où elles vont, et qui veulent TOUT.


À écouter si :

* Tu veux arrêter de courir sans te payer.

* Tu veux ENFIN construire une carrière et pas juste un agenda rempli.

* Tu es prête à investir dans toi, pour toi, et à ne plus t'excuser d'en vouloir plus.


👉 Spoiler : celles qui réussissent ne réfléchissent pas 107 ans. Elles AGISSENT. Et toi ? Tu fais quoi là, tout de suite ?

Abonne-toi. Partage. Ou reste sur le quai pendant que le train du succès file. 🚂💨



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Ne me cassez pas le peigne, le podcast qui vous dit tout sur l'envers du décor des salons de coiffure, présenté par Julie Véran. Bonjour tout le monde, j'espère que vous allez bien, j'espère que vous êtes en forme. J'essaye donc un nouveau système, encore, encore vous allez me dire, pour le son. Voilà, j'ai mis donc un micro qui est connecté à mon téléphone en espérant que ça ne merde pas. Et si ça merde, ben j'aurai... tendance à vous dire « fuck le son parce que j'en ai marre de toujours chercher des solutions pour ce putain de son de merde » . Voilà. Donc, vous m'avez manqué pendant une semaine. Ça fait une semaine qu'on ne s'est pas parlé, que je ne me suis pas déposée ici parce que il y avait la masterclass. La masterclass, il ne faut pas le minimiser. C'est quelque chose qui demande une énergie extrême. Et donc, je me consacre la plupart du temps à ce Merci. à ce volet-là, puisque ça dure quand même une semaine. Pendant une semaine, je suis en live. Pendant une semaine, je donne énormément. Et mon souhait à moi, c'est de donner. Parce qu'en fait, souvent, et puis c'est ça que je reproche, parce que ça, c'est quelque chose que j'ai appris à faire, de faire des masterclass. Mais la plupart du temps, on ne reçoit aucun enseignement. Et ça me casse les pieds, franchement. Je me dis, putain, mais je reste là pendant une semaine, une heure par jour. aller à l'essentiel les gars, un peu là. Et en fait, on voit que c'est un processus qui est fait pour rien. Et moi, du coup, j'ai décidé de le rendre réellement attractif pour que ce soit vraiment quelque chose qui vous serve dans vos salons. Alors évidemment, ce n'est pas l'intégralité de mon programme. Évidemment, j'ai bien plus de cordes à mon arc que de dispenser une heure par jour pendant cinq jours. je voulais vraiment que vous ayez une approche et surtout un éveil du business parce que franchement des fois j'entends des histoires d'horreur et je me dis non mais attends, écoute-moi bien Jocelyne, là on a un problème, on a quelque chose qui ne marche pas donc là tu es en train de me dire que tu cours partout, que tu ne te fais pas payer à ta juste valeur, que tu n'as pas de salaire, que tu ne prends pas de vacances et que à la fin au final tu as envie de tuer tes clientes, là il y a quelque chose qui ne marche pas on est d'accord, il y a quelque chose qui ne marche pas Donc, c'est un peu ça que j'ai voulu amener et montrer aussi que le business, c'est facile. D'accord ? Si on s'y intéresse un peu, si on a vraiment envie de créer quelque chose dans son salon de coiffure, le business, ça marche et c'est facile. C'est facile. Il n'y a rien de compliqué là-dedans. Ce n'est pas quelque chose d'insurmontable et tout. Donc voilà, c'est vraiment ce que j'ai voulu amener. Donc là, il est 8h du matin, je n'ai pas pris de café. Pourquoi donc ? Parce que j'attends qu'on me fasse une prise de sang, comme toutes les vieilles personnes qui se font faire la prise de sang à domicile. J'ai décidé que je me faisais faire la prise de sang à domicile, elle me l'a gentiment proposée la dame. Donc je lui ai dit d'accord. Et il faut savoir que je l'ai passé, ça fait deux semaines que je suis en examen médical. Parce que ce que j'enseigne, en fait, je me l'applique à moi-même. Ce n'est pas que je suis hypochondriaque, c'est que j'ai passé des années à ne pas aller chez le médecin parce que j'avais peur de mourir. C'est un truc de fou. J'ai vu mon beau-père, j'ai vu mon autre beau-père, j'ai vu mon père se désintégrer en peu de temps parce que les médecins, trop de la merde, blablabla. j'ai mal à la gorge, je suis un guerrier, j'y vais pas. Tu te rends compte au final que tu as une pathologie de sa mère qui est incurable et tu te dézingues en peu de temps. Et donc je me suis dit, ça fait des années que j'ai mal à la gorge, ça fait des années que j'ai mal à la gorge, et je me dis que je dois avoir un problème de thyroïde. Puisque ma mère s'est faite opérer, tout ça, bref. Je ne vais pas vous faire un cours de médecine, mais en tout cas tout ça pour vous dire que j'ai... J'ai du coup décidé de me faire analyser de tout, puisque j'entends beaucoup, puis j'ai l'impression que j'entends que ça, des maladies, des cancers, des machins, ça me fait flipper. Donc je me dis, c'est bon, je suis libérant, à un moment donné, ça suffit de faire l'enfant, tu vas chez le médecin, tu vas te faire ausculter et tout, et au moins, si jamais il y a quelque chose, ça sera pris à temps, et tu te feras soigner, puis c'est tout, tu feras comme les autres. Et si jamais tu ne peux pas te faire soigner, tant pis, fuck la vie, mais voilà, c'est comme ça. Et en fait, au final, à ma gorge, j'ai pas grand-chose. à part, comme je vous l'avais dit, je faisais des allergies aux produits de coiffure. Donc, je ne peux plus faire des journées entières de décoloration et de coloration. Donc, du coup, j'ai des pistes à la gorge, bénins, mais quand même. C'est pour ça que j'ai arrêté de coiffer, d'ailleurs, aussi intensément, parce que ça m'a coupé, vous l'entendez dans ma voix, ça m'a coupé. couper la voie et tout. En plus de ça, je me suis faite tout examiner, d'accord ? Parce que je ne veux plus d'enfants, plus du tout. Vous aurez donc compris où je suis donc allée. Et là aussi, j'ai pris des choses en main parce que je ne veux plus d'hormones et plus d'enfants. Donc, voilà. En tout cas, tout ça pour vous dire que cet après-midi, non même pas cet après-midi, en 11h, j'ai rendez-vous pour me faire masser parce que j'adore ça. C'est mon... J'adore... aller le dimanche après-midi, là ça sera à 11 heures, donc du coup j'aurai toute l'après-midi pour moi et tout, après je vais aller boire un verre sans alcool au bord de la plage et voilà, parce que bon ben voilà. Et j'ai décidé de prendre soin de ma santé parce que pour moi en fait, ce que je disais lors de la masterclass, pour moi le corps est un véhicule et ce véhicule, ce véhicule, attendez je vais stopper les notifications, les véhicules S'il n'y a pas d'essence à l'intérieur et si le moteur est cassé, il ne va pas loin. Il ne va pas très très loin. Donc du coup, j'ai décidé de prendre soin de moi encore plus. Niveau médical et tout. Même si j'ai une trouille bleue des médecins, du verdict et tout ça, je me dis que si on prend les choses à temps, sachant que je ne suis pas malade, je vous le dis très sincèrement, j'ai fait tous les examens possibles. à moins que les examens sanguins amènent quelque chose, sinon je ne suis pas malade mais j'ai décidé que je ferais un bilan assez régulièrement pour ne pas tomber dans ce truc là où tu te dis si j'avais su comme une con, ça fait 6 mois que j'ai ma loge là, que j'ai pas vérifié et finalement c'est grave voilà, donc ça c'est quelque chose, je sais que je n'ai pas commencé le podcast de cette manière, putain mais je peux bouger, j'ai un micro je peux faire le tour de ma chaise et vous m'entendez quand même Je peux être au fond du bureau et vous m'entendez quand même. Je peux m'allonger sur ma chaise et vous m'entendez quand même. Donc ça, c'est l'air mieux parce que j'ai un micro portatif. D'ailleurs, je pense que je vais en acheter un autre un peu plus… Voilà, comme ça au moins, on va pouvoir avoir du son. Ça fonctionne, ça marche. Il faut juste que je contrôle mon téléphone puisque c'est branché à mon téléphone qui est branché à mon Mac. Mais moi, Apple. Celui qui me dit que Apple, c'est trop de la merde. Mais moi, j'ai envie de vous dire, je ne le dis pas. Je ne le dis pas, mais je le pense. Je ne le dis pas, mais je le sais. Je ne le dis pas, mais je sais ce que je dis. D'accord ? Donc, voilà. Et donc, du coup, je peux… I am free. Je peux faire ce que je veux. Donc, c'est merveilleux. Et vous continuez à m'entendre quand même. Avant, j'avais un micro qui était posé sur mon bureau. Ou si je m'éloignais de 2 cm, on ne m'entendait plus. J'ai décidé de remédier à ça. Il m'a fallu du temps pour comprendre que je pouvais brancher un micro à mon iPhone, me servir de l'iPhone comme un micro et je peux faire le podcast. Je pourrais même faire le podcast allongé dans ma piscine si je veux. Oui, je sais, vous vous en foutez. Vous vous en foutez parce que vous l'écoutez, vous vous dites, bon, ça va, c'est bon, on a compris. Nanana, ça va, nanana. Donc, voilà. Mais en fait, pour moi, c'est une révolution, je vous le dis. Parce que ça fait combien de temps que j'enregistre ? Ça fait un an que j'enregistre. Je pense que c'est l'anniversaire du podcast, d'ailleurs, dans pas longtemps, où c'est passé. En tout cas, ça fait un an que j'enregistre des épisodes et un an que je me casse le cul avec le son. Donc, voilà. Donc, tout ça pour dire… Très bien. Donc, la Masterclass étant passée, tout ça, en me disant que j'ai passé une semaine… incroyable que pour moi c'est une connexion inestimable avec vous que au-delà de tout j'adore interréagir j'adore parler, j'adore dire j'adore m'exprimer vous entendre et tout je suis ravie, refaite à chaque fois c'est un bonheur intense pour moi et je me dis que j'ai vraiment de la chance de faire ce métier. J'ai vraiment de la chance de pouvoir m'exprimer. J'ai vraiment de la chance de pouvoir... de pouvoir être avec vous, j'ai vraiment de la chance, c'est une chance pour moi, de pouvoir me dire qu'on est en train de relever un métier, de se donner les capacités de réussir, et moi en fait, à chaque fois, ça me permet de saisir ce dont vous avez besoin, et de saisir ce que je vais mettre en place, et là en septembre, il y a un putain de programme qui va sortir de sa mère, je vous le dis, parce que j'ai des pépites. Dans mon accompagnement, j'ai des pépites. J'ai des pépites. Cette année, j'ai eu des pépites. J'ai des pépites. Et donc, ça veut dire quoi ? Ça veut dire qu'aujourd'hui, je vais aider les salons de coiffure à investir, à faire des tableaux de bord, à se développer, à acheter des murs, à comprendre le système des intérêts composés, de comprendre tout ça. Et je vais me former comme jamais. Je me forme comme jamais, ça fait des années. Mais j'ai envie que vous puissiez comprendre comment on devient investisseur. C'est en fait la base de tout. Comment on devient chef d'entreprise ? Comment on devient investisseur ? Comment on gère son argent ? Comment on multiplie son argent ? Comment on développe ? C'est mon objectif. Toutes celles aujourd'hui qui ont voulu prendre ma place, « Arrêtez-moi, je vais aider mes coiffeuses à faire du chiffre d'affaires. » Oui, moi, je fais ça. Mais en fait, dans mon programme, c'est au-delà de ça. C'est au-delà de tout ça. C'est aider les coiffeuses à faire du chiffre d'affaires, yes. Mais c'est aussi aider les coiffeuses à se construire une carrière. Si tu ne te construis pas une carrière et que tu fais juste du chiffre d'affaires, c'est dommage. Tu vois ce que je veux dire ? C'est dommage. Donc du coup, là, on va se construire une carrière, les meufs. Ça va être incroyable, ça va être génial. Putain, mais je suis refaite. Je suis refaite avec ce son. Je suis refaite avec ce micro. Pardon. C'est top, vous voyez ? J'ai décidé là de construire quelque chose qui allait être productif, qui allait être crédible, qui allait vous apporter vraiment une valeur ajoutée. Mais ce programme ne pourra être proposé, je pense, qu'à une certaine catégorie de coiffeuses, et notamment celles qui sont passées par la méthode Lyon. Ça ne veut pas dire que je veux des grands salons, des salons, voilà. Je veux des gens qui soient déjà impliqués dans le business, qui ont déjà envie de se développer, qui savent déjà ce qu'elles veulent, qui sont déjà allumés par ça. Pas qu'ils se disent « Ouais, mais moi, non, mais tu sais, moi j'ai peur. Puis tu sais, moi, je n'arrive pas. Puis je ne sais pas comment me faire pour m'investir. Je propose la solution. Ouais, mais je vais réfléchir. Je ne sais pas trop. Putain, mais arrêtez de réfléchir, bordel. » arrêtez de réfléchir et de me dire je vais réfléchir, il faut que je calcule, il faut que j'en parle à mon conjoint, il faut que... Mais putain de merde, de merde, de remerde et de trimerde. C'est arrêter avec ça, arrêter d'attendre, arrêter de vous dire, ouais mais à bien y penser, je préfère rester dans la merde. Mais putain, mais c'est une blague. Mais je l'entends trop souvent ça, trop souvent, trop souvent. Et aujourd'hui, en ce jour, J'ai quelqu'un qui m'a menée en bateau depuis deux mois, mais vraiment, et d'autres, et d'entre autres choses. Aujourd'hui, en fait, quand je passe les appels, c'est un appel, c'est définitif. C'est-à-dire, si tu as eu ton appel, que tu m'as dit « je vais réfléchir » et que tu n'es jamais revenu vers moi, ou alors que tu es revenu vers moi, mais que tu m'as dit « oui, la semaine prochaine, la semaine prochaine, la semaine prochaine, la semaine prochaine » . La semaine prochaine. Je ne ferai plus le pas de t'accompagner. Plus du tout. Du tout. D'accord ? Du tout. Pourquoi ? Parce que c'est un investissement de ma part et de la vôtre. Surtout de la vôtre. De votre part. Excuse, le micro a été déconnecté. De votre part. Parce que si vous vous investissez, ce n'est pas pour vous-même. Comment voulez-vous réussir ? C'est impossible. C'est impossible. C'est ce que j'expliquais pendant la masterclass. Si on vous donne des choses à faire et que vous ne le faites pas. Si vous agissez avec la peur et que vous êtes là tout le temps à réfléchir. « Je vais faire un pas en avant. Un pas en arrière. Un pas en avant. Un pas en arrière. Je fais la danse. Je fais la danse de la procrastination. Un pas en avant. Un pas en avant. Un pas en arrière. Vous voyez ? Ça, c'est impossible. pour réussir. Impossible. Les gens qui réussissent, ils foncent. Ils courent tout droit. Ils ne regardent pas en arrière. Ils ne se demandent pas. il ne se pose pas la question. Ils ne le disent pas, ils font, ils exécutent. Si à un moment donné, ils voient que ça ne marche pas, ils recommencent. Mais ils ne sont jamais en arrière, ils sont toujours au point A. Vous, vous allez en arrière des fois, où on me dit « oui, mais non, je ne peux pas, c'est trop cher » . Mais si vous vous dites que c'est trop cher, pourquoi vous vous obstinez à engueuler vos clients quand elles vous disent que c'est trop cher ? C'est parce que vous, vous avez une mentalité de trop cher. Vous avez une mentalité à vous dire « Ah, mais c'est trop cher. » Non, ce n'est pas trop cher. Ce qui est trop cher, en fait, moi, quand j'entends ça, ce qui est trop cher, c'est vraiment de te dire « Moi, je fais 3 000 euros de chiffre et je n'ai pas envie de m'en sortir. » Ça, ça me casse le cul. Ça me fait mal aux pattes. J'en ai assez d'entendre ça. Parce que je me dis « Ce n'est pas possible un truc pareil. » « Ce n'est pas possible un truc pareil. » ou quelqu'un qui me dit « Ah, mais moi, je ne me paye pas. » Je n'ai pas de trésor, mais je ne sais pas comment je vais faire. Je m'excuse, mais si on te propose une solution, il va falloir que tu l'apprennes. Il va falloir que tu le fasses. Il va falloir que tu te choisisses. Il va falloir que tu te fasses confiance. Il va falloir que tu ailles de l'avant avec ça. Ce n'est pas possible de se dire « je reste au même endroit et j'espère avoir des résultats différents » . C'est impossible. Ce n'est pas possible. Et ça, ce genre de personnes-là, j'ai décidé que je ne les accompagnerais plus parce que... Pour réussir, ça demande déjà un mindset, ça demande déjà une façon de faire, ça demande déjà une envie de faire, ça demande déjà une rigueur. Il y a des gens que j'ai eus dans la méthode et qui étaient à découvert, mais de ouf, et qui se sont choisis quand même, et qui se sont développés quand même, et qui ont décidé de faire les choses de la même manière, même si... c'était difficile, même si c'était pénible, même si elles ne savaient pas comment elles allaient réussir le mois prochain, même si elles n'avaient aucune certitude de réussite, même si tout ça, elles se sont choisies, elles ont réussi, elles ont performé. Lors de la Masterclass, vous avez entendu l'histoire de Florence. Un bilan comptable à moins de 21 000 euros, avec des capitaux propres impactés, c'est-à-dire qu'elle était obligée de réinjecter Merci. de l'argent personnel dans sa société pour pouvoir la faire vivre. Donc là, en plus de ça, elle se dit « mais moi je prends la méthode parce que j'en ai besoin » . Elle décide de réduire son salaire parce qu'elle se dit qu'elle en a besoin. Et aujourd'hui, on s'enligne vers un bilan à plus 10 000 euros. Et l'année prochaine, on s'aligne vers « je me paye » . Vous comprenez ? C'est ça le but. Je me paye à ma juste valeur. Mais elle a relevé son salon, relevé son bilan en l'espace de deux ans. Deux ans de travail. Elle est allée deux fois, ça va être la deuxième fois qu'elle va aller à Cancun, et elle a décidé de se choisir et de se former quand même. Moi, ça me scie les pattes en fait, quand on me dit... je suis une acheteuse compulsive, je suis de la team passoire, c'est-à-dire que j'achète à tort et à travers, je ne me paye pas, je ne prends pas de vacances, je fais 60 heures par semaine, mais je n'ai besoin de rien. Là, je me dis, ok, là, là, on a un problème, là, là, on a un bail, on a un truc. Donc, c'est ça que j'ai vu avec vous pendant la semaine de Masterclass. Avoir un plan, suivre ce plan, être impliqué pour ce plan. C'est ce qui va vous donner la réussite. C'est ce qui va vous donner la réussite. Et rien d'autre. Rien d'autre. Si vous suivez votre plan, vous allez réussir. Sinon, ça va être compliqué pour vous. Très, très, très compliqué. Très compliqué. Est-ce que ça va pour tout le monde ? Je le fais comme un masterclass. Je me crois encore en masterclass. Est-ce que ça va pour tout le monde ? Est-ce que vous avez bien compris ce que j'ai dit ? C'est sorti tout seul. Mais j'ai tellement kiffé ce moment. Vous savez, moi, je suis dans un bureau. J'habite à 7000 kilomètres de vous. Je suis toute la journée enfermée dans mon bureau, ou en tout cas tous mes matins. Je commence à 7h. Vous voyez, demain, je commence avec Cécile. Je commence à 7h. On développe, on se met en condition de travail. Mais quand je sors de mon bureau, qui est là pour m'accueillir ? À part mon mari, mes enfants. personne. Les gens qui rentrent dans ma maison, là c'est l'infirmière pour venir me piquer. Ensuite, c'est les femmes de ménage ou les gens qui ont fait les travaux dans ma maison. Sinon, personne, on n'a pas de connaissances ou d'amis ou quoi que ce soit. Et généralement, et je m'excuse à part Manon, donc je disais que Manon écoute mes podcasts, toutes les fois où vous voyez que j'ai eu un blanc, c'est que mon micro s'est déconnecté. Je ne sais pas pourquoi, Des fois, c'est bien, des fois, ce n'est pas bien. Mais quand même, c'est bien. Quand même, c'est bien parce que je pense que vous allez avoir un bon son. Même si ce n'est pas parfait, vous allez quand même avoir un bon son. En tout cas, je le souhaite. Est-ce qu'il est connecté ? Oui. Johnny est connecté. Normalement, il est posé sur moi. Donc, vous devriez avoir un bon son et ça devrait être clair, limpide et clair. Donc, voilà. C'est bien. Même si des fois, il se déconnecte, ce petit bâtard. Ce n'est pas grave. On va faire avec. Je vais aller chez DJ cet après-midi. Je vais peut-être aller acheter un DJ, même si ça me fait plaisir. Mais je vais quand même aller chez DJ. Je vais aller acheter un micro. Je vais dire, voilà, fuck la merde. J'en ai besoin. Donc, si j'en ai besoin, il faut que j'achète. Voilà. Donc, voilà. Qu'est-ce que vous disiez d'autrement ? Ah oui, maintenant qu'il écoute mes podcasts. Donc, sinon, à part ça, les gens qu'on rencontre, je, malheureusement, je n'ai pas un bon feeling à chaque fois. à chaque fois simplement. Est-ce que c'est parce que j'ai évolué ? Est-ce que c'est parce que je suis entourée d'entrepreneurs et que du coup, quand on discute de trucs débiles, ça me fait chier ? Est-ce que c'est parce que je suis entourée de gens intéressants ? Et Manon, crois-moi que je t'inclus dans le lot. Donc, soit je suis entourée de gens intéressants qui sont capables de s'élever les uns les autres, qu'aujourd'hui, je ne suis peut-être plus capable d'accepter n'importe qui dans mon cercle. Et ça, c'est quelque chose d'important aussi, c'est que plus on évolue, plus on grandit, plus on progresse, et plus le cercle que vous vous constituez devient de plus en plus restreint. Et ça, je le vérifie tout le temps, parce que là, en fait, c'est ce que je vois, c'est ce que je me dis. Et donc, chaque fois que je rencontre des gens, je me dis « putain, ça ne me plaît pas, ça ne me plaît pas, ça ne me plaît pas, ça ne me plaît pas, ça ne me plaît pas » . Et donc, du coup, on n'a pas d'amis ici. on n'a pas d'amis ici ou pas tant que ça, on connaît des gens, comme j'ai dit on connaît Manon qui va travailler avec moi, sinon on connaît personne et on a envie de se rapprocher de personne. On entend des dingueries, chaque fois que mon micro se déconnecte en fait, c'est parce que je pense que c'est parce qu'il faut que mon téléphone ne se mette pas en veille, cette espèce de petit voilà. Donc on entend des dingueries des Français qui habitent ici pour certains et tout. Et donc du coup, je n'ai pas envie de ça. Et en plus de ça, la plupart du temps, les gens quand ils s'approchent de moi aujourd'hui, c'est par intérêt, la plupart du temps. On veut avoir des informations sur si. On veut apprendre à développer son business. On veut faire ceci. On veut savoir comment moi je fais cela. Et donc du coup, ça me fait chier. Je vous le dis très sincèrement, ça me fait éplucher. Et donc du coup, je ne peux pas aujourd'hui me dire que... J'ai des amis. J'ai des amis de loin. J'ai des amis depuis longtemps. J'ai des amis qui me connaissent depuis le début. J'ai des clients qui sont devenus des amis. Mais ici, au Mexique, on n'a pas d'amis. Voilà, on n'a pas vraiment d'amis. Parce que c'est dur. Il ne faut pas croire que l'expatriation, c'est la chose la plus... Oh, c'est merveilleux, c'est super, c'est le fun et tout. Moi, quand je veux faire une vidéo d'équipe, mais je ne peux pas. Quand je veux faire un réel d'équipe, Je ne peux pas. Quand je veux faire un truc avec d'autres personnes, je ne peux pas. Quand je veux promouvoir des trucs, je ne peux pas. Je suis seule. Donc ça, c'est quelque chose qu'il faut prendre conscience. Parce que souvent, en fait, la plupart du temps, les gens qui jugent sont des gens qui ne vous connaissent pas. Et quand on ne connaît pas les gens, on ne peut pas juger. Et donc, je me suis retrouvée dans la foudre de certains à me dire « mais qu'est-ce qu'il en sait ? » ou « qu'est-ce qu'elle en sait ? » ou « parce que quelqu'un m'a connue » ou « parce que quelqu'un m'a connue » a été avec moi proche pendant six mois, se dit « mais je la connais parfaitement, on connaît par cœur » . Et en fait, tu ne me connais pas, déjà, de base. Et donc, les gens qui me connaissent le mieux, c'est mon mari et mes enfants, sinon on ne me connaît pas. Et donc, du coup, je me dis, d'ailleurs je ne sais pas pourquoi je disais ça, mais en tout cas, on ne doit pas juger les gens. Et ceux qui pensent que parce qu'ils m'ont vue, ils m'ont connue il y a deux ans, ils savent que... ils connaissent la personne que je suis aujourd'hui, j'espère que je peux me permettre d'évoluer, en tout cas c'est ce que je souhaite. Donc tout ça, toutes ces choses, font qu'on n'a pas vraiment de lien avec l'extérieur. à part ce que j'ai construit, c'est-à-dire ma famille de cœur, les Lyon, les réseaux et tout ça. Sinon, il n'y en a pas. Donc oui, être expatriée, c'est chouette. Oui, c'est bien. Oui, je me sens bien. Oui, je me sens bien dans le pays où je suis. Évidemment, tu fais 10 km, 15 km, 20 km maximum, tu es au bord de la plage, une plage qui est belle comme ça ne se peut même pas. tu fais des kilomètres un peu vifé en bagnole, tu es dans les C-notes, les trucs, c'est un truc de fou. Tu es avec des gens qui sont la plupart du temps le plus gentil et le plus aimable que tu as jamais connu. Tout est possible ici, tu peux faire tout ce que tu veux. Je suis à 1h30 de Miami, si j'ai envie de prendre un avion, je peux prendre un avion. Je suis très proche de tout le coin caraïbe. Donc, si je veux, je fais ce que je veux. Il faut savoir que si tu ne peux pas le partager, des fois c'est dur. Des fois, ce n'est pas facile. Si tu ne peux pas partager les trucs, des fois ce n'est pas facile. Donc là, je suis bien contente parce que mon fils va me rejoindre au mois de novembre. Donc du coup, c'est le plus avec qui on fait des trucs. On parle coiffure, on parle cheveux, on monte un salon. Je viens de recevoir les produits Tokyo hier. J'ai reçu ma commande Tokyo hier. Je suis très contente de faire partie de la famille Tokyo. La première qui va l'essayer ou qui va le faire sur ses cheveux, c'est moi, évidemment. Donc voilà, j'adore. Je l'avais déjà fait plusieurs fois sur moi, mais j'adore et je suis bien contente d'ouvrir et d'en faire un salon Tokyo, entre autres choses. Mais c'est ça pareil. Parce que pour moi, le haut de gamme, que je vais amener dans ce salon va être extraordinaire. Et donc, du coup, j'ai hâte. J'ai vraiment hâte. Là, on va commencer les travaux. Ils commençaient à terminer les murs, à mettre les portes et les fenêtres. Tant qu'on n'avait pas fait ça, on ne pouvait rien faire d'autre. Donc, maintenant que ça va être fait, bientôt achevé, on va pouvoir s'attaquer. Donc, voilà. Et voilà. Donc, j'ai vraiment, vraiment, vraiment hâte de... de développer, j'ai vraiment hâte de le faire se construire et tout, ça c'est vraiment quelque chose qui me tenait à cœur et tout donc voilà voilà, voilà, voilà et donc là-dessus, j'espère que vous avez que ça vous a plu cette semaine, que vous étiez avec moi ou que vous n'étiez pas avec moi, peu importe mais que ça vous a plu, que vous avez eu des clés, parce que pour moi donner Pour pouvoir recevoir, il faut donner. C'est donner pour recevoir. Ça, pour moi, c'est très important. Donc, j'espère que vous avez eu le contenu que vous vouliez. Moi, ça m'a permis de connecter avec vous, de voir qui me suivait, de voir des nouvelles personnes et tout. Donc, c'est vraiment chouette. Et je suis vraiment ravie. Je suis vraiment chanceuse. Je me sens chanceuse de pouvoir faire tout ça, de pouvoir élever des salons, de pouvoir développer des coiffeurs et des coiffeuses, de pouvoir se dire qu'on n'est pas seul et que dans notre métier, qui aujourd'hui est en train de se développer de plus en plus, on est capable de pouvoir se dire qu'une coiffeuse, aujourd'hui, ça gagne sa vie, ça se développe, ça peut faire des merveilles. Donc là-dessus, voilà. Je voulais dire aussi qu'au Mexique, on était extrêmement bien soignés. C'est une chance qu'on a. On se dit, oui, c'est un pays sous-développé. Absolument pas, c'est pas du tout sous-développé. Tu vas chez le médecin, chez l'endocrinologue. Il a une caméra, il te fait une échographie tout de suite dans son cabinet, il ne te renvoie pas au cabinet de radio, tu dois prendre rendez-vous et attendre deux semaines pour faire ta radio, ton scanner, tout est déjà dans le cabinet du médecin, tu as déjà tout sur place. Là, tu vas chez le gynéco, elle a déjà l'échographie, le machin, le cil, elle te fait ton prélèvement, elle est chirurgienne, elle opère, donc tu as déjà le plan d'action en place. C'est ce que j'aime ici. Je suis allée aussi chez l'ORL pour mes oreilles et ma gorge. C'est pareil, ils te font de suite une analyse des cordes vocales, de suite ils regardent, de suite, de suite, de suite quoi, de suite. Et ça pour moi c'est un bonheur parce que c'est un bonheur, t'es pris en charge. T'es vraiment bien bien pris en charge. Et ça pour ça, ça n'a pas de prix. Je ne pense pas avoir été aussi bien prise en charge en France. Et je ne me rappelle pas d'avoir été aussi bien prise en charge, surtout pas prise en charge comme ça au Québec. Le Québec c'est une... catastrophe. Une cata. Une cata. Cata. Cata-tata. Cata. Voilà. Cata. Caca-caca-caca. Tadadadadadadadadada Je comprends, je les détoque tellement c'est une catastrophe. Je rive chez le médecin, il a un bureau en bois, il t'ausculte. En plus, je ne suis même pas allée au médecin. Je suis allée une fois pour mes enfants. Ils regardent. Ah bon, mais il a l'air d'être comme ça, comme ça. Ok, on va lui prescrire un truc pour le TDAH, c'est bon. Fais des tests. Tu fais des tests, tu regardes. Tu parles de quelque chose que tu connais. donc ça pour ça le Mexique c'est formidable Je trouve qu'on est bien soigné. Alors oui, c'est le privé, je vous assure. C'est le privé, c'est-à-dire que tu payes ta consultation 100 euros. Oui, voilà, tu payes ta consultation 100 euros. Mais en même temps, est-ce que tu es à 100 euros près pour ta santé ? J'ai envie de te dire, j'espère que non. Mais oui, c'est ça. Tu es vraiment, en fait, très bien pris en charge. C'est pareil pour le dentiste. Le dentiste, il t'a fait ta radio des dents sur place. Il ne va pas t'envoyer à Pimpin Jean-Claude pour faire ton panoramique. C'est fait sur place. Donc tout ça, c'est formidable. Donc voilà, là-dessus, je vous souhaite une bonne fin de journée. On se retrouve jeudi. Sur mes réseaux, vous allez voir passer un concours. Je ne l'ai pas parlé lors du podcast, mais j'en parlerai pour le podcast suivant. Voilà. Bye !

  • Speaker #1

    Merci d'avoir écouté Ne me cassez pas le peigne. Envie de découvrir encore plus des coulisses sur le business de la coiffure ? Abonne-toi pour ne louper aucun épisode. Partage et commente pour réagir. Rendez-vous très vite pour un nouvel épisode, toujours présenté par Julie Véron.

Chapters

  • Introduction et mise à jour sur la masterclass

    00:00

  • L'importance de l'enseignement pratique en coiffure

    00:39

  • Prendre soin de soi et de sa santé

    01:55

  • Réflexions sur le business et l'état d'esprit

    02:56

  • Annonces sur le nouveau programme pour les salons

    06:10

  • Conclusion et encouragements pour les coiffeurs

    10:44

Description


🔥 Résumé percutant de l’épisode "Ne me cassez pas le peigne" 🔥


Julie revient cash, cash, CASH après une semaine de masterclass intense — et autant vous dire que ça n’a rien d’un petit atelier Pinterest avec des paillettes et trois tips recyclés. Non. Elle vous balance du VRAI : du mindset, du business, de la santé mentale, de la santé tout court, et du ras-le-bol.


🎙️ Dans cet épisode sans filtre :

* Elle dézingue les masterclass qui n’apportent rien (« une heure par jour pour brasser du vent ? Non merci. »)

Elle revient sur son choix vital de prendre soin de sa santé pour continuer à performer*.

* Elle partage ses galères techniques (oui, le micro qui saute… encore), mais aussi son kiff de pouvoir ENFIN enregistrer sans galérer comme en 2002.

* Elle annonce un nouveau programme de fou qui ne sera PAS pour les poissons panés du « je vais réfléchir ».


Et surtout… elle vous botte les fesses si vous êtes encore en train de calculer pendant que d'autres passent à l'action, prennent des risques et encaissent.


💥 Julie n'accompagnera plus les poissons panés.

💥 Julie ne joue plus avec celles qui veulent "voir si ça marche".

💥 Julie prépare une armée de coiffeuses cheffes d'entreprise qui savent où elles vont, et qui veulent TOUT.


À écouter si :

* Tu veux arrêter de courir sans te payer.

* Tu veux ENFIN construire une carrière et pas juste un agenda rempli.

* Tu es prête à investir dans toi, pour toi, et à ne plus t'excuser d'en vouloir plus.


👉 Spoiler : celles qui réussissent ne réfléchissent pas 107 ans. Elles AGISSENT. Et toi ? Tu fais quoi là, tout de suite ?

Abonne-toi. Partage. Ou reste sur le quai pendant que le train du succès file. 🚂💨



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Ne me cassez pas le peigne, le podcast qui vous dit tout sur l'envers du décor des salons de coiffure, présenté par Julie Véran. Bonjour tout le monde, j'espère que vous allez bien, j'espère que vous êtes en forme. J'essaye donc un nouveau système, encore, encore vous allez me dire, pour le son. Voilà, j'ai mis donc un micro qui est connecté à mon téléphone en espérant que ça ne merde pas. Et si ça merde, ben j'aurai... tendance à vous dire « fuck le son parce que j'en ai marre de toujours chercher des solutions pour ce putain de son de merde » . Voilà. Donc, vous m'avez manqué pendant une semaine. Ça fait une semaine qu'on ne s'est pas parlé, que je ne me suis pas déposée ici parce que il y avait la masterclass. La masterclass, il ne faut pas le minimiser. C'est quelque chose qui demande une énergie extrême. Et donc, je me consacre la plupart du temps à ce Merci. à ce volet-là, puisque ça dure quand même une semaine. Pendant une semaine, je suis en live. Pendant une semaine, je donne énormément. Et mon souhait à moi, c'est de donner. Parce qu'en fait, souvent, et puis c'est ça que je reproche, parce que ça, c'est quelque chose que j'ai appris à faire, de faire des masterclass. Mais la plupart du temps, on ne reçoit aucun enseignement. Et ça me casse les pieds, franchement. Je me dis, putain, mais je reste là pendant une semaine, une heure par jour. aller à l'essentiel les gars, un peu là. Et en fait, on voit que c'est un processus qui est fait pour rien. Et moi, du coup, j'ai décidé de le rendre réellement attractif pour que ce soit vraiment quelque chose qui vous serve dans vos salons. Alors évidemment, ce n'est pas l'intégralité de mon programme. Évidemment, j'ai bien plus de cordes à mon arc que de dispenser une heure par jour pendant cinq jours. je voulais vraiment que vous ayez une approche et surtout un éveil du business parce que franchement des fois j'entends des histoires d'horreur et je me dis non mais attends, écoute-moi bien Jocelyne, là on a un problème, on a quelque chose qui ne marche pas donc là tu es en train de me dire que tu cours partout, que tu ne te fais pas payer à ta juste valeur, que tu n'as pas de salaire, que tu ne prends pas de vacances et que à la fin au final tu as envie de tuer tes clientes, là il y a quelque chose qui ne marche pas on est d'accord, il y a quelque chose qui ne marche pas Donc, c'est un peu ça que j'ai voulu amener et montrer aussi que le business, c'est facile. D'accord ? Si on s'y intéresse un peu, si on a vraiment envie de créer quelque chose dans son salon de coiffure, le business, ça marche et c'est facile. C'est facile. Il n'y a rien de compliqué là-dedans. Ce n'est pas quelque chose d'insurmontable et tout. Donc voilà, c'est vraiment ce que j'ai voulu amener. Donc là, il est 8h du matin, je n'ai pas pris de café. Pourquoi donc ? Parce que j'attends qu'on me fasse une prise de sang, comme toutes les vieilles personnes qui se font faire la prise de sang à domicile. J'ai décidé que je me faisais faire la prise de sang à domicile, elle me l'a gentiment proposée la dame. Donc je lui ai dit d'accord. Et il faut savoir que je l'ai passé, ça fait deux semaines que je suis en examen médical. Parce que ce que j'enseigne, en fait, je me l'applique à moi-même. Ce n'est pas que je suis hypochondriaque, c'est que j'ai passé des années à ne pas aller chez le médecin parce que j'avais peur de mourir. C'est un truc de fou. J'ai vu mon beau-père, j'ai vu mon autre beau-père, j'ai vu mon père se désintégrer en peu de temps parce que les médecins, trop de la merde, blablabla. j'ai mal à la gorge, je suis un guerrier, j'y vais pas. Tu te rends compte au final que tu as une pathologie de sa mère qui est incurable et tu te dézingues en peu de temps. Et donc je me suis dit, ça fait des années que j'ai mal à la gorge, ça fait des années que j'ai mal à la gorge, et je me dis que je dois avoir un problème de thyroïde. Puisque ma mère s'est faite opérer, tout ça, bref. Je ne vais pas vous faire un cours de médecine, mais en tout cas tout ça pour vous dire que j'ai... J'ai du coup décidé de me faire analyser de tout, puisque j'entends beaucoup, puis j'ai l'impression que j'entends que ça, des maladies, des cancers, des machins, ça me fait flipper. Donc je me dis, c'est bon, je suis libérant, à un moment donné, ça suffit de faire l'enfant, tu vas chez le médecin, tu vas te faire ausculter et tout, et au moins, si jamais il y a quelque chose, ça sera pris à temps, et tu te feras soigner, puis c'est tout, tu feras comme les autres. Et si jamais tu ne peux pas te faire soigner, tant pis, fuck la vie, mais voilà, c'est comme ça. Et en fait, au final, à ma gorge, j'ai pas grand-chose. à part, comme je vous l'avais dit, je faisais des allergies aux produits de coiffure. Donc, je ne peux plus faire des journées entières de décoloration et de coloration. Donc, du coup, j'ai des pistes à la gorge, bénins, mais quand même. C'est pour ça que j'ai arrêté de coiffer, d'ailleurs, aussi intensément, parce que ça m'a coupé, vous l'entendez dans ma voix, ça m'a coupé. couper la voie et tout. En plus de ça, je me suis faite tout examiner, d'accord ? Parce que je ne veux plus d'enfants, plus du tout. Vous aurez donc compris où je suis donc allée. Et là aussi, j'ai pris des choses en main parce que je ne veux plus d'hormones et plus d'enfants. Donc, voilà. En tout cas, tout ça pour vous dire que cet après-midi, non même pas cet après-midi, en 11h, j'ai rendez-vous pour me faire masser parce que j'adore ça. C'est mon... J'adore... aller le dimanche après-midi, là ça sera à 11 heures, donc du coup j'aurai toute l'après-midi pour moi et tout, après je vais aller boire un verre sans alcool au bord de la plage et voilà, parce que bon ben voilà. Et j'ai décidé de prendre soin de ma santé parce que pour moi en fait, ce que je disais lors de la masterclass, pour moi le corps est un véhicule et ce véhicule, ce véhicule, attendez je vais stopper les notifications, les véhicules S'il n'y a pas d'essence à l'intérieur et si le moteur est cassé, il ne va pas loin. Il ne va pas très très loin. Donc du coup, j'ai décidé de prendre soin de moi encore plus. Niveau médical et tout. Même si j'ai une trouille bleue des médecins, du verdict et tout ça, je me dis que si on prend les choses à temps, sachant que je ne suis pas malade, je vous le dis très sincèrement, j'ai fait tous les examens possibles. à moins que les examens sanguins amènent quelque chose, sinon je ne suis pas malade mais j'ai décidé que je ferais un bilan assez régulièrement pour ne pas tomber dans ce truc là où tu te dis si j'avais su comme une con, ça fait 6 mois que j'ai ma loge là, que j'ai pas vérifié et finalement c'est grave voilà, donc ça c'est quelque chose, je sais que je n'ai pas commencé le podcast de cette manière, putain mais je peux bouger, j'ai un micro je peux faire le tour de ma chaise et vous m'entendez quand même Je peux être au fond du bureau et vous m'entendez quand même. Je peux m'allonger sur ma chaise et vous m'entendez quand même. Donc ça, c'est l'air mieux parce que j'ai un micro portatif. D'ailleurs, je pense que je vais en acheter un autre un peu plus… Voilà, comme ça au moins, on va pouvoir avoir du son. Ça fonctionne, ça marche. Il faut juste que je contrôle mon téléphone puisque c'est branché à mon téléphone qui est branché à mon Mac. Mais moi, Apple. Celui qui me dit que Apple, c'est trop de la merde. Mais moi, j'ai envie de vous dire, je ne le dis pas. Je ne le dis pas, mais je le pense. Je ne le dis pas, mais je le sais. Je ne le dis pas, mais je sais ce que je dis. D'accord ? Donc, voilà. Et donc, du coup, je peux… I am free. Je peux faire ce que je veux. Donc, c'est merveilleux. Et vous continuez à m'entendre quand même. Avant, j'avais un micro qui était posé sur mon bureau. Ou si je m'éloignais de 2 cm, on ne m'entendait plus. J'ai décidé de remédier à ça. Il m'a fallu du temps pour comprendre que je pouvais brancher un micro à mon iPhone, me servir de l'iPhone comme un micro et je peux faire le podcast. Je pourrais même faire le podcast allongé dans ma piscine si je veux. Oui, je sais, vous vous en foutez. Vous vous en foutez parce que vous l'écoutez, vous vous dites, bon, ça va, c'est bon, on a compris. Nanana, ça va, nanana. Donc, voilà. Mais en fait, pour moi, c'est une révolution, je vous le dis. Parce que ça fait combien de temps que j'enregistre ? Ça fait un an que j'enregistre. Je pense que c'est l'anniversaire du podcast, d'ailleurs, dans pas longtemps, où c'est passé. En tout cas, ça fait un an que j'enregistre des épisodes et un an que je me casse le cul avec le son. Donc, voilà. Donc, tout ça pour dire… Très bien. Donc, la Masterclass étant passée, tout ça, en me disant que j'ai passé une semaine… incroyable que pour moi c'est une connexion inestimable avec vous que au-delà de tout j'adore interréagir j'adore parler, j'adore dire j'adore m'exprimer vous entendre et tout je suis ravie, refaite à chaque fois c'est un bonheur intense pour moi et je me dis que j'ai vraiment de la chance de faire ce métier. J'ai vraiment de la chance de pouvoir m'exprimer. J'ai vraiment de la chance de pouvoir... de pouvoir être avec vous, j'ai vraiment de la chance, c'est une chance pour moi, de pouvoir me dire qu'on est en train de relever un métier, de se donner les capacités de réussir, et moi en fait, à chaque fois, ça me permet de saisir ce dont vous avez besoin, et de saisir ce que je vais mettre en place, et là en septembre, il y a un putain de programme qui va sortir de sa mère, je vous le dis, parce que j'ai des pépites. Dans mon accompagnement, j'ai des pépites. J'ai des pépites. Cette année, j'ai eu des pépites. J'ai des pépites. Et donc, ça veut dire quoi ? Ça veut dire qu'aujourd'hui, je vais aider les salons de coiffure à investir, à faire des tableaux de bord, à se développer, à acheter des murs, à comprendre le système des intérêts composés, de comprendre tout ça. Et je vais me former comme jamais. Je me forme comme jamais, ça fait des années. Mais j'ai envie que vous puissiez comprendre comment on devient investisseur. C'est en fait la base de tout. Comment on devient chef d'entreprise ? Comment on devient investisseur ? Comment on gère son argent ? Comment on multiplie son argent ? Comment on développe ? C'est mon objectif. Toutes celles aujourd'hui qui ont voulu prendre ma place, « Arrêtez-moi, je vais aider mes coiffeuses à faire du chiffre d'affaires. » Oui, moi, je fais ça. Mais en fait, dans mon programme, c'est au-delà de ça. C'est au-delà de tout ça. C'est aider les coiffeuses à faire du chiffre d'affaires, yes. Mais c'est aussi aider les coiffeuses à se construire une carrière. Si tu ne te construis pas une carrière et que tu fais juste du chiffre d'affaires, c'est dommage. Tu vois ce que je veux dire ? C'est dommage. Donc du coup, là, on va se construire une carrière, les meufs. Ça va être incroyable, ça va être génial. Putain, mais je suis refaite. Je suis refaite avec ce son. Je suis refaite avec ce micro. Pardon. C'est top, vous voyez ? J'ai décidé là de construire quelque chose qui allait être productif, qui allait être crédible, qui allait vous apporter vraiment une valeur ajoutée. Mais ce programme ne pourra être proposé, je pense, qu'à une certaine catégorie de coiffeuses, et notamment celles qui sont passées par la méthode Lyon. Ça ne veut pas dire que je veux des grands salons, des salons, voilà. Je veux des gens qui soient déjà impliqués dans le business, qui ont déjà envie de se développer, qui savent déjà ce qu'elles veulent, qui sont déjà allumés par ça. Pas qu'ils se disent « Ouais, mais moi, non, mais tu sais, moi j'ai peur. Puis tu sais, moi, je n'arrive pas. Puis je ne sais pas comment me faire pour m'investir. Je propose la solution. Ouais, mais je vais réfléchir. Je ne sais pas trop. Putain, mais arrêtez de réfléchir, bordel. » arrêtez de réfléchir et de me dire je vais réfléchir, il faut que je calcule, il faut que j'en parle à mon conjoint, il faut que... Mais putain de merde, de merde, de remerde et de trimerde. C'est arrêter avec ça, arrêter d'attendre, arrêter de vous dire, ouais mais à bien y penser, je préfère rester dans la merde. Mais putain, mais c'est une blague. Mais je l'entends trop souvent ça, trop souvent, trop souvent. Et aujourd'hui, en ce jour, J'ai quelqu'un qui m'a menée en bateau depuis deux mois, mais vraiment, et d'autres, et d'entre autres choses. Aujourd'hui, en fait, quand je passe les appels, c'est un appel, c'est définitif. C'est-à-dire, si tu as eu ton appel, que tu m'as dit « je vais réfléchir » et que tu n'es jamais revenu vers moi, ou alors que tu es revenu vers moi, mais que tu m'as dit « oui, la semaine prochaine, la semaine prochaine, la semaine prochaine, la semaine prochaine » . La semaine prochaine. Je ne ferai plus le pas de t'accompagner. Plus du tout. Du tout. D'accord ? Du tout. Pourquoi ? Parce que c'est un investissement de ma part et de la vôtre. Surtout de la vôtre. De votre part. Excuse, le micro a été déconnecté. De votre part. Parce que si vous vous investissez, ce n'est pas pour vous-même. Comment voulez-vous réussir ? C'est impossible. C'est impossible. C'est ce que j'expliquais pendant la masterclass. Si on vous donne des choses à faire et que vous ne le faites pas. Si vous agissez avec la peur et que vous êtes là tout le temps à réfléchir. « Je vais faire un pas en avant. Un pas en arrière. Un pas en avant. Un pas en arrière. Je fais la danse. Je fais la danse de la procrastination. Un pas en avant. Un pas en avant. Un pas en arrière. Vous voyez ? Ça, c'est impossible. pour réussir. Impossible. Les gens qui réussissent, ils foncent. Ils courent tout droit. Ils ne regardent pas en arrière. Ils ne se demandent pas. il ne se pose pas la question. Ils ne le disent pas, ils font, ils exécutent. Si à un moment donné, ils voient que ça ne marche pas, ils recommencent. Mais ils ne sont jamais en arrière, ils sont toujours au point A. Vous, vous allez en arrière des fois, où on me dit « oui, mais non, je ne peux pas, c'est trop cher » . Mais si vous vous dites que c'est trop cher, pourquoi vous vous obstinez à engueuler vos clients quand elles vous disent que c'est trop cher ? C'est parce que vous, vous avez une mentalité de trop cher. Vous avez une mentalité à vous dire « Ah, mais c'est trop cher. » Non, ce n'est pas trop cher. Ce qui est trop cher, en fait, moi, quand j'entends ça, ce qui est trop cher, c'est vraiment de te dire « Moi, je fais 3 000 euros de chiffre et je n'ai pas envie de m'en sortir. » Ça, ça me casse le cul. Ça me fait mal aux pattes. J'en ai assez d'entendre ça. Parce que je me dis « Ce n'est pas possible un truc pareil. » « Ce n'est pas possible un truc pareil. » ou quelqu'un qui me dit « Ah, mais moi, je ne me paye pas. » Je n'ai pas de trésor, mais je ne sais pas comment je vais faire. Je m'excuse, mais si on te propose une solution, il va falloir que tu l'apprennes. Il va falloir que tu le fasses. Il va falloir que tu te choisisses. Il va falloir que tu te fasses confiance. Il va falloir que tu ailles de l'avant avec ça. Ce n'est pas possible de se dire « je reste au même endroit et j'espère avoir des résultats différents » . C'est impossible. Ce n'est pas possible. Et ça, ce genre de personnes-là, j'ai décidé que je ne les accompagnerais plus parce que... Pour réussir, ça demande déjà un mindset, ça demande déjà une façon de faire, ça demande déjà une envie de faire, ça demande déjà une rigueur. Il y a des gens que j'ai eus dans la méthode et qui étaient à découvert, mais de ouf, et qui se sont choisis quand même, et qui se sont développés quand même, et qui ont décidé de faire les choses de la même manière, même si... c'était difficile, même si c'était pénible, même si elles ne savaient pas comment elles allaient réussir le mois prochain, même si elles n'avaient aucune certitude de réussite, même si tout ça, elles se sont choisies, elles ont réussi, elles ont performé. Lors de la Masterclass, vous avez entendu l'histoire de Florence. Un bilan comptable à moins de 21 000 euros, avec des capitaux propres impactés, c'est-à-dire qu'elle était obligée de réinjecter Merci. de l'argent personnel dans sa société pour pouvoir la faire vivre. Donc là, en plus de ça, elle se dit « mais moi je prends la méthode parce que j'en ai besoin » . Elle décide de réduire son salaire parce qu'elle se dit qu'elle en a besoin. Et aujourd'hui, on s'enligne vers un bilan à plus 10 000 euros. Et l'année prochaine, on s'aligne vers « je me paye » . Vous comprenez ? C'est ça le but. Je me paye à ma juste valeur. Mais elle a relevé son salon, relevé son bilan en l'espace de deux ans. Deux ans de travail. Elle est allée deux fois, ça va être la deuxième fois qu'elle va aller à Cancun, et elle a décidé de se choisir et de se former quand même. Moi, ça me scie les pattes en fait, quand on me dit... je suis une acheteuse compulsive, je suis de la team passoire, c'est-à-dire que j'achète à tort et à travers, je ne me paye pas, je ne prends pas de vacances, je fais 60 heures par semaine, mais je n'ai besoin de rien. Là, je me dis, ok, là, là, on a un problème, là, là, on a un bail, on a un truc. Donc, c'est ça que j'ai vu avec vous pendant la semaine de Masterclass. Avoir un plan, suivre ce plan, être impliqué pour ce plan. C'est ce qui va vous donner la réussite. C'est ce qui va vous donner la réussite. Et rien d'autre. Rien d'autre. Si vous suivez votre plan, vous allez réussir. Sinon, ça va être compliqué pour vous. Très, très, très compliqué. Très compliqué. Est-ce que ça va pour tout le monde ? Je le fais comme un masterclass. Je me crois encore en masterclass. Est-ce que ça va pour tout le monde ? Est-ce que vous avez bien compris ce que j'ai dit ? C'est sorti tout seul. Mais j'ai tellement kiffé ce moment. Vous savez, moi, je suis dans un bureau. J'habite à 7000 kilomètres de vous. Je suis toute la journée enfermée dans mon bureau, ou en tout cas tous mes matins. Je commence à 7h. Vous voyez, demain, je commence avec Cécile. Je commence à 7h. On développe, on se met en condition de travail. Mais quand je sors de mon bureau, qui est là pour m'accueillir ? À part mon mari, mes enfants. personne. Les gens qui rentrent dans ma maison, là c'est l'infirmière pour venir me piquer. Ensuite, c'est les femmes de ménage ou les gens qui ont fait les travaux dans ma maison. Sinon, personne, on n'a pas de connaissances ou d'amis ou quoi que ce soit. Et généralement, et je m'excuse à part Manon, donc je disais que Manon écoute mes podcasts, toutes les fois où vous voyez que j'ai eu un blanc, c'est que mon micro s'est déconnecté. Je ne sais pas pourquoi, Des fois, c'est bien, des fois, ce n'est pas bien. Mais quand même, c'est bien. Quand même, c'est bien parce que je pense que vous allez avoir un bon son. Même si ce n'est pas parfait, vous allez quand même avoir un bon son. En tout cas, je le souhaite. Est-ce qu'il est connecté ? Oui. Johnny est connecté. Normalement, il est posé sur moi. Donc, vous devriez avoir un bon son et ça devrait être clair, limpide et clair. Donc, voilà. C'est bien. Même si des fois, il se déconnecte, ce petit bâtard. Ce n'est pas grave. On va faire avec. Je vais aller chez DJ cet après-midi. Je vais peut-être aller acheter un DJ, même si ça me fait plaisir. Mais je vais quand même aller chez DJ. Je vais aller acheter un micro. Je vais dire, voilà, fuck la merde. J'en ai besoin. Donc, si j'en ai besoin, il faut que j'achète. Voilà. Donc, voilà. Qu'est-ce que vous disiez d'autrement ? Ah oui, maintenant qu'il écoute mes podcasts. Donc, sinon, à part ça, les gens qu'on rencontre, je, malheureusement, je n'ai pas un bon feeling à chaque fois. à chaque fois simplement. Est-ce que c'est parce que j'ai évolué ? Est-ce que c'est parce que je suis entourée d'entrepreneurs et que du coup, quand on discute de trucs débiles, ça me fait chier ? Est-ce que c'est parce que je suis entourée de gens intéressants ? Et Manon, crois-moi que je t'inclus dans le lot. Donc, soit je suis entourée de gens intéressants qui sont capables de s'élever les uns les autres, qu'aujourd'hui, je ne suis peut-être plus capable d'accepter n'importe qui dans mon cercle. Et ça, c'est quelque chose d'important aussi, c'est que plus on évolue, plus on grandit, plus on progresse, et plus le cercle que vous vous constituez devient de plus en plus restreint. Et ça, je le vérifie tout le temps, parce que là, en fait, c'est ce que je vois, c'est ce que je me dis. Et donc, chaque fois que je rencontre des gens, je me dis « putain, ça ne me plaît pas, ça ne me plaît pas, ça ne me plaît pas, ça ne me plaît pas, ça ne me plaît pas » . Et donc, du coup, on n'a pas d'amis ici. on n'a pas d'amis ici ou pas tant que ça, on connaît des gens, comme j'ai dit on connaît Manon qui va travailler avec moi, sinon on connaît personne et on a envie de se rapprocher de personne. On entend des dingueries, chaque fois que mon micro se déconnecte en fait, c'est parce que je pense que c'est parce qu'il faut que mon téléphone ne se mette pas en veille, cette espèce de petit voilà. Donc on entend des dingueries des Français qui habitent ici pour certains et tout. Et donc du coup, je n'ai pas envie de ça. Et en plus de ça, la plupart du temps, les gens quand ils s'approchent de moi aujourd'hui, c'est par intérêt, la plupart du temps. On veut avoir des informations sur si. On veut apprendre à développer son business. On veut faire ceci. On veut savoir comment moi je fais cela. Et donc du coup, ça me fait chier. Je vous le dis très sincèrement, ça me fait éplucher. Et donc du coup, je ne peux pas aujourd'hui me dire que... J'ai des amis. J'ai des amis de loin. J'ai des amis depuis longtemps. J'ai des amis qui me connaissent depuis le début. J'ai des clients qui sont devenus des amis. Mais ici, au Mexique, on n'a pas d'amis. Voilà, on n'a pas vraiment d'amis. Parce que c'est dur. Il ne faut pas croire que l'expatriation, c'est la chose la plus... Oh, c'est merveilleux, c'est super, c'est le fun et tout. Moi, quand je veux faire une vidéo d'équipe, mais je ne peux pas. Quand je veux faire un réel d'équipe, Je ne peux pas. Quand je veux faire un truc avec d'autres personnes, je ne peux pas. Quand je veux promouvoir des trucs, je ne peux pas. Je suis seule. Donc ça, c'est quelque chose qu'il faut prendre conscience. Parce que souvent, en fait, la plupart du temps, les gens qui jugent sont des gens qui ne vous connaissent pas. Et quand on ne connaît pas les gens, on ne peut pas juger. Et donc, je me suis retrouvée dans la foudre de certains à me dire « mais qu'est-ce qu'il en sait ? » ou « qu'est-ce qu'elle en sait ? » ou « parce que quelqu'un m'a connue » ou « parce que quelqu'un m'a connue » a été avec moi proche pendant six mois, se dit « mais je la connais parfaitement, on connaît par cœur » . Et en fait, tu ne me connais pas, déjà, de base. Et donc, les gens qui me connaissent le mieux, c'est mon mari et mes enfants, sinon on ne me connaît pas. Et donc, du coup, je me dis, d'ailleurs je ne sais pas pourquoi je disais ça, mais en tout cas, on ne doit pas juger les gens. Et ceux qui pensent que parce qu'ils m'ont vue, ils m'ont connue il y a deux ans, ils savent que... ils connaissent la personne que je suis aujourd'hui, j'espère que je peux me permettre d'évoluer, en tout cas c'est ce que je souhaite. Donc tout ça, toutes ces choses, font qu'on n'a pas vraiment de lien avec l'extérieur. à part ce que j'ai construit, c'est-à-dire ma famille de cœur, les Lyon, les réseaux et tout ça. Sinon, il n'y en a pas. Donc oui, être expatriée, c'est chouette. Oui, c'est bien. Oui, je me sens bien. Oui, je me sens bien dans le pays où je suis. Évidemment, tu fais 10 km, 15 km, 20 km maximum, tu es au bord de la plage, une plage qui est belle comme ça ne se peut même pas. tu fais des kilomètres un peu vifé en bagnole, tu es dans les C-notes, les trucs, c'est un truc de fou. Tu es avec des gens qui sont la plupart du temps le plus gentil et le plus aimable que tu as jamais connu. Tout est possible ici, tu peux faire tout ce que tu veux. Je suis à 1h30 de Miami, si j'ai envie de prendre un avion, je peux prendre un avion. Je suis très proche de tout le coin caraïbe. Donc, si je veux, je fais ce que je veux. Il faut savoir que si tu ne peux pas le partager, des fois c'est dur. Des fois, ce n'est pas facile. Si tu ne peux pas partager les trucs, des fois ce n'est pas facile. Donc là, je suis bien contente parce que mon fils va me rejoindre au mois de novembre. Donc du coup, c'est le plus avec qui on fait des trucs. On parle coiffure, on parle cheveux, on monte un salon. Je viens de recevoir les produits Tokyo hier. J'ai reçu ma commande Tokyo hier. Je suis très contente de faire partie de la famille Tokyo. La première qui va l'essayer ou qui va le faire sur ses cheveux, c'est moi, évidemment. Donc voilà, j'adore. Je l'avais déjà fait plusieurs fois sur moi, mais j'adore et je suis bien contente d'ouvrir et d'en faire un salon Tokyo, entre autres choses. Mais c'est ça pareil. Parce que pour moi, le haut de gamme, que je vais amener dans ce salon va être extraordinaire. Et donc, du coup, j'ai hâte. J'ai vraiment hâte. Là, on va commencer les travaux. Ils commençaient à terminer les murs, à mettre les portes et les fenêtres. Tant qu'on n'avait pas fait ça, on ne pouvait rien faire d'autre. Donc, maintenant que ça va être fait, bientôt achevé, on va pouvoir s'attaquer. Donc, voilà. Et voilà. Donc, j'ai vraiment, vraiment, vraiment hâte de... de développer, j'ai vraiment hâte de le faire se construire et tout, ça c'est vraiment quelque chose qui me tenait à cœur et tout donc voilà voilà, voilà, voilà et donc là-dessus, j'espère que vous avez que ça vous a plu cette semaine, que vous étiez avec moi ou que vous n'étiez pas avec moi, peu importe mais que ça vous a plu, que vous avez eu des clés, parce que pour moi donner Pour pouvoir recevoir, il faut donner. C'est donner pour recevoir. Ça, pour moi, c'est très important. Donc, j'espère que vous avez eu le contenu que vous vouliez. Moi, ça m'a permis de connecter avec vous, de voir qui me suivait, de voir des nouvelles personnes et tout. Donc, c'est vraiment chouette. Et je suis vraiment ravie. Je suis vraiment chanceuse. Je me sens chanceuse de pouvoir faire tout ça, de pouvoir élever des salons, de pouvoir développer des coiffeurs et des coiffeuses, de pouvoir se dire qu'on n'est pas seul et que dans notre métier, qui aujourd'hui est en train de se développer de plus en plus, on est capable de pouvoir se dire qu'une coiffeuse, aujourd'hui, ça gagne sa vie, ça se développe, ça peut faire des merveilles. Donc là-dessus, voilà. Je voulais dire aussi qu'au Mexique, on était extrêmement bien soignés. C'est une chance qu'on a. On se dit, oui, c'est un pays sous-développé. Absolument pas, c'est pas du tout sous-développé. Tu vas chez le médecin, chez l'endocrinologue. Il a une caméra, il te fait une échographie tout de suite dans son cabinet, il ne te renvoie pas au cabinet de radio, tu dois prendre rendez-vous et attendre deux semaines pour faire ta radio, ton scanner, tout est déjà dans le cabinet du médecin, tu as déjà tout sur place. Là, tu vas chez le gynéco, elle a déjà l'échographie, le machin, le cil, elle te fait ton prélèvement, elle est chirurgienne, elle opère, donc tu as déjà le plan d'action en place. C'est ce que j'aime ici. Je suis allée aussi chez l'ORL pour mes oreilles et ma gorge. C'est pareil, ils te font de suite une analyse des cordes vocales, de suite ils regardent, de suite, de suite, de suite quoi, de suite. Et ça pour moi c'est un bonheur parce que c'est un bonheur, t'es pris en charge. T'es vraiment bien bien pris en charge. Et ça pour ça, ça n'a pas de prix. Je ne pense pas avoir été aussi bien prise en charge en France. Et je ne me rappelle pas d'avoir été aussi bien prise en charge, surtout pas prise en charge comme ça au Québec. Le Québec c'est une... catastrophe. Une cata. Une cata. Cata. Cata-tata. Cata. Voilà. Cata. Caca-caca-caca. Tadadadadadadadadada Je comprends, je les détoque tellement c'est une catastrophe. Je rive chez le médecin, il a un bureau en bois, il t'ausculte. En plus, je ne suis même pas allée au médecin. Je suis allée une fois pour mes enfants. Ils regardent. Ah bon, mais il a l'air d'être comme ça, comme ça. Ok, on va lui prescrire un truc pour le TDAH, c'est bon. Fais des tests. Tu fais des tests, tu regardes. Tu parles de quelque chose que tu connais. donc ça pour ça le Mexique c'est formidable Je trouve qu'on est bien soigné. Alors oui, c'est le privé, je vous assure. C'est le privé, c'est-à-dire que tu payes ta consultation 100 euros. Oui, voilà, tu payes ta consultation 100 euros. Mais en même temps, est-ce que tu es à 100 euros près pour ta santé ? J'ai envie de te dire, j'espère que non. Mais oui, c'est ça. Tu es vraiment, en fait, très bien pris en charge. C'est pareil pour le dentiste. Le dentiste, il t'a fait ta radio des dents sur place. Il ne va pas t'envoyer à Pimpin Jean-Claude pour faire ton panoramique. C'est fait sur place. Donc tout ça, c'est formidable. Donc voilà, là-dessus, je vous souhaite une bonne fin de journée. On se retrouve jeudi. Sur mes réseaux, vous allez voir passer un concours. Je ne l'ai pas parlé lors du podcast, mais j'en parlerai pour le podcast suivant. Voilà. Bye !

  • Speaker #1

    Merci d'avoir écouté Ne me cassez pas le peigne. Envie de découvrir encore plus des coulisses sur le business de la coiffure ? Abonne-toi pour ne louper aucun épisode. Partage et commente pour réagir. Rendez-vous très vite pour un nouvel épisode, toujours présenté par Julie Véron.

Chapters

  • Introduction et mise à jour sur la masterclass

    00:00

  • L'importance de l'enseignement pratique en coiffure

    00:39

  • Prendre soin de soi et de sa santé

    01:55

  • Réflexions sur le business et l'état d'esprit

    02:56

  • Annonces sur le nouveau programme pour les salons

    06:10

  • Conclusion et encouragements pour les coiffeurs

    10:44

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Description


🔥 Résumé percutant de l’épisode "Ne me cassez pas le peigne" 🔥


Julie revient cash, cash, CASH après une semaine de masterclass intense — et autant vous dire que ça n’a rien d’un petit atelier Pinterest avec des paillettes et trois tips recyclés. Non. Elle vous balance du VRAI : du mindset, du business, de la santé mentale, de la santé tout court, et du ras-le-bol.


🎙️ Dans cet épisode sans filtre :

* Elle dézingue les masterclass qui n’apportent rien (« une heure par jour pour brasser du vent ? Non merci. »)

Elle revient sur son choix vital de prendre soin de sa santé pour continuer à performer*.

* Elle partage ses galères techniques (oui, le micro qui saute… encore), mais aussi son kiff de pouvoir ENFIN enregistrer sans galérer comme en 2002.

* Elle annonce un nouveau programme de fou qui ne sera PAS pour les poissons panés du « je vais réfléchir ».


Et surtout… elle vous botte les fesses si vous êtes encore en train de calculer pendant que d'autres passent à l'action, prennent des risques et encaissent.


💥 Julie n'accompagnera plus les poissons panés.

💥 Julie ne joue plus avec celles qui veulent "voir si ça marche".

💥 Julie prépare une armée de coiffeuses cheffes d'entreprise qui savent où elles vont, et qui veulent TOUT.


À écouter si :

* Tu veux arrêter de courir sans te payer.

* Tu veux ENFIN construire une carrière et pas juste un agenda rempli.

* Tu es prête à investir dans toi, pour toi, et à ne plus t'excuser d'en vouloir plus.


👉 Spoiler : celles qui réussissent ne réfléchissent pas 107 ans. Elles AGISSENT. Et toi ? Tu fais quoi là, tout de suite ?

Abonne-toi. Partage. Ou reste sur le quai pendant que le train du succès file. 🚂💨



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Ne me cassez pas le peigne, le podcast qui vous dit tout sur l'envers du décor des salons de coiffure, présenté par Julie Véran. Bonjour tout le monde, j'espère que vous allez bien, j'espère que vous êtes en forme. J'essaye donc un nouveau système, encore, encore vous allez me dire, pour le son. Voilà, j'ai mis donc un micro qui est connecté à mon téléphone en espérant que ça ne merde pas. Et si ça merde, ben j'aurai... tendance à vous dire « fuck le son parce que j'en ai marre de toujours chercher des solutions pour ce putain de son de merde » . Voilà. Donc, vous m'avez manqué pendant une semaine. Ça fait une semaine qu'on ne s'est pas parlé, que je ne me suis pas déposée ici parce que il y avait la masterclass. La masterclass, il ne faut pas le minimiser. C'est quelque chose qui demande une énergie extrême. Et donc, je me consacre la plupart du temps à ce Merci. à ce volet-là, puisque ça dure quand même une semaine. Pendant une semaine, je suis en live. Pendant une semaine, je donne énormément. Et mon souhait à moi, c'est de donner. Parce qu'en fait, souvent, et puis c'est ça que je reproche, parce que ça, c'est quelque chose que j'ai appris à faire, de faire des masterclass. Mais la plupart du temps, on ne reçoit aucun enseignement. Et ça me casse les pieds, franchement. Je me dis, putain, mais je reste là pendant une semaine, une heure par jour. aller à l'essentiel les gars, un peu là. Et en fait, on voit que c'est un processus qui est fait pour rien. Et moi, du coup, j'ai décidé de le rendre réellement attractif pour que ce soit vraiment quelque chose qui vous serve dans vos salons. Alors évidemment, ce n'est pas l'intégralité de mon programme. Évidemment, j'ai bien plus de cordes à mon arc que de dispenser une heure par jour pendant cinq jours. je voulais vraiment que vous ayez une approche et surtout un éveil du business parce que franchement des fois j'entends des histoires d'horreur et je me dis non mais attends, écoute-moi bien Jocelyne, là on a un problème, on a quelque chose qui ne marche pas donc là tu es en train de me dire que tu cours partout, que tu ne te fais pas payer à ta juste valeur, que tu n'as pas de salaire, que tu ne prends pas de vacances et que à la fin au final tu as envie de tuer tes clientes, là il y a quelque chose qui ne marche pas on est d'accord, il y a quelque chose qui ne marche pas Donc, c'est un peu ça que j'ai voulu amener et montrer aussi que le business, c'est facile. D'accord ? Si on s'y intéresse un peu, si on a vraiment envie de créer quelque chose dans son salon de coiffure, le business, ça marche et c'est facile. C'est facile. Il n'y a rien de compliqué là-dedans. Ce n'est pas quelque chose d'insurmontable et tout. Donc voilà, c'est vraiment ce que j'ai voulu amener. Donc là, il est 8h du matin, je n'ai pas pris de café. Pourquoi donc ? Parce que j'attends qu'on me fasse une prise de sang, comme toutes les vieilles personnes qui se font faire la prise de sang à domicile. J'ai décidé que je me faisais faire la prise de sang à domicile, elle me l'a gentiment proposée la dame. Donc je lui ai dit d'accord. Et il faut savoir que je l'ai passé, ça fait deux semaines que je suis en examen médical. Parce que ce que j'enseigne, en fait, je me l'applique à moi-même. Ce n'est pas que je suis hypochondriaque, c'est que j'ai passé des années à ne pas aller chez le médecin parce que j'avais peur de mourir. C'est un truc de fou. J'ai vu mon beau-père, j'ai vu mon autre beau-père, j'ai vu mon père se désintégrer en peu de temps parce que les médecins, trop de la merde, blablabla. j'ai mal à la gorge, je suis un guerrier, j'y vais pas. Tu te rends compte au final que tu as une pathologie de sa mère qui est incurable et tu te dézingues en peu de temps. Et donc je me suis dit, ça fait des années que j'ai mal à la gorge, ça fait des années que j'ai mal à la gorge, et je me dis que je dois avoir un problème de thyroïde. Puisque ma mère s'est faite opérer, tout ça, bref. Je ne vais pas vous faire un cours de médecine, mais en tout cas tout ça pour vous dire que j'ai... J'ai du coup décidé de me faire analyser de tout, puisque j'entends beaucoup, puis j'ai l'impression que j'entends que ça, des maladies, des cancers, des machins, ça me fait flipper. Donc je me dis, c'est bon, je suis libérant, à un moment donné, ça suffit de faire l'enfant, tu vas chez le médecin, tu vas te faire ausculter et tout, et au moins, si jamais il y a quelque chose, ça sera pris à temps, et tu te feras soigner, puis c'est tout, tu feras comme les autres. Et si jamais tu ne peux pas te faire soigner, tant pis, fuck la vie, mais voilà, c'est comme ça. Et en fait, au final, à ma gorge, j'ai pas grand-chose. à part, comme je vous l'avais dit, je faisais des allergies aux produits de coiffure. Donc, je ne peux plus faire des journées entières de décoloration et de coloration. Donc, du coup, j'ai des pistes à la gorge, bénins, mais quand même. C'est pour ça que j'ai arrêté de coiffer, d'ailleurs, aussi intensément, parce que ça m'a coupé, vous l'entendez dans ma voix, ça m'a coupé. couper la voie et tout. En plus de ça, je me suis faite tout examiner, d'accord ? Parce que je ne veux plus d'enfants, plus du tout. Vous aurez donc compris où je suis donc allée. Et là aussi, j'ai pris des choses en main parce que je ne veux plus d'hormones et plus d'enfants. Donc, voilà. En tout cas, tout ça pour vous dire que cet après-midi, non même pas cet après-midi, en 11h, j'ai rendez-vous pour me faire masser parce que j'adore ça. C'est mon... J'adore... aller le dimanche après-midi, là ça sera à 11 heures, donc du coup j'aurai toute l'après-midi pour moi et tout, après je vais aller boire un verre sans alcool au bord de la plage et voilà, parce que bon ben voilà. Et j'ai décidé de prendre soin de ma santé parce que pour moi en fait, ce que je disais lors de la masterclass, pour moi le corps est un véhicule et ce véhicule, ce véhicule, attendez je vais stopper les notifications, les véhicules S'il n'y a pas d'essence à l'intérieur et si le moteur est cassé, il ne va pas loin. Il ne va pas très très loin. Donc du coup, j'ai décidé de prendre soin de moi encore plus. Niveau médical et tout. Même si j'ai une trouille bleue des médecins, du verdict et tout ça, je me dis que si on prend les choses à temps, sachant que je ne suis pas malade, je vous le dis très sincèrement, j'ai fait tous les examens possibles. à moins que les examens sanguins amènent quelque chose, sinon je ne suis pas malade mais j'ai décidé que je ferais un bilan assez régulièrement pour ne pas tomber dans ce truc là où tu te dis si j'avais su comme une con, ça fait 6 mois que j'ai ma loge là, que j'ai pas vérifié et finalement c'est grave voilà, donc ça c'est quelque chose, je sais que je n'ai pas commencé le podcast de cette manière, putain mais je peux bouger, j'ai un micro je peux faire le tour de ma chaise et vous m'entendez quand même Je peux être au fond du bureau et vous m'entendez quand même. Je peux m'allonger sur ma chaise et vous m'entendez quand même. Donc ça, c'est l'air mieux parce que j'ai un micro portatif. D'ailleurs, je pense que je vais en acheter un autre un peu plus… Voilà, comme ça au moins, on va pouvoir avoir du son. Ça fonctionne, ça marche. Il faut juste que je contrôle mon téléphone puisque c'est branché à mon téléphone qui est branché à mon Mac. Mais moi, Apple. Celui qui me dit que Apple, c'est trop de la merde. Mais moi, j'ai envie de vous dire, je ne le dis pas. Je ne le dis pas, mais je le pense. Je ne le dis pas, mais je le sais. Je ne le dis pas, mais je sais ce que je dis. D'accord ? Donc, voilà. Et donc, du coup, je peux… I am free. Je peux faire ce que je veux. Donc, c'est merveilleux. Et vous continuez à m'entendre quand même. Avant, j'avais un micro qui était posé sur mon bureau. Ou si je m'éloignais de 2 cm, on ne m'entendait plus. J'ai décidé de remédier à ça. Il m'a fallu du temps pour comprendre que je pouvais brancher un micro à mon iPhone, me servir de l'iPhone comme un micro et je peux faire le podcast. Je pourrais même faire le podcast allongé dans ma piscine si je veux. Oui, je sais, vous vous en foutez. Vous vous en foutez parce que vous l'écoutez, vous vous dites, bon, ça va, c'est bon, on a compris. Nanana, ça va, nanana. Donc, voilà. Mais en fait, pour moi, c'est une révolution, je vous le dis. Parce que ça fait combien de temps que j'enregistre ? Ça fait un an que j'enregistre. Je pense que c'est l'anniversaire du podcast, d'ailleurs, dans pas longtemps, où c'est passé. En tout cas, ça fait un an que j'enregistre des épisodes et un an que je me casse le cul avec le son. Donc, voilà. Donc, tout ça pour dire… Très bien. Donc, la Masterclass étant passée, tout ça, en me disant que j'ai passé une semaine… incroyable que pour moi c'est une connexion inestimable avec vous que au-delà de tout j'adore interréagir j'adore parler, j'adore dire j'adore m'exprimer vous entendre et tout je suis ravie, refaite à chaque fois c'est un bonheur intense pour moi et je me dis que j'ai vraiment de la chance de faire ce métier. J'ai vraiment de la chance de pouvoir m'exprimer. J'ai vraiment de la chance de pouvoir... de pouvoir être avec vous, j'ai vraiment de la chance, c'est une chance pour moi, de pouvoir me dire qu'on est en train de relever un métier, de se donner les capacités de réussir, et moi en fait, à chaque fois, ça me permet de saisir ce dont vous avez besoin, et de saisir ce que je vais mettre en place, et là en septembre, il y a un putain de programme qui va sortir de sa mère, je vous le dis, parce que j'ai des pépites. Dans mon accompagnement, j'ai des pépites. J'ai des pépites. Cette année, j'ai eu des pépites. J'ai des pépites. Et donc, ça veut dire quoi ? Ça veut dire qu'aujourd'hui, je vais aider les salons de coiffure à investir, à faire des tableaux de bord, à se développer, à acheter des murs, à comprendre le système des intérêts composés, de comprendre tout ça. Et je vais me former comme jamais. Je me forme comme jamais, ça fait des années. Mais j'ai envie que vous puissiez comprendre comment on devient investisseur. C'est en fait la base de tout. Comment on devient chef d'entreprise ? Comment on devient investisseur ? Comment on gère son argent ? Comment on multiplie son argent ? Comment on développe ? C'est mon objectif. Toutes celles aujourd'hui qui ont voulu prendre ma place, « Arrêtez-moi, je vais aider mes coiffeuses à faire du chiffre d'affaires. » Oui, moi, je fais ça. Mais en fait, dans mon programme, c'est au-delà de ça. C'est au-delà de tout ça. C'est aider les coiffeuses à faire du chiffre d'affaires, yes. Mais c'est aussi aider les coiffeuses à se construire une carrière. Si tu ne te construis pas une carrière et que tu fais juste du chiffre d'affaires, c'est dommage. Tu vois ce que je veux dire ? C'est dommage. Donc du coup, là, on va se construire une carrière, les meufs. Ça va être incroyable, ça va être génial. Putain, mais je suis refaite. Je suis refaite avec ce son. Je suis refaite avec ce micro. Pardon. C'est top, vous voyez ? J'ai décidé là de construire quelque chose qui allait être productif, qui allait être crédible, qui allait vous apporter vraiment une valeur ajoutée. Mais ce programme ne pourra être proposé, je pense, qu'à une certaine catégorie de coiffeuses, et notamment celles qui sont passées par la méthode Lyon. Ça ne veut pas dire que je veux des grands salons, des salons, voilà. Je veux des gens qui soient déjà impliqués dans le business, qui ont déjà envie de se développer, qui savent déjà ce qu'elles veulent, qui sont déjà allumés par ça. Pas qu'ils se disent « Ouais, mais moi, non, mais tu sais, moi j'ai peur. Puis tu sais, moi, je n'arrive pas. Puis je ne sais pas comment me faire pour m'investir. Je propose la solution. Ouais, mais je vais réfléchir. Je ne sais pas trop. Putain, mais arrêtez de réfléchir, bordel. » arrêtez de réfléchir et de me dire je vais réfléchir, il faut que je calcule, il faut que j'en parle à mon conjoint, il faut que... Mais putain de merde, de merde, de remerde et de trimerde. C'est arrêter avec ça, arrêter d'attendre, arrêter de vous dire, ouais mais à bien y penser, je préfère rester dans la merde. Mais putain, mais c'est une blague. Mais je l'entends trop souvent ça, trop souvent, trop souvent. Et aujourd'hui, en ce jour, J'ai quelqu'un qui m'a menée en bateau depuis deux mois, mais vraiment, et d'autres, et d'entre autres choses. Aujourd'hui, en fait, quand je passe les appels, c'est un appel, c'est définitif. C'est-à-dire, si tu as eu ton appel, que tu m'as dit « je vais réfléchir » et que tu n'es jamais revenu vers moi, ou alors que tu es revenu vers moi, mais que tu m'as dit « oui, la semaine prochaine, la semaine prochaine, la semaine prochaine, la semaine prochaine » . La semaine prochaine. Je ne ferai plus le pas de t'accompagner. Plus du tout. Du tout. D'accord ? Du tout. Pourquoi ? Parce que c'est un investissement de ma part et de la vôtre. Surtout de la vôtre. De votre part. Excuse, le micro a été déconnecté. De votre part. Parce que si vous vous investissez, ce n'est pas pour vous-même. Comment voulez-vous réussir ? C'est impossible. C'est impossible. C'est ce que j'expliquais pendant la masterclass. Si on vous donne des choses à faire et que vous ne le faites pas. Si vous agissez avec la peur et que vous êtes là tout le temps à réfléchir. « Je vais faire un pas en avant. Un pas en arrière. Un pas en avant. Un pas en arrière. Je fais la danse. Je fais la danse de la procrastination. Un pas en avant. Un pas en avant. Un pas en arrière. Vous voyez ? Ça, c'est impossible. pour réussir. Impossible. Les gens qui réussissent, ils foncent. Ils courent tout droit. Ils ne regardent pas en arrière. Ils ne se demandent pas. il ne se pose pas la question. Ils ne le disent pas, ils font, ils exécutent. Si à un moment donné, ils voient que ça ne marche pas, ils recommencent. Mais ils ne sont jamais en arrière, ils sont toujours au point A. Vous, vous allez en arrière des fois, où on me dit « oui, mais non, je ne peux pas, c'est trop cher » . Mais si vous vous dites que c'est trop cher, pourquoi vous vous obstinez à engueuler vos clients quand elles vous disent que c'est trop cher ? C'est parce que vous, vous avez une mentalité de trop cher. Vous avez une mentalité à vous dire « Ah, mais c'est trop cher. » Non, ce n'est pas trop cher. Ce qui est trop cher, en fait, moi, quand j'entends ça, ce qui est trop cher, c'est vraiment de te dire « Moi, je fais 3 000 euros de chiffre et je n'ai pas envie de m'en sortir. » Ça, ça me casse le cul. Ça me fait mal aux pattes. J'en ai assez d'entendre ça. Parce que je me dis « Ce n'est pas possible un truc pareil. » « Ce n'est pas possible un truc pareil. » ou quelqu'un qui me dit « Ah, mais moi, je ne me paye pas. » Je n'ai pas de trésor, mais je ne sais pas comment je vais faire. Je m'excuse, mais si on te propose une solution, il va falloir que tu l'apprennes. Il va falloir que tu le fasses. Il va falloir que tu te choisisses. Il va falloir que tu te fasses confiance. Il va falloir que tu ailles de l'avant avec ça. Ce n'est pas possible de se dire « je reste au même endroit et j'espère avoir des résultats différents » . C'est impossible. Ce n'est pas possible. Et ça, ce genre de personnes-là, j'ai décidé que je ne les accompagnerais plus parce que... Pour réussir, ça demande déjà un mindset, ça demande déjà une façon de faire, ça demande déjà une envie de faire, ça demande déjà une rigueur. Il y a des gens que j'ai eus dans la méthode et qui étaient à découvert, mais de ouf, et qui se sont choisis quand même, et qui se sont développés quand même, et qui ont décidé de faire les choses de la même manière, même si... c'était difficile, même si c'était pénible, même si elles ne savaient pas comment elles allaient réussir le mois prochain, même si elles n'avaient aucune certitude de réussite, même si tout ça, elles se sont choisies, elles ont réussi, elles ont performé. Lors de la Masterclass, vous avez entendu l'histoire de Florence. Un bilan comptable à moins de 21 000 euros, avec des capitaux propres impactés, c'est-à-dire qu'elle était obligée de réinjecter Merci. de l'argent personnel dans sa société pour pouvoir la faire vivre. Donc là, en plus de ça, elle se dit « mais moi je prends la méthode parce que j'en ai besoin » . Elle décide de réduire son salaire parce qu'elle se dit qu'elle en a besoin. Et aujourd'hui, on s'enligne vers un bilan à plus 10 000 euros. Et l'année prochaine, on s'aligne vers « je me paye » . Vous comprenez ? C'est ça le but. Je me paye à ma juste valeur. Mais elle a relevé son salon, relevé son bilan en l'espace de deux ans. Deux ans de travail. Elle est allée deux fois, ça va être la deuxième fois qu'elle va aller à Cancun, et elle a décidé de se choisir et de se former quand même. Moi, ça me scie les pattes en fait, quand on me dit... je suis une acheteuse compulsive, je suis de la team passoire, c'est-à-dire que j'achète à tort et à travers, je ne me paye pas, je ne prends pas de vacances, je fais 60 heures par semaine, mais je n'ai besoin de rien. Là, je me dis, ok, là, là, on a un problème, là, là, on a un bail, on a un truc. Donc, c'est ça que j'ai vu avec vous pendant la semaine de Masterclass. Avoir un plan, suivre ce plan, être impliqué pour ce plan. C'est ce qui va vous donner la réussite. C'est ce qui va vous donner la réussite. Et rien d'autre. Rien d'autre. Si vous suivez votre plan, vous allez réussir. Sinon, ça va être compliqué pour vous. Très, très, très compliqué. Très compliqué. Est-ce que ça va pour tout le monde ? Je le fais comme un masterclass. Je me crois encore en masterclass. Est-ce que ça va pour tout le monde ? Est-ce que vous avez bien compris ce que j'ai dit ? C'est sorti tout seul. Mais j'ai tellement kiffé ce moment. Vous savez, moi, je suis dans un bureau. J'habite à 7000 kilomètres de vous. Je suis toute la journée enfermée dans mon bureau, ou en tout cas tous mes matins. Je commence à 7h. Vous voyez, demain, je commence avec Cécile. Je commence à 7h. On développe, on se met en condition de travail. Mais quand je sors de mon bureau, qui est là pour m'accueillir ? À part mon mari, mes enfants. personne. Les gens qui rentrent dans ma maison, là c'est l'infirmière pour venir me piquer. Ensuite, c'est les femmes de ménage ou les gens qui ont fait les travaux dans ma maison. Sinon, personne, on n'a pas de connaissances ou d'amis ou quoi que ce soit. Et généralement, et je m'excuse à part Manon, donc je disais que Manon écoute mes podcasts, toutes les fois où vous voyez que j'ai eu un blanc, c'est que mon micro s'est déconnecté. Je ne sais pas pourquoi, Des fois, c'est bien, des fois, ce n'est pas bien. Mais quand même, c'est bien. Quand même, c'est bien parce que je pense que vous allez avoir un bon son. Même si ce n'est pas parfait, vous allez quand même avoir un bon son. En tout cas, je le souhaite. Est-ce qu'il est connecté ? Oui. Johnny est connecté. Normalement, il est posé sur moi. Donc, vous devriez avoir un bon son et ça devrait être clair, limpide et clair. Donc, voilà. C'est bien. Même si des fois, il se déconnecte, ce petit bâtard. Ce n'est pas grave. On va faire avec. Je vais aller chez DJ cet après-midi. Je vais peut-être aller acheter un DJ, même si ça me fait plaisir. Mais je vais quand même aller chez DJ. Je vais aller acheter un micro. Je vais dire, voilà, fuck la merde. J'en ai besoin. Donc, si j'en ai besoin, il faut que j'achète. Voilà. Donc, voilà. Qu'est-ce que vous disiez d'autrement ? Ah oui, maintenant qu'il écoute mes podcasts. Donc, sinon, à part ça, les gens qu'on rencontre, je, malheureusement, je n'ai pas un bon feeling à chaque fois. à chaque fois simplement. Est-ce que c'est parce que j'ai évolué ? Est-ce que c'est parce que je suis entourée d'entrepreneurs et que du coup, quand on discute de trucs débiles, ça me fait chier ? Est-ce que c'est parce que je suis entourée de gens intéressants ? Et Manon, crois-moi que je t'inclus dans le lot. Donc, soit je suis entourée de gens intéressants qui sont capables de s'élever les uns les autres, qu'aujourd'hui, je ne suis peut-être plus capable d'accepter n'importe qui dans mon cercle. Et ça, c'est quelque chose d'important aussi, c'est que plus on évolue, plus on grandit, plus on progresse, et plus le cercle que vous vous constituez devient de plus en plus restreint. Et ça, je le vérifie tout le temps, parce que là, en fait, c'est ce que je vois, c'est ce que je me dis. Et donc, chaque fois que je rencontre des gens, je me dis « putain, ça ne me plaît pas, ça ne me plaît pas, ça ne me plaît pas, ça ne me plaît pas, ça ne me plaît pas » . Et donc, du coup, on n'a pas d'amis ici. on n'a pas d'amis ici ou pas tant que ça, on connaît des gens, comme j'ai dit on connaît Manon qui va travailler avec moi, sinon on connaît personne et on a envie de se rapprocher de personne. On entend des dingueries, chaque fois que mon micro se déconnecte en fait, c'est parce que je pense que c'est parce qu'il faut que mon téléphone ne se mette pas en veille, cette espèce de petit voilà. Donc on entend des dingueries des Français qui habitent ici pour certains et tout. Et donc du coup, je n'ai pas envie de ça. Et en plus de ça, la plupart du temps, les gens quand ils s'approchent de moi aujourd'hui, c'est par intérêt, la plupart du temps. On veut avoir des informations sur si. On veut apprendre à développer son business. On veut faire ceci. On veut savoir comment moi je fais cela. Et donc du coup, ça me fait chier. Je vous le dis très sincèrement, ça me fait éplucher. Et donc du coup, je ne peux pas aujourd'hui me dire que... J'ai des amis. J'ai des amis de loin. J'ai des amis depuis longtemps. J'ai des amis qui me connaissent depuis le début. J'ai des clients qui sont devenus des amis. Mais ici, au Mexique, on n'a pas d'amis. Voilà, on n'a pas vraiment d'amis. Parce que c'est dur. Il ne faut pas croire que l'expatriation, c'est la chose la plus... Oh, c'est merveilleux, c'est super, c'est le fun et tout. Moi, quand je veux faire une vidéo d'équipe, mais je ne peux pas. Quand je veux faire un réel d'équipe, Je ne peux pas. Quand je veux faire un truc avec d'autres personnes, je ne peux pas. Quand je veux promouvoir des trucs, je ne peux pas. Je suis seule. Donc ça, c'est quelque chose qu'il faut prendre conscience. Parce que souvent, en fait, la plupart du temps, les gens qui jugent sont des gens qui ne vous connaissent pas. Et quand on ne connaît pas les gens, on ne peut pas juger. Et donc, je me suis retrouvée dans la foudre de certains à me dire « mais qu'est-ce qu'il en sait ? » ou « qu'est-ce qu'elle en sait ? » ou « parce que quelqu'un m'a connue » ou « parce que quelqu'un m'a connue » a été avec moi proche pendant six mois, se dit « mais je la connais parfaitement, on connaît par cœur » . Et en fait, tu ne me connais pas, déjà, de base. Et donc, les gens qui me connaissent le mieux, c'est mon mari et mes enfants, sinon on ne me connaît pas. Et donc, du coup, je me dis, d'ailleurs je ne sais pas pourquoi je disais ça, mais en tout cas, on ne doit pas juger les gens. Et ceux qui pensent que parce qu'ils m'ont vue, ils m'ont connue il y a deux ans, ils savent que... ils connaissent la personne que je suis aujourd'hui, j'espère que je peux me permettre d'évoluer, en tout cas c'est ce que je souhaite. Donc tout ça, toutes ces choses, font qu'on n'a pas vraiment de lien avec l'extérieur. à part ce que j'ai construit, c'est-à-dire ma famille de cœur, les Lyon, les réseaux et tout ça. Sinon, il n'y en a pas. Donc oui, être expatriée, c'est chouette. Oui, c'est bien. Oui, je me sens bien. Oui, je me sens bien dans le pays où je suis. Évidemment, tu fais 10 km, 15 km, 20 km maximum, tu es au bord de la plage, une plage qui est belle comme ça ne se peut même pas. tu fais des kilomètres un peu vifé en bagnole, tu es dans les C-notes, les trucs, c'est un truc de fou. Tu es avec des gens qui sont la plupart du temps le plus gentil et le plus aimable que tu as jamais connu. Tout est possible ici, tu peux faire tout ce que tu veux. Je suis à 1h30 de Miami, si j'ai envie de prendre un avion, je peux prendre un avion. Je suis très proche de tout le coin caraïbe. Donc, si je veux, je fais ce que je veux. Il faut savoir que si tu ne peux pas le partager, des fois c'est dur. Des fois, ce n'est pas facile. Si tu ne peux pas partager les trucs, des fois ce n'est pas facile. Donc là, je suis bien contente parce que mon fils va me rejoindre au mois de novembre. Donc du coup, c'est le plus avec qui on fait des trucs. On parle coiffure, on parle cheveux, on monte un salon. Je viens de recevoir les produits Tokyo hier. J'ai reçu ma commande Tokyo hier. Je suis très contente de faire partie de la famille Tokyo. La première qui va l'essayer ou qui va le faire sur ses cheveux, c'est moi, évidemment. Donc voilà, j'adore. Je l'avais déjà fait plusieurs fois sur moi, mais j'adore et je suis bien contente d'ouvrir et d'en faire un salon Tokyo, entre autres choses. Mais c'est ça pareil. Parce que pour moi, le haut de gamme, que je vais amener dans ce salon va être extraordinaire. Et donc, du coup, j'ai hâte. J'ai vraiment hâte. Là, on va commencer les travaux. Ils commençaient à terminer les murs, à mettre les portes et les fenêtres. Tant qu'on n'avait pas fait ça, on ne pouvait rien faire d'autre. Donc, maintenant que ça va être fait, bientôt achevé, on va pouvoir s'attaquer. Donc, voilà. Et voilà. Donc, j'ai vraiment, vraiment, vraiment hâte de... de développer, j'ai vraiment hâte de le faire se construire et tout, ça c'est vraiment quelque chose qui me tenait à cœur et tout donc voilà voilà, voilà, voilà et donc là-dessus, j'espère que vous avez que ça vous a plu cette semaine, que vous étiez avec moi ou que vous n'étiez pas avec moi, peu importe mais que ça vous a plu, que vous avez eu des clés, parce que pour moi donner Pour pouvoir recevoir, il faut donner. C'est donner pour recevoir. Ça, pour moi, c'est très important. Donc, j'espère que vous avez eu le contenu que vous vouliez. Moi, ça m'a permis de connecter avec vous, de voir qui me suivait, de voir des nouvelles personnes et tout. Donc, c'est vraiment chouette. Et je suis vraiment ravie. Je suis vraiment chanceuse. Je me sens chanceuse de pouvoir faire tout ça, de pouvoir élever des salons, de pouvoir développer des coiffeurs et des coiffeuses, de pouvoir se dire qu'on n'est pas seul et que dans notre métier, qui aujourd'hui est en train de se développer de plus en plus, on est capable de pouvoir se dire qu'une coiffeuse, aujourd'hui, ça gagne sa vie, ça se développe, ça peut faire des merveilles. Donc là-dessus, voilà. Je voulais dire aussi qu'au Mexique, on était extrêmement bien soignés. C'est une chance qu'on a. On se dit, oui, c'est un pays sous-développé. Absolument pas, c'est pas du tout sous-développé. Tu vas chez le médecin, chez l'endocrinologue. Il a une caméra, il te fait une échographie tout de suite dans son cabinet, il ne te renvoie pas au cabinet de radio, tu dois prendre rendez-vous et attendre deux semaines pour faire ta radio, ton scanner, tout est déjà dans le cabinet du médecin, tu as déjà tout sur place. Là, tu vas chez le gynéco, elle a déjà l'échographie, le machin, le cil, elle te fait ton prélèvement, elle est chirurgienne, elle opère, donc tu as déjà le plan d'action en place. C'est ce que j'aime ici. Je suis allée aussi chez l'ORL pour mes oreilles et ma gorge. C'est pareil, ils te font de suite une analyse des cordes vocales, de suite ils regardent, de suite, de suite, de suite quoi, de suite. Et ça pour moi c'est un bonheur parce que c'est un bonheur, t'es pris en charge. T'es vraiment bien bien pris en charge. Et ça pour ça, ça n'a pas de prix. Je ne pense pas avoir été aussi bien prise en charge en France. Et je ne me rappelle pas d'avoir été aussi bien prise en charge, surtout pas prise en charge comme ça au Québec. Le Québec c'est une... catastrophe. Une cata. Une cata. Cata. Cata-tata. Cata. Voilà. Cata. Caca-caca-caca. Tadadadadadadadadada Je comprends, je les détoque tellement c'est une catastrophe. Je rive chez le médecin, il a un bureau en bois, il t'ausculte. En plus, je ne suis même pas allée au médecin. Je suis allée une fois pour mes enfants. Ils regardent. Ah bon, mais il a l'air d'être comme ça, comme ça. Ok, on va lui prescrire un truc pour le TDAH, c'est bon. Fais des tests. Tu fais des tests, tu regardes. Tu parles de quelque chose que tu connais. donc ça pour ça le Mexique c'est formidable Je trouve qu'on est bien soigné. Alors oui, c'est le privé, je vous assure. C'est le privé, c'est-à-dire que tu payes ta consultation 100 euros. Oui, voilà, tu payes ta consultation 100 euros. Mais en même temps, est-ce que tu es à 100 euros près pour ta santé ? J'ai envie de te dire, j'espère que non. Mais oui, c'est ça. Tu es vraiment, en fait, très bien pris en charge. C'est pareil pour le dentiste. Le dentiste, il t'a fait ta radio des dents sur place. Il ne va pas t'envoyer à Pimpin Jean-Claude pour faire ton panoramique. C'est fait sur place. Donc tout ça, c'est formidable. Donc voilà, là-dessus, je vous souhaite une bonne fin de journée. On se retrouve jeudi. Sur mes réseaux, vous allez voir passer un concours. Je ne l'ai pas parlé lors du podcast, mais j'en parlerai pour le podcast suivant. Voilà. Bye !

  • Speaker #1

    Merci d'avoir écouté Ne me cassez pas le peigne. Envie de découvrir encore plus des coulisses sur le business de la coiffure ? Abonne-toi pour ne louper aucun épisode. Partage et commente pour réagir. Rendez-vous très vite pour un nouvel épisode, toujours présenté par Julie Véron.

Chapters

  • Introduction et mise à jour sur la masterclass

    00:00

  • L'importance de l'enseignement pratique en coiffure

    00:39

  • Prendre soin de soi et de sa santé

    01:55

  • Réflexions sur le business et l'état d'esprit

    02:56

  • Annonces sur le nouveau programme pour les salons

    06:10

  • Conclusion et encouragements pour les coiffeurs

    10:44

Description


🔥 Résumé percutant de l’épisode "Ne me cassez pas le peigne" 🔥


Julie revient cash, cash, CASH après une semaine de masterclass intense — et autant vous dire que ça n’a rien d’un petit atelier Pinterest avec des paillettes et trois tips recyclés. Non. Elle vous balance du VRAI : du mindset, du business, de la santé mentale, de la santé tout court, et du ras-le-bol.


🎙️ Dans cet épisode sans filtre :

* Elle dézingue les masterclass qui n’apportent rien (« une heure par jour pour brasser du vent ? Non merci. »)

Elle revient sur son choix vital de prendre soin de sa santé pour continuer à performer*.

* Elle partage ses galères techniques (oui, le micro qui saute… encore), mais aussi son kiff de pouvoir ENFIN enregistrer sans galérer comme en 2002.

* Elle annonce un nouveau programme de fou qui ne sera PAS pour les poissons panés du « je vais réfléchir ».


Et surtout… elle vous botte les fesses si vous êtes encore en train de calculer pendant que d'autres passent à l'action, prennent des risques et encaissent.


💥 Julie n'accompagnera plus les poissons panés.

💥 Julie ne joue plus avec celles qui veulent "voir si ça marche".

💥 Julie prépare une armée de coiffeuses cheffes d'entreprise qui savent où elles vont, et qui veulent TOUT.


À écouter si :

* Tu veux arrêter de courir sans te payer.

* Tu veux ENFIN construire une carrière et pas juste un agenda rempli.

* Tu es prête à investir dans toi, pour toi, et à ne plus t'excuser d'en vouloir plus.


👉 Spoiler : celles qui réussissent ne réfléchissent pas 107 ans. Elles AGISSENT. Et toi ? Tu fais quoi là, tout de suite ?

Abonne-toi. Partage. Ou reste sur le quai pendant que le train du succès file. 🚂💨



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Ne me cassez pas le peigne, le podcast qui vous dit tout sur l'envers du décor des salons de coiffure, présenté par Julie Véran. Bonjour tout le monde, j'espère que vous allez bien, j'espère que vous êtes en forme. J'essaye donc un nouveau système, encore, encore vous allez me dire, pour le son. Voilà, j'ai mis donc un micro qui est connecté à mon téléphone en espérant que ça ne merde pas. Et si ça merde, ben j'aurai... tendance à vous dire « fuck le son parce que j'en ai marre de toujours chercher des solutions pour ce putain de son de merde » . Voilà. Donc, vous m'avez manqué pendant une semaine. Ça fait une semaine qu'on ne s'est pas parlé, que je ne me suis pas déposée ici parce que il y avait la masterclass. La masterclass, il ne faut pas le minimiser. C'est quelque chose qui demande une énergie extrême. Et donc, je me consacre la plupart du temps à ce Merci. à ce volet-là, puisque ça dure quand même une semaine. Pendant une semaine, je suis en live. Pendant une semaine, je donne énormément. Et mon souhait à moi, c'est de donner. Parce qu'en fait, souvent, et puis c'est ça que je reproche, parce que ça, c'est quelque chose que j'ai appris à faire, de faire des masterclass. Mais la plupart du temps, on ne reçoit aucun enseignement. Et ça me casse les pieds, franchement. Je me dis, putain, mais je reste là pendant une semaine, une heure par jour. aller à l'essentiel les gars, un peu là. Et en fait, on voit que c'est un processus qui est fait pour rien. Et moi, du coup, j'ai décidé de le rendre réellement attractif pour que ce soit vraiment quelque chose qui vous serve dans vos salons. Alors évidemment, ce n'est pas l'intégralité de mon programme. Évidemment, j'ai bien plus de cordes à mon arc que de dispenser une heure par jour pendant cinq jours. je voulais vraiment que vous ayez une approche et surtout un éveil du business parce que franchement des fois j'entends des histoires d'horreur et je me dis non mais attends, écoute-moi bien Jocelyne, là on a un problème, on a quelque chose qui ne marche pas donc là tu es en train de me dire que tu cours partout, que tu ne te fais pas payer à ta juste valeur, que tu n'as pas de salaire, que tu ne prends pas de vacances et que à la fin au final tu as envie de tuer tes clientes, là il y a quelque chose qui ne marche pas on est d'accord, il y a quelque chose qui ne marche pas Donc, c'est un peu ça que j'ai voulu amener et montrer aussi que le business, c'est facile. D'accord ? Si on s'y intéresse un peu, si on a vraiment envie de créer quelque chose dans son salon de coiffure, le business, ça marche et c'est facile. C'est facile. Il n'y a rien de compliqué là-dedans. Ce n'est pas quelque chose d'insurmontable et tout. Donc voilà, c'est vraiment ce que j'ai voulu amener. Donc là, il est 8h du matin, je n'ai pas pris de café. Pourquoi donc ? Parce que j'attends qu'on me fasse une prise de sang, comme toutes les vieilles personnes qui se font faire la prise de sang à domicile. J'ai décidé que je me faisais faire la prise de sang à domicile, elle me l'a gentiment proposée la dame. Donc je lui ai dit d'accord. Et il faut savoir que je l'ai passé, ça fait deux semaines que je suis en examen médical. Parce que ce que j'enseigne, en fait, je me l'applique à moi-même. Ce n'est pas que je suis hypochondriaque, c'est que j'ai passé des années à ne pas aller chez le médecin parce que j'avais peur de mourir. C'est un truc de fou. J'ai vu mon beau-père, j'ai vu mon autre beau-père, j'ai vu mon père se désintégrer en peu de temps parce que les médecins, trop de la merde, blablabla. j'ai mal à la gorge, je suis un guerrier, j'y vais pas. Tu te rends compte au final que tu as une pathologie de sa mère qui est incurable et tu te dézingues en peu de temps. Et donc je me suis dit, ça fait des années que j'ai mal à la gorge, ça fait des années que j'ai mal à la gorge, et je me dis que je dois avoir un problème de thyroïde. Puisque ma mère s'est faite opérer, tout ça, bref. Je ne vais pas vous faire un cours de médecine, mais en tout cas tout ça pour vous dire que j'ai... J'ai du coup décidé de me faire analyser de tout, puisque j'entends beaucoup, puis j'ai l'impression que j'entends que ça, des maladies, des cancers, des machins, ça me fait flipper. Donc je me dis, c'est bon, je suis libérant, à un moment donné, ça suffit de faire l'enfant, tu vas chez le médecin, tu vas te faire ausculter et tout, et au moins, si jamais il y a quelque chose, ça sera pris à temps, et tu te feras soigner, puis c'est tout, tu feras comme les autres. Et si jamais tu ne peux pas te faire soigner, tant pis, fuck la vie, mais voilà, c'est comme ça. Et en fait, au final, à ma gorge, j'ai pas grand-chose. à part, comme je vous l'avais dit, je faisais des allergies aux produits de coiffure. Donc, je ne peux plus faire des journées entières de décoloration et de coloration. Donc, du coup, j'ai des pistes à la gorge, bénins, mais quand même. C'est pour ça que j'ai arrêté de coiffer, d'ailleurs, aussi intensément, parce que ça m'a coupé, vous l'entendez dans ma voix, ça m'a coupé. couper la voie et tout. En plus de ça, je me suis faite tout examiner, d'accord ? Parce que je ne veux plus d'enfants, plus du tout. Vous aurez donc compris où je suis donc allée. Et là aussi, j'ai pris des choses en main parce que je ne veux plus d'hormones et plus d'enfants. Donc, voilà. En tout cas, tout ça pour vous dire que cet après-midi, non même pas cet après-midi, en 11h, j'ai rendez-vous pour me faire masser parce que j'adore ça. C'est mon... J'adore... aller le dimanche après-midi, là ça sera à 11 heures, donc du coup j'aurai toute l'après-midi pour moi et tout, après je vais aller boire un verre sans alcool au bord de la plage et voilà, parce que bon ben voilà. Et j'ai décidé de prendre soin de ma santé parce que pour moi en fait, ce que je disais lors de la masterclass, pour moi le corps est un véhicule et ce véhicule, ce véhicule, attendez je vais stopper les notifications, les véhicules S'il n'y a pas d'essence à l'intérieur et si le moteur est cassé, il ne va pas loin. Il ne va pas très très loin. Donc du coup, j'ai décidé de prendre soin de moi encore plus. Niveau médical et tout. Même si j'ai une trouille bleue des médecins, du verdict et tout ça, je me dis que si on prend les choses à temps, sachant que je ne suis pas malade, je vous le dis très sincèrement, j'ai fait tous les examens possibles. à moins que les examens sanguins amènent quelque chose, sinon je ne suis pas malade mais j'ai décidé que je ferais un bilan assez régulièrement pour ne pas tomber dans ce truc là où tu te dis si j'avais su comme une con, ça fait 6 mois que j'ai ma loge là, que j'ai pas vérifié et finalement c'est grave voilà, donc ça c'est quelque chose, je sais que je n'ai pas commencé le podcast de cette manière, putain mais je peux bouger, j'ai un micro je peux faire le tour de ma chaise et vous m'entendez quand même Je peux être au fond du bureau et vous m'entendez quand même. Je peux m'allonger sur ma chaise et vous m'entendez quand même. Donc ça, c'est l'air mieux parce que j'ai un micro portatif. D'ailleurs, je pense que je vais en acheter un autre un peu plus… Voilà, comme ça au moins, on va pouvoir avoir du son. Ça fonctionne, ça marche. Il faut juste que je contrôle mon téléphone puisque c'est branché à mon téléphone qui est branché à mon Mac. Mais moi, Apple. Celui qui me dit que Apple, c'est trop de la merde. Mais moi, j'ai envie de vous dire, je ne le dis pas. Je ne le dis pas, mais je le pense. Je ne le dis pas, mais je le sais. Je ne le dis pas, mais je sais ce que je dis. D'accord ? Donc, voilà. Et donc, du coup, je peux… I am free. Je peux faire ce que je veux. Donc, c'est merveilleux. Et vous continuez à m'entendre quand même. Avant, j'avais un micro qui était posé sur mon bureau. Ou si je m'éloignais de 2 cm, on ne m'entendait plus. J'ai décidé de remédier à ça. Il m'a fallu du temps pour comprendre que je pouvais brancher un micro à mon iPhone, me servir de l'iPhone comme un micro et je peux faire le podcast. Je pourrais même faire le podcast allongé dans ma piscine si je veux. Oui, je sais, vous vous en foutez. Vous vous en foutez parce que vous l'écoutez, vous vous dites, bon, ça va, c'est bon, on a compris. Nanana, ça va, nanana. Donc, voilà. Mais en fait, pour moi, c'est une révolution, je vous le dis. Parce que ça fait combien de temps que j'enregistre ? Ça fait un an que j'enregistre. Je pense que c'est l'anniversaire du podcast, d'ailleurs, dans pas longtemps, où c'est passé. En tout cas, ça fait un an que j'enregistre des épisodes et un an que je me casse le cul avec le son. Donc, voilà. Donc, tout ça pour dire… Très bien. Donc, la Masterclass étant passée, tout ça, en me disant que j'ai passé une semaine… incroyable que pour moi c'est une connexion inestimable avec vous que au-delà de tout j'adore interréagir j'adore parler, j'adore dire j'adore m'exprimer vous entendre et tout je suis ravie, refaite à chaque fois c'est un bonheur intense pour moi et je me dis que j'ai vraiment de la chance de faire ce métier. J'ai vraiment de la chance de pouvoir m'exprimer. J'ai vraiment de la chance de pouvoir... de pouvoir être avec vous, j'ai vraiment de la chance, c'est une chance pour moi, de pouvoir me dire qu'on est en train de relever un métier, de se donner les capacités de réussir, et moi en fait, à chaque fois, ça me permet de saisir ce dont vous avez besoin, et de saisir ce que je vais mettre en place, et là en septembre, il y a un putain de programme qui va sortir de sa mère, je vous le dis, parce que j'ai des pépites. Dans mon accompagnement, j'ai des pépites. J'ai des pépites. Cette année, j'ai eu des pépites. J'ai des pépites. Et donc, ça veut dire quoi ? Ça veut dire qu'aujourd'hui, je vais aider les salons de coiffure à investir, à faire des tableaux de bord, à se développer, à acheter des murs, à comprendre le système des intérêts composés, de comprendre tout ça. Et je vais me former comme jamais. Je me forme comme jamais, ça fait des années. Mais j'ai envie que vous puissiez comprendre comment on devient investisseur. C'est en fait la base de tout. Comment on devient chef d'entreprise ? Comment on devient investisseur ? Comment on gère son argent ? Comment on multiplie son argent ? Comment on développe ? C'est mon objectif. Toutes celles aujourd'hui qui ont voulu prendre ma place, « Arrêtez-moi, je vais aider mes coiffeuses à faire du chiffre d'affaires. » Oui, moi, je fais ça. Mais en fait, dans mon programme, c'est au-delà de ça. C'est au-delà de tout ça. C'est aider les coiffeuses à faire du chiffre d'affaires, yes. Mais c'est aussi aider les coiffeuses à se construire une carrière. Si tu ne te construis pas une carrière et que tu fais juste du chiffre d'affaires, c'est dommage. Tu vois ce que je veux dire ? C'est dommage. Donc du coup, là, on va se construire une carrière, les meufs. Ça va être incroyable, ça va être génial. Putain, mais je suis refaite. Je suis refaite avec ce son. Je suis refaite avec ce micro. Pardon. C'est top, vous voyez ? J'ai décidé là de construire quelque chose qui allait être productif, qui allait être crédible, qui allait vous apporter vraiment une valeur ajoutée. Mais ce programme ne pourra être proposé, je pense, qu'à une certaine catégorie de coiffeuses, et notamment celles qui sont passées par la méthode Lyon. Ça ne veut pas dire que je veux des grands salons, des salons, voilà. Je veux des gens qui soient déjà impliqués dans le business, qui ont déjà envie de se développer, qui savent déjà ce qu'elles veulent, qui sont déjà allumés par ça. Pas qu'ils se disent « Ouais, mais moi, non, mais tu sais, moi j'ai peur. Puis tu sais, moi, je n'arrive pas. Puis je ne sais pas comment me faire pour m'investir. Je propose la solution. Ouais, mais je vais réfléchir. Je ne sais pas trop. Putain, mais arrêtez de réfléchir, bordel. » arrêtez de réfléchir et de me dire je vais réfléchir, il faut que je calcule, il faut que j'en parle à mon conjoint, il faut que... Mais putain de merde, de merde, de remerde et de trimerde. C'est arrêter avec ça, arrêter d'attendre, arrêter de vous dire, ouais mais à bien y penser, je préfère rester dans la merde. Mais putain, mais c'est une blague. Mais je l'entends trop souvent ça, trop souvent, trop souvent. Et aujourd'hui, en ce jour, J'ai quelqu'un qui m'a menée en bateau depuis deux mois, mais vraiment, et d'autres, et d'entre autres choses. Aujourd'hui, en fait, quand je passe les appels, c'est un appel, c'est définitif. C'est-à-dire, si tu as eu ton appel, que tu m'as dit « je vais réfléchir » et que tu n'es jamais revenu vers moi, ou alors que tu es revenu vers moi, mais que tu m'as dit « oui, la semaine prochaine, la semaine prochaine, la semaine prochaine, la semaine prochaine » . La semaine prochaine. Je ne ferai plus le pas de t'accompagner. Plus du tout. Du tout. D'accord ? Du tout. Pourquoi ? Parce que c'est un investissement de ma part et de la vôtre. Surtout de la vôtre. De votre part. Excuse, le micro a été déconnecté. De votre part. Parce que si vous vous investissez, ce n'est pas pour vous-même. Comment voulez-vous réussir ? C'est impossible. C'est impossible. C'est ce que j'expliquais pendant la masterclass. Si on vous donne des choses à faire et que vous ne le faites pas. Si vous agissez avec la peur et que vous êtes là tout le temps à réfléchir. « Je vais faire un pas en avant. Un pas en arrière. Un pas en avant. Un pas en arrière. Je fais la danse. Je fais la danse de la procrastination. Un pas en avant. Un pas en avant. Un pas en arrière. Vous voyez ? Ça, c'est impossible. pour réussir. Impossible. Les gens qui réussissent, ils foncent. Ils courent tout droit. Ils ne regardent pas en arrière. Ils ne se demandent pas. il ne se pose pas la question. Ils ne le disent pas, ils font, ils exécutent. Si à un moment donné, ils voient que ça ne marche pas, ils recommencent. Mais ils ne sont jamais en arrière, ils sont toujours au point A. Vous, vous allez en arrière des fois, où on me dit « oui, mais non, je ne peux pas, c'est trop cher » . Mais si vous vous dites que c'est trop cher, pourquoi vous vous obstinez à engueuler vos clients quand elles vous disent que c'est trop cher ? C'est parce que vous, vous avez une mentalité de trop cher. Vous avez une mentalité à vous dire « Ah, mais c'est trop cher. » Non, ce n'est pas trop cher. Ce qui est trop cher, en fait, moi, quand j'entends ça, ce qui est trop cher, c'est vraiment de te dire « Moi, je fais 3 000 euros de chiffre et je n'ai pas envie de m'en sortir. » Ça, ça me casse le cul. Ça me fait mal aux pattes. J'en ai assez d'entendre ça. Parce que je me dis « Ce n'est pas possible un truc pareil. » « Ce n'est pas possible un truc pareil. » ou quelqu'un qui me dit « Ah, mais moi, je ne me paye pas. » Je n'ai pas de trésor, mais je ne sais pas comment je vais faire. Je m'excuse, mais si on te propose une solution, il va falloir que tu l'apprennes. Il va falloir que tu le fasses. Il va falloir que tu te choisisses. Il va falloir que tu te fasses confiance. Il va falloir que tu ailles de l'avant avec ça. Ce n'est pas possible de se dire « je reste au même endroit et j'espère avoir des résultats différents » . C'est impossible. Ce n'est pas possible. Et ça, ce genre de personnes-là, j'ai décidé que je ne les accompagnerais plus parce que... Pour réussir, ça demande déjà un mindset, ça demande déjà une façon de faire, ça demande déjà une envie de faire, ça demande déjà une rigueur. Il y a des gens que j'ai eus dans la méthode et qui étaient à découvert, mais de ouf, et qui se sont choisis quand même, et qui se sont développés quand même, et qui ont décidé de faire les choses de la même manière, même si... c'était difficile, même si c'était pénible, même si elles ne savaient pas comment elles allaient réussir le mois prochain, même si elles n'avaient aucune certitude de réussite, même si tout ça, elles se sont choisies, elles ont réussi, elles ont performé. Lors de la Masterclass, vous avez entendu l'histoire de Florence. Un bilan comptable à moins de 21 000 euros, avec des capitaux propres impactés, c'est-à-dire qu'elle était obligée de réinjecter Merci. de l'argent personnel dans sa société pour pouvoir la faire vivre. Donc là, en plus de ça, elle se dit « mais moi je prends la méthode parce que j'en ai besoin » . Elle décide de réduire son salaire parce qu'elle se dit qu'elle en a besoin. Et aujourd'hui, on s'enligne vers un bilan à plus 10 000 euros. Et l'année prochaine, on s'aligne vers « je me paye » . Vous comprenez ? C'est ça le but. Je me paye à ma juste valeur. Mais elle a relevé son salon, relevé son bilan en l'espace de deux ans. Deux ans de travail. Elle est allée deux fois, ça va être la deuxième fois qu'elle va aller à Cancun, et elle a décidé de se choisir et de se former quand même. Moi, ça me scie les pattes en fait, quand on me dit... je suis une acheteuse compulsive, je suis de la team passoire, c'est-à-dire que j'achète à tort et à travers, je ne me paye pas, je ne prends pas de vacances, je fais 60 heures par semaine, mais je n'ai besoin de rien. Là, je me dis, ok, là, là, on a un problème, là, là, on a un bail, on a un truc. Donc, c'est ça que j'ai vu avec vous pendant la semaine de Masterclass. Avoir un plan, suivre ce plan, être impliqué pour ce plan. C'est ce qui va vous donner la réussite. C'est ce qui va vous donner la réussite. Et rien d'autre. Rien d'autre. Si vous suivez votre plan, vous allez réussir. Sinon, ça va être compliqué pour vous. Très, très, très compliqué. Très compliqué. Est-ce que ça va pour tout le monde ? Je le fais comme un masterclass. Je me crois encore en masterclass. Est-ce que ça va pour tout le monde ? Est-ce que vous avez bien compris ce que j'ai dit ? C'est sorti tout seul. Mais j'ai tellement kiffé ce moment. Vous savez, moi, je suis dans un bureau. J'habite à 7000 kilomètres de vous. Je suis toute la journée enfermée dans mon bureau, ou en tout cas tous mes matins. Je commence à 7h. Vous voyez, demain, je commence avec Cécile. Je commence à 7h. On développe, on se met en condition de travail. Mais quand je sors de mon bureau, qui est là pour m'accueillir ? À part mon mari, mes enfants. personne. Les gens qui rentrent dans ma maison, là c'est l'infirmière pour venir me piquer. Ensuite, c'est les femmes de ménage ou les gens qui ont fait les travaux dans ma maison. Sinon, personne, on n'a pas de connaissances ou d'amis ou quoi que ce soit. Et généralement, et je m'excuse à part Manon, donc je disais que Manon écoute mes podcasts, toutes les fois où vous voyez que j'ai eu un blanc, c'est que mon micro s'est déconnecté. Je ne sais pas pourquoi, Des fois, c'est bien, des fois, ce n'est pas bien. Mais quand même, c'est bien. Quand même, c'est bien parce que je pense que vous allez avoir un bon son. Même si ce n'est pas parfait, vous allez quand même avoir un bon son. En tout cas, je le souhaite. Est-ce qu'il est connecté ? Oui. Johnny est connecté. Normalement, il est posé sur moi. Donc, vous devriez avoir un bon son et ça devrait être clair, limpide et clair. Donc, voilà. C'est bien. Même si des fois, il se déconnecte, ce petit bâtard. Ce n'est pas grave. On va faire avec. Je vais aller chez DJ cet après-midi. Je vais peut-être aller acheter un DJ, même si ça me fait plaisir. Mais je vais quand même aller chez DJ. Je vais aller acheter un micro. Je vais dire, voilà, fuck la merde. J'en ai besoin. Donc, si j'en ai besoin, il faut que j'achète. Voilà. Donc, voilà. Qu'est-ce que vous disiez d'autrement ? Ah oui, maintenant qu'il écoute mes podcasts. Donc, sinon, à part ça, les gens qu'on rencontre, je, malheureusement, je n'ai pas un bon feeling à chaque fois. à chaque fois simplement. Est-ce que c'est parce que j'ai évolué ? Est-ce que c'est parce que je suis entourée d'entrepreneurs et que du coup, quand on discute de trucs débiles, ça me fait chier ? Est-ce que c'est parce que je suis entourée de gens intéressants ? Et Manon, crois-moi que je t'inclus dans le lot. Donc, soit je suis entourée de gens intéressants qui sont capables de s'élever les uns les autres, qu'aujourd'hui, je ne suis peut-être plus capable d'accepter n'importe qui dans mon cercle. Et ça, c'est quelque chose d'important aussi, c'est que plus on évolue, plus on grandit, plus on progresse, et plus le cercle que vous vous constituez devient de plus en plus restreint. Et ça, je le vérifie tout le temps, parce que là, en fait, c'est ce que je vois, c'est ce que je me dis. Et donc, chaque fois que je rencontre des gens, je me dis « putain, ça ne me plaît pas, ça ne me plaît pas, ça ne me plaît pas, ça ne me plaît pas, ça ne me plaît pas » . Et donc, du coup, on n'a pas d'amis ici. on n'a pas d'amis ici ou pas tant que ça, on connaît des gens, comme j'ai dit on connaît Manon qui va travailler avec moi, sinon on connaît personne et on a envie de se rapprocher de personne. On entend des dingueries, chaque fois que mon micro se déconnecte en fait, c'est parce que je pense que c'est parce qu'il faut que mon téléphone ne se mette pas en veille, cette espèce de petit voilà. Donc on entend des dingueries des Français qui habitent ici pour certains et tout. Et donc du coup, je n'ai pas envie de ça. Et en plus de ça, la plupart du temps, les gens quand ils s'approchent de moi aujourd'hui, c'est par intérêt, la plupart du temps. On veut avoir des informations sur si. On veut apprendre à développer son business. On veut faire ceci. On veut savoir comment moi je fais cela. Et donc du coup, ça me fait chier. Je vous le dis très sincèrement, ça me fait éplucher. Et donc du coup, je ne peux pas aujourd'hui me dire que... J'ai des amis. J'ai des amis de loin. J'ai des amis depuis longtemps. J'ai des amis qui me connaissent depuis le début. J'ai des clients qui sont devenus des amis. Mais ici, au Mexique, on n'a pas d'amis. Voilà, on n'a pas vraiment d'amis. Parce que c'est dur. Il ne faut pas croire que l'expatriation, c'est la chose la plus... Oh, c'est merveilleux, c'est super, c'est le fun et tout. Moi, quand je veux faire une vidéo d'équipe, mais je ne peux pas. Quand je veux faire un réel d'équipe, Je ne peux pas. Quand je veux faire un truc avec d'autres personnes, je ne peux pas. Quand je veux promouvoir des trucs, je ne peux pas. Je suis seule. Donc ça, c'est quelque chose qu'il faut prendre conscience. Parce que souvent, en fait, la plupart du temps, les gens qui jugent sont des gens qui ne vous connaissent pas. Et quand on ne connaît pas les gens, on ne peut pas juger. Et donc, je me suis retrouvée dans la foudre de certains à me dire « mais qu'est-ce qu'il en sait ? » ou « qu'est-ce qu'elle en sait ? » ou « parce que quelqu'un m'a connue » ou « parce que quelqu'un m'a connue » a été avec moi proche pendant six mois, se dit « mais je la connais parfaitement, on connaît par cœur » . Et en fait, tu ne me connais pas, déjà, de base. Et donc, les gens qui me connaissent le mieux, c'est mon mari et mes enfants, sinon on ne me connaît pas. Et donc, du coup, je me dis, d'ailleurs je ne sais pas pourquoi je disais ça, mais en tout cas, on ne doit pas juger les gens. Et ceux qui pensent que parce qu'ils m'ont vue, ils m'ont connue il y a deux ans, ils savent que... ils connaissent la personne que je suis aujourd'hui, j'espère que je peux me permettre d'évoluer, en tout cas c'est ce que je souhaite. Donc tout ça, toutes ces choses, font qu'on n'a pas vraiment de lien avec l'extérieur. à part ce que j'ai construit, c'est-à-dire ma famille de cœur, les Lyon, les réseaux et tout ça. Sinon, il n'y en a pas. Donc oui, être expatriée, c'est chouette. Oui, c'est bien. Oui, je me sens bien. Oui, je me sens bien dans le pays où je suis. Évidemment, tu fais 10 km, 15 km, 20 km maximum, tu es au bord de la plage, une plage qui est belle comme ça ne se peut même pas. tu fais des kilomètres un peu vifé en bagnole, tu es dans les C-notes, les trucs, c'est un truc de fou. Tu es avec des gens qui sont la plupart du temps le plus gentil et le plus aimable que tu as jamais connu. Tout est possible ici, tu peux faire tout ce que tu veux. Je suis à 1h30 de Miami, si j'ai envie de prendre un avion, je peux prendre un avion. Je suis très proche de tout le coin caraïbe. Donc, si je veux, je fais ce que je veux. Il faut savoir que si tu ne peux pas le partager, des fois c'est dur. Des fois, ce n'est pas facile. Si tu ne peux pas partager les trucs, des fois ce n'est pas facile. Donc là, je suis bien contente parce que mon fils va me rejoindre au mois de novembre. Donc du coup, c'est le plus avec qui on fait des trucs. On parle coiffure, on parle cheveux, on monte un salon. Je viens de recevoir les produits Tokyo hier. J'ai reçu ma commande Tokyo hier. Je suis très contente de faire partie de la famille Tokyo. La première qui va l'essayer ou qui va le faire sur ses cheveux, c'est moi, évidemment. Donc voilà, j'adore. Je l'avais déjà fait plusieurs fois sur moi, mais j'adore et je suis bien contente d'ouvrir et d'en faire un salon Tokyo, entre autres choses. Mais c'est ça pareil. Parce que pour moi, le haut de gamme, que je vais amener dans ce salon va être extraordinaire. Et donc, du coup, j'ai hâte. J'ai vraiment hâte. Là, on va commencer les travaux. Ils commençaient à terminer les murs, à mettre les portes et les fenêtres. Tant qu'on n'avait pas fait ça, on ne pouvait rien faire d'autre. Donc, maintenant que ça va être fait, bientôt achevé, on va pouvoir s'attaquer. Donc, voilà. Et voilà. Donc, j'ai vraiment, vraiment, vraiment hâte de... de développer, j'ai vraiment hâte de le faire se construire et tout, ça c'est vraiment quelque chose qui me tenait à cœur et tout donc voilà voilà, voilà, voilà et donc là-dessus, j'espère que vous avez que ça vous a plu cette semaine, que vous étiez avec moi ou que vous n'étiez pas avec moi, peu importe mais que ça vous a plu, que vous avez eu des clés, parce que pour moi donner Pour pouvoir recevoir, il faut donner. C'est donner pour recevoir. Ça, pour moi, c'est très important. Donc, j'espère que vous avez eu le contenu que vous vouliez. Moi, ça m'a permis de connecter avec vous, de voir qui me suivait, de voir des nouvelles personnes et tout. Donc, c'est vraiment chouette. Et je suis vraiment ravie. Je suis vraiment chanceuse. Je me sens chanceuse de pouvoir faire tout ça, de pouvoir élever des salons, de pouvoir développer des coiffeurs et des coiffeuses, de pouvoir se dire qu'on n'est pas seul et que dans notre métier, qui aujourd'hui est en train de se développer de plus en plus, on est capable de pouvoir se dire qu'une coiffeuse, aujourd'hui, ça gagne sa vie, ça se développe, ça peut faire des merveilles. Donc là-dessus, voilà. Je voulais dire aussi qu'au Mexique, on était extrêmement bien soignés. C'est une chance qu'on a. On se dit, oui, c'est un pays sous-développé. Absolument pas, c'est pas du tout sous-développé. Tu vas chez le médecin, chez l'endocrinologue. Il a une caméra, il te fait une échographie tout de suite dans son cabinet, il ne te renvoie pas au cabinet de radio, tu dois prendre rendez-vous et attendre deux semaines pour faire ta radio, ton scanner, tout est déjà dans le cabinet du médecin, tu as déjà tout sur place. Là, tu vas chez le gynéco, elle a déjà l'échographie, le machin, le cil, elle te fait ton prélèvement, elle est chirurgienne, elle opère, donc tu as déjà le plan d'action en place. C'est ce que j'aime ici. Je suis allée aussi chez l'ORL pour mes oreilles et ma gorge. C'est pareil, ils te font de suite une analyse des cordes vocales, de suite ils regardent, de suite, de suite, de suite quoi, de suite. Et ça pour moi c'est un bonheur parce que c'est un bonheur, t'es pris en charge. T'es vraiment bien bien pris en charge. Et ça pour ça, ça n'a pas de prix. Je ne pense pas avoir été aussi bien prise en charge en France. Et je ne me rappelle pas d'avoir été aussi bien prise en charge, surtout pas prise en charge comme ça au Québec. Le Québec c'est une... catastrophe. Une cata. Une cata. Cata. Cata-tata. Cata. Voilà. Cata. Caca-caca-caca. Tadadadadadadadadada Je comprends, je les détoque tellement c'est une catastrophe. Je rive chez le médecin, il a un bureau en bois, il t'ausculte. En plus, je ne suis même pas allée au médecin. Je suis allée une fois pour mes enfants. Ils regardent. Ah bon, mais il a l'air d'être comme ça, comme ça. Ok, on va lui prescrire un truc pour le TDAH, c'est bon. Fais des tests. Tu fais des tests, tu regardes. Tu parles de quelque chose que tu connais. donc ça pour ça le Mexique c'est formidable Je trouve qu'on est bien soigné. Alors oui, c'est le privé, je vous assure. C'est le privé, c'est-à-dire que tu payes ta consultation 100 euros. Oui, voilà, tu payes ta consultation 100 euros. Mais en même temps, est-ce que tu es à 100 euros près pour ta santé ? J'ai envie de te dire, j'espère que non. Mais oui, c'est ça. Tu es vraiment, en fait, très bien pris en charge. C'est pareil pour le dentiste. Le dentiste, il t'a fait ta radio des dents sur place. Il ne va pas t'envoyer à Pimpin Jean-Claude pour faire ton panoramique. C'est fait sur place. Donc tout ça, c'est formidable. Donc voilà, là-dessus, je vous souhaite une bonne fin de journée. On se retrouve jeudi. Sur mes réseaux, vous allez voir passer un concours. Je ne l'ai pas parlé lors du podcast, mais j'en parlerai pour le podcast suivant. Voilà. Bye !

  • Speaker #1

    Merci d'avoir écouté Ne me cassez pas le peigne. Envie de découvrir encore plus des coulisses sur le business de la coiffure ? Abonne-toi pour ne louper aucun épisode. Partage et commente pour réagir. Rendez-vous très vite pour un nouvel épisode, toujours présenté par Julie Véron.

Chapters

  • Introduction et mise à jour sur la masterclass

    00:00

  • L'importance de l'enseignement pratique en coiffure

    00:39

  • Prendre soin de soi et de sa santé

    01:55

  • Réflexions sur le business et l'état d'esprit

    02:56

  • Annonces sur le nouveau programme pour les salons

    06:10

  • Conclusion et encouragements pour les coiffeurs

    10:44

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