Speaker #0Ne me cassez pas le peigne, le podcast qui vous dit tout sur l'envers du décor des salons de coiffure, présenté par Julie Véran. Hello tout le monde, j'espère que ça va bien, j'espère que vous êtes en forme. Je démarre ce podcast avec un fou rire, excusez-moi. Vous savez que je prends, attendez je vais augmenter le son, vous savez que je prends mes inspirations là où je veux, de toute façon. Et cette année, enfin cette année-là... comme tous les ans d'ailleurs. En ce moment, pardon, au mois de mai, c'est le festival de Cannes. Le festival de Cannes. Où on voit toutes les photos... Excusez-moi, je vais essayer de m'en sortir. Où on voit toutes les photos des stars avec leur robe et tout. Avant ça, il y a eu le Met Gala. Et là, c'est l'avalanche. C'est l'avalanche de commentaires. Et en fait, quand je vois qui commente, je ris. Mais je ris, je ris et je ris encore, d'accord ? Là, franchement, quand tu vois Martine qui dit, Martine qui dit, les robes n'ont aucune classe, j'ai envie de te dire, enjoy Martine, avec ta coupe champignon, qui nous a régalé avec tes commentaires de Fashionista. Martine, Martine, merci Martine, j'en peux plus. On ne peut plus. Et en bas, nous avons donc Christiane qui dit « Que fait Elena à Cannes ? » Et toi, Christiane, où étais-tu, ma belle Christiane ? Où étais-tu sur le tapis rouge ? Nous ne t'avons pas vue. Voilà. Et ensuite, nous continuons avec Mireille. Oh putain, je chiale. Excusez-moi. Nous continuons avec Mireille. Difficile de prendre la suite des grands couturiers. et toi Mireille, t'as-tu cousu de ta vie ? Franchement, nous cherchons donc la collection de Mireille, nous ne l'avons pas encore trouvée, et ensuite, vraiment, on continue, excusez-moi, mais c'est le festival, c'est bien le festival de Cannes, mais c'est le festival du troisième âge, nous avons donc Marie-Yvonne. qui continue je ne connais pas beaucoup de luxe je n'en connais pas beaucoup ce déballage de luxe est indécent voilà donc marie yvonne qui nous régale aussi avec son point de vue j'en suis mais alors et à le cerise sur le 4 le gâteau pardon nous avons donc à nîmes à nîmes qui est un prénom très moderne effectivement quand on voit à nîmes entouré de ces trois Ausha nous sommes contents de l'avoir vu il y en a qui se prennent pour des stars et toi ami qu'as tu fait de ta petite carrière voilà donc vous aurez bien compris que ce matin en tant que spectatrice puisque moi de toute façon on a mais on a mieux On n'a rien à dire de ça, putain. Mais c'est un truc de dingue comme quoi les gens, derrière leurs photos de profil avec un chat ou une montgolfière, pardon, je vais me tomber sur Josette, qui a une photo de profil avec une montgolfière. Franchement, je ne dirais pas à quoi la montgolfière me fait penser, mais en tout cas, le commentaire est que du fric avec des bonhommes pas contents. Et là, la montgolfière. D'accord, très bien, excusez-moi. Pardon, pardon, excusez-moi. Excusez-moi, excusez-moi. Il y a des fois où tu te dis, ça déborde, ça dérape. Non, mais ça, je le connais. Les gens, ils font des commentaires sur le poids, sur la taille, sur la robe, sur la coiffure, sur ceci, sur cela. Et que tu vois qui, parce que c'est ça, en fait, que tu vois qui commente, là, tu te dis, fuck, on est vraiment tombés. tombé bien bas en fait dans la critique. Voilà, nous avons donc des étoiles michelin de la critique du Festival de Cannes qui sont là à nous donner leur avis dont on se contrefout en plus évidemment. Bien sûr, on se fout en fait de savoir que Martine porte des bas de contention ou que Josette met un corset ou encore que Sylvie met... des chaussures plates parce qu'elle ne peut plus porter de talons ou encore ou encore ou encore que la chemise de clotilde vient de je ne sais où armentieri ou je ne sais pas quoi en tout cas on s'en tape le cul mais vraiment et là J'ai pris donc un fou rire ce matin, je ne savais pas comment introduire. Je me suis dit, je vais aller sur les réseaux sociaux, je vais sûrement trouver un truc. Et paf ! On trouve un truc ! On trouve un truc ! On trouve un truc ! Et Monique qui se rend chérie, festival de Cannes ou festival du match de vue. Eh bien, en tout cas, nous, Monique, on t'a assez vue ! Voilà ! Excusez-moi, mais je ris tellement de voir la méchanceté des gens. Et je me dis... C'est sérieux là ? Mais pardon là. En fait, je disais ça la dernière fois à mes enfants. Et là, en fait, je me dis, c'est sérieux là. Tu es toujours critiqué par des gens qui font moins ou qui ne font pas. Tu vois ? Ou qui n'ont rien fait ou qui n'ont rien accompli. Voilà, tu sais, je veux dire, là, la preuve en est, on va sortir de ça parce que ça me fait chialer. Et donc, c'est sur le post de Télé Loisirs qui lit encore Télé Loisirs aujourd'hui. Et bien, vous en avez l'éventail qui viennent de commenter là, dans leur rocking chair sur Facebook. Je me dis, je sais pourquoi j'ai quitté Facebook et j'en suis encore plus convaincue. Bien, très bien. C'est avec ça, j'avais cette conversation avec Marie-Ève hier, qui me disait, puisque mon amie Marie-Ève... a changé de domaine, de vocation. Et donc, aujourd'hui, sa clientèle cible n'est plus la même. Donc, elle a lâché un peu Instagram pour aller sur Facebook. Puisque, aujourd'hui, elle célèbre, excusez-moi, c'est très sérieux, mais elle célèbre des funérailles. Voilà. Donc, pardon. J'essaie de le dire extrêmement sérieusement malgré que je sois très fière d'elle parce que c'est pas facile et je trouve que c'est un très bon métier. Mais effectivement, sauf cas exceptionnel, évidemment, les funérailles sont des personnes âgées. D'accord ? Donc, généralement, tu ne vois pas Monique ou Clotilde sur hashtag bas de contention. Donc, elles sont plutôt sur Facebook. Pardon, excusez-moi. C'est terrible, je ne voulais pas commencer comme ça, mais c'est terrible. Et on a parlé de ça hier soir avec elle, et elle me disait ça, ça m'a fait rire. Ça m'a fait marrer parce qu'elle me dit, oui, maintenant, ma clientèle s'il a changé, donc je ne les retrouve plus sur Facebook. Et donc, comme elle a posté une vidéo, si vous voulez aller voir, elle a posté une vidéo d'un monsieur qui avait demandé de l'aide médicale à mourir, puisqu'au Québec, tu as le droit à l'euthanasie, dans certains cas. Et le monsieur, elle l'a interviewée avant qu'on l'aide à mourir parce qu'il était très malade. Et ça m'a beaucoup touchée, cette vidéo d'ailleurs. Énormément, énormément. Et là, il y a un abruti, mais un abruti, qui commente. Je ne comprends pas ce genre de vidéo. Et en plus, lui a mené un t-shirt avant de mourir. Je trouve ça très indécent. Ce n'est pas le lieu. Et c'est signé Robert, je ne sais pas quoi. Bref, évidemment. La revendicatrice que je suis a répondu à Robert, évidemment, et lui a dit, écoute-moi bien, Robert, on ne t'a pas demandé ton avis, tu n'es pas obligé d'être sur la page, et si tu veux quitter cette page, c'est avec un immense plaisir, et avant de partir, tu salueras le respect de notre part et tu fermeras la porte en partant. Voilà, c'est exactement ça que j'ai dit. Et là, voilà. Donc ça vous donne un petit peu un aperçu de ce qu'on peut retrouver sur les réseaux. C'était le sujet oui et non, parce que voilà. J'ai signé hier, avant-hier, puisqu'on est dimanche. J'ai signé avant-hier les papiers de vente du salon. En fait, j'ai signé le contrat de paiement, puisque comme dans tout... contrat comme du signer un acte de prêt avec la banque et tout vous signez mais là ça se signe donc chez le notaire parce qu'il faut parce qu'au mexique c'est très particulier et c'est ça mon plus grand drame en fait c'est que moi je suis artiste d'accord je suis artiste depuis longtemps je pense depuis que je suis né je pense que je suis artiste mais mes talents d'artistes n'ont pas été vus tout de suite voilà parce que je me faisais un peu un peu La maîtresse se foutait largement de ma gueule. Madame Desjans, si vous m'écoutez, ou en tout cas, à mon avis, vous n'êtes pas tout à fait fraîche, on parlait de funérailles. À mon avis, les vôtres ont été célébrées il y a quelques années. Non, Madame Desjamps, je pense bien, très bien, avec ses cheveux blonds. Elle était déjà très âgée quand même, Madame Desjans. Elle devait au moins avoir une cinquantaine d'années déjà quand j'étais en CP. C'est le 2. Donc, pour vous dire que j'ai 41 ans aujourd'hui, on parle de ça, c'était il y a 35 ans peut-être. Allez, un peu plus, un peu moins, 30 ans. Allez, on va dire ça comme ça pour lui faire plaisir. 32. Donc, 32 plus 50. 0 plus 0 égale à tête à toto à mon avis voilà madame des gens je vous salue si vous m'écoutez du ciel avait dit à ma mère m'en souvient elle avait dit à ma mère moi j'ai une mémoire comme ça hallucinante et des noms des enseignants que j'ai eu je m'en souviens très bien et madame des gens m'a marqué avec sa petite presse de son cheveu blond de sa couleur en fait de ses mèches sur un cheveu grisonnant sa tenue de sport avec son jean, en tout cas bref, la totale. Madame Desjardins, je vous le dis, je vous salue. Et elle disait que mes dessins, c'était de la merde. Et effectivement, c'était de la merde, mais une belle, belle merde. Et donc, ma mère me faisait mes dessins d'illustration, puisqu'à l'époque, le chat de GPT et l'ordinateur à la maison n'étaient pas. Donc, il fallait dessiner à la main. Et ça n'a jamais été ma force, le dessin. Donc, quand je faisais des dauphins, ça ressemblait à des loutres. Donc, c'était vantable. Et donc, ma mère me faisait les dessins. Bref. Pourquoi je parle de Madame Desjardins ? Mon talent ne s'est pas vu tout de suite. Et donc... Et donc, et donc, et donc, et donc, pourquoi je parle de ça ? Et donc... Je retourne en arrière pour me rappeler de quoi je parlais. Bref. Donc, on parlait de signature, signature, j'ai dérivé sur ma maîtresse, ça m'a perturbé, du coup j'ai eu un blanc. Ici au Mexique, en fait en France, tu peux signer, tu vois, tu peux changer de signature tous les 10 ans, disons. Tu sais, tu peux faire une petite variante, quelque chose avec une croix, peu importe, ça n'a aucune importance, aucune importance. Au Mexique, si t'as ta signature au début, t'as ta signature à vie. C'est sur tes papiers, ton passeport, tes trucs. Et là, là est mon drame. Moi qui suis, je pense, dyslexique de la signature, je changeais de signature en France à peu près tous les 10 ans. Genre, je change de passeport, je change de signature, je change de carte d'identité, bref. Aucune importance en France, aucune importance au Québec. Absolument aucune importance. Mais si, c'est à la virgule. À la virgule près. Donc là... tu dois aller chez le notaire, authentifier la signature, authentifier la signature, d'accord ? Et voilà. Tu vois ce que je veux dire ? Donc là, tu vas signer l'acte de contrat de prêt, puisque c'est un mini-prêt, comme je l'ai expliqué, c'est 18 mois de versement pour pouvoir ensuite, après, être propriétaire définitivement du local et passer définitivement chez le notaire pour... ce truc là pour avoir pour être propriétaire de ce local et là et là et là et là tu signes donc l'acte le contrat chez le notaire mais combien de fois au mexique je me suis retrouvé emmerdé avec cette histoire de signature parce que je dois prendre le modèle de mon passeport que j'ai signé à l'arrache il ya dix ans de ça puisque je dois les refaire faire dans le droit on doit les refaire faire cette année mais que j'ai signé à l'arrache il y a 10 ans, tu vois, où j'étais dans un autre mood, où j'étais vraiment, j'avais 30 ans, j'étais ailleurs, on allait partir au Québec et tout, on a fait ça, voilà. Et là, je dois me reproduire cette signature que j'ai changée depuis, quand j'étais au Québec et tout, je signais différemment, bref, et tout. Et là, au Mexique, on arrive, on me dit, non, non, tu dois re-signer comme il y a 10 ans. T'attends. et donc du coup là j'ai fait une demande donc puisque ça fonctionne comme ça ou dans les pays d'Amérique du Nord tu dois faire une demande de carte de crédit pour bâtir ton crédit pour pouvoir avoir une bonne cote de crédit pour tel ou tel avion bref et là tata j'ai dû faire trois fois les papiers pour qu'au final ils me disent non mais en fait on reconnaît pas la signature je suis là, je suis devant eux, je suis là. Il peut y avoir d'autres manières. Il peut y avoir le truc biométrique et machin et compagnie. Non, non, non, non, non, non. Tu dois signer comme il y a 10 ans. Tu vois ? Tu peux faire une empreinte de doigt, un truc qui ne se falsifie pas. Rien à foutre. Ils n'en ont rien à foutre. c'est la signature qui prime et elle doit être identique à 100% comme sur le passeport. Alors, il y en a, bravo à vous, qui signent comme avant, comme toujours. Et moi qui suis une artiste née, qui signe comme ça, tu sais, je vais te faire la signature, la belle signature de peintre, je te fais ça comme ça, puis moi, tu vois, et non, en fait, et non, tu ne fais pas ça comme ça. Voilà, mon mari, il a une signature depuis le début, ça va très bien, il n'y a pas de problème. Moi, c'est un enfer. Enfer. Donc, ça a été ça. Donc, on a signé les papiers. Donc, on a signé le salon. Donc, tout va bien. D'accord ? Et ce week-end, je me bats parce qu'il faut savoir que tout, malgré tout ce qu'on voit sur les réseaux, tout ne se passe pas toujours comme on veut. D'accord ? Donc là... j'ai une entreprise ici, d'accord, et le local, je voulais donc comme en France faire deux sociétés, une société qui achète le local et qui achète des biens immobiliers, une société qui achète, qui monte le salon, etc. Donc, quoi que j'aurais pu faire en France, et là, c'est la panique. C'est la panique parce que tu ne peux pas sortir l'argent d'un compte, puis mettre sur un autre compte, puis tatata. Donc là, demain, je vais chez le comptable pour ce petit montage-là qui est sympathique parce qu'il voulait faire ce montage-là. Donc demain, je vais chez le comptable pour voir comment on peut faire ce montage, comment on peut développer la société, tatatata, comment on peut faire le montage fiscal le plus avantageux possible et en même temps le plus sécuritaire possible. parce que je ne veux pas avoir le salon et en même temps le local et apporter le local en capital. Enfin bref, voilà. Je veux que le salon soit locataire du local. En tout cas, bref, il y a un montage fiscal à faire. Et demain, je m'en occupe. Donc, ça ne retarde rien puisque j'ai payé une partie de la somme puisque tu fais un versement, un premier versement. d'une certaine somme. Et ensuite, tu fais comme un apport, en fait, au final. Tu mets un apport et ensuite, tu payes des mensualités, comme un crédit classique. Sauf que celui-là, il est à 0%. 0%, d'accord ? Donc, voilà. C'est un peu le casse-tête que j'ai vécu ce week-end. Tu sais, tu es dans l'euphorie, tu es content d'avoir signé, tout va bien, tu ne suis pas chez le notaire, tu fais la petite photo et tout. Et là, c'est là que ça commence. Tu vois ce que je veux dire ? C'est comme quand t'as des enfants. Oh mon Dieu, on célèbre la naissance et tout. Et après, pendant au moins 18 ans, minimum, t'es en train de consolider le truc. C'est un peu ça, en fait. C'est un peu ça. Signer les papiers chez le notaire, c'est que dalle. Maintenant, va venir toute la suite. Donc là, on va monter la société pour le salon. On va voir comment on va monter ce truc-là avec le comptable. J'ai rendez-vous demain avec le comptable. J'ai hâte parce que ça me torture un peu la tête. parce que les règles, c'est ce que j'expliquais à l'avocat puisque je travaille avec un avocat les règles en France au Québec et au Mexique ne sont pas du tout les mêmes donc là tu te retrouves à devoir jongler avec des règles que tu ne connais pas et que tu dois te faire tu dois faire cet apprentissage là donc je fais cet apprentissage là depuis deux ans mais Tu dois aussi avoir une part de je laisse les gens travailler pour moi qui savent faire ça et tout. Donc là, on est là-dedans. On est purement et simplement là-dedans. Donc là, hier, j'ai couru partout pour pouvoir avoir des renseignements et tout. Je n'ai pas eu de renseignements parce qu'hier, on était samedi. Donc, je vais demain courir à la banque, courir un truc et tout. Enfin bref, grosse affaire. Donc, quand on pense que tout se passe comme on veut, et bien je peux vous assurer que la plupart du temps rien ne se passe quoi vous voilà avoir un salon fini à mon avis ça va être tout le chantier toute une expérience d'accord c'est faut pas croire que tout se passe dans comme dans un rêve etc c'est pas le cas c'est pas c'est jamais le cas d'ailleurs tout simplement parce que il ya des il ya des embûches tout le temps je veux dire c'est ça que je me disais ce matin si je me dis un mois tu avances tu avances quand tu as une un métier de représentation comme nous c'est le cas en fait en coiffure c'est le cas en business c'est le cas c'est le cas partout et comment tu avances En fait, quand tout est en chantier, là, on vient de, à peine, c'est pas tout à fait terminé, mais on n'est pas loin, on vient de finir les travaux de la maison et tout, mais comment tu avances quand tout est un chantier, tout est bancal comme ça, où tu te dis, mais en fait, ça ne va jamais s'arrêter, c'est un truc de fou, comment je vais me terminer ce dossier, j'embarque sur ce dossier ? je réembarque sur ce dossier et machin donc ça se casse la gueule petit à petit pour ensuite se consolider et encore tu as des sables mouvants et encore tu consolides et machin et truc et là tu te dis mais en tant qu'entrepreneur comment tu fais pour passer à travers tout ça et garder en fait, à l'info de... Je veux dire de... Moi, sur une ligne, c'est une ligne horizontale. Comment tu fais pour être sur une ligne horizontale tout le temps sans que ça ne vienne perturber ton business, en fait ? Mais en fait, ça, c'est, je pense, toute la force des gens qui ont des gros business. des grosses grosses entreprises c'est un truc de fou il faut que tu restes sur cette ligne là tu vois les ont parlé tout à l'heure je parlais rapidement la jeune homme à je me marre et avec monique et que tib mais tu sais des acteurs quand tu y penses les acteurs les trucs mais si tu prends à la lettre tout cité tout à te pose à te poser des questions sur ceci cela et tout mais c'est et en faire un fait. C'est un enfer. Et tu dois laisser des gens travailler à ta place. C'est ce que j'ai compris en fait. C'est que tu dois laisser des gens travailler à ta place. Et surtout, tu dois garder une certaine ligne de conduite. Des entreprises qui réussissent, c'est des entreprises où tu essaies de garder une certaine régularité. Tu n'as pas le choix en fait. tu vois moi là je signe le truc, je me dis ouais ça va le faire et tout ce montage il est bon, c'est bon machin, le montage il est pas bon, il est pas bon ça va pas, y'a un truc qui va pas donc là je me creuse la tête machin truc, je fais en tout cas bref un caillou dans mon rouage, hop on est obligé de se prendre la tête avec ça, nanana machin machin truc cata tu vois là tu te dis bon mais ça va aller bon mais Il y a toujours un truc, il y a toujours un petit grain de sable qui vient se mettre à l'intérieur de ton rouage et tu te dis, non, c'est pas possible. Et en fait, si. En fait, il faut vivre. Et quand tu es entrepreneur, il faut apprendre à vivre sous les bombes. Tu sais, je veux dire, tu n'as pas le choix. Tu montes un truc, tu fais un truc, machin. Les travaux, là. j'ai hâte de voir parce que ça va être ça va être quelque chose je pense je m'étais dit quand j'étais plus jeune et dit moi jamais au grand jamais je ferai construire un truc parce que ça va me faire chier la la règle c'est ne jamais dire jamais jamais dire jamais parce que sinon tu te retrouves en fait ton jamais devient ta réalité. Donc là, je m'étais dit, jamais je ne ferai construire. Qu'est-ce que je fais ? Je fais construire. J'avais dit que je ne monterais jamais un salon ici. Très bien, vous avez vu ce que ça donne le jamais chez moi. Pourquoi on monte un salon ici ? Parce que, déjà, je pars du principe qu'avoir de l'argent dans un compte en banque, ça ne sert à rien. du tout, à part le perdre. Voilà, parce que l'inflation, le taux d'inflation, etc., fait que ton argent, aujourd'hui, tu places 100 000. L'année prochaine, il vaut 90. L'année d'après, il vaut 80. Mais l'année encore d'après, il vaut 70. Là, tu te dis, ouais, mais je ne perds pas d'argent. En fait, ce n'est pas ça. C'est que les prix augmentent d'une certaine façon qu'avec le même argent, tu ne te paieras pas la même quantité de choses. Donc là, quand tu mets ton argent sur ton compte courant, que tu te dis « j'ai mon truc de sécurité, machin, truc, ceci, cela » , au final, tu n'as pas ton truc de sécurité, ton argent perd de la valeur jour après jour. Entre l'inflation, entre la fluctuation des taux de ci, de là, on se retrouve qu'on perd de l'argent. Donc, soit... tu fais des placements à haut rendement et à ce moment-là, il n'y a pas de problème. Soit tu achètes ton local commercial, soit tu achètes de l'immobilier, etc. Mais tu ne peux pas rester en n'ayant pas de trésorerie, en n'ayant pas d'argent investi. Pourquoi ? Parce que la... Comment vous dire ? Votre fonds de commerce, vous allez le vendre. Bien le vendre ou pas bien le vendre, ça dépend. votre local ne vous appartenant pas, vous n'aurez que l'argent de votre fonds de commerce. Si vous avez fait une plus-value sur votre fonds de commerce, vous allez payer des impôts sur la plus-value. Donc, il y a à peu près 30 % qui va à l'État. Je vous le dis. Si, par exemple, vous avez payé votre local 20 000, que vous le revendez 60, vous allez payer de la plus-value, la différence entre 20 et 60. D'accord ? Donc, ce qui fait 40. Pour ceux qui pensaient que j'allais me tromper. donc sur ces 40 tu vas payer 30% plus value d'accord donc rendu là c'est pas intéressant alors que si tu es propriétaire de tes murs tu vends ton joint de commerce et tu gardes tes murs et tu peux louer tes murs d'accord donc c'est juste un exemple donc c'est pour ça que j'ai fait ça c'est pour ça que je veux faire ce montage financier c'est pour ça que je veux garder en fait c'est pas la seule chose que je vais acheter je vous le dis clairement c'est pas du tout la seule chose qu'on va acheter mais on commence petit à petit dans dix ans j'espère avoir plusieurs biens immobiliers pour pouvoir me dire que j'ai moins de stress. Avec toutes sortes de choses. Pourquoi ? Parce que le problème dans notre société, c'est d'avoir une source de revenus. On est coiffeur. On est chef d'entreprise. Mais le problème, en fait, c'est que si, et je l'ai vu pendant le Covid, j'en parlais hier encore, le Covid m'a fait réaliser énormément, énormément, énormément de choses. Énormément. Et notamment que si tu n'as qu'une seule source de revenus, ce n'est pas viable. Ce n'est pas du tout, du tout, du tout viable. Pourquoi ? Parce que si tu fermes, tu n'as plus rien. C'est-à-dire que ta maison, c'est-à-dire que tout ce que tu as construit, tout ce que tu as eu, tout ce qui te permet de payer tes factures et tout, se casse la gueule. Et là, en fait, tu as beaucoup plus de chances de te retrouver dans une situation difficile. Alors que si... Tu as des biens ou si tu diversifies tes revenus ou si tu fais autre chose. Je te donne un exemple en coiffure. Là, tu me dis, ouais, mais en coiffure, ce n'est pas facile. Oui, alors il y en a, par exemple, qui sont formateurs, qui sont propriétaires de salon, qui ont une boutique en ligne et qui, en même temps, ont peut-être des biens immobiliers, sont propriétaires de leur local, etc. C'est ça, diversifier les revenus. C'est ça. C'est se dire que là, être derrière sa chaise, ce n'est pas que ça en fait. On va développer différemment, on va faire les choses autrement. On va se pousser à devenir des entrepreneurs et pas des salariés déguisés. Parce que coiffer derrière sa chaise 70 heures par semaine, seul dans son salon, c'est être salarié de son entreprise. D'accord ? et on a le droit, on peut, il n'y a pas de problème. Mais il faut faire un choix à un moment donné. Par contre, si tu deviens propriétaire de ton local, là, à ce moment-là, ce n'est pas la même chose. Là, tu deviens investisseur de ton salon de coiffure, et là, c'est différent. Mais si tu coiffes en tant que locataire, dans un espace où tu es seul, où tu travailles 70 heures par semaine, et que tu payes ton loyer ici et là, tu es salarié pour moi. Tu n'es pas chef d'entreprise. Pour moi, tu es salarié. tes salariés, ton système. Ça veut dire que si un jour, tu es malade, tu as un problème de santé, peu importe, ton système ne te rémunère plus. En fait, tu es le salarié et le patron en même temps. Donc, le patron ne produit plus de revenus, donc ne peut plus payer son salarié, tu es son salarié, donc tu rémunères. Tu vois ce que je veux dire ? C'est ça le truc. Tu ne dois pas être esclave de ton business. Voilà. Moi, c'est ce que je me suis dit pendant le Covid. J'ai hurlé, j'ai tapé du poing sur la table, je me suis insurgée, et ça fait cinq ans, et c'est comme si c'était gravé dans ma mémoire, d'accord ? Mais je me suis dit, là, là, il y a un truc qui ne va pas. Dans mon système, dans ma tête, il y a quelque chose qui ne fonctionne pas. Donc, qu'est-ce qu'on fait ? déjà le lieu d'habitation ça allait pas le lieu d'habitation ça n'est pas du tout Je n'étais pas heureuse, je ne me sentais pas bien. Mais comme je disais, si je n'avais pas fait ce stop au Québec, je n'aurais pas la carrière que j'ai aujourd'hui. Mais je n'aurais pas pu rester longtemps. Je n'aurais pas pu rester longtemps. Ça ne me correspond pas. J'aime la liberté. J'aime le fait de pouvoir dire ce qu'on pense. J'aime le fait d'être moi-même. J'aime le fait d'être authentique. Et moi, ça ne va pas. Ça ne marchait pas. D'accord ? Donc là, le lieu d'habitation, ça ne va pas. On change. Le business, ça ne va pas. On change. Je travaille en ligne. OK ? Donc, je peux faire ce que je veux. Sauf que là, aujourd'hui, rendu là où je suis aujourd'hui, mon business en ligne me prend énormément de temps. D'accord ? Mais ce n'est pas ce que je veux. Je ne veux pas que ça. D'accord ? Donc, je crée un salon pour investir, pour avoir une deuxième source de revenus. J'achète un bloc pour investir, pour avoir une autre source de revenus. Et là, je diversifie mes revenus. Revenus salon, revenus local, revenus business. Et là, du coup, je suis moins esclave de mes entreprises. Vous comprenez ? Salon, je n'y travaille pas. J'investis. Je fais travailler des gens à ma place. Local, je n'y travaille pas. C'est un investissement. Mais ils me reversent un loyer. D'accord ? Et donc là, au fur et à mesure, on gagne. C'est ça, en fait. Si tu veux encore une autre source de revenus, fais de la vente en ligne. Vous voyez ce que je veux dire ? Formation, boutique en ligne, voilà. Mais c'est ça en fait le deal. Ce n'est pas de se dire... Et puis moi, mon objectif, honnêtement, je vous le dis très sincèrement, aujourd'hui, je suis avec les coiffeuses, mais toutes les femmes ont besoin en fait de cette éducation-là. Tu ne peux pas être dépendante de quelqu'un. Tu ne peux pas dépendre en fait de quelqu'un. tu dois avoir cette éducation là tu dois être libre financièrement tu dois te construire pour que ta vie personnelle soit un plaisir et pas un enfer et c'est ce que je veux apprendre moi vraiment au delà de la coiffure au delà de tout ça je veux apprendre aux femmes à se démarquer voilà donc j'aime la bienveillance j'aime le fait qu'on puisse parler d'argent librement. J'aime le fait qu'on puisse être authentique librement. J'aime le fait qu'on se sente à l'aise dans notre système. J'aime le fait qu'on devienne des femmes d'affaires et pas esclaves de son business comme moi j'ai pu l'être. J'aime ça. J'aime vraiment ça. Et je le fais et je vais le faire pour ensuite pouvoir me dire, ah oui, j'ai oublié, j'ai Cancun aussi, qui me paye aussi, qui est une source de revenus différente. Vous voyez ce que je veux dire ? Tout ça, là, c'est des choses où je me dis, je ne suis pas dépendante. Je ne veux plus être dépendante d'une seule chose. Je veux être indépendante. indépendante. C'est-à-dire que si j'ai envie de me dire demain matin je prends une semaine de vacances parce que là, je peux le faire. Je peux le faire. Si je me dis, j'ai envie de, je sais pas moi, ça j'ai envie de construire ci, construire ça, ça développe ma trésorerie et je peux, j'ai l'opportunité, la possibilité de le faire. C'est ce que m'a apporté le Covid aujourd'hui. C'est de me dire en fait j'ai gagné une intelligence financière. J'ai gagné une intelligence d'investisseur et je vais courir là-dedans. Parce que pour moi, en fait, il n'y a rien de mieux que la sérénité. Et je vous le souhaite. Vraiment. Voilà. Alors, je vous dis à la semaine prochaine. On se retrouve bientôt. Merci de m'avoir écoutée. À très vite. Abonnez-vous. Abonnez-vous. Parce que je prépare un événement au mois de juin. Les coiffeuses vont pouvoir avoir des astuces cet été. On prépare le bootcamp d'été. Je vous laisse suivre ça. C'est très important. Voilà. Il n'y a pas de vacances chez nous, mais on va mettre en place un système qui va vous permettre en septembre de revenir 15 millions de fois plus forte. On se retrouve bientôt. Bye.