Speaker #1Je m'appelle Léa Tauzin et je suis responsable du club des entrepreneurs Berry Touraine. Ma mission c'est de faire vivre le club des entrepreneurs qui est porté par la BGE Berry Touraine. Le principe c'est de mettre à disposition des entrepreneurs, des dirigeants et puis de nos partenaires un club dans lequel toutes ces personnes peuvent se retrouver pour faire du réseau. Ils peuvent se retrouver digitalement à travers une plateforme où ils peuvent avoir accès à... à l'annuaire de toutes les personnes qui sont membres de ce club. En fait, on leur propose aussi des événements, des conférences, des choses comme ça, pour qu'ils fassent soit du réseau, soit de la montée en compétences. Et le but, c'est qu'ils se retrouvent à travers différents formats d'événements qui s'entourent du maximum de personnes pour les aider à se développer, développer leurs compétences. Évidemment, toutes les personnes accompagnées par la BGE Initiative sont les bienvenues au club, mais aussi... tous les dirigeants et tous les entrepreneurs, même s'ils ne sont pas passés par la BGE. Parce que le but, c'est vraiment qu'ils aient un panel de métiers à disposition. Et en plus de ça, ça rayonne dans l'Indre, le Cher et la Touraine. Et en fait, le but, c'est nous d'attirer. C'est porté par BGE Initiative, mais on laisse vraiment tout le monde entrer. Le but, c'est que les entrepreneurs aient le plus de personnes à disposition pour eux. Que ce soit des partenaires banquiers, même des notaires, des agents immobiliers, des personnes qui pourraient les... les aiguiller parfois sur d'éventuelles questions, et aussi qu'ils rencontrent des acteurs de toute la région qui pourraient les aider dans le développement de leur entreprise. On est bien à 500 membres si on prend tous les partenaires, plus tous les entrepreneurs, etc. C'est surtout d'animer le club, de trouver un programme chaque année, évidemment aussi de trouver parmi des personnes que je pourrais connaître ou rencontrer. par les différents événements que je vais faire. Et puis moi, dans ma vie personnelle et des actions que je vais faire au sein de Châteauroux et avec mes animateurs de tous les territoires sur lesquels ils sont, de trouver des personnes qui pourraient apporter aussi des choses au club. Mais du coup, ma mission principale, c'est vraiment de coordonner tout ça entre tous les animateurs qu'on a partout. Parce que du coup, comme il y a Tours, il y a Bourges et puis il y a tous les territoires un peu plus ruraux de l'Indre. forcément il faut que ces animateurs ils savent un petit peu quoi faire et qui amener au club et qui mobiliser. Et du coup, moi, je pilote tout ça. Je trouve des événements, j'essaye de trouver des lieux, des intervenants aussi pour d'éventuelles conférences. On travaille avec le Centre des congrès d'Ysoudun pour un événement annuel. On a Equinox aussi pour un événement annuel. Voilà, on essaye de trouver des lieux comme ça qui sont intéressants. Après, nous, on est en collaboration avec plein de restaurants pour pouvoir faire nos formats déjeuners. Donc après, le club se divise en plusieurs... petits groupes pour que les personnes qui sont un peu plus éloignées des villes principales, donc Tours, Bourges et Châteauroux, puissent avoir eux-mêmes leur petit format d'événement en plus petit. C'est pas vivable d'aller pour les entrepreneurs qui sont, j'en sais rien, aigurants, de venir tout le temps à Châteauroux. Donc en fait, on a dupliqué des formats, c'est pour ça que j'ai plusieurs animateurs, un petit peu partout dans la Béritou-Rennes, avec différents lieux et différentes animations. On essaie d'avoir des jolis lieux, on essaie aussi d'organiser des visites d'entreprise. On essaie tous les ans de trouver, d'organiser des rencontres intéressantes pour eux et pour qu'ils découvrent aussi ce qui se passe un petit peu partout. Alors moi je suis référente aussi de l'Inde, donc c'est moi qui vais piloter au maximum l'Inde. Après j'ai quelqu'un qui va m'aider dans le Cher, qui est référente du Cher et qui va piloter les animateurs aussi qui sont dans le Cher. Donc là ils sont trois ou quatre. Donc 5 dans le Cher. J'ai une personne qui évidemment s'occupe de la Touraine et qui est présente aux événements en Touraine parce que je ne peux pas y aller à chaque fois. Et puis moi dans l'Indre, il y a une bonne dizaine de personnes je pense. Plus toutes les personnes qui vont m'aider, qui ne sont pas forcément identifiées comme animateurs du club mais qui vont m'aider à organiser, à piloter. Donc voilà, ça fait un petit arbre qui rayonne mais c'est cool. Un after work, ça va être là où on va faire rencontrer ceux qui sont déjà au club et des personnes qui ne le sont pas encore, qui veulent le découvrir ou qui ne sont pas encore immatriculés mais qui vont bientôt le faire pour se dire, ok, moi quand je vais devenir entrepreneur vraiment, il y a un club qui peut peut-être m'apporter du réseau. Donc on a cet after work-là. Et puis sinon, souvent c'est à partir de 19h, c'est à Châteauroux, Bourges, Tours et c'est une intervention ou un atelier, donc de monter en compétences plus tôt, plus après évidemment un petit... Un petit moment covivial autour d'un verre et de trois petites choses à manger. Et après, en fait, on a divisé en sous-groupes ce qu'on appelle des réseaux d'affaires. Et ça, ce sont des déjeuners en fonction du territoire et en fonction du jour qui les arrange. Parce qu'en gros, les déjeuners, c'est une fois par mois avec un groupe donné. Donc, par exemple, il y en a un à Vatan, il y en a un à La Châtre, il y en a un à Issoudun. Mais il y en a six à Châteauroux aussi, des mini-groupes. Et ça, en fait, ça permet aux entrepreneurs vraiment d'intégrer un groupe un tout petit peu plus soudé avec lequel il va pouvoir un petit peu plus nouer de relations et que ce soit quand même plus facile. Et dans ces groupes, on a essayé de les construire. déjà qu'il n'y ait pas de concurrence dans ces groupes-là, pour que ce soit fluide, qu'ils puissent travailler ensemble de manière fluide. Et on essaye d'intégrer plusieurs partenaires dedans. Donc on essaye de faire en sorte qu'il y ait toujours, par exemple, un assureur, un banquier, un agent immobilier, un notaire, par exemple. Ça va être les grosses entités qui reviennent souvent. Et après, plein de métiers différents. Et on essaye que les groupes soient un petit peu complémentaires, qu'ils puissent éventuellement faire du partenariat, construire des choses ensemble. Et puis après, on regarde aussi par affinité. Des choses comme ça. Et puis en fait, ces formats, ils sont dupliqués. Tous les mois, à la même récurrence, ils vont se voir dans le même lieu. À chaque fois, on fait une animation évidemment au sein du déjeuner. Donc c'est soit le focus d'une des personnes qui est parmi les membres de ce petit réseau qui va présenter son entreprise plus longuement que les autres cette fois-là. Soit on fait venir des intervenants pour des ateliers. Soit alors on va un peu ailleurs et on va manger dans l'entreprise de quelqu'un ou on va faire une petite visite avant. Donc ça dépend. On essaye de faire des programmes par réseau d'affaires. Et après, en fait, on les pousse à ce qu'on appelle au voyage. Donc, ils ont le droit d'aller voyager dans les autres réseaux d'affaires pour aller voir ce qui se passe à Vatan et qu'il y a à Vatan, même à Bourges s'ils sont à Châteauroux, etc. Donc, c'est une notion, on appelle ça les voyageurs, pour que les groupes ne soient pas toujours les mêmes 20 personnes qui se retrouvent tous les mois. Et puis, on leur laisse la possibilité aussi, eux, d'inviter à chaque fois une personne qui n'est pas forcément au club, sans engagement pour eux de revenir au club, ces invités-là. Mais voilà, s'ils ont un entrepreneur ou un dirigeant d'entreprise, qui a une actualité ou qui a envie de voir un petit peu ce que c'est le réseau, ils ont le droit d'inviter chacun une personne. Donc en général, les groupes, il y a toujours quelqu'un à qui se présenter en plus que les personnes qui se connaissent déjà. Et du coup, on a plusieurs profils parmi les membres. Il y en a qui viennent vraiment juste parce qu'ils se sentent seuls, ils veulent rompre un peu cette solitude de l'entrepreneur et du dirigeant. Sans avoir un besoin de faire du business en plus, parce que peut-être que ça marche bien, peut-être qu'il n'y a pas cette notion-là dans leur secteur d'activité. Donc il y en a, ils ne viennent vraiment que pour ça. Il y en a, c'est pour trouver des partenaires, pour vraiment trouver des clients. Il y a vraiment un peu tous les profils. Et puis il y en a qui viennent vraiment pour la montée en compétences, parce que les sujets sont intéressants, des choses comme ça. Il y a vraiment tous les profils et nous, on accepte tous les profils. Et c'est ça qui fait un peu la richesse de ce club et la raison pour laquelle on a des formats qui sont assez souples. Et on leur laisse aussi la liberté, eux par groupe. On crée un bureau à chaque fois avec un président, un vice-président, des choses comme ça, qui vont aussi, avec ce groupe, avec la connaissance du groupe, pouvoir aussi proposer des activités et des formats qui vont vraiment aller à ce groupe-là. Chaque groupe a quand même une identité, avec ses têtes fortes, avec des choses qu'ils aiment bien faire. Et du coup, vraiment, tous les programmes sont différents en fonction des réseaux d'affaires. Et c'est pour ça que c'est hyper intéressant aussi d'aller voyager et de voir qu'elles sont un petit peu... l'organisation des réseaux d'affaires un peu partout ailleurs, même si ça reste quand même toujours les mêmes heures, etc. Il y a quand même un dynamisme et des sujets qui sont différents à chaque fois, donc c'est intéressant pour eux d'aller découvrir aussi ce qui se fait dans les autres groupes. C'est un service qui est payant, il y a une adhésion à l'année, qui varie de 100 à 350 euros en fonction des options qu'ils prennent dans le club. Et en fait, on a fait un forfait en fonction aussi du régime et de l'ancienneté de l'entreprise. Donc ça va des micros de moins de 3 ans aux entreprises de plus de 3 ans. Et du coup, ça varie entre 100 euros entrée club classique avec les after work, quelques conférences, des choses comme ça, qui sont à 100 euros l'entrée, à 350 euros le full package pour les plus grosses entreprises de plus de 3 ans qui ont pris toutes les options avec le réseau d'affaires, par exemple. Je pense qu'il faut aussi avoir de l'organisation, ça c'est certain. Une bonne mémoire parce que malgré tout on rencontre beaucoup de gens qui ont des besoins et des envies différentes qu'il faut aussi traiter de manière différente à chaque fois, avec qui on compose de manière différente. Donc il faut un peu se souvenir de tout le monde, il faut se souvenir des prénoms parce qu'eux ils se souviennent de nous parce qu'on n'est pas beaucoup de référents sur les clubs mais nous il faut qu'on se souvienne d'eux aussi parce que c'est la moindre des choses. donc il y a la mémoire mais je pense que Le plus important aussi, c'est surtout d'aimer les gens. Je pense que c'est vraiment la chose qu'on demande. Il y a un caractère social qui est hyper important parce qu'il faut aimer quand même parler aux gens. discuter, vouloir leur apporter des choses. Donc il y a vraiment cette dimension d'aimer prendre du temps pour les autres. Je ne sais pas si c'est une qualité ou en tout cas un trait de caractère, mais je pense qu'il faut vraiment ça parce que ça prend du temps, parce que forcément, les entrepreneurs demandent du temps aussi, en ont besoin. Et puis il faut être à l'écoute parce qu'il faut savoir proposer des formats, il faut savoir se renouveler. Puis après, il faut un petit peu d'énergie et un bon coup de fourchette. Mais ça, c'est d'autres qualités. mais euh c'est Mais ouais, je pense que la qualité qui prime, c'est vraiment qu'il faut bien aimer les gens. Si on est associable, ça sert à rien d'être animateur ou de faire ce métier. Ça c'est sûr, mais c'est ce qui est passionnant aussi dans ce travail. J'ai fait un réseau d'affaires, un fameux réseau d'affaires, un de ceux que j'ai maintenant aujourd'hui, que j'ai fait avec l'animatrice qui l'avait à ce moment-là. Et je suis arrivée, et en plus de ça, moi je venais d'arriver aussi à Châteauroux, c'était pas ma ville. J'avais jamais fait ce genre de métier aussi, parce qu'avant j'étais chargée de communication dans mon bureau. Alors oui, si, j'organisais des salons, mais j'avais pas l'habitude. Je me souviens qu'il y a plein de membres qui se font la bise, qui se connaissent, avec l'animatrice hyper à l'aise, qui cadre le groupe et tout ça. Et je me suis dit, oulala, il faut une posture quand même pour faire ça, et ça va être dur. Et puis même d'aller vers les gens naturellement pour leur parler alors qu'ils n'ont pas spécialement sollicité notre présence. Puisque là, je venais juste en observatrice. Mais sinon, on est toute seule avec son verre et on regarde les gens se parler. Donc, c'est un exercice qui est compliqué aussi, je pense, pour les entrepreneurs quand ils viennent découvrir ce genre de format d'ailleurs. Et l'animateur doit être là aussi pour prendre les gens qui sont tout seuls et les présenter à d'autres gens, etc. Donc, c'est pour ça qu'il faut aussi une bonne mémoire pour savoir qui est sociable, qui est plus facile dans l'échange, des choses comme ça. Je me souviens que je me suis dit que ça va être sport quand même et qu'il va falloir sortir de sa zone de confort et aller parler aux gens. Même quand on n'est pas timide, aller se parler, se présenter et imposer sa présence aux gens, c'est compliqué quand même au début. Je crois que je me souviens, c'était le réseau d'affaires Châteauroux 4, ça se passait un mardi, c'était au restaurant Les Trois V. Et je crois que le focus, c'était un focus d'un des membres et c'était ma province. C'était, comme la vie d'Atsi, de ma province qui présentait son histoire, son parcours et son activité. Et donc du coup, une immersion dans le Berry directement. Tout ce qui est pitch, storytelling, toutes ces choses-là, souvent c'est quand même assez apprécié, tout ce qui va être... Des sujets qui sont importants pour eux, mais qui sont aussi quand même sympas à écouter. Ça marche bien, tout ce qui va être comment on raconte son entreprise, des idées de com' un petit peu innovantes, des choses comme ça. Et surtout aussi le pitch, la prise de parole, la démarche commerciale, c'est des choses qui sont recherchées. Et puis après, tout ce qui va être un peu développement personnel aussi, je pense que c'est des sujets qui changent un peu de temps en temps et qu'ils aiment bien. Et puis tout ce qui va être aussi rencontres avec les nouveaux entrepreneurs, les choses comme ça. Ça marche bien parce qu'eux, ils veulent surtout quand même voir du monde, voir un peu ce qui se passe et voir que ça bouge. Donc ça, c'est quand même des formats qui marchent bien. Il y a aussi des personnalités qui ressortent, qui sont des têtes un peu du club, qu'on revoit beaucoup et qui, forcément, nous, sont un peu des alliés, qui nous aident beaucoup au quotidien. Et ça, on les remercie et on les aime beaucoup. Et puis en plus... On voit que l'énergie qu'ils mettent aussi à développer leur entreprise et puis à développer celle des autres, qui est hyper intéressante, donc forcément, toutes ces personnes-là, on s'en souvient beaucoup. Puis après, c'est des affinités aussi par personne et puis par projet en fonction de nous, ce qu'on aime bien. Moi, par exemple, j'adore quand les membres de la maison d'édition La Bouinotte viennent parce que c'est des secteurs d'activité que j'adore, parce que j'adore la lecture, parce qu'en plus, ils font des romans policiers, donc j'aime bien. Donc forcément, c'est des personnes, quand je les ai, je suis trop contente. Le monde du spectacle, c'est quelque chose qui m'intéresse. Mais après, ça reste hyper personnel. Les agences de com, quand elles viennent, je trouve ça génial. Il y a des entrepreneurs avec des idées ou alors des personnalités qui sont... Des personnes qui sont hyper jeunes et qui portent un projet quand même hyper ambitieux, c'est hyper impressionnant. Ou des personnes qui sont plus vieilles et qui vont venir se lancer comme ça dans le monde de l'entrepreneuriat, c'est pareil, c'est des gens qu'on a envie d'aider, qu'on a envie de prendre par la main. Il y a des gens qui sont super timides, donc c'est aussi hyper touchant de venir les aider. Puis en plus, ils sont super timides, mais par exemple, dès qu'ils vont prendre la parole, ça va. Ou alors, on voit ce qu'ils développent et ce qu'ils font de leur entreprise, on se dit comment c'est possible qu'ils soient si timides et que ça marche aussi bien. Il y a vraiment de tout et ce serait dur de dire qu'il y en a un qui m'a marqué le plus parce qu'ils m'ont tous marqué, en tout cas pour... Pour ceux que je connais mieux, qui m'ont tous marquée à un moment plus que d'autres, et puis à des périodes plus que d'autres aussi, forcément. Je découvre aussi le manque de l'entrepreneuriat, vraiment, que depuis un an et demi, donc je vois plein de choses, et je trouve qu'aussi être derrière et aider ces gens-là, je crois que je préfère, je crois que je ne suis pas assez courageuse pour être entrepreneuse, mais en tout cas je respecte et je trouve ça génial. Mais j'avoue que non, ce n'est pas quelque chose qui me donne envie. Mais comme quand je vois un spectacle, j'adore les spectacles, mais je n'ai pas envie d'être sur le devant de la scène, c'est pareil. C'est sûr. Des belles histoires d'amitié. Il y a des groupes d'ailleurs qui restent depuis des années et qui sont très amis. Mais même nous, on lit des amitiés avec des personnes, on fait la part des choses lors d'événements, mais on est toujours aussi content de les retrouver en dehors. Il y a des magnifiques partenariats, des personnes qui avaient des métiers dans le même thème et qui ont su s'épauler en disant par exemple, moi je fais des vêtements, moi je fais du conseil en images, moi je fais de l'événementiel, travaillons ensemble sur quelque chose, en faisant des partenariats. Il y a des choses comme ça qui peuvent se créer, qui ne sont pas évidentes dans les métiers au début et qui finalement marchent hyper bien sans qu'on y ait pensé. Et je trouve que c'est ça qui est beau. Et puis après, oui, on voit qu'il y a de l'amitié entre certaines personnes qui sont hyper copines en dehors, hyper copains en dehors, des gens qui sont hyper contents de se retrouver tous les mois aussi. Pour la BGE, j'ai un premier mot qui me vient, c'est du sens. C'est une structure qui propose plein de choses, qui est là pour aider, qui a envie de se positionner sur beaucoup de dispositifs, beaucoup de marchés pour aider les personnes et je trouve que tous nos métiers ont du sens. Et je trouve que c'est ça le moteur d'un métier. Si on ne comprend pas le sens de son métier, on ne comprend pas. Et du coup, je pense que la BGE, c'est un apporteur de sens. Passionnant, en vrai, ouais, t'es génial, c'est jamais pareil, c'est passionnant. Socialement, comme compétence pure, c'est trop bien. Avec plaisir !