Speaker #0Nouveau départ, c'est le podcast de BGE Béritouraine qui donne la parole aux femmes et aux hommes qui accompagnent chaque jour les créateurs ou les repreneurs d'entreprises sur des nouveaux chemins de succès. On évoque les parcours de l'entrepreneuriat, son développement sur le territoire, les opportunités de recrutement, sans oublier la force des réseaux. Écoutez les expériences, les conseils et les anecdotes de ces acteurs, ils activent toutes les réussites. Alors, attention au départ ! Bonjour, je suis Eric Massé, le directeur de la BGE Berry-Tourennes. Quand on a monté l'initiative Indre et France Active Indre dans les années 2000, 1990-2000, on s'est basé sur comment financer un entrepreneur, comment appuyer financièrement un entrepreneur. Le temps passant, on a dévié sur l'accompagnement en amont, c'est-à-dire comment construire un projet. Et quand il s'est agi de développer le réseau des BGE, moi ça m'a fait tilt, je me suis dit mais si, il faut qu'on puisse aussi accompagner les gens pour savoir pourquoi on les finance. Parce que quand on aide des gens à créer un projet d'entreprise, on arrive à les financer plus facilement puisqu'on connaît beaucoup de paramètres, on les a aidés à bien comprendre l'univers, le projet, le développement, à être autonome dans la construction de leur business plan. Et donc c'est comme ça qu'on a commencé à se dire on pourrait mettre une BGE dans l'Inde et il n'y en avait pas. En fait, il y avait le seul département en région Sande, je pense, où il n'y avait pas de BGE, c'était l'Indre. Et donc, en fait, j'ai fait venir Marc Méry ici, qui était le patron des BGE. C'était un lettré qui s'intéressait à Georges Sande. Et donc, on a parlé de beaucoup de choses, beaucoup de choses qui étaient liées à la littérature, à l'histoire, etc. Et après, un peu de métier. Et quand on a eu fini notre après-midi de contact, je l'ai ramené au train avec un livre sur la Maraudiable. Et il m'a dit, c'est bien, vous porterez la BGE de l'Indre. Les débuts c'est intéressant parce que le conseil d'administration d'initiative Indre France Active Indre vante à l'unanimité la création de la BGE. Et puis après il faut tout mettre en oeuvre. Comme beaucoup d'autres projets d'entreprise, il n'y a pas de moyens. La BGE naît avec le transfert d'un programme qui est le DLA et qui ailleurs était porté souvent par des BGE. Donc on a transféré le premier programme et puis après on a commencé à répondre à des appels à projets liés à l'accompagnement des personnes dans le cadre du métier des BGE. On a travaillé aussi la montée en compétence des conseillers, on a embauché des nouveaux conseillers, où on a transféré des personnes d'Initiative Linde qui étaient plutôt portées sur l'accompagnement que sur le financement. Et on a créé une petite équipe de départ et la BGU de l'Indre, elle est née en août 2007, elle a eu une petite croissance en 2008, en 2009, et puis à partir de 2009, les choses se sont vraiment développées avec des appels à projets, des appels d'offres, un positionnement territorial plus fort. Et à partir de 2009, on a commencé à collaborer avec la BGE du Cher, par échange de procédés, échange de savoirs, discussions diverses, et on a fait une petite équipe, Indre Cher, pour se motiver les uns les autres dans le développement de nos projets. On a mis trois ans, d'abord parce qu'on avait déjà du travail, et puis parce qu'implanter un système totalement nouveau, économique totalement nouveau, sur un territoire, c'est pas toujours très simple. L'entrepreneuriat pour tous, c'est-à-dire que l'ABGE accompagne tous les entrepreneurs, quel que soit leur âge, leur qualification, leur richesse, leur tournure. Et surtout, elle a développé une méthode qui est liée sur les compétences de la personne. C'est-à-dire qu'au lieu de s'intéresser au business plan, on s'intéresse d'abord à l'individu. Dès la phase d'émergence, on a tout un tas d'outils, aujourd'hui, de formation, de référencement, d'analyse, d'appui, nationaux, faits par le réseau. On a une vraie école de formation aujourd'hui interne au BGE, qu'on n'avait pas en 2009 mais qui existe maintenant depuis plusieurs années, qui permet d'intégrer des conseillers dans un processus qui est plutôt tourné vers la personne, l'appui à la personne et l'aide à la personne que sur le projet par lui-même. Et parce qu'on a su accompagner, on sait accompagner une personne pour elle-même en fait, on va l'amener à faire grandir à son rythme et pour elle-même son projet. En fait, on a beaucoup d'outils qui permettent... Plutôt une approche humaine. On commence par s'intéresser à la personne et à ses capacités de portage de son projet, de ce qui lui manque. En fait, on met des outils à disposition, les porteurs de projet vont chercher les outils, essayent de se les approprier, parce qu'on a un bureau virtuel qui permet un accès permanent à des sources d'informations. À chaque fois qu'il y a un porteur de projet qui est dans une phase de constitution, on lui ouvre un bureau virtuel. C'est un espace personnel dans lequel il y a énormément d'informations, de toutes sortes. accès à des partenaires, à un réseau. Et l'accès est permanent, gratuit et permanent. Et donc le pic d'activité et de fréquentation de ce bureau virtuel, c'est à une heure du matin, parce que les personnes travaillent leur projet quand elles ont le temps, elles y pensent, ça les travaille, donc elles se connectent. Et là, elles ont accès à énormément d'informations, elles sont en général ces informations simplifiées, donc au début, pour que l'accès soit facilité. Voilà, et le rôle du conseiller, c'est d'aider les personnes à s'inscrire dans cette démarche, progressivement dans cette démarche. de curiosité, de réception et d'accueil de l'information, et puis ensuite de les aider à poursuivre cette curiosité pour que les gens, les porteurs de projets s'approprient les choses. On est opérateur territorial et donc on répond à des appels à projets. Par exemple, nous sommes l'opérateur de France Travail. Pour les personnes sur l'Inde de Chéri-Landry-Loire, nous sommes l'opérateur de France Travail sur un programme qui s'appelle Active Care, c'est-à-dire qu'on reçoit des personnes qui ont en projet une création d'entreprise. Et on les aide à se positionner. Nous, on ne qualifie pas le projet. On les aide à se positionner pour qu'eux se disent « oui, je vais poursuivre » ou « non, je ne vais pas poursuivre mon projet d'entreprise » . Il y a France Travail, et puis il y a aussi le département, la région, des opérateurs privés. On travaille beaucoup avec la Banque publique d'investissement. Les communautés de communes, on reçoit beaucoup de porteurs de projets envoyés par des élus territoriaux, il y a le bouche à oreille, donc on reçoit beaucoup de personnes. Nous n'avons pas de boule de cristal. Et ce qu'on a appris au fil des années dans les comités d'engagement d'initiatives, c'est qu'on voit un dossier, et puis la personne fait totalement la différence. Parfois, c'est l'énergie, la curiosité. Moi j'ai un souvenir qui me revient toujours, c'est une personne qui était salariée, qui a mis 4 ans à monter son projet d'entreprise, et aujourd'hui il a une très très belle entreprise qui se développe tous les jours, il a mûri son projet. Alors je ne dis pas que ce n'est pas une notion, ce n'est pas un exemple, c'est un exemple pour dire qu'il faut prendre du temps, tout ça. Il y a une aventure de curiosité, de positionnement, de remise en question, de développement d'idées, de complément d'informations qui petit à petit a imprégné cette personne et qui du coup l'a rendue... propriétaire de son idée moteur d'impulsion et dans une zone de risque qui était bien bien limitée parce qu'en fait nous on est surtout des limitateurs de risque c'est-à-dire on aide des gens à entreprendre en sécurité. Pour qu'ils soient en sécurité il faut qu'ils conçoivent totalement leurs projets donc nous on les aide à le concevoir dans tous les aspects pour les mettre à l'abri de choses qui ne sont pas forcément réglementaires, statutaires mais nous on ne peut pas être... Les positionneurs de quelqu'un, c'est la personne qui, parce qu'on lui apporte des informations, va se dire « oui, moi je peux le faire, oui je sais le faire, oui j'ai ça à acquérir » . Et notre richesse, c'est ça, c'est d'apporter tout ce qu'il faut à quelqu'un pour qu'il puisse être autonome. Se tromper la taille des moyens dont on a besoin pour se lancer, une sous-estimation des moyens financiers. Une sous-estimation des aspects réglementaires, une sous-estimation de la concurrence immédiate et des moyens de cette concurrence immédiate, même si souvent ça motive davantage qu'autre chose, mais en fait il y a quand même des facteurs territoriaux. Est-ce que je suis dans le bon sens de la circulation ? Est-ce qu'on va me voir ? Des trucs dans tout genre. Et il y a une forme de curiosité toute azimut. Est-ce que finalement quand je vais proposer un produit à quelqu'un, mon timing de livraison c'est le bon ? Il y a énormément de choses. Au début, j'étais tout seul, tout seul, et du coup je rencontrais tout le monde. Je faisais à la fois le développement et à la fois le métier de conseiller, je faisais absolument tout. Une fois j'ai reçu un monsieur, que j'ai gardé longtemps comme ami, un dimanche matin dans mon bureau, parce que je n'avais pas eu le temps de le voir avant et ça m'ennuyait de ne pas lui avoir donné de réponse. Et puis je voulais bien faire, et donc je lui ai dit, si vous voulez dimanche matin je suis dans mon bureau, venez me voir. Et donc il vient me voir. Il se croit qu'il s'en rappellera toute sa vie parce qu'à un moment, j'ai dit « Oh mince, j'ai mis un rôti au four et il est déjà midi » . Et donc, c'est une histoire vraie. Et donc, je pense pendant 15 ans qu'il a été entrepreneur, raconté à tout le monde cette histoire de dimanche matin avec un rôti. Mais en fait, je faisais tout. Je faisais l'administration, la gestion administrative, la montée en charge d'initiatives et puis l'ensemble des dossiers. Ça ne m'a pas pesé parce que j'étais et je suis toujours très engagé dans ce projet que nous portons. J'étais convaincu que c'était important et qu'il fallait le faire et puis j'y prenais énormément de plaisir. Et je crois que ce qui m'a motivé le plus dans le montage de ce que nous avons fait, c'est l'initiative, après ABGE, c'est la richesse des gens que j'ai rencontrés. J'ai une forme de curiosité et plus je rencontrais des gens, plus ça gommait les aspects rébarbatifs. d'un travail. Mais moi, plus je rencontrais des entrepreneurs, plus il y avait une énergie qui circulait et plus ça me motivait. Et puis on a eu la chance aussi d'être accompagné par des grands chefs d'entreprise ou des chefs d'entreprise historiques qui ont parié sur la vie d'Initiative Indre et puis ensuite de l'ABG en disant « oui, c'est important » et qui ont été des socles fondateurs et qui apportaient eux aussi une énergie. Les pôles se sont construits au fur et à mesure des besoins ou des demandes. On est parti de l'accompagnement d'entrepreneurs, et puis après j'avais des salariés qui disaient « mais c'est bizarre, on accompagne des gens dans la création d'activités, mais quand ils ne créent pas, moi j'aimerais bien continuer à pouvoir les aider dans la reconversion professionnelle, dans leur reprise d'une activité salariée, etc. » Donc là est né le pôle mobilité professionnelle qu'on gère aujourd'hui. Après on a eu, avec la loi NOTRe, on a eu la demande d'élus. locaux, de présidents de communautés de communes, de partager un poste, c'est-à-dire de dire « Attends, vos outils et les nôtres, c'est important, on va simplifier les choses pour que la personne à la rencontre bénéficie localement d'outils. » Donc ça, c'était le pôle développement territorial. Après, on a eu la formation professionnelle. Petit à petit, au fil des besoins et des commandes aussi. Parce qu'on a eu beaucoup, et là encore, on a des commandes. On nous dit... Répondez, vous devez répondre, il faut répondre. Je passe beaucoup de temps sur les différents pôles. Je pense que ça se répartit dans l'année, suivant les opportunités, suivant les marchés auxquels on doit répondre, suivant les animations. Je délègue beaucoup, j'ai des gens qui sont là depuis très longtemps et qui font un travail remarquable. Donc je suis moins les personnes que je connais très bien et avec qui les rapports sont faciles. On parle le même langage, on sait exactement où on va ensemble. Et il y a une confiance absolue aujourd'hui qui existe sur le développement. Et d'ailleurs, là, on a emporté en quelques semaines sept marchés nouveaux dans un cœur de métier où moi j'ai fait mon travail, mais j'ai suivi les réponses, j'ai appuyé les réponses, mais je ne les ai pas faites. Donc il y a une confiance absolue dans une motivation. Et puis il y a des choses nouvelles. Même si je fais du suivi de mission, je fais du suivi d'action, je gère le management. Moi je suis très très porté sur le développement. Je m'éclate quand on met des choses nouvelles en place. Je m'éclate quand je vais vendre des trucs aux gens que je ne connais, que je rencontre des gens nouveaux et que je vais vendre des trucs à des gens nouveaux. Ça, ça m'intéresse. Il y a plusieurs choses qui ont changé dans mon environnement. Le premier. C'est la montée des nouvelles technologies qui a bouleversé le paysage économique. Aujourd'hui, on vend en ligne, on consomme en ligne, les métiers changent, la nature de la communication change. On s'intéresse davantage, le monde s'intéresse davantage à l'économie. Les territoires, les élus, on communique davantage sur l'économie, on travaille beaucoup plus sur l'économie qu'il y a un certain nombre d'années. C'était réservé à quelques-uns et là c'est beaucoup plus généralisé. Il y a aussi la constitution d'outils spécialisés, c'est-à-dire qu'on a créé des politiques larges. avec France Travail, mais aussi avec la BPI et d'autres partenaires comme la Région Centre. La Région Centre, depuis la loi NOTRe, elle est chef de file, c'est clair, en matière économique. La loi NOTRe, elle a bouleversé aussi un certain nombre de choses. Et on travaille beaucoup plus en lien avec des partenaires, des territoires identifiés, sectorisés. Et puis les réseaux, nos réseaux d'appui, ils se sont énormément professionnalisés. C'est-à-dire que quand, en 2007, on a commencé la BGE, je n'avais pas un campus BGE avec des tas de métiers. On accueille un conseiller. Aujourd'hui, il y a une formation. technique locale mais il y a aussi une formation en ligne, il y a aussi des outils, il y a aussi des campus, il y a aussi des universités. Voilà, un conseiller BGE, il peut apprendre un métier. Aujourd'hui, beaucoup plus facilement, il faut du temps pour former un conseiller, surtout les métiers pour accueillir les gens, pour comprendre les problématiques, pour aider, pour aider quelqu'un, il faut du temps en fait. Eh bien, quand on a commencé, nous n'avions pas tous ces réseaux, enfin tous ces réseaux virtuels qui permettent de chez toi de te former des heures entières, en asynchrone. Avec des trucs qualifiés, c'est une richesse absolue. On a constitué des réseaux d'affaires. Quand on a commencé ce travail, il y avait 4 réseaux de financement, 5 réseaux d'accompagnement. Aujourd'hui, dans Capcrea, qui est monté par la VP, tu as 24 réseaux d'accompagnement. Donc déjà, c'est les gens qui se sont dit, tiens, on va accompagner des entrepreneurs. Et puis, nous, on a aussi monté des réseaux d'affaires. J'avais un petit réseau d'entrepreneurs qui soutenaient l'initiative. Aujourd'hui, il y a 700 membres à peu près sur Amberi Touraine qui sont dans les réseaux d'affaires de la BGE. Et ça fait partie de notre travail, c'est-à-dire rompre l'isolement de l'entrepreneur, proposer des contacts dans le territoire. Faire en sorte que les gens trouvent des appuis en proximité. Et ça aussi, cette montée des réseaux, elle a été énorme. Alors il y a des réseaux tout le temps qui se créent, qui viennent, qui repartent, qui arrivent. Nous, on est opérateur de réseaux depuis les années 2000. 2004, création du club des entrepreneurs. Aujourd'hui, il y a à peu près 700 personnes qui se retrouvent toutes les semaines, dans différents endroits, dans différentes actions, animées par nous. Il y en a un qui m'a beaucoup amusé, c'est l'auberge de Tenay. C'était mon premier dossier de restaurateur. J'avais rencontré Pascal Orin quand il était maître d'hôtel à Paris. Et du coup, je le revois arriver un matin dans mon bureau. Je me dis, qu'est-ce qu'il fait là celui-là ? Je ne pouvais pas l'oublier parce qu'il avait un kilt et qu'il se promenait dans le restaurant en kilt. Donc j'avais remarqué, en plus c'était un personnage qu'on remarquait, et qui était dans son rôle d'animateur dans ce restaurant. Il faisait ça très professionnel. Et donc, je le vois arriver dans mon bureau et je me dis, mais qu'est-ce qu'il fait là ? Et en fait, il reprenait une auberge avec son épouse à Thonay. Et pendant longtemps, d'abord, c'était des gens remarquables. J'ai beaucoup aimé ces gens. Ils ont fait une très belle auberge à Thonay. C'était un cas à part. Et puis après, j'en ai eu d'autres, des projets qui m'ont marqué, des personnes qui partaient avec pas grand-chose, enfin qui partaient avec une idée et qui en faisaient quelque chose de formidable. Longtemps, on a vu passer le créateur de Rénov' de chevaux. dans nos locaux. Son engagement, sa capacité de développement, son idée qu'il a poussée, Muri, c'est remarquable, en fait. Et des gens comme cette personne, il y en a beaucoup, beaucoup, beaucoup. Souvent, on nous dit, oui, il y a beaucoup de gens qui entreprennent, mais même s'il y a beaucoup de gens qui entreprennent et qui essayent, et que sur tous ceux qui essayent, il y en a, mettons, 20% ou 30% qui réussissent, ils entraînent les autres, parce qu'ils créent de l'économie, ils créent des emplois, ils poussent des projets, ils poussent de la passion, ils poussent des envies. Et puis... Et puis ça illumine quand même. Nous, nous sommes organisés en pôle métier. C'est-à-dire que par exemple, la directrice du pôle entrepreneuriat, elle gère les équipes liées au programme entrepreneuriaux de l'Inde du Cher et de l'Inde des Loires. Elle a des responsables départementaux qui animent de la même façon les mêmes équipes. Parce que... Il n'y a pas de raison qu'on n'ait pas la même forme d'accueil, la même professionnalisation, le même travail à Tours, à Châteauroux et à Bruges. C'est plutôt l'inverse. Nous, on cherche à être parfaitement équipés partout pour rendre le même niveau de service. Et c'est même très important pour nous d'avoir des conseillers formés qui appartiennent et qui vivent dans une même dynamique. Il faut parce qu'on a des marchés régionaux ou nationaux et donc on garantit la même qualité de service partout. Alors parfois avec plus de facilité parce qu'on a plus de locaux, on est plus en proximité, c'est très important dans notre métier de la proximité. Ça permet d'accueillir des gens plus facilement et surtout de mieux t'en tourner des économies et des échelles territoriales. Extraordinaire de possibilités d'outils et de développement, extraordinaire d'engagement, extraordinaire de richesse humaine, extraordinaire de rencontres, Extraordinaires d'opportunités.