Description
La Région Nouvelle-Aquitaine propose une série de podcasts autour de ses compétences.
Plus d'infos : https://nouvelle-aquitaine.fr
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Description
La Région Nouvelle-Aquitaine propose une série de podcasts autour de ses compétences.
Plus d'infos : https://nouvelle-aquitaine.fr
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
58 episodes
6 playlists


Qu’est-ce qu’un territoire ? Pourquoi choisit-on de s’y installer ? En quoi les lieux que l'on occupe nous définissent-ils ? En quoi influent-ils sur ce que nous sommes ? C’est ce que la nouvelle série de podcast "Territoire(s)" initiée par la Région Nouvelle-Aquitaine, propose d’explorer. A travers 13 épisodes, dans chaque département de Nouvelle-Aquitaine, mais aussi en Béarn et au Pays basque, l’équipe de Podcastine a organisé la rencontre de 2 néo-aquitains. L’un d’eux y a toujours vécu, le deuxième y est arrivé plus récemment. L’occasion de les faire dialoguer sur la vision qu’ils portent sur la région la plus vaste de France et sur les liens étroits entre identité et territoires. Pour ce septième épisode, direction le Lot-et-Garonne, à la rencontre de Frédéric et Paulette. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
20min | Published on January 20, 2022


Qu’est-ce qu’un territoire ? Pourquoi choisit-on de s’y installer ? En quoi les lieux que l'on occupe nous définissent-ils ? En quoi influent-ils sur ce que nous sommes ? C’est ce que la nouvelle série de podcast "Territoire(s)" initiée par la Région Nouvelle-Aquitaine, propose d’explorer. A travers 13 épisodes, dans chaque département de Nouvelle-Aquitaine, mais aussi en Béarn et au Pays basque, l’équipe de Podcastine a organisé la rencontre de 2 néo-aquitains. L’un d’eux y a toujours vécu, le deuxième y est arrivé plus récemment. L’occasion de les faire dialoguer sur la vision qu’ils portent sur la région la plus vaste de France et sur les liens étroits entre identité et territoires. Pour ce sixième épisode, direction les Landes à la rencontre de Ludivine et Jean-Jacques. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
19min | Published on January 4, 2022


Qu’est-ce qu’un territoire ? Pourquoi choisit-on de s’y installer ? En quoi les lieux que l'on occupe nous définissent-ils ? En quoi influent-ils sur ce que nous sommes ? C’est ce que la nouvelle série de podcast "Territoire(s)" initiée par la Région Nouvelle-Aquitaine, propose d’explorer. A travers 13 épisodes, dans chaque département de Nouvelle-Aquitaine, mais aussi en Béarn et au Pays basque, l’équipe de Podcastine a organisé la rencontre de 2 néo-aquitains. L’un d’eux y a toujours vécu, le deuxième y est arrivé plus récemment. L’occasion de les faire dialoguer sur la vision qu’ils portent sur la région la plus vaste de France et sur les liens étroits entre identité et territoires. Pour ce cinquième épisode, direction la Dordogne, à la rencontre d’Aurélie et Hugo. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
21min | Published on December 10, 2021


Qu’est-ce qu’un territoire ? Pourquoi choisit-on de s’y installer ? En quoi les lieux que l'on occupe nous définissent-ils ? En quoi influent-ils sur ce que nous sommes ? C’est ce que la nouvelle série de podcast "Territoire(s)" initiée par la Région Nouvelle-Aquitaine, propose d’explorer. A travers 13 épisodes, dans chaque département de Nouvelle-Aquitaine, mais aussi en Béarn et au Pays basque, l’équipe de Podcastine a organisé la rencontre de 2 néo-aquitains. L’un d’eux y a toujours vécu, le deuxième y est arrivé plus récemment. L’occasion de les faire dialoguer sur la vision qu’ils portent sur la région la plus vaste de France et sur les liens étroits entre identité et territoires. Pour ce quatrième épisode, direction le Pays basque, à la rencontre d’Anne-Marie et Jean-Yves. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
19min | Published on November 23, 2021


Après ce tour d’horizon des impacts environnementaux, sociaux et sociétaux du numérique, cet épisode nous emmène dans un monde imaginaire : le plus bel Internet du monde. Dans ce monde imaginaire, un numérique plus positif serait alors un numérique respectueux de la planète et des ressources qu’elle offre. Les équipements numériques seraient produits en plus petites quantités, dans des conditions de travail éthiques et équitables, dans le respect de l’écosystème et des populations locales. Les équipements numériques seraient également réellement durables et réparables. Ainsi la durée de vie de nos équipements numériques s’allongerait drastiquement, limitant ainsi la fabrication de nouveaux équipements. L’achat de produits reconditionnés deviendrait également la norme favorisant une économie circulaire. Les applications et sites web seraient également mieux conçus : accessibles à toutes et à tous, simples au niveau des interfaces et légers pour être utilisés par le plus d’appareils possibles sans avoir besoin du modèle dernier cri. Il n’y aurait alors plus de problème pour accéder à ses applications favorites même avec un portable peu puissant qui date de plus 2 ans. Dans la même veine, un numérique plus positif pourrait consommer moins de données pour plus de “privacy” et une consommation d’énergie réduite. Les réseaux sociaux seraient aussi un véritable espace de liberté d’expression sans que l’on ait à craindre le regard de l’autre, sans crainte d’être moqué ou rejeté. Un numérique plus positif nous donnerait la liberté de s’informer sans risquer de se désinformer. Ce serait aussi un numérique qui laisse la place à la déconnexion sans peur de louper une information importante ou une notification. Cela nous enlèverait le sentiment de surmenage et d’anxiété. Et la planète serait soulagée aussi grâce à une consommation énergétique plus raisonnée. Le plus bel Internet du monde, ce serait un espace en ligne et plus globalement un numérique profitable à toutes les femmes et les hommes, et soutenable pour la planète. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
2min | Published on November 22, 2021


Internet, depuis sa création, a toujours été mu par l’ambition d’être un espace de liberté, d’expression, d’apprentissage, de divertissement et d’inclusion. Au fil de son expansion, des externalités négatives sont apparues, souvent reflet de nos sociétés dans le monde physique. Le harcèlement en ligne, ou cyber-harcèlement, en fait partie. Ce web plus accessible, qui facilite le partage de contenus tout en nous détachant de nos paroles, a malheureusement ouvert la voie à des attitudes négatives. Critiques, insultes, moqueries ou menaces qui constituent le socle du harcèlement sont depuis des années retranscrites sur le web. Les réseaux sociaux en sont un lieu de propagation idéal. En 2020, un internaute français sur quatre a été victime ou témoin de cyber-harcèlement[1] (https://anchor.fm/dashboard/episode/new/publish#_ftn1). Le phénomène est de plus en plus reconnu et sanctionné. Cependant, la structure des réseaux sociaux ne l’endigue pas : mise en avant de certains contenus malveillants, manque de modération… Et à ces éléments s’ajoute le débat de la part de l’anonymat en ligne dans le cyber-harcèlement. À double tranchant, le pseudo-anonymat sur le web peut être autant protecteur de libertés que porteur de comportements punissables. Celui-ci est autant utilisé à bon escient par les lanceurs d’alertes ou les victimes d’harcèlement qu’à mauvais escient par les harceleurs. Nos libertés fondamentales sont aussi maintenues par cet anonymat, le proscrire reviendrait à les restreindre. La haine en ligne constitue l’extension de celle présente hors ligne dans nos sociétés. Le combat contre elle doit donc aussi bien se faire sur le web qu’en dehors. Des gestes simples en tant que témoin ou victime peuvent limiter la prolifération de harcèlement. Le signalement, blocage, restriction de comptes et de contenus sont possibles sur les réseaux sociaux. Dans tous cas de harcèlement, parler avec un adulte proche est un début de solution pour agir. [1] (https://anchor.fm/dashboard/episode/new/publish#_ftnref1) https://news.microsoft.com/fr-fr/2021/02/09/safer-internet-day-le-civisme-en-ligne-sameliore-de-3-points-dans-le-monde/ Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
2min | Published on November 15, 2021


Dans les rouages de nombreux services numériques, l’intelligence artificielle et les algorithmes y sont reine et roi. Quasi-omniprésents dans nos moteurs de recherches, cartographie en ligne ou réseaux sociaux, pour ne citer que les plus connus, ils sont censés améliorer la pertinence de leur action. Cependant, ces technologies restent à améliorer sur de nombreux aspects. Encore en développement, elles nécessitent pour fonctionner une quantité astronomique de données : les nôtres. Afin de comprendre et d’exécuter les instructions, les algorithmes ont besoin de matière. Celle-ci provient de nos usages tracés sur le web par les plateformes, utilisées ou revendues pour ce type de processus. Si c’est gratuit, c’est vous le produit, dit-on souvent. Les externalités négatives ne s’arrêtent malheureusement pas là. Directement liées à la diffusion des informations sur Internet, les algorithmes se retrouvent à favoriser des contenus très partagés, notamment des fake news. Cette participation à la prolifération de mauvaises informations peut mettre à mal la communication et la confiance au sein de nos sociétés, creusant les clivages entre groupes d’individus. Un autre problème ressort dans la conception de l’intelligence artificielle : la reproduction de biais et de discrimination. Le fonctionnement reposant encore sur des données produites par des individus, ceux-ci sont en partie porteurs de stéréotypes. Pourtant argument de vente à la base pour ces technologies, celles-ci ne peuvent plus être décrites comme neutres. Les résultats des moteurs de recherche participent à faire de la discrimination de genre, d’ethnie ou encore de religion. Au travers les différents problèmes évoqués, une partie du pouvoir reste entre les mains des concepteurs des services numériques et de ces technologies. Cependant, des pistes de solution sont accessibles pour les utilisateurs. C’est ce que nous tentons d’aborder dans ce podcast. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
2min | Published on November 8, 2021


Le sujet des fake news s’est vu exacerbé avec l’expansion des services numériques et principalement des réseaux sociaux. Phénomène pourtant immiscé dans nos sociétés depuis bien des années, celui-ci s’est décuplé en parallèle d’un partage de contenu de plus en plus facile et rapide. Malheureusement, les réseaux sociaux et leurs algorithmes nourrissent le problème. La création et le partage d’articles, médias ou publications en tous genres sont devenus si accessibles que des informations erronées, non vérifiées, issues de rumeurs, prolifèrent vite. Qu’elles soient volontairement ou inconsciemment relayées, ces fake news se déploient en exploitant nos émotions : c’est la peur, la tristesse ou encore la colère qui nous incitent le plus souvent à relayer un contenu. Les algorithmes des réseaux sociaux ne font qu'aggraver le processus, en mettant en avant dans nos fils d’actualité, les contenus les plus partagés, dont notamment ces fake news. À tel point que ces mauvaises informations circuleraient jusqu’à 6 fois plus vite que les vraies. Au-delà de causer stress ou colère, ces mauvaises informations forment des clivages au sein de nos sociétés, creusant de manière radicale l’écart entre différents bords politiques ou parties antagonistes d’un débat. Elles peuvent également fausser nos perceptions d’un événement donné. Elles sont un frein à la bonne communication et à la bienveillance entre tout un chacun, qu’il s’agisse d’une personne physique ou d’une personne morale. De nombreux débats s’ouvrent sur le sujet pour tenter de le réguler. Du côté des plateformes, le travail reste à faire pour améliorer la modération de ces contenus, en amont et en aval de leur publication. Côté utilisateur, il est possible d’agir à son échelle en adoptant des réflexes avant de partager une information. Entre sensibilisation et recommandations de gestes clé, ce podcast a pour volonté d’ouvrir le regard sur le phénomène. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
2min | Published on November 3, 2021


Qu’est-ce qu’un territoire ? Pourquoi choisit-on de s’y installer ? En quoi les lieux que l'on occupe nous définissent-ils ? En quoi influent-ils sur ce que nous sommes ? C’est ce que la nouvelle série de podcast "Territoire(s)" initiée par la Région Nouvelle-Aquitaine, propose d’explorer. A travers 13 épisodes, dans chaque département de Nouvelle-Aquitaine, mais aussi en Béarn et au Pays basque, l’équipe de Podcastine a organisé la rencontre de 2 néo-aquitains. L’un d’eux y a toujours vécu, le deuxième y est arrivé plus récemment. L’occasion de les faire dialoguer sur la vision qu’ils portent sur la région la plus vaste de France et sur les liens étroits entre identité et territoires. Pour ce troisième épisode, direction la Haute-Vienne, à la rencontre d'Anaïs et de Franck. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
19min | Published on October 27, 2021


Avec en moyenne 46 applications sur notre téléphone et des dizaines de notifications associées, nous croulons sous l’information. L’hyperconnexion et les problèmes qu’elle engendre est de plus en plus évoquée à travers le monde. Malgré leur aspect pratique ou divertissant, les applications de notre smartphone sont majoritairement conçues pour garder notre attention. Cette méthode est bénéfique aux plateformes mais pas à ses utilisateurs. Loin d’être l’ambition à la base, les services numériques, tels que les applications mobiles, peuvent cependant être la source de stress chez chacun d’entre nous. Nous sommes dans une ère numérique où le trop-plein d’informations nous impacte quotidiennement. Peur de passer à côté d’une information importante, surmenage, stress, anxiété, mauvais sommeil ou déprime guette tout détenteur d’un smartphone. Les notifications accentuent le phénomène en venant stimuler notre attention sans cesse dans la journée. Une simple distraction comme une notification demande en moyenne vingt minutes pour se reconcentrer par la suite. L’impact individuel de ces applications est parfois sous-estimé, c’est pourquoi nous devons communiquer pour en prendre conscience. Diminuer le nombre d’applications que nous avons est un premier pas vers une utilisation plus sereine de notre smartphone. De plus en plus d’applications ou de réglages de smartphones permettent un plus grand contrôle sur nos notifications. Il est devenu plus simple de choisir les canaux où l’on souhaite recevoir les notifications, voire de les bloquer. Notre rapport à notre smartphone et à son contenu est important au quotidien. Compte tenu de la place grandissante que prend nos appareils, il peut façonner de larges pans de notre vie. Reprendre le contrôle sur l’usage et l’accès à ses applications amène à une plus grande sérénité. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
2min | Published on October 19, 2021
Description
La Région Nouvelle-Aquitaine propose une série de podcasts autour de ses compétences.
Plus d'infos : https://nouvelle-aquitaine.fr
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
58 episodes
6 playlists


Qu’est-ce qu’un territoire ? Pourquoi choisit-on de s’y installer ? En quoi les lieux que l'on occupe nous définissent-ils ? En quoi influent-ils sur ce que nous sommes ? C’est ce que la nouvelle série de podcast "Territoire(s)" initiée par la Région Nouvelle-Aquitaine, propose d’explorer. A travers 13 épisodes, dans chaque département de Nouvelle-Aquitaine, mais aussi en Béarn et au Pays basque, l’équipe de Podcastine a organisé la rencontre de 2 néo-aquitains. L’un d’eux y a toujours vécu, le deuxième y est arrivé plus récemment. L’occasion de les faire dialoguer sur la vision qu’ils portent sur la région la plus vaste de France et sur les liens étroits entre identité et territoires. Pour ce septième épisode, direction le Lot-et-Garonne, à la rencontre de Frédéric et Paulette. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
20min | Published on January 20, 2022


Qu’est-ce qu’un territoire ? Pourquoi choisit-on de s’y installer ? En quoi les lieux que l'on occupe nous définissent-ils ? En quoi influent-ils sur ce que nous sommes ? C’est ce que la nouvelle série de podcast "Territoire(s)" initiée par la Région Nouvelle-Aquitaine, propose d’explorer. A travers 13 épisodes, dans chaque département de Nouvelle-Aquitaine, mais aussi en Béarn et au Pays basque, l’équipe de Podcastine a organisé la rencontre de 2 néo-aquitains. L’un d’eux y a toujours vécu, le deuxième y est arrivé plus récemment. L’occasion de les faire dialoguer sur la vision qu’ils portent sur la région la plus vaste de France et sur les liens étroits entre identité et territoires. Pour ce sixième épisode, direction les Landes à la rencontre de Ludivine et Jean-Jacques. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
19min | Published on January 4, 2022


Qu’est-ce qu’un territoire ? Pourquoi choisit-on de s’y installer ? En quoi les lieux que l'on occupe nous définissent-ils ? En quoi influent-ils sur ce que nous sommes ? C’est ce que la nouvelle série de podcast "Territoire(s)" initiée par la Région Nouvelle-Aquitaine, propose d’explorer. A travers 13 épisodes, dans chaque département de Nouvelle-Aquitaine, mais aussi en Béarn et au Pays basque, l’équipe de Podcastine a organisé la rencontre de 2 néo-aquitains. L’un d’eux y a toujours vécu, le deuxième y est arrivé plus récemment. L’occasion de les faire dialoguer sur la vision qu’ils portent sur la région la plus vaste de France et sur les liens étroits entre identité et territoires. Pour ce cinquième épisode, direction la Dordogne, à la rencontre d’Aurélie et Hugo. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
21min | Published on December 10, 2021


Qu’est-ce qu’un territoire ? Pourquoi choisit-on de s’y installer ? En quoi les lieux que l'on occupe nous définissent-ils ? En quoi influent-ils sur ce que nous sommes ? C’est ce que la nouvelle série de podcast "Territoire(s)" initiée par la Région Nouvelle-Aquitaine, propose d’explorer. A travers 13 épisodes, dans chaque département de Nouvelle-Aquitaine, mais aussi en Béarn et au Pays basque, l’équipe de Podcastine a organisé la rencontre de 2 néo-aquitains. L’un d’eux y a toujours vécu, le deuxième y est arrivé plus récemment. L’occasion de les faire dialoguer sur la vision qu’ils portent sur la région la plus vaste de France et sur les liens étroits entre identité et territoires. Pour ce quatrième épisode, direction le Pays basque, à la rencontre d’Anne-Marie et Jean-Yves. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
19min | Published on November 23, 2021


Après ce tour d’horizon des impacts environnementaux, sociaux et sociétaux du numérique, cet épisode nous emmène dans un monde imaginaire : le plus bel Internet du monde. Dans ce monde imaginaire, un numérique plus positif serait alors un numérique respectueux de la planète et des ressources qu’elle offre. Les équipements numériques seraient produits en plus petites quantités, dans des conditions de travail éthiques et équitables, dans le respect de l’écosystème et des populations locales. Les équipements numériques seraient également réellement durables et réparables. Ainsi la durée de vie de nos équipements numériques s’allongerait drastiquement, limitant ainsi la fabrication de nouveaux équipements. L’achat de produits reconditionnés deviendrait également la norme favorisant une économie circulaire. Les applications et sites web seraient également mieux conçus : accessibles à toutes et à tous, simples au niveau des interfaces et légers pour être utilisés par le plus d’appareils possibles sans avoir besoin du modèle dernier cri. Il n’y aurait alors plus de problème pour accéder à ses applications favorites même avec un portable peu puissant qui date de plus 2 ans. Dans la même veine, un numérique plus positif pourrait consommer moins de données pour plus de “privacy” et une consommation d’énergie réduite. Les réseaux sociaux seraient aussi un véritable espace de liberté d’expression sans que l’on ait à craindre le regard de l’autre, sans crainte d’être moqué ou rejeté. Un numérique plus positif nous donnerait la liberté de s’informer sans risquer de se désinformer. Ce serait aussi un numérique qui laisse la place à la déconnexion sans peur de louper une information importante ou une notification. Cela nous enlèverait le sentiment de surmenage et d’anxiété. Et la planète serait soulagée aussi grâce à une consommation énergétique plus raisonnée. Le plus bel Internet du monde, ce serait un espace en ligne et plus globalement un numérique profitable à toutes les femmes et les hommes, et soutenable pour la planète. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
2min | Published on November 22, 2021


Internet, depuis sa création, a toujours été mu par l’ambition d’être un espace de liberté, d’expression, d’apprentissage, de divertissement et d’inclusion. Au fil de son expansion, des externalités négatives sont apparues, souvent reflet de nos sociétés dans le monde physique. Le harcèlement en ligne, ou cyber-harcèlement, en fait partie. Ce web plus accessible, qui facilite le partage de contenus tout en nous détachant de nos paroles, a malheureusement ouvert la voie à des attitudes négatives. Critiques, insultes, moqueries ou menaces qui constituent le socle du harcèlement sont depuis des années retranscrites sur le web. Les réseaux sociaux en sont un lieu de propagation idéal. En 2020, un internaute français sur quatre a été victime ou témoin de cyber-harcèlement[1] (https://anchor.fm/dashboard/episode/new/publish#_ftn1). Le phénomène est de plus en plus reconnu et sanctionné. Cependant, la structure des réseaux sociaux ne l’endigue pas : mise en avant de certains contenus malveillants, manque de modération… Et à ces éléments s’ajoute le débat de la part de l’anonymat en ligne dans le cyber-harcèlement. À double tranchant, le pseudo-anonymat sur le web peut être autant protecteur de libertés que porteur de comportements punissables. Celui-ci est autant utilisé à bon escient par les lanceurs d’alertes ou les victimes d’harcèlement qu’à mauvais escient par les harceleurs. Nos libertés fondamentales sont aussi maintenues par cet anonymat, le proscrire reviendrait à les restreindre. La haine en ligne constitue l’extension de celle présente hors ligne dans nos sociétés. Le combat contre elle doit donc aussi bien se faire sur le web qu’en dehors. Des gestes simples en tant que témoin ou victime peuvent limiter la prolifération de harcèlement. Le signalement, blocage, restriction de comptes et de contenus sont possibles sur les réseaux sociaux. Dans tous cas de harcèlement, parler avec un adulte proche est un début de solution pour agir. [1] (https://anchor.fm/dashboard/episode/new/publish#_ftnref1) https://news.microsoft.com/fr-fr/2021/02/09/safer-internet-day-le-civisme-en-ligne-sameliore-de-3-points-dans-le-monde/ Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
2min | Published on November 15, 2021


Dans les rouages de nombreux services numériques, l’intelligence artificielle et les algorithmes y sont reine et roi. Quasi-omniprésents dans nos moteurs de recherches, cartographie en ligne ou réseaux sociaux, pour ne citer que les plus connus, ils sont censés améliorer la pertinence de leur action. Cependant, ces technologies restent à améliorer sur de nombreux aspects. Encore en développement, elles nécessitent pour fonctionner une quantité astronomique de données : les nôtres. Afin de comprendre et d’exécuter les instructions, les algorithmes ont besoin de matière. Celle-ci provient de nos usages tracés sur le web par les plateformes, utilisées ou revendues pour ce type de processus. Si c’est gratuit, c’est vous le produit, dit-on souvent. Les externalités négatives ne s’arrêtent malheureusement pas là. Directement liées à la diffusion des informations sur Internet, les algorithmes se retrouvent à favoriser des contenus très partagés, notamment des fake news. Cette participation à la prolifération de mauvaises informations peut mettre à mal la communication et la confiance au sein de nos sociétés, creusant les clivages entre groupes d’individus. Un autre problème ressort dans la conception de l’intelligence artificielle : la reproduction de biais et de discrimination. Le fonctionnement reposant encore sur des données produites par des individus, ceux-ci sont en partie porteurs de stéréotypes. Pourtant argument de vente à la base pour ces technologies, celles-ci ne peuvent plus être décrites comme neutres. Les résultats des moteurs de recherche participent à faire de la discrimination de genre, d’ethnie ou encore de religion. Au travers les différents problèmes évoqués, une partie du pouvoir reste entre les mains des concepteurs des services numériques et de ces technologies. Cependant, des pistes de solution sont accessibles pour les utilisateurs. C’est ce que nous tentons d’aborder dans ce podcast. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
2min | Published on November 8, 2021


Le sujet des fake news s’est vu exacerbé avec l’expansion des services numériques et principalement des réseaux sociaux. Phénomène pourtant immiscé dans nos sociétés depuis bien des années, celui-ci s’est décuplé en parallèle d’un partage de contenu de plus en plus facile et rapide. Malheureusement, les réseaux sociaux et leurs algorithmes nourrissent le problème. La création et le partage d’articles, médias ou publications en tous genres sont devenus si accessibles que des informations erronées, non vérifiées, issues de rumeurs, prolifèrent vite. Qu’elles soient volontairement ou inconsciemment relayées, ces fake news se déploient en exploitant nos émotions : c’est la peur, la tristesse ou encore la colère qui nous incitent le plus souvent à relayer un contenu. Les algorithmes des réseaux sociaux ne font qu'aggraver le processus, en mettant en avant dans nos fils d’actualité, les contenus les plus partagés, dont notamment ces fake news. À tel point que ces mauvaises informations circuleraient jusqu’à 6 fois plus vite que les vraies. Au-delà de causer stress ou colère, ces mauvaises informations forment des clivages au sein de nos sociétés, creusant de manière radicale l’écart entre différents bords politiques ou parties antagonistes d’un débat. Elles peuvent également fausser nos perceptions d’un événement donné. Elles sont un frein à la bonne communication et à la bienveillance entre tout un chacun, qu’il s’agisse d’une personne physique ou d’une personne morale. De nombreux débats s’ouvrent sur le sujet pour tenter de le réguler. Du côté des plateformes, le travail reste à faire pour améliorer la modération de ces contenus, en amont et en aval de leur publication. Côté utilisateur, il est possible d’agir à son échelle en adoptant des réflexes avant de partager une information. Entre sensibilisation et recommandations de gestes clé, ce podcast a pour volonté d’ouvrir le regard sur le phénomène. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
2min | Published on November 3, 2021


Qu’est-ce qu’un territoire ? Pourquoi choisit-on de s’y installer ? En quoi les lieux que l'on occupe nous définissent-ils ? En quoi influent-ils sur ce que nous sommes ? C’est ce que la nouvelle série de podcast "Territoire(s)" initiée par la Région Nouvelle-Aquitaine, propose d’explorer. A travers 13 épisodes, dans chaque département de Nouvelle-Aquitaine, mais aussi en Béarn et au Pays basque, l’équipe de Podcastine a organisé la rencontre de 2 néo-aquitains. L’un d’eux y a toujours vécu, le deuxième y est arrivé plus récemment. L’occasion de les faire dialoguer sur la vision qu’ils portent sur la région la plus vaste de France et sur les liens étroits entre identité et territoires. Pour ce troisième épisode, direction la Haute-Vienne, à la rencontre d'Anaïs et de Franck. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
19min | Published on October 27, 2021


Avec en moyenne 46 applications sur notre téléphone et des dizaines de notifications associées, nous croulons sous l’information. L’hyperconnexion et les problèmes qu’elle engendre est de plus en plus évoquée à travers le monde. Malgré leur aspect pratique ou divertissant, les applications de notre smartphone sont majoritairement conçues pour garder notre attention. Cette méthode est bénéfique aux plateformes mais pas à ses utilisateurs. Loin d’être l’ambition à la base, les services numériques, tels que les applications mobiles, peuvent cependant être la source de stress chez chacun d’entre nous. Nous sommes dans une ère numérique où le trop-plein d’informations nous impacte quotidiennement. Peur de passer à côté d’une information importante, surmenage, stress, anxiété, mauvais sommeil ou déprime guette tout détenteur d’un smartphone. Les notifications accentuent le phénomène en venant stimuler notre attention sans cesse dans la journée. Une simple distraction comme une notification demande en moyenne vingt minutes pour se reconcentrer par la suite. L’impact individuel de ces applications est parfois sous-estimé, c’est pourquoi nous devons communiquer pour en prendre conscience. Diminuer le nombre d’applications que nous avons est un premier pas vers une utilisation plus sereine de notre smartphone. De plus en plus d’applications ou de réglages de smartphones permettent un plus grand contrôle sur nos notifications. Il est devenu plus simple de choisir les canaux où l’on souhaite recevoir les notifications, voire de les bloquer. Notre rapport à notre smartphone et à son contenu est important au quotidien. Compte tenu de la place grandissante que prend nos appareils, il peut façonner de larges pans de notre vie. Reprendre le contrôle sur l’usage et l’accès à ses applications amène à une plus grande sérénité. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
2min | Published on October 19, 2021