Description
La Région Nouvelle-Aquitaine propose une série de podcasts autour de ses compétences.
Plus d'infos : https://nouvelle-aquitaine.fr
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Description
La Région Nouvelle-Aquitaine propose une série de podcasts autour de ses compétences.
Plus d'infos : https://nouvelle-aquitaine.fr
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
58 episodes
6 playlists


Avec la montée fulgurante du visionnage de vidéos en ligne, rendue accessible par la modernisation des outils numériques et d’Internet, il n’est pas rare de passer des heures devant nos écrans. Binge-watcher ou streamer des vidéos en direct sont devenus monnaie courante, à tel point que le streaming vidéo représente 61% du trafic Internet mondial[1] (https://anchor.fm/dashboard/episode/e18k4lm/metadata/edit#_ftn1). Source de connaissances, de divertissement ou d’actualités, le streaming en ligne séduit l’ensemble de la population. Les confinements qui ont marqué le monde sont notamment la preuve de l’importance du phénomène. Les plateformes comme Netflix, YouTube ou Facebook ont été contraintes de baisser la qualité des vidéos pour alléger la bande passante mondiale, du jamais vu. Ce type de services amène son lot d’inconvénients, tant sur le plan environnemental que social. Binge-watcher une série jusqu’à tard impacte notre sommeil par les lumières bleues de nos écrans, auxquelles nous sommes exposés. Une exposition soutenue à ces lumières empêche la création de mélatonine, l’hormone du sommeil. D’un point de vue environnemental, le streaming en ligne est un des services numériques les plus énergivores. Nous sommes à l’ère du HD généralisé, de la 4K, autant de formats vidéos qui pèsent lourd dans nos datacenters. Le stockage ainsi que le transfert de ces vidéos sur nos appareils demandent une grande quantité d’électricité et d’eau. Au niveau gaz à effet de serre, les centres de données pèsent près d’un quart de l’empreinte environnementale du numérique. Des axes d’améliorations sont bien évidemment possibles et souhaitables. En tant qu’utilisateurs de ces services, la réduction du temps de visionnage et de la qualité de la vidéo sont des gestes à adopter pour limiter son impact. En utilisant ces services avec une certaine sobriété, nous pouvons façonner un futur numérique plus positif. [1] (https://anchor.fm/dashboard/episode/e18k4lm/metadata/edit#_ftnref1) https://fr.statista.com/infographie/21207/repartition-du-trafic-internet-mondial-par-usage/ Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
2min | Published on October 11, 2021


Qu’est-ce qu’un territoire ? Pourquoi choisit-on de s’y installer ? En quoi les lieux que l'on occupe nous définissent-ils ? En quoi influent-ils sur ce que nous sommes ? C’est ce que la nouvelle série de podcast « Territoires » initiée par la Région Nouvelle-Aquitaine, nous propose d’explorer. A travers 13 épisodes, dans chaque département de Nouvelle-Aquitaine mais aussi en Béarn et au pays basque, l’équipe de Podcastine a organisé la rencontre de 2 néo-aquitains. L’un d’eux y a toujours vécu, le deuxième y est arrivé plus récemment. L’occasion de les faire dialoguer sur la vision qu'ils portent sur la région la plus vaste de France et sur les liens étroits entre identité et territoire. Pour ce deuxième épisode, direction la Gironde. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
19min | Published on October 10, 2021


Par an, en France on produit le poids de 84 Tours Eiffel de déchets électroniques et électriques. Face à ces déchets, on ne sait jamais trop comment agir. Se séparer de nos smartphones, ordinateurs ou objets connectés n’est pas anodin. Et au vu de leur quantité grandissante, il est important de rappeler quelques points sur leur fin de vie. Le recyclage des appareils électroniques n’est encore que peu développé. Avec environ 70 matériaux dans un smartphone, combinés à des substances toxiques, le processus de recyclage est long, coûteux et peu optimisé. Par conséquent, seuls 20% de nos petits appareils électroniques sont recyclés sur le sol français. La filière recyclage a pour ambition de s’améliorer, mais cela prendra du temps. Pour le moment, la fin de vie de nos appareils ne permet pas de limiter leurs impacts environnementaux. Cependant, des solutions existent avec l’économie circulaire. La revente, le don ou le réparage sont des solutions adaptées pour limiter notre impact, pour le plus grand plaisir de notre planète. Ces gestes permettent d’allonger la durée de vie de nos appareils, au lieu de les envoyer directement à la phase de recyclage. À l’heure actuelle, allonger la durée de vie de nos appareils est le geste le plus efficace pour lutter contre la pollution numérique. Permettre le reconditionnement de son appareil est également intéressant sur le plan social démocratisant ainsi l’accès aux appareils. L’économie circulaire a des bénéfices pour celui qui revend, répare ou achète un appareil de seconde main. Quelques solutions pour se séparer de ses DEEE et s’informer : - https://jedonnemontelephone.fr/ - https://lacollecte.tech/ - https://agirpourlatransition.ademe.fr/particuliers/maison/faire-dechets - https://longuevieauxobjets.gouv.fr/ Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
2min | Published on October 10, 2021


Au fil des ans, des objets connectés de toutes sortes sont apparus et leur quantité a explosé dans le monde entier. Loin d’être anodins, ces petits appareils ont un impact lourd sur l’ensemble de leur cycle de vie. À tel point qu’ils pourraient être la deuxième principale cause de la pollution numérique. Smartphones, montres connectées, enceintes intelligentes… Leur sort commence dans les mines en Afrique ou en Amérique du Sud, là où les minerais précieux et les terres rares sont extraites. L’impact sur les populations et les écosystèmes locaux y est déjà colossal. Et l’ensemble de la phase de production qui suit (de la production de toutes les pièces de ces objets à l’assemblage) a également un impact considérable. Les externalités négatives liées à ces objets ne s’arrêtent pas à leur fabrication, et continuent dans leur usage. Enceinte sans cesse reliée à son smartphone ou montre calculant et envoyant toutes les données de santé à son téléphone : l’interconnexion constante entre appareils est une des sources d’une explosion du trafic des données et mobilise donc une énergie importante pour leur transfert. Les réseaux 4G, 5G, Wifi ou encore Bluetooth, qui permettent le transfert des données générées, sont aussi consommateurs d’énergie. Le stockage important de ces données engendre également une pollution liée au fonctionnement des centres de données. Les demandes en eau et en électricité s’accentuent. À l’instar de beaucoup de petits appareils électroniques, leur durée de vie est faible, donnant place à un remplacement très rapide. Dans l’optique d’un monde numérique plus positif, les garder le plus longtemps possible reste le geste ayant le plus d’impact. Entre gadget et réelle utilité, tentons d’utiliser ces outils pour répondre à des besoins plutôt qu’à des envies. Leur achat, s’il est envisagé, doit tendre vers la seconde main. C’est en questionnant notre besoin et en se tournant vers les appareils reconditionnés que nous pourrons limiter l’empreinte de ces objets connectés. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
2min | Published on September 27, 2021


Qu’est-ce qu’un territoire ? Pourquoi choisit-on de s’y installer ? En quoi les lieux que l'on occupe nous définissent-ils ? En quoi influent-ils sur ce que nous sommes ? C’est ce que la nouvelle série de podcast « Territoires » initiée par la Région Nouvelle-Aquitaine, nous propose d’explorer. Pour ce premier épisode, direction les Deux-Sèvres, à la rencontre de Véronique et Pierre. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
18min | Published on September 15, 2021


Nous sommes hyperconnectés. Les appareils électroniques sont au cœur de nos vies, à tel point que la plupart de nos usages sont régis par eux. Le digital, et les possibilités qu’il ouvre, font rêver. Nous sommes à présent les ⅔ de la population mondiale à utiliser un smartphone. Mais les méthodes marketing et l’obsolescence programmée nous poussent dans un cercle nocif. Multiplication des appareils, usage continuel et renouvellement excessif : nos appareils impactent notre planète et les populations qui y résident. Le numérique et ses objets font tellement partie de notre quotidien que nous oublions la manière dont ils arrivent dans nos mains. Avec plusieurs tours du monde à leur actif, les smartphones polluent avant même d'être utilisés. Le processus de fabrication nécessite de nombreuses ressources naturelles non renouvelables et engendre des dommages sur l’ensemble des populations présentes. C’est souvent en République Démocratique du Congo que tout commence, au milieu des mines de Coltan. Entre les éboulements, chacun trime - même les plus jeunes - pour extraire quelques grammes de minerais précieux. Les sols pollués impactent l’alimentation de toutes les populations environnantes et la rareté des minerais est une source de conflits. L’Asie du Sud Est n’est pas en reste avec ses usines d’assemblage de smartphones. Cadence infernale et obsolescence programmée y sont de mise. L’éthique est plus qu’absente : enfants, Ouïghours, décès, les polémiques passées sont grandes. Et malheureusement, nos appareils sont renouvelés trop fréquemment. Avec une phase de fabrication qui émet les ¾ des gaz à effet de serre sur tout son cycle de vie, notre smartphone doit être gardé le plus longtemps possible. Les méthodes marketing et l’obsolescence programmée de nos appareils accélèrent leur consommation. Mais il y a nécessité à réduire leur impact. Nous pouvons diviser par deux notre empreinte environnementale - en tant qu’individu - simplement en changeant tous les 4 ans au lieu de tous les 2 ans son smartphone. Des axes d'amélioration sont visibles. Nous pouvons agir chacun à notre échelle et c’est notre engagement à tous qui dessinera un futur numérique plus responsable. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
2min | Published on September 10, 2021


Bienvenue dans Engagés, le podcast consacré à la vie publique produit par la Région Nouvelle-Aquitaine. Vous écoutez l'épisode 1 de la saison 1. Ils sont artisan, chercheur, agriculteur, instituteur, président de district de football… Souvent investis dans des organisations professionnelles, reconnus dans leur métier, ils et elles ont décidé de franchir le pas et de s’engager un peu plus encore dans la vie publique. Notre équipe est partie à la rencontre de Christelle Chassagne, Marie-Laure Lafargue, Virginie Lebraud, Philippe Lafrique et Gilles Boeuf. Tous les cinq ont choisi de se présenter aux dernières élections régionales des 20 et 27 juin 2021. Nouvellement élus ou renouvelés dans leur mandat, ce sont avant tout des professionnels de la société civile qui ont décidé de s’engager pour faire vivre leur Région. Quel est leur moteur ? Pourquoi s’engager à l’échelle d’une Région ? Qu’est-ce qui incite des professionnels aux journées déjà bien remplies à pousser la porte d’un hémicycle ? Recherche d’un supplément d’âme dans son activité au quotidien ? Besoin de faire bouger les lignes ? De se sentir plus utile encore ? D’apporter son expertise au service de la vie publique ? Ce sont les questions que nous sommes allés leur poser, à l’occasion de la première séance plénière d’installation de la Région Nouvelle-Aquitaine, le 2 juillet dernier. Plus d'infos : https://nouvelle-aquitaine.fr/ Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
32min | Published on July 20, 2021


Découvrez le teasing du podcast produit par la Région Nouvelle-Aquitaine et l'Institut du numérique responsable Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
2min | Published on July 7, 2021
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La Région Nouvelle-Aquitaine propose une série de podcasts autour de ses compétences.
Plus d'infos : https://nouvelle-aquitaine.fr
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58 episodes
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Avec la montée fulgurante du visionnage de vidéos en ligne, rendue accessible par la modernisation des outils numériques et d’Internet, il n’est pas rare de passer des heures devant nos écrans. Binge-watcher ou streamer des vidéos en direct sont devenus monnaie courante, à tel point que le streaming vidéo représente 61% du trafic Internet mondial[1] (https://anchor.fm/dashboard/episode/e18k4lm/metadata/edit#_ftn1). Source de connaissances, de divertissement ou d’actualités, le streaming en ligne séduit l’ensemble de la population. Les confinements qui ont marqué le monde sont notamment la preuve de l’importance du phénomène. Les plateformes comme Netflix, YouTube ou Facebook ont été contraintes de baisser la qualité des vidéos pour alléger la bande passante mondiale, du jamais vu. Ce type de services amène son lot d’inconvénients, tant sur le plan environnemental que social. Binge-watcher une série jusqu’à tard impacte notre sommeil par les lumières bleues de nos écrans, auxquelles nous sommes exposés. Une exposition soutenue à ces lumières empêche la création de mélatonine, l’hormone du sommeil. D’un point de vue environnemental, le streaming en ligne est un des services numériques les plus énergivores. Nous sommes à l’ère du HD généralisé, de la 4K, autant de formats vidéos qui pèsent lourd dans nos datacenters. Le stockage ainsi que le transfert de ces vidéos sur nos appareils demandent une grande quantité d’électricité et d’eau. Au niveau gaz à effet de serre, les centres de données pèsent près d’un quart de l’empreinte environnementale du numérique. Des axes d’améliorations sont bien évidemment possibles et souhaitables. En tant qu’utilisateurs de ces services, la réduction du temps de visionnage et de la qualité de la vidéo sont des gestes à adopter pour limiter son impact. En utilisant ces services avec une certaine sobriété, nous pouvons façonner un futur numérique plus positif. [1] (https://anchor.fm/dashboard/episode/e18k4lm/metadata/edit#_ftnref1) https://fr.statista.com/infographie/21207/repartition-du-trafic-internet-mondial-par-usage/ Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
2min | Published on October 11, 2021


Qu’est-ce qu’un territoire ? Pourquoi choisit-on de s’y installer ? En quoi les lieux que l'on occupe nous définissent-ils ? En quoi influent-ils sur ce que nous sommes ? C’est ce que la nouvelle série de podcast « Territoires » initiée par la Région Nouvelle-Aquitaine, nous propose d’explorer. A travers 13 épisodes, dans chaque département de Nouvelle-Aquitaine mais aussi en Béarn et au pays basque, l’équipe de Podcastine a organisé la rencontre de 2 néo-aquitains. L’un d’eux y a toujours vécu, le deuxième y est arrivé plus récemment. L’occasion de les faire dialoguer sur la vision qu'ils portent sur la région la plus vaste de France et sur les liens étroits entre identité et territoire. Pour ce deuxième épisode, direction la Gironde. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
19min | Published on October 10, 2021


Par an, en France on produit le poids de 84 Tours Eiffel de déchets électroniques et électriques. Face à ces déchets, on ne sait jamais trop comment agir. Se séparer de nos smartphones, ordinateurs ou objets connectés n’est pas anodin. Et au vu de leur quantité grandissante, il est important de rappeler quelques points sur leur fin de vie. Le recyclage des appareils électroniques n’est encore que peu développé. Avec environ 70 matériaux dans un smartphone, combinés à des substances toxiques, le processus de recyclage est long, coûteux et peu optimisé. Par conséquent, seuls 20% de nos petits appareils électroniques sont recyclés sur le sol français. La filière recyclage a pour ambition de s’améliorer, mais cela prendra du temps. Pour le moment, la fin de vie de nos appareils ne permet pas de limiter leurs impacts environnementaux. Cependant, des solutions existent avec l’économie circulaire. La revente, le don ou le réparage sont des solutions adaptées pour limiter notre impact, pour le plus grand plaisir de notre planète. Ces gestes permettent d’allonger la durée de vie de nos appareils, au lieu de les envoyer directement à la phase de recyclage. À l’heure actuelle, allonger la durée de vie de nos appareils est le geste le plus efficace pour lutter contre la pollution numérique. Permettre le reconditionnement de son appareil est également intéressant sur le plan social démocratisant ainsi l’accès aux appareils. L’économie circulaire a des bénéfices pour celui qui revend, répare ou achète un appareil de seconde main. Quelques solutions pour se séparer de ses DEEE et s’informer : - https://jedonnemontelephone.fr/ - https://lacollecte.tech/ - https://agirpourlatransition.ademe.fr/particuliers/maison/faire-dechets - https://longuevieauxobjets.gouv.fr/ Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
2min | Published on October 10, 2021


Au fil des ans, des objets connectés de toutes sortes sont apparus et leur quantité a explosé dans le monde entier. Loin d’être anodins, ces petits appareils ont un impact lourd sur l’ensemble de leur cycle de vie. À tel point qu’ils pourraient être la deuxième principale cause de la pollution numérique. Smartphones, montres connectées, enceintes intelligentes… Leur sort commence dans les mines en Afrique ou en Amérique du Sud, là où les minerais précieux et les terres rares sont extraites. L’impact sur les populations et les écosystèmes locaux y est déjà colossal. Et l’ensemble de la phase de production qui suit (de la production de toutes les pièces de ces objets à l’assemblage) a également un impact considérable. Les externalités négatives liées à ces objets ne s’arrêtent pas à leur fabrication, et continuent dans leur usage. Enceinte sans cesse reliée à son smartphone ou montre calculant et envoyant toutes les données de santé à son téléphone : l’interconnexion constante entre appareils est une des sources d’une explosion du trafic des données et mobilise donc une énergie importante pour leur transfert. Les réseaux 4G, 5G, Wifi ou encore Bluetooth, qui permettent le transfert des données générées, sont aussi consommateurs d’énergie. Le stockage important de ces données engendre également une pollution liée au fonctionnement des centres de données. Les demandes en eau et en électricité s’accentuent. À l’instar de beaucoup de petits appareils électroniques, leur durée de vie est faible, donnant place à un remplacement très rapide. Dans l’optique d’un monde numérique plus positif, les garder le plus longtemps possible reste le geste ayant le plus d’impact. Entre gadget et réelle utilité, tentons d’utiliser ces outils pour répondre à des besoins plutôt qu’à des envies. Leur achat, s’il est envisagé, doit tendre vers la seconde main. C’est en questionnant notre besoin et en se tournant vers les appareils reconditionnés que nous pourrons limiter l’empreinte de ces objets connectés. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
2min | Published on September 27, 2021


Qu’est-ce qu’un territoire ? Pourquoi choisit-on de s’y installer ? En quoi les lieux que l'on occupe nous définissent-ils ? En quoi influent-ils sur ce que nous sommes ? C’est ce que la nouvelle série de podcast « Territoires » initiée par la Région Nouvelle-Aquitaine, nous propose d’explorer. Pour ce premier épisode, direction les Deux-Sèvres, à la rencontre de Véronique et Pierre. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
18min | Published on September 15, 2021


Nous sommes hyperconnectés. Les appareils électroniques sont au cœur de nos vies, à tel point que la plupart de nos usages sont régis par eux. Le digital, et les possibilités qu’il ouvre, font rêver. Nous sommes à présent les ⅔ de la population mondiale à utiliser un smartphone. Mais les méthodes marketing et l’obsolescence programmée nous poussent dans un cercle nocif. Multiplication des appareils, usage continuel et renouvellement excessif : nos appareils impactent notre planète et les populations qui y résident. Le numérique et ses objets font tellement partie de notre quotidien que nous oublions la manière dont ils arrivent dans nos mains. Avec plusieurs tours du monde à leur actif, les smartphones polluent avant même d'être utilisés. Le processus de fabrication nécessite de nombreuses ressources naturelles non renouvelables et engendre des dommages sur l’ensemble des populations présentes. C’est souvent en République Démocratique du Congo que tout commence, au milieu des mines de Coltan. Entre les éboulements, chacun trime - même les plus jeunes - pour extraire quelques grammes de minerais précieux. Les sols pollués impactent l’alimentation de toutes les populations environnantes et la rareté des minerais est une source de conflits. L’Asie du Sud Est n’est pas en reste avec ses usines d’assemblage de smartphones. Cadence infernale et obsolescence programmée y sont de mise. L’éthique est plus qu’absente : enfants, Ouïghours, décès, les polémiques passées sont grandes. Et malheureusement, nos appareils sont renouvelés trop fréquemment. Avec une phase de fabrication qui émet les ¾ des gaz à effet de serre sur tout son cycle de vie, notre smartphone doit être gardé le plus longtemps possible. Les méthodes marketing et l’obsolescence programmée de nos appareils accélèrent leur consommation. Mais il y a nécessité à réduire leur impact. Nous pouvons diviser par deux notre empreinte environnementale - en tant qu’individu - simplement en changeant tous les 4 ans au lieu de tous les 2 ans son smartphone. Des axes d'amélioration sont visibles. Nous pouvons agir chacun à notre échelle et c’est notre engagement à tous qui dessinera un futur numérique plus responsable. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
2min | Published on September 10, 2021


Bienvenue dans Engagés, le podcast consacré à la vie publique produit par la Région Nouvelle-Aquitaine. Vous écoutez l'épisode 1 de la saison 1. Ils sont artisan, chercheur, agriculteur, instituteur, président de district de football… Souvent investis dans des organisations professionnelles, reconnus dans leur métier, ils et elles ont décidé de franchir le pas et de s’engager un peu plus encore dans la vie publique. Notre équipe est partie à la rencontre de Christelle Chassagne, Marie-Laure Lafargue, Virginie Lebraud, Philippe Lafrique et Gilles Boeuf. Tous les cinq ont choisi de se présenter aux dernières élections régionales des 20 et 27 juin 2021. Nouvellement élus ou renouvelés dans leur mandat, ce sont avant tout des professionnels de la société civile qui ont décidé de s’engager pour faire vivre leur Région. Quel est leur moteur ? Pourquoi s’engager à l’échelle d’une Région ? Qu’est-ce qui incite des professionnels aux journées déjà bien remplies à pousser la porte d’un hémicycle ? Recherche d’un supplément d’âme dans son activité au quotidien ? Besoin de faire bouger les lignes ? De se sentir plus utile encore ? D’apporter son expertise au service de la vie publique ? Ce sont les questions que nous sommes allés leur poser, à l’occasion de la première séance plénière d’installation de la Région Nouvelle-Aquitaine, le 2 juillet dernier. Plus d'infos : https://nouvelle-aquitaine.fr/ Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
32min | Published on July 20, 2021


Découvrez le teasing du podcast produit par la Région Nouvelle-Aquitaine et l'Institut du numérique responsable Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
2min | Published on July 7, 2021