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Un chemin vers soi : le podcast des hypersensibles

39. Comment sortir de sa zone de confort

39. Comment sortir de sa zone de confort

18min |04/06/2025
Play
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Un chemin vers soi : le podcast des hypersensibles

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Description

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Si cet épisode a fait écho en toi ou s'il t'a plu tout simplement, je t'invite à me laisser 5 étoiles et un commentaire (si ta plateforme d'écoute le permet) afin que mon contenu puisse être proposé à plus de personnes.

Tu peux également t'abonner afin d'être notifié directement dès la sortie d'un épisode.

Si tu aimes La vie suffit, Potentiel, Change ma vie, Des questions que tout le monde se pose, alors tu aimeras Un chemin vers soi.

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🦋 Je suis Elsa, boosteuse d'estime. J’accompagne les femmes hypersensibles à naviguer à travers leurs émotions et à renforcer leur estime d’elle-même, grâce à l’alliance du coaching et de la sophrologie, afin qu'elles puissent se sentir sereine et épanouie. ✨

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#confiance en soi #zone de confort #rpasser à l'action #courage


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hello, je m'appelle Elsa et je suis Master Coach Certifié. Avec ce podcast, Un chemin vers soi, ma mission est de t'aider à mieux te comprendre et à t'accepter pour que tu aies, que tu puisses rayonner en toute authenticité. Je suis profondément convaincue qu'on a tous en nous une lumière qui ne demande qu'à briller. Et mon désir est que tu puisses prendre conscience de ta valeur. Découvrir ce chemin qui est le tien et impacter le monde à ta face. Ensemble, partons à la découverte de notre vérité, apprenons à nous révéler et osons marcher vers notre destinée. Hello, hello, bienvenue à toi dans Un chemin vers soi, le podcast pour les hypersensibles, par une hypersensible. Ici, on parle d'émotion, d'estime de soi, de confiance en soi, d'hypersensibilité bien entendu. Et aujourd'hui, j'avais à cœur de te parler de... de cette fameuse zone de confort. Alors, je ne pense pas me tromper en te disant que tu as probablement déjà ressenti une envie de changement, de faire quelque chose d'inhabituel. Mais même si tu avais cette envie au fond de toi, il y avait de la peur, de l'incertitude, beaucoup de questionnements. Et au final, tu n'agissais pas, tu procrastinais, tu tournais autour du pot et puis tu t'en voulais de ne pas passer à l'action. C'était toujours le projet de un jour, un jour peut-être, un jour je ferai. Et oui, et j'avoue, j'ai connu ça aussi. Et ça m'arrive encore parfois de procrastiner, de vouloir rester dans ma zone de confort, dans ce qui est connu, dans ce qui me fait du bien, là où je ne suis pas challengée, là où je ne suis pas bousculée. Alors pourquoi c'est si difficile de sortir de sa zone de confort ? Et puis, comment on fait pour le faire, pour réussir à passer outre tout ça, pour rester motivée, pour faire ses premiers pas et passer à l'action tout simplement ? Qu'est-ce qu'on appelle finalement la zone de confort ? Je pense que c'est pas mal de commencer par là. Même si ça peut paraître évident, mais on verra que pas tant que ça en vrai. Pour moi, la zone de confort, c'est cet espace. Cet espace autour de toi qui est connu. Cet environnement que tu maîtrises, dont tu connais les codes, les conséquences. Et finalement, t'as une sorte de contrôle sur ce qui se passe. Par exemple, si on prend un travail dans lequel tu es, un travail que tu fais depuis 5, 10, plus longtemps encore, tu connais tous les codes. Tu sais les challenges que tu peux rencontrer, tu as déjà un peu tout vécu finalement. On ne peut pas te la faire à l'envers. Tu sais ce qui va être simple, ce qui va être difficile, ce à quoi tu dois faire attention. Tu es vraiment en terrain connu. Du coup, tu peux anticiper et en un sens, c'est comme si tu maîtrisais. Ouais, c'est ça, tu contrôles en fait. Et l'humain adore contrôler. Du coup, généralement, dans ta zone de confort, il y a un côté agréable, puisqu'il y a un côté facile. Tu sais ce qui va se passer, tu peux anticiper, tu peux te préparer. C'est vraiment quelque chose de connu. Donc, tu n'as pas de risque, ou en tout cas, tu as moins de risque finalement de mal faire, que ça se passe mal ou d'être surpris et de traverser des choses qui vont te dépasser avec des émotions hyper désagréables. Dans ta zone de confort, il n'y a pas que de l'agréable en fait. Parfois la zone de confort est très inconfortable, mais on reste quand même. Ça peut paraître surprenant, mais des fois on souffre. On peut souffrir d'une situation, mais on va quand même préférer y rester, parce qu'on préfère cette douleur qui est connue que d'aller vers cette inconnue, où peut-être ce sera mieux, ou pire. En tout cas on anticipe que ce sera pire. C'est pour ça que parfois on ne bouge pas, on est complètement tétanisé. Et on reste dans cette situation de mal-être qui nous fait du mal. On peut dire en gros que cette zone de confort, elle nous protège. Elle nous protège du stress, des difficultés, de l'inconnu surtout. Mais à trop nous protéger, elle nous enferme. En fait, cette zone de confort, c'est comme une prison dorée. On peut y passer plein de temps, se complaire dedans. Qu'on soit plus ou moins heureux d'ailleurs. Mais ne pas oser passer à l'action. ne pas oser échanger, ne pas oser aller vers ses rêves, vers des projets qui nous font envie, même s'ils nous font peur. Et puis sa vie va passer comme ça, se dérouler sous nos yeux. Mais après, il sera trop tard. Et c'est bien dommage. Je pense qu'il faut aller chercher ce qu'on veut, aller chercher ses rêves au maximum, pour ne pas avoir de regrets, et pour se donner toutes les chances de réussir. Parce que si on n'essaye pas, on ne risque pas de réussir. Comme on dit souvent pour le loto, 100% des gagnants ont tenté leur chance. Même si les gains au loto sont très très faibles, je pense que cette phrase veut bien dire ce qu'elle veut dire. Notre cerveau aime tellement cette zone de confort qu'il a du mal à en sortir. Notre cerveau est habitué à la sécurité, ou du moins recherche cette sécurité. Il évite au maximum tout ce qui est inconnu, parce qu'il le perçoit comme une menace potentielle. Et le but de notre cerveau, c'est de nous maintenir en vie. Pas de nous faire évoluer, de nous faire grandir, mais de nous maintenir physiquement en vie. Et puis, on anticipe que si on fait quelque chose de nouveau, quelque chose d'inhabituel, on risque de se planter. Donc cette zone de confort, elle nous protège aussi de la peur de l'échec. et puis du regard des autres. Donc notre cerveau va s'accrocher à ce confort, même s'il n'est pas toujours confortable justement, même si parfois il n'est pas tout à fait satisfaisant, même s'il nous fait même souffrir, parce que cette situation que l'on connaît, on pense qu'on peut la gérer. Il y a quelque chose de rassurant en fait. Mais c'est important à ce stade de dire que sortir de sa zone de confort, ça ne veut pas forcément dire se jeter à l'eau tout de suite dans l'inconnu, se jeter dans le vide. Sans filet, sans rien. Pour pouvoir sortir intelligemment de sa zone de confort, il faut apprendre à l'étirer progressivement, découvrir ses nouvelles possibilités, ce nouvel environnement, ses nouvelles capacités aussi, ou les capacités enfouies que l'on a déjà en nous. Quand on a envie de faire quelque chose qui sort de l'ordinaire, qu'on imagine justement cette fameuse sortie de zone de confort, On a l'impression qu'il faudrait tout bouleverser du jour au lendemain. Mais la clé, en fait, c'est de découper tout ça en petits pas. D'avancer à son rythme, vers son objectif. Sans chercher à en faire trop, sans chercher à faire tout, tout de suite. Mais le découper pour que finalement on garde ce côté sécurité. Tout en étant un peu dans l'incertitude, forcément. Mais il faut que le cerveau comprenne que... Bah y'a pas mort d'homme en fait. et qu'il ne se met pas véritablement en danger. Et plus on rassure son cerveau, plus ce sera ok pour lui de faire ce qu'il n'a jamais fait. Je ne pouvais pas évoquer la zone de confort sans évoquer avec toi deux autres zones qui existent aussi et dont on parle un peu moins, je dirais. C'est ta zone d'apprentissage et ta zone de panique. En fait, ce qu'il y a dans l'esprit de chacun, Quand on doit passer à l'action et faire quelque chose qui nous paraît fou, on a l'impression qu'on va sortir de notre zone de confort et en fait on va jumper directement dans notre zone de panique. Mais il y a une étape intermédiaire, cette fameuse zone d'apprentissage. Cette zone d'apprentissage, c'est cet endroit où finalement, les choses sont challengeantes mais restent tout de même atteignables. On a le cœur qui bat, c'est inconfortable. Mais quelque part, on sait qu'on peut le faire, qu'on a besoin juste un peu de courage pour passer à l'action. Le but du jeu, c'est donc de jouer dans cette fameuse zone d'apprentissage et de faire passer des choses petit à petit dans sa zone de confort, qui va s'enrichir, qui va grandir au fur et à mesure du temps. Si tu as cette possibilité maintenant, je t'invite à mettre pause sur ce podcast, à prendre une feuille et à la diviser en trois sections, en trois colonnes. La première colonne, ça va être ce qui représente finalement ta zone de confort, ce que tu sais faire sans peur, sans crainte. Tu peux mettre par exemple le fait de pouvoir parler à tes amis, le fait de pouvoir donner ton avis dans une conversation quand tu n'es pas d'accord, ou encore peut-être le fait de cuisiner, de recevoir des amis à dîner. Dans la deuxième colonne, tu vas mettre ce que représente ta zone d'apprentissage. Toutes ces choses qui te challengent, mais qui, tu le sens bien au fond de toi, restent quand même atteignables. Des choses qui te font peur, mais que si tu prends ton courage à deux mains, en fait, tu sais que tu pourrais le faire. Tu l'as peut-être même déjà fait de manière un peu occasionnelle. Ça peut être le fait de parler en public devant une large assemblée, peut-être de demander un conseil. Et pour la troisième colonne, ça va être ta zone de panique. Dans cette zone-là, dans cette colonne-là, tu vas indiquer tout ce qui, pour l'instant, te terrifie. Et je dis bien pour l'instant, parce que finalement, rien n'est définitif. Plus tu t'entraînes, plus tu fais ces choses qui sont dans ta zone d'apprentissage, plus finalement, ta zone de confort s'agrandira et ces choses qui étaient avant dans ta zone d'apprentissage passeront dans ta zone de confort. Et idem, ce qui était dans ta zone de panique redescendra dans ta zone d'apprentissage. C'est comme ça que tu peux évoluer, comme ça que tu peux finalement oser un peu plus passer à l'action. En tout cas, c'est l'une des clés. Le deuxième point qui me paraît fondamental pour justement réussir à faire ces choses nouvelles, ces choses qui nous font peur, qui nous terrifient, c'est de changer de perspective et changer notre regard finalement sur le risque. Qu'est-ce qui va se passer ? Quelles vont être les conséquences ? Souvent, on a l'impression que tout va s'écrouler, que notre monde va s'effondrer et on anticipe des résultats ou des conséquences hyper négatives. Alors qu'au final... Finalement, souvent même, il ne se passe pas grand chose. Lorsque j'ai commencé à publier sur les réseaux sociaux, j'ai dû mettre en vrai deux semaines, trois semaines peut-être, avant d'oser publier mon premier post, d'appuyer sur ce fameux bouton pour qu'il soit visible de tous. J'avais peur qu'il ne soit pas à la hauteur, j'avais peur d'être critiqué, j'avais peur qu'il n'apporte pas assez de valeur. J'avais peur d'être rejeté tout simplement. Mais en réalité, c'était quoi le risque ? Que je n'ai pas de commentaires, pas de likes, et que mon post passe complètement à la trappe ? Oui, ok, et alors ? Est-ce que ça allait vraiment changer ma vie, en fait ? Si tu te poses deux secondes, deux minutes sur les choses que tu as envie de faire, Et que tu t'empêches de faire, parce que tu te dis que si c'est pas au niveau, si c'est pas parfait, si tu ne réussis pas, ça va être la catastrophe. Mais est-ce que t'en es vraiment sûre ? Est-ce que la catastrophe finalement ce n'est pas de ne pas oser, de ne pas passer à l'action, de ne pas tester ? Qu'est-ce que tu risques à te lancer ? Qu'est-ce que tu risques vraiment ? Pose-toi cette question, elle est fondamentale. Quand t'as peur de faire un pas, de poser une action, demande-toi, qu'est-ce qui bloque ? De quoi t'as peur ? De quoi t'as vraiment peur ? Est-ce que cette peur qui t'habite, qui t'anime, qui te brûle, est-ce qu'elle a lieu d'être ? Est-ce qu'elle peut se réaliser ? Est-ce que ton pire cauchemar peut devenir réalité ? Bien souvent, on se fait des films. On imagine des choses et la réalité en est toute autre. Changer ton regard sur ça, sur ce risque, sur cette vision de ce qu'on peut appeler l'échec, te permettra de te passer outre et de te dire ok, j'y vais, je teste. Et tant pis si ce n'est pas parfait. Tant pis si ce n'est pas au niveau des standards, de mes standards ou même des standards des autres personnes. Au moins j'aurais essayé, au moins je l'aurais fait. Et ce faisant, j'aurais une chance peut-être d'en tirer quelque chose, d'en tirer des enseignements. J'aurais une chance de progresser et que si je reprends mon exemple de poste, Que mon prochain poste ou mes prochains postes à l'avenir soient plus intéressant, soit plus graphique, soit plus pertinent, que j'ai du coup plus de likes, plus de commentaires, plus d'abonnés et tout ce qui s'ensuit. Mais s'il n'y a pas ce premier pas, ce premier pas où tu doutes, où tu es dans l'incertitude, où tu sais que ça ne va pas être parfait, où tu as peur, si tu ne passes pas cette première étape, tu n'as aucune chance, je dis bien aucune chance d'arriver au niveau où tout ira bien, où ce sera facile. où tu te sentiras aligné, où tu te sentiras finalement dans ta zone de confort. T'es obligé de passer par là. C'est une étape, c'est un chemin. Et je suis désolée pour toi, mais il n'y a pas vraiment de raccourci. Alors au lieu de voir tout ce que tu peux mal faire, tout ce qui peut mal tourner, tout ce qui peut te blesser, essaye de voir tout ce que tu pourrais gagner. Je suis sûre que ça t'est déjà arrivé et que si tu réfléchis, je suis sûre que tu pourras trouver une situation qui t'est arrivée, une situation passée. Où t'as osé justement faire ce premier pas, t'as osé sortir de ta zone de confort, faire quelque chose de nouveau. Et même si c'était pas parfait, même si peut-être ça a été difficile, ça a été peut-être douloureux, les conséquences n'ont peut-être pas été comme tu le souhaitais, mais finalement t'en as retiré des choses. Et puis même en termes d'émotion, à la fin tu t'es sentie finalement soulagée, heureuse d'avoir osé, fière de t'être lancée. et d'être sorti de cette fameuse zone de confort ? Et puis dans ce cas-là, est-ce que la peur, elle était aussi grande que tu l'imaginais ? Est-ce que les conséquences étaient aussi horribles que ce que tu imaginais ? Probablement pas. Alors vas-y, ose. Le seul risque que tu prends, c'est... d'apprendre, de t'améliorer et de mieux faire la prochaine fois. Je l'ai déjà évoqué au tout début de la création de ce podcast, mais j'ai beaucoup procrastiné aussi le fait de lancer ce podcast. Et là, cet épisode, il vient après un long moment, sans épisode, pour plein de raisons au niveau personnel, mais je crois que je suis aussi un peu retombée là-dedans, dans la peur de faire un épisode pertinent après ce que j'ai déjà fait, ce que j'ai déjà proposé, après Les beaux commentaires que j'ai eus, et je me suis dit mais qu'est-ce que j'ai encore à offrir ? Est-ce que je peux encore proposer quelque chose de qualité ? Est-ce que je sais encore le faire ? Mais si je reste avec ces questions-là, ce que j'ai fait pendant un temps, je ne sors pas d'épisode. Et du coup j'alimente ma peur, ma crainte, je reste dans cette situation, alors que je pourrais inverser la tendance, changer les choses. Retrouver ces automatismes, ces habitudes et m'améliorer pour que chaque épisode soit pertinent, que chaque épisode vous permette de progresser et te permette de te sentir mieux, de te sentir inspirée, confiante, rassurée, épaulée, comprise. Je ne dis pas que c'est facile, c'est clair, mais c'est accessible et je suis humaine comme toi alors si je peux le faire. Tu peux le faire aussi. Tu vois, finalement, ce passage à l'action, c'est beaucoup du mindset, de l'état d'esprit. Et c'est important de se dire que tu as le droit de faire les choses, tu as le droit de faire des erreurs, tu as le droit de te tromper, et que te tromper, ce n'est pas une fin en soi, ce n'est pas une fatalité. Au contraire, tes erreurs vont te permettre de grandir, d'avancer, d'apprendre des choses, de faire mieux. Tu vas pouvoir progresser. Et c'est important de te comparer à toi, finalement. À la toi que tu étais hier, à la toi que tu seras demain. Et pas te comparer aux autres qui n'ont pas ta vie, qui n'ont pas ton histoire, qui n'ont pas tes difficultés, qui n'ont pas tes points forts ni tes points faibles. Donc compare-toi uniquement à toi. Et puis célèbre, célèbre chaque petit pas que tu fais, chaque avancée. Même si ça te semble minime, c'est hyper important. Parce que c'est comme ça que tu grandis. En résumé, sortir de sa zone de confort, c'est possible. Et tu l'as déjà fait. Ne serait-ce qu'une fois. Mais garde en tête que c'est avant tout un chemin, pas une destination. C'est quelque chose qui s'apprend, quelque chose qui se travaille. L'important c'est d'avancer. Lentement. Un pas après l'autre. Et pour terminer, je voulais te proposer un petit défi. Je t'invite à choisir une action. Un truc simple. que tu as envie de faire mais que tu procrastines. Quelque chose qui te fait un petit peu peur mais qui est plutôt dans ta zone, on va dire, d'apprentissage. Je t'invite à noter cette chose et à t'engager avec toi-même. T'engager à la réaliser dans les prochains jours. Si tu le souhaites, tu peux me partager ton action, que ce soit en commentaire du podcast, si tu as... plateforme d'écoute te le permet, ou sinon sur les réseaux sociaux, sur mon Instagram par exemple, Oserion. Je serai hyper heureuse de savoir quel est ton défi et de savoir comment ça s'est passé pour toi aussi. Et je vais te laisser sur cette citation d'Antoine de Saint-Exupéry qui résume très bien le message que j'ai voulu te porter aujourd'hui. Seul l'inconnu épouvante les hommes, mais pour qui compte l'affronte, il n'est déjà plus l'inconnu. Je te dis à très bientôt pour un nouvel épisode de Un chemin vers soi. D'ici là, prends soin de toi et surtout, au sortir de ta zone de confort, un pas après l'autre.

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    Hello, je m'appelle Elsa et je suis Master Coach Certifié. Avec ce podcast, Un chemin vers soi, ma mission est de t'aider à mieux te comprendre et à t'accepter pour que tu aies, que tu puisses rayonner en toute authenticité. Je suis profondément convaincue qu'on a tous en nous une lumière qui ne demande qu'à briller. Et mon désir est que tu puisses prendre conscience de ta valeur. Découvrir ce chemin qui est le tien et impacter le monde à ta face. Ensemble, partons à la découverte de notre vérité, apprenons à nous révéler et osons marcher vers notre destinée. Hello, hello, bienvenue à toi dans Un chemin vers soi, le podcast pour les hypersensibles, par une hypersensible. Ici, on parle d'émotion, d'estime de soi, de confiance en soi, d'hypersensibilité bien entendu. Et aujourd'hui, j'avais à cœur de te parler de... de cette fameuse zone de confort. Alors, je ne pense pas me tromper en te disant que tu as probablement déjà ressenti une envie de changement, de faire quelque chose d'inhabituel. Mais même si tu avais cette envie au fond de toi, il y avait de la peur, de l'incertitude, beaucoup de questionnements. Et au final, tu n'agissais pas, tu procrastinais, tu tournais autour du pot et puis tu t'en voulais de ne pas passer à l'action. C'était toujours le projet de un jour, un jour peut-être, un jour je ferai. Et oui, et j'avoue, j'ai connu ça aussi. Et ça m'arrive encore parfois de procrastiner, de vouloir rester dans ma zone de confort, dans ce qui est connu, dans ce qui me fait du bien, là où je ne suis pas challengée, là où je ne suis pas bousculée. Alors pourquoi c'est si difficile de sortir de sa zone de confort ? Et puis, comment on fait pour le faire, pour réussir à passer outre tout ça, pour rester motivée, pour faire ses premiers pas et passer à l'action tout simplement ? Qu'est-ce qu'on appelle finalement la zone de confort ? Je pense que c'est pas mal de commencer par là. Même si ça peut paraître évident, mais on verra que pas tant que ça en vrai. Pour moi, la zone de confort, c'est cet espace. Cet espace autour de toi qui est connu. Cet environnement que tu maîtrises, dont tu connais les codes, les conséquences. Et finalement, t'as une sorte de contrôle sur ce qui se passe. Par exemple, si on prend un travail dans lequel tu es, un travail que tu fais depuis 5, 10, plus longtemps encore, tu connais tous les codes. Tu sais les challenges que tu peux rencontrer, tu as déjà un peu tout vécu finalement. On ne peut pas te la faire à l'envers. Tu sais ce qui va être simple, ce qui va être difficile, ce à quoi tu dois faire attention. Tu es vraiment en terrain connu. Du coup, tu peux anticiper et en un sens, c'est comme si tu maîtrisais. Ouais, c'est ça, tu contrôles en fait. Et l'humain adore contrôler. Du coup, généralement, dans ta zone de confort, il y a un côté agréable, puisqu'il y a un côté facile. Tu sais ce qui va se passer, tu peux anticiper, tu peux te préparer. C'est vraiment quelque chose de connu. Donc, tu n'as pas de risque, ou en tout cas, tu as moins de risque finalement de mal faire, que ça se passe mal ou d'être surpris et de traverser des choses qui vont te dépasser avec des émotions hyper désagréables. Dans ta zone de confort, il n'y a pas que de l'agréable en fait. Parfois la zone de confort est très inconfortable, mais on reste quand même. Ça peut paraître surprenant, mais des fois on souffre. On peut souffrir d'une situation, mais on va quand même préférer y rester, parce qu'on préfère cette douleur qui est connue que d'aller vers cette inconnue, où peut-être ce sera mieux, ou pire. En tout cas on anticipe que ce sera pire. C'est pour ça que parfois on ne bouge pas, on est complètement tétanisé. Et on reste dans cette situation de mal-être qui nous fait du mal. On peut dire en gros que cette zone de confort, elle nous protège. Elle nous protège du stress, des difficultés, de l'inconnu surtout. Mais à trop nous protéger, elle nous enferme. En fait, cette zone de confort, c'est comme une prison dorée. On peut y passer plein de temps, se complaire dedans. Qu'on soit plus ou moins heureux d'ailleurs. Mais ne pas oser passer à l'action. ne pas oser échanger, ne pas oser aller vers ses rêves, vers des projets qui nous font envie, même s'ils nous font peur. Et puis sa vie va passer comme ça, se dérouler sous nos yeux. Mais après, il sera trop tard. Et c'est bien dommage. Je pense qu'il faut aller chercher ce qu'on veut, aller chercher ses rêves au maximum, pour ne pas avoir de regrets, et pour se donner toutes les chances de réussir. Parce que si on n'essaye pas, on ne risque pas de réussir. Comme on dit souvent pour le loto, 100% des gagnants ont tenté leur chance. Même si les gains au loto sont très très faibles, je pense que cette phrase veut bien dire ce qu'elle veut dire. Notre cerveau aime tellement cette zone de confort qu'il a du mal à en sortir. Notre cerveau est habitué à la sécurité, ou du moins recherche cette sécurité. Il évite au maximum tout ce qui est inconnu, parce qu'il le perçoit comme une menace potentielle. Et le but de notre cerveau, c'est de nous maintenir en vie. Pas de nous faire évoluer, de nous faire grandir, mais de nous maintenir physiquement en vie. Et puis, on anticipe que si on fait quelque chose de nouveau, quelque chose d'inhabituel, on risque de se planter. Donc cette zone de confort, elle nous protège aussi de la peur de l'échec. et puis du regard des autres. Donc notre cerveau va s'accrocher à ce confort, même s'il n'est pas toujours confortable justement, même si parfois il n'est pas tout à fait satisfaisant, même s'il nous fait même souffrir, parce que cette situation que l'on connaît, on pense qu'on peut la gérer. Il y a quelque chose de rassurant en fait. Mais c'est important à ce stade de dire que sortir de sa zone de confort, ça ne veut pas forcément dire se jeter à l'eau tout de suite dans l'inconnu, se jeter dans le vide. Sans filet, sans rien. Pour pouvoir sortir intelligemment de sa zone de confort, il faut apprendre à l'étirer progressivement, découvrir ses nouvelles possibilités, ce nouvel environnement, ses nouvelles capacités aussi, ou les capacités enfouies que l'on a déjà en nous. Quand on a envie de faire quelque chose qui sort de l'ordinaire, qu'on imagine justement cette fameuse sortie de zone de confort, On a l'impression qu'il faudrait tout bouleverser du jour au lendemain. Mais la clé, en fait, c'est de découper tout ça en petits pas. D'avancer à son rythme, vers son objectif. Sans chercher à en faire trop, sans chercher à faire tout, tout de suite. Mais le découper pour que finalement on garde ce côté sécurité. Tout en étant un peu dans l'incertitude, forcément. Mais il faut que le cerveau comprenne que... Bah y'a pas mort d'homme en fait. et qu'il ne se met pas véritablement en danger. Et plus on rassure son cerveau, plus ce sera ok pour lui de faire ce qu'il n'a jamais fait. Je ne pouvais pas évoquer la zone de confort sans évoquer avec toi deux autres zones qui existent aussi et dont on parle un peu moins, je dirais. C'est ta zone d'apprentissage et ta zone de panique. En fait, ce qu'il y a dans l'esprit de chacun, Quand on doit passer à l'action et faire quelque chose qui nous paraît fou, on a l'impression qu'on va sortir de notre zone de confort et en fait on va jumper directement dans notre zone de panique. Mais il y a une étape intermédiaire, cette fameuse zone d'apprentissage. Cette zone d'apprentissage, c'est cet endroit où finalement, les choses sont challengeantes mais restent tout de même atteignables. On a le cœur qui bat, c'est inconfortable. Mais quelque part, on sait qu'on peut le faire, qu'on a besoin juste un peu de courage pour passer à l'action. Le but du jeu, c'est donc de jouer dans cette fameuse zone d'apprentissage et de faire passer des choses petit à petit dans sa zone de confort, qui va s'enrichir, qui va grandir au fur et à mesure du temps. Si tu as cette possibilité maintenant, je t'invite à mettre pause sur ce podcast, à prendre une feuille et à la diviser en trois sections, en trois colonnes. La première colonne, ça va être ce qui représente finalement ta zone de confort, ce que tu sais faire sans peur, sans crainte. Tu peux mettre par exemple le fait de pouvoir parler à tes amis, le fait de pouvoir donner ton avis dans une conversation quand tu n'es pas d'accord, ou encore peut-être le fait de cuisiner, de recevoir des amis à dîner. Dans la deuxième colonne, tu vas mettre ce que représente ta zone d'apprentissage. Toutes ces choses qui te challengent, mais qui, tu le sens bien au fond de toi, restent quand même atteignables. Des choses qui te font peur, mais que si tu prends ton courage à deux mains, en fait, tu sais que tu pourrais le faire. Tu l'as peut-être même déjà fait de manière un peu occasionnelle. Ça peut être le fait de parler en public devant une large assemblée, peut-être de demander un conseil. Et pour la troisième colonne, ça va être ta zone de panique. Dans cette zone-là, dans cette colonne-là, tu vas indiquer tout ce qui, pour l'instant, te terrifie. Et je dis bien pour l'instant, parce que finalement, rien n'est définitif. Plus tu t'entraînes, plus tu fais ces choses qui sont dans ta zone d'apprentissage, plus finalement, ta zone de confort s'agrandira et ces choses qui étaient avant dans ta zone d'apprentissage passeront dans ta zone de confort. Et idem, ce qui était dans ta zone de panique redescendra dans ta zone d'apprentissage. C'est comme ça que tu peux évoluer, comme ça que tu peux finalement oser un peu plus passer à l'action. En tout cas, c'est l'une des clés. Le deuxième point qui me paraît fondamental pour justement réussir à faire ces choses nouvelles, ces choses qui nous font peur, qui nous terrifient, c'est de changer de perspective et changer notre regard finalement sur le risque. Qu'est-ce qui va se passer ? Quelles vont être les conséquences ? Souvent, on a l'impression que tout va s'écrouler, que notre monde va s'effondrer et on anticipe des résultats ou des conséquences hyper négatives. Alors qu'au final... Finalement, souvent même, il ne se passe pas grand chose. Lorsque j'ai commencé à publier sur les réseaux sociaux, j'ai dû mettre en vrai deux semaines, trois semaines peut-être, avant d'oser publier mon premier post, d'appuyer sur ce fameux bouton pour qu'il soit visible de tous. J'avais peur qu'il ne soit pas à la hauteur, j'avais peur d'être critiqué, j'avais peur qu'il n'apporte pas assez de valeur. J'avais peur d'être rejeté tout simplement. Mais en réalité, c'était quoi le risque ? Que je n'ai pas de commentaires, pas de likes, et que mon post passe complètement à la trappe ? Oui, ok, et alors ? Est-ce que ça allait vraiment changer ma vie, en fait ? Si tu te poses deux secondes, deux minutes sur les choses que tu as envie de faire, Et que tu t'empêches de faire, parce que tu te dis que si c'est pas au niveau, si c'est pas parfait, si tu ne réussis pas, ça va être la catastrophe. Mais est-ce que t'en es vraiment sûre ? Est-ce que la catastrophe finalement ce n'est pas de ne pas oser, de ne pas passer à l'action, de ne pas tester ? Qu'est-ce que tu risques à te lancer ? Qu'est-ce que tu risques vraiment ? Pose-toi cette question, elle est fondamentale. Quand t'as peur de faire un pas, de poser une action, demande-toi, qu'est-ce qui bloque ? De quoi t'as peur ? De quoi t'as vraiment peur ? Est-ce que cette peur qui t'habite, qui t'anime, qui te brûle, est-ce qu'elle a lieu d'être ? Est-ce qu'elle peut se réaliser ? Est-ce que ton pire cauchemar peut devenir réalité ? Bien souvent, on se fait des films. On imagine des choses et la réalité en est toute autre. Changer ton regard sur ça, sur ce risque, sur cette vision de ce qu'on peut appeler l'échec, te permettra de te passer outre et de te dire ok, j'y vais, je teste. Et tant pis si ce n'est pas parfait. Tant pis si ce n'est pas au niveau des standards, de mes standards ou même des standards des autres personnes. Au moins j'aurais essayé, au moins je l'aurais fait. Et ce faisant, j'aurais une chance peut-être d'en tirer quelque chose, d'en tirer des enseignements. J'aurais une chance de progresser et que si je reprends mon exemple de poste, Que mon prochain poste ou mes prochains postes à l'avenir soient plus intéressant, soit plus graphique, soit plus pertinent, que j'ai du coup plus de likes, plus de commentaires, plus d'abonnés et tout ce qui s'ensuit. Mais s'il n'y a pas ce premier pas, ce premier pas où tu doutes, où tu es dans l'incertitude, où tu sais que ça ne va pas être parfait, où tu as peur, si tu ne passes pas cette première étape, tu n'as aucune chance, je dis bien aucune chance d'arriver au niveau où tout ira bien, où ce sera facile. où tu te sentiras aligné, où tu te sentiras finalement dans ta zone de confort. T'es obligé de passer par là. C'est une étape, c'est un chemin. Et je suis désolée pour toi, mais il n'y a pas vraiment de raccourci. Alors au lieu de voir tout ce que tu peux mal faire, tout ce qui peut mal tourner, tout ce qui peut te blesser, essaye de voir tout ce que tu pourrais gagner. Je suis sûre que ça t'est déjà arrivé et que si tu réfléchis, je suis sûre que tu pourras trouver une situation qui t'est arrivée, une situation passée. Où t'as osé justement faire ce premier pas, t'as osé sortir de ta zone de confort, faire quelque chose de nouveau. Et même si c'était pas parfait, même si peut-être ça a été difficile, ça a été peut-être douloureux, les conséquences n'ont peut-être pas été comme tu le souhaitais, mais finalement t'en as retiré des choses. Et puis même en termes d'émotion, à la fin tu t'es sentie finalement soulagée, heureuse d'avoir osé, fière de t'être lancée. et d'être sorti de cette fameuse zone de confort ? Et puis dans ce cas-là, est-ce que la peur, elle était aussi grande que tu l'imaginais ? Est-ce que les conséquences étaient aussi horribles que ce que tu imaginais ? Probablement pas. Alors vas-y, ose. Le seul risque que tu prends, c'est... d'apprendre, de t'améliorer et de mieux faire la prochaine fois. Je l'ai déjà évoqué au tout début de la création de ce podcast, mais j'ai beaucoup procrastiné aussi le fait de lancer ce podcast. Et là, cet épisode, il vient après un long moment, sans épisode, pour plein de raisons au niveau personnel, mais je crois que je suis aussi un peu retombée là-dedans, dans la peur de faire un épisode pertinent après ce que j'ai déjà fait, ce que j'ai déjà proposé, après Les beaux commentaires que j'ai eus, et je me suis dit mais qu'est-ce que j'ai encore à offrir ? Est-ce que je peux encore proposer quelque chose de qualité ? Est-ce que je sais encore le faire ? Mais si je reste avec ces questions-là, ce que j'ai fait pendant un temps, je ne sors pas d'épisode. Et du coup j'alimente ma peur, ma crainte, je reste dans cette situation, alors que je pourrais inverser la tendance, changer les choses. Retrouver ces automatismes, ces habitudes et m'améliorer pour que chaque épisode soit pertinent, que chaque épisode vous permette de progresser et te permette de te sentir mieux, de te sentir inspirée, confiante, rassurée, épaulée, comprise. Je ne dis pas que c'est facile, c'est clair, mais c'est accessible et je suis humaine comme toi alors si je peux le faire. Tu peux le faire aussi. Tu vois, finalement, ce passage à l'action, c'est beaucoup du mindset, de l'état d'esprit. Et c'est important de se dire que tu as le droit de faire les choses, tu as le droit de faire des erreurs, tu as le droit de te tromper, et que te tromper, ce n'est pas une fin en soi, ce n'est pas une fatalité. Au contraire, tes erreurs vont te permettre de grandir, d'avancer, d'apprendre des choses, de faire mieux. Tu vas pouvoir progresser. Et c'est important de te comparer à toi, finalement. À la toi que tu étais hier, à la toi que tu seras demain. Et pas te comparer aux autres qui n'ont pas ta vie, qui n'ont pas ton histoire, qui n'ont pas tes difficultés, qui n'ont pas tes points forts ni tes points faibles. Donc compare-toi uniquement à toi. Et puis célèbre, célèbre chaque petit pas que tu fais, chaque avancée. Même si ça te semble minime, c'est hyper important. Parce que c'est comme ça que tu grandis. En résumé, sortir de sa zone de confort, c'est possible. Et tu l'as déjà fait. Ne serait-ce qu'une fois. Mais garde en tête que c'est avant tout un chemin, pas une destination. C'est quelque chose qui s'apprend, quelque chose qui se travaille. L'important c'est d'avancer. Lentement. Un pas après l'autre. Et pour terminer, je voulais te proposer un petit défi. Je t'invite à choisir une action. Un truc simple. que tu as envie de faire mais que tu procrastines. Quelque chose qui te fait un petit peu peur mais qui est plutôt dans ta zone, on va dire, d'apprentissage. Je t'invite à noter cette chose et à t'engager avec toi-même. T'engager à la réaliser dans les prochains jours. Si tu le souhaites, tu peux me partager ton action, que ce soit en commentaire du podcast, si tu as... plateforme d'écoute te le permet, ou sinon sur les réseaux sociaux, sur mon Instagram par exemple, Oserion. Je serai hyper heureuse de savoir quel est ton défi et de savoir comment ça s'est passé pour toi aussi. Et je vais te laisser sur cette citation d'Antoine de Saint-Exupéry qui résume très bien le message que j'ai voulu te porter aujourd'hui. Seul l'inconnu épouvante les hommes, mais pour qui compte l'affronte, il n'est déjà plus l'inconnu. Je te dis à très bientôt pour un nouvel épisode de Un chemin vers soi. D'ici là, prends soin de toi et surtout, au sortir de ta zone de confort, un pas après l'autre.

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Si cet épisode a fait écho en toi ou s'il t'a plu tout simplement, je t'invite à me laisser 5 étoiles et un commentaire (si ta plateforme d'écoute le permet) afin que mon contenu puisse être proposé à plus de personnes.

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Si tu aimes La vie suffit, Potentiel, Change ma vie, Des questions que tout le monde se pose, alors tu aimeras Un chemin vers soi.

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🦋 Je suis Elsa, boosteuse d'estime. J’accompagne les femmes hypersensibles à naviguer à travers leurs émotions et à renforcer leur estime d’elle-même, grâce à l’alliance du coaching et de la sophrologie, afin qu'elles puissent se sentir sereine et épanouie. ✨

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#confiance en soi #zone de confort #rpasser à l'action #courage


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hello, je m'appelle Elsa et je suis Master Coach Certifié. Avec ce podcast, Un chemin vers soi, ma mission est de t'aider à mieux te comprendre et à t'accepter pour que tu aies, que tu puisses rayonner en toute authenticité. Je suis profondément convaincue qu'on a tous en nous une lumière qui ne demande qu'à briller. Et mon désir est que tu puisses prendre conscience de ta valeur. Découvrir ce chemin qui est le tien et impacter le monde à ta face. Ensemble, partons à la découverte de notre vérité, apprenons à nous révéler et osons marcher vers notre destinée. Hello, hello, bienvenue à toi dans Un chemin vers soi, le podcast pour les hypersensibles, par une hypersensible. Ici, on parle d'émotion, d'estime de soi, de confiance en soi, d'hypersensibilité bien entendu. Et aujourd'hui, j'avais à cœur de te parler de... de cette fameuse zone de confort. Alors, je ne pense pas me tromper en te disant que tu as probablement déjà ressenti une envie de changement, de faire quelque chose d'inhabituel. Mais même si tu avais cette envie au fond de toi, il y avait de la peur, de l'incertitude, beaucoup de questionnements. Et au final, tu n'agissais pas, tu procrastinais, tu tournais autour du pot et puis tu t'en voulais de ne pas passer à l'action. C'était toujours le projet de un jour, un jour peut-être, un jour je ferai. Et oui, et j'avoue, j'ai connu ça aussi. Et ça m'arrive encore parfois de procrastiner, de vouloir rester dans ma zone de confort, dans ce qui est connu, dans ce qui me fait du bien, là où je ne suis pas challengée, là où je ne suis pas bousculée. Alors pourquoi c'est si difficile de sortir de sa zone de confort ? Et puis, comment on fait pour le faire, pour réussir à passer outre tout ça, pour rester motivée, pour faire ses premiers pas et passer à l'action tout simplement ? Qu'est-ce qu'on appelle finalement la zone de confort ? Je pense que c'est pas mal de commencer par là. Même si ça peut paraître évident, mais on verra que pas tant que ça en vrai. Pour moi, la zone de confort, c'est cet espace. Cet espace autour de toi qui est connu. Cet environnement que tu maîtrises, dont tu connais les codes, les conséquences. Et finalement, t'as une sorte de contrôle sur ce qui se passe. Par exemple, si on prend un travail dans lequel tu es, un travail que tu fais depuis 5, 10, plus longtemps encore, tu connais tous les codes. Tu sais les challenges que tu peux rencontrer, tu as déjà un peu tout vécu finalement. On ne peut pas te la faire à l'envers. Tu sais ce qui va être simple, ce qui va être difficile, ce à quoi tu dois faire attention. Tu es vraiment en terrain connu. Du coup, tu peux anticiper et en un sens, c'est comme si tu maîtrisais. Ouais, c'est ça, tu contrôles en fait. Et l'humain adore contrôler. Du coup, généralement, dans ta zone de confort, il y a un côté agréable, puisqu'il y a un côté facile. Tu sais ce qui va se passer, tu peux anticiper, tu peux te préparer. C'est vraiment quelque chose de connu. Donc, tu n'as pas de risque, ou en tout cas, tu as moins de risque finalement de mal faire, que ça se passe mal ou d'être surpris et de traverser des choses qui vont te dépasser avec des émotions hyper désagréables. Dans ta zone de confort, il n'y a pas que de l'agréable en fait. Parfois la zone de confort est très inconfortable, mais on reste quand même. Ça peut paraître surprenant, mais des fois on souffre. On peut souffrir d'une situation, mais on va quand même préférer y rester, parce qu'on préfère cette douleur qui est connue que d'aller vers cette inconnue, où peut-être ce sera mieux, ou pire. En tout cas on anticipe que ce sera pire. C'est pour ça que parfois on ne bouge pas, on est complètement tétanisé. Et on reste dans cette situation de mal-être qui nous fait du mal. On peut dire en gros que cette zone de confort, elle nous protège. Elle nous protège du stress, des difficultés, de l'inconnu surtout. Mais à trop nous protéger, elle nous enferme. En fait, cette zone de confort, c'est comme une prison dorée. On peut y passer plein de temps, se complaire dedans. Qu'on soit plus ou moins heureux d'ailleurs. Mais ne pas oser passer à l'action. ne pas oser échanger, ne pas oser aller vers ses rêves, vers des projets qui nous font envie, même s'ils nous font peur. Et puis sa vie va passer comme ça, se dérouler sous nos yeux. Mais après, il sera trop tard. Et c'est bien dommage. Je pense qu'il faut aller chercher ce qu'on veut, aller chercher ses rêves au maximum, pour ne pas avoir de regrets, et pour se donner toutes les chances de réussir. Parce que si on n'essaye pas, on ne risque pas de réussir. Comme on dit souvent pour le loto, 100% des gagnants ont tenté leur chance. Même si les gains au loto sont très très faibles, je pense que cette phrase veut bien dire ce qu'elle veut dire. Notre cerveau aime tellement cette zone de confort qu'il a du mal à en sortir. Notre cerveau est habitué à la sécurité, ou du moins recherche cette sécurité. Il évite au maximum tout ce qui est inconnu, parce qu'il le perçoit comme une menace potentielle. Et le but de notre cerveau, c'est de nous maintenir en vie. Pas de nous faire évoluer, de nous faire grandir, mais de nous maintenir physiquement en vie. Et puis, on anticipe que si on fait quelque chose de nouveau, quelque chose d'inhabituel, on risque de se planter. Donc cette zone de confort, elle nous protège aussi de la peur de l'échec. et puis du regard des autres. Donc notre cerveau va s'accrocher à ce confort, même s'il n'est pas toujours confortable justement, même si parfois il n'est pas tout à fait satisfaisant, même s'il nous fait même souffrir, parce que cette situation que l'on connaît, on pense qu'on peut la gérer. Il y a quelque chose de rassurant en fait. Mais c'est important à ce stade de dire que sortir de sa zone de confort, ça ne veut pas forcément dire se jeter à l'eau tout de suite dans l'inconnu, se jeter dans le vide. Sans filet, sans rien. Pour pouvoir sortir intelligemment de sa zone de confort, il faut apprendre à l'étirer progressivement, découvrir ses nouvelles possibilités, ce nouvel environnement, ses nouvelles capacités aussi, ou les capacités enfouies que l'on a déjà en nous. Quand on a envie de faire quelque chose qui sort de l'ordinaire, qu'on imagine justement cette fameuse sortie de zone de confort, On a l'impression qu'il faudrait tout bouleverser du jour au lendemain. Mais la clé, en fait, c'est de découper tout ça en petits pas. D'avancer à son rythme, vers son objectif. Sans chercher à en faire trop, sans chercher à faire tout, tout de suite. Mais le découper pour que finalement on garde ce côté sécurité. Tout en étant un peu dans l'incertitude, forcément. Mais il faut que le cerveau comprenne que... Bah y'a pas mort d'homme en fait. et qu'il ne se met pas véritablement en danger. Et plus on rassure son cerveau, plus ce sera ok pour lui de faire ce qu'il n'a jamais fait. Je ne pouvais pas évoquer la zone de confort sans évoquer avec toi deux autres zones qui existent aussi et dont on parle un peu moins, je dirais. C'est ta zone d'apprentissage et ta zone de panique. En fait, ce qu'il y a dans l'esprit de chacun, Quand on doit passer à l'action et faire quelque chose qui nous paraît fou, on a l'impression qu'on va sortir de notre zone de confort et en fait on va jumper directement dans notre zone de panique. Mais il y a une étape intermédiaire, cette fameuse zone d'apprentissage. Cette zone d'apprentissage, c'est cet endroit où finalement, les choses sont challengeantes mais restent tout de même atteignables. On a le cœur qui bat, c'est inconfortable. Mais quelque part, on sait qu'on peut le faire, qu'on a besoin juste un peu de courage pour passer à l'action. Le but du jeu, c'est donc de jouer dans cette fameuse zone d'apprentissage et de faire passer des choses petit à petit dans sa zone de confort, qui va s'enrichir, qui va grandir au fur et à mesure du temps. Si tu as cette possibilité maintenant, je t'invite à mettre pause sur ce podcast, à prendre une feuille et à la diviser en trois sections, en trois colonnes. La première colonne, ça va être ce qui représente finalement ta zone de confort, ce que tu sais faire sans peur, sans crainte. Tu peux mettre par exemple le fait de pouvoir parler à tes amis, le fait de pouvoir donner ton avis dans une conversation quand tu n'es pas d'accord, ou encore peut-être le fait de cuisiner, de recevoir des amis à dîner. Dans la deuxième colonne, tu vas mettre ce que représente ta zone d'apprentissage. Toutes ces choses qui te challengent, mais qui, tu le sens bien au fond de toi, restent quand même atteignables. Des choses qui te font peur, mais que si tu prends ton courage à deux mains, en fait, tu sais que tu pourrais le faire. Tu l'as peut-être même déjà fait de manière un peu occasionnelle. Ça peut être le fait de parler en public devant une large assemblée, peut-être de demander un conseil. Et pour la troisième colonne, ça va être ta zone de panique. Dans cette zone-là, dans cette colonne-là, tu vas indiquer tout ce qui, pour l'instant, te terrifie. Et je dis bien pour l'instant, parce que finalement, rien n'est définitif. Plus tu t'entraînes, plus tu fais ces choses qui sont dans ta zone d'apprentissage, plus finalement, ta zone de confort s'agrandira et ces choses qui étaient avant dans ta zone d'apprentissage passeront dans ta zone de confort. Et idem, ce qui était dans ta zone de panique redescendra dans ta zone d'apprentissage. C'est comme ça que tu peux évoluer, comme ça que tu peux finalement oser un peu plus passer à l'action. En tout cas, c'est l'une des clés. Le deuxième point qui me paraît fondamental pour justement réussir à faire ces choses nouvelles, ces choses qui nous font peur, qui nous terrifient, c'est de changer de perspective et changer notre regard finalement sur le risque. Qu'est-ce qui va se passer ? Quelles vont être les conséquences ? Souvent, on a l'impression que tout va s'écrouler, que notre monde va s'effondrer et on anticipe des résultats ou des conséquences hyper négatives. Alors qu'au final... Finalement, souvent même, il ne se passe pas grand chose. Lorsque j'ai commencé à publier sur les réseaux sociaux, j'ai dû mettre en vrai deux semaines, trois semaines peut-être, avant d'oser publier mon premier post, d'appuyer sur ce fameux bouton pour qu'il soit visible de tous. J'avais peur qu'il ne soit pas à la hauteur, j'avais peur d'être critiqué, j'avais peur qu'il n'apporte pas assez de valeur. J'avais peur d'être rejeté tout simplement. Mais en réalité, c'était quoi le risque ? Que je n'ai pas de commentaires, pas de likes, et que mon post passe complètement à la trappe ? Oui, ok, et alors ? Est-ce que ça allait vraiment changer ma vie, en fait ? Si tu te poses deux secondes, deux minutes sur les choses que tu as envie de faire, Et que tu t'empêches de faire, parce que tu te dis que si c'est pas au niveau, si c'est pas parfait, si tu ne réussis pas, ça va être la catastrophe. Mais est-ce que t'en es vraiment sûre ? Est-ce que la catastrophe finalement ce n'est pas de ne pas oser, de ne pas passer à l'action, de ne pas tester ? Qu'est-ce que tu risques à te lancer ? Qu'est-ce que tu risques vraiment ? Pose-toi cette question, elle est fondamentale. Quand t'as peur de faire un pas, de poser une action, demande-toi, qu'est-ce qui bloque ? De quoi t'as peur ? De quoi t'as vraiment peur ? Est-ce que cette peur qui t'habite, qui t'anime, qui te brûle, est-ce qu'elle a lieu d'être ? Est-ce qu'elle peut se réaliser ? Est-ce que ton pire cauchemar peut devenir réalité ? Bien souvent, on se fait des films. On imagine des choses et la réalité en est toute autre. Changer ton regard sur ça, sur ce risque, sur cette vision de ce qu'on peut appeler l'échec, te permettra de te passer outre et de te dire ok, j'y vais, je teste. Et tant pis si ce n'est pas parfait. Tant pis si ce n'est pas au niveau des standards, de mes standards ou même des standards des autres personnes. Au moins j'aurais essayé, au moins je l'aurais fait. Et ce faisant, j'aurais une chance peut-être d'en tirer quelque chose, d'en tirer des enseignements. J'aurais une chance de progresser et que si je reprends mon exemple de poste, Que mon prochain poste ou mes prochains postes à l'avenir soient plus intéressant, soit plus graphique, soit plus pertinent, que j'ai du coup plus de likes, plus de commentaires, plus d'abonnés et tout ce qui s'ensuit. Mais s'il n'y a pas ce premier pas, ce premier pas où tu doutes, où tu es dans l'incertitude, où tu sais que ça ne va pas être parfait, où tu as peur, si tu ne passes pas cette première étape, tu n'as aucune chance, je dis bien aucune chance d'arriver au niveau où tout ira bien, où ce sera facile. où tu te sentiras aligné, où tu te sentiras finalement dans ta zone de confort. T'es obligé de passer par là. C'est une étape, c'est un chemin. Et je suis désolée pour toi, mais il n'y a pas vraiment de raccourci. Alors au lieu de voir tout ce que tu peux mal faire, tout ce qui peut mal tourner, tout ce qui peut te blesser, essaye de voir tout ce que tu pourrais gagner. Je suis sûre que ça t'est déjà arrivé et que si tu réfléchis, je suis sûre que tu pourras trouver une situation qui t'est arrivée, une situation passée. Où t'as osé justement faire ce premier pas, t'as osé sortir de ta zone de confort, faire quelque chose de nouveau. Et même si c'était pas parfait, même si peut-être ça a été difficile, ça a été peut-être douloureux, les conséquences n'ont peut-être pas été comme tu le souhaitais, mais finalement t'en as retiré des choses. Et puis même en termes d'émotion, à la fin tu t'es sentie finalement soulagée, heureuse d'avoir osé, fière de t'être lancée. et d'être sorti de cette fameuse zone de confort ? Et puis dans ce cas-là, est-ce que la peur, elle était aussi grande que tu l'imaginais ? Est-ce que les conséquences étaient aussi horribles que ce que tu imaginais ? Probablement pas. Alors vas-y, ose. Le seul risque que tu prends, c'est... d'apprendre, de t'améliorer et de mieux faire la prochaine fois. Je l'ai déjà évoqué au tout début de la création de ce podcast, mais j'ai beaucoup procrastiné aussi le fait de lancer ce podcast. Et là, cet épisode, il vient après un long moment, sans épisode, pour plein de raisons au niveau personnel, mais je crois que je suis aussi un peu retombée là-dedans, dans la peur de faire un épisode pertinent après ce que j'ai déjà fait, ce que j'ai déjà proposé, après Les beaux commentaires que j'ai eus, et je me suis dit mais qu'est-ce que j'ai encore à offrir ? Est-ce que je peux encore proposer quelque chose de qualité ? Est-ce que je sais encore le faire ? Mais si je reste avec ces questions-là, ce que j'ai fait pendant un temps, je ne sors pas d'épisode. Et du coup j'alimente ma peur, ma crainte, je reste dans cette situation, alors que je pourrais inverser la tendance, changer les choses. Retrouver ces automatismes, ces habitudes et m'améliorer pour que chaque épisode soit pertinent, que chaque épisode vous permette de progresser et te permette de te sentir mieux, de te sentir inspirée, confiante, rassurée, épaulée, comprise. Je ne dis pas que c'est facile, c'est clair, mais c'est accessible et je suis humaine comme toi alors si je peux le faire. Tu peux le faire aussi. Tu vois, finalement, ce passage à l'action, c'est beaucoup du mindset, de l'état d'esprit. Et c'est important de se dire que tu as le droit de faire les choses, tu as le droit de faire des erreurs, tu as le droit de te tromper, et que te tromper, ce n'est pas une fin en soi, ce n'est pas une fatalité. Au contraire, tes erreurs vont te permettre de grandir, d'avancer, d'apprendre des choses, de faire mieux. Tu vas pouvoir progresser. Et c'est important de te comparer à toi, finalement. À la toi que tu étais hier, à la toi que tu seras demain. Et pas te comparer aux autres qui n'ont pas ta vie, qui n'ont pas ton histoire, qui n'ont pas tes difficultés, qui n'ont pas tes points forts ni tes points faibles. Donc compare-toi uniquement à toi. Et puis célèbre, célèbre chaque petit pas que tu fais, chaque avancée. Même si ça te semble minime, c'est hyper important. Parce que c'est comme ça que tu grandis. En résumé, sortir de sa zone de confort, c'est possible. Et tu l'as déjà fait. Ne serait-ce qu'une fois. Mais garde en tête que c'est avant tout un chemin, pas une destination. C'est quelque chose qui s'apprend, quelque chose qui se travaille. L'important c'est d'avancer. Lentement. Un pas après l'autre. Et pour terminer, je voulais te proposer un petit défi. Je t'invite à choisir une action. Un truc simple. que tu as envie de faire mais que tu procrastines. Quelque chose qui te fait un petit peu peur mais qui est plutôt dans ta zone, on va dire, d'apprentissage. Je t'invite à noter cette chose et à t'engager avec toi-même. T'engager à la réaliser dans les prochains jours. Si tu le souhaites, tu peux me partager ton action, que ce soit en commentaire du podcast, si tu as... plateforme d'écoute te le permet, ou sinon sur les réseaux sociaux, sur mon Instagram par exemple, Oserion. Je serai hyper heureuse de savoir quel est ton défi et de savoir comment ça s'est passé pour toi aussi. Et je vais te laisser sur cette citation d'Antoine de Saint-Exupéry qui résume très bien le message que j'ai voulu te porter aujourd'hui. Seul l'inconnu épouvante les hommes, mais pour qui compte l'affronte, il n'est déjà plus l'inconnu. Je te dis à très bientôt pour un nouvel épisode de Un chemin vers soi. D'ici là, prends soin de toi et surtout, au sortir de ta zone de confort, un pas après l'autre.

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    Hello, je m'appelle Elsa et je suis Master Coach Certifié. Avec ce podcast, Un chemin vers soi, ma mission est de t'aider à mieux te comprendre et à t'accepter pour que tu aies, que tu puisses rayonner en toute authenticité. Je suis profondément convaincue qu'on a tous en nous une lumière qui ne demande qu'à briller. Et mon désir est que tu puisses prendre conscience de ta valeur. Découvrir ce chemin qui est le tien et impacter le monde à ta face. Ensemble, partons à la découverte de notre vérité, apprenons à nous révéler et osons marcher vers notre destinée. Hello, hello, bienvenue à toi dans Un chemin vers soi, le podcast pour les hypersensibles, par une hypersensible. Ici, on parle d'émotion, d'estime de soi, de confiance en soi, d'hypersensibilité bien entendu. Et aujourd'hui, j'avais à cœur de te parler de... de cette fameuse zone de confort. Alors, je ne pense pas me tromper en te disant que tu as probablement déjà ressenti une envie de changement, de faire quelque chose d'inhabituel. Mais même si tu avais cette envie au fond de toi, il y avait de la peur, de l'incertitude, beaucoup de questionnements. Et au final, tu n'agissais pas, tu procrastinais, tu tournais autour du pot et puis tu t'en voulais de ne pas passer à l'action. C'était toujours le projet de un jour, un jour peut-être, un jour je ferai. Et oui, et j'avoue, j'ai connu ça aussi. Et ça m'arrive encore parfois de procrastiner, de vouloir rester dans ma zone de confort, dans ce qui est connu, dans ce qui me fait du bien, là où je ne suis pas challengée, là où je ne suis pas bousculée. Alors pourquoi c'est si difficile de sortir de sa zone de confort ? Et puis, comment on fait pour le faire, pour réussir à passer outre tout ça, pour rester motivée, pour faire ses premiers pas et passer à l'action tout simplement ? Qu'est-ce qu'on appelle finalement la zone de confort ? Je pense que c'est pas mal de commencer par là. Même si ça peut paraître évident, mais on verra que pas tant que ça en vrai. Pour moi, la zone de confort, c'est cet espace. Cet espace autour de toi qui est connu. Cet environnement que tu maîtrises, dont tu connais les codes, les conséquences. Et finalement, t'as une sorte de contrôle sur ce qui se passe. Par exemple, si on prend un travail dans lequel tu es, un travail que tu fais depuis 5, 10, plus longtemps encore, tu connais tous les codes. Tu sais les challenges que tu peux rencontrer, tu as déjà un peu tout vécu finalement. On ne peut pas te la faire à l'envers. Tu sais ce qui va être simple, ce qui va être difficile, ce à quoi tu dois faire attention. Tu es vraiment en terrain connu. Du coup, tu peux anticiper et en un sens, c'est comme si tu maîtrisais. Ouais, c'est ça, tu contrôles en fait. Et l'humain adore contrôler. Du coup, généralement, dans ta zone de confort, il y a un côté agréable, puisqu'il y a un côté facile. Tu sais ce qui va se passer, tu peux anticiper, tu peux te préparer. C'est vraiment quelque chose de connu. Donc, tu n'as pas de risque, ou en tout cas, tu as moins de risque finalement de mal faire, que ça se passe mal ou d'être surpris et de traverser des choses qui vont te dépasser avec des émotions hyper désagréables. Dans ta zone de confort, il n'y a pas que de l'agréable en fait. Parfois la zone de confort est très inconfortable, mais on reste quand même. Ça peut paraître surprenant, mais des fois on souffre. On peut souffrir d'une situation, mais on va quand même préférer y rester, parce qu'on préfère cette douleur qui est connue que d'aller vers cette inconnue, où peut-être ce sera mieux, ou pire. En tout cas on anticipe que ce sera pire. C'est pour ça que parfois on ne bouge pas, on est complètement tétanisé. Et on reste dans cette situation de mal-être qui nous fait du mal. On peut dire en gros que cette zone de confort, elle nous protège. Elle nous protège du stress, des difficultés, de l'inconnu surtout. Mais à trop nous protéger, elle nous enferme. En fait, cette zone de confort, c'est comme une prison dorée. On peut y passer plein de temps, se complaire dedans. Qu'on soit plus ou moins heureux d'ailleurs. Mais ne pas oser passer à l'action. ne pas oser échanger, ne pas oser aller vers ses rêves, vers des projets qui nous font envie, même s'ils nous font peur. Et puis sa vie va passer comme ça, se dérouler sous nos yeux. Mais après, il sera trop tard. Et c'est bien dommage. Je pense qu'il faut aller chercher ce qu'on veut, aller chercher ses rêves au maximum, pour ne pas avoir de regrets, et pour se donner toutes les chances de réussir. Parce que si on n'essaye pas, on ne risque pas de réussir. Comme on dit souvent pour le loto, 100% des gagnants ont tenté leur chance. Même si les gains au loto sont très très faibles, je pense que cette phrase veut bien dire ce qu'elle veut dire. Notre cerveau aime tellement cette zone de confort qu'il a du mal à en sortir. Notre cerveau est habitué à la sécurité, ou du moins recherche cette sécurité. Il évite au maximum tout ce qui est inconnu, parce qu'il le perçoit comme une menace potentielle. Et le but de notre cerveau, c'est de nous maintenir en vie. Pas de nous faire évoluer, de nous faire grandir, mais de nous maintenir physiquement en vie. Et puis, on anticipe que si on fait quelque chose de nouveau, quelque chose d'inhabituel, on risque de se planter. Donc cette zone de confort, elle nous protège aussi de la peur de l'échec. et puis du regard des autres. Donc notre cerveau va s'accrocher à ce confort, même s'il n'est pas toujours confortable justement, même si parfois il n'est pas tout à fait satisfaisant, même s'il nous fait même souffrir, parce que cette situation que l'on connaît, on pense qu'on peut la gérer. Il y a quelque chose de rassurant en fait. Mais c'est important à ce stade de dire que sortir de sa zone de confort, ça ne veut pas forcément dire se jeter à l'eau tout de suite dans l'inconnu, se jeter dans le vide. Sans filet, sans rien. Pour pouvoir sortir intelligemment de sa zone de confort, il faut apprendre à l'étirer progressivement, découvrir ses nouvelles possibilités, ce nouvel environnement, ses nouvelles capacités aussi, ou les capacités enfouies que l'on a déjà en nous. Quand on a envie de faire quelque chose qui sort de l'ordinaire, qu'on imagine justement cette fameuse sortie de zone de confort, On a l'impression qu'il faudrait tout bouleverser du jour au lendemain. Mais la clé, en fait, c'est de découper tout ça en petits pas. D'avancer à son rythme, vers son objectif. Sans chercher à en faire trop, sans chercher à faire tout, tout de suite. Mais le découper pour que finalement on garde ce côté sécurité. Tout en étant un peu dans l'incertitude, forcément. Mais il faut que le cerveau comprenne que... Bah y'a pas mort d'homme en fait. et qu'il ne se met pas véritablement en danger. Et plus on rassure son cerveau, plus ce sera ok pour lui de faire ce qu'il n'a jamais fait. Je ne pouvais pas évoquer la zone de confort sans évoquer avec toi deux autres zones qui existent aussi et dont on parle un peu moins, je dirais. C'est ta zone d'apprentissage et ta zone de panique. En fait, ce qu'il y a dans l'esprit de chacun, Quand on doit passer à l'action et faire quelque chose qui nous paraît fou, on a l'impression qu'on va sortir de notre zone de confort et en fait on va jumper directement dans notre zone de panique. Mais il y a une étape intermédiaire, cette fameuse zone d'apprentissage. Cette zone d'apprentissage, c'est cet endroit où finalement, les choses sont challengeantes mais restent tout de même atteignables. On a le cœur qui bat, c'est inconfortable. Mais quelque part, on sait qu'on peut le faire, qu'on a besoin juste un peu de courage pour passer à l'action. Le but du jeu, c'est donc de jouer dans cette fameuse zone d'apprentissage et de faire passer des choses petit à petit dans sa zone de confort, qui va s'enrichir, qui va grandir au fur et à mesure du temps. Si tu as cette possibilité maintenant, je t'invite à mettre pause sur ce podcast, à prendre une feuille et à la diviser en trois sections, en trois colonnes. La première colonne, ça va être ce qui représente finalement ta zone de confort, ce que tu sais faire sans peur, sans crainte. Tu peux mettre par exemple le fait de pouvoir parler à tes amis, le fait de pouvoir donner ton avis dans une conversation quand tu n'es pas d'accord, ou encore peut-être le fait de cuisiner, de recevoir des amis à dîner. Dans la deuxième colonne, tu vas mettre ce que représente ta zone d'apprentissage. Toutes ces choses qui te challengent, mais qui, tu le sens bien au fond de toi, restent quand même atteignables. Des choses qui te font peur, mais que si tu prends ton courage à deux mains, en fait, tu sais que tu pourrais le faire. Tu l'as peut-être même déjà fait de manière un peu occasionnelle. Ça peut être le fait de parler en public devant une large assemblée, peut-être de demander un conseil. Et pour la troisième colonne, ça va être ta zone de panique. Dans cette zone-là, dans cette colonne-là, tu vas indiquer tout ce qui, pour l'instant, te terrifie. Et je dis bien pour l'instant, parce que finalement, rien n'est définitif. Plus tu t'entraînes, plus tu fais ces choses qui sont dans ta zone d'apprentissage, plus finalement, ta zone de confort s'agrandira et ces choses qui étaient avant dans ta zone d'apprentissage passeront dans ta zone de confort. Et idem, ce qui était dans ta zone de panique redescendra dans ta zone d'apprentissage. C'est comme ça que tu peux évoluer, comme ça que tu peux finalement oser un peu plus passer à l'action. En tout cas, c'est l'une des clés. Le deuxième point qui me paraît fondamental pour justement réussir à faire ces choses nouvelles, ces choses qui nous font peur, qui nous terrifient, c'est de changer de perspective et changer notre regard finalement sur le risque. Qu'est-ce qui va se passer ? Quelles vont être les conséquences ? Souvent, on a l'impression que tout va s'écrouler, que notre monde va s'effondrer et on anticipe des résultats ou des conséquences hyper négatives. Alors qu'au final... Finalement, souvent même, il ne se passe pas grand chose. Lorsque j'ai commencé à publier sur les réseaux sociaux, j'ai dû mettre en vrai deux semaines, trois semaines peut-être, avant d'oser publier mon premier post, d'appuyer sur ce fameux bouton pour qu'il soit visible de tous. J'avais peur qu'il ne soit pas à la hauteur, j'avais peur d'être critiqué, j'avais peur qu'il n'apporte pas assez de valeur. J'avais peur d'être rejeté tout simplement. Mais en réalité, c'était quoi le risque ? Que je n'ai pas de commentaires, pas de likes, et que mon post passe complètement à la trappe ? Oui, ok, et alors ? Est-ce que ça allait vraiment changer ma vie, en fait ? Si tu te poses deux secondes, deux minutes sur les choses que tu as envie de faire, Et que tu t'empêches de faire, parce que tu te dis que si c'est pas au niveau, si c'est pas parfait, si tu ne réussis pas, ça va être la catastrophe. Mais est-ce que t'en es vraiment sûre ? Est-ce que la catastrophe finalement ce n'est pas de ne pas oser, de ne pas passer à l'action, de ne pas tester ? Qu'est-ce que tu risques à te lancer ? Qu'est-ce que tu risques vraiment ? Pose-toi cette question, elle est fondamentale. Quand t'as peur de faire un pas, de poser une action, demande-toi, qu'est-ce qui bloque ? De quoi t'as peur ? De quoi t'as vraiment peur ? Est-ce que cette peur qui t'habite, qui t'anime, qui te brûle, est-ce qu'elle a lieu d'être ? Est-ce qu'elle peut se réaliser ? Est-ce que ton pire cauchemar peut devenir réalité ? Bien souvent, on se fait des films. On imagine des choses et la réalité en est toute autre. Changer ton regard sur ça, sur ce risque, sur cette vision de ce qu'on peut appeler l'échec, te permettra de te passer outre et de te dire ok, j'y vais, je teste. Et tant pis si ce n'est pas parfait. Tant pis si ce n'est pas au niveau des standards, de mes standards ou même des standards des autres personnes. Au moins j'aurais essayé, au moins je l'aurais fait. Et ce faisant, j'aurais une chance peut-être d'en tirer quelque chose, d'en tirer des enseignements. J'aurais une chance de progresser et que si je reprends mon exemple de poste, Que mon prochain poste ou mes prochains postes à l'avenir soient plus intéressant, soit plus graphique, soit plus pertinent, que j'ai du coup plus de likes, plus de commentaires, plus d'abonnés et tout ce qui s'ensuit. Mais s'il n'y a pas ce premier pas, ce premier pas où tu doutes, où tu es dans l'incertitude, où tu sais que ça ne va pas être parfait, où tu as peur, si tu ne passes pas cette première étape, tu n'as aucune chance, je dis bien aucune chance d'arriver au niveau où tout ira bien, où ce sera facile. où tu te sentiras aligné, où tu te sentiras finalement dans ta zone de confort. T'es obligé de passer par là. C'est une étape, c'est un chemin. Et je suis désolée pour toi, mais il n'y a pas vraiment de raccourci. Alors au lieu de voir tout ce que tu peux mal faire, tout ce qui peut mal tourner, tout ce qui peut te blesser, essaye de voir tout ce que tu pourrais gagner. Je suis sûre que ça t'est déjà arrivé et que si tu réfléchis, je suis sûre que tu pourras trouver une situation qui t'est arrivée, une situation passée. Où t'as osé justement faire ce premier pas, t'as osé sortir de ta zone de confort, faire quelque chose de nouveau. Et même si c'était pas parfait, même si peut-être ça a été difficile, ça a été peut-être douloureux, les conséquences n'ont peut-être pas été comme tu le souhaitais, mais finalement t'en as retiré des choses. Et puis même en termes d'émotion, à la fin tu t'es sentie finalement soulagée, heureuse d'avoir osé, fière de t'être lancée. et d'être sorti de cette fameuse zone de confort ? Et puis dans ce cas-là, est-ce que la peur, elle était aussi grande que tu l'imaginais ? Est-ce que les conséquences étaient aussi horribles que ce que tu imaginais ? Probablement pas. Alors vas-y, ose. Le seul risque que tu prends, c'est... d'apprendre, de t'améliorer et de mieux faire la prochaine fois. Je l'ai déjà évoqué au tout début de la création de ce podcast, mais j'ai beaucoup procrastiné aussi le fait de lancer ce podcast. Et là, cet épisode, il vient après un long moment, sans épisode, pour plein de raisons au niveau personnel, mais je crois que je suis aussi un peu retombée là-dedans, dans la peur de faire un épisode pertinent après ce que j'ai déjà fait, ce que j'ai déjà proposé, après Les beaux commentaires que j'ai eus, et je me suis dit mais qu'est-ce que j'ai encore à offrir ? Est-ce que je peux encore proposer quelque chose de qualité ? Est-ce que je sais encore le faire ? Mais si je reste avec ces questions-là, ce que j'ai fait pendant un temps, je ne sors pas d'épisode. Et du coup j'alimente ma peur, ma crainte, je reste dans cette situation, alors que je pourrais inverser la tendance, changer les choses. Retrouver ces automatismes, ces habitudes et m'améliorer pour que chaque épisode soit pertinent, que chaque épisode vous permette de progresser et te permette de te sentir mieux, de te sentir inspirée, confiante, rassurée, épaulée, comprise. Je ne dis pas que c'est facile, c'est clair, mais c'est accessible et je suis humaine comme toi alors si je peux le faire. Tu peux le faire aussi. Tu vois, finalement, ce passage à l'action, c'est beaucoup du mindset, de l'état d'esprit. Et c'est important de se dire que tu as le droit de faire les choses, tu as le droit de faire des erreurs, tu as le droit de te tromper, et que te tromper, ce n'est pas une fin en soi, ce n'est pas une fatalité. Au contraire, tes erreurs vont te permettre de grandir, d'avancer, d'apprendre des choses, de faire mieux. Tu vas pouvoir progresser. Et c'est important de te comparer à toi, finalement. À la toi que tu étais hier, à la toi que tu seras demain. Et pas te comparer aux autres qui n'ont pas ta vie, qui n'ont pas ton histoire, qui n'ont pas tes difficultés, qui n'ont pas tes points forts ni tes points faibles. Donc compare-toi uniquement à toi. Et puis célèbre, célèbre chaque petit pas que tu fais, chaque avancée. Même si ça te semble minime, c'est hyper important. Parce que c'est comme ça que tu grandis. En résumé, sortir de sa zone de confort, c'est possible. Et tu l'as déjà fait. Ne serait-ce qu'une fois. Mais garde en tête que c'est avant tout un chemin, pas une destination. C'est quelque chose qui s'apprend, quelque chose qui se travaille. L'important c'est d'avancer. Lentement. Un pas après l'autre. Et pour terminer, je voulais te proposer un petit défi. Je t'invite à choisir une action. Un truc simple. que tu as envie de faire mais que tu procrastines. Quelque chose qui te fait un petit peu peur mais qui est plutôt dans ta zone, on va dire, d'apprentissage. Je t'invite à noter cette chose et à t'engager avec toi-même. T'engager à la réaliser dans les prochains jours. Si tu le souhaites, tu peux me partager ton action, que ce soit en commentaire du podcast, si tu as... plateforme d'écoute te le permet, ou sinon sur les réseaux sociaux, sur mon Instagram par exemple, Oserion. Je serai hyper heureuse de savoir quel est ton défi et de savoir comment ça s'est passé pour toi aussi. Et je vais te laisser sur cette citation d'Antoine de Saint-Exupéry qui résume très bien le message que j'ai voulu te porter aujourd'hui. Seul l'inconnu épouvante les hommes, mais pour qui compte l'affronte, il n'est déjà plus l'inconnu. Je te dis à très bientôt pour un nouvel épisode de Un chemin vers soi. D'ici là, prends soin de toi et surtout, au sortir de ta zone de confort, un pas après l'autre.

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