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Un chemin vers soi : le podcast pour les hypersensibles

23. 5 (autres) leçons apprises en tant qu'entrepreneur

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22min |24/05/2023
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23. 5 (autres) leçons apprises en tant qu'entrepreneur

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Description

Cet épisode est la deuxième partie de l'épisode "5 leçons apprises  grâce à l'entrepreneuriat". J'y partage 5 autre's leçons que j'ai apprises depuis que je me suis lancée dans le coachign et l'entrepreneuriat.

Que tu sois entrepreneure, que tu souhaites le devenir ou non ; ces leçons peuvent s'appliquer dans tous les domaines de la vie, et t'aideront à atteindre tes objectifs avec plus d'efficacité et de sérénité.  Alors, ne manque pas cet épisode !

Et si tu veux en savoir plus sur mon programme de
groupe c'est pas ici : https://www.elsakinguejohnson.com/coaching-de-groupe   


*****************

Si cet épisode a fait écho en toi ou s'il t'a plu tout simplement, je t'invite à me laisser 5 étoiles et un commentaire (si ta plateforme d'écoute le permet) afin que mon contenu puisse être proposé à plus de personnes.

Tu peux également t'abonner afin d'être notifiée directement dès la sortie d'un épisode.

Si tu aimes La vie suffit, Potentiel, Change ma vie, Des questions que tout le monde se pose, alors tu aimeras Un chemin vers soi.

*****************

🦋 Je suis Elsa, boosteuse d'estime (coach et sophrologue) spécialisée dans l’estime de soi des femmes hypersensibles. Je t’accompagne à prendre conscience de ta valeur, à développer ta confiance en toi et à apprivoiser tes émotions pour enfin oser impacter le monde à ta façon ✨


Si tu veux avoir accès à d'autres types de contenus c'est par ici:


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#entrepreneuriat #selancer #entreprendre #oserentreprendre


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hello, je m'appelle Elsa et je suis Master Coach Certifié. Avec ce podcast, Un Chemin Vers Soi, ma mission est de t'aider à mieux te comprendre et à t'accepter pour que tu aies, pour que tu puisses rayonner en toute authenticité. Je suis profondément convaincue qu'on a tous en nous une lumière qui ne demande qu'à briller. Et mon désir est que tu puisses prendre conscience de ta valeur. Découvrir ce chemin qui est le tien et impacter le monde à ta façon. Ensemble, partons à la découverte de notre vérité. Apprenons à nous révéler et osons marcher vers notre destinée. Hello, j'espère que tu vas bien. Comme d'habitude, je suis ravie de te retrouver pour cet épisode qui est en fait une suite de l'épisode d'il y a deux semaines. Dans l'épisode 22, je t'avais présenté 5 leçons que j'ai apprises depuis que je me suis lancée dans l'entrepreneuriat. Aujourd'hui, je voudrais te présenter les 5 leçons suivantes. Si tu n'as pas écouté l'épisode précédent, je t'invite à faire pause. Et si c'est déjà le cas... Alors, continuons pour la suite. Comme je le disais dans l'épisode précédent, ces leçons peuvent s'appliquer à ta vie, tout simplement. Alors, assez de bavardage, commençons dans le vif du sujet. La sixième leçon que j'ai apprise depuis que je me suis lancée, c'est qu'il faut lâcher le perfectionnisme. Accepter qu'on est dans une courbe d'apprentissage et qu'en fait, ce qu'on va produire ne sera probablement pas parfait. Et c'est ok. Il faut passer par là. Il faut commencer, essayer, se tromper aussi, s'améliorer, recommencer, se tromper encore, recommencer, et ainsi de suite. Jusqu'à atteindre un niveau, disons optimal. Jusqu'à atteindre un certain niveau de perfection. Je dis un certain niveau parce qu'en fait, la perfection c'est quoi ? Oui, on peut s'arrêter deux minutes sur ce terme, mais en fait la perfection pour moi n'existe pas. Ma perfection n'est pas ta perfection. On a tous notre vision des choses, tous notre propre définition, et on ne pourra jamais tomber tous d'accord. Alors finalement, rechercher la perfection, c'est rechercher quelque chose qui n'existe pas. Oui, bien sûr, tu peux te conforter à ta propre perfection, à ce que tu considères comme parfait. Mais là encore, parfait par rapport à qui, par rapport à quoi ? En réalité, d'où provient ta définition de la perfection ? Est-ce bien la tienne d'ailleurs ? Ou est-ce qu'elle t'a été imposée par ton entourage, par la société ? Es-tu sûre que tu aimes la perfection ? Est-ce qu'elle t'est vraiment utile ? Est-ce qu'en fait, cette perfection que tu recherches tant, que tu idolâtres tant, est-ce qu'elle ne serait pas la cause de tous tes maux ? Oui, c'est peut-être un peu fort, mais en fait, pourquoi veux-tu être parfaite ? Pour être aimée, j'imagine. Pour être acceptée. Et si cette perfection que tu recherches tant pour être aimée, pour être acceptée, dans un groupe, aux yeux du monde, auprès des personnes auxquelles tu tiens, si cette perfection, eh ben elle t'en est éloignée. Si cette perfection, elle faisait de toi quelqu'un de lisse, quelqu'un d'irréel, pas vraiment humain finalement. Et si cette perfection, elle t'empêchait de connecter avec les autres ? Je l'ai déjà dit dans le podcast, mais on n'est pas des robots. Alors cette perfection que tu cherches, et si elle t'enlevait ton humanité ? Et si c'était le cas, est-ce que tu courrais toujours après elle ? Je suis loin d'être la dernière à vouloir que les choses soient parfaites selon mes propres critères. Mais pourtant, plus le temps passe et plus je comprends l'importance de la vulnérabilité. C'est tellement important. Pour connecter avec les autres, oui. Pour exprimer son humanité. Et pour se foutre la paix aussi. Pour être soi, tout simplement. Parce qu'on est des humains, on fait des erreurs, on fait des choses imparfaitement. Et cette imperfection, elle est belle. Cette imperfection, elle nous permet de toucher les autres en plein cœur. Alors assume tout ça. Assume tes failles, assume tes faiblesses, assume ton imperfection et laisse-toi tranquille pour une fois. La septième leçon dont je voulais te parler, c'est la comparaison. On adore, on adore ça, se comparer. Et bien entendu, on passe plus de temps à se comparer à ceux qui sont, entre guillemets, mieux que nous, que ceux qu'on considère comme moins bons que nous. C'est valable sur le marché de l'emploi, avec tes collègues, avec tes amis aussi, et même avec des célébrités. C'est valable pour ton mental, pour ton physique. En fait, on passe notre temps à se comparer. On se compare. On se juge, on s'auto-juge et on se critique. Comme si ça allait nous faire avancer, comme si ça allait nous faire progresser. A l'air dans certains cas, à petite dose, et pour certains types de personnes, oui, ça peut avoir un impact, ça peut nous booster en quelque sorte. Mais je ne suis pas sûre que ce soit la meilleure solution. Surtout à outrance. De nos jours, avec les réseaux sociaux, c'est tellement facile de se comparer. On peut comparer nos dernières vacances, on peut comparer nos séances de sport, on peut comparer nos chiffres d'affaires en business aussi. En fait, tu peux tout comparer. Mais il ne faut pas oublier une chose, tu ne vois que ce que les gens veulent bien te montrer. Ce n'est qu'une partie de leur vie, qu'une partie de la réalité. À ce propos, j'ai une petite anecdote pour toi, pour illustrer tout ça. Au tout début, quand je me suis lancée dans le coaching, bien sûr j'avais un tout tout petit nombre d'abonnés, même pas une centaine. Et je me souviens, j'avais rencontré une coach qui, elle, avait environ 30 000 abonnés. Je l'enviais. Je trouvais ce chiffre oufissime. Je me disais, elle a tellement de chance, j'espère qu'un jour je l'atteindrai. Et puis, en échangeant avec elle, elle a fini par me dire qu'elle n'avait pas de client. Vu de l'extérieur, ces 30 000 abonnés faisaient un effet waouh, mais en fait, la réalité était tout autre. Elle avait une grosse base de prospects, mais elle n'arrivait pas à convertir. Les gens te montrent toujours ce qu'ils acceptent de te montrer, mais sache qu'il y a une autre réalité qui se cache derrière ça. Et peut-être qu'en fait, si tu avais toutes les infos, peut-être que tu ne les envierais pas. Peut-être que tu préférais ta vie. Souvent, il arrive qu'on regarde le résultat des gens, on regarde leur succès, en se disant que c'est magnifique et que c'est ce qu'on veut. Mais on ne sait pas ce qu'a mis en place la personne pour en arriver là. On ne sait pas ce qu'elle a vécu, les phases par lesquelles elle a dû passer, les choses qu'elle a dû sacrifier, les erreurs qu'elle a commises, les amitiés peut-être qu'elle a perdues, et j'en passe. Et puis, le point le plus important, c'est qu'en fait... Quand tu te compares, ça t'amène à quoi ? Si à chaque fois que tu te compares, tu te retrouves avec des émotions négatives, que tu n'as plus envie de rien, que tu te sens nul, que ton estime de toi baisse et que tu te retrouves à pleurer sous ta couette, alors il n'y a aucune utilité à ça. Si cette comparaison te fait plus de mal que de bien, t'empêche d'agir, de t'améliorer, d'aller de l'avant, et ben laisse tomber en fait. Laisse tomber cette mauvaise habitude, il faut t'en débarrasser. Comment ? Arrête de regarder la vie des autres, tout simplement. Arrête de t'abonner à des centaines et des centaines de comptes sur internet. Arrête de scroller sur Instagram pour voir les photos des autres. Arrête de consommer tout ce contenu passivement. Et passe un peu plus de temps à agir, à faire des choses de ton côté, à tester de nouvelles choses. Et puis si tu veux vraiment te comparer, compare-toi à une seule personne, toi, le toi d'hier. Et regarde comment tu as évolué, regarde comment tu as progressé, comment tu as grandi. La comparaison avec toi-même, elle est saine. La comparaison que tu fais avec les autres, elle a tendance à te consumer, à te bouffer et à te nuire au final. Et tout ça m'amène à ma huitième leçon. Ma huitième leçon se résume en un mot. En un verbe, oser. Eh oui, oser. Oser faire des choses qu'on n'a jamais faites. Oser dire des choses qu'on n'a jamais dites. Oser se lancer des défis, des challenges. Oser agir. Oser se mettre en mouvement. Ce mot, il est très court, très simple, mais tellement important, tellement impactant. Et j'essaie de l'incarner tous les jours un peu plus. Oser tenter. Se tromper, recommencer. Je suis persuadée que finalement ce n'est que comme ça qu'on avance. On le sait, la plupart des gens le savent, mais le vivre c'est différent, l'incarner c'est différent. Il faut pouvoir être assez fort pour accepter l'inconfort que cela procure, pour ne pas se préoccuper du regard des autres, pour agir, agir pour aller vers ses rêves. Peut-être qu'aujourd'hui tu as un rêve. Tu as envie d'entreprendre un voyage autour du monde, envie de te lancer dans ton entreprise, envie de changer de job ou juste de déménager, peu importe. Mais tu es assaillie par le doute, par la peur. Laisse-moi te dire une chose. Et si tu voyais la peur différemment ? Et si la peur, ce n'était pas ton ennemi ? Et si, en fait, c'était juste un indicateur ? Un indicateur pour toi qu'il faut agir ? Un signal qu'il faut que tu sors de ta zone de confort, que ton annuliement, ton bonheur, ton épanouissement, eh bien il est de l'autre côté de cette zone de confort. Laisse la magie opérer, mets de côté le doute, la peur, et ose, ose aller vers tes rêves, ose aller vers ce qui t'inspire. Alors je ne te demande pas de tout plaquer, de tout remettre en cause, de tout remettre à plat. et de faire des choses complètement folles. Mais demande-toi, c'est quoi la première action ? Le premier petit pas que tu peux mettre en place pour te rapprocher un peu plus de ton but. Si tu me suis depuis un moment, tu sais que je n'ai pas fait ce chemin vers l'entrepreneuriat tout de suite. Ou du moins, je l'ai fait en deux temps, si on peut dire ça comme ça. J'ai commencé mon parcours en 2020, en étant slasheuse. J'ai lancé mon entreprise en parallèle d'un emploi salarié. Et je continue comme ça un moment. Et puis finalement, ce n'est qu'en janvier 2023 que j'ai fait le pas suivant. Le pas de me lancer à mon compte à 100% et de laisser tomber le salariat. Sortir de sa zone de confort, ce n'est pas forcément exploser tout d'un coup et faire quelque chose qui nous paraît complètement surréaliste et impossible. Sortir de sa zone de confort, finalement... C'est faire grandir cette zone, petit à petit, en réfléchissant toujours au prochain pas, à la prochaine action, qui nous fera nous dépasser, qui nous fera nous challenger, mais qui restera tout de même possible pour nous. Pense à ta prochaine action, challengeante, mais inspirante. C'est vers là qu'il faut aller. On approche de la fin de cet épisode de podcast. Il y a encore deux leçons que je voulais te partager. Pour la neuvième leçon, je dois t'avouer que... Je suis encore en pleine phase d'apprentissage. La leçon est la suivante. Arrêtons de vouloir faire du multitasking. Alors, j'en suis maintenant convaincue, le multitasking est contre-productif. Le multitasking ne nous aide pas à avancer. Nous ne sommes pas plus productifs parce que nous faisons plusieurs choses en même temps. Il faut le dire parce que, dans l'inconscient collectif, on pense que c'est le contraire. En fait, toute ma vie, toute ma vie de salariée, on apprenait ça autour de moi. On m'a fait des éloges en quelque sorte parce que j'avais une forte capacité à faire plusieurs choses en même temps. C'était vu comme quelque chose de positif, comme quelque chose de productif, comme quelque chose de recherché. Mais en réalité, on se trompe tellement sur la question. En fait, on ne sait pas faire plusieurs choses en même temps. Alors on accumule des temps de concentration de plus en plus courts pour passer d'un sujet à l'autre. Et oui, on arrive à, à force de pratique et de concentration maximale, avoir l'impression parfois qu'on gère, qu'on arrive à faire toutes ces choses en même temps, qu'on arrive à switcher d'un sujet à l'autre. Mais en réalité, si on prenait le temps de faire vraiment les choses, si on prenait le temps... de se poser, de réfléchir, on serait beaucoup plus efficace. Si au lieu de switcher de sujet toutes les deux minutes, on prenait des créneaux bien précis pour faire une tâche bien précise, non seulement on finirait plus tôt, mais en plus, on serait beaucoup plus créatif, beaucoup plus inventif. Alors, arrêtons de faire du multitasking. Si je dis que c'est encore quelque chose qui est un travail pour moi, c'est que je l'ai tellement fait, tellement intégré. Qu'en fait, une part de moi, au fond, a encore cette petite croyance que, pour moi, c'est différent. Et que oui, j'y arrive. Et que oui, c'est efficace. Et puis c'est comme une drogue, en fait. J'ai tellement fait, fait et refait pendant des années, que j'ai l'impression que je ne sais pas faire autre chose, en fait. Et en fait, je me suis rendue compte aussi que ma capacité à me concentrer en avait pris un coup. Qu'à force de changer de sujet, oui, j'avais diverti mon cerveau. et qu'il était habitué à faire des sauts de sujet en sujet. Mais que quand j'avais besoin qu'il soit concentré sur une tâche, pendant quatre heures, la même tâche, et bien en fait je ne savais plus faire. Mon cerveau pensait à autre chose, mon cerveau voulait faire autre chose. Alors j'essaye de réapprendre, réapprendre à m'organiser, réapprendre à me concentrer, réapprendre à faire les choses, une à la fois, à prioriser. Nous voici maintenant à ma dernière leçon, la dixième leçon que j'ai apprise depuis que je me suis lancée dans l'entrepreneuriat. Je peux demander de l'aide. Quand on se lance dans un business, on part du principe qu'on doit tout faire seul. On n'a pas forcément assez de rentrées d'argent alors il faut se débrouiller, tout faire par soi-même, ne rien déléguer. Mais il y a aussi ce côté qui est ressorti un peu chez moi de... Je suis superwoman, je peux tout faire toute seule, je veux tout faire toute seule. Ça met une pression des dingues et c'est épuisant. Et bien entendu, quand on est entrepreneur, je le disais dans l'épisode précédent, on fait plusieurs métiers, certes. Donc oui, on doit être au fourreau, au moulin. Mais on peut demander de l'aide. On peut demander de l'aide de manière payante à un expert qui va nous aider ponctuellement sur un sujet. Mais on peut aussi demander de l'aide à son entourage, tout simplement. Un conseil, un soutien, un avis. Et bien souvent on se rend compte que les personnes autour de nous peuvent nous donner un coup de main, mais sont ravies de le faire, de contribuer à tout ça. On a parfois trop de fierté pour demander de l'aide. Donc par moments, effectivement, ça demande du courage, de l'humilité. D'aller voir une personne et de lui dire, j'ai besoin de toi, peux-tu m'aider ? Pourtant faire ça c'est faire preuve d'intelligence en fait. C'est aller chercher la solution au bon endroit. C'est s'entourer des personnes qui vont nous aider à aller de l'avant, à aller plus vite, à s'améliorer. C'est pourquoi le fait de bien s'entourer c'est essentiel. On dit souvent qu'on est la moyenne des cinq personnes qui nous entourent. Alors entoure-toi bien. Construis un cercle proche qui soit bienveillant, qui soit apte à t'aider et à te soutenir. Si aujourd'hui tu as tendance à jouer les super-héros, peut-être que tu as ce driver qu'on appelle Sois fort Si cette notion de driver ne te parle pas, je t'invite à écouter l'épisode 6 du podcast Les messages inconscients qui t'empêchent d'être toi-même En tout cas, rappelle-toi que tu n'as pas toujours à être forte, et que c'est ok. de demander de l'aide. Et voilà, on a fait le tour de ces dix leçons que j'ai apprises autour de ces derniers mois, ces dernières années. J'espère qu'elles t'ont parlé. N'hésite pas à me dire sur les réseaux sociaux si une ou plusieurs de ces leçons ont particulièrement résonné chez toi. Et je terminerai cet épisode en te reparlant de mon programme de groupe. Si aujourd'hui tu as un projet, entrepreneurial qui te tient à cœur, que tu as envie de contribuer au monde, mais que tu as peur, peur de lancer ton entreprise parce que tu ne sais pas comment faire, tu ne sais pas par quoi commencer, tu as peur de ne pas y arriver, tu as des croyances qui te bloquent, qui te freinent, tu te dis que tu n'es pas assez experte, que ce n'est pas le bon moment, et puis finalement, qui es-tu pour te lancer dans l'entrepreneuriat ? Si tu te sens concerné, surtout, surtout ne garde pas ton projet pour toi et contacte-moi pour qu'on en discute. L'entrepreneuriat c'est possible, ça a été possible pour moi, alors ça l'est aussi pour toi. Et j'ai envie de terminer cet épisode avec un poème que j'ai écrit il y a quelques temps. Tu l'as peut-être déjà vu sur mes réseaux sociaux, mais je trouve que c'est une parfaite conclusion à cet épisode. Alors c'est parti. Tu en as toujours rêvé, aussi loin que tu t'en souviennes, tu l'as toujours désiré. Mais ce n'est pas conventionnel, tu le sais. Tu en as toujours rêvé. Au fond de ton cœur, cette petite voix, tu refuses de l'écouter. Et pourtant, elle est bien là. Tu en as toujours rêvé. Pour une fois, prendre les rênes, te libérer de ces chaînes, et pouvoir t'envoler. Tu en as toujours rêvé. Mais les rêves, c'est pour les autres, n'est-ce pas ? Toi, tu n'y as pas droit. Toi, ça ne marcherait pas. Tu regardes ceux qui le font avec envie, que dis-je, avec jalousie, en te disant qu'un jour, peut-être, ce sera à ton tour d'être. Être cette personne que tu étouffes à l'intérieur de toi, tomber le masque pour être juste celle que tu dois, celle qui se cache par peur de ne pas être à la hauteur. Tu en as toujours rêvé. Pouvoir t'exprimer tel que tu es, avec ta sensibilité, ta singularité. Mais dans notre monde, c'est si dur d'avouer qui on est. Tu en as tellement rêvé, que parfois tu finis par oublier. Oublier que ce rêve peut devenir réalité. Oublier que seul toi peut l'incarner. Toutes ces questions dans ta tête, je sais, tu voudrais tant que ça s'arrête. Mais un rêve ne disparaît jamais vraiment. Même si tu l'étouffes, il réapparaît de temps en temps. Devenir entrepreneur, mais bien sûr, ça fait peur. Mais tu en as tellement rêvé. Pourquoi ne pas essayer ? Au fond de ton cœur, la flamme est là. S'il te plaît, ne l'éteins pas. Mais ose, ose être toi. Ose l'entrepreneuriat.

Description

Cet épisode est la deuxième partie de l'épisode "5 leçons apprises  grâce à l'entrepreneuriat". J'y partage 5 autre's leçons que j'ai apprises depuis que je me suis lancée dans le coachign et l'entrepreneuriat.

Que tu sois entrepreneure, que tu souhaites le devenir ou non ; ces leçons peuvent s'appliquer dans tous les domaines de la vie, et t'aideront à atteindre tes objectifs avec plus d'efficacité et de sérénité.  Alors, ne manque pas cet épisode !

Et si tu veux en savoir plus sur mon programme de
groupe c'est pas ici : https://www.elsakinguejohnson.com/coaching-de-groupe   


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Si cet épisode a fait écho en toi ou s'il t'a plu tout simplement, je t'invite à me laisser 5 étoiles et un commentaire (si ta plateforme d'écoute le permet) afin que mon contenu puisse être proposé à plus de personnes.

Tu peux également t'abonner afin d'être notifiée directement dès la sortie d'un épisode.

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🦋 Je suis Elsa, boosteuse d'estime (coach et sophrologue) spécialisée dans l’estime de soi des femmes hypersensibles. Je t’accompagne à prendre conscience de ta valeur, à développer ta confiance en toi et à apprivoiser tes émotions pour enfin oser impacter le monde à ta façon ✨


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  • Speaker #0

    Hello, je m'appelle Elsa et je suis Master Coach Certifié. Avec ce podcast, Un Chemin Vers Soi, ma mission est de t'aider à mieux te comprendre et à t'accepter pour que tu aies, pour que tu puisses rayonner en toute authenticité. Je suis profondément convaincue qu'on a tous en nous une lumière qui ne demande qu'à briller. Et mon désir est que tu puisses prendre conscience de ta valeur. Découvrir ce chemin qui est le tien et impacter le monde à ta façon. Ensemble, partons à la découverte de notre vérité. Apprenons à nous révéler et osons marcher vers notre destinée. Hello, j'espère que tu vas bien. Comme d'habitude, je suis ravie de te retrouver pour cet épisode qui est en fait une suite de l'épisode d'il y a deux semaines. Dans l'épisode 22, je t'avais présenté 5 leçons que j'ai apprises depuis que je me suis lancée dans l'entrepreneuriat. Aujourd'hui, je voudrais te présenter les 5 leçons suivantes. Si tu n'as pas écouté l'épisode précédent, je t'invite à faire pause. Et si c'est déjà le cas... Alors, continuons pour la suite. Comme je le disais dans l'épisode précédent, ces leçons peuvent s'appliquer à ta vie, tout simplement. Alors, assez de bavardage, commençons dans le vif du sujet. La sixième leçon que j'ai apprise depuis que je me suis lancée, c'est qu'il faut lâcher le perfectionnisme. Accepter qu'on est dans une courbe d'apprentissage et qu'en fait, ce qu'on va produire ne sera probablement pas parfait. Et c'est ok. Il faut passer par là. Il faut commencer, essayer, se tromper aussi, s'améliorer, recommencer, se tromper encore, recommencer, et ainsi de suite. Jusqu'à atteindre un niveau, disons optimal. Jusqu'à atteindre un certain niveau de perfection. Je dis un certain niveau parce qu'en fait, la perfection c'est quoi ? Oui, on peut s'arrêter deux minutes sur ce terme, mais en fait la perfection pour moi n'existe pas. Ma perfection n'est pas ta perfection. On a tous notre vision des choses, tous notre propre définition, et on ne pourra jamais tomber tous d'accord. Alors finalement, rechercher la perfection, c'est rechercher quelque chose qui n'existe pas. Oui, bien sûr, tu peux te conforter à ta propre perfection, à ce que tu considères comme parfait. Mais là encore, parfait par rapport à qui, par rapport à quoi ? En réalité, d'où provient ta définition de la perfection ? Est-ce bien la tienne d'ailleurs ? Ou est-ce qu'elle t'a été imposée par ton entourage, par la société ? Es-tu sûre que tu aimes la perfection ? Est-ce qu'elle t'est vraiment utile ? Est-ce qu'en fait, cette perfection que tu recherches tant, que tu idolâtres tant, est-ce qu'elle ne serait pas la cause de tous tes maux ? Oui, c'est peut-être un peu fort, mais en fait, pourquoi veux-tu être parfaite ? Pour être aimée, j'imagine. Pour être acceptée. Et si cette perfection que tu recherches tant pour être aimée, pour être acceptée, dans un groupe, aux yeux du monde, auprès des personnes auxquelles tu tiens, si cette perfection, eh ben elle t'en est éloignée. Si cette perfection, elle faisait de toi quelqu'un de lisse, quelqu'un d'irréel, pas vraiment humain finalement. Et si cette perfection, elle t'empêchait de connecter avec les autres ? Je l'ai déjà dit dans le podcast, mais on n'est pas des robots. Alors cette perfection que tu cherches, et si elle t'enlevait ton humanité ? Et si c'était le cas, est-ce que tu courrais toujours après elle ? Je suis loin d'être la dernière à vouloir que les choses soient parfaites selon mes propres critères. Mais pourtant, plus le temps passe et plus je comprends l'importance de la vulnérabilité. C'est tellement important. Pour connecter avec les autres, oui. Pour exprimer son humanité. Et pour se foutre la paix aussi. Pour être soi, tout simplement. Parce qu'on est des humains, on fait des erreurs, on fait des choses imparfaitement. Et cette imperfection, elle est belle. Cette imperfection, elle nous permet de toucher les autres en plein cœur. Alors assume tout ça. Assume tes failles, assume tes faiblesses, assume ton imperfection et laisse-toi tranquille pour une fois. La septième leçon dont je voulais te parler, c'est la comparaison. On adore, on adore ça, se comparer. Et bien entendu, on passe plus de temps à se comparer à ceux qui sont, entre guillemets, mieux que nous, que ceux qu'on considère comme moins bons que nous. C'est valable sur le marché de l'emploi, avec tes collègues, avec tes amis aussi, et même avec des célébrités. C'est valable pour ton mental, pour ton physique. En fait, on passe notre temps à se comparer. On se compare. On se juge, on s'auto-juge et on se critique. Comme si ça allait nous faire avancer, comme si ça allait nous faire progresser. A l'air dans certains cas, à petite dose, et pour certains types de personnes, oui, ça peut avoir un impact, ça peut nous booster en quelque sorte. Mais je ne suis pas sûre que ce soit la meilleure solution. Surtout à outrance. De nos jours, avec les réseaux sociaux, c'est tellement facile de se comparer. On peut comparer nos dernières vacances, on peut comparer nos séances de sport, on peut comparer nos chiffres d'affaires en business aussi. En fait, tu peux tout comparer. Mais il ne faut pas oublier une chose, tu ne vois que ce que les gens veulent bien te montrer. Ce n'est qu'une partie de leur vie, qu'une partie de la réalité. À ce propos, j'ai une petite anecdote pour toi, pour illustrer tout ça. Au tout début, quand je me suis lancée dans le coaching, bien sûr j'avais un tout tout petit nombre d'abonnés, même pas une centaine. Et je me souviens, j'avais rencontré une coach qui, elle, avait environ 30 000 abonnés. Je l'enviais. Je trouvais ce chiffre oufissime. Je me disais, elle a tellement de chance, j'espère qu'un jour je l'atteindrai. Et puis, en échangeant avec elle, elle a fini par me dire qu'elle n'avait pas de client. Vu de l'extérieur, ces 30 000 abonnés faisaient un effet waouh, mais en fait, la réalité était tout autre. Elle avait une grosse base de prospects, mais elle n'arrivait pas à convertir. Les gens te montrent toujours ce qu'ils acceptent de te montrer, mais sache qu'il y a une autre réalité qui se cache derrière ça. Et peut-être qu'en fait, si tu avais toutes les infos, peut-être que tu ne les envierais pas. Peut-être que tu préférais ta vie. Souvent, il arrive qu'on regarde le résultat des gens, on regarde leur succès, en se disant que c'est magnifique et que c'est ce qu'on veut. Mais on ne sait pas ce qu'a mis en place la personne pour en arriver là. On ne sait pas ce qu'elle a vécu, les phases par lesquelles elle a dû passer, les choses qu'elle a dû sacrifier, les erreurs qu'elle a commises, les amitiés peut-être qu'elle a perdues, et j'en passe. Et puis, le point le plus important, c'est qu'en fait... Quand tu te compares, ça t'amène à quoi ? Si à chaque fois que tu te compares, tu te retrouves avec des émotions négatives, que tu n'as plus envie de rien, que tu te sens nul, que ton estime de toi baisse et que tu te retrouves à pleurer sous ta couette, alors il n'y a aucune utilité à ça. Si cette comparaison te fait plus de mal que de bien, t'empêche d'agir, de t'améliorer, d'aller de l'avant, et ben laisse tomber en fait. Laisse tomber cette mauvaise habitude, il faut t'en débarrasser. Comment ? Arrête de regarder la vie des autres, tout simplement. Arrête de t'abonner à des centaines et des centaines de comptes sur internet. Arrête de scroller sur Instagram pour voir les photos des autres. Arrête de consommer tout ce contenu passivement. Et passe un peu plus de temps à agir, à faire des choses de ton côté, à tester de nouvelles choses. Et puis si tu veux vraiment te comparer, compare-toi à une seule personne, toi, le toi d'hier. Et regarde comment tu as évolué, regarde comment tu as progressé, comment tu as grandi. La comparaison avec toi-même, elle est saine. La comparaison que tu fais avec les autres, elle a tendance à te consumer, à te bouffer et à te nuire au final. Et tout ça m'amène à ma huitième leçon. Ma huitième leçon se résume en un mot. En un verbe, oser. Eh oui, oser. Oser faire des choses qu'on n'a jamais faites. Oser dire des choses qu'on n'a jamais dites. Oser se lancer des défis, des challenges. Oser agir. Oser se mettre en mouvement. Ce mot, il est très court, très simple, mais tellement important, tellement impactant. Et j'essaie de l'incarner tous les jours un peu plus. Oser tenter. Se tromper, recommencer. Je suis persuadée que finalement ce n'est que comme ça qu'on avance. On le sait, la plupart des gens le savent, mais le vivre c'est différent, l'incarner c'est différent. Il faut pouvoir être assez fort pour accepter l'inconfort que cela procure, pour ne pas se préoccuper du regard des autres, pour agir, agir pour aller vers ses rêves. Peut-être qu'aujourd'hui tu as un rêve. Tu as envie d'entreprendre un voyage autour du monde, envie de te lancer dans ton entreprise, envie de changer de job ou juste de déménager, peu importe. Mais tu es assaillie par le doute, par la peur. Laisse-moi te dire une chose. Et si tu voyais la peur différemment ? Et si la peur, ce n'était pas ton ennemi ? Et si, en fait, c'était juste un indicateur ? Un indicateur pour toi qu'il faut agir ? Un signal qu'il faut que tu sors de ta zone de confort, que ton annuliement, ton bonheur, ton épanouissement, eh bien il est de l'autre côté de cette zone de confort. Laisse la magie opérer, mets de côté le doute, la peur, et ose, ose aller vers tes rêves, ose aller vers ce qui t'inspire. Alors je ne te demande pas de tout plaquer, de tout remettre en cause, de tout remettre à plat. et de faire des choses complètement folles. Mais demande-toi, c'est quoi la première action ? Le premier petit pas que tu peux mettre en place pour te rapprocher un peu plus de ton but. Si tu me suis depuis un moment, tu sais que je n'ai pas fait ce chemin vers l'entrepreneuriat tout de suite. Ou du moins, je l'ai fait en deux temps, si on peut dire ça comme ça. J'ai commencé mon parcours en 2020, en étant slasheuse. J'ai lancé mon entreprise en parallèle d'un emploi salarié. Et je continue comme ça un moment. Et puis finalement, ce n'est qu'en janvier 2023 que j'ai fait le pas suivant. Le pas de me lancer à mon compte à 100% et de laisser tomber le salariat. Sortir de sa zone de confort, ce n'est pas forcément exploser tout d'un coup et faire quelque chose qui nous paraît complètement surréaliste et impossible. Sortir de sa zone de confort, finalement... C'est faire grandir cette zone, petit à petit, en réfléchissant toujours au prochain pas, à la prochaine action, qui nous fera nous dépasser, qui nous fera nous challenger, mais qui restera tout de même possible pour nous. Pense à ta prochaine action, challengeante, mais inspirante. C'est vers là qu'il faut aller. On approche de la fin de cet épisode de podcast. Il y a encore deux leçons que je voulais te partager. Pour la neuvième leçon, je dois t'avouer que... Je suis encore en pleine phase d'apprentissage. La leçon est la suivante. Arrêtons de vouloir faire du multitasking. Alors, j'en suis maintenant convaincue, le multitasking est contre-productif. Le multitasking ne nous aide pas à avancer. Nous ne sommes pas plus productifs parce que nous faisons plusieurs choses en même temps. Il faut le dire parce que, dans l'inconscient collectif, on pense que c'est le contraire. En fait, toute ma vie, toute ma vie de salariée, on apprenait ça autour de moi. On m'a fait des éloges en quelque sorte parce que j'avais une forte capacité à faire plusieurs choses en même temps. C'était vu comme quelque chose de positif, comme quelque chose de productif, comme quelque chose de recherché. Mais en réalité, on se trompe tellement sur la question. En fait, on ne sait pas faire plusieurs choses en même temps. Alors on accumule des temps de concentration de plus en plus courts pour passer d'un sujet à l'autre. Et oui, on arrive à, à force de pratique et de concentration maximale, avoir l'impression parfois qu'on gère, qu'on arrive à faire toutes ces choses en même temps, qu'on arrive à switcher d'un sujet à l'autre. Mais en réalité, si on prenait le temps de faire vraiment les choses, si on prenait le temps... de se poser, de réfléchir, on serait beaucoup plus efficace. Si au lieu de switcher de sujet toutes les deux minutes, on prenait des créneaux bien précis pour faire une tâche bien précise, non seulement on finirait plus tôt, mais en plus, on serait beaucoup plus créatif, beaucoup plus inventif. Alors, arrêtons de faire du multitasking. Si je dis que c'est encore quelque chose qui est un travail pour moi, c'est que je l'ai tellement fait, tellement intégré. Qu'en fait, une part de moi, au fond, a encore cette petite croyance que, pour moi, c'est différent. Et que oui, j'y arrive. Et que oui, c'est efficace. Et puis c'est comme une drogue, en fait. J'ai tellement fait, fait et refait pendant des années, que j'ai l'impression que je ne sais pas faire autre chose, en fait. Et en fait, je me suis rendue compte aussi que ma capacité à me concentrer en avait pris un coup. Qu'à force de changer de sujet, oui, j'avais diverti mon cerveau. et qu'il était habitué à faire des sauts de sujet en sujet. Mais que quand j'avais besoin qu'il soit concentré sur une tâche, pendant quatre heures, la même tâche, et bien en fait je ne savais plus faire. Mon cerveau pensait à autre chose, mon cerveau voulait faire autre chose. Alors j'essaye de réapprendre, réapprendre à m'organiser, réapprendre à me concentrer, réapprendre à faire les choses, une à la fois, à prioriser. Nous voici maintenant à ma dernière leçon, la dixième leçon que j'ai apprise depuis que je me suis lancée dans l'entrepreneuriat. Je peux demander de l'aide. Quand on se lance dans un business, on part du principe qu'on doit tout faire seul. On n'a pas forcément assez de rentrées d'argent alors il faut se débrouiller, tout faire par soi-même, ne rien déléguer. Mais il y a aussi ce côté qui est ressorti un peu chez moi de... Je suis superwoman, je peux tout faire toute seule, je veux tout faire toute seule. Ça met une pression des dingues et c'est épuisant. Et bien entendu, quand on est entrepreneur, je le disais dans l'épisode précédent, on fait plusieurs métiers, certes. Donc oui, on doit être au fourreau, au moulin. Mais on peut demander de l'aide. On peut demander de l'aide de manière payante à un expert qui va nous aider ponctuellement sur un sujet. Mais on peut aussi demander de l'aide à son entourage, tout simplement. Un conseil, un soutien, un avis. Et bien souvent on se rend compte que les personnes autour de nous peuvent nous donner un coup de main, mais sont ravies de le faire, de contribuer à tout ça. On a parfois trop de fierté pour demander de l'aide. Donc par moments, effectivement, ça demande du courage, de l'humilité. D'aller voir une personne et de lui dire, j'ai besoin de toi, peux-tu m'aider ? Pourtant faire ça c'est faire preuve d'intelligence en fait. C'est aller chercher la solution au bon endroit. C'est s'entourer des personnes qui vont nous aider à aller de l'avant, à aller plus vite, à s'améliorer. C'est pourquoi le fait de bien s'entourer c'est essentiel. On dit souvent qu'on est la moyenne des cinq personnes qui nous entourent. Alors entoure-toi bien. Construis un cercle proche qui soit bienveillant, qui soit apte à t'aider et à te soutenir. Si aujourd'hui tu as tendance à jouer les super-héros, peut-être que tu as ce driver qu'on appelle Sois fort Si cette notion de driver ne te parle pas, je t'invite à écouter l'épisode 6 du podcast Les messages inconscients qui t'empêchent d'être toi-même En tout cas, rappelle-toi que tu n'as pas toujours à être forte, et que c'est ok. de demander de l'aide. Et voilà, on a fait le tour de ces dix leçons que j'ai apprises autour de ces derniers mois, ces dernières années. J'espère qu'elles t'ont parlé. N'hésite pas à me dire sur les réseaux sociaux si une ou plusieurs de ces leçons ont particulièrement résonné chez toi. Et je terminerai cet épisode en te reparlant de mon programme de groupe. Si aujourd'hui tu as un projet, entrepreneurial qui te tient à cœur, que tu as envie de contribuer au monde, mais que tu as peur, peur de lancer ton entreprise parce que tu ne sais pas comment faire, tu ne sais pas par quoi commencer, tu as peur de ne pas y arriver, tu as des croyances qui te bloquent, qui te freinent, tu te dis que tu n'es pas assez experte, que ce n'est pas le bon moment, et puis finalement, qui es-tu pour te lancer dans l'entrepreneuriat ? Si tu te sens concerné, surtout, surtout ne garde pas ton projet pour toi et contacte-moi pour qu'on en discute. L'entrepreneuriat c'est possible, ça a été possible pour moi, alors ça l'est aussi pour toi. Et j'ai envie de terminer cet épisode avec un poème que j'ai écrit il y a quelques temps. Tu l'as peut-être déjà vu sur mes réseaux sociaux, mais je trouve que c'est une parfaite conclusion à cet épisode. Alors c'est parti. Tu en as toujours rêvé, aussi loin que tu t'en souviennes, tu l'as toujours désiré. Mais ce n'est pas conventionnel, tu le sais. Tu en as toujours rêvé. Au fond de ton cœur, cette petite voix, tu refuses de l'écouter. Et pourtant, elle est bien là. Tu en as toujours rêvé. Pour une fois, prendre les rênes, te libérer de ces chaînes, et pouvoir t'envoler. Tu en as toujours rêvé. Mais les rêves, c'est pour les autres, n'est-ce pas ? Toi, tu n'y as pas droit. Toi, ça ne marcherait pas. Tu regardes ceux qui le font avec envie, que dis-je, avec jalousie, en te disant qu'un jour, peut-être, ce sera à ton tour d'être. Être cette personne que tu étouffes à l'intérieur de toi, tomber le masque pour être juste celle que tu dois, celle qui se cache par peur de ne pas être à la hauteur. Tu en as toujours rêvé. Pouvoir t'exprimer tel que tu es, avec ta sensibilité, ta singularité. Mais dans notre monde, c'est si dur d'avouer qui on est. Tu en as tellement rêvé, que parfois tu finis par oublier. Oublier que ce rêve peut devenir réalité. Oublier que seul toi peut l'incarner. Toutes ces questions dans ta tête, je sais, tu voudrais tant que ça s'arrête. Mais un rêve ne disparaît jamais vraiment. Même si tu l'étouffes, il réapparaît de temps en temps. Devenir entrepreneur, mais bien sûr, ça fait peur. Mais tu en as tellement rêvé. Pourquoi ne pas essayer ? Au fond de ton cœur, la flamme est là. S'il te plaît, ne l'éteins pas. Mais ose, ose être toi. Ose l'entrepreneuriat.

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Cet épisode est la deuxième partie de l'épisode "5 leçons apprises  grâce à l'entrepreneuriat". J'y partage 5 autre's leçons que j'ai apprises depuis que je me suis lancée dans le coachign et l'entrepreneuriat.

Que tu sois entrepreneure, que tu souhaites le devenir ou non ; ces leçons peuvent s'appliquer dans tous les domaines de la vie, et t'aideront à atteindre tes objectifs avec plus d'efficacité et de sérénité.  Alors, ne manque pas cet épisode !

Et si tu veux en savoir plus sur mon programme de
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🦋 Je suis Elsa, boosteuse d'estime (coach et sophrologue) spécialisée dans l’estime de soi des femmes hypersensibles. Je t’accompagne à prendre conscience de ta valeur, à développer ta confiance en toi et à apprivoiser tes émotions pour enfin oser impacter le monde à ta façon ✨


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Transcription

  • Speaker #0

    Hello, je m'appelle Elsa et je suis Master Coach Certifié. Avec ce podcast, Un Chemin Vers Soi, ma mission est de t'aider à mieux te comprendre et à t'accepter pour que tu aies, pour que tu puisses rayonner en toute authenticité. Je suis profondément convaincue qu'on a tous en nous une lumière qui ne demande qu'à briller. Et mon désir est que tu puisses prendre conscience de ta valeur. Découvrir ce chemin qui est le tien et impacter le monde à ta façon. Ensemble, partons à la découverte de notre vérité. Apprenons à nous révéler et osons marcher vers notre destinée. Hello, j'espère que tu vas bien. Comme d'habitude, je suis ravie de te retrouver pour cet épisode qui est en fait une suite de l'épisode d'il y a deux semaines. Dans l'épisode 22, je t'avais présenté 5 leçons que j'ai apprises depuis que je me suis lancée dans l'entrepreneuriat. Aujourd'hui, je voudrais te présenter les 5 leçons suivantes. Si tu n'as pas écouté l'épisode précédent, je t'invite à faire pause. Et si c'est déjà le cas... Alors, continuons pour la suite. Comme je le disais dans l'épisode précédent, ces leçons peuvent s'appliquer à ta vie, tout simplement. Alors, assez de bavardage, commençons dans le vif du sujet. La sixième leçon que j'ai apprise depuis que je me suis lancée, c'est qu'il faut lâcher le perfectionnisme. Accepter qu'on est dans une courbe d'apprentissage et qu'en fait, ce qu'on va produire ne sera probablement pas parfait. Et c'est ok. Il faut passer par là. Il faut commencer, essayer, se tromper aussi, s'améliorer, recommencer, se tromper encore, recommencer, et ainsi de suite. Jusqu'à atteindre un niveau, disons optimal. Jusqu'à atteindre un certain niveau de perfection. Je dis un certain niveau parce qu'en fait, la perfection c'est quoi ? Oui, on peut s'arrêter deux minutes sur ce terme, mais en fait la perfection pour moi n'existe pas. Ma perfection n'est pas ta perfection. On a tous notre vision des choses, tous notre propre définition, et on ne pourra jamais tomber tous d'accord. Alors finalement, rechercher la perfection, c'est rechercher quelque chose qui n'existe pas. Oui, bien sûr, tu peux te conforter à ta propre perfection, à ce que tu considères comme parfait. Mais là encore, parfait par rapport à qui, par rapport à quoi ? En réalité, d'où provient ta définition de la perfection ? Est-ce bien la tienne d'ailleurs ? Ou est-ce qu'elle t'a été imposée par ton entourage, par la société ? Es-tu sûre que tu aimes la perfection ? Est-ce qu'elle t'est vraiment utile ? Est-ce qu'en fait, cette perfection que tu recherches tant, que tu idolâtres tant, est-ce qu'elle ne serait pas la cause de tous tes maux ? Oui, c'est peut-être un peu fort, mais en fait, pourquoi veux-tu être parfaite ? Pour être aimée, j'imagine. Pour être acceptée. Et si cette perfection que tu recherches tant pour être aimée, pour être acceptée, dans un groupe, aux yeux du monde, auprès des personnes auxquelles tu tiens, si cette perfection, eh ben elle t'en est éloignée. Si cette perfection, elle faisait de toi quelqu'un de lisse, quelqu'un d'irréel, pas vraiment humain finalement. Et si cette perfection, elle t'empêchait de connecter avec les autres ? Je l'ai déjà dit dans le podcast, mais on n'est pas des robots. Alors cette perfection que tu cherches, et si elle t'enlevait ton humanité ? Et si c'était le cas, est-ce que tu courrais toujours après elle ? Je suis loin d'être la dernière à vouloir que les choses soient parfaites selon mes propres critères. Mais pourtant, plus le temps passe et plus je comprends l'importance de la vulnérabilité. C'est tellement important. Pour connecter avec les autres, oui. Pour exprimer son humanité. Et pour se foutre la paix aussi. Pour être soi, tout simplement. Parce qu'on est des humains, on fait des erreurs, on fait des choses imparfaitement. Et cette imperfection, elle est belle. Cette imperfection, elle nous permet de toucher les autres en plein cœur. Alors assume tout ça. Assume tes failles, assume tes faiblesses, assume ton imperfection et laisse-toi tranquille pour une fois. La septième leçon dont je voulais te parler, c'est la comparaison. On adore, on adore ça, se comparer. Et bien entendu, on passe plus de temps à se comparer à ceux qui sont, entre guillemets, mieux que nous, que ceux qu'on considère comme moins bons que nous. C'est valable sur le marché de l'emploi, avec tes collègues, avec tes amis aussi, et même avec des célébrités. C'est valable pour ton mental, pour ton physique. En fait, on passe notre temps à se comparer. On se compare. On se juge, on s'auto-juge et on se critique. Comme si ça allait nous faire avancer, comme si ça allait nous faire progresser. A l'air dans certains cas, à petite dose, et pour certains types de personnes, oui, ça peut avoir un impact, ça peut nous booster en quelque sorte. Mais je ne suis pas sûre que ce soit la meilleure solution. Surtout à outrance. De nos jours, avec les réseaux sociaux, c'est tellement facile de se comparer. On peut comparer nos dernières vacances, on peut comparer nos séances de sport, on peut comparer nos chiffres d'affaires en business aussi. En fait, tu peux tout comparer. Mais il ne faut pas oublier une chose, tu ne vois que ce que les gens veulent bien te montrer. Ce n'est qu'une partie de leur vie, qu'une partie de la réalité. À ce propos, j'ai une petite anecdote pour toi, pour illustrer tout ça. Au tout début, quand je me suis lancée dans le coaching, bien sûr j'avais un tout tout petit nombre d'abonnés, même pas une centaine. Et je me souviens, j'avais rencontré une coach qui, elle, avait environ 30 000 abonnés. Je l'enviais. Je trouvais ce chiffre oufissime. Je me disais, elle a tellement de chance, j'espère qu'un jour je l'atteindrai. Et puis, en échangeant avec elle, elle a fini par me dire qu'elle n'avait pas de client. Vu de l'extérieur, ces 30 000 abonnés faisaient un effet waouh, mais en fait, la réalité était tout autre. Elle avait une grosse base de prospects, mais elle n'arrivait pas à convertir. Les gens te montrent toujours ce qu'ils acceptent de te montrer, mais sache qu'il y a une autre réalité qui se cache derrière ça. Et peut-être qu'en fait, si tu avais toutes les infos, peut-être que tu ne les envierais pas. Peut-être que tu préférais ta vie. Souvent, il arrive qu'on regarde le résultat des gens, on regarde leur succès, en se disant que c'est magnifique et que c'est ce qu'on veut. Mais on ne sait pas ce qu'a mis en place la personne pour en arriver là. On ne sait pas ce qu'elle a vécu, les phases par lesquelles elle a dû passer, les choses qu'elle a dû sacrifier, les erreurs qu'elle a commises, les amitiés peut-être qu'elle a perdues, et j'en passe. Et puis, le point le plus important, c'est qu'en fait... Quand tu te compares, ça t'amène à quoi ? Si à chaque fois que tu te compares, tu te retrouves avec des émotions négatives, que tu n'as plus envie de rien, que tu te sens nul, que ton estime de toi baisse et que tu te retrouves à pleurer sous ta couette, alors il n'y a aucune utilité à ça. Si cette comparaison te fait plus de mal que de bien, t'empêche d'agir, de t'améliorer, d'aller de l'avant, et ben laisse tomber en fait. Laisse tomber cette mauvaise habitude, il faut t'en débarrasser. Comment ? Arrête de regarder la vie des autres, tout simplement. Arrête de t'abonner à des centaines et des centaines de comptes sur internet. Arrête de scroller sur Instagram pour voir les photos des autres. Arrête de consommer tout ce contenu passivement. Et passe un peu plus de temps à agir, à faire des choses de ton côté, à tester de nouvelles choses. Et puis si tu veux vraiment te comparer, compare-toi à une seule personne, toi, le toi d'hier. Et regarde comment tu as évolué, regarde comment tu as progressé, comment tu as grandi. La comparaison avec toi-même, elle est saine. La comparaison que tu fais avec les autres, elle a tendance à te consumer, à te bouffer et à te nuire au final. Et tout ça m'amène à ma huitième leçon. Ma huitième leçon se résume en un mot. En un verbe, oser. Eh oui, oser. Oser faire des choses qu'on n'a jamais faites. Oser dire des choses qu'on n'a jamais dites. Oser se lancer des défis, des challenges. Oser agir. Oser se mettre en mouvement. Ce mot, il est très court, très simple, mais tellement important, tellement impactant. Et j'essaie de l'incarner tous les jours un peu plus. Oser tenter. Se tromper, recommencer. Je suis persuadée que finalement ce n'est que comme ça qu'on avance. On le sait, la plupart des gens le savent, mais le vivre c'est différent, l'incarner c'est différent. Il faut pouvoir être assez fort pour accepter l'inconfort que cela procure, pour ne pas se préoccuper du regard des autres, pour agir, agir pour aller vers ses rêves. Peut-être qu'aujourd'hui tu as un rêve. Tu as envie d'entreprendre un voyage autour du monde, envie de te lancer dans ton entreprise, envie de changer de job ou juste de déménager, peu importe. Mais tu es assaillie par le doute, par la peur. Laisse-moi te dire une chose. Et si tu voyais la peur différemment ? Et si la peur, ce n'était pas ton ennemi ? Et si, en fait, c'était juste un indicateur ? Un indicateur pour toi qu'il faut agir ? Un signal qu'il faut que tu sors de ta zone de confort, que ton annuliement, ton bonheur, ton épanouissement, eh bien il est de l'autre côté de cette zone de confort. Laisse la magie opérer, mets de côté le doute, la peur, et ose, ose aller vers tes rêves, ose aller vers ce qui t'inspire. Alors je ne te demande pas de tout plaquer, de tout remettre en cause, de tout remettre à plat. et de faire des choses complètement folles. Mais demande-toi, c'est quoi la première action ? Le premier petit pas que tu peux mettre en place pour te rapprocher un peu plus de ton but. Si tu me suis depuis un moment, tu sais que je n'ai pas fait ce chemin vers l'entrepreneuriat tout de suite. Ou du moins, je l'ai fait en deux temps, si on peut dire ça comme ça. J'ai commencé mon parcours en 2020, en étant slasheuse. J'ai lancé mon entreprise en parallèle d'un emploi salarié. Et je continue comme ça un moment. Et puis finalement, ce n'est qu'en janvier 2023 que j'ai fait le pas suivant. Le pas de me lancer à mon compte à 100% et de laisser tomber le salariat. Sortir de sa zone de confort, ce n'est pas forcément exploser tout d'un coup et faire quelque chose qui nous paraît complètement surréaliste et impossible. Sortir de sa zone de confort, finalement... C'est faire grandir cette zone, petit à petit, en réfléchissant toujours au prochain pas, à la prochaine action, qui nous fera nous dépasser, qui nous fera nous challenger, mais qui restera tout de même possible pour nous. Pense à ta prochaine action, challengeante, mais inspirante. C'est vers là qu'il faut aller. On approche de la fin de cet épisode de podcast. Il y a encore deux leçons que je voulais te partager. Pour la neuvième leçon, je dois t'avouer que... Je suis encore en pleine phase d'apprentissage. La leçon est la suivante. Arrêtons de vouloir faire du multitasking. Alors, j'en suis maintenant convaincue, le multitasking est contre-productif. Le multitasking ne nous aide pas à avancer. Nous ne sommes pas plus productifs parce que nous faisons plusieurs choses en même temps. Il faut le dire parce que, dans l'inconscient collectif, on pense que c'est le contraire. En fait, toute ma vie, toute ma vie de salariée, on apprenait ça autour de moi. On m'a fait des éloges en quelque sorte parce que j'avais une forte capacité à faire plusieurs choses en même temps. C'était vu comme quelque chose de positif, comme quelque chose de productif, comme quelque chose de recherché. Mais en réalité, on se trompe tellement sur la question. En fait, on ne sait pas faire plusieurs choses en même temps. Alors on accumule des temps de concentration de plus en plus courts pour passer d'un sujet à l'autre. Et oui, on arrive à, à force de pratique et de concentration maximale, avoir l'impression parfois qu'on gère, qu'on arrive à faire toutes ces choses en même temps, qu'on arrive à switcher d'un sujet à l'autre. Mais en réalité, si on prenait le temps de faire vraiment les choses, si on prenait le temps... de se poser, de réfléchir, on serait beaucoup plus efficace. Si au lieu de switcher de sujet toutes les deux minutes, on prenait des créneaux bien précis pour faire une tâche bien précise, non seulement on finirait plus tôt, mais en plus, on serait beaucoup plus créatif, beaucoup plus inventif. Alors, arrêtons de faire du multitasking. Si je dis que c'est encore quelque chose qui est un travail pour moi, c'est que je l'ai tellement fait, tellement intégré. Qu'en fait, une part de moi, au fond, a encore cette petite croyance que, pour moi, c'est différent. Et que oui, j'y arrive. Et que oui, c'est efficace. Et puis c'est comme une drogue, en fait. J'ai tellement fait, fait et refait pendant des années, que j'ai l'impression que je ne sais pas faire autre chose, en fait. Et en fait, je me suis rendue compte aussi que ma capacité à me concentrer en avait pris un coup. Qu'à force de changer de sujet, oui, j'avais diverti mon cerveau. et qu'il était habitué à faire des sauts de sujet en sujet. Mais que quand j'avais besoin qu'il soit concentré sur une tâche, pendant quatre heures, la même tâche, et bien en fait je ne savais plus faire. Mon cerveau pensait à autre chose, mon cerveau voulait faire autre chose. Alors j'essaye de réapprendre, réapprendre à m'organiser, réapprendre à me concentrer, réapprendre à faire les choses, une à la fois, à prioriser. Nous voici maintenant à ma dernière leçon, la dixième leçon que j'ai apprise depuis que je me suis lancée dans l'entrepreneuriat. Je peux demander de l'aide. Quand on se lance dans un business, on part du principe qu'on doit tout faire seul. On n'a pas forcément assez de rentrées d'argent alors il faut se débrouiller, tout faire par soi-même, ne rien déléguer. Mais il y a aussi ce côté qui est ressorti un peu chez moi de... Je suis superwoman, je peux tout faire toute seule, je veux tout faire toute seule. Ça met une pression des dingues et c'est épuisant. Et bien entendu, quand on est entrepreneur, je le disais dans l'épisode précédent, on fait plusieurs métiers, certes. Donc oui, on doit être au fourreau, au moulin. Mais on peut demander de l'aide. On peut demander de l'aide de manière payante à un expert qui va nous aider ponctuellement sur un sujet. Mais on peut aussi demander de l'aide à son entourage, tout simplement. Un conseil, un soutien, un avis. Et bien souvent on se rend compte que les personnes autour de nous peuvent nous donner un coup de main, mais sont ravies de le faire, de contribuer à tout ça. On a parfois trop de fierté pour demander de l'aide. Donc par moments, effectivement, ça demande du courage, de l'humilité. D'aller voir une personne et de lui dire, j'ai besoin de toi, peux-tu m'aider ? Pourtant faire ça c'est faire preuve d'intelligence en fait. C'est aller chercher la solution au bon endroit. C'est s'entourer des personnes qui vont nous aider à aller de l'avant, à aller plus vite, à s'améliorer. C'est pourquoi le fait de bien s'entourer c'est essentiel. On dit souvent qu'on est la moyenne des cinq personnes qui nous entourent. Alors entoure-toi bien. Construis un cercle proche qui soit bienveillant, qui soit apte à t'aider et à te soutenir. Si aujourd'hui tu as tendance à jouer les super-héros, peut-être que tu as ce driver qu'on appelle Sois fort Si cette notion de driver ne te parle pas, je t'invite à écouter l'épisode 6 du podcast Les messages inconscients qui t'empêchent d'être toi-même En tout cas, rappelle-toi que tu n'as pas toujours à être forte, et que c'est ok. de demander de l'aide. Et voilà, on a fait le tour de ces dix leçons que j'ai apprises autour de ces derniers mois, ces dernières années. J'espère qu'elles t'ont parlé. N'hésite pas à me dire sur les réseaux sociaux si une ou plusieurs de ces leçons ont particulièrement résonné chez toi. Et je terminerai cet épisode en te reparlant de mon programme de groupe. Si aujourd'hui tu as un projet, entrepreneurial qui te tient à cœur, que tu as envie de contribuer au monde, mais que tu as peur, peur de lancer ton entreprise parce que tu ne sais pas comment faire, tu ne sais pas par quoi commencer, tu as peur de ne pas y arriver, tu as des croyances qui te bloquent, qui te freinent, tu te dis que tu n'es pas assez experte, que ce n'est pas le bon moment, et puis finalement, qui es-tu pour te lancer dans l'entrepreneuriat ? Si tu te sens concerné, surtout, surtout ne garde pas ton projet pour toi et contacte-moi pour qu'on en discute. L'entrepreneuriat c'est possible, ça a été possible pour moi, alors ça l'est aussi pour toi. Et j'ai envie de terminer cet épisode avec un poème que j'ai écrit il y a quelques temps. Tu l'as peut-être déjà vu sur mes réseaux sociaux, mais je trouve que c'est une parfaite conclusion à cet épisode. Alors c'est parti. Tu en as toujours rêvé, aussi loin que tu t'en souviennes, tu l'as toujours désiré. Mais ce n'est pas conventionnel, tu le sais. Tu en as toujours rêvé. Au fond de ton cœur, cette petite voix, tu refuses de l'écouter. Et pourtant, elle est bien là. Tu en as toujours rêvé. Pour une fois, prendre les rênes, te libérer de ces chaînes, et pouvoir t'envoler. Tu en as toujours rêvé. Mais les rêves, c'est pour les autres, n'est-ce pas ? Toi, tu n'y as pas droit. Toi, ça ne marcherait pas. Tu regardes ceux qui le font avec envie, que dis-je, avec jalousie, en te disant qu'un jour, peut-être, ce sera à ton tour d'être. Être cette personne que tu étouffes à l'intérieur de toi, tomber le masque pour être juste celle que tu dois, celle qui se cache par peur de ne pas être à la hauteur. Tu en as toujours rêvé. Pouvoir t'exprimer tel que tu es, avec ta sensibilité, ta singularité. Mais dans notre monde, c'est si dur d'avouer qui on est. Tu en as tellement rêvé, que parfois tu finis par oublier. Oublier que ce rêve peut devenir réalité. Oublier que seul toi peut l'incarner. Toutes ces questions dans ta tête, je sais, tu voudrais tant que ça s'arrête. Mais un rêve ne disparaît jamais vraiment. Même si tu l'étouffes, il réapparaît de temps en temps. Devenir entrepreneur, mais bien sûr, ça fait peur. Mais tu en as tellement rêvé. Pourquoi ne pas essayer ? Au fond de ton cœur, la flamme est là. S'il te plaît, ne l'éteins pas. Mais ose, ose être toi. Ose l'entrepreneuriat.

Description

Cet épisode est la deuxième partie de l'épisode "5 leçons apprises  grâce à l'entrepreneuriat". J'y partage 5 autre's leçons que j'ai apprises depuis que je me suis lancée dans le coachign et l'entrepreneuriat.

Que tu sois entrepreneure, que tu souhaites le devenir ou non ; ces leçons peuvent s'appliquer dans tous les domaines de la vie, et t'aideront à atteindre tes objectifs avec plus d'efficacité et de sérénité.  Alors, ne manque pas cet épisode !

Et si tu veux en savoir plus sur mon programme de
groupe c'est pas ici : https://www.elsakinguejohnson.com/coaching-de-groupe   


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Si cet épisode a fait écho en toi ou s'il t'a plu tout simplement, je t'invite à me laisser 5 étoiles et un commentaire (si ta plateforme d'écoute le permet) afin que mon contenu puisse être proposé à plus de personnes.

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🦋 Je suis Elsa, boosteuse d'estime (coach et sophrologue) spécialisée dans l’estime de soi des femmes hypersensibles. Je t’accompagne à prendre conscience de ta valeur, à développer ta confiance en toi et à apprivoiser tes émotions pour enfin oser impacter le monde à ta façon ✨


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#entrepreneuriat #selancer #entreprendre #oserentreprendre


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Transcription

  • Speaker #0

    Hello, je m'appelle Elsa et je suis Master Coach Certifié. Avec ce podcast, Un Chemin Vers Soi, ma mission est de t'aider à mieux te comprendre et à t'accepter pour que tu aies, pour que tu puisses rayonner en toute authenticité. Je suis profondément convaincue qu'on a tous en nous une lumière qui ne demande qu'à briller. Et mon désir est que tu puisses prendre conscience de ta valeur. Découvrir ce chemin qui est le tien et impacter le monde à ta façon. Ensemble, partons à la découverte de notre vérité. Apprenons à nous révéler et osons marcher vers notre destinée. Hello, j'espère que tu vas bien. Comme d'habitude, je suis ravie de te retrouver pour cet épisode qui est en fait une suite de l'épisode d'il y a deux semaines. Dans l'épisode 22, je t'avais présenté 5 leçons que j'ai apprises depuis que je me suis lancée dans l'entrepreneuriat. Aujourd'hui, je voudrais te présenter les 5 leçons suivantes. Si tu n'as pas écouté l'épisode précédent, je t'invite à faire pause. Et si c'est déjà le cas... Alors, continuons pour la suite. Comme je le disais dans l'épisode précédent, ces leçons peuvent s'appliquer à ta vie, tout simplement. Alors, assez de bavardage, commençons dans le vif du sujet. La sixième leçon que j'ai apprise depuis que je me suis lancée, c'est qu'il faut lâcher le perfectionnisme. Accepter qu'on est dans une courbe d'apprentissage et qu'en fait, ce qu'on va produire ne sera probablement pas parfait. Et c'est ok. Il faut passer par là. Il faut commencer, essayer, se tromper aussi, s'améliorer, recommencer, se tromper encore, recommencer, et ainsi de suite. Jusqu'à atteindre un niveau, disons optimal. Jusqu'à atteindre un certain niveau de perfection. Je dis un certain niveau parce qu'en fait, la perfection c'est quoi ? Oui, on peut s'arrêter deux minutes sur ce terme, mais en fait la perfection pour moi n'existe pas. Ma perfection n'est pas ta perfection. On a tous notre vision des choses, tous notre propre définition, et on ne pourra jamais tomber tous d'accord. Alors finalement, rechercher la perfection, c'est rechercher quelque chose qui n'existe pas. Oui, bien sûr, tu peux te conforter à ta propre perfection, à ce que tu considères comme parfait. Mais là encore, parfait par rapport à qui, par rapport à quoi ? En réalité, d'où provient ta définition de la perfection ? Est-ce bien la tienne d'ailleurs ? Ou est-ce qu'elle t'a été imposée par ton entourage, par la société ? Es-tu sûre que tu aimes la perfection ? Est-ce qu'elle t'est vraiment utile ? Est-ce qu'en fait, cette perfection que tu recherches tant, que tu idolâtres tant, est-ce qu'elle ne serait pas la cause de tous tes maux ? Oui, c'est peut-être un peu fort, mais en fait, pourquoi veux-tu être parfaite ? Pour être aimée, j'imagine. Pour être acceptée. Et si cette perfection que tu recherches tant pour être aimée, pour être acceptée, dans un groupe, aux yeux du monde, auprès des personnes auxquelles tu tiens, si cette perfection, eh ben elle t'en est éloignée. Si cette perfection, elle faisait de toi quelqu'un de lisse, quelqu'un d'irréel, pas vraiment humain finalement. Et si cette perfection, elle t'empêchait de connecter avec les autres ? Je l'ai déjà dit dans le podcast, mais on n'est pas des robots. Alors cette perfection que tu cherches, et si elle t'enlevait ton humanité ? Et si c'était le cas, est-ce que tu courrais toujours après elle ? Je suis loin d'être la dernière à vouloir que les choses soient parfaites selon mes propres critères. Mais pourtant, plus le temps passe et plus je comprends l'importance de la vulnérabilité. C'est tellement important. Pour connecter avec les autres, oui. Pour exprimer son humanité. Et pour se foutre la paix aussi. Pour être soi, tout simplement. Parce qu'on est des humains, on fait des erreurs, on fait des choses imparfaitement. Et cette imperfection, elle est belle. Cette imperfection, elle nous permet de toucher les autres en plein cœur. Alors assume tout ça. Assume tes failles, assume tes faiblesses, assume ton imperfection et laisse-toi tranquille pour une fois. La septième leçon dont je voulais te parler, c'est la comparaison. On adore, on adore ça, se comparer. Et bien entendu, on passe plus de temps à se comparer à ceux qui sont, entre guillemets, mieux que nous, que ceux qu'on considère comme moins bons que nous. C'est valable sur le marché de l'emploi, avec tes collègues, avec tes amis aussi, et même avec des célébrités. C'est valable pour ton mental, pour ton physique. En fait, on passe notre temps à se comparer. On se compare. On se juge, on s'auto-juge et on se critique. Comme si ça allait nous faire avancer, comme si ça allait nous faire progresser. A l'air dans certains cas, à petite dose, et pour certains types de personnes, oui, ça peut avoir un impact, ça peut nous booster en quelque sorte. Mais je ne suis pas sûre que ce soit la meilleure solution. Surtout à outrance. De nos jours, avec les réseaux sociaux, c'est tellement facile de se comparer. On peut comparer nos dernières vacances, on peut comparer nos séances de sport, on peut comparer nos chiffres d'affaires en business aussi. En fait, tu peux tout comparer. Mais il ne faut pas oublier une chose, tu ne vois que ce que les gens veulent bien te montrer. Ce n'est qu'une partie de leur vie, qu'une partie de la réalité. À ce propos, j'ai une petite anecdote pour toi, pour illustrer tout ça. Au tout début, quand je me suis lancée dans le coaching, bien sûr j'avais un tout tout petit nombre d'abonnés, même pas une centaine. Et je me souviens, j'avais rencontré une coach qui, elle, avait environ 30 000 abonnés. Je l'enviais. Je trouvais ce chiffre oufissime. Je me disais, elle a tellement de chance, j'espère qu'un jour je l'atteindrai. Et puis, en échangeant avec elle, elle a fini par me dire qu'elle n'avait pas de client. Vu de l'extérieur, ces 30 000 abonnés faisaient un effet waouh, mais en fait, la réalité était tout autre. Elle avait une grosse base de prospects, mais elle n'arrivait pas à convertir. Les gens te montrent toujours ce qu'ils acceptent de te montrer, mais sache qu'il y a une autre réalité qui se cache derrière ça. Et peut-être qu'en fait, si tu avais toutes les infos, peut-être que tu ne les envierais pas. Peut-être que tu préférais ta vie. Souvent, il arrive qu'on regarde le résultat des gens, on regarde leur succès, en se disant que c'est magnifique et que c'est ce qu'on veut. Mais on ne sait pas ce qu'a mis en place la personne pour en arriver là. On ne sait pas ce qu'elle a vécu, les phases par lesquelles elle a dû passer, les choses qu'elle a dû sacrifier, les erreurs qu'elle a commises, les amitiés peut-être qu'elle a perdues, et j'en passe. Et puis, le point le plus important, c'est qu'en fait... Quand tu te compares, ça t'amène à quoi ? Si à chaque fois que tu te compares, tu te retrouves avec des émotions négatives, que tu n'as plus envie de rien, que tu te sens nul, que ton estime de toi baisse et que tu te retrouves à pleurer sous ta couette, alors il n'y a aucune utilité à ça. Si cette comparaison te fait plus de mal que de bien, t'empêche d'agir, de t'améliorer, d'aller de l'avant, et ben laisse tomber en fait. Laisse tomber cette mauvaise habitude, il faut t'en débarrasser. Comment ? Arrête de regarder la vie des autres, tout simplement. Arrête de t'abonner à des centaines et des centaines de comptes sur internet. Arrête de scroller sur Instagram pour voir les photos des autres. Arrête de consommer tout ce contenu passivement. Et passe un peu plus de temps à agir, à faire des choses de ton côté, à tester de nouvelles choses. Et puis si tu veux vraiment te comparer, compare-toi à une seule personne, toi, le toi d'hier. Et regarde comment tu as évolué, regarde comment tu as progressé, comment tu as grandi. La comparaison avec toi-même, elle est saine. La comparaison que tu fais avec les autres, elle a tendance à te consumer, à te bouffer et à te nuire au final. Et tout ça m'amène à ma huitième leçon. Ma huitième leçon se résume en un mot. En un verbe, oser. Eh oui, oser. Oser faire des choses qu'on n'a jamais faites. Oser dire des choses qu'on n'a jamais dites. Oser se lancer des défis, des challenges. Oser agir. Oser se mettre en mouvement. Ce mot, il est très court, très simple, mais tellement important, tellement impactant. Et j'essaie de l'incarner tous les jours un peu plus. Oser tenter. Se tromper, recommencer. Je suis persuadée que finalement ce n'est que comme ça qu'on avance. On le sait, la plupart des gens le savent, mais le vivre c'est différent, l'incarner c'est différent. Il faut pouvoir être assez fort pour accepter l'inconfort que cela procure, pour ne pas se préoccuper du regard des autres, pour agir, agir pour aller vers ses rêves. Peut-être qu'aujourd'hui tu as un rêve. Tu as envie d'entreprendre un voyage autour du monde, envie de te lancer dans ton entreprise, envie de changer de job ou juste de déménager, peu importe. Mais tu es assaillie par le doute, par la peur. Laisse-moi te dire une chose. Et si tu voyais la peur différemment ? Et si la peur, ce n'était pas ton ennemi ? Et si, en fait, c'était juste un indicateur ? Un indicateur pour toi qu'il faut agir ? Un signal qu'il faut que tu sors de ta zone de confort, que ton annuliement, ton bonheur, ton épanouissement, eh bien il est de l'autre côté de cette zone de confort. Laisse la magie opérer, mets de côté le doute, la peur, et ose, ose aller vers tes rêves, ose aller vers ce qui t'inspire. Alors je ne te demande pas de tout plaquer, de tout remettre en cause, de tout remettre à plat. et de faire des choses complètement folles. Mais demande-toi, c'est quoi la première action ? Le premier petit pas que tu peux mettre en place pour te rapprocher un peu plus de ton but. Si tu me suis depuis un moment, tu sais que je n'ai pas fait ce chemin vers l'entrepreneuriat tout de suite. Ou du moins, je l'ai fait en deux temps, si on peut dire ça comme ça. J'ai commencé mon parcours en 2020, en étant slasheuse. J'ai lancé mon entreprise en parallèle d'un emploi salarié. Et je continue comme ça un moment. Et puis finalement, ce n'est qu'en janvier 2023 que j'ai fait le pas suivant. Le pas de me lancer à mon compte à 100% et de laisser tomber le salariat. Sortir de sa zone de confort, ce n'est pas forcément exploser tout d'un coup et faire quelque chose qui nous paraît complètement surréaliste et impossible. Sortir de sa zone de confort, finalement... C'est faire grandir cette zone, petit à petit, en réfléchissant toujours au prochain pas, à la prochaine action, qui nous fera nous dépasser, qui nous fera nous challenger, mais qui restera tout de même possible pour nous. Pense à ta prochaine action, challengeante, mais inspirante. C'est vers là qu'il faut aller. On approche de la fin de cet épisode de podcast. Il y a encore deux leçons que je voulais te partager. Pour la neuvième leçon, je dois t'avouer que... Je suis encore en pleine phase d'apprentissage. La leçon est la suivante. Arrêtons de vouloir faire du multitasking. Alors, j'en suis maintenant convaincue, le multitasking est contre-productif. Le multitasking ne nous aide pas à avancer. Nous ne sommes pas plus productifs parce que nous faisons plusieurs choses en même temps. Il faut le dire parce que, dans l'inconscient collectif, on pense que c'est le contraire. En fait, toute ma vie, toute ma vie de salariée, on apprenait ça autour de moi. On m'a fait des éloges en quelque sorte parce que j'avais une forte capacité à faire plusieurs choses en même temps. C'était vu comme quelque chose de positif, comme quelque chose de productif, comme quelque chose de recherché. Mais en réalité, on se trompe tellement sur la question. En fait, on ne sait pas faire plusieurs choses en même temps. Alors on accumule des temps de concentration de plus en plus courts pour passer d'un sujet à l'autre. Et oui, on arrive à, à force de pratique et de concentration maximale, avoir l'impression parfois qu'on gère, qu'on arrive à faire toutes ces choses en même temps, qu'on arrive à switcher d'un sujet à l'autre. Mais en réalité, si on prenait le temps de faire vraiment les choses, si on prenait le temps... de se poser, de réfléchir, on serait beaucoup plus efficace. Si au lieu de switcher de sujet toutes les deux minutes, on prenait des créneaux bien précis pour faire une tâche bien précise, non seulement on finirait plus tôt, mais en plus, on serait beaucoup plus créatif, beaucoup plus inventif. Alors, arrêtons de faire du multitasking. Si je dis que c'est encore quelque chose qui est un travail pour moi, c'est que je l'ai tellement fait, tellement intégré. Qu'en fait, une part de moi, au fond, a encore cette petite croyance que, pour moi, c'est différent. Et que oui, j'y arrive. Et que oui, c'est efficace. Et puis c'est comme une drogue, en fait. J'ai tellement fait, fait et refait pendant des années, que j'ai l'impression que je ne sais pas faire autre chose, en fait. Et en fait, je me suis rendue compte aussi que ma capacité à me concentrer en avait pris un coup. Qu'à force de changer de sujet, oui, j'avais diverti mon cerveau. et qu'il était habitué à faire des sauts de sujet en sujet. Mais que quand j'avais besoin qu'il soit concentré sur une tâche, pendant quatre heures, la même tâche, et bien en fait je ne savais plus faire. Mon cerveau pensait à autre chose, mon cerveau voulait faire autre chose. Alors j'essaye de réapprendre, réapprendre à m'organiser, réapprendre à me concentrer, réapprendre à faire les choses, une à la fois, à prioriser. Nous voici maintenant à ma dernière leçon, la dixième leçon que j'ai apprise depuis que je me suis lancée dans l'entrepreneuriat. Je peux demander de l'aide. Quand on se lance dans un business, on part du principe qu'on doit tout faire seul. On n'a pas forcément assez de rentrées d'argent alors il faut se débrouiller, tout faire par soi-même, ne rien déléguer. Mais il y a aussi ce côté qui est ressorti un peu chez moi de... Je suis superwoman, je peux tout faire toute seule, je veux tout faire toute seule. Ça met une pression des dingues et c'est épuisant. Et bien entendu, quand on est entrepreneur, je le disais dans l'épisode précédent, on fait plusieurs métiers, certes. Donc oui, on doit être au fourreau, au moulin. Mais on peut demander de l'aide. On peut demander de l'aide de manière payante à un expert qui va nous aider ponctuellement sur un sujet. Mais on peut aussi demander de l'aide à son entourage, tout simplement. Un conseil, un soutien, un avis. Et bien souvent on se rend compte que les personnes autour de nous peuvent nous donner un coup de main, mais sont ravies de le faire, de contribuer à tout ça. On a parfois trop de fierté pour demander de l'aide. Donc par moments, effectivement, ça demande du courage, de l'humilité. D'aller voir une personne et de lui dire, j'ai besoin de toi, peux-tu m'aider ? Pourtant faire ça c'est faire preuve d'intelligence en fait. C'est aller chercher la solution au bon endroit. C'est s'entourer des personnes qui vont nous aider à aller de l'avant, à aller plus vite, à s'améliorer. C'est pourquoi le fait de bien s'entourer c'est essentiel. On dit souvent qu'on est la moyenne des cinq personnes qui nous entourent. Alors entoure-toi bien. Construis un cercle proche qui soit bienveillant, qui soit apte à t'aider et à te soutenir. Si aujourd'hui tu as tendance à jouer les super-héros, peut-être que tu as ce driver qu'on appelle Sois fort Si cette notion de driver ne te parle pas, je t'invite à écouter l'épisode 6 du podcast Les messages inconscients qui t'empêchent d'être toi-même En tout cas, rappelle-toi que tu n'as pas toujours à être forte, et que c'est ok. de demander de l'aide. Et voilà, on a fait le tour de ces dix leçons que j'ai apprises autour de ces derniers mois, ces dernières années. J'espère qu'elles t'ont parlé. N'hésite pas à me dire sur les réseaux sociaux si une ou plusieurs de ces leçons ont particulièrement résonné chez toi. Et je terminerai cet épisode en te reparlant de mon programme de groupe. Si aujourd'hui tu as un projet, entrepreneurial qui te tient à cœur, que tu as envie de contribuer au monde, mais que tu as peur, peur de lancer ton entreprise parce que tu ne sais pas comment faire, tu ne sais pas par quoi commencer, tu as peur de ne pas y arriver, tu as des croyances qui te bloquent, qui te freinent, tu te dis que tu n'es pas assez experte, que ce n'est pas le bon moment, et puis finalement, qui es-tu pour te lancer dans l'entrepreneuriat ? Si tu te sens concerné, surtout, surtout ne garde pas ton projet pour toi et contacte-moi pour qu'on en discute. L'entrepreneuriat c'est possible, ça a été possible pour moi, alors ça l'est aussi pour toi. Et j'ai envie de terminer cet épisode avec un poème que j'ai écrit il y a quelques temps. Tu l'as peut-être déjà vu sur mes réseaux sociaux, mais je trouve que c'est une parfaite conclusion à cet épisode. Alors c'est parti. Tu en as toujours rêvé, aussi loin que tu t'en souviennes, tu l'as toujours désiré. Mais ce n'est pas conventionnel, tu le sais. Tu en as toujours rêvé. Au fond de ton cœur, cette petite voix, tu refuses de l'écouter. Et pourtant, elle est bien là. Tu en as toujours rêvé. Pour une fois, prendre les rênes, te libérer de ces chaînes, et pouvoir t'envoler. Tu en as toujours rêvé. Mais les rêves, c'est pour les autres, n'est-ce pas ? Toi, tu n'y as pas droit. Toi, ça ne marcherait pas. Tu regardes ceux qui le font avec envie, que dis-je, avec jalousie, en te disant qu'un jour, peut-être, ce sera à ton tour d'être. Être cette personne que tu étouffes à l'intérieur de toi, tomber le masque pour être juste celle que tu dois, celle qui se cache par peur de ne pas être à la hauteur. Tu en as toujours rêvé. Pouvoir t'exprimer tel que tu es, avec ta sensibilité, ta singularité. Mais dans notre monde, c'est si dur d'avouer qui on est. Tu en as tellement rêvé, que parfois tu finis par oublier. Oublier que ce rêve peut devenir réalité. Oublier que seul toi peut l'incarner. Toutes ces questions dans ta tête, je sais, tu voudrais tant que ça s'arrête. Mais un rêve ne disparaît jamais vraiment. Même si tu l'étouffes, il réapparaît de temps en temps. Devenir entrepreneur, mais bien sûr, ça fait peur. Mais tu en as tellement rêvé. Pourquoi ne pas essayer ? Au fond de ton cœur, la flamme est là. S'il te plaît, ne l'éteins pas. Mais ose, ose être toi. Ose l'entrepreneuriat.

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