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Oser l'efficacité : Vers la transformation digitale des entreprises industrielles

Summer Dailean Club 45/45 - 5 croyances qui sabotent ta digitalisation industrielle

Summer Dailean Club 45/45 - 5 croyances qui sabotent ta digitalisation industrielle

13min |03/09/2025|

33

Play
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13min |03/09/2025|

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Description

5 croyances qui sabotent ta digitalisation industrielle


Ton accès au récap' du Summer Dailean club et à toutes les ressources de l'été, c'est par ici : Je veux mes ressources.


Tu veux digitaliser tes processus mais tu ne sais pas par où commencer ? Cet épisode est pour toi.


Aujourd’hui, on démonte 5 croyances limitantes qui freinent trop souvent les projets de transformation digitale en entreprise.


💡 On parle ici d’efficacité opérationnelle, d’outils Lean, de l’usage (ou mésusage) d’Excel, de multi-sites sans ERP global, et du vrai coût de la formation.


Tu découvriras pourquoi structurer tes processus est plus important que l’outil lui-même, et comment un bon projet commence toujours par un problème à résoudre, pas par un devis logiciel.


🔥 Si tu veux améliorer l’efficacité en PME, éviter les pertes de temps en production, et sortir des processus mal maîtrisés, cet épisode va t’ouvrir la voie.


Cet été, je t'ai invité à muscler ton esprit Lean en 5 minutes par jour.


Du 1er juillet au 31 août, je t’ai embarqué dans le Summer Dailean Club : un épisode du lundi au vendredi pour parler Lean, optimisation et efficacité — appliqués à tes vacances.


Objectif ? Profiter à fond, sans te laisser polluer par le stress, et préparer en douceur la rentrée.


Tu as un projet de transformation digitale ?

Des pertes de temps en production ?

Des processus mal maitrisés ? Ou à optimiser ?


Ces petites doses estivales t'ont, je l'espère, aidé à attaquer tes chantiers de rentrée du bon pied.


➡️ Tu peux retrouver tous les épisodes du Summer Dailean et les ressources complémentaires gratuites en t'inscrivant ici :
Je veux mes ressources.


Avant de partir, tu peux :

  • 📲 T’abonner pour ne manquer aucun épisode

  • Laisser un commentaire et une note ⭐⭐⭐⭐⭐ si tu aimes le contenu ! Ça m’aide énormément.


Tu peux également me suivre sur LinkedIn et Instagram pour continuer la conversation et rester informé des dernières nouveautés :


Digetik, tous droits réservés. Un podcast réalisé et animé par Perrine Thiébaut

Graphisme et identité visuelle : Elise Rondard

Musique Intro et Outro : Annabelle Thiébaut

Montage : Annabelle Thiébaut


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    70% des projets IT échouent faute d'objectifs clairs. Et là, tu viens déjà d'économiser la moitié du temps de cette tâche sans même ouvrir ton portefeuille. Excel du coup n'est jamais un problème en soi, mais ce n'est pas un problème jusqu'à ce qu'il en devienne un. Les détecter plutôt que de les réparer avec du scotch. C'est pas parce qu'on travaille pas tous sur le même rythme que l'on ne peut pas travailler ensemble. Mais savoir perdre du temps maintenant, c'est en gagner 10 fois, voire 100 fois plus, plus tard. Oser l'efficacité passe en mode Summer Dailean. Tout l'été, 45 épisodes pour aborder le Lean avec légèreté et en tongs. Le but, aiguiser ton esprit process pour attaquer la rentrée avec plein de bonnes idées. Allez, c'est parti ! On a parlé de Lean tout l'été avec des exemples concrets et des outils pratiques. Mais maintenant, septembre est là et il est temps de se remettre au travail concrètement. Alors aujourd'hui, l'épisode sera peut-être un peu plus long, mais on va faire tomber 5 croyances qui empêchent de lancer un projet de digitalisation. Et la hache qui va abattre le baobab des doutes qui cachent la forêt d'opportunités dans laquelle tu peux être prêt à te lancer en ce joli mois de septembre bien pluvieux, c'est le Lean et ses outils, bien évidemment. Tout d'abord, avant de commencer, je t'ai préparé un petit cadeau pour clore la série de l'été Summer Dailean. Je t'ai préparé une page où tu vas retrouver tous les épisodes avec un petit résumé, avec les thèmes Lean abordés, avec les liens d'écoute, avec les liens vidéo si tu veux revoir ceux qui étaient en vidéo. ... Et bien évidemment, les 9 ressources gratuites que tu pourras télécharger directement depuis cette page. Si tu es déjà inscrit au Summer Dailean Club, tu vas le recevoir, tu as dû déjà le recevoir d'ailleurs ce matin dans ta boîte mail, ce lien où tu retrouves absolument tout le contenu de la série de l'été prêt à être écouté et réécouté. Si tu n'es pas encore inscrit, ne t'inquiète pas, tu peux toujours t'inscrire au lien que je te donne maintenant, c'est digetik.fr. été 2025 en un mot. digetik.fr d-i-g-e-t-i-k .fr slash été 2025 e-t-e 2025 sans accent. Voilà, donc dès que tu t'inscris sur ce lien-là, tu reçois directement le lien vers la page où tu auras toutes tes ressources, tous les épisodes que tu pourras écouter et réécouter à l'infini. Sur ce, on est prêt à attaquer l'épisode et à prendre nos outils lean pour aller démonter 5 croyances qui t'empêchent aujourd'hui de lancer le projet digital qui changera tout dans ton entreprise. Je voudrais juste aussi faire une petite parenthèse avant de commencer, je le répète en permanence mais ce n'est pas un outil qui sauvera un processus flou. Donc dans cet épisode, on va parler de digitalisation certes, mais aussi de l'optimisation des processus qui pour moi est absolument obligatoire pour qu'un projet digital se passe bien. D'ailleurs pour rappel, ça fait beaucoup de rappels dans ce début d'épisode, mais quand même. 70% des projets IT échouent faute d'objectifs clairs. Et je ne pense pas que tu aies envie de faire partie de cette statistique. Donc maintenant qu'on est bien clair, on démarre avec notre mythe numéro 1. Il faut un gros budget pour commencer. Avant de se demander s'il faut un gros budget pour commencer, il faut peut-être commencer par savoir ce qu'on veut commencer. Parce que commencer, comme je le disais au début, c'est mettre le nez dans ses processus. Et ça, ça ne coûte absolument rien, à part un peu de temps. que de constater que, par exemple, deux services font la même tâche en parallèle. Et là, tu viens déjà d'économiser la moitié du temps de cette tâche sans même ouvrir ton portefeuille. Globalement, un bon projet part d'un problème à résoudre, systématiquement. Et pour ça, le premier pas, c'est d'entraîner tes équipes à la détection, puis à la résolution de ces problèmes, justement. Ça, c'est avant tout de l'état d'esprit et du management. Pas besoin d'investissement lourd, pas besoin d'outils à proprement parler, juste de mettre tes équipes au cœur du process et de leur permettre de relever eux-mêmes leurs problèmes et potentiellement derrière, d'apporter les solutions qui les feront travailler mieux demain. Ce que tu peux faire dès aujourd'hui, c'est que tu peux commencer à collecter les problèmes rencontrés, les détecter plutôt que de les réparer avec du scotch. En fait, si tu n'es pas dans une culture de résolution de problèmes, le risque c'est quand un problème survient, ce qui va être fait, c'est immédiatement de vouloir le réparer au plus vite et que le problème disparaisse. Mais en fait, il disparaît avant de réapparaître sur tout. Donc l'idée, on collecte les problèmes, on évite de les réparer avec du scotch et on essaye d'analyser les causes profondes pour que cette fois-ci, ils ne reviennent pas. Dans les épisodes de cet été, on a par exemple vu l'outil du QQOQCCP qui te permet de bien comprendre le contexte d'un problème et c'est déjà un bon début. D'ailleurs, grâce à la page de récapitulatif, tu pourras trouver très facilement cet outil dans la liste des épisodes disponibles. en allant sur digetik.fr slash été 2025. Deuxième mythe à détruire, c'est je m'en sors très bien avec Excel. Bon, sur celui-là, je ne vais pas être aussi tranchante que sur le premier parce que ça peut être vrai. Excel, c'est une très bonne solution pour débuter et pour commencer à comprendre quelles solutions tu peux mettre en place pour alléger ton quotidien et finalement pour formaliser tes processus avec un premier pas vers l'informatique. Excel du coup n'est jamais un problème en soi, mais ce n'est pas un problème jusqu'à ce qu'il en devienne un. Si tu te souviens de la mini-série sur les vacances en groupe, et bien gérer Excel de ton côté dans ton coin, c'est le meilleur moyen pour le faire exploser justement ce groupe. Et dans le cas du boulot, on parle de ton équipe. Avec un Excel dans ton coin, personne n'a le même niveau d'information, et quand tu le mets sur un drive, la moindre perte de connexion, c'est le bazar, tu vas avoir des conflits de version, plus personne ne s'y retrouve, tu peux perdre du travail sur plusieurs heures, c'est assez compliqué. Et si tu utilises une version complètement en ligne, tu peux dire adieu à tes jolis macros et donc perdre l'intérêt d'un Excel vraiment fouillé par tes experts VBA. En bref, l'utilisation d'Excel, ça dépend surtout de ton contexte, mais dès que tu veux collaborer, ça devient très vite limitant. Concrètement, si tu veux savoir si ton Excel est en bout de course, pose-toi la question de combien ça te prend pour les mettre à jour. Est-ce que tu as le temps de les exploiter, les résultats que tu as mis si longtemps à mettre à jour ? Et est-ce que préparer tes Excel, c'est l'activité du dimanche quand personne ne te dérange ? A quelle fréquence un conflit de version peut te faire perdre plusieurs heures de boulot ? Toutes ces petites questions, tout ce qui te gratte au quotidien, c'est peut-être des indices qui fait que Excel, aujourd'hui, ce n'est plus parfaitement la bonne solution pour toi. Il y a des solutions qui existent, elles ne sont pas forcément coûteuses et il faut juste savoir exactement ce dont tu as besoin. Le troisième mythe que je voudrais faire tomber, c'est quand on est multi-sites, c'est impossible à gérer sans ERP global. J'ai envie de te dire, si chaque site tourne bien avec son propre matériel, pourquoi est-ce qu'on voudrait imposer le même rythme à tous avec tous les problèmes que ça peut présenter de migration d'ERP. Je veux dire, aujourd'hui, tu sais ce que t'as, t'as un ERP qui fonctionne. Si foncièrement, il ne te pose pas de problème au quotidien, pourquoi est-ce qu'on voudrait absolument changer pour mettre tout le monde sur le même outil ? Après, il y a plein de considérations qui font que tu peux avoir envie d'harmoniser tout ça. Si tu veux un seul outil pour que ça coûte moins cher et pour que ce soit plus facile pour ton service IT, pourquoi pas ? Mais en soi, si ce n'est pas ça ta préoccupation, si c'est juste parce que tu n'arrives pas à suivre et à comparer tes sites parce que tu as plus d'un ERP qui tourne actuellement, ce n'est pas forcément une raison suffisante. Et d'ailleurs, je te renvoie aux épisodes dans lesquels on a pu parler de travail asyncrone et de rythme différent. C'est un petit peu le même principe. C'est pas parce qu'on travaille pas tous sur le même rythme, qu'on travaille pas avec les mêmes codes et les mêmes façons de faire, que l'on ne peut pas travailler ensemble. Aujourd'hui, il existe quand même des solutions pour agréger tes données de plein de systèmes différents et construire des tableaux de bord qui vont être multisources. Donc en fait l'idée c'est de savoir exactement ce que tu veux comparer. Quelles sont les définitions de tes indicateurs ? Quelle est l'unité que tu vas utiliser ? Quelle est la périodicité sur laquelle tu veux faire tes comparaisons ? Toutes ces questions-là, tu te les poses de manière complètement indépendante des outils qui sont utilisés aujourd'hui. Et derrière, tu vas pouvoir dessiner tes indicateurs et savoir quelles données tu dois récupérer ou pour que ton tableau de bord te donne les bonnes informations et les bonnes comparaisons. L'idée à retenir, c'est qu'on fixe un cap commun. pour toutes tes usines, mais que les outils et rythmes sont différents pour chacun. L'important, c'est d'arriver ensemble à l'heure, mais finalement, le chemin pris importe peu. Le quatrième mythe qu'on va faire tomber, c'est plus de KPI, plus d'indicateurs font de meilleures décisions. On est encore en mois de septembre, le but, ce n'est pas d'avoir un sapin de Noël avant l'heure. Donc, on va ranger nos tableaux de bord multicolores et complètement illisibles. Le but, c'est d'avoir un management visuel minimal. dans lequel on va se retrouver facilement. Nous restons des humains. Nous ne décidons pas mieux avec 30 feux tricolores qu'avec un qui nous dit si on peut ou si on ne peut pas passer. Mieux vaut trois indicateurs alignés avec tes objectifs du trimestre, que ce soit des objectifs sur tes flux, sur ta disponibilité, sur ta qualité, sur ton carnet de commandes, peu importe, il faut vraiment que ce soit aligné avec tes objectifs du trimestre. et avec un rituel court pour les analyser et prendre les décisions qui s'imposent. Le mieux, c'est d'en choisir effectivement 3 qui soient actionnables directement et où tu as tracé tes plans d'action clairs en cas de variation à la hausse ou à la baisse. C'est comme ça que tu y arriveras le mieux. Après, je ne dis pas, si tu as un gros projet d'IA avec une machine de calcul qui tourne derrière et qui va pouvoir t'analyser 30 indicateurs en même temps et te donner des préconisations, c'est encore autre chose. Mais commençons déjà simple. Grosso modo, on veut moins de chiffres pour plus de décisions. Rien ne t'empêche de changer tes indicateurs quand tes objectifs changent, mais en tout cas, ne te pollue pas la vision avec trop de choses en même temps. Et puis de toute façon, les indicateurs, il faut les maintenir. Si tu le fais encore sous Excel, tu dois avoir des boutons rien que de penser à en rajouter un nouveau. Parce que ça va te prendre du temps à le maintenir, ça va te prendre du temps de le mettre en forme et surtout, dès que Martin utilise ton fichier, il va faire sauter la jolie mise en page que tu as mis tant de temps à faire. Je me permets juste une petite parenthèse pour te remercier d'être là au quotidien. Le podcast a énormément progressé dans les charts Apple, donc il est plutôt bien classé. Il est dans le top 200 en France, catégorie Management. Et il est même dans le top 50 en Belgique, toujours catégorie management. Donc encore merci à toi parce que c'est grâce à toi, si le podcast peut progresser, c'est en continuant de me soutenir que je vais pouvoir continuer à produire d'autres épisodes et plus de contenu sur les sujets qui t'intéressent. Donc pour ça, n'hésite surtout pas à mettre une note sur Apple Podcast ou Spotify ou sur YouTube, de mettre un pouce bleu sur tes épisodes préférés. et aussi à laisser des commentaires parce que c'est vraiment comme ça que tu envoies les bons messages aux plateformes d'écoute et que tu montres que le contenu a de l'intérêt et qu'il mérite d'être poussé donc n'hésite pas à me laisser un message soit pour me dire ce que tu as aimé dans un épisode un autre sujet que tu aimerais voir traité ou un complément d'information s'il y a des choses que je n'ai pas traité n'hésite pas à apporter des choses ça me permet moi aussi de m'enrichir personnellement et peut-être de me donner de nouveaux épisodes pour creuser un axe que j'aurais peut-être oublié. Sur ce, je vais m'attaquer au cinquième mythe, mais encore merci d'être là. Le cinquième mythe, c'est former, c'est perdre du temps. Ça aussi, c'est un des trucs que je répète tout le temps, mais savoir perdre du temps maintenant, c'est en gagner dix fois, voire cent fois plus, plus tard. C'est mon papa qui m'a mis ça dans la tête, et ça fait au moins vingt ans, je l'ai jamais oublié, et ça me suit depuis. Alors autant ça pouvait m'irriter quand j'étais petite, parce que je trouvais que... Faire un truc rapidement, c'était toujours faire un truc rapidement justement et ça faisait pas perdre trop de temps et je me rendais pas forcément compte qu'on refaisait à l'infini les mêmes tâches si on prenait pas un peu de recul pour savoir comment éviter de le refaire. Mais clairement aujourd'hui ça guide ma vie professionnelle au quotidien et d'ailleurs même un peu ma vie perso puisque je l'expliquais dans la mini-série sur le mariage lean avec un épisode comment déléguer pour bien profiter. donc effectivement prendre du temps pour que d'autres puissent faire à ta place c'est vraiment t'ouvrir les portes pour pouvoir faire autre chose pour pouvoir te concentrer sur là où tu as vraiment de la valeur, que ce soit au boulot pour faire progresser ton entreprise plus loin ou dans le perso pour pouvoir profiter du plus beau jour de ta vie, comme dans l'exemple du mariage. Je te le répète encore une fois, mais cet épisode tu pourras très facilement le retrouver grâce au guide que je t'ai créé avec les 45 épisodes, les sujets que l'on aborde dans chaque épisode et toutes les ressources à télécharger. Et ça, ça se passe sur digetik.fr slash été 2025. Je te mets bien sûr le lien dans la description. D'ailleurs, déléguer, c'est aussi bien expliquer sa pensée. Ça permet de clarifier, ça permet d'être plus clair sur ses intentions. Et quand on veut poser ses processus, c'est essentiel. On en parlait aussi dans un autre épisode, de passer son processus au test du stagiaire de 3e. Si n'importe qui est capable de comprendre et d'appliquer ton processus, c'est qu'il est parfaitement clair et que tu tiens quelque chose qui va potentiellement pouvoir être digitalisé dans le futur. C'est tout pour aujourd'hui, c'est l'épisode qui clôt notre Summer Dailean Club. Dès la semaine prochaine, on reprend notre ligne édito technologie, processus et efficacité en entreprise industrielle. Côté format, j'ai plein de nouveautés dans ma bannette que je suis en train de voir, j'ai plein de nouveaux invités que j'aimerais recevoir au micro. J'espère que ça arrive très très vite, on va être encore sur quelques formats solo pour le début de la saison mais en tout cas, les tournages vont très vite commencer pour la suite. Je te souhaite une bonne semaine et d'ici la semaine prochaine, n'oublie pas d'oser l'efficacité.

Description

5 croyances qui sabotent ta digitalisation industrielle


Ton accès au récap' du Summer Dailean club et à toutes les ressources de l'été, c'est par ici : Je veux mes ressources.


Tu veux digitaliser tes processus mais tu ne sais pas par où commencer ? Cet épisode est pour toi.


Aujourd’hui, on démonte 5 croyances limitantes qui freinent trop souvent les projets de transformation digitale en entreprise.


💡 On parle ici d’efficacité opérationnelle, d’outils Lean, de l’usage (ou mésusage) d’Excel, de multi-sites sans ERP global, et du vrai coût de la formation.


Tu découvriras pourquoi structurer tes processus est plus important que l’outil lui-même, et comment un bon projet commence toujours par un problème à résoudre, pas par un devis logiciel.


🔥 Si tu veux améliorer l’efficacité en PME, éviter les pertes de temps en production, et sortir des processus mal maîtrisés, cet épisode va t’ouvrir la voie.


Cet été, je t'ai invité à muscler ton esprit Lean en 5 minutes par jour.


Du 1er juillet au 31 août, je t’ai embarqué dans le Summer Dailean Club : un épisode du lundi au vendredi pour parler Lean, optimisation et efficacité — appliqués à tes vacances.


Objectif ? Profiter à fond, sans te laisser polluer par le stress, et préparer en douceur la rentrée.


Tu as un projet de transformation digitale ?

Des pertes de temps en production ?

Des processus mal maitrisés ? Ou à optimiser ?


Ces petites doses estivales t'ont, je l'espère, aidé à attaquer tes chantiers de rentrée du bon pied.


➡️ Tu peux retrouver tous les épisodes du Summer Dailean et les ressources complémentaires gratuites en t'inscrivant ici :
Je veux mes ressources.


Avant de partir, tu peux :

  • 📲 T’abonner pour ne manquer aucun épisode

  • Laisser un commentaire et une note ⭐⭐⭐⭐⭐ si tu aimes le contenu ! Ça m’aide énormément.


Tu peux également me suivre sur LinkedIn et Instagram pour continuer la conversation et rester informé des dernières nouveautés :


Digetik, tous droits réservés. Un podcast réalisé et animé par Perrine Thiébaut

Graphisme et identité visuelle : Elise Rondard

Musique Intro et Outro : Annabelle Thiébaut

Montage : Annabelle Thiébaut


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    70% des projets IT échouent faute d'objectifs clairs. Et là, tu viens déjà d'économiser la moitié du temps de cette tâche sans même ouvrir ton portefeuille. Excel du coup n'est jamais un problème en soi, mais ce n'est pas un problème jusqu'à ce qu'il en devienne un. Les détecter plutôt que de les réparer avec du scotch. C'est pas parce qu'on travaille pas tous sur le même rythme que l'on ne peut pas travailler ensemble. Mais savoir perdre du temps maintenant, c'est en gagner 10 fois, voire 100 fois plus, plus tard. Oser l'efficacité passe en mode Summer Dailean. Tout l'été, 45 épisodes pour aborder le Lean avec légèreté et en tongs. Le but, aiguiser ton esprit process pour attaquer la rentrée avec plein de bonnes idées. Allez, c'est parti ! On a parlé de Lean tout l'été avec des exemples concrets et des outils pratiques. Mais maintenant, septembre est là et il est temps de se remettre au travail concrètement. Alors aujourd'hui, l'épisode sera peut-être un peu plus long, mais on va faire tomber 5 croyances qui empêchent de lancer un projet de digitalisation. Et la hache qui va abattre le baobab des doutes qui cachent la forêt d'opportunités dans laquelle tu peux être prêt à te lancer en ce joli mois de septembre bien pluvieux, c'est le Lean et ses outils, bien évidemment. Tout d'abord, avant de commencer, je t'ai préparé un petit cadeau pour clore la série de l'été Summer Dailean. Je t'ai préparé une page où tu vas retrouver tous les épisodes avec un petit résumé, avec les thèmes Lean abordés, avec les liens d'écoute, avec les liens vidéo si tu veux revoir ceux qui étaient en vidéo. ... Et bien évidemment, les 9 ressources gratuites que tu pourras télécharger directement depuis cette page. Si tu es déjà inscrit au Summer Dailean Club, tu vas le recevoir, tu as dû déjà le recevoir d'ailleurs ce matin dans ta boîte mail, ce lien où tu retrouves absolument tout le contenu de la série de l'été prêt à être écouté et réécouté. Si tu n'es pas encore inscrit, ne t'inquiète pas, tu peux toujours t'inscrire au lien que je te donne maintenant, c'est digetik.fr. été 2025 en un mot. digetik.fr d-i-g-e-t-i-k .fr slash été 2025 e-t-e 2025 sans accent. Voilà, donc dès que tu t'inscris sur ce lien-là, tu reçois directement le lien vers la page où tu auras toutes tes ressources, tous les épisodes que tu pourras écouter et réécouter à l'infini. Sur ce, on est prêt à attaquer l'épisode et à prendre nos outils lean pour aller démonter 5 croyances qui t'empêchent aujourd'hui de lancer le projet digital qui changera tout dans ton entreprise. Je voudrais juste aussi faire une petite parenthèse avant de commencer, je le répète en permanence mais ce n'est pas un outil qui sauvera un processus flou. Donc dans cet épisode, on va parler de digitalisation certes, mais aussi de l'optimisation des processus qui pour moi est absolument obligatoire pour qu'un projet digital se passe bien. D'ailleurs pour rappel, ça fait beaucoup de rappels dans ce début d'épisode, mais quand même. 70% des projets IT échouent faute d'objectifs clairs. Et je ne pense pas que tu aies envie de faire partie de cette statistique. Donc maintenant qu'on est bien clair, on démarre avec notre mythe numéro 1. Il faut un gros budget pour commencer. Avant de se demander s'il faut un gros budget pour commencer, il faut peut-être commencer par savoir ce qu'on veut commencer. Parce que commencer, comme je le disais au début, c'est mettre le nez dans ses processus. Et ça, ça ne coûte absolument rien, à part un peu de temps. que de constater que, par exemple, deux services font la même tâche en parallèle. Et là, tu viens déjà d'économiser la moitié du temps de cette tâche sans même ouvrir ton portefeuille. Globalement, un bon projet part d'un problème à résoudre, systématiquement. Et pour ça, le premier pas, c'est d'entraîner tes équipes à la détection, puis à la résolution de ces problèmes, justement. Ça, c'est avant tout de l'état d'esprit et du management. Pas besoin d'investissement lourd, pas besoin d'outils à proprement parler, juste de mettre tes équipes au cœur du process et de leur permettre de relever eux-mêmes leurs problèmes et potentiellement derrière, d'apporter les solutions qui les feront travailler mieux demain. Ce que tu peux faire dès aujourd'hui, c'est que tu peux commencer à collecter les problèmes rencontrés, les détecter plutôt que de les réparer avec du scotch. En fait, si tu n'es pas dans une culture de résolution de problèmes, le risque c'est quand un problème survient, ce qui va être fait, c'est immédiatement de vouloir le réparer au plus vite et que le problème disparaisse. Mais en fait, il disparaît avant de réapparaître sur tout. Donc l'idée, on collecte les problèmes, on évite de les réparer avec du scotch et on essaye d'analyser les causes profondes pour que cette fois-ci, ils ne reviennent pas. Dans les épisodes de cet été, on a par exemple vu l'outil du QQOQCCP qui te permet de bien comprendre le contexte d'un problème et c'est déjà un bon début. D'ailleurs, grâce à la page de récapitulatif, tu pourras trouver très facilement cet outil dans la liste des épisodes disponibles. en allant sur digetik.fr slash été 2025. Deuxième mythe à détruire, c'est je m'en sors très bien avec Excel. Bon, sur celui-là, je ne vais pas être aussi tranchante que sur le premier parce que ça peut être vrai. Excel, c'est une très bonne solution pour débuter et pour commencer à comprendre quelles solutions tu peux mettre en place pour alléger ton quotidien et finalement pour formaliser tes processus avec un premier pas vers l'informatique. Excel du coup n'est jamais un problème en soi, mais ce n'est pas un problème jusqu'à ce qu'il en devienne un. Si tu te souviens de la mini-série sur les vacances en groupe, et bien gérer Excel de ton côté dans ton coin, c'est le meilleur moyen pour le faire exploser justement ce groupe. Et dans le cas du boulot, on parle de ton équipe. Avec un Excel dans ton coin, personne n'a le même niveau d'information, et quand tu le mets sur un drive, la moindre perte de connexion, c'est le bazar, tu vas avoir des conflits de version, plus personne ne s'y retrouve, tu peux perdre du travail sur plusieurs heures, c'est assez compliqué. Et si tu utilises une version complètement en ligne, tu peux dire adieu à tes jolis macros et donc perdre l'intérêt d'un Excel vraiment fouillé par tes experts VBA. En bref, l'utilisation d'Excel, ça dépend surtout de ton contexte, mais dès que tu veux collaborer, ça devient très vite limitant. Concrètement, si tu veux savoir si ton Excel est en bout de course, pose-toi la question de combien ça te prend pour les mettre à jour. Est-ce que tu as le temps de les exploiter, les résultats que tu as mis si longtemps à mettre à jour ? Et est-ce que préparer tes Excel, c'est l'activité du dimanche quand personne ne te dérange ? A quelle fréquence un conflit de version peut te faire perdre plusieurs heures de boulot ? Toutes ces petites questions, tout ce qui te gratte au quotidien, c'est peut-être des indices qui fait que Excel, aujourd'hui, ce n'est plus parfaitement la bonne solution pour toi. Il y a des solutions qui existent, elles ne sont pas forcément coûteuses et il faut juste savoir exactement ce dont tu as besoin. Le troisième mythe que je voudrais faire tomber, c'est quand on est multi-sites, c'est impossible à gérer sans ERP global. J'ai envie de te dire, si chaque site tourne bien avec son propre matériel, pourquoi est-ce qu'on voudrait imposer le même rythme à tous avec tous les problèmes que ça peut présenter de migration d'ERP. Je veux dire, aujourd'hui, tu sais ce que t'as, t'as un ERP qui fonctionne. Si foncièrement, il ne te pose pas de problème au quotidien, pourquoi est-ce qu'on voudrait absolument changer pour mettre tout le monde sur le même outil ? Après, il y a plein de considérations qui font que tu peux avoir envie d'harmoniser tout ça. Si tu veux un seul outil pour que ça coûte moins cher et pour que ce soit plus facile pour ton service IT, pourquoi pas ? Mais en soi, si ce n'est pas ça ta préoccupation, si c'est juste parce que tu n'arrives pas à suivre et à comparer tes sites parce que tu as plus d'un ERP qui tourne actuellement, ce n'est pas forcément une raison suffisante. Et d'ailleurs, je te renvoie aux épisodes dans lesquels on a pu parler de travail asyncrone et de rythme différent. C'est un petit peu le même principe. C'est pas parce qu'on travaille pas tous sur le même rythme, qu'on travaille pas avec les mêmes codes et les mêmes façons de faire, que l'on ne peut pas travailler ensemble. Aujourd'hui, il existe quand même des solutions pour agréger tes données de plein de systèmes différents et construire des tableaux de bord qui vont être multisources. Donc en fait l'idée c'est de savoir exactement ce que tu veux comparer. Quelles sont les définitions de tes indicateurs ? Quelle est l'unité que tu vas utiliser ? Quelle est la périodicité sur laquelle tu veux faire tes comparaisons ? Toutes ces questions-là, tu te les poses de manière complètement indépendante des outils qui sont utilisés aujourd'hui. Et derrière, tu vas pouvoir dessiner tes indicateurs et savoir quelles données tu dois récupérer ou pour que ton tableau de bord te donne les bonnes informations et les bonnes comparaisons. L'idée à retenir, c'est qu'on fixe un cap commun. pour toutes tes usines, mais que les outils et rythmes sont différents pour chacun. L'important, c'est d'arriver ensemble à l'heure, mais finalement, le chemin pris importe peu. Le quatrième mythe qu'on va faire tomber, c'est plus de KPI, plus d'indicateurs font de meilleures décisions. On est encore en mois de septembre, le but, ce n'est pas d'avoir un sapin de Noël avant l'heure. Donc, on va ranger nos tableaux de bord multicolores et complètement illisibles. Le but, c'est d'avoir un management visuel minimal. dans lequel on va se retrouver facilement. Nous restons des humains. Nous ne décidons pas mieux avec 30 feux tricolores qu'avec un qui nous dit si on peut ou si on ne peut pas passer. Mieux vaut trois indicateurs alignés avec tes objectifs du trimestre, que ce soit des objectifs sur tes flux, sur ta disponibilité, sur ta qualité, sur ton carnet de commandes, peu importe, il faut vraiment que ce soit aligné avec tes objectifs du trimestre. et avec un rituel court pour les analyser et prendre les décisions qui s'imposent. Le mieux, c'est d'en choisir effectivement 3 qui soient actionnables directement et où tu as tracé tes plans d'action clairs en cas de variation à la hausse ou à la baisse. C'est comme ça que tu y arriveras le mieux. Après, je ne dis pas, si tu as un gros projet d'IA avec une machine de calcul qui tourne derrière et qui va pouvoir t'analyser 30 indicateurs en même temps et te donner des préconisations, c'est encore autre chose. Mais commençons déjà simple. Grosso modo, on veut moins de chiffres pour plus de décisions. Rien ne t'empêche de changer tes indicateurs quand tes objectifs changent, mais en tout cas, ne te pollue pas la vision avec trop de choses en même temps. Et puis de toute façon, les indicateurs, il faut les maintenir. Si tu le fais encore sous Excel, tu dois avoir des boutons rien que de penser à en rajouter un nouveau. Parce que ça va te prendre du temps à le maintenir, ça va te prendre du temps de le mettre en forme et surtout, dès que Martin utilise ton fichier, il va faire sauter la jolie mise en page que tu as mis tant de temps à faire. Je me permets juste une petite parenthèse pour te remercier d'être là au quotidien. Le podcast a énormément progressé dans les charts Apple, donc il est plutôt bien classé. Il est dans le top 200 en France, catégorie Management. Et il est même dans le top 50 en Belgique, toujours catégorie management. Donc encore merci à toi parce que c'est grâce à toi, si le podcast peut progresser, c'est en continuant de me soutenir que je vais pouvoir continuer à produire d'autres épisodes et plus de contenu sur les sujets qui t'intéressent. Donc pour ça, n'hésite surtout pas à mettre une note sur Apple Podcast ou Spotify ou sur YouTube, de mettre un pouce bleu sur tes épisodes préférés. et aussi à laisser des commentaires parce que c'est vraiment comme ça que tu envoies les bons messages aux plateformes d'écoute et que tu montres que le contenu a de l'intérêt et qu'il mérite d'être poussé donc n'hésite pas à me laisser un message soit pour me dire ce que tu as aimé dans un épisode un autre sujet que tu aimerais voir traité ou un complément d'information s'il y a des choses que je n'ai pas traité n'hésite pas à apporter des choses ça me permet moi aussi de m'enrichir personnellement et peut-être de me donner de nouveaux épisodes pour creuser un axe que j'aurais peut-être oublié. Sur ce, je vais m'attaquer au cinquième mythe, mais encore merci d'être là. Le cinquième mythe, c'est former, c'est perdre du temps. Ça aussi, c'est un des trucs que je répète tout le temps, mais savoir perdre du temps maintenant, c'est en gagner dix fois, voire cent fois plus, plus tard. C'est mon papa qui m'a mis ça dans la tête, et ça fait au moins vingt ans, je l'ai jamais oublié, et ça me suit depuis. Alors autant ça pouvait m'irriter quand j'étais petite, parce que je trouvais que... Faire un truc rapidement, c'était toujours faire un truc rapidement justement et ça faisait pas perdre trop de temps et je me rendais pas forcément compte qu'on refaisait à l'infini les mêmes tâches si on prenait pas un peu de recul pour savoir comment éviter de le refaire. Mais clairement aujourd'hui ça guide ma vie professionnelle au quotidien et d'ailleurs même un peu ma vie perso puisque je l'expliquais dans la mini-série sur le mariage lean avec un épisode comment déléguer pour bien profiter. donc effectivement prendre du temps pour que d'autres puissent faire à ta place c'est vraiment t'ouvrir les portes pour pouvoir faire autre chose pour pouvoir te concentrer sur là où tu as vraiment de la valeur, que ce soit au boulot pour faire progresser ton entreprise plus loin ou dans le perso pour pouvoir profiter du plus beau jour de ta vie, comme dans l'exemple du mariage. Je te le répète encore une fois, mais cet épisode tu pourras très facilement le retrouver grâce au guide que je t'ai créé avec les 45 épisodes, les sujets que l'on aborde dans chaque épisode et toutes les ressources à télécharger. Et ça, ça se passe sur digetik.fr slash été 2025. Je te mets bien sûr le lien dans la description. D'ailleurs, déléguer, c'est aussi bien expliquer sa pensée. Ça permet de clarifier, ça permet d'être plus clair sur ses intentions. Et quand on veut poser ses processus, c'est essentiel. On en parlait aussi dans un autre épisode, de passer son processus au test du stagiaire de 3e. Si n'importe qui est capable de comprendre et d'appliquer ton processus, c'est qu'il est parfaitement clair et que tu tiens quelque chose qui va potentiellement pouvoir être digitalisé dans le futur. C'est tout pour aujourd'hui, c'est l'épisode qui clôt notre Summer Dailean Club. Dès la semaine prochaine, on reprend notre ligne édito technologie, processus et efficacité en entreprise industrielle. Côté format, j'ai plein de nouveautés dans ma bannette que je suis en train de voir, j'ai plein de nouveaux invités que j'aimerais recevoir au micro. J'espère que ça arrive très très vite, on va être encore sur quelques formats solo pour le début de la saison mais en tout cas, les tournages vont très vite commencer pour la suite. Je te souhaite une bonne semaine et d'ici la semaine prochaine, n'oublie pas d'oser l'efficacité.

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Description

5 croyances qui sabotent ta digitalisation industrielle


Ton accès au récap' du Summer Dailean club et à toutes les ressources de l'été, c'est par ici : Je veux mes ressources.


Tu veux digitaliser tes processus mais tu ne sais pas par où commencer ? Cet épisode est pour toi.


Aujourd’hui, on démonte 5 croyances limitantes qui freinent trop souvent les projets de transformation digitale en entreprise.


💡 On parle ici d’efficacité opérationnelle, d’outils Lean, de l’usage (ou mésusage) d’Excel, de multi-sites sans ERP global, et du vrai coût de la formation.


Tu découvriras pourquoi structurer tes processus est plus important que l’outil lui-même, et comment un bon projet commence toujours par un problème à résoudre, pas par un devis logiciel.


🔥 Si tu veux améliorer l’efficacité en PME, éviter les pertes de temps en production, et sortir des processus mal maîtrisés, cet épisode va t’ouvrir la voie.


Cet été, je t'ai invité à muscler ton esprit Lean en 5 minutes par jour.


Du 1er juillet au 31 août, je t’ai embarqué dans le Summer Dailean Club : un épisode du lundi au vendredi pour parler Lean, optimisation et efficacité — appliqués à tes vacances.


Objectif ? Profiter à fond, sans te laisser polluer par le stress, et préparer en douceur la rentrée.


Tu as un projet de transformation digitale ?

Des pertes de temps en production ?

Des processus mal maitrisés ? Ou à optimiser ?


Ces petites doses estivales t'ont, je l'espère, aidé à attaquer tes chantiers de rentrée du bon pied.


➡️ Tu peux retrouver tous les épisodes du Summer Dailean et les ressources complémentaires gratuites en t'inscrivant ici :
Je veux mes ressources.


Avant de partir, tu peux :

  • 📲 T’abonner pour ne manquer aucun épisode

  • Laisser un commentaire et une note ⭐⭐⭐⭐⭐ si tu aimes le contenu ! Ça m’aide énormément.


Tu peux également me suivre sur LinkedIn et Instagram pour continuer la conversation et rester informé des dernières nouveautés :


Digetik, tous droits réservés. Un podcast réalisé et animé par Perrine Thiébaut

Graphisme et identité visuelle : Elise Rondard

Musique Intro et Outro : Annabelle Thiébaut

Montage : Annabelle Thiébaut


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    70% des projets IT échouent faute d'objectifs clairs. Et là, tu viens déjà d'économiser la moitié du temps de cette tâche sans même ouvrir ton portefeuille. Excel du coup n'est jamais un problème en soi, mais ce n'est pas un problème jusqu'à ce qu'il en devienne un. Les détecter plutôt que de les réparer avec du scotch. C'est pas parce qu'on travaille pas tous sur le même rythme que l'on ne peut pas travailler ensemble. Mais savoir perdre du temps maintenant, c'est en gagner 10 fois, voire 100 fois plus, plus tard. Oser l'efficacité passe en mode Summer Dailean. Tout l'été, 45 épisodes pour aborder le Lean avec légèreté et en tongs. Le but, aiguiser ton esprit process pour attaquer la rentrée avec plein de bonnes idées. Allez, c'est parti ! On a parlé de Lean tout l'été avec des exemples concrets et des outils pratiques. Mais maintenant, septembre est là et il est temps de se remettre au travail concrètement. Alors aujourd'hui, l'épisode sera peut-être un peu plus long, mais on va faire tomber 5 croyances qui empêchent de lancer un projet de digitalisation. Et la hache qui va abattre le baobab des doutes qui cachent la forêt d'opportunités dans laquelle tu peux être prêt à te lancer en ce joli mois de septembre bien pluvieux, c'est le Lean et ses outils, bien évidemment. Tout d'abord, avant de commencer, je t'ai préparé un petit cadeau pour clore la série de l'été Summer Dailean. Je t'ai préparé une page où tu vas retrouver tous les épisodes avec un petit résumé, avec les thèmes Lean abordés, avec les liens d'écoute, avec les liens vidéo si tu veux revoir ceux qui étaient en vidéo. ... Et bien évidemment, les 9 ressources gratuites que tu pourras télécharger directement depuis cette page. Si tu es déjà inscrit au Summer Dailean Club, tu vas le recevoir, tu as dû déjà le recevoir d'ailleurs ce matin dans ta boîte mail, ce lien où tu retrouves absolument tout le contenu de la série de l'été prêt à être écouté et réécouté. Si tu n'es pas encore inscrit, ne t'inquiète pas, tu peux toujours t'inscrire au lien que je te donne maintenant, c'est digetik.fr. été 2025 en un mot. digetik.fr d-i-g-e-t-i-k .fr slash été 2025 e-t-e 2025 sans accent. Voilà, donc dès que tu t'inscris sur ce lien-là, tu reçois directement le lien vers la page où tu auras toutes tes ressources, tous les épisodes que tu pourras écouter et réécouter à l'infini. Sur ce, on est prêt à attaquer l'épisode et à prendre nos outils lean pour aller démonter 5 croyances qui t'empêchent aujourd'hui de lancer le projet digital qui changera tout dans ton entreprise. Je voudrais juste aussi faire une petite parenthèse avant de commencer, je le répète en permanence mais ce n'est pas un outil qui sauvera un processus flou. Donc dans cet épisode, on va parler de digitalisation certes, mais aussi de l'optimisation des processus qui pour moi est absolument obligatoire pour qu'un projet digital se passe bien. D'ailleurs pour rappel, ça fait beaucoup de rappels dans ce début d'épisode, mais quand même. 70% des projets IT échouent faute d'objectifs clairs. Et je ne pense pas que tu aies envie de faire partie de cette statistique. Donc maintenant qu'on est bien clair, on démarre avec notre mythe numéro 1. Il faut un gros budget pour commencer. Avant de se demander s'il faut un gros budget pour commencer, il faut peut-être commencer par savoir ce qu'on veut commencer. Parce que commencer, comme je le disais au début, c'est mettre le nez dans ses processus. Et ça, ça ne coûte absolument rien, à part un peu de temps. que de constater que, par exemple, deux services font la même tâche en parallèle. Et là, tu viens déjà d'économiser la moitié du temps de cette tâche sans même ouvrir ton portefeuille. Globalement, un bon projet part d'un problème à résoudre, systématiquement. Et pour ça, le premier pas, c'est d'entraîner tes équipes à la détection, puis à la résolution de ces problèmes, justement. Ça, c'est avant tout de l'état d'esprit et du management. Pas besoin d'investissement lourd, pas besoin d'outils à proprement parler, juste de mettre tes équipes au cœur du process et de leur permettre de relever eux-mêmes leurs problèmes et potentiellement derrière, d'apporter les solutions qui les feront travailler mieux demain. Ce que tu peux faire dès aujourd'hui, c'est que tu peux commencer à collecter les problèmes rencontrés, les détecter plutôt que de les réparer avec du scotch. En fait, si tu n'es pas dans une culture de résolution de problèmes, le risque c'est quand un problème survient, ce qui va être fait, c'est immédiatement de vouloir le réparer au plus vite et que le problème disparaisse. Mais en fait, il disparaît avant de réapparaître sur tout. Donc l'idée, on collecte les problèmes, on évite de les réparer avec du scotch et on essaye d'analyser les causes profondes pour que cette fois-ci, ils ne reviennent pas. Dans les épisodes de cet été, on a par exemple vu l'outil du QQOQCCP qui te permet de bien comprendre le contexte d'un problème et c'est déjà un bon début. D'ailleurs, grâce à la page de récapitulatif, tu pourras trouver très facilement cet outil dans la liste des épisodes disponibles. en allant sur digetik.fr slash été 2025. Deuxième mythe à détruire, c'est je m'en sors très bien avec Excel. Bon, sur celui-là, je ne vais pas être aussi tranchante que sur le premier parce que ça peut être vrai. Excel, c'est une très bonne solution pour débuter et pour commencer à comprendre quelles solutions tu peux mettre en place pour alléger ton quotidien et finalement pour formaliser tes processus avec un premier pas vers l'informatique. Excel du coup n'est jamais un problème en soi, mais ce n'est pas un problème jusqu'à ce qu'il en devienne un. Si tu te souviens de la mini-série sur les vacances en groupe, et bien gérer Excel de ton côté dans ton coin, c'est le meilleur moyen pour le faire exploser justement ce groupe. Et dans le cas du boulot, on parle de ton équipe. Avec un Excel dans ton coin, personne n'a le même niveau d'information, et quand tu le mets sur un drive, la moindre perte de connexion, c'est le bazar, tu vas avoir des conflits de version, plus personne ne s'y retrouve, tu peux perdre du travail sur plusieurs heures, c'est assez compliqué. Et si tu utilises une version complètement en ligne, tu peux dire adieu à tes jolis macros et donc perdre l'intérêt d'un Excel vraiment fouillé par tes experts VBA. En bref, l'utilisation d'Excel, ça dépend surtout de ton contexte, mais dès que tu veux collaborer, ça devient très vite limitant. Concrètement, si tu veux savoir si ton Excel est en bout de course, pose-toi la question de combien ça te prend pour les mettre à jour. Est-ce que tu as le temps de les exploiter, les résultats que tu as mis si longtemps à mettre à jour ? Et est-ce que préparer tes Excel, c'est l'activité du dimanche quand personne ne te dérange ? A quelle fréquence un conflit de version peut te faire perdre plusieurs heures de boulot ? Toutes ces petites questions, tout ce qui te gratte au quotidien, c'est peut-être des indices qui fait que Excel, aujourd'hui, ce n'est plus parfaitement la bonne solution pour toi. Il y a des solutions qui existent, elles ne sont pas forcément coûteuses et il faut juste savoir exactement ce dont tu as besoin. Le troisième mythe que je voudrais faire tomber, c'est quand on est multi-sites, c'est impossible à gérer sans ERP global. J'ai envie de te dire, si chaque site tourne bien avec son propre matériel, pourquoi est-ce qu'on voudrait imposer le même rythme à tous avec tous les problèmes que ça peut présenter de migration d'ERP. Je veux dire, aujourd'hui, tu sais ce que t'as, t'as un ERP qui fonctionne. Si foncièrement, il ne te pose pas de problème au quotidien, pourquoi est-ce qu'on voudrait absolument changer pour mettre tout le monde sur le même outil ? Après, il y a plein de considérations qui font que tu peux avoir envie d'harmoniser tout ça. Si tu veux un seul outil pour que ça coûte moins cher et pour que ce soit plus facile pour ton service IT, pourquoi pas ? Mais en soi, si ce n'est pas ça ta préoccupation, si c'est juste parce que tu n'arrives pas à suivre et à comparer tes sites parce que tu as plus d'un ERP qui tourne actuellement, ce n'est pas forcément une raison suffisante. Et d'ailleurs, je te renvoie aux épisodes dans lesquels on a pu parler de travail asyncrone et de rythme différent. C'est un petit peu le même principe. C'est pas parce qu'on travaille pas tous sur le même rythme, qu'on travaille pas avec les mêmes codes et les mêmes façons de faire, que l'on ne peut pas travailler ensemble. Aujourd'hui, il existe quand même des solutions pour agréger tes données de plein de systèmes différents et construire des tableaux de bord qui vont être multisources. Donc en fait l'idée c'est de savoir exactement ce que tu veux comparer. Quelles sont les définitions de tes indicateurs ? Quelle est l'unité que tu vas utiliser ? Quelle est la périodicité sur laquelle tu veux faire tes comparaisons ? Toutes ces questions-là, tu te les poses de manière complètement indépendante des outils qui sont utilisés aujourd'hui. Et derrière, tu vas pouvoir dessiner tes indicateurs et savoir quelles données tu dois récupérer ou pour que ton tableau de bord te donne les bonnes informations et les bonnes comparaisons. L'idée à retenir, c'est qu'on fixe un cap commun. pour toutes tes usines, mais que les outils et rythmes sont différents pour chacun. L'important, c'est d'arriver ensemble à l'heure, mais finalement, le chemin pris importe peu. Le quatrième mythe qu'on va faire tomber, c'est plus de KPI, plus d'indicateurs font de meilleures décisions. On est encore en mois de septembre, le but, ce n'est pas d'avoir un sapin de Noël avant l'heure. Donc, on va ranger nos tableaux de bord multicolores et complètement illisibles. Le but, c'est d'avoir un management visuel minimal. dans lequel on va se retrouver facilement. Nous restons des humains. Nous ne décidons pas mieux avec 30 feux tricolores qu'avec un qui nous dit si on peut ou si on ne peut pas passer. Mieux vaut trois indicateurs alignés avec tes objectifs du trimestre, que ce soit des objectifs sur tes flux, sur ta disponibilité, sur ta qualité, sur ton carnet de commandes, peu importe, il faut vraiment que ce soit aligné avec tes objectifs du trimestre. et avec un rituel court pour les analyser et prendre les décisions qui s'imposent. Le mieux, c'est d'en choisir effectivement 3 qui soient actionnables directement et où tu as tracé tes plans d'action clairs en cas de variation à la hausse ou à la baisse. C'est comme ça que tu y arriveras le mieux. Après, je ne dis pas, si tu as un gros projet d'IA avec une machine de calcul qui tourne derrière et qui va pouvoir t'analyser 30 indicateurs en même temps et te donner des préconisations, c'est encore autre chose. Mais commençons déjà simple. Grosso modo, on veut moins de chiffres pour plus de décisions. Rien ne t'empêche de changer tes indicateurs quand tes objectifs changent, mais en tout cas, ne te pollue pas la vision avec trop de choses en même temps. Et puis de toute façon, les indicateurs, il faut les maintenir. Si tu le fais encore sous Excel, tu dois avoir des boutons rien que de penser à en rajouter un nouveau. Parce que ça va te prendre du temps à le maintenir, ça va te prendre du temps de le mettre en forme et surtout, dès que Martin utilise ton fichier, il va faire sauter la jolie mise en page que tu as mis tant de temps à faire. Je me permets juste une petite parenthèse pour te remercier d'être là au quotidien. Le podcast a énormément progressé dans les charts Apple, donc il est plutôt bien classé. Il est dans le top 200 en France, catégorie Management. Et il est même dans le top 50 en Belgique, toujours catégorie management. Donc encore merci à toi parce que c'est grâce à toi, si le podcast peut progresser, c'est en continuant de me soutenir que je vais pouvoir continuer à produire d'autres épisodes et plus de contenu sur les sujets qui t'intéressent. Donc pour ça, n'hésite surtout pas à mettre une note sur Apple Podcast ou Spotify ou sur YouTube, de mettre un pouce bleu sur tes épisodes préférés. et aussi à laisser des commentaires parce que c'est vraiment comme ça que tu envoies les bons messages aux plateformes d'écoute et que tu montres que le contenu a de l'intérêt et qu'il mérite d'être poussé donc n'hésite pas à me laisser un message soit pour me dire ce que tu as aimé dans un épisode un autre sujet que tu aimerais voir traité ou un complément d'information s'il y a des choses que je n'ai pas traité n'hésite pas à apporter des choses ça me permet moi aussi de m'enrichir personnellement et peut-être de me donner de nouveaux épisodes pour creuser un axe que j'aurais peut-être oublié. Sur ce, je vais m'attaquer au cinquième mythe, mais encore merci d'être là. Le cinquième mythe, c'est former, c'est perdre du temps. Ça aussi, c'est un des trucs que je répète tout le temps, mais savoir perdre du temps maintenant, c'est en gagner dix fois, voire cent fois plus, plus tard. C'est mon papa qui m'a mis ça dans la tête, et ça fait au moins vingt ans, je l'ai jamais oublié, et ça me suit depuis. Alors autant ça pouvait m'irriter quand j'étais petite, parce que je trouvais que... Faire un truc rapidement, c'était toujours faire un truc rapidement justement et ça faisait pas perdre trop de temps et je me rendais pas forcément compte qu'on refaisait à l'infini les mêmes tâches si on prenait pas un peu de recul pour savoir comment éviter de le refaire. Mais clairement aujourd'hui ça guide ma vie professionnelle au quotidien et d'ailleurs même un peu ma vie perso puisque je l'expliquais dans la mini-série sur le mariage lean avec un épisode comment déléguer pour bien profiter. donc effectivement prendre du temps pour que d'autres puissent faire à ta place c'est vraiment t'ouvrir les portes pour pouvoir faire autre chose pour pouvoir te concentrer sur là où tu as vraiment de la valeur, que ce soit au boulot pour faire progresser ton entreprise plus loin ou dans le perso pour pouvoir profiter du plus beau jour de ta vie, comme dans l'exemple du mariage. Je te le répète encore une fois, mais cet épisode tu pourras très facilement le retrouver grâce au guide que je t'ai créé avec les 45 épisodes, les sujets que l'on aborde dans chaque épisode et toutes les ressources à télécharger. Et ça, ça se passe sur digetik.fr slash été 2025. Je te mets bien sûr le lien dans la description. D'ailleurs, déléguer, c'est aussi bien expliquer sa pensée. Ça permet de clarifier, ça permet d'être plus clair sur ses intentions. Et quand on veut poser ses processus, c'est essentiel. On en parlait aussi dans un autre épisode, de passer son processus au test du stagiaire de 3e. Si n'importe qui est capable de comprendre et d'appliquer ton processus, c'est qu'il est parfaitement clair et que tu tiens quelque chose qui va potentiellement pouvoir être digitalisé dans le futur. C'est tout pour aujourd'hui, c'est l'épisode qui clôt notre Summer Dailean Club. Dès la semaine prochaine, on reprend notre ligne édito technologie, processus et efficacité en entreprise industrielle. Côté format, j'ai plein de nouveautés dans ma bannette que je suis en train de voir, j'ai plein de nouveaux invités que j'aimerais recevoir au micro. J'espère que ça arrive très très vite, on va être encore sur quelques formats solo pour le début de la saison mais en tout cas, les tournages vont très vite commencer pour la suite. Je te souhaite une bonne semaine et d'ici la semaine prochaine, n'oublie pas d'oser l'efficacité.

Description

5 croyances qui sabotent ta digitalisation industrielle


Ton accès au récap' du Summer Dailean club et à toutes les ressources de l'été, c'est par ici : Je veux mes ressources.


Tu veux digitaliser tes processus mais tu ne sais pas par où commencer ? Cet épisode est pour toi.


Aujourd’hui, on démonte 5 croyances limitantes qui freinent trop souvent les projets de transformation digitale en entreprise.


💡 On parle ici d’efficacité opérationnelle, d’outils Lean, de l’usage (ou mésusage) d’Excel, de multi-sites sans ERP global, et du vrai coût de la formation.


Tu découvriras pourquoi structurer tes processus est plus important que l’outil lui-même, et comment un bon projet commence toujours par un problème à résoudre, pas par un devis logiciel.


🔥 Si tu veux améliorer l’efficacité en PME, éviter les pertes de temps en production, et sortir des processus mal maîtrisés, cet épisode va t’ouvrir la voie.


Cet été, je t'ai invité à muscler ton esprit Lean en 5 minutes par jour.


Du 1er juillet au 31 août, je t’ai embarqué dans le Summer Dailean Club : un épisode du lundi au vendredi pour parler Lean, optimisation et efficacité — appliqués à tes vacances.


Objectif ? Profiter à fond, sans te laisser polluer par le stress, et préparer en douceur la rentrée.


Tu as un projet de transformation digitale ?

Des pertes de temps en production ?

Des processus mal maitrisés ? Ou à optimiser ?


Ces petites doses estivales t'ont, je l'espère, aidé à attaquer tes chantiers de rentrée du bon pied.


➡️ Tu peux retrouver tous les épisodes du Summer Dailean et les ressources complémentaires gratuites en t'inscrivant ici :
Je veux mes ressources.


Avant de partir, tu peux :

  • 📲 T’abonner pour ne manquer aucun épisode

  • Laisser un commentaire et une note ⭐⭐⭐⭐⭐ si tu aimes le contenu ! Ça m’aide énormément.


Tu peux également me suivre sur LinkedIn et Instagram pour continuer la conversation et rester informé des dernières nouveautés :


Digetik, tous droits réservés. Un podcast réalisé et animé par Perrine Thiébaut

Graphisme et identité visuelle : Elise Rondard

Musique Intro et Outro : Annabelle Thiébaut

Montage : Annabelle Thiébaut


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    70% des projets IT échouent faute d'objectifs clairs. Et là, tu viens déjà d'économiser la moitié du temps de cette tâche sans même ouvrir ton portefeuille. Excel du coup n'est jamais un problème en soi, mais ce n'est pas un problème jusqu'à ce qu'il en devienne un. Les détecter plutôt que de les réparer avec du scotch. C'est pas parce qu'on travaille pas tous sur le même rythme que l'on ne peut pas travailler ensemble. Mais savoir perdre du temps maintenant, c'est en gagner 10 fois, voire 100 fois plus, plus tard. Oser l'efficacité passe en mode Summer Dailean. Tout l'été, 45 épisodes pour aborder le Lean avec légèreté et en tongs. Le but, aiguiser ton esprit process pour attaquer la rentrée avec plein de bonnes idées. Allez, c'est parti ! On a parlé de Lean tout l'été avec des exemples concrets et des outils pratiques. Mais maintenant, septembre est là et il est temps de se remettre au travail concrètement. Alors aujourd'hui, l'épisode sera peut-être un peu plus long, mais on va faire tomber 5 croyances qui empêchent de lancer un projet de digitalisation. Et la hache qui va abattre le baobab des doutes qui cachent la forêt d'opportunités dans laquelle tu peux être prêt à te lancer en ce joli mois de septembre bien pluvieux, c'est le Lean et ses outils, bien évidemment. Tout d'abord, avant de commencer, je t'ai préparé un petit cadeau pour clore la série de l'été Summer Dailean. Je t'ai préparé une page où tu vas retrouver tous les épisodes avec un petit résumé, avec les thèmes Lean abordés, avec les liens d'écoute, avec les liens vidéo si tu veux revoir ceux qui étaient en vidéo. ... Et bien évidemment, les 9 ressources gratuites que tu pourras télécharger directement depuis cette page. Si tu es déjà inscrit au Summer Dailean Club, tu vas le recevoir, tu as dû déjà le recevoir d'ailleurs ce matin dans ta boîte mail, ce lien où tu retrouves absolument tout le contenu de la série de l'été prêt à être écouté et réécouté. Si tu n'es pas encore inscrit, ne t'inquiète pas, tu peux toujours t'inscrire au lien que je te donne maintenant, c'est digetik.fr. été 2025 en un mot. digetik.fr d-i-g-e-t-i-k .fr slash été 2025 e-t-e 2025 sans accent. Voilà, donc dès que tu t'inscris sur ce lien-là, tu reçois directement le lien vers la page où tu auras toutes tes ressources, tous les épisodes que tu pourras écouter et réécouter à l'infini. Sur ce, on est prêt à attaquer l'épisode et à prendre nos outils lean pour aller démonter 5 croyances qui t'empêchent aujourd'hui de lancer le projet digital qui changera tout dans ton entreprise. Je voudrais juste aussi faire une petite parenthèse avant de commencer, je le répète en permanence mais ce n'est pas un outil qui sauvera un processus flou. Donc dans cet épisode, on va parler de digitalisation certes, mais aussi de l'optimisation des processus qui pour moi est absolument obligatoire pour qu'un projet digital se passe bien. D'ailleurs pour rappel, ça fait beaucoup de rappels dans ce début d'épisode, mais quand même. 70% des projets IT échouent faute d'objectifs clairs. Et je ne pense pas que tu aies envie de faire partie de cette statistique. Donc maintenant qu'on est bien clair, on démarre avec notre mythe numéro 1. Il faut un gros budget pour commencer. Avant de se demander s'il faut un gros budget pour commencer, il faut peut-être commencer par savoir ce qu'on veut commencer. Parce que commencer, comme je le disais au début, c'est mettre le nez dans ses processus. Et ça, ça ne coûte absolument rien, à part un peu de temps. que de constater que, par exemple, deux services font la même tâche en parallèle. Et là, tu viens déjà d'économiser la moitié du temps de cette tâche sans même ouvrir ton portefeuille. Globalement, un bon projet part d'un problème à résoudre, systématiquement. Et pour ça, le premier pas, c'est d'entraîner tes équipes à la détection, puis à la résolution de ces problèmes, justement. Ça, c'est avant tout de l'état d'esprit et du management. Pas besoin d'investissement lourd, pas besoin d'outils à proprement parler, juste de mettre tes équipes au cœur du process et de leur permettre de relever eux-mêmes leurs problèmes et potentiellement derrière, d'apporter les solutions qui les feront travailler mieux demain. Ce que tu peux faire dès aujourd'hui, c'est que tu peux commencer à collecter les problèmes rencontrés, les détecter plutôt que de les réparer avec du scotch. En fait, si tu n'es pas dans une culture de résolution de problèmes, le risque c'est quand un problème survient, ce qui va être fait, c'est immédiatement de vouloir le réparer au plus vite et que le problème disparaisse. Mais en fait, il disparaît avant de réapparaître sur tout. Donc l'idée, on collecte les problèmes, on évite de les réparer avec du scotch et on essaye d'analyser les causes profondes pour que cette fois-ci, ils ne reviennent pas. Dans les épisodes de cet été, on a par exemple vu l'outil du QQOQCCP qui te permet de bien comprendre le contexte d'un problème et c'est déjà un bon début. D'ailleurs, grâce à la page de récapitulatif, tu pourras trouver très facilement cet outil dans la liste des épisodes disponibles. en allant sur digetik.fr slash été 2025. Deuxième mythe à détruire, c'est je m'en sors très bien avec Excel. Bon, sur celui-là, je ne vais pas être aussi tranchante que sur le premier parce que ça peut être vrai. Excel, c'est une très bonne solution pour débuter et pour commencer à comprendre quelles solutions tu peux mettre en place pour alléger ton quotidien et finalement pour formaliser tes processus avec un premier pas vers l'informatique. Excel du coup n'est jamais un problème en soi, mais ce n'est pas un problème jusqu'à ce qu'il en devienne un. Si tu te souviens de la mini-série sur les vacances en groupe, et bien gérer Excel de ton côté dans ton coin, c'est le meilleur moyen pour le faire exploser justement ce groupe. Et dans le cas du boulot, on parle de ton équipe. Avec un Excel dans ton coin, personne n'a le même niveau d'information, et quand tu le mets sur un drive, la moindre perte de connexion, c'est le bazar, tu vas avoir des conflits de version, plus personne ne s'y retrouve, tu peux perdre du travail sur plusieurs heures, c'est assez compliqué. Et si tu utilises une version complètement en ligne, tu peux dire adieu à tes jolis macros et donc perdre l'intérêt d'un Excel vraiment fouillé par tes experts VBA. En bref, l'utilisation d'Excel, ça dépend surtout de ton contexte, mais dès que tu veux collaborer, ça devient très vite limitant. Concrètement, si tu veux savoir si ton Excel est en bout de course, pose-toi la question de combien ça te prend pour les mettre à jour. Est-ce que tu as le temps de les exploiter, les résultats que tu as mis si longtemps à mettre à jour ? Et est-ce que préparer tes Excel, c'est l'activité du dimanche quand personne ne te dérange ? A quelle fréquence un conflit de version peut te faire perdre plusieurs heures de boulot ? Toutes ces petites questions, tout ce qui te gratte au quotidien, c'est peut-être des indices qui fait que Excel, aujourd'hui, ce n'est plus parfaitement la bonne solution pour toi. Il y a des solutions qui existent, elles ne sont pas forcément coûteuses et il faut juste savoir exactement ce dont tu as besoin. Le troisième mythe que je voudrais faire tomber, c'est quand on est multi-sites, c'est impossible à gérer sans ERP global. J'ai envie de te dire, si chaque site tourne bien avec son propre matériel, pourquoi est-ce qu'on voudrait imposer le même rythme à tous avec tous les problèmes que ça peut présenter de migration d'ERP. Je veux dire, aujourd'hui, tu sais ce que t'as, t'as un ERP qui fonctionne. Si foncièrement, il ne te pose pas de problème au quotidien, pourquoi est-ce qu'on voudrait absolument changer pour mettre tout le monde sur le même outil ? Après, il y a plein de considérations qui font que tu peux avoir envie d'harmoniser tout ça. Si tu veux un seul outil pour que ça coûte moins cher et pour que ce soit plus facile pour ton service IT, pourquoi pas ? Mais en soi, si ce n'est pas ça ta préoccupation, si c'est juste parce que tu n'arrives pas à suivre et à comparer tes sites parce que tu as plus d'un ERP qui tourne actuellement, ce n'est pas forcément une raison suffisante. Et d'ailleurs, je te renvoie aux épisodes dans lesquels on a pu parler de travail asyncrone et de rythme différent. C'est un petit peu le même principe. C'est pas parce qu'on travaille pas tous sur le même rythme, qu'on travaille pas avec les mêmes codes et les mêmes façons de faire, que l'on ne peut pas travailler ensemble. Aujourd'hui, il existe quand même des solutions pour agréger tes données de plein de systèmes différents et construire des tableaux de bord qui vont être multisources. Donc en fait l'idée c'est de savoir exactement ce que tu veux comparer. Quelles sont les définitions de tes indicateurs ? Quelle est l'unité que tu vas utiliser ? Quelle est la périodicité sur laquelle tu veux faire tes comparaisons ? Toutes ces questions-là, tu te les poses de manière complètement indépendante des outils qui sont utilisés aujourd'hui. Et derrière, tu vas pouvoir dessiner tes indicateurs et savoir quelles données tu dois récupérer ou pour que ton tableau de bord te donne les bonnes informations et les bonnes comparaisons. L'idée à retenir, c'est qu'on fixe un cap commun. pour toutes tes usines, mais que les outils et rythmes sont différents pour chacun. L'important, c'est d'arriver ensemble à l'heure, mais finalement, le chemin pris importe peu. Le quatrième mythe qu'on va faire tomber, c'est plus de KPI, plus d'indicateurs font de meilleures décisions. On est encore en mois de septembre, le but, ce n'est pas d'avoir un sapin de Noël avant l'heure. Donc, on va ranger nos tableaux de bord multicolores et complètement illisibles. Le but, c'est d'avoir un management visuel minimal. dans lequel on va se retrouver facilement. Nous restons des humains. Nous ne décidons pas mieux avec 30 feux tricolores qu'avec un qui nous dit si on peut ou si on ne peut pas passer. Mieux vaut trois indicateurs alignés avec tes objectifs du trimestre, que ce soit des objectifs sur tes flux, sur ta disponibilité, sur ta qualité, sur ton carnet de commandes, peu importe, il faut vraiment que ce soit aligné avec tes objectifs du trimestre. et avec un rituel court pour les analyser et prendre les décisions qui s'imposent. Le mieux, c'est d'en choisir effectivement 3 qui soient actionnables directement et où tu as tracé tes plans d'action clairs en cas de variation à la hausse ou à la baisse. C'est comme ça que tu y arriveras le mieux. Après, je ne dis pas, si tu as un gros projet d'IA avec une machine de calcul qui tourne derrière et qui va pouvoir t'analyser 30 indicateurs en même temps et te donner des préconisations, c'est encore autre chose. Mais commençons déjà simple. Grosso modo, on veut moins de chiffres pour plus de décisions. Rien ne t'empêche de changer tes indicateurs quand tes objectifs changent, mais en tout cas, ne te pollue pas la vision avec trop de choses en même temps. Et puis de toute façon, les indicateurs, il faut les maintenir. Si tu le fais encore sous Excel, tu dois avoir des boutons rien que de penser à en rajouter un nouveau. Parce que ça va te prendre du temps à le maintenir, ça va te prendre du temps de le mettre en forme et surtout, dès que Martin utilise ton fichier, il va faire sauter la jolie mise en page que tu as mis tant de temps à faire. Je me permets juste une petite parenthèse pour te remercier d'être là au quotidien. Le podcast a énormément progressé dans les charts Apple, donc il est plutôt bien classé. Il est dans le top 200 en France, catégorie Management. Et il est même dans le top 50 en Belgique, toujours catégorie management. Donc encore merci à toi parce que c'est grâce à toi, si le podcast peut progresser, c'est en continuant de me soutenir que je vais pouvoir continuer à produire d'autres épisodes et plus de contenu sur les sujets qui t'intéressent. Donc pour ça, n'hésite surtout pas à mettre une note sur Apple Podcast ou Spotify ou sur YouTube, de mettre un pouce bleu sur tes épisodes préférés. et aussi à laisser des commentaires parce que c'est vraiment comme ça que tu envoies les bons messages aux plateformes d'écoute et que tu montres que le contenu a de l'intérêt et qu'il mérite d'être poussé donc n'hésite pas à me laisser un message soit pour me dire ce que tu as aimé dans un épisode un autre sujet que tu aimerais voir traité ou un complément d'information s'il y a des choses que je n'ai pas traité n'hésite pas à apporter des choses ça me permet moi aussi de m'enrichir personnellement et peut-être de me donner de nouveaux épisodes pour creuser un axe que j'aurais peut-être oublié. Sur ce, je vais m'attaquer au cinquième mythe, mais encore merci d'être là. Le cinquième mythe, c'est former, c'est perdre du temps. Ça aussi, c'est un des trucs que je répète tout le temps, mais savoir perdre du temps maintenant, c'est en gagner dix fois, voire cent fois plus, plus tard. C'est mon papa qui m'a mis ça dans la tête, et ça fait au moins vingt ans, je l'ai jamais oublié, et ça me suit depuis. Alors autant ça pouvait m'irriter quand j'étais petite, parce que je trouvais que... Faire un truc rapidement, c'était toujours faire un truc rapidement justement et ça faisait pas perdre trop de temps et je me rendais pas forcément compte qu'on refaisait à l'infini les mêmes tâches si on prenait pas un peu de recul pour savoir comment éviter de le refaire. Mais clairement aujourd'hui ça guide ma vie professionnelle au quotidien et d'ailleurs même un peu ma vie perso puisque je l'expliquais dans la mini-série sur le mariage lean avec un épisode comment déléguer pour bien profiter. donc effectivement prendre du temps pour que d'autres puissent faire à ta place c'est vraiment t'ouvrir les portes pour pouvoir faire autre chose pour pouvoir te concentrer sur là où tu as vraiment de la valeur, que ce soit au boulot pour faire progresser ton entreprise plus loin ou dans le perso pour pouvoir profiter du plus beau jour de ta vie, comme dans l'exemple du mariage. Je te le répète encore une fois, mais cet épisode tu pourras très facilement le retrouver grâce au guide que je t'ai créé avec les 45 épisodes, les sujets que l'on aborde dans chaque épisode et toutes les ressources à télécharger. Et ça, ça se passe sur digetik.fr slash été 2025. Je te mets bien sûr le lien dans la description. D'ailleurs, déléguer, c'est aussi bien expliquer sa pensée. Ça permet de clarifier, ça permet d'être plus clair sur ses intentions. Et quand on veut poser ses processus, c'est essentiel. On en parlait aussi dans un autre épisode, de passer son processus au test du stagiaire de 3e. Si n'importe qui est capable de comprendre et d'appliquer ton processus, c'est qu'il est parfaitement clair et que tu tiens quelque chose qui va potentiellement pouvoir être digitalisé dans le futur. C'est tout pour aujourd'hui, c'est l'épisode qui clôt notre Summer Dailean Club. Dès la semaine prochaine, on reprend notre ligne édito technologie, processus et efficacité en entreprise industrielle. Côté format, j'ai plein de nouveautés dans ma bannette que je suis en train de voir, j'ai plein de nouveaux invités que j'aimerais recevoir au micro. J'espère que ça arrive très très vite, on va être encore sur quelques formats solo pour le début de la saison mais en tout cas, les tournages vont très vite commencer pour la suite. Je te souhaite une bonne semaine et d'ici la semaine prochaine, n'oublie pas d'oser l'efficacité.

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