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Décider de partir à l'étranger

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06min |21/06/2024
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Description

Tout quitter et partir... Quand on regarde les réseaux sociaux, ça a l'air simple, plein de gens partent dans des paysages et ça fait rêver de ouf ! Mais comment les gens en arrivent à cette situation ? Je me pose un peu la question parfois. Et je trouve qu'on montre pas assez les parcours de chacun et chacune, qui amènent à cette décision.
J'ai donc voulu vous expliquer comment, de mon côté, j'en suis arrivée à quitter mon travail pour aller faire un PVT en Australie. C'est un petit parcours rempli de plusieurs rebondissements et remise en question, mais c'est ce qui m'a amené ici haha


J'espère surtout à travers cet épisode vous aider à relativiser et pourquoi pas vous aussi oser sauter le pas si c'est quelque chose qui vous trotte dans la tête ! Et vraiment, chacun son timing, son tempo et son rythme.


Bonne écoute :)


-------------------------------------------


Si tu aimes le podcast, viens mettre 5 étoiles :)

Instagram : @partir_podcast


-------------------------------------------


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Dans quelques jours, je quitte la France pour aller faire un PVT en Australie. Et sachez que ça m'a pris environ 3 ans pour arriver à sauter le pas et me lancer dans l'aventure. Et je voulais vous partager mon histoire parce que je trouve qu'on voit beaucoup sur les réseaux sociaux plein de personnes partir et ça a l'air simple, ça a l'air tout beau, tout rose et ça l'est sûrement pour plein de personnes et tant mieux. Mais je trouve qu'on ne parle pas assez de l'envers du décor et de tout le chemin qui nous amène vraiment à la prise de décision où on passe du statut d'idée au passage à l'action. Vraiment tout ce chemin qui est rempli de questions, de doutes, de peurs, de remises en question, etc. Et perso, le statut d'idée, il a été pendant plusieurs années dans ma tête. Et de ce que j'entends un peu dans mon entourage, c'est le cas de plusieurs personnes. Et c'est pas si facile pour tout le monde de sauter le pas. Encore une fois, tant mieux pour ceux pour qui ça l'est. En tout cas pour moi, c'était pas le cas. Pour te donner un contexte de ma life, moi j'ai fait des études de commerce et je suis partie pour ma troisième année pour faire un Erasmus. et c'est ça qui m'a donné le goût du voyage, de partir, de bouger, d'aller voir un petit peu ce qui se fait ailleurs. Donc après ça, j'ai fait un master en commerce international, donc garder le côté ouvert sur le monde, et je me disais, après mon master, je vais faire un VIE, donc c'est un volontariat international en entreprise, c'est un programme pour les jeunes jusqu'à la veille de leur 29 ans, où on part avec une entreprise française pour développer son business à l'étranger. Sauf que l'année où je termine mon master, c'est l'année du Covid, Donc qui dit Covid dit toutes les frontières fermées, tout le tralala. Donc au final, mon plan tombe totalement à l'eau. Je me retrouve donc à bosser dans un taf qui me plaît sans plus, mais je n'avais vraiment aucune idée de ce que je voulais faire. J'avais mis dans un petit coin de ma tête l'idée de partir, et c'était un petit peu comme un ours qui hiberne dans ma tête et qui attend gentiment que le printemps arrive pour sortir. Sauf que le printemps, il a fallu que je le provoque. Enfin bref, je me laisse un peu porter par la vie. 2020 se termine, 2021 se termine aussi. Je reste dans mon taf en ayant toujours en arrière-pensée l'idée de partir, sans pour autant le faire, même s'il n'y avait plus de Covid, les frontières étaient réouvertes, etc. On arrive en 2022, et ce qui va me provoquer le déclic. Donc on est début 2022, et je teste le marketing de réseau. C'est une activité, donc comme ce que fait Superwar, on doit vendre des produits ou des services, et moi en l'occurrence, c'était des abonnements voyage. Et généralement, c'est un travail que les gens font parce qu'ils veulent gagner un peu plus d'argent, changer de taf, changer de life. Et du coup, tu as beaucoup de remises en question sur toi et tu en viens à t'intéresser au développement perso. Chose que j'ai faite et qui m'a justement aidée à avancer. En fait, je me suis posé la question, tout simplement, qui est-ce que je veux être ? Où est-ce que je veux aller ? Où est-ce que je veux être ? Dans quel contexte ? Quel genre de life ? Quelle activité ? Etc. pour au final me rendre compte qu'il serait peut-être temps de provoquer un peu de changement. D'autant que je voyais plein de gens parler de digital nomad, de travailler d'où tu veux dans le monde, et je me disais purée, ça, ça a l'air pas mal, ça me tente bien Et ça commençait à réveiller tout doucement l'ours qui était en train d'hiberner dans mon crâne. Et à ce moment-là, en fait, tu te sens grave bizarre, parce que tout est un peu remis en question, et je doutais de mes projets, j'étais pas trop satisfaite de ma situation, mais d'un autre côté, j'étais bien aussi dans mon quotidien, dans ma vie avec mes amis, etc. Et en fait, tu ressens d'un côté de la frustration de te dire je suis peut-être plus au bon endroit. Et en même temps, l'excitation de dire, du nouveau est à venir. Et donc, on arrive début 2023. Et là, je me dis, cette année, c'est la bonne. Je termine l'année en ayant démissionné. Et vraiment, j'étais déter, j'étais motivée. Mais ce n'était pas si simple parce que d'un autre côté, je voyais que je commençais à prendre un petit peu de l'âge, même si je reste jeune. Mais j'avais quand même envie de construire ma carrière pro, d'évoluer, de construire quelque chose. de gagner un peu plus d'argent, etc. Et en 2023, en plus, ça a bougé dans mon taf parce que j'ai eu deux promotions en quelques mois, ça bougeait, c'était challengeant, j'apprenais des trucs et tout, mais pour autant, je ne m'épanouissais pas vraiment dans tout le contexte dans lequel j'étais. Et je pense que l'ours avait déjà un petit peu fini son hibernation. Donc pendant l'année, je me retrouve à regarder les possibilités pour partir à l'étranger, et ça me motive de ouf. Donc là, je comprends que vraiment, c'est ce qui m'anime, c'est ce qui me fait envie, et c'est ce vers quoi je veux aller. Donc je me penche sur les VIE et je me rends compte au final que c'est pas tant ce qui me plaît, ce qui me correspond parce que les taffes dans ma branche, ça ne me fait pas spécialement kiffer et je n'ai pas envie de faire ce type de taffes en étant à l'étranger. Donc je mets ça de côté, j'en viens à me pencher sur les PVT, donc c'est les permis vacances travail. C'est des visas qui te permettent de travailler dans certains pays et je me dis ça, ça a l'air pas mal, ça matche plus avec moi, avec mes envies et par élimination au niveau des pays. je me dis l'Australie ça a l'air beau, ça a l'air chill, donc go c'est parti et à ce moment là je valide mon projet. On en arrive à décembre 2023. L'année est presque terminée, je n'ai pas encore démissionné et vraiment j'hésite mais plus, plus, plus à démissionner parce que je me sens engagée dans mon travail, engagée auprès de mes collègues et j'ai le sentiment de les abandonner en fait si je démissionne et si je quitte le travail. Donc c'est compliqué de se décider et j'atteins vraiment un niveau de stress mais maximal et j'avais peur de le dire à ma collègue que je voulais partir et aussi je pense parce que ça rend le projet réel de l'annoncer qu'on veut partir. Au final, je réussis à regrouper tout mon courage à deux mains et je finis par dire à ma collègue, voilà, 2024, je ne serai plus là, je vais partir et je vais aller en Australie. Derrière, vraiment, je me sens mieux, je me sens soulagée et tout va s'enchaîner très vite. On est le 4 janvier 2024, 20h14, je finalise ma demande de visa en ligne et 20h24, mon visa est validé, genre vraiment 10 minutes chrono plus tard. En mars, je prends mon billet d'avion. Allez simple, je réserve 10 jours en auberge de jeunesse. Et voilà, c'était bouclé, le projet était lancé. Et là, je suis là du coup à quelques jours du départ. Enfin voilà, tout ça pour vous dire que ça peut prendre du temps de se lancer et que chaque chose en son temps finalement, chacun son timing. Et que conclusion numéro 1, je pense que c'est bien de se questionner un peu sur ce qu'on veut, même si on ne détermine pas réellement de manière très claire notre projet. Mais ça peut aider à y voir plus clair, se rendre compte que ce qu'on voulait là à la base, C'était peut-être pas ce qui nous correspondait, on a peut-être d'autres envies, d'autres trucs, et qu'une question amène une idée, qui amène une autre idée, etc. Et c'est ce qui va aider à avancer. Et conclusion numéro 2, c'est bien de s'écouter un petit peu et pas faire hiberner trop longtemps les ours qui dorment dans nos têtes, parce qu'on peut passer à côté de choses qui peuvent nous correspondre un peu plus dans notre vie actuelle. Et je pense que souvent ces ours, ils sont pas là pour rien, et ils savent un peu ce qu'on veut au fond de nous. parfois même mieux que nous et conclusion numéro 3 vraiment on est tous humains et c'est normal d'avoir des réflexions de se poser mille questions et encore une fois c'est pas le cas de tout le monde et tant mieux mais pour ceux qui se questionnent et qui osent pas c'est normal et en tout cas c'est faisable de sauter le pas je vous partagerai du coup dans les prochains épisodes les avancées de mon voyage avec les préparatifs l'adaptation sur place les up and down etc etc et si t'as envie d'en discuter tu peux me retrouver sur insta sur partir podcast à bientôt

Chapters

  • Introduction au projet de PVT en Australie

    00:00

  • Le contexte des études et l'impact du Covid

    00:50

  • Le déclic : réflexion perso et développement perso

    02:08

  • La prise de décision en 2023

    03:21

  • Annoncer le départ et finaliser le projet

    04:44

  • Conclusion et réflexions sur le parcours

    05:47

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Tout quitter et partir... Quand on regarde les réseaux sociaux, ça a l'air simple, plein de gens partent dans des paysages et ça fait rêver de ouf ! Mais comment les gens en arrivent à cette situation ? Je me pose un peu la question parfois. Et je trouve qu'on montre pas assez les parcours de chacun et chacune, qui amènent à cette décision.
J'ai donc voulu vous expliquer comment, de mon côté, j'en suis arrivée à quitter mon travail pour aller faire un PVT en Australie. C'est un petit parcours rempli de plusieurs rebondissements et remise en question, mais c'est ce qui m'a amené ici haha


J'espère surtout à travers cet épisode vous aider à relativiser et pourquoi pas vous aussi oser sauter le pas si c'est quelque chose qui vous trotte dans la tête ! Et vraiment, chacun son timing, son tempo et son rythme.


Bonne écoute :)


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  • Speaker #0

    Dans quelques jours, je quitte la France pour aller faire un PVT en Australie. Et sachez que ça m'a pris environ 3 ans pour arriver à sauter le pas et me lancer dans l'aventure. Et je voulais vous partager mon histoire parce que je trouve qu'on voit beaucoup sur les réseaux sociaux plein de personnes partir et ça a l'air simple, ça a l'air tout beau, tout rose et ça l'est sûrement pour plein de personnes et tant mieux. Mais je trouve qu'on ne parle pas assez de l'envers du décor et de tout le chemin qui nous amène vraiment à la prise de décision où on passe du statut d'idée au passage à l'action. Vraiment tout ce chemin qui est rempli de questions, de doutes, de peurs, de remises en question, etc. Et perso, le statut d'idée, il a été pendant plusieurs années dans ma tête. Et de ce que j'entends un peu dans mon entourage, c'est le cas de plusieurs personnes. Et c'est pas si facile pour tout le monde de sauter le pas. Encore une fois, tant mieux pour ceux pour qui ça l'est. En tout cas pour moi, c'était pas le cas. Pour te donner un contexte de ma life, moi j'ai fait des études de commerce et je suis partie pour ma troisième année pour faire un Erasmus. et c'est ça qui m'a donné le goût du voyage, de partir, de bouger, d'aller voir un petit peu ce qui se fait ailleurs. Donc après ça, j'ai fait un master en commerce international, donc garder le côté ouvert sur le monde, et je me disais, après mon master, je vais faire un VIE, donc c'est un volontariat international en entreprise, c'est un programme pour les jeunes jusqu'à la veille de leur 29 ans, où on part avec une entreprise française pour développer son business à l'étranger. Sauf que l'année où je termine mon master, c'est l'année du Covid, Donc qui dit Covid dit toutes les frontières fermées, tout le tralala. Donc au final, mon plan tombe totalement à l'eau. Je me retrouve donc à bosser dans un taf qui me plaît sans plus, mais je n'avais vraiment aucune idée de ce que je voulais faire. J'avais mis dans un petit coin de ma tête l'idée de partir, et c'était un petit peu comme un ours qui hiberne dans ma tête et qui attend gentiment que le printemps arrive pour sortir. Sauf que le printemps, il a fallu que je le provoque. Enfin bref, je me laisse un peu porter par la vie. 2020 se termine, 2021 se termine aussi. Je reste dans mon taf en ayant toujours en arrière-pensée l'idée de partir, sans pour autant le faire, même s'il n'y avait plus de Covid, les frontières étaient réouvertes, etc. On arrive en 2022, et ce qui va me provoquer le déclic. Donc on est début 2022, et je teste le marketing de réseau. C'est une activité, donc comme ce que fait Superwar, on doit vendre des produits ou des services, et moi en l'occurrence, c'était des abonnements voyage. Et généralement, c'est un travail que les gens font parce qu'ils veulent gagner un peu plus d'argent, changer de taf, changer de life. Et du coup, tu as beaucoup de remises en question sur toi et tu en viens à t'intéresser au développement perso. Chose que j'ai faite et qui m'a justement aidée à avancer. En fait, je me suis posé la question, tout simplement, qui est-ce que je veux être ? Où est-ce que je veux aller ? Où est-ce que je veux être ? Dans quel contexte ? Quel genre de life ? Quelle activité ? Etc. pour au final me rendre compte qu'il serait peut-être temps de provoquer un peu de changement. D'autant que je voyais plein de gens parler de digital nomad, de travailler d'où tu veux dans le monde, et je me disais purée, ça, ça a l'air pas mal, ça me tente bien Et ça commençait à réveiller tout doucement l'ours qui était en train d'hiberner dans mon crâne. Et à ce moment-là, en fait, tu te sens grave bizarre, parce que tout est un peu remis en question, et je doutais de mes projets, j'étais pas trop satisfaite de ma situation, mais d'un autre côté, j'étais bien aussi dans mon quotidien, dans ma vie avec mes amis, etc. Et en fait, tu ressens d'un côté de la frustration de te dire je suis peut-être plus au bon endroit. Et en même temps, l'excitation de dire, du nouveau est à venir. Et donc, on arrive début 2023. Et là, je me dis, cette année, c'est la bonne. Je termine l'année en ayant démissionné. Et vraiment, j'étais déter, j'étais motivée. Mais ce n'était pas si simple parce que d'un autre côté, je voyais que je commençais à prendre un petit peu de l'âge, même si je reste jeune. Mais j'avais quand même envie de construire ma carrière pro, d'évoluer, de construire quelque chose. de gagner un peu plus d'argent, etc. Et en 2023, en plus, ça a bougé dans mon taf parce que j'ai eu deux promotions en quelques mois, ça bougeait, c'était challengeant, j'apprenais des trucs et tout, mais pour autant, je ne m'épanouissais pas vraiment dans tout le contexte dans lequel j'étais. Et je pense que l'ours avait déjà un petit peu fini son hibernation. Donc pendant l'année, je me retrouve à regarder les possibilités pour partir à l'étranger, et ça me motive de ouf. Donc là, je comprends que vraiment, c'est ce qui m'anime, c'est ce qui me fait envie, et c'est ce vers quoi je veux aller. Donc je me penche sur les VIE et je me rends compte au final que c'est pas tant ce qui me plaît, ce qui me correspond parce que les taffes dans ma branche, ça ne me fait pas spécialement kiffer et je n'ai pas envie de faire ce type de taffes en étant à l'étranger. Donc je mets ça de côté, j'en viens à me pencher sur les PVT, donc c'est les permis vacances travail. C'est des visas qui te permettent de travailler dans certains pays et je me dis ça, ça a l'air pas mal, ça matche plus avec moi, avec mes envies et par élimination au niveau des pays. je me dis l'Australie ça a l'air beau, ça a l'air chill, donc go c'est parti et à ce moment là je valide mon projet. On en arrive à décembre 2023. L'année est presque terminée, je n'ai pas encore démissionné et vraiment j'hésite mais plus, plus, plus à démissionner parce que je me sens engagée dans mon travail, engagée auprès de mes collègues et j'ai le sentiment de les abandonner en fait si je démissionne et si je quitte le travail. Donc c'est compliqué de se décider et j'atteins vraiment un niveau de stress mais maximal et j'avais peur de le dire à ma collègue que je voulais partir et aussi je pense parce que ça rend le projet réel de l'annoncer qu'on veut partir. Au final, je réussis à regrouper tout mon courage à deux mains et je finis par dire à ma collègue, voilà, 2024, je ne serai plus là, je vais partir et je vais aller en Australie. Derrière, vraiment, je me sens mieux, je me sens soulagée et tout va s'enchaîner très vite. On est le 4 janvier 2024, 20h14, je finalise ma demande de visa en ligne et 20h24, mon visa est validé, genre vraiment 10 minutes chrono plus tard. En mars, je prends mon billet d'avion. Allez simple, je réserve 10 jours en auberge de jeunesse. Et voilà, c'était bouclé, le projet était lancé. Et là, je suis là du coup à quelques jours du départ. Enfin voilà, tout ça pour vous dire que ça peut prendre du temps de se lancer et que chaque chose en son temps finalement, chacun son timing. Et que conclusion numéro 1, je pense que c'est bien de se questionner un peu sur ce qu'on veut, même si on ne détermine pas réellement de manière très claire notre projet. Mais ça peut aider à y voir plus clair, se rendre compte que ce qu'on voulait là à la base, C'était peut-être pas ce qui nous correspondait, on a peut-être d'autres envies, d'autres trucs, et qu'une question amène une idée, qui amène une autre idée, etc. Et c'est ce qui va aider à avancer. Et conclusion numéro 2, c'est bien de s'écouter un petit peu et pas faire hiberner trop longtemps les ours qui dorment dans nos têtes, parce qu'on peut passer à côté de choses qui peuvent nous correspondre un peu plus dans notre vie actuelle. Et je pense que souvent ces ours, ils sont pas là pour rien, et ils savent un peu ce qu'on veut au fond de nous. parfois même mieux que nous et conclusion numéro 3 vraiment on est tous humains et c'est normal d'avoir des réflexions de se poser mille questions et encore une fois c'est pas le cas de tout le monde et tant mieux mais pour ceux qui se questionnent et qui osent pas c'est normal et en tout cas c'est faisable de sauter le pas je vous partagerai du coup dans les prochains épisodes les avancées de mon voyage avec les préparatifs l'adaptation sur place les up and down etc etc et si t'as envie d'en discuter tu peux me retrouver sur insta sur partir podcast à bientôt

Chapters

  • Introduction au projet de PVT en Australie

    00:00

  • Le contexte des études et l'impact du Covid

    00:50

  • Le déclic : réflexion perso et développement perso

    02:08

  • La prise de décision en 2023

    03:21

  • Annoncer le départ et finaliser le projet

    04:44

  • Conclusion et réflexions sur le parcours

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J'ai donc voulu vous expliquer comment, de mon côté, j'en suis arrivée à quitter mon travail pour aller faire un PVT en Australie. C'est un petit parcours rempli de plusieurs rebondissements et remise en question, mais c'est ce qui m'a amené ici haha


J'espère surtout à travers cet épisode vous aider à relativiser et pourquoi pas vous aussi oser sauter le pas si c'est quelque chose qui vous trotte dans la tête ! Et vraiment, chacun son timing, son tempo et son rythme.


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  • Speaker #0

    Dans quelques jours, je quitte la France pour aller faire un PVT en Australie. Et sachez que ça m'a pris environ 3 ans pour arriver à sauter le pas et me lancer dans l'aventure. Et je voulais vous partager mon histoire parce que je trouve qu'on voit beaucoup sur les réseaux sociaux plein de personnes partir et ça a l'air simple, ça a l'air tout beau, tout rose et ça l'est sûrement pour plein de personnes et tant mieux. Mais je trouve qu'on ne parle pas assez de l'envers du décor et de tout le chemin qui nous amène vraiment à la prise de décision où on passe du statut d'idée au passage à l'action. Vraiment tout ce chemin qui est rempli de questions, de doutes, de peurs, de remises en question, etc. Et perso, le statut d'idée, il a été pendant plusieurs années dans ma tête. Et de ce que j'entends un peu dans mon entourage, c'est le cas de plusieurs personnes. Et c'est pas si facile pour tout le monde de sauter le pas. Encore une fois, tant mieux pour ceux pour qui ça l'est. En tout cas pour moi, c'était pas le cas. Pour te donner un contexte de ma life, moi j'ai fait des études de commerce et je suis partie pour ma troisième année pour faire un Erasmus. et c'est ça qui m'a donné le goût du voyage, de partir, de bouger, d'aller voir un petit peu ce qui se fait ailleurs. Donc après ça, j'ai fait un master en commerce international, donc garder le côté ouvert sur le monde, et je me disais, après mon master, je vais faire un VIE, donc c'est un volontariat international en entreprise, c'est un programme pour les jeunes jusqu'à la veille de leur 29 ans, où on part avec une entreprise française pour développer son business à l'étranger. Sauf que l'année où je termine mon master, c'est l'année du Covid, Donc qui dit Covid dit toutes les frontières fermées, tout le tralala. Donc au final, mon plan tombe totalement à l'eau. Je me retrouve donc à bosser dans un taf qui me plaît sans plus, mais je n'avais vraiment aucune idée de ce que je voulais faire. J'avais mis dans un petit coin de ma tête l'idée de partir, et c'était un petit peu comme un ours qui hiberne dans ma tête et qui attend gentiment que le printemps arrive pour sortir. Sauf que le printemps, il a fallu que je le provoque. Enfin bref, je me laisse un peu porter par la vie. 2020 se termine, 2021 se termine aussi. Je reste dans mon taf en ayant toujours en arrière-pensée l'idée de partir, sans pour autant le faire, même s'il n'y avait plus de Covid, les frontières étaient réouvertes, etc. On arrive en 2022, et ce qui va me provoquer le déclic. Donc on est début 2022, et je teste le marketing de réseau. C'est une activité, donc comme ce que fait Superwar, on doit vendre des produits ou des services, et moi en l'occurrence, c'était des abonnements voyage. Et généralement, c'est un travail que les gens font parce qu'ils veulent gagner un peu plus d'argent, changer de taf, changer de life. Et du coup, tu as beaucoup de remises en question sur toi et tu en viens à t'intéresser au développement perso. Chose que j'ai faite et qui m'a justement aidée à avancer. En fait, je me suis posé la question, tout simplement, qui est-ce que je veux être ? Où est-ce que je veux aller ? Où est-ce que je veux être ? Dans quel contexte ? Quel genre de life ? Quelle activité ? Etc. pour au final me rendre compte qu'il serait peut-être temps de provoquer un peu de changement. D'autant que je voyais plein de gens parler de digital nomad, de travailler d'où tu veux dans le monde, et je me disais purée, ça, ça a l'air pas mal, ça me tente bien Et ça commençait à réveiller tout doucement l'ours qui était en train d'hiberner dans mon crâne. Et à ce moment-là, en fait, tu te sens grave bizarre, parce que tout est un peu remis en question, et je doutais de mes projets, j'étais pas trop satisfaite de ma situation, mais d'un autre côté, j'étais bien aussi dans mon quotidien, dans ma vie avec mes amis, etc. Et en fait, tu ressens d'un côté de la frustration de te dire je suis peut-être plus au bon endroit. Et en même temps, l'excitation de dire, du nouveau est à venir. Et donc, on arrive début 2023. Et là, je me dis, cette année, c'est la bonne. Je termine l'année en ayant démissionné. Et vraiment, j'étais déter, j'étais motivée. Mais ce n'était pas si simple parce que d'un autre côté, je voyais que je commençais à prendre un petit peu de l'âge, même si je reste jeune. Mais j'avais quand même envie de construire ma carrière pro, d'évoluer, de construire quelque chose. de gagner un peu plus d'argent, etc. Et en 2023, en plus, ça a bougé dans mon taf parce que j'ai eu deux promotions en quelques mois, ça bougeait, c'était challengeant, j'apprenais des trucs et tout, mais pour autant, je ne m'épanouissais pas vraiment dans tout le contexte dans lequel j'étais. Et je pense que l'ours avait déjà un petit peu fini son hibernation. Donc pendant l'année, je me retrouve à regarder les possibilités pour partir à l'étranger, et ça me motive de ouf. Donc là, je comprends que vraiment, c'est ce qui m'anime, c'est ce qui me fait envie, et c'est ce vers quoi je veux aller. Donc je me penche sur les VIE et je me rends compte au final que c'est pas tant ce qui me plaît, ce qui me correspond parce que les taffes dans ma branche, ça ne me fait pas spécialement kiffer et je n'ai pas envie de faire ce type de taffes en étant à l'étranger. Donc je mets ça de côté, j'en viens à me pencher sur les PVT, donc c'est les permis vacances travail. C'est des visas qui te permettent de travailler dans certains pays et je me dis ça, ça a l'air pas mal, ça matche plus avec moi, avec mes envies et par élimination au niveau des pays. je me dis l'Australie ça a l'air beau, ça a l'air chill, donc go c'est parti et à ce moment là je valide mon projet. On en arrive à décembre 2023. L'année est presque terminée, je n'ai pas encore démissionné et vraiment j'hésite mais plus, plus, plus à démissionner parce que je me sens engagée dans mon travail, engagée auprès de mes collègues et j'ai le sentiment de les abandonner en fait si je démissionne et si je quitte le travail. Donc c'est compliqué de se décider et j'atteins vraiment un niveau de stress mais maximal et j'avais peur de le dire à ma collègue que je voulais partir et aussi je pense parce que ça rend le projet réel de l'annoncer qu'on veut partir. Au final, je réussis à regrouper tout mon courage à deux mains et je finis par dire à ma collègue, voilà, 2024, je ne serai plus là, je vais partir et je vais aller en Australie. Derrière, vraiment, je me sens mieux, je me sens soulagée et tout va s'enchaîner très vite. On est le 4 janvier 2024, 20h14, je finalise ma demande de visa en ligne et 20h24, mon visa est validé, genre vraiment 10 minutes chrono plus tard. En mars, je prends mon billet d'avion. Allez simple, je réserve 10 jours en auberge de jeunesse. Et voilà, c'était bouclé, le projet était lancé. Et là, je suis là du coup à quelques jours du départ. Enfin voilà, tout ça pour vous dire que ça peut prendre du temps de se lancer et que chaque chose en son temps finalement, chacun son timing. Et que conclusion numéro 1, je pense que c'est bien de se questionner un peu sur ce qu'on veut, même si on ne détermine pas réellement de manière très claire notre projet. Mais ça peut aider à y voir plus clair, se rendre compte que ce qu'on voulait là à la base, C'était peut-être pas ce qui nous correspondait, on a peut-être d'autres envies, d'autres trucs, et qu'une question amène une idée, qui amène une autre idée, etc. Et c'est ce qui va aider à avancer. Et conclusion numéro 2, c'est bien de s'écouter un petit peu et pas faire hiberner trop longtemps les ours qui dorment dans nos têtes, parce qu'on peut passer à côté de choses qui peuvent nous correspondre un peu plus dans notre vie actuelle. Et je pense que souvent ces ours, ils sont pas là pour rien, et ils savent un peu ce qu'on veut au fond de nous. parfois même mieux que nous et conclusion numéro 3 vraiment on est tous humains et c'est normal d'avoir des réflexions de se poser mille questions et encore une fois c'est pas le cas de tout le monde et tant mieux mais pour ceux qui se questionnent et qui osent pas c'est normal et en tout cas c'est faisable de sauter le pas je vous partagerai du coup dans les prochains épisodes les avancées de mon voyage avec les préparatifs l'adaptation sur place les up and down etc etc et si t'as envie d'en discuter tu peux me retrouver sur insta sur partir podcast à bientôt

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  • Introduction au projet de PVT en Australie

    00:00

  • Le contexte des études et l'impact du Covid

    00:50

  • Le déclic : réflexion perso et développement perso

    02:08

  • La prise de décision en 2023

    03:21

  • Annoncer le départ et finaliser le projet

    04:44

  • Conclusion et réflexions sur le parcours

    05:47

Description

Tout quitter et partir... Quand on regarde les réseaux sociaux, ça a l'air simple, plein de gens partent dans des paysages et ça fait rêver de ouf ! Mais comment les gens en arrivent à cette situation ? Je me pose un peu la question parfois. Et je trouve qu'on montre pas assez les parcours de chacun et chacune, qui amènent à cette décision.
J'ai donc voulu vous expliquer comment, de mon côté, j'en suis arrivée à quitter mon travail pour aller faire un PVT en Australie. C'est un petit parcours rempli de plusieurs rebondissements et remise en question, mais c'est ce qui m'a amené ici haha


J'espère surtout à travers cet épisode vous aider à relativiser et pourquoi pas vous aussi oser sauter le pas si c'est quelque chose qui vous trotte dans la tête ! Et vraiment, chacun son timing, son tempo et son rythme.


Bonne écoute :)


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Transcription

  • Speaker #0

    Dans quelques jours, je quitte la France pour aller faire un PVT en Australie. Et sachez que ça m'a pris environ 3 ans pour arriver à sauter le pas et me lancer dans l'aventure. Et je voulais vous partager mon histoire parce que je trouve qu'on voit beaucoup sur les réseaux sociaux plein de personnes partir et ça a l'air simple, ça a l'air tout beau, tout rose et ça l'est sûrement pour plein de personnes et tant mieux. Mais je trouve qu'on ne parle pas assez de l'envers du décor et de tout le chemin qui nous amène vraiment à la prise de décision où on passe du statut d'idée au passage à l'action. Vraiment tout ce chemin qui est rempli de questions, de doutes, de peurs, de remises en question, etc. Et perso, le statut d'idée, il a été pendant plusieurs années dans ma tête. Et de ce que j'entends un peu dans mon entourage, c'est le cas de plusieurs personnes. Et c'est pas si facile pour tout le monde de sauter le pas. Encore une fois, tant mieux pour ceux pour qui ça l'est. En tout cas pour moi, c'était pas le cas. Pour te donner un contexte de ma life, moi j'ai fait des études de commerce et je suis partie pour ma troisième année pour faire un Erasmus. et c'est ça qui m'a donné le goût du voyage, de partir, de bouger, d'aller voir un petit peu ce qui se fait ailleurs. Donc après ça, j'ai fait un master en commerce international, donc garder le côté ouvert sur le monde, et je me disais, après mon master, je vais faire un VIE, donc c'est un volontariat international en entreprise, c'est un programme pour les jeunes jusqu'à la veille de leur 29 ans, où on part avec une entreprise française pour développer son business à l'étranger. Sauf que l'année où je termine mon master, c'est l'année du Covid, Donc qui dit Covid dit toutes les frontières fermées, tout le tralala. Donc au final, mon plan tombe totalement à l'eau. Je me retrouve donc à bosser dans un taf qui me plaît sans plus, mais je n'avais vraiment aucune idée de ce que je voulais faire. J'avais mis dans un petit coin de ma tête l'idée de partir, et c'était un petit peu comme un ours qui hiberne dans ma tête et qui attend gentiment que le printemps arrive pour sortir. Sauf que le printemps, il a fallu que je le provoque. Enfin bref, je me laisse un peu porter par la vie. 2020 se termine, 2021 se termine aussi. Je reste dans mon taf en ayant toujours en arrière-pensée l'idée de partir, sans pour autant le faire, même s'il n'y avait plus de Covid, les frontières étaient réouvertes, etc. On arrive en 2022, et ce qui va me provoquer le déclic. Donc on est début 2022, et je teste le marketing de réseau. C'est une activité, donc comme ce que fait Superwar, on doit vendre des produits ou des services, et moi en l'occurrence, c'était des abonnements voyage. Et généralement, c'est un travail que les gens font parce qu'ils veulent gagner un peu plus d'argent, changer de taf, changer de life. Et du coup, tu as beaucoup de remises en question sur toi et tu en viens à t'intéresser au développement perso. Chose que j'ai faite et qui m'a justement aidée à avancer. En fait, je me suis posé la question, tout simplement, qui est-ce que je veux être ? Où est-ce que je veux aller ? Où est-ce que je veux être ? Dans quel contexte ? Quel genre de life ? Quelle activité ? Etc. pour au final me rendre compte qu'il serait peut-être temps de provoquer un peu de changement. D'autant que je voyais plein de gens parler de digital nomad, de travailler d'où tu veux dans le monde, et je me disais purée, ça, ça a l'air pas mal, ça me tente bien Et ça commençait à réveiller tout doucement l'ours qui était en train d'hiberner dans mon crâne. Et à ce moment-là, en fait, tu te sens grave bizarre, parce que tout est un peu remis en question, et je doutais de mes projets, j'étais pas trop satisfaite de ma situation, mais d'un autre côté, j'étais bien aussi dans mon quotidien, dans ma vie avec mes amis, etc. Et en fait, tu ressens d'un côté de la frustration de te dire je suis peut-être plus au bon endroit. Et en même temps, l'excitation de dire, du nouveau est à venir. Et donc, on arrive début 2023. Et là, je me dis, cette année, c'est la bonne. Je termine l'année en ayant démissionné. Et vraiment, j'étais déter, j'étais motivée. Mais ce n'était pas si simple parce que d'un autre côté, je voyais que je commençais à prendre un petit peu de l'âge, même si je reste jeune. Mais j'avais quand même envie de construire ma carrière pro, d'évoluer, de construire quelque chose. de gagner un peu plus d'argent, etc. Et en 2023, en plus, ça a bougé dans mon taf parce que j'ai eu deux promotions en quelques mois, ça bougeait, c'était challengeant, j'apprenais des trucs et tout, mais pour autant, je ne m'épanouissais pas vraiment dans tout le contexte dans lequel j'étais. Et je pense que l'ours avait déjà un petit peu fini son hibernation. Donc pendant l'année, je me retrouve à regarder les possibilités pour partir à l'étranger, et ça me motive de ouf. Donc là, je comprends que vraiment, c'est ce qui m'anime, c'est ce qui me fait envie, et c'est ce vers quoi je veux aller. Donc je me penche sur les VIE et je me rends compte au final que c'est pas tant ce qui me plaît, ce qui me correspond parce que les taffes dans ma branche, ça ne me fait pas spécialement kiffer et je n'ai pas envie de faire ce type de taffes en étant à l'étranger. Donc je mets ça de côté, j'en viens à me pencher sur les PVT, donc c'est les permis vacances travail. C'est des visas qui te permettent de travailler dans certains pays et je me dis ça, ça a l'air pas mal, ça matche plus avec moi, avec mes envies et par élimination au niveau des pays. je me dis l'Australie ça a l'air beau, ça a l'air chill, donc go c'est parti et à ce moment là je valide mon projet. On en arrive à décembre 2023. L'année est presque terminée, je n'ai pas encore démissionné et vraiment j'hésite mais plus, plus, plus à démissionner parce que je me sens engagée dans mon travail, engagée auprès de mes collègues et j'ai le sentiment de les abandonner en fait si je démissionne et si je quitte le travail. Donc c'est compliqué de se décider et j'atteins vraiment un niveau de stress mais maximal et j'avais peur de le dire à ma collègue que je voulais partir et aussi je pense parce que ça rend le projet réel de l'annoncer qu'on veut partir. Au final, je réussis à regrouper tout mon courage à deux mains et je finis par dire à ma collègue, voilà, 2024, je ne serai plus là, je vais partir et je vais aller en Australie. Derrière, vraiment, je me sens mieux, je me sens soulagée et tout va s'enchaîner très vite. On est le 4 janvier 2024, 20h14, je finalise ma demande de visa en ligne et 20h24, mon visa est validé, genre vraiment 10 minutes chrono plus tard. En mars, je prends mon billet d'avion. Allez simple, je réserve 10 jours en auberge de jeunesse. Et voilà, c'était bouclé, le projet était lancé. Et là, je suis là du coup à quelques jours du départ. Enfin voilà, tout ça pour vous dire que ça peut prendre du temps de se lancer et que chaque chose en son temps finalement, chacun son timing. Et que conclusion numéro 1, je pense que c'est bien de se questionner un peu sur ce qu'on veut, même si on ne détermine pas réellement de manière très claire notre projet. Mais ça peut aider à y voir plus clair, se rendre compte que ce qu'on voulait là à la base, C'était peut-être pas ce qui nous correspondait, on a peut-être d'autres envies, d'autres trucs, et qu'une question amène une idée, qui amène une autre idée, etc. Et c'est ce qui va aider à avancer. Et conclusion numéro 2, c'est bien de s'écouter un petit peu et pas faire hiberner trop longtemps les ours qui dorment dans nos têtes, parce qu'on peut passer à côté de choses qui peuvent nous correspondre un peu plus dans notre vie actuelle. Et je pense que souvent ces ours, ils sont pas là pour rien, et ils savent un peu ce qu'on veut au fond de nous. parfois même mieux que nous et conclusion numéro 3 vraiment on est tous humains et c'est normal d'avoir des réflexions de se poser mille questions et encore une fois c'est pas le cas de tout le monde et tant mieux mais pour ceux qui se questionnent et qui osent pas c'est normal et en tout cas c'est faisable de sauter le pas je vous partagerai du coup dans les prochains épisodes les avancées de mon voyage avec les préparatifs l'adaptation sur place les up and down etc etc et si t'as envie d'en discuter tu peux me retrouver sur insta sur partir podcast à bientôt

Chapters

  • Introduction au projet de PVT en Australie

    00:00

  • Le contexte des études et l'impact du Covid

    00:50

  • Le déclic : réflexion perso et développement perso

    02:08

  • La prise de décision en 2023

    03:21

  • Annoncer le départ et finaliser le projet

    04:44

  • Conclusion et réflexions sur le parcours

    05:47

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