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Podcast Double Hoppe

EP 36. J'envie les gens et ça me plombe.

EP 36. J'envie les gens et ça me plombe.

31min |07/03/2025
Play
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EP 36. J'envie les gens et ça me plombe.

EP 36. J'envie les gens et ça me plombe.

31min |07/03/2025
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Description

Tu envies les autres à tel point que ça finit par te démotiver complètement ?
Pas de panique, tu n'es pas seule et surtout, il y a des solutions !
Dans cet épisode, inspiré par Alice (merci encore pour ta contribution!), on décrypte ces sensations de blocage et on les lève évidemment.


Je te donne les clés pour : 

. Comprendre pourquoi ta réaction est normale,
. Élaborer des stratégies simples & concrètes pour transformer cette pression en action,
. Nommer les pièges qui freinent ta progression,
. Et surtout identifier LA CLÉ pour retrouver ton inspiration & ta confiance ! 


Le but ultime ?
Te reconnecter à ton enthousiasme, à ce qui te fait vraiment vibrer, et arrêter de te comparer à l'extérieur des autres. Fais du toi, et tu seras magnétique, c'est garanti !


Bonne écoute, et surtout, respire... tu as déjà tout ce qu'il faut en toi 💛 


……..……..……..……..……..……..……..……..

Retrouve-moi sur Instagram : https://www.instagram.com/doublehoppe/

Découvre l’accompagnement de groupe : https://doublehoppe.com/ 

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Si tu as aimé cet épisode, n'hésite pas à me le dire, à le partager en story ou à tes proches en me taguant et même à laisser 5 étoiles & un commentaire sur Apple Podcast, ça met du vent dans mes voiles. 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Je suis Sarah, coach de vie certifiée, mentor et podcasteuse, pétard que j'adore cette introduction, et je suis surtout en mission pour accompagner les personnes qui ont la vilaine impression de ne pas être pleinement elles-mêmes. Un peu comme si vous viviez une vie en étant un personnage en noir et blanc, alors qu'on sait tous que vous êtes un humain haut en couleur. J'ai imaginé ce podcast pour vous, en co-construction avec vous, et j'y aborde donc des problématiques qui m'ont touchée, ou des thèmes que vous me soufflez au préalable. L'ambition du podcast est triple. 1. À défaut de tous vous coacher individuellement, je veux vous livrer des outils et des clés à dégainer dans votre quotidien. 2. En vous exposant mon point de vue, Je vous invite à vous questionner et à envisager une perspective différente et j'espère enrichissante. Et 3. J'espère vous donner une envie irrépressible et urgente de retrouver toutes vos couleurs et votre joie de vivre. Bonne écoute ! Je suis ravie de vous retrouver pour un nouvel épisode de podcast que je vais consacrer à répondre à Alice. Alice qui m'a contactée, qui est designer d'intérieur. et qu'il y a une super copine qui l'a appelée en lui disant « J'ai vu cette émission, il faut absolument que tu participes. » La pensée est ultra amicale, ultra flatteuse, et pourtant, Alice l'a hyper mal pris. Enfin plutôt, dans son cerveau, ça a fait « Oh, mais oui ! Évidemment que je veux participer à cette émission qui a l'air beaucoup trop stylée ! » Et puis cinq secondes plus tard, dans ce même cerveau, à propos de cette même participation, à cette même émission, La motivation d'Alice est tombée en flèche. Je ne suis pas capable, je n'y arriverai jamais, et puis les autres sont beaucoup plus stylés, bla bla bla bla bla. Motivation écroulée, self-esteem à moins 100 000, alors elle a eu la bonne idée d'appuyer sur la petite cloche et de demander des clés. Qu'est-ce qu'on fait quand les autres nous donnent hyper envie et qu'on se sent totalement nul ? On va y aller point par point ? Comme d'habitude, mais la première chose que j'ai envie de vous dire, c'est tu n'as pas le droit de faire comme si tu n'avais pas ressenti cette envie qui déborde. Tu n'as pas le droit de croire à l'histoire que tu te racontes qui dit « Non, mais de toute façon, je ne suis pas du tout capable. » Ça, ce n'est pas possible. Je refuse. Donc, je vais t'aider. Première clé, ta réaction est normale. Ta réaction... est tout à fait normal. Ton cerveau, quand ton ami te propose cette émission, la première chose, c'est « Oh, c'est trop stylé ! » Et oui, parce qu'à l'intérieur de toi, si ça te fait envie, c'est que tu peux le vivre. C'est-à-dire que, par exemple, pour moi, tu me parles de cette émission avec que des designers d'intérieur, il n'y a rien qui se passe. Ça n'allume pas la lumière, j'ai pas de papillons dans le ventre, ça ne me fait pas envie. Pour la simple et bonne raison que ce n'est pas pour moi. Petit 2, ton cerveau fait parfaitement son job. Tu ne l'as jamais fait avant. Donc lui, il voit un danger énorme. Et quand il voit un danger, étant donné que son boulot, c'est de te maintenir en sécurité, qu'est-ce qu'il fait ? Il appuie sur tous les boutons qu'il trouve. Des boutons pour te ramener dans ta zone connue, dans ta zone de confort. C'est ce même cerveau qui va te tenir à distance de ce qu'on appelle ta zone d'évolution. Et pour le reconnaître, ta zone d'évolution, tu te fies exactement à ce qui s'est passé dans les premières secondes, cet enchantement, cette excitation, cet enthousiasme que tu as ressenti. Ça, c'est le signal. Ton cerveau, il fait juste son boulot de te prévenir que ce truc-là, vous ne l'avez jamais fait. Et que si tu devais le faire là maintenant tout de suite, si ça se trouve, tu n'es pas prête. Mais ça ne veut en aucun cas dire qu'il ne faut pas le faire. Donc, qu'est-ce qu'on fait dans ce cas-là ? On se dissocie de son égo. C'est la base dans le développement personnel. Arrêtez de croire tout ce que raconte ton cerveau. Comment on fait ? Il y a plein de manières de le faire. Mais la manière que moi, je préfère, donc je vais parler de celle-là parce que c'est celle que je maîtrise le plus, c'est de te rendre compte que ton cerveau, ce n'est pas toi. Ton cerveau, il fait avec ce qu'il connaît. C'est le fameux système 1 dont je vous ai parlé dans l'épisode précédent. Si tu veux... Ton cerveau, c'est comme s'il avait une carte et qu'il regardait tous les chemins qui sont déjà tracés sur cette carte. Et si le chemin que tu t'apprêtes à emprunter ne figure pas sur cette carte, alors il est en flic total. Ça veut juste dire qu'il faut lui proposer une nouvelle carte. Et pour ça, la dissociation de ton ego, ça veut dire Gugus. Donc moi, j'aime bien lui donner un nom pour le ridiculiser. Et surtout, pour l'appeler autrement que moi, je m'appelle Gugus. Ça fait peur parce qu'on ne l'a jamais fait, mais t'inquiète, ça va bien se passer. Rassure-le, rassure-toi. Pour me rassurer, donc pour réguler mon système nerveux, j'utilise des pratiques de FT, j'utilise des pratiques de méditation, j'utilise le retour à la respiration consciente, j'utilise tout un tas de pratiques qui vont faire redescendre la pression. Si ça vous intéresse d'ailleurs, vous pouvez m'envoyer le mot pratique. au singulier ou au pluriel, comme vous voulez, sur Instagram. Et je vous enverrai un récapitulatif des pratiques que moi j'utilise. Mais le but, c'est vraiment de faire redescendre la pression. Et vous le savez, du moins si vous m'écoutez souvent, le cerveau ne fait pas la différence entre l'imaginaire et le réel. C'est pour ça qu'il ne s'est encore rien passé. Vous n'êtes pas encore passé à la télé. Enfin, Alice, tu n'es pas encore passé à la télé. en flip total. Le cerveau, il va se baser sur la respiration pour savoir si vous êtes tranquille ou si vous n'êtes pas tranquille. Quand on stresse, la respiration est totalement différente de quand on est dans un état de repos absolu, par exemple quand on dort. Donc le plus efficace à mon sens, c'est de revenir à sa respiration. Commencez à remettre de l'attention sur votre respiration pour calmer et... envoyer le signal à votre corps tout entier et à votre cerveau que tout va bien. Mais encore une fois, si vous voulez d'autres pratiques, écrivez-moi et je vous les partagerai. Et ça, c'est la base. Le truc numéro un, c'est le cerveau perçoit un danger quand il doit faire quelque chose qu'il n'a jamais fait et il a donc besoin d'être rassuré. Première clé. Puis c'est un peu logique parce que prendre des décisions quand on est complètement affolé. Je ne suis pas sortie de Saint-Cyr, mais je pense ne pas trop mouiller en vous disant que les décisions prises à la hâte, pas sûr que ce soit les meilleures. Une fois qu'on a fait ça, c'est intéressant de se questionner sur qu'est-ce qui se passe ? Qu'est-ce qui fait que ce qui t'a motivé il y a une seconde te descend en flèche, te plombe au sol, quelques secondes plus tard ? Une des raisons qui peut l'expliquer, et c'est une nouvelle clé, c'est que ça te renvoie à ton point de départ, à toi. C'est une phrase que j'adore répéter mais qui est très puissante. Ne compare pas ton intérieur à l'extérieur des autres. Cette phrase peut paraître un peu anodine, mais elle est tellement puissante parce que ton intérieur à toi, t'entends tout ce que tu te racontes. Tu connais tous tes secrets, tu connais tous tes recoins, tu connais toutes tes casseroles. Et t'es en train de comparer ça un extérieur qui paraît parfait. C'est d'ailleurs le gros point noir des réseaux sociaux, c'est qu'on ne sait rien de ce qui se passe dans la tête, dans le cœur et dans le corps des gens qu'on envie. Et tu es en train de comparer un truc qui est complètement incomparable. Déjà, tu te compares aux autres, chaud, mais en plus, tu compares quelque chose dont tu connais absolument tout. à quelque chose dont tu ne sais absolument rien, si ce n'est ce que tu vois. Donc cette phrase, elle peut t'aider déjà à revenir à « ok, moi j'en suis où ? » Parce que ce qui m'intéresse quand l'extérieur fait beaucoup de bruit, c'est qu'on revienne à l'intérieur. Et à ce moment-là, j'ai besoin que tu reviennes à ton point de départ. Parce qu'il faut bien que tu te dises un truc. C'est que ces gens-là, tu les vois à la télé, mais ces gens-là... Ils en étaient là où toi t'en es, à un moment donné de leur vie. Et du coup, ce qui est intéressant, c'est que si tu veux te comparer, d'abord, sors du fantasme. Va voir ton point de départ. C'est quoi ton point de départ ? Ton point de départ, quand je dis ça, c'est aujourd'hui t'en es où ? Et qu'est-ce qui te sépare de cette version de toi que t'imagines à la télé, que tu visualises à la télé, que tu as envie d'être à la télé ? Il y a quoi entre cette version de toi qu'on va appeler la version A et cette version qui te donne envie que tu vois à la télé ? qui est, disons, ta version de toi 2.0. Elle n'est pas meilleure, elle est différente. Parce que ce que tu fais aujourd'hui, c'est différent de ce que tu as à faire pour accéder à cette version 2.0. Et c'est un truc qu'une de mes clientes m'a dit parfaitement. C'est que quand elle passait son temps à se dire « il faut que je devienne la meilleure version de moi-même » , ça la faisait méga stressée. Parce qu'elle avait l'impression qu'elle ne devait surtout pas se tromper dans les actions qu'elle aurait à mener. Un peu comme s'il y avait une recette magique à suivre pour arriver à être cette version d'elle qu'elle a envie d'être. Mais ce n'est pas du tout ça. Il n'y a pas de recette magique. Il y a seulement une version que toi, tu peux créer en suivant justement cette envie, justement cette signal de « là, il y a des papillons dans le ventre » . Là, il y a de l'enthousiasme. Là, il y a un truc qui te fait kiffer. Ça ne veut pas dire que ce sera facile. Ça veut juste dire que tu es invité à suivre les indices qui se trouvent à l'intérieur de toi, à savoir les petits coups de cloche qui font « Gling, gling, gling, gling, gling ! » C'est par ici qu'on kiffe. « Gling, gling, gling, gling, gling ! » C'est par ici qu'on prend du plaisir à être qui on est. Donc, prends un papier, prends un crayon. Trace de colonne. Dans la colonne A, on est aujourd'hui. Et dans la colonne B, on est quand tu veux. Mais en tout cas, on est 2.0 et on est à la télé en train de participer à cette émission. Et ce qui est intéressant, c'est que tu vas pouvoir te demander, et c'est là que j'adore vous coacher, parce que c'est là que je vous invite à prendre votre responsabilité, parce que là, on est en train de prendre sa responsabilité, en écoutant ses envies et en se demandant comment on peut les satisfaire. Et tu vas pouvoir te lister ce que tu aurais comme action concrète à faire aujourd'hui pour pouvoir arriver à être dans cette télé. Qu'est-ce que tu peux faire dès aujourd'hui pour être à un moment donné dans cette télé ? Et là, amuse-toi parce qu'en fait, à nouveau, il n'y a pas de recette magique. Et le truc qui sera le plus efficace... Ce n'est pas forcément le truc que tout le monde fait. C'est ce qui, toi, te fera progresser, t'amuser, kiffer. Ça, c'est intéressant. Va me chercher les étapes, les actions qui vont faire que tu vas aimer ton quotidien. Tu vas aimer le temps qui te sépare de ce moment 2.0 et qui va faire que tu vas devenir ta propre créatrice de cette version de toi. enthousiasmer. C'est pas trop stylé de se dire ça. C'est pas trop stylé de se dire que cet enthousiasme que tu perçois déjà dans ton corps, c'est toi aussi qui vas pouvoir le rendre réel. Mais moi, c'est ma passion. Et d'ailleurs, c'est ça mon métier. C'est de vous tenir la main pendant qu'on réfléchit à ce plan, qu'on le rend concret et qu'on te fait suivre pour pouvoir incarner cette version 2.0. Trop stylé. Il y a un truc que j'ai besoin de te rappeler quand tu es en train de bûcher sur ces deux colonnes, c'est qu'au plus tu vas écouter ces petits papillons, au plus tu vas les suivre, au plus tu vas faire du toi, au plus ça va aller vite. Ne cherche pas à faire du parfait. Ne cherche pas à faire du raisonnable. Ne cherche pas à faire du parfait parce qu'on est en train d'aller chercher le progrès. On s'en fout du parfait. Et ça, ça m'amène à une troisième clé qui est hyper importante et qui te différencie d'ailleurs Alice de potentiellement une autre designer qui elle a suivi cet enthousiasme. C'est que quand tu cherches la perfection, quand tu cherches à rester dans un cadre très précis, quand tu crois qu'il existe une recette particulière, tu as ce qu'on appelle un fixed mindset. Un mindset, un état d'esprit qui est figé. Un état d'esprit qui essaie de se conformer à ce qu'il connaît, à ce qu'il croit être la voie sacrée. Mais ça, c'est tellement casse-gueule. Parce qu'encore une fois, si ça existait, ce genre de truc, s'il y avait un plan d'action unique, figé, parfait qui existait, mais on serait tous en train de le suivre, les gars. Et ça, en fait, ce mindset figé, qui va te couper de ton enthousiasme, tu vas très vite le sentir. Dès que tu essaies de faire autre chose que faire du toi, tu vas le sentir. Ton enthousiasme, il va dropper. Ton énergie, elle va se plomber. Tu vas procrastiner, tu vas ruminer. Alors que quand tu veilles à te garder dans faire du toi, et ça paraît hyper abstrait, mais en fait, c'est se cantonner à qu'est-ce qui t'amuse ? Qu'est-ce qui te fait kiffer ? Qu'est-ce qui rallume la lumière en toi ? Et ça, c'est ce qu'on appelle avoir... un growth mindset, un état d'esprit porté sur la croissance. Pourquoi ? Parce qu'en fait, tu vas t'affranchir de ce que tu es censé faire et tu vas être obnubilé par trouver ce qui va te faire avancer. Faire ce que tu as envie de faire, qui t'amènera à l'étape d'après et qui va t'amener à de la croissance, à du progrès. Parce qu'encore une fois, si tu repenses à la clé juste avant, Moi, ce qui m'intéresse, c'est que tu puisses te poser la question de qu'est-ce que je peux faire pour me rapprocher progressivement de ma version 2.0 ? Pas qu'est-ce qu'il faut que je fasse, mais qu'est-ce que j'ai envie de faire ? Ça, c'est du growth mindset. C'est de la progression, c'est de la croissance. Tu dois être obsédé par progresser. Tu dois être obsédé par les petits pas. qui vont te rapprocher de ce que tu veux. La puissance d'être dans un growth mindset, c'est que tu ne te désolidarises pas de toi. C'est que tu ne cherches pas à faire autre chose que ce que tu es, que ce que tu aimes, que ce qui te fait vibrer. Et surtout, tu ne prétends pas être ailleurs que là où tu en es. Tu as juste envie de bouffer le monde, d'apprendre un max de trucs, pour pouvoir à un moment donné te dire, vas-y, cap ! On va à ce TV show. Il y a une phrase qui m'est venue en anglais. Bon, vous le savez, souvent j'utilise du franglish et désolé pour ceux que ça ennuie profondément. Mais la phrase qui m'est venue quand Alice m'a sollicité, c'est « Les personnes que tu regardes dans la télé, ils n'ont pas prétendu être autre chose que ce qu'ils sont et où ils en sont. Ils se sont juste dit « Ok, you know what ? I'm gonna give it a shot. Je vais m'amuser et je vais aller dans ce TV show. » Quand vous regardez et prenez le temps de le faire, les gens qui vous inspirent, ce n'est pas des gens qui s'ennuient à suivre les règles. Les gens qui vous inspirent, en tout cas, je parle pour moi, mais les gens qui m'inspirent, c'est des gens qui prennent profondément du plaisir à faire ce qu'ils font. Et je peux même regarder d'ailleurs Thomas Pesquet. Thomas Pesquet qui fait un truc qui, moi, ne me met pas du tout des étoiles dans les yeux. Je trouve ça absolument dingo, mais je ne l'envie pas. Mais pour autant, ça m'éclate de le regarder dans cette station spatiale parce qu'en fait, le mec, il est en plein kiff. La phrase qui me revient, c'est « They did not try to be perfect. They did what they had to do to progress. They did what they had to do to grow. » Reconnecte-toi à cette part d'enfant que tu as à l'intérieur de toi qui tout de suite a reconnu que c'était son terrain de jeu, cette TV show, et amuse-toi ! amuse-toi pour te rapprocher de cette version 2.0. Quand tu arrives à faire ça, tu te reconnectes aussi à ton but. Le but, c'est quoi ? Est-ce que le but, c'est de gagner cette TV show ? Oui, quelque part, il y a ce truc-là. Mais le premier but, c'est surtout, vas-y, on essaye parce qu'en fait, on va voir si ça nous amuse. Quand je coach quelqu'un, mon but, ce n'est pas d'être la meilleure coach. Mon but, c'est d'amener ma cliente là où elle veut. Mon but, c'est que ma cliente se reconnecte avec son intérieur et qu'elle reprenne confiance en elle, en ses sensations et en ce qui lui fait plaisir. Ce n'est pas une question d'être la meilleure. Quand tu vois que tu pars trop dans ta tête, dans « Ah, mais je n'y arriverai pas, et puis ils sont meilleurs que moi, et puis ils sont trop stylés » , reviens à toi. Le but, c'est de vivre une vie qui te fait kiffer. En tout cas, moi, je suis obsédée par me réveiller le matin en ayant hâte. Je suis obsédée par ce sentiment qui m'anime quand je sais que j'ai une séance dans l'après-midi et que je vais pouvoir faire avoir des déclics à ma cliente qui vont la faire repartir de ma séance au mode « Ok, c'est parti ! » Et d'ailleurs, Alice, on a eu la chance de partager une séance Boost ensemble, qui est une séance ponctuelle. Et rappelle-toi de ce que tu m'as dit. Tu m'as dit « Watch me, fuckers ! » Oui, va te reconnecter avec cette sensation-là, avec cet élan de vie. qui t'appelle juste à faire des trucs qui te font envie. Et je peux t'assurer, je peux te garantir que si tu suis... Cet élan-là, être la meilleure, gagner, impressionner, c'est ce qui t'attend. Quand tu fais ce que tu aimes, quand tu fais profondément ce qui t'anime, tu deviens magnétique. C'est une certitude. À nouveau, regardez les gens qui vous impressionnent. Ce ne sont pas des gens qui cherchent à faire parfait. Ce sont des gens qui font ce qu'ils aiment et qui, d'ailleurs c'est marrant, sont beaucoup plus attachants. Quand ils montrent qu'ils ne sont pas parfaits, quand ils montrent que parfois ils n'y arrivent pas et qu'ils montrent qu'en fait ils ne lâchent rien et qu'ils continuent d'avancer. Ça, c'est hyper impressionnant, c'est hyper inspirant et c'est magnétique. Donc encore une fois, ne cherche pas à être parfaite, cherche à faire du toi. Et puis, quand tu sors du fantasme comme ça, et justement que tu te rends compte que les gens que tu admires, que les gens que tu regardes à la télé, que les gens qui t'inspirent, ils ne sont pas parfaits. Ça te passe un autre message qui, à mon sens, est essentiel, c'est que ces gens-là, ils sont comme toi. Donc dis-toi bien que si tu les vois à la télé aujourd'hui, c'est qu'il y a quelque temps en arrière, ils étaient à ta place. Ils étaient face à leurs doutes, ils étaient face à leurs peurs, et eux aussi, ils regardaient leur télé certainement en se disant « C'est tellement stylé, mais c'est tellement flippant ! » Et la seule chose qui les a différenciés de toi, c'est leur réaction face à leurs doutes, face à leur peur et face à leur propre point de départ. Eux aussi, ils ont certainement eu ce point où ils se sont dit « Oh, c'est pas du tout pour moi, c'est pas possible » . Sauf qu'ils ne se sont pas arrêtés là. Ils se sont peut-être dit cette phrase que moi je me dis en permanence, c'est « Tu subis que ce que tu tolères » . Je veux qu'aujourd'hui, Alice, quand tu m'écoutes, et vous tous et toutes qui m'écoutez, je veux que ce genre de discours intérieur soit intolérable. Je refuse que vous subissiez ce propre comportement qui est le vôtre. Mettez-y un terme en décidant que c'est intolérable. Ça, ça va faire la différence. Ça, ça va faire la différence parce que vous allez vous connecter à l'intérieur de vous. Vous allez construire de l'estime de vous. Parce qu'il faut vachement d'estime de soi pour se dire non, je ne tolérerai pas une minute de plus ce discours intérieur qui me fait défaut. C'est ça de l'estime de soi. L'estime de soi, c'est trois choses. L'estime de soi, c'est... La confiance en soi. La confiance en soi, c'est la certitude que vous avez toutes les ressources à l'intérieur de vous pour surmonter quoi qu'il survienne sur votre route. L'estime de soi, c'est aussi de l'amour de soi. Et c'est de l'amour inconditionnel. C'est-à-dire que, Alice, si tu t'inscris à cette émission et que tu n'es même pas sélectionnée à la première étape, tu t'aimeras quand même. Et dernière chose qu'elle estime de soi, c'est l'image de soi. C'est l'image que les autres nous renvoient de nous-mêmes et avec laquelle on est aligné, on se sent à l'aise. J'ai fait d'ailleurs un épisode de podcast pour chacun de ces piliers de l'estime de soi. Donc ce que je veux dire, c'est que quand tu refuses de tolérer ce discours intérieur qui te déprécie, t'es en train de renforcer ton estime de toi. Et t'es surtout en train de t'envoyer le signal le plus précieux du monde qui est tu as tout à l'intérieur de toi. Tu as tout ce qu'il faut pour devenir cette personne qu'aujourd'hui tu envies. La seule chose qu'il est impératif que tu fasses, je veux que tu arrêtes de souhaiter être quelqu'un d'autre. Arrêtez de vouloir être quelqu'un d'autre. Arrêtez de croire que les autres feraient mieux que vous. Reconnectez-vous à vous-même, prenez conscience du potentiel énorme que vous êtes et que vous avez déjà à l'intérieur de vous, et allez-y. Dans le passage à l'action, il y a trois pièges et ça me semble à propos de vous les rappeler pour ne surtout pas tomber dedans. Bon, le tout premier, on le sait, c'est la peur. Quand il y a de la peur, il y a de l'envie parce qu'il y a des choses en jeu qui vous tiennent à cœur. Donc surtout, c'est à ce moment précis qu'il vous faudra être intransigeante et intransigeant sur non. Je refuse de m'arrêter parce que j'ai peur. Le deuxième piège, c'est un pas qui est trop grand. Je suis sûre que vous l'avez déjà vu cette image, c'est celle d'une échelle qui normalement a plein de barreaux, dont la distance entre les barreaux est parfaitement pensée pour que l'effort ne soit pas difficile. Et sauf qu'au lieu d'avoir autant de barreaux là, vous n'avez que deux barreaux et le premier il est à deux mètres du sol. C'est un piège et ça veut dire que c'est le signal pour redécouper vos actions en actions plus petites. Donc, retournez voir vos colonnes et assurez-vous que les actions que vous avez listées, elles soient enclenchables rapidement. Souvent, je fais cette comparaison avec le premier kilo qu'on perd quand on fait un régime. Ce petit kilo qu'on perd rapido, il nous aide à être en mouvement et à continuer. C'est une récompense intermédiaire avant d'arriver à son objectif pour rester en chemin. Parce qu'on n'est pas des machines et que franchement... continuer à tracer sa route sans aucune reconnaissance, sans aucune récompense, c'est vachement difficile. Donc, assurez-vous d'avoir des actions qui sont suffisamment découpées en petits pas. Généralement, ce que j'aime bien dire à mes clientes, c'est que dans un bon plan d'action, il y a au moins une action qui prend moins de deux minutes. Le troisième piège, c'est le manque de clarté. En l'occurrence, pour Alice, c'est hyper clair parce que les personnes, elle les a vues à la télé, elle sait comment s'appelle l'émission, elle sait en quoi ça consiste et ça paraît limpide. Mais pour d'autres, ce n'est pas le cas. Donc, quand on n'a pas une image claire de là où on veut arriver, c'est vachement difficile de se mettre en mouvement. Assurez-vous de pouvoir vous poser la question de où vous voulez arriver ou à minima de vous demander comment vous voulez vous sentir. Je me souviens que quand je voulais changer de métier parce que j'étais un peu à l'étroit dans le mien, j'avais aucune idée que mon futur métier ce serait coach. En revanche, je savais que je voulais me sentir exactement comme je me sens quand je lis et que j'apprends à propos du développement personnel. Cet état de flot, je l'avais déjà vécu. Donc je savais que je voulais me sentir comme ça. Donc, essayez de préciser le plus possible et de ramener de la clarté. Je sais que c'est un truc qui est assez difficile. Et d'ailleurs, la plupart de mes clientes, quand elles viennent me voir, elles se sentent perdues. Et c'est assez difficile parce que quand on est trop longtemps resté dans une vie ou dans un quotidien qui ne nous va pas, on a complètement perdu confiance en ses ressentis. On n'est plus très au fait de ce qu'on est censé ressentir, de comment on se sent quand on se sent bien. On n'est plus très au clair de « est-ce qu'on peut faire confiance à ça ? » « Est-ce qu'on peut avoir confiance en soi ? » On est un peu dans le flou. Donc si c'est votre cas, je vous invite à aller voir un des tout premiers épisodes que j'ai fait. Je crois que c'est l'épisode 2 ou un truc comme ça, je pourrais vérifier et vous le mettre dans le descriptif du podcast. Mais c'est « reprendre contact avec soi et réapprendre à s'écouter » . On parle d'ancrage en fait. Comment retrouver son ancrage ? Ce sont les trois pièges. La peur, les actions qui sont trop grandes et donc trop effrayantes, et le manque de clarté. Et j'aurais pu ajouter une dernière clé dans ce podcast. J'aurais pu te dire, Alice, en vrai, coupe ta télé. Arrête de regarder cette émission. Passe à autre chose. Et c'est ce que j'aurais tendance à vous dire si vous avez cette même réaction quand vous êtes sur les réseaux sociaux. et que vous voyez des profils qui, au lieu de vous inspirer, vous plombent au sol. Oui, ça je peux vous le dire, désabonnez-vous, c'est pas fait pour ça. Rappelez-vous qu'on ne comporte pas son intérieur aux extérieurs des autres. Mais j'ai pas envie de te le dire Alice, parce que si ça t'a filé des papillons dans le ventre, si à un moment donné t'as eu envie de participer à cette émission et de toi aussi faire partie de ces gens qui t'inspirent, C'est pour une bonne raison. C'est parce qu'à l'intérieur de toi, t'as déjà ce qu'il faut. Ton âme sait que t'as la possibilité de vivre exactement ce que ces personnes vivent à la télé dans cette émission. En manifestation, on dirait qu'il y a une version de toi à un autre moment, dans une réalité parallèle, qui a déjà vécu ça, qui est déjà en train de le vivre, et qui du coup... est en train de t'envoyer des signaux pour que toi aussi tu oses. Et franchement, je refuse que tu abdiques avant même d'avoir essayé. Je refuse que tu coupes court à cette envie, capiche ? Donc Alice, si tu m'écoutes et vous toutes, vous tous, si vous ressentez ça, si vous sentez que ce feu s'est allumé à un moment donné, je refuse que vous y coupiez court. Pour la simple et bonne raison que je refuse que dans plusieurs années, vous regardiez en arrière en vous disant, pétard, j'aurais au moins dû essayer. Je refuse. Donc je vous embrasse très fort. Alice, merci infiniment d'avoir déposé cette suggestion d'épisode parce que je me suis régalée à le faire. Continuez d'ailleurs à le faire parce que vous êtes mes meilleures inspirations. Et surtout, je sais que ce podcast, il change déjà vos vies. Donc pourquoi vous en priver ? Faites-moi ce cadeau et faites-vous ce cadeau d'aller chercher des réponses et des clés que je suis ravie de vous donner. Je vous dis à dans deux semaines.

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Tu envies les autres à tel point que ça finit par te démotiver complètement ?
Pas de panique, tu n'es pas seule et surtout, il y a des solutions !
Dans cet épisode, inspiré par Alice (merci encore pour ta contribution!), on décrypte ces sensations de blocage et on les lève évidemment.


Je te donne les clés pour : 

. Comprendre pourquoi ta réaction est normale,
. Élaborer des stratégies simples & concrètes pour transformer cette pression en action,
. Nommer les pièges qui freinent ta progression,
. Et surtout identifier LA CLÉ pour retrouver ton inspiration & ta confiance ! 


Le but ultime ?
Te reconnecter à ton enthousiasme, à ce qui te fait vraiment vibrer, et arrêter de te comparer à l'extérieur des autres. Fais du toi, et tu seras magnétique, c'est garanti !


Bonne écoute, et surtout, respire... tu as déjà tout ce qu'il faut en toi 💛 


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Transcription

  • Speaker #0

    Je suis Sarah, coach de vie certifiée, mentor et podcasteuse, pétard que j'adore cette introduction, et je suis surtout en mission pour accompagner les personnes qui ont la vilaine impression de ne pas être pleinement elles-mêmes. Un peu comme si vous viviez une vie en étant un personnage en noir et blanc, alors qu'on sait tous que vous êtes un humain haut en couleur. J'ai imaginé ce podcast pour vous, en co-construction avec vous, et j'y aborde donc des problématiques qui m'ont touchée, ou des thèmes que vous me soufflez au préalable. L'ambition du podcast est triple. 1. À défaut de tous vous coacher individuellement, je veux vous livrer des outils et des clés à dégainer dans votre quotidien. 2. En vous exposant mon point de vue, Je vous invite à vous questionner et à envisager une perspective différente et j'espère enrichissante. Et 3. J'espère vous donner une envie irrépressible et urgente de retrouver toutes vos couleurs et votre joie de vivre. Bonne écoute ! Je suis ravie de vous retrouver pour un nouvel épisode de podcast que je vais consacrer à répondre à Alice. Alice qui m'a contactée, qui est designer d'intérieur. et qu'il y a une super copine qui l'a appelée en lui disant « J'ai vu cette émission, il faut absolument que tu participes. » La pensée est ultra amicale, ultra flatteuse, et pourtant, Alice l'a hyper mal pris. Enfin plutôt, dans son cerveau, ça a fait « Oh, mais oui ! Évidemment que je veux participer à cette émission qui a l'air beaucoup trop stylée ! » Et puis cinq secondes plus tard, dans ce même cerveau, à propos de cette même participation, à cette même émission, La motivation d'Alice est tombée en flèche. Je ne suis pas capable, je n'y arriverai jamais, et puis les autres sont beaucoup plus stylés, bla bla bla bla bla. Motivation écroulée, self-esteem à moins 100 000, alors elle a eu la bonne idée d'appuyer sur la petite cloche et de demander des clés. Qu'est-ce qu'on fait quand les autres nous donnent hyper envie et qu'on se sent totalement nul ? On va y aller point par point ? Comme d'habitude, mais la première chose que j'ai envie de vous dire, c'est tu n'as pas le droit de faire comme si tu n'avais pas ressenti cette envie qui déborde. Tu n'as pas le droit de croire à l'histoire que tu te racontes qui dit « Non, mais de toute façon, je ne suis pas du tout capable. » Ça, ce n'est pas possible. Je refuse. Donc, je vais t'aider. Première clé, ta réaction est normale. Ta réaction... est tout à fait normal. Ton cerveau, quand ton ami te propose cette émission, la première chose, c'est « Oh, c'est trop stylé ! » Et oui, parce qu'à l'intérieur de toi, si ça te fait envie, c'est que tu peux le vivre. C'est-à-dire que, par exemple, pour moi, tu me parles de cette émission avec que des designers d'intérieur, il n'y a rien qui se passe. Ça n'allume pas la lumière, j'ai pas de papillons dans le ventre, ça ne me fait pas envie. Pour la simple et bonne raison que ce n'est pas pour moi. Petit 2, ton cerveau fait parfaitement son job. Tu ne l'as jamais fait avant. Donc lui, il voit un danger énorme. Et quand il voit un danger, étant donné que son boulot, c'est de te maintenir en sécurité, qu'est-ce qu'il fait ? Il appuie sur tous les boutons qu'il trouve. Des boutons pour te ramener dans ta zone connue, dans ta zone de confort. C'est ce même cerveau qui va te tenir à distance de ce qu'on appelle ta zone d'évolution. Et pour le reconnaître, ta zone d'évolution, tu te fies exactement à ce qui s'est passé dans les premières secondes, cet enchantement, cette excitation, cet enthousiasme que tu as ressenti. Ça, c'est le signal. Ton cerveau, il fait juste son boulot de te prévenir que ce truc-là, vous ne l'avez jamais fait. Et que si tu devais le faire là maintenant tout de suite, si ça se trouve, tu n'es pas prête. Mais ça ne veut en aucun cas dire qu'il ne faut pas le faire. Donc, qu'est-ce qu'on fait dans ce cas-là ? On se dissocie de son égo. C'est la base dans le développement personnel. Arrêtez de croire tout ce que raconte ton cerveau. Comment on fait ? Il y a plein de manières de le faire. Mais la manière que moi, je préfère, donc je vais parler de celle-là parce que c'est celle que je maîtrise le plus, c'est de te rendre compte que ton cerveau, ce n'est pas toi. Ton cerveau, il fait avec ce qu'il connaît. C'est le fameux système 1 dont je vous ai parlé dans l'épisode précédent. Si tu veux... Ton cerveau, c'est comme s'il avait une carte et qu'il regardait tous les chemins qui sont déjà tracés sur cette carte. Et si le chemin que tu t'apprêtes à emprunter ne figure pas sur cette carte, alors il est en flic total. Ça veut juste dire qu'il faut lui proposer une nouvelle carte. Et pour ça, la dissociation de ton ego, ça veut dire Gugus. Donc moi, j'aime bien lui donner un nom pour le ridiculiser. Et surtout, pour l'appeler autrement que moi, je m'appelle Gugus. Ça fait peur parce qu'on ne l'a jamais fait, mais t'inquiète, ça va bien se passer. Rassure-le, rassure-toi. Pour me rassurer, donc pour réguler mon système nerveux, j'utilise des pratiques de FT, j'utilise des pratiques de méditation, j'utilise le retour à la respiration consciente, j'utilise tout un tas de pratiques qui vont faire redescendre la pression. Si ça vous intéresse d'ailleurs, vous pouvez m'envoyer le mot pratique. au singulier ou au pluriel, comme vous voulez, sur Instagram. Et je vous enverrai un récapitulatif des pratiques que moi j'utilise. Mais le but, c'est vraiment de faire redescendre la pression. Et vous le savez, du moins si vous m'écoutez souvent, le cerveau ne fait pas la différence entre l'imaginaire et le réel. C'est pour ça qu'il ne s'est encore rien passé. Vous n'êtes pas encore passé à la télé. Enfin, Alice, tu n'es pas encore passé à la télé. en flip total. Le cerveau, il va se baser sur la respiration pour savoir si vous êtes tranquille ou si vous n'êtes pas tranquille. Quand on stresse, la respiration est totalement différente de quand on est dans un état de repos absolu, par exemple quand on dort. Donc le plus efficace à mon sens, c'est de revenir à sa respiration. Commencez à remettre de l'attention sur votre respiration pour calmer et... envoyer le signal à votre corps tout entier et à votre cerveau que tout va bien. Mais encore une fois, si vous voulez d'autres pratiques, écrivez-moi et je vous les partagerai. Et ça, c'est la base. Le truc numéro un, c'est le cerveau perçoit un danger quand il doit faire quelque chose qu'il n'a jamais fait et il a donc besoin d'être rassuré. Première clé. Puis c'est un peu logique parce que prendre des décisions quand on est complètement affolé. Je ne suis pas sortie de Saint-Cyr, mais je pense ne pas trop mouiller en vous disant que les décisions prises à la hâte, pas sûr que ce soit les meilleures. Une fois qu'on a fait ça, c'est intéressant de se questionner sur qu'est-ce qui se passe ? Qu'est-ce qui fait que ce qui t'a motivé il y a une seconde te descend en flèche, te plombe au sol, quelques secondes plus tard ? Une des raisons qui peut l'expliquer, et c'est une nouvelle clé, c'est que ça te renvoie à ton point de départ, à toi. C'est une phrase que j'adore répéter mais qui est très puissante. Ne compare pas ton intérieur à l'extérieur des autres. Cette phrase peut paraître un peu anodine, mais elle est tellement puissante parce que ton intérieur à toi, t'entends tout ce que tu te racontes. Tu connais tous tes secrets, tu connais tous tes recoins, tu connais toutes tes casseroles. Et t'es en train de comparer ça un extérieur qui paraît parfait. C'est d'ailleurs le gros point noir des réseaux sociaux, c'est qu'on ne sait rien de ce qui se passe dans la tête, dans le cœur et dans le corps des gens qu'on envie. Et tu es en train de comparer un truc qui est complètement incomparable. Déjà, tu te compares aux autres, chaud, mais en plus, tu compares quelque chose dont tu connais absolument tout. à quelque chose dont tu ne sais absolument rien, si ce n'est ce que tu vois. Donc cette phrase, elle peut t'aider déjà à revenir à « ok, moi j'en suis où ? » Parce que ce qui m'intéresse quand l'extérieur fait beaucoup de bruit, c'est qu'on revienne à l'intérieur. Et à ce moment-là, j'ai besoin que tu reviennes à ton point de départ. Parce qu'il faut bien que tu te dises un truc. C'est que ces gens-là, tu les vois à la télé, mais ces gens-là... Ils en étaient là où toi t'en es, à un moment donné de leur vie. Et du coup, ce qui est intéressant, c'est que si tu veux te comparer, d'abord, sors du fantasme. Va voir ton point de départ. C'est quoi ton point de départ ? Ton point de départ, quand je dis ça, c'est aujourd'hui t'en es où ? Et qu'est-ce qui te sépare de cette version de toi que t'imagines à la télé, que tu visualises à la télé, que tu as envie d'être à la télé ? Il y a quoi entre cette version de toi qu'on va appeler la version A et cette version qui te donne envie que tu vois à la télé ? qui est, disons, ta version de toi 2.0. Elle n'est pas meilleure, elle est différente. Parce que ce que tu fais aujourd'hui, c'est différent de ce que tu as à faire pour accéder à cette version 2.0. Et c'est un truc qu'une de mes clientes m'a dit parfaitement. C'est que quand elle passait son temps à se dire « il faut que je devienne la meilleure version de moi-même » , ça la faisait méga stressée. Parce qu'elle avait l'impression qu'elle ne devait surtout pas se tromper dans les actions qu'elle aurait à mener. Un peu comme s'il y avait une recette magique à suivre pour arriver à être cette version d'elle qu'elle a envie d'être. Mais ce n'est pas du tout ça. Il n'y a pas de recette magique. Il y a seulement une version que toi, tu peux créer en suivant justement cette envie, justement cette signal de « là, il y a des papillons dans le ventre » . Là, il y a de l'enthousiasme. Là, il y a un truc qui te fait kiffer. Ça ne veut pas dire que ce sera facile. Ça veut juste dire que tu es invité à suivre les indices qui se trouvent à l'intérieur de toi, à savoir les petits coups de cloche qui font « Gling, gling, gling, gling, gling ! » C'est par ici qu'on kiffe. « Gling, gling, gling, gling, gling ! » C'est par ici qu'on prend du plaisir à être qui on est. Donc, prends un papier, prends un crayon. Trace de colonne. Dans la colonne A, on est aujourd'hui. Et dans la colonne B, on est quand tu veux. Mais en tout cas, on est 2.0 et on est à la télé en train de participer à cette émission. Et ce qui est intéressant, c'est que tu vas pouvoir te demander, et c'est là que j'adore vous coacher, parce que c'est là que je vous invite à prendre votre responsabilité, parce que là, on est en train de prendre sa responsabilité, en écoutant ses envies et en se demandant comment on peut les satisfaire. Et tu vas pouvoir te lister ce que tu aurais comme action concrète à faire aujourd'hui pour pouvoir arriver à être dans cette télé. Qu'est-ce que tu peux faire dès aujourd'hui pour être à un moment donné dans cette télé ? Et là, amuse-toi parce qu'en fait, à nouveau, il n'y a pas de recette magique. Et le truc qui sera le plus efficace... Ce n'est pas forcément le truc que tout le monde fait. C'est ce qui, toi, te fera progresser, t'amuser, kiffer. Ça, c'est intéressant. Va me chercher les étapes, les actions qui vont faire que tu vas aimer ton quotidien. Tu vas aimer le temps qui te sépare de ce moment 2.0 et qui va faire que tu vas devenir ta propre créatrice de cette version de toi. enthousiasmer. C'est pas trop stylé de se dire ça. C'est pas trop stylé de se dire que cet enthousiasme que tu perçois déjà dans ton corps, c'est toi aussi qui vas pouvoir le rendre réel. Mais moi, c'est ma passion. Et d'ailleurs, c'est ça mon métier. C'est de vous tenir la main pendant qu'on réfléchit à ce plan, qu'on le rend concret et qu'on te fait suivre pour pouvoir incarner cette version 2.0. Trop stylé. Il y a un truc que j'ai besoin de te rappeler quand tu es en train de bûcher sur ces deux colonnes, c'est qu'au plus tu vas écouter ces petits papillons, au plus tu vas les suivre, au plus tu vas faire du toi, au plus ça va aller vite. Ne cherche pas à faire du parfait. Ne cherche pas à faire du raisonnable. Ne cherche pas à faire du parfait parce qu'on est en train d'aller chercher le progrès. On s'en fout du parfait. Et ça, ça m'amène à une troisième clé qui est hyper importante et qui te différencie d'ailleurs Alice de potentiellement une autre designer qui elle a suivi cet enthousiasme. C'est que quand tu cherches la perfection, quand tu cherches à rester dans un cadre très précis, quand tu crois qu'il existe une recette particulière, tu as ce qu'on appelle un fixed mindset. Un mindset, un état d'esprit qui est figé. Un état d'esprit qui essaie de se conformer à ce qu'il connaît, à ce qu'il croit être la voie sacrée. Mais ça, c'est tellement casse-gueule. Parce qu'encore une fois, si ça existait, ce genre de truc, s'il y avait un plan d'action unique, figé, parfait qui existait, mais on serait tous en train de le suivre, les gars. Et ça, en fait, ce mindset figé, qui va te couper de ton enthousiasme, tu vas très vite le sentir. Dès que tu essaies de faire autre chose que faire du toi, tu vas le sentir. Ton enthousiasme, il va dropper. Ton énergie, elle va se plomber. Tu vas procrastiner, tu vas ruminer. Alors que quand tu veilles à te garder dans faire du toi, et ça paraît hyper abstrait, mais en fait, c'est se cantonner à qu'est-ce qui t'amuse ? Qu'est-ce qui te fait kiffer ? Qu'est-ce qui rallume la lumière en toi ? Et ça, c'est ce qu'on appelle avoir... un growth mindset, un état d'esprit porté sur la croissance. Pourquoi ? Parce qu'en fait, tu vas t'affranchir de ce que tu es censé faire et tu vas être obnubilé par trouver ce qui va te faire avancer. Faire ce que tu as envie de faire, qui t'amènera à l'étape d'après et qui va t'amener à de la croissance, à du progrès. Parce qu'encore une fois, si tu repenses à la clé juste avant, Moi, ce qui m'intéresse, c'est que tu puisses te poser la question de qu'est-ce que je peux faire pour me rapprocher progressivement de ma version 2.0 ? Pas qu'est-ce qu'il faut que je fasse, mais qu'est-ce que j'ai envie de faire ? Ça, c'est du growth mindset. C'est de la progression, c'est de la croissance. Tu dois être obsédé par progresser. Tu dois être obsédé par les petits pas. qui vont te rapprocher de ce que tu veux. La puissance d'être dans un growth mindset, c'est que tu ne te désolidarises pas de toi. C'est que tu ne cherches pas à faire autre chose que ce que tu es, que ce que tu aimes, que ce qui te fait vibrer. Et surtout, tu ne prétends pas être ailleurs que là où tu en es. Tu as juste envie de bouffer le monde, d'apprendre un max de trucs, pour pouvoir à un moment donné te dire, vas-y, cap ! On va à ce TV show. Il y a une phrase qui m'est venue en anglais. Bon, vous le savez, souvent j'utilise du franglish et désolé pour ceux que ça ennuie profondément. Mais la phrase qui m'est venue quand Alice m'a sollicité, c'est « Les personnes que tu regardes dans la télé, ils n'ont pas prétendu être autre chose que ce qu'ils sont et où ils en sont. Ils se sont juste dit « Ok, you know what ? I'm gonna give it a shot. Je vais m'amuser et je vais aller dans ce TV show. » Quand vous regardez et prenez le temps de le faire, les gens qui vous inspirent, ce n'est pas des gens qui s'ennuient à suivre les règles. Les gens qui vous inspirent, en tout cas, je parle pour moi, mais les gens qui m'inspirent, c'est des gens qui prennent profondément du plaisir à faire ce qu'ils font. Et je peux même regarder d'ailleurs Thomas Pesquet. Thomas Pesquet qui fait un truc qui, moi, ne me met pas du tout des étoiles dans les yeux. Je trouve ça absolument dingo, mais je ne l'envie pas. Mais pour autant, ça m'éclate de le regarder dans cette station spatiale parce qu'en fait, le mec, il est en plein kiff. La phrase qui me revient, c'est « They did not try to be perfect. They did what they had to do to progress. They did what they had to do to grow. » Reconnecte-toi à cette part d'enfant que tu as à l'intérieur de toi qui tout de suite a reconnu que c'était son terrain de jeu, cette TV show, et amuse-toi ! amuse-toi pour te rapprocher de cette version 2.0. Quand tu arrives à faire ça, tu te reconnectes aussi à ton but. Le but, c'est quoi ? Est-ce que le but, c'est de gagner cette TV show ? Oui, quelque part, il y a ce truc-là. Mais le premier but, c'est surtout, vas-y, on essaye parce qu'en fait, on va voir si ça nous amuse. Quand je coach quelqu'un, mon but, ce n'est pas d'être la meilleure coach. Mon but, c'est d'amener ma cliente là où elle veut. Mon but, c'est que ma cliente se reconnecte avec son intérieur et qu'elle reprenne confiance en elle, en ses sensations et en ce qui lui fait plaisir. Ce n'est pas une question d'être la meilleure. Quand tu vois que tu pars trop dans ta tête, dans « Ah, mais je n'y arriverai pas, et puis ils sont meilleurs que moi, et puis ils sont trop stylés » , reviens à toi. Le but, c'est de vivre une vie qui te fait kiffer. En tout cas, moi, je suis obsédée par me réveiller le matin en ayant hâte. Je suis obsédée par ce sentiment qui m'anime quand je sais que j'ai une séance dans l'après-midi et que je vais pouvoir faire avoir des déclics à ma cliente qui vont la faire repartir de ma séance au mode « Ok, c'est parti ! » Et d'ailleurs, Alice, on a eu la chance de partager une séance Boost ensemble, qui est une séance ponctuelle. Et rappelle-toi de ce que tu m'as dit. Tu m'as dit « Watch me, fuckers ! » Oui, va te reconnecter avec cette sensation-là, avec cet élan de vie. qui t'appelle juste à faire des trucs qui te font envie. Et je peux t'assurer, je peux te garantir que si tu suis... Cet élan-là, être la meilleure, gagner, impressionner, c'est ce qui t'attend. Quand tu fais ce que tu aimes, quand tu fais profondément ce qui t'anime, tu deviens magnétique. C'est une certitude. À nouveau, regardez les gens qui vous impressionnent. Ce ne sont pas des gens qui cherchent à faire parfait. Ce sont des gens qui font ce qu'ils aiment et qui, d'ailleurs c'est marrant, sont beaucoup plus attachants. Quand ils montrent qu'ils ne sont pas parfaits, quand ils montrent que parfois ils n'y arrivent pas et qu'ils montrent qu'en fait ils ne lâchent rien et qu'ils continuent d'avancer. Ça, c'est hyper impressionnant, c'est hyper inspirant et c'est magnétique. Donc encore une fois, ne cherche pas à être parfaite, cherche à faire du toi. Et puis, quand tu sors du fantasme comme ça, et justement que tu te rends compte que les gens que tu admires, que les gens que tu regardes à la télé, que les gens qui t'inspirent, ils ne sont pas parfaits. Ça te passe un autre message qui, à mon sens, est essentiel, c'est que ces gens-là, ils sont comme toi. Donc dis-toi bien que si tu les vois à la télé aujourd'hui, c'est qu'il y a quelque temps en arrière, ils étaient à ta place. Ils étaient face à leurs doutes, ils étaient face à leurs peurs, et eux aussi, ils regardaient leur télé certainement en se disant « C'est tellement stylé, mais c'est tellement flippant ! » Et la seule chose qui les a différenciés de toi, c'est leur réaction face à leurs doutes, face à leur peur et face à leur propre point de départ. Eux aussi, ils ont certainement eu ce point où ils se sont dit « Oh, c'est pas du tout pour moi, c'est pas possible » . Sauf qu'ils ne se sont pas arrêtés là. Ils se sont peut-être dit cette phrase que moi je me dis en permanence, c'est « Tu subis que ce que tu tolères » . Je veux qu'aujourd'hui, Alice, quand tu m'écoutes, et vous tous et toutes qui m'écoutez, je veux que ce genre de discours intérieur soit intolérable. Je refuse que vous subissiez ce propre comportement qui est le vôtre. Mettez-y un terme en décidant que c'est intolérable. Ça, ça va faire la différence. Ça, ça va faire la différence parce que vous allez vous connecter à l'intérieur de vous. Vous allez construire de l'estime de vous. Parce qu'il faut vachement d'estime de soi pour se dire non, je ne tolérerai pas une minute de plus ce discours intérieur qui me fait défaut. C'est ça de l'estime de soi. L'estime de soi, c'est trois choses. L'estime de soi, c'est... La confiance en soi. La confiance en soi, c'est la certitude que vous avez toutes les ressources à l'intérieur de vous pour surmonter quoi qu'il survienne sur votre route. L'estime de soi, c'est aussi de l'amour de soi. Et c'est de l'amour inconditionnel. C'est-à-dire que, Alice, si tu t'inscris à cette émission et que tu n'es même pas sélectionnée à la première étape, tu t'aimeras quand même. Et dernière chose qu'elle estime de soi, c'est l'image de soi. C'est l'image que les autres nous renvoient de nous-mêmes et avec laquelle on est aligné, on se sent à l'aise. J'ai fait d'ailleurs un épisode de podcast pour chacun de ces piliers de l'estime de soi. Donc ce que je veux dire, c'est que quand tu refuses de tolérer ce discours intérieur qui te déprécie, t'es en train de renforcer ton estime de toi. Et t'es surtout en train de t'envoyer le signal le plus précieux du monde qui est tu as tout à l'intérieur de toi. Tu as tout ce qu'il faut pour devenir cette personne qu'aujourd'hui tu envies. La seule chose qu'il est impératif que tu fasses, je veux que tu arrêtes de souhaiter être quelqu'un d'autre. Arrêtez de vouloir être quelqu'un d'autre. Arrêtez de croire que les autres feraient mieux que vous. Reconnectez-vous à vous-même, prenez conscience du potentiel énorme que vous êtes et que vous avez déjà à l'intérieur de vous, et allez-y. Dans le passage à l'action, il y a trois pièges et ça me semble à propos de vous les rappeler pour ne surtout pas tomber dedans. Bon, le tout premier, on le sait, c'est la peur. Quand il y a de la peur, il y a de l'envie parce qu'il y a des choses en jeu qui vous tiennent à cœur. Donc surtout, c'est à ce moment précis qu'il vous faudra être intransigeante et intransigeant sur non. Je refuse de m'arrêter parce que j'ai peur. Le deuxième piège, c'est un pas qui est trop grand. Je suis sûre que vous l'avez déjà vu cette image, c'est celle d'une échelle qui normalement a plein de barreaux, dont la distance entre les barreaux est parfaitement pensée pour que l'effort ne soit pas difficile. Et sauf qu'au lieu d'avoir autant de barreaux là, vous n'avez que deux barreaux et le premier il est à deux mètres du sol. C'est un piège et ça veut dire que c'est le signal pour redécouper vos actions en actions plus petites. Donc, retournez voir vos colonnes et assurez-vous que les actions que vous avez listées, elles soient enclenchables rapidement. Souvent, je fais cette comparaison avec le premier kilo qu'on perd quand on fait un régime. Ce petit kilo qu'on perd rapido, il nous aide à être en mouvement et à continuer. C'est une récompense intermédiaire avant d'arriver à son objectif pour rester en chemin. Parce qu'on n'est pas des machines et que franchement... continuer à tracer sa route sans aucune reconnaissance, sans aucune récompense, c'est vachement difficile. Donc, assurez-vous d'avoir des actions qui sont suffisamment découpées en petits pas. Généralement, ce que j'aime bien dire à mes clientes, c'est que dans un bon plan d'action, il y a au moins une action qui prend moins de deux minutes. Le troisième piège, c'est le manque de clarté. En l'occurrence, pour Alice, c'est hyper clair parce que les personnes, elle les a vues à la télé, elle sait comment s'appelle l'émission, elle sait en quoi ça consiste et ça paraît limpide. Mais pour d'autres, ce n'est pas le cas. Donc, quand on n'a pas une image claire de là où on veut arriver, c'est vachement difficile de se mettre en mouvement. Assurez-vous de pouvoir vous poser la question de où vous voulez arriver ou à minima de vous demander comment vous voulez vous sentir. Je me souviens que quand je voulais changer de métier parce que j'étais un peu à l'étroit dans le mien, j'avais aucune idée que mon futur métier ce serait coach. En revanche, je savais que je voulais me sentir exactement comme je me sens quand je lis et que j'apprends à propos du développement personnel. Cet état de flot, je l'avais déjà vécu. Donc je savais que je voulais me sentir comme ça. Donc, essayez de préciser le plus possible et de ramener de la clarté. Je sais que c'est un truc qui est assez difficile. Et d'ailleurs, la plupart de mes clientes, quand elles viennent me voir, elles se sentent perdues. Et c'est assez difficile parce que quand on est trop longtemps resté dans une vie ou dans un quotidien qui ne nous va pas, on a complètement perdu confiance en ses ressentis. On n'est plus très au fait de ce qu'on est censé ressentir, de comment on se sent quand on se sent bien. On n'est plus très au clair de « est-ce qu'on peut faire confiance à ça ? » « Est-ce qu'on peut avoir confiance en soi ? » On est un peu dans le flou. Donc si c'est votre cas, je vous invite à aller voir un des tout premiers épisodes que j'ai fait. Je crois que c'est l'épisode 2 ou un truc comme ça, je pourrais vérifier et vous le mettre dans le descriptif du podcast. Mais c'est « reprendre contact avec soi et réapprendre à s'écouter » . On parle d'ancrage en fait. Comment retrouver son ancrage ? Ce sont les trois pièges. La peur, les actions qui sont trop grandes et donc trop effrayantes, et le manque de clarté. Et j'aurais pu ajouter une dernière clé dans ce podcast. J'aurais pu te dire, Alice, en vrai, coupe ta télé. Arrête de regarder cette émission. Passe à autre chose. Et c'est ce que j'aurais tendance à vous dire si vous avez cette même réaction quand vous êtes sur les réseaux sociaux. et que vous voyez des profils qui, au lieu de vous inspirer, vous plombent au sol. Oui, ça je peux vous le dire, désabonnez-vous, c'est pas fait pour ça. Rappelez-vous qu'on ne comporte pas son intérieur aux extérieurs des autres. Mais j'ai pas envie de te le dire Alice, parce que si ça t'a filé des papillons dans le ventre, si à un moment donné t'as eu envie de participer à cette émission et de toi aussi faire partie de ces gens qui t'inspirent, C'est pour une bonne raison. C'est parce qu'à l'intérieur de toi, t'as déjà ce qu'il faut. Ton âme sait que t'as la possibilité de vivre exactement ce que ces personnes vivent à la télé dans cette émission. En manifestation, on dirait qu'il y a une version de toi à un autre moment, dans une réalité parallèle, qui a déjà vécu ça, qui est déjà en train de le vivre, et qui du coup... est en train de t'envoyer des signaux pour que toi aussi tu oses. Et franchement, je refuse que tu abdiques avant même d'avoir essayé. Je refuse que tu coupes court à cette envie, capiche ? Donc Alice, si tu m'écoutes et vous toutes, vous tous, si vous ressentez ça, si vous sentez que ce feu s'est allumé à un moment donné, je refuse que vous y coupiez court. Pour la simple et bonne raison que je refuse que dans plusieurs années, vous regardiez en arrière en vous disant, pétard, j'aurais au moins dû essayer. Je refuse. Donc je vous embrasse très fort. Alice, merci infiniment d'avoir déposé cette suggestion d'épisode parce que je me suis régalée à le faire. Continuez d'ailleurs à le faire parce que vous êtes mes meilleures inspirations. Et surtout, je sais que ce podcast, il change déjà vos vies. Donc pourquoi vous en priver ? Faites-moi ce cadeau et faites-vous ce cadeau d'aller chercher des réponses et des clés que je suis ravie de vous donner. Je vous dis à dans deux semaines.

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Description

Tu envies les autres à tel point que ça finit par te démotiver complètement ?
Pas de panique, tu n'es pas seule et surtout, il y a des solutions !
Dans cet épisode, inspiré par Alice (merci encore pour ta contribution!), on décrypte ces sensations de blocage et on les lève évidemment.


Je te donne les clés pour : 

. Comprendre pourquoi ta réaction est normale,
. Élaborer des stratégies simples & concrètes pour transformer cette pression en action,
. Nommer les pièges qui freinent ta progression,
. Et surtout identifier LA CLÉ pour retrouver ton inspiration & ta confiance ! 


Le but ultime ?
Te reconnecter à ton enthousiasme, à ce qui te fait vraiment vibrer, et arrêter de te comparer à l'extérieur des autres. Fais du toi, et tu seras magnétique, c'est garanti !


Bonne écoute, et surtout, respire... tu as déjà tout ce qu'il faut en toi 💛 


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Si tu as aimé cet épisode, n'hésite pas à me le dire, à le partager en story ou à tes proches en me taguant et même à laisser 5 étoiles & un commentaire sur Apple Podcast, ça met du vent dans mes voiles. 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Je suis Sarah, coach de vie certifiée, mentor et podcasteuse, pétard que j'adore cette introduction, et je suis surtout en mission pour accompagner les personnes qui ont la vilaine impression de ne pas être pleinement elles-mêmes. Un peu comme si vous viviez une vie en étant un personnage en noir et blanc, alors qu'on sait tous que vous êtes un humain haut en couleur. J'ai imaginé ce podcast pour vous, en co-construction avec vous, et j'y aborde donc des problématiques qui m'ont touchée, ou des thèmes que vous me soufflez au préalable. L'ambition du podcast est triple. 1. À défaut de tous vous coacher individuellement, je veux vous livrer des outils et des clés à dégainer dans votre quotidien. 2. En vous exposant mon point de vue, Je vous invite à vous questionner et à envisager une perspective différente et j'espère enrichissante. Et 3. J'espère vous donner une envie irrépressible et urgente de retrouver toutes vos couleurs et votre joie de vivre. Bonne écoute ! Je suis ravie de vous retrouver pour un nouvel épisode de podcast que je vais consacrer à répondre à Alice. Alice qui m'a contactée, qui est designer d'intérieur. et qu'il y a une super copine qui l'a appelée en lui disant « J'ai vu cette émission, il faut absolument que tu participes. » La pensée est ultra amicale, ultra flatteuse, et pourtant, Alice l'a hyper mal pris. Enfin plutôt, dans son cerveau, ça a fait « Oh, mais oui ! Évidemment que je veux participer à cette émission qui a l'air beaucoup trop stylée ! » Et puis cinq secondes plus tard, dans ce même cerveau, à propos de cette même participation, à cette même émission, La motivation d'Alice est tombée en flèche. Je ne suis pas capable, je n'y arriverai jamais, et puis les autres sont beaucoup plus stylés, bla bla bla bla bla. Motivation écroulée, self-esteem à moins 100 000, alors elle a eu la bonne idée d'appuyer sur la petite cloche et de demander des clés. Qu'est-ce qu'on fait quand les autres nous donnent hyper envie et qu'on se sent totalement nul ? On va y aller point par point ? Comme d'habitude, mais la première chose que j'ai envie de vous dire, c'est tu n'as pas le droit de faire comme si tu n'avais pas ressenti cette envie qui déborde. Tu n'as pas le droit de croire à l'histoire que tu te racontes qui dit « Non, mais de toute façon, je ne suis pas du tout capable. » Ça, ce n'est pas possible. Je refuse. Donc, je vais t'aider. Première clé, ta réaction est normale. Ta réaction... est tout à fait normal. Ton cerveau, quand ton ami te propose cette émission, la première chose, c'est « Oh, c'est trop stylé ! » Et oui, parce qu'à l'intérieur de toi, si ça te fait envie, c'est que tu peux le vivre. C'est-à-dire que, par exemple, pour moi, tu me parles de cette émission avec que des designers d'intérieur, il n'y a rien qui se passe. Ça n'allume pas la lumière, j'ai pas de papillons dans le ventre, ça ne me fait pas envie. Pour la simple et bonne raison que ce n'est pas pour moi. Petit 2, ton cerveau fait parfaitement son job. Tu ne l'as jamais fait avant. Donc lui, il voit un danger énorme. Et quand il voit un danger, étant donné que son boulot, c'est de te maintenir en sécurité, qu'est-ce qu'il fait ? Il appuie sur tous les boutons qu'il trouve. Des boutons pour te ramener dans ta zone connue, dans ta zone de confort. C'est ce même cerveau qui va te tenir à distance de ce qu'on appelle ta zone d'évolution. Et pour le reconnaître, ta zone d'évolution, tu te fies exactement à ce qui s'est passé dans les premières secondes, cet enchantement, cette excitation, cet enthousiasme que tu as ressenti. Ça, c'est le signal. Ton cerveau, il fait juste son boulot de te prévenir que ce truc-là, vous ne l'avez jamais fait. Et que si tu devais le faire là maintenant tout de suite, si ça se trouve, tu n'es pas prête. Mais ça ne veut en aucun cas dire qu'il ne faut pas le faire. Donc, qu'est-ce qu'on fait dans ce cas-là ? On se dissocie de son égo. C'est la base dans le développement personnel. Arrêtez de croire tout ce que raconte ton cerveau. Comment on fait ? Il y a plein de manières de le faire. Mais la manière que moi, je préfère, donc je vais parler de celle-là parce que c'est celle que je maîtrise le plus, c'est de te rendre compte que ton cerveau, ce n'est pas toi. Ton cerveau, il fait avec ce qu'il connaît. C'est le fameux système 1 dont je vous ai parlé dans l'épisode précédent. Si tu veux... Ton cerveau, c'est comme s'il avait une carte et qu'il regardait tous les chemins qui sont déjà tracés sur cette carte. Et si le chemin que tu t'apprêtes à emprunter ne figure pas sur cette carte, alors il est en flic total. Ça veut juste dire qu'il faut lui proposer une nouvelle carte. Et pour ça, la dissociation de ton ego, ça veut dire Gugus. Donc moi, j'aime bien lui donner un nom pour le ridiculiser. Et surtout, pour l'appeler autrement que moi, je m'appelle Gugus. Ça fait peur parce qu'on ne l'a jamais fait, mais t'inquiète, ça va bien se passer. Rassure-le, rassure-toi. Pour me rassurer, donc pour réguler mon système nerveux, j'utilise des pratiques de FT, j'utilise des pratiques de méditation, j'utilise le retour à la respiration consciente, j'utilise tout un tas de pratiques qui vont faire redescendre la pression. Si ça vous intéresse d'ailleurs, vous pouvez m'envoyer le mot pratique. au singulier ou au pluriel, comme vous voulez, sur Instagram. Et je vous enverrai un récapitulatif des pratiques que moi j'utilise. Mais le but, c'est vraiment de faire redescendre la pression. Et vous le savez, du moins si vous m'écoutez souvent, le cerveau ne fait pas la différence entre l'imaginaire et le réel. C'est pour ça qu'il ne s'est encore rien passé. Vous n'êtes pas encore passé à la télé. Enfin, Alice, tu n'es pas encore passé à la télé. en flip total. Le cerveau, il va se baser sur la respiration pour savoir si vous êtes tranquille ou si vous n'êtes pas tranquille. Quand on stresse, la respiration est totalement différente de quand on est dans un état de repos absolu, par exemple quand on dort. Donc le plus efficace à mon sens, c'est de revenir à sa respiration. Commencez à remettre de l'attention sur votre respiration pour calmer et... envoyer le signal à votre corps tout entier et à votre cerveau que tout va bien. Mais encore une fois, si vous voulez d'autres pratiques, écrivez-moi et je vous les partagerai. Et ça, c'est la base. Le truc numéro un, c'est le cerveau perçoit un danger quand il doit faire quelque chose qu'il n'a jamais fait et il a donc besoin d'être rassuré. Première clé. Puis c'est un peu logique parce que prendre des décisions quand on est complètement affolé. Je ne suis pas sortie de Saint-Cyr, mais je pense ne pas trop mouiller en vous disant que les décisions prises à la hâte, pas sûr que ce soit les meilleures. Une fois qu'on a fait ça, c'est intéressant de se questionner sur qu'est-ce qui se passe ? Qu'est-ce qui fait que ce qui t'a motivé il y a une seconde te descend en flèche, te plombe au sol, quelques secondes plus tard ? Une des raisons qui peut l'expliquer, et c'est une nouvelle clé, c'est que ça te renvoie à ton point de départ, à toi. C'est une phrase que j'adore répéter mais qui est très puissante. Ne compare pas ton intérieur à l'extérieur des autres. Cette phrase peut paraître un peu anodine, mais elle est tellement puissante parce que ton intérieur à toi, t'entends tout ce que tu te racontes. Tu connais tous tes secrets, tu connais tous tes recoins, tu connais toutes tes casseroles. Et t'es en train de comparer ça un extérieur qui paraît parfait. C'est d'ailleurs le gros point noir des réseaux sociaux, c'est qu'on ne sait rien de ce qui se passe dans la tête, dans le cœur et dans le corps des gens qu'on envie. Et tu es en train de comparer un truc qui est complètement incomparable. Déjà, tu te compares aux autres, chaud, mais en plus, tu compares quelque chose dont tu connais absolument tout. à quelque chose dont tu ne sais absolument rien, si ce n'est ce que tu vois. Donc cette phrase, elle peut t'aider déjà à revenir à « ok, moi j'en suis où ? » Parce que ce qui m'intéresse quand l'extérieur fait beaucoup de bruit, c'est qu'on revienne à l'intérieur. Et à ce moment-là, j'ai besoin que tu reviennes à ton point de départ. Parce qu'il faut bien que tu te dises un truc. C'est que ces gens-là, tu les vois à la télé, mais ces gens-là... Ils en étaient là où toi t'en es, à un moment donné de leur vie. Et du coup, ce qui est intéressant, c'est que si tu veux te comparer, d'abord, sors du fantasme. Va voir ton point de départ. C'est quoi ton point de départ ? Ton point de départ, quand je dis ça, c'est aujourd'hui t'en es où ? Et qu'est-ce qui te sépare de cette version de toi que t'imagines à la télé, que tu visualises à la télé, que tu as envie d'être à la télé ? Il y a quoi entre cette version de toi qu'on va appeler la version A et cette version qui te donne envie que tu vois à la télé ? qui est, disons, ta version de toi 2.0. Elle n'est pas meilleure, elle est différente. Parce que ce que tu fais aujourd'hui, c'est différent de ce que tu as à faire pour accéder à cette version 2.0. Et c'est un truc qu'une de mes clientes m'a dit parfaitement. C'est que quand elle passait son temps à se dire « il faut que je devienne la meilleure version de moi-même » , ça la faisait méga stressée. Parce qu'elle avait l'impression qu'elle ne devait surtout pas se tromper dans les actions qu'elle aurait à mener. Un peu comme s'il y avait une recette magique à suivre pour arriver à être cette version d'elle qu'elle a envie d'être. Mais ce n'est pas du tout ça. Il n'y a pas de recette magique. Il y a seulement une version que toi, tu peux créer en suivant justement cette envie, justement cette signal de « là, il y a des papillons dans le ventre » . Là, il y a de l'enthousiasme. Là, il y a un truc qui te fait kiffer. Ça ne veut pas dire que ce sera facile. Ça veut juste dire que tu es invité à suivre les indices qui se trouvent à l'intérieur de toi, à savoir les petits coups de cloche qui font « Gling, gling, gling, gling, gling ! » C'est par ici qu'on kiffe. « Gling, gling, gling, gling, gling ! » C'est par ici qu'on prend du plaisir à être qui on est. Donc, prends un papier, prends un crayon. Trace de colonne. Dans la colonne A, on est aujourd'hui. Et dans la colonne B, on est quand tu veux. Mais en tout cas, on est 2.0 et on est à la télé en train de participer à cette émission. Et ce qui est intéressant, c'est que tu vas pouvoir te demander, et c'est là que j'adore vous coacher, parce que c'est là que je vous invite à prendre votre responsabilité, parce que là, on est en train de prendre sa responsabilité, en écoutant ses envies et en se demandant comment on peut les satisfaire. Et tu vas pouvoir te lister ce que tu aurais comme action concrète à faire aujourd'hui pour pouvoir arriver à être dans cette télé. Qu'est-ce que tu peux faire dès aujourd'hui pour être à un moment donné dans cette télé ? Et là, amuse-toi parce qu'en fait, à nouveau, il n'y a pas de recette magique. Et le truc qui sera le plus efficace... Ce n'est pas forcément le truc que tout le monde fait. C'est ce qui, toi, te fera progresser, t'amuser, kiffer. Ça, c'est intéressant. Va me chercher les étapes, les actions qui vont faire que tu vas aimer ton quotidien. Tu vas aimer le temps qui te sépare de ce moment 2.0 et qui va faire que tu vas devenir ta propre créatrice de cette version de toi. enthousiasmer. C'est pas trop stylé de se dire ça. C'est pas trop stylé de se dire que cet enthousiasme que tu perçois déjà dans ton corps, c'est toi aussi qui vas pouvoir le rendre réel. Mais moi, c'est ma passion. Et d'ailleurs, c'est ça mon métier. C'est de vous tenir la main pendant qu'on réfléchit à ce plan, qu'on le rend concret et qu'on te fait suivre pour pouvoir incarner cette version 2.0. Trop stylé. Il y a un truc que j'ai besoin de te rappeler quand tu es en train de bûcher sur ces deux colonnes, c'est qu'au plus tu vas écouter ces petits papillons, au plus tu vas les suivre, au plus tu vas faire du toi, au plus ça va aller vite. Ne cherche pas à faire du parfait. Ne cherche pas à faire du raisonnable. Ne cherche pas à faire du parfait parce qu'on est en train d'aller chercher le progrès. On s'en fout du parfait. Et ça, ça m'amène à une troisième clé qui est hyper importante et qui te différencie d'ailleurs Alice de potentiellement une autre designer qui elle a suivi cet enthousiasme. C'est que quand tu cherches la perfection, quand tu cherches à rester dans un cadre très précis, quand tu crois qu'il existe une recette particulière, tu as ce qu'on appelle un fixed mindset. Un mindset, un état d'esprit qui est figé. Un état d'esprit qui essaie de se conformer à ce qu'il connaît, à ce qu'il croit être la voie sacrée. Mais ça, c'est tellement casse-gueule. Parce qu'encore une fois, si ça existait, ce genre de truc, s'il y avait un plan d'action unique, figé, parfait qui existait, mais on serait tous en train de le suivre, les gars. Et ça, en fait, ce mindset figé, qui va te couper de ton enthousiasme, tu vas très vite le sentir. Dès que tu essaies de faire autre chose que faire du toi, tu vas le sentir. Ton enthousiasme, il va dropper. Ton énergie, elle va se plomber. Tu vas procrastiner, tu vas ruminer. Alors que quand tu veilles à te garder dans faire du toi, et ça paraît hyper abstrait, mais en fait, c'est se cantonner à qu'est-ce qui t'amuse ? Qu'est-ce qui te fait kiffer ? Qu'est-ce qui rallume la lumière en toi ? Et ça, c'est ce qu'on appelle avoir... un growth mindset, un état d'esprit porté sur la croissance. Pourquoi ? Parce qu'en fait, tu vas t'affranchir de ce que tu es censé faire et tu vas être obnubilé par trouver ce qui va te faire avancer. Faire ce que tu as envie de faire, qui t'amènera à l'étape d'après et qui va t'amener à de la croissance, à du progrès. Parce qu'encore une fois, si tu repenses à la clé juste avant, Moi, ce qui m'intéresse, c'est que tu puisses te poser la question de qu'est-ce que je peux faire pour me rapprocher progressivement de ma version 2.0 ? Pas qu'est-ce qu'il faut que je fasse, mais qu'est-ce que j'ai envie de faire ? Ça, c'est du growth mindset. C'est de la progression, c'est de la croissance. Tu dois être obsédé par progresser. Tu dois être obsédé par les petits pas. qui vont te rapprocher de ce que tu veux. La puissance d'être dans un growth mindset, c'est que tu ne te désolidarises pas de toi. C'est que tu ne cherches pas à faire autre chose que ce que tu es, que ce que tu aimes, que ce qui te fait vibrer. Et surtout, tu ne prétends pas être ailleurs que là où tu en es. Tu as juste envie de bouffer le monde, d'apprendre un max de trucs, pour pouvoir à un moment donné te dire, vas-y, cap ! On va à ce TV show. Il y a une phrase qui m'est venue en anglais. Bon, vous le savez, souvent j'utilise du franglish et désolé pour ceux que ça ennuie profondément. Mais la phrase qui m'est venue quand Alice m'a sollicité, c'est « Les personnes que tu regardes dans la télé, ils n'ont pas prétendu être autre chose que ce qu'ils sont et où ils en sont. Ils se sont juste dit « Ok, you know what ? I'm gonna give it a shot. Je vais m'amuser et je vais aller dans ce TV show. » Quand vous regardez et prenez le temps de le faire, les gens qui vous inspirent, ce n'est pas des gens qui s'ennuient à suivre les règles. Les gens qui vous inspirent, en tout cas, je parle pour moi, mais les gens qui m'inspirent, c'est des gens qui prennent profondément du plaisir à faire ce qu'ils font. Et je peux même regarder d'ailleurs Thomas Pesquet. Thomas Pesquet qui fait un truc qui, moi, ne me met pas du tout des étoiles dans les yeux. Je trouve ça absolument dingo, mais je ne l'envie pas. Mais pour autant, ça m'éclate de le regarder dans cette station spatiale parce qu'en fait, le mec, il est en plein kiff. La phrase qui me revient, c'est « They did not try to be perfect. They did what they had to do to progress. They did what they had to do to grow. » Reconnecte-toi à cette part d'enfant que tu as à l'intérieur de toi qui tout de suite a reconnu que c'était son terrain de jeu, cette TV show, et amuse-toi ! amuse-toi pour te rapprocher de cette version 2.0. Quand tu arrives à faire ça, tu te reconnectes aussi à ton but. Le but, c'est quoi ? Est-ce que le but, c'est de gagner cette TV show ? Oui, quelque part, il y a ce truc-là. Mais le premier but, c'est surtout, vas-y, on essaye parce qu'en fait, on va voir si ça nous amuse. Quand je coach quelqu'un, mon but, ce n'est pas d'être la meilleure coach. Mon but, c'est d'amener ma cliente là où elle veut. Mon but, c'est que ma cliente se reconnecte avec son intérieur et qu'elle reprenne confiance en elle, en ses sensations et en ce qui lui fait plaisir. Ce n'est pas une question d'être la meilleure. Quand tu vois que tu pars trop dans ta tête, dans « Ah, mais je n'y arriverai pas, et puis ils sont meilleurs que moi, et puis ils sont trop stylés » , reviens à toi. Le but, c'est de vivre une vie qui te fait kiffer. En tout cas, moi, je suis obsédée par me réveiller le matin en ayant hâte. Je suis obsédée par ce sentiment qui m'anime quand je sais que j'ai une séance dans l'après-midi et que je vais pouvoir faire avoir des déclics à ma cliente qui vont la faire repartir de ma séance au mode « Ok, c'est parti ! » Et d'ailleurs, Alice, on a eu la chance de partager une séance Boost ensemble, qui est une séance ponctuelle. Et rappelle-toi de ce que tu m'as dit. Tu m'as dit « Watch me, fuckers ! » Oui, va te reconnecter avec cette sensation-là, avec cet élan de vie. qui t'appelle juste à faire des trucs qui te font envie. Et je peux t'assurer, je peux te garantir que si tu suis... Cet élan-là, être la meilleure, gagner, impressionner, c'est ce qui t'attend. Quand tu fais ce que tu aimes, quand tu fais profondément ce qui t'anime, tu deviens magnétique. C'est une certitude. À nouveau, regardez les gens qui vous impressionnent. Ce ne sont pas des gens qui cherchent à faire parfait. Ce sont des gens qui font ce qu'ils aiment et qui, d'ailleurs c'est marrant, sont beaucoup plus attachants. Quand ils montrent qu'ils ne sont pas parfaits, quand ils montrent que parfois ils n'y arrivent pas et qu'ils montrent qu'en fait ils ne lâchent rien et qu'ils continuent d'avancer. Ça, c'est hyper impressionnant, c'est hyper inspirant et c'est magnétique. Donc encore une fois, ne cherche pas à être parfaite, cherche à faire du toi. Et puis, quand tu sors du fantasme comme ça, et justement que tu te rends compte que les gens que tu admires, que les gens que tu regardes à la télé, que les gens qui t'inspirent, ils ne sont pas parfaits. Ça te passe un autre message qui, à mon sens, est essentiel, c'est que ces gens-là, ils sont comme toi. Donc dis-toi bien que si tu les vois à la télé aujourd'hui, c'est qu'il y a quelque temps en arrière, ils étaient à ta place. Ils étaient face à leurs doutes, ils étaient face à leurs peurs, et eux aussi, ils regardaient leur télé certainement en se disant « C'est tellement stylé, mais c'est tellement flippant ! » Et la seule chose qui les a différenciés de toi, c'est leur réaction face à leurs doutes, face à leur peur et face à leur propre point de départ. Eux aussi, ils ont certainement eu ce point où ils se sont dit « Oh, c'est pas du tout pour moi, c'est pas possible » . Sauf qu'ils ne se sont pas arrêtés là. Ils se sont peut-être dit cette phrase que moi je me dis en permanence, c'est « Tu subis que ce que tu tolères » . Je veux qu'aujourd'hui, Alice, quand tu m'écoutes, et vous tous et toutes qui m'écoutez, je veux que ce genre de discours intérieur soit intolérable. Je refuse que vous subissiez ce propre comportement qui est le vôtre. Mettez-y un terme en décidant que c'est intolérable. Ça, ça va faire la différence. Ça, ça va faire la différence parce que vous allez vous connecter à l'intérieur de vous. Vous allez construire de l'estime de vous. Parce qu'il faut vachement d'estime de soi pour se dire non, je ne tolérerai pas une minute de plus ce discours intérieur qui me fait défaut. C'est ça de l'estime de soi. L'estime de soi, c'est trois choses. L'estime de soi, c'est... La confiance en soi. La confiance en soi, c'est la certitude que vous avez toutes les ressources à l'intérieur de vous pour surmonter quoi qu'il survienne sur votre route. L'estime de soi, c'est aussi de l'amour de soi. Et c'est de l'amour inconditionnel. C'est-à-dire que, Alice, si tu t'inscris à cette émission et que tu n'es même pas sélectionnée à la première étape, tu t'aimeras quand même. Et dernière chose qu'elle estime de soi, c'est l'image de soi. C'est l'image que les autres nous renvoient de nous-mêmes et avec laquelle on est aligné, on se sent à l'aise. J'ai fait d'ailleurs un épisode de podcast pour chacun de ces piliers de l'estime de soi. Donc ce que je veux dire, c'est que quand tu refuses de tolérer ce discours intérieur qui te déprécie, t'es en train de renforcer ton estime de toi. Et t'es surtout en train de t'envoyer le signal le plus précieux du monde qui est tu as tout à l'intérieur de toi. Tu as tout ce qu'il faut pour devenir cette personne qu'aujourd'hui tu envies. La seule chose qu'il est impératif que tu fasses, je veux que tu arrêtes de souhaiter être quelqu'un d'autre. Arrêtez de vouloir être quelqu'un d'autre. Arrêtez de croire que les autres feraient mieux que vous. Reconnectez-vous à vous-même, prenez conscience du potentiel énorme que vous êtes et que vous avez déjà à l'intérieur de vous, et allez-y. Dans le passage à l'action, il y a trois pièges et ça me semble à propos de vous les rappeler pour ne surtout pas tomber dedans. Bon, le tout premier, on le sait, c'est la peur. Quand il y a de la peur, il y a de l'envie parce qu'il y a des choses en jeu qui vous tiennent à cœur. Donc surtout, c'est à ce moment précis qu'il vous faudra être intransigeante et intransigeant sur non. Je refuse de m'arrêter parce que j'ai peur. Le deuxième piège, c'est un pas qui est trop grand. Je suis sûre que vous l'avez déjà vu cette image, c'est celle d'une échelle qui normalement a plein de barreaux, dont la distance entre les barreaux est parfaitement pensée pour que l'effort ne soit pas difficile. Et sauf qu'au lieu d'avoir autant de barreaux là, vous n'avez que deux barreaux et le premier il est à deux mètres du sol. C'est un piège et ça veut dire que c'est le signal pour redécouper vos actions en actions plus petites. Donc, retournez voir vos colonnes et assurez-vous que les actions que vous avez listées, elles soient enclenchables rapidement. Souvent, je fais cette comparaison avec le premier kilo qu'on perd quand on fait un régime. Ce petit kilo qu'on perd rapido, il nous aide à être en mouvement et à continuer. C'est une récompense intermédiaire avant d'arriver à son objectif pour rester en chemin. Parce qu'on n'est pas des machines et que franchement... continuer à tracer sa route sans aucune reconnaissance, sans aucune récompense, c'est vachement difficile. Donc, assurez-vous d'avoir des actions qui sont suffisamment découpées en petits pas. Généralement, ce que j'aime bien dire à mes clientes, c'est que dans un bon plan d'action, il y a au moins une action qui prend moins de deux minutes. Le troisième piège, c'est le manque de clarté. En l'occurrence, pour Alice, c'est hyper clair parce que les personnes, elle les a vues à la télé, elle sait comment s'appelle l'émission, elle sait en quoi ça consiste et ça paraît limpide. Mais pour d'autres, ce n'est pas le cas. Donc, quand on n'a pas une image claire de là où on veut arriver, c'est vachement difficile de se mettre en mouvement. Assurez-vous de pouvoir vous poser la question de où vous voulez arriver ou à minima de vous demander comment vous voulez vous sentir. Je me souviens que quand je voulais changer de métier parce que j'étais un peu à l'étroit dans le mien, j'avais aucune idée que mon futur métier ce serait coach. En revanche, je savais que je voulais me sentir exactement comme je me sens quand je lis et que j'apprends à propos du développement personnel. Cet état de flot, je l'avais déjà vécu. Donc je savais que je voulais me sentir comme ça. Donc, essayez de préciser le plus possible et de ramener de la clarté. Je sais que c'est un truc qui est assez difficile. Et d'ailleurs, la plupart de mes clientes, quand elles viennent me voir, elles se sentent perdues. Et c'est assez difficile parce que quand on est trop longtemps resté dans une vie ou dans un quotidien qui ne nous va pas, on a complètement perdu confiance en ses ressentis. On n'est plus très au fait de ce qu'on est censé ressentir, de comment on se sent quand on se sent bien. On n'est plus très au clair de « est-ce qu'on peut faire confiance à ça ? » « Est-ce qu'on peut avoir confiance en soi ? » On est un peu dans le flou. Donc si c'est votre cas, je vous invite à aller voir un des tout premiers épisodes que j'ai fait. Je crois que c'est l'épisode 2 ou un truc comme ça, je pourrais vérifier et vous le mettre dans le descriptif du podcast. Mais c'est « reprendre contact avec soi et réapprendre à s'écouter » . On parle d'ancrage en fait. Comment retrouver son ancrage ? Ce sont les trois pièges. La peur, les actions qui sont trop grandes et donc trop effrayantes, et le manque de clarté. Et j'aurais pu ajouter une dernière clé dans ce podcast. J'aurais pu te dire, Alice, en vrai, coupe ta télé. Arrête de regarder cette émission. Passe à autre chose. Et c'est ce que j'aurais tendance à vous dire si vous avez cette même réaction quand vous êtes sur les réseaux sociaux. et que vous voyez des profils qui, au lieu de vous inspirer, vous plombent au sol. Oui, ça je peux vous le dire, désabonnez-vous, c'est pas fait pour ça. Rappelez-vous qu'on ne comporte pas son intérieur aux extérieurs des autres. Mais j'ai pas envie de te le dire Alice, parce que si ça t'a filé des papillons dans le ventre, si à un moment donné t'as eu envie de participer à cette émission et de toi aussi faire partie de ces gens qui t'inspirent, C'est pour une bonne raison. C'est parce qu'à l'intérieur de toi, t'as déjà ce qu'il faut. Ton âme sait que t'as la possibilité de vivre exactement ce que ces personnes vivent à la télé dans cette émission. En manifestation, on dirait qu'il y a une version de toi à un autre moment, dans une réalité parallèle, qui a déjà vécu ça, qui est déjà en train de le vivre, et qui du coup... est en train de t'envoyer des signaux pour que toi aussi tu oses. Et franchement, je refuse que tu abdiques avant même d'avoir essayé. Je refuse que tu coupes court à cette envie, capiche ? Donc Alice, si tu m'écoutes et vous toutes, vous tous, si vous ressentez ça, si vous sentez que ce feu s'est allumé à un moment donné, je refuse que vous y coupiez court. Pour la simple et bonne raison que je refuse que dans plusieurs années, vous regardiez en arrière en vous disant, pétard, j'aurais au moins dû essayer. Je refuse. Donc je vous embrasse très fort. Alice, merci infiniment d'avoir déposé cette suggestion d'épisode parce que je me suis régalée à le faire. Continuez d'ailleurs à le faire parce que vous êtes mes meilleures inspirations. Et surtout, je sais que ce podcast, il change déjà vos vies. Donc pourquoi vous en priver ? Faites-moi ce cadeau et faites-vous ce cadeau d'aller chercher des réponses et des clés que je suis ravie de vous donner. Je vous dis à dans deux semaines.

Description

Tu envies les autres à tel point que ça finit par te démotiver complètement ?
Pas de panique, tu n'es pas seule et surtout, il y a des solutions !
Dans cet épisode, inspiré par Alice (merci encore pour ta contribution!), on décrypte ces sensations de blocage et on les lève évidemment.


Je te donne les clés pour : 

. Comprendre pourquoi ta réaction est normale,
. Élaborer des stratégies simples & concrètes pour transformer cette pression en action,
. Nommer les pièges qui freinent ta progression,
. Et surtout identifier LA CLÉ pour retrouver ton inspiration & ta confiance ! 


Le but ultime ?
Te reconnecter à ton enthousiasme, à ce qui te fait vraiment vibrer, et arrêter de te comparer à l'extérieur des autres. Fais du toi, et tu seras magnétique, c'est garanti !


Bonne écoute, et surtout, respire... tu as déjà tout ce qu'il faut en toi 💛 


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Si tu as aimé cet épisode, n'hésite pas à me le dire, à le partager en story ou à tes proches en me taguant et même à laisser 5 étoiles & un commentaire sur Apple Podcast, ça met du vent dans mes voiles. 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Je suis Sarah, coach de vie certifiée, mentor et podcasteuse, pétard que j'adore cette introduction, et je suis surtout en mission pour accompagner les personnes qui ont la vilaine impression de ne pas être pleinement elles-mêmes. Un peu comme si vous viviez une vie en étant un personnage en noir et blanc, alors qu'on sait tous que vous êtes un humain haut en couleur. J'ai imaginé ce podcast pour vous, en co-construction avec vous, et j'y aborde donc des problématiques qui m'ont touchée, ou des thèmes que vous me soufflez au préalable. L'ambition du podcast est triple. 1. À défaut de tous vous coacher individuellement, je veux vous livrer des outils et des clés à dégainer dans votre quotidien. 2. En vous exposant mon point de vue, Je vous invite à vous questionner et à envisager une perspective différente et j'espère enrichissante. Et 3. J'espère vous donner une envie irrépressible et urgente de retrouver toutes vos couleurs et votre joie de vivre. Bonne écoute ! Je suis ravie de vous retrouver pour un nouvel épisode de podcast que je vais consacrer à répondre à Alice. Alice qui m'a contactée, qui est designer d'intérieur. et qu'il y a une super copine qui l'a appelée en lui disant « J'ai vu cette émission, il faut absolument que tu participes. » La pensée est ultra amicale, ultra flatteuse, et pourtant, Alice l'a hyper mal pris. Enfin plutôt, dans son cerveau, ça a fait « Oh, mais oui ! Évidemment que je veux participer à cette émission qui a l'air beaucoup trop stylée ! » Et puis cinq secondes plus tard, dans ce même cerveau, à propos de cette même participation, à cette même émission, La motivation d'Alice est tombée en flèche. Je ne suis pas capable, je n'y arriverai jamais, et puis les autres sont beaucoup plus stylés, bla bla bla bla bla. Motivation écroulée, self-esteem à moins 100 000, alors elle a eu la bonne idée d'appuyer sur la petite cloche et de demander des clés. Qu'est-ce qu'on fait quand les autres nous donnent hyper envie et qu'on se sent totalement nul ? On va y aller point par point ? Comme d'habitude, mais la première chose que j'ai envie de vous dire, c'est tu n'as pas le droit de faire comme si tu n'avais pas ressenti cette envie qui déborde. Tu n'as pas le droit de croire à l'histoire que tu te racontes qui dit « Non, mais de toute façon, je ne suis pas du tout capable. » Ça, ce n'est pas possible. Je refuse. Donc, je vais t'aider. Première clé, ta réaction est normale. Ta réaction... est tout à fait normal. Ton cerveau, quand ton ami te propose cette émission, la première chose, c'est « Oh, c'est trop stylé ! » Et oui, parce qu'à l'intérieur de toi, si ça te fait envie, c'est que tu peux le vivre. C'est-à-dire que, par exemple, pour moi, tu me parles de cette émission avec que des designers d'intérieur, il n'y a rien qui se passe. Ça n'allume pas la lumière, j'ai pas de papillons dans le ventre, ça ne me fait pas envie. Pour la simple et bonne raison que ce n'est pas pour moi. Petit 2, ton cerveau fait parfaitement son job. Tu ne l'as jamais fait avant. Donc lui, il voit un danger énorme. Et quand il voit un danger, étant donné que son boulot, c'est de te maintenir en sécurité, qu'est-ce qu'il fait ? Il appuie sur tous les boutons qu'il trouve. Des boutons pour te ramener dans ta zone connue, dans ta zone de confort. C'est ce même cerveau qui va te tenir à distance de ce qu'on appelle ta zone d'évolution. Et pour le reconnaître, ta zone d'évolution, tu te fies exactement à ce qui s'est passé dans les premières secondes, cet enchantement, cette excitation, cet enthousiasme que tu as ressenti. Ça, c'est le signal. Ton cerveau, il fait juste son boulot de te prévenir que ce truc-là, vous ne l'avez jamais fait. Et que si tu devais le faire là maintenant tout de suite, si ça se trouve, tu n'es pas prête. Mais ça ne veut en aucun cas dire qu'il ne faut pas le faire. Donc, qu'est-ce qu'on fait dans ce cas-là ? On se dissocie de son égo. C'est la base dans le développement personnel. Arrêtez de croire tout ce que raconte ton cerveau. Comment on fait ? Il y a plein de manières de le faire. Mais la manière que moi, je préfère, donc je vais parler de celle-là parce que c'est celle que je maîtrise le plus, c'est de te rendre compte que ton cerveau, ce n'est pas toi. Ton cerveau, il fait avec ce qu'il connaît. C'est le fameux système 1 dont je vous ai parlé dans l'épisode précédent. Si tu veux... Ton cerveau, c'est comme s'il avait une carte et qu'il regardait tous les chemins qui sont déjà tracés sur cette carte. Et si le chemin que tu t'apprêtes à emprunter ne figure pas sur cette carte, alors il est en flic total. Ça veut juste dire qu'il faut lui proposer une nouvelle carte. Et pour ça, la dissociation de ton ego, ça veut dire Gugus. Donc moi, j'aime bien lui donner un nom pour le ridiculiser. Et surtout, pour l'appeler autrement que moi, je m'appelle Gugus. Ça fait peur parce qu'on ne l'a jamais fait, mais t'inquiète, ça va bien se passer. Rassure-le, rassure-toi. Pour me rassurer, donc pour réguler mon système nerveux, j'utilise des pratiques de FT, j'utilise des pratiques de méditation, j'utilise le retour à la respiration consciente, j'utilise tout un tas de pratiques qui vont faire redescendre la pression. Si ça vous intéresse d'ailleurs, vous pouvez m'envoyer le mot pratique. au singulier ou au pluriel, comme vous voulez, sur Instagram. Et je vous enverrai un récapitulatif des pratiques que moi j'utilise. Mais le but, c'est vraiment de faire redescendre la pression. Et vous le savez, du moins si vous m'écoutez souvent, le cerveau ne fait pas la différence entre l'imaginaire et le réel. C'est pour ça qu'il ne s'est encore rien passé. Vous n'êtes pas encore passé à la télé. Enfin, Alice, tu n'es pas encore passé à la télé. en flip total. Le cerveau, il va se baser sur la respiration pour savoir si vous êtes tranquille ou si vous n'êtes pas tranquille. Quand on stresse, la respiration est totalement différente de quand on est dans un état de repos absolu, par exemple quand on dort. Donc le plus efficace à mon sens, c'est de revenir à sa respiration. Commencez à remettre de l'attention sur votre respiration pour calmer et... envoyer le signal à votre corps tout entier et à votre cerveau que tout va bien. Mais encore une fois, si vous voulez d'autres pratiques, écrivez-moi et je vous les partagerai. Et ça, c'est la base. Le truc numéro un, c'est le cerveau perçoit un danger quand il doit faire quelque chose qu'il n'a jamais fait et il a donc besoin d'être rassuré. Première clé. Puis c'est un peu logique parce que prendre des décisions quand on est complètement affolé. Je ne suis pas sortie de Saint-Cyr, mais je pense ne pas trop mouiller en vous disant que les décisions prises à la hâte, pas sûr que ce soit les meilleures. Une fois qu'on a fait ça, c'est intéressant de se questionner sur qu'est-ce qui se passe ? Qu'est-ce qui fait que ce qui t'a motivé il y a une seconde te descend en flèche, te plombe au sol, quelques secondes plus tard ? Une des raisons qui peut l'expliquer, et c'est une nouvelle clé, c'est que ça te renvoie à ton point de départ, à toi. C'est une phrase que j'adore répéter mais qui est très puissante. Ne compare pas ton intérieur à l'extérieur des autres. Cette phrase peut paraître un peu anodine, mais elle est tellement puissante parce que ton intérieur à toi, t'entends tout ce que tu te racontes. Tu connais tous tes secrets, tu connais tous tes recoins, tu connais toutes tes casseroles. Et t'es en train de comparer ça un extérieur qui paraît parfait. C'est d'ailleurs le gros point noir des réseaux sociaux, c'est qu'on ne sait rien de ce qui se passe dans la tête, dans le cœur et dans le corps des gens qu'on envie. Et tu es en train de comparer un truc qui est complètement incomparable. Déjà, tu te compares aux autres, chaud, mais en plus, tu compares quelque chose dont tu connais absolument tout. à quelque chose dont tu ne sais absolument rien, si ce n'est ce que tu vois. Donc cette phrase, elle peut t'aider déjà à revenir à « ok, moi j'en suis où ? » Parce que ce qui m'intéresse quand l'extérieur fait beaucoup de bruit, c'est qu'on revienne à l'intérieur. Et à ce moment-là, j'ai besoin que tu reviennes à ton point de départ. Parce qu'il faut bien que tu te dises un truc. C'est que ces gens-là, tu les vois à la télé, mais ces gens-là... Ils en étaient là où toi t'en es, à un moment donné de leur vie. Et du coup, ce qui est intéressant, c'est que si tu veux te comparer, d'abord, sors du fantasme. Va voir ton point de départ. C'est quoi ton point de départ ? Ton point de départ, quand je dis ça, c'est aujourd'hui t'en es où ? Et qu'est-ce qui te sépare de cette version de toi que t'imagines à la télé, que tu visualises à la télé, que tu as envie d'être à la télé ? Il y a quoi entre cette version de toi qu'on va appeler la version A et cette version qui te donne envie que tu vois à la télé ? qui est, disons, ta version de toi 2.0. Elle n'est pas meilleure, elle est différente. Parce que ce que tu fais aujourd'hui, c'est différent de ce que tu as à faire pour accéder à cette version 2.0. Et c'est un truc qu'une de mes clientes m'a dit parfaitement. C'est que quand elle passait son temps à se dire « il faut que je devienne la meilleure version de moi-même » , ça la faisait méga stressée. Parce qu'elle avait l'impression qu'elle ne devait surtout pas se tromper dans les actions qu'elle aurait à mener. Un peu comme s'il y avait une recette magique à suivre pour arriver à être cette version d'elle qu'elle a envie d'être. Mais ce n'est pas du tout ça. Il n'y a pas de recette magique. Il y a seulement une version que toi, tu peux créer en suivant justement cette envie, justement cette signal de « là, il y a des papillons dans le ventre » . Là, il y a de l'enthousiasme. Là, il y a un truc qui te fait kiffer. Ça ne veut pas dire que ce sera facile. Ça veut juste dire que tu es invité à suivre les indices qui se trouvent à l'intérieur de toi, à savoir les petits coups de cloche qui font « Gling, gling, gling, gling, gling ! » C'est par ici qu'on kiffe. « Gling, gling, gling, gling, gling ! » C'est par ici qu'on prend du plaisir à être qui on est. Donc, prends un papier, prends un crayon. Trace de colonne. Dans la colonne A, on est aujourd'hui. Et dans la colonne B, on est quand tu veux. Mais en tout cas, on est 2.0 et on est à la télé en train de participer à cette émission. Et ce qui est intéressant, c'est que tu vas pouvoir te demander, et c'est là que j'adore vous coacher, parce que c'est là que je vous invite à prendre votre responsabilité, parce que là, on est en train de prendre sa responsabilité, en écoutant ses envies et en se demandant comment on peut les satisfaire. Et tu vas pouvoir te lister ce que tu aurais comme action concrète à faire aujourd'hui pour pouvoir arriver à être dans cette télé. Qu'est-ce que tu peux faire dès aujourd'hui pour être à un moment donné dans cette télé ? Et là, amuse-toi parce qu'en fait, à nouveau, il n'y a pas de recette magique. Et le truc qui sera le plus efficace... Ce n'est pas forcément le truc que tout le monde fait. C'est ce qui, toi, te fera progresser, t'amuser, kiffer. Ça, c'est intéressant. Va me chercher les étapes, les actions qui vont faire que tu vas aimer ton quotidien. Tu vas aimer le temps qui te sépare de ce moment 2.0 et qui va faire que tu vas devenir ta propre créatrice de cette version de toi. enthousiasmer. C'est pas trop stylé de se dire ça. C'est pas trop stylé de se dire que cet enthousiasme que tu perçois déjà dans ton corps, c'est toi aussi qui vas pouvoir le rendre réel. Mais moi, c'est ma passion. Et d'ailleurs, c'est ça mon métier. C'est de vous tenir la main pendant qu'on réfléchit à ce plan, qu'on le rend concret et qu'on te fait suivre pour pouvoir incarner cette version 2.0. Trop stylé. Il y a un truc que j'ai besoin de te rappeler quand tu es en train de bûcher sur ces deux colonnes, c'est qu'au plus tu vas écouter ces petits papillons, au plus tu vas les suivre, au plus tu vas faire du toi, au plus ça va aller vite. Ne cherche pas à faire du parfait. Ne cherche pas à faire du raisonnable. Ne cherche pas à faire du parfait parce qu'on est en train d'aller chercher le progrès. On s'en fout du parfait. Et ça, ça m'amène à une troisième clé qui est hyper importante et qui te différencie d'ailleurs Alice de potentiellement une autre designer qui elle a suivi cet enthousiasme. C'est que quand tu cherches la perfection, quand tu cherches à rester dans un cadre très précis, quand tu crois qu'il existe une recette particulière, tu as ce qu'on appelle un fixed mindset. Un mindset, un état d'esprit qui est figé. Un état d'esprit qui essaie de se conformer à ce qu'il connaît, à ce qu'il croit être la voie sacrée. Mais ça, c'est tellement casse-gueule. Parce qu'encore une fois, si ça existait, ce genre de truc, s'il y avait un plan d'action unique, figé, parfait qui existait, mais on serait tous en train de le suivre, les gars. Et ça, en fait, ce mindset figé, qui va te couper de ton enthousiasme, tu vas très vite le sentir. Dès que tu essaies de faire autre chose que faire du toi, tu vas le sentir. Ton enthousiasme, il va dropper. Ton énergie, elle va se plomber. Tu vas procrastiner, tu vas ruminer. Alors que quand tu veilles à te garder dans faire du toi, et ça paraît hyper abstrait, mais en fait, c'est se cantonner à qu'est-ce qui t'amuse ? Qu'est-ce qui te fait kiffer ? Qu'est-ce qui rallume la lumière en toi ? Et ça, c'est ce qu'on appelle avoir... un growth mindset, un état d'esprit porté sur la croissance. Pourquoi ? Parce qu'en fait, tu vas t'affranchir de ce que tu es censé faire et tu vas être obnubilé par trouver ce qui va te faire avancer. Faire ce que tu as envie de faire, qui t'amènera à l'étape d'après et qui va t'amener à de la croissance, à du progrès. Parce qu'encore une fois, si tu repenses à la clé juste avant, Moi, ce qui m'intéresse, c'est que tu puisses te poser la question de qu'est-ce que je peux faire pour me rapprocher progressivement de ma version 2.0 ? Pas qu'est-ce qu'il faut que je fasse, mais qu'est-ce que j'ai envie de faire ? Ça, c'est du growth mindset. C'est de la progression, c'est de la croissance. Tu dois être obsédé par progresser. Tu dois être obsédé par les petits pas. qui vont te rapprocher de ce que tu veux. La puissance d'être dans un growth mindset, c'est que tu ne te désolidarises pas de toi. C'est que tu ne cherches pas à faire autre chose que ce que tu es, que ce que tu aimes, que ce qui te fait vibrer. Et surtout, tu ne prétends pas être ailleurs que là où tu en es. Tu as juste envie de bouffer le monde, d'apprendre un max de trucs, pour pouvoir à un moment donné te dire, vas-y, cap ! On va à ce TV show. Il y a une phrase qui m'est venue en anglais. Bon, vous le savez, souvent j'utilise du franglish et désolé pour ceux que ça ennuie profondément. Mais la phrase qui m'est venue quand Alice m'a sollicité, c'est « Les personnes que tu regardes dans la télé, ils n'ont pas prétendu être autre chose que ce qu'ils sont et où ils en sont. Ils se sont juste dit « Ok, you know what ? I'm gonna give it a shot. Je vais m'amuser et je vais aller dans ce TV show. » Quand vous regardez et prenez le temps de le faire, les gens qui vous inspirent, ce n'est pas des gens qui s'ennuient à suivre les règles. Les gens qui vous inspirent, en tout cas, je parle pour moi, mais les gens qui m'inspirent, c'est des gens qui prennent profondément du plaisir à faire ce qu'ils font. Et je peux même regarder d'ailleurs Thomas Pesquet. Thomas Pesquet qui fait un truc qui, moi, ne me met pas du tout des étoiles dans les yeux. Je trouve ça absolument dingo, mais je ne l'envie pas. Mais pour autant, ça m'éclate de le regarder dans cette station spatiale parce qu'en fait, le mec, il est en plein kiff. La phrase qui me revient, c'est « They did not try to be perfect. They did what they had to do to progress. They did what they had to do to grow. » Reconnecte-toi à cette part d'enfant que tu as à l'intérieur de toi qui tout de suite a reconnu que c'était son terrain de jeu, cette TV show, et amuse-toi ! amuse-toi pour te rapprocher de cette version 2.0. Quand tu arrives à faire ça, tu te reconnectes aussi à ton but. Le but, c'est quoi ? Est-ce que le but, c'est de gagner cette TV show ? Oui, quelque part, il y a ce truc-là. Mais le premier but, c'est surtout, vas-y, on essaye parce qu'en fait, on va voir si ça nous amuse. Quand je coach quelqu'un, mon but, ce n'est pas d'être la meilleure coach. Mon but, c'est d'amener ma cliente là où elle veut. Mon but, c'est que ma cliente se reconnecte avec son intérieur et qu'elle reprenne confiance en elle, en ses sensations et en ce qui lui fait plaisir. Ce n'est pas une question d'être la meilleure. Quand tu vois que tu pars trop dans ta tête, dans « Ah, mais je n'y arriverai pas, et puis ils sont meilleurs que moi, et puis ils sont trop stylés » , reviens à toi. Le but, c'est de vivre une vie qui te fait kiffer. En tout cas, moi, je suis obsédée par me réveiller le matin en ayant hâte. Je suis obsédée par ce sentiment qui m'anime quand je sais que j'ai une séance dans l'après-midi et que je vais pouvoir faire avoir des déclics à ma cliente qui vont la faire repartir de ma séance au mode « Ok, c'est parti ! » Et d'ailleurs, Alice, on a eu la chance de partager une séance Boost ensemble, qui est une séance ponctuelle. Et rappelle-toi de ce que tu m'as dit. Tu m'as dit « Watch me, fuckers ! » Oui, va te reconnecter avec cette sensation-là, avec cet élan de vie. qui t'appelle juste à faire des trucs qui te font envie. Et je peux t'assurer, je peux te garantir que si tu suis... Cet élan-là, être la meilleure, gagner, impressionner, c'est ce qui t'attend. Quand tu fais ce que tu aimes, quand tu fais profondément ce qui t'anime, tu deviens magnétique. C'est une certitude. À nouveau, regardez les gens qui vous impressionnent. Ce ne sont pas des gens qui cherchent à faire parfait. Ce sont des gens qui font ce qu'ils aiment et qui, d'ailleurs c'est marrant, sont beaucoup plus attachants. Quand ils montrent qu'ils ne sont pas parfaits, quand ils montrent que parfois ils n'y arrivent pas et qu'ils montrent qu'en fait ils ne lâchent rien et qu'ils continuent d'avancer. Ça, c'est hyper impressionnant, c'est hyper inspirant et c'est magnétique. Donc encore une fois, ne cherche pas à être parfaite, cherche à faire du toi. Et puis, quand tu sors du fantasme comme ça, et justement que tu te rends compte que les gens que tu admires, que les gens que tu regardes à la télé, que les gens qui t'inspirent, ils ne sont pas parfaits. Ça te passe un autre message qui, à mon sens, est essentiel, c'est que ces gens-là, ils sont comme toi. Donc dis-toi bien que si tu les vois à la télé aujourd'hui, c'est qu'il y a quelque temps en arrière, ils étaient à ta place. Ils étaient face à leurs doutes, ils étaient face à leurs peurs, et eux aussi, ils regardaient leur télé certainement en se disant « C'est tellement stylé, mais c'est tellement flippant ! » Et la seule chose qui les a différenciés de toi, c'est leur réaction face à leurs doutes, face à leur peur et face à leur propre point de départ. Eux aussi, ils ont certainement eu ce point où ils se sont dit « Oh, c'est pas du tout pour moi, c'est pas possible » . Sauf qu'ils ne se sont pas arrêtés là. Ils se sont peut-être dit cette phrase que moi je me dis en permanence, c'est « Tu subis que ce que tu tolères » . Je veux qu'aujourd'hui, Alice, quand tu m'écoutes, et vous tous et toutes qui m'écoutez, je veux que ce genre de discours intérieur soit intolérable. Je refuse que vous subissiez ce propre comportement qui est le vôtre. Mettez-y un terme en décidant que c'est intolérable. Ça, ça va faire la différence. Ça, ça va faire la différence parce que vous allez vous connecter à l'intérieur de vous. Vous allez construire de l'estime de vous. Parce qu'il faut vachement d'estime de soi pour se dire non, je ne tolérerai pas une minute de plus ce discours intérieur qui me fait défaut. C'est ça de l'estime de soi. L'estime de soi, c'est trois choses. L'estime de soi, c'est... La confiance en soi. La confiance en soi, c'est la certitude que vous avez toutes les ressources à l'intérieur de vous pour surmonter quoi qu'il survienne sur votre route. L'estime de soi, c'est aussi de l'amour de soi. Et c'est de l'amour inconditionnel. C'est-à-dire que, Alice, si tu t'inscris à cette émission et que tu n'es même pas sélectionnée à la première étape, tu t'aimeras quand même. Et dernière chose qu'elle estime de soi, c'est l'image de soi. C'est l'image que les autres nous renvoient de nous-mêmes et avec laquelle on est aligné, on se sent à l'aise. J'ai fait d'ailleurs un épisode de podcast pour chacun de ces piliers de l'estime de soi. Donc ce que je veux dire, c'est que quand tu refuses de tolérer ce discours intérieur qui te déprécie, t'es en train de renforcer ton estime de toi. Et t'es surtout en train de t'envoyer le signal le plus précieux du monde qui est tu as tout à l'intérieur de toi. Tu as tout ce qu'il faut pour devenir cette personne qu'aujourd'hui tu envies. La seule chose qu'il est impératif que tu fasses, je veux que tu arrêtes de souhaiter être quelqu'un d'autre. Arrêtez de vouloir être quelqu'un d'autre. Arrêtez de croire que les autres feraient mieux que vous. Reconnectez-vous à vous-même, prenez conscience du potentiel énorme que vous êtes et que vous avez déjà à l'intérieur de vous, et allez-y. Dans le passage à l'action, il y a trois pièges et ça me semble à propos de vous les rappeler pour ne surtout pas tomber dedans. Bon, le tout premier, on le sait, c'est la peur. Quand il y a de la peur, il y a de l'envie parce qu'il y a des choses en jeu qui vous tiennent à cœur. Donc surtout, c'est à ce moment précis qu'il vous faudra être intransigeante et intransigeant sur non. Je refuse de m'arrêter parce que j'ai peur. Le deuxième piège, c'est un pas qui est trop grand. Je suis sûre que vous l'avez déjà vu cette image, c'est celle d'une échelle qui normalement a plein de barreaux, dont la distance entre les barreaux est parfaitement pensée pour que l'effort ne soit pas difficile. Et sauf qu'au lieu d'avoir autant de barreaux là, vous n'avez que deux barreaux et le premier il est à deux mètres du sol. C'est un piège et ça veut dire que c'est le signal pour redécouper vos actions en actions plus petites. Donc, retournez voir vos colonnes et assurez-vous que les actions que vous avez listées, elles soient enclenchables rapidement. Souvent, je fais cette comparaison avec le premier kilo qu'on perd quand on fait un régime. Ce petit kilo qu'on perd rapido, il nous aide à être en mouvement et à continuer. C'est une récompense intermédiaire avant d'arriver à son objectif pour rester en chemin. Parce qu'on n'est pas des machines et que franchement... continuer à tracer sa route sans aucune reconnaissance, sans aucune récompense, c'est vachement difficile. Donc, assurez-vous d'avoir des actions qui sont suffisamment découpées en petits pas. Généralement, ce que j'aime bien dire à mes clientes, c'est que dans un bon plan d'action, il y a au moins une action qui prend moins de deux minutes. Le troisième piège, c'est le manque de clarté. En l'occurrence, pour Alice, c'est hyper clair parce que les personnes, elle les a vues à la télé, elle sait comment s'appelle l'émission, elle sait en quoi ça consiste et ça paraît limpide. Mais pour d'autres, ce n'est pas le cas. Donc, quand on n'a pas une image claire de là où on veut arriver, c'est vachement difficile de se mettre en mouvement. Assurez-vous de pouvoir vous poser la question de où vous voulez arriver ou à minima de vous demander comment vous voulez vous sentir. Je me souviens que quand je voulais changer de métier parce que j'étais un peu à l'étroit dans le mien, j'avais aucune idée que mon futur métier ce serait coach. En revanche, je savais que je voulais me sentir exactement comme je me sens quand je lis et que j'apprends à propos du développement personnel. Cet état de flot, je l'avais déjà vécu. Donc je savais que je voulais me sentir comme ça. Donc, essayez de préciser le plus possible et de ramener de la clarté. Je sais que c'est un truc qui est assez difficile. Et d'ailleurs, la plupart de mes clientes, quand elles viennent me voir, elles se sentent perdues. Et c'est assez difficile parce que quand on est trop longtemps resté dans une vie ou dans un quotidien qui ne nous va pas, on a complètement perdu confiance en ses ressentis. On n'est plus très au fait de ce qu'on est censé ressentir, de comment on se sent quand on se sent bien. On n'est plus très au clair de « est-ce qu'on peut faire confiance à ça ? » « Est-ce qu'on peut avoir confiance en soi ? » On est un peu dans le flou. Donc si c'est votre cas, je vous invite à aller voir un des tout premiers épisodes que j'ai fait. Je crois que c'est l'épisode 2 ou un truc comme ça, je pourrais vérifier et vous le mettre dans le descriptif du podcast. Mais c'est « reprendre contact avec soi et réapprendre à s'écouter » . On parle d'ancrage en fait. Comment retrouver son ancrage ? Ce sont les trois pièges. La peur, les actions qui sont trop grandes et donc trop effrayantes, et le manque de clarté. Et j'aurais pu ajouter une dernière clé dans ce podcast. J'aurais pu te dire, Alice, en vrai, coupe ta télé. Arrête de regarder cette émission. Passe à autre chose. Et c'est ce que j'aurais tendance à vous dire si vous avez cette même réaction quand vous êtes sur les réseaux sociaux. et que vous voyez des profils qui, au lieu de vous inspirer, vous plombent au sol. Oui, ça je peux vous le dire, désabonnez-vous, c'est pas fait pour ça. Rappelez-vous qu'on ne comporte pas son intérieur aux extérieurs des autres. Mais j'ai pas envie de te le dire Alice, parce que si ça t'a filé des papillons dans le ventre, si à un moment donné t'as eu envie de participer à cette émission et de toi aussi faire partie de ces gens qui t'inspirent, C'est pour une bonne raison. C'est parce qu'à l'intérieur de toi, t'as déjà ce qu'il faut. Ton âme sait que t'as la possibilité de vivre exactement ce que ces personnes vivent à la télé dans cette émission. En manifestation, on dirait qu'il y a une version de toi à un autre moment, dans une réalité parallèle, qui a déjà vécu ça, qui est déjà en train de le vivre, et qui du coup... est en train de t'envoyer des signaux pour que toi aussi tu oses. Et franchement, je refuse que tu abdiques avant même d'avoir essayé. Je refuse que tu coupes court à cette envie, capiche ? Donc Alice, si tu m'écoutes et vous toutes, vous tous, si vous ressentez ça, si vous sentez que ce feu s'est allumé à un moment donné, je refuse que vous y coupiez court. Pour la simple et bonne raison que je refuse que dans plusieurs années, vous regardiez en arrière en vous disant, pétard, j'aurais au moins dû essayer. Je refuse. Donc je vous embrasse très fort. Alice, merci infiniment d'avoir déposé cette suggestion d'épisode parce que je me suis régalée à le faire. Continuez d'ailleurs à le faire parce que vous êtes mes meilleures inspirations. Et surtout, je sais que ce podcast, il change déjà vos vies. Donc pourquoi vous en priver ? Faites-moi ce cadeau et faites-vous ce cadeau d'aller chercher des réponses et des clés que je suis ravie de vous donner. Je vous dis à dans deux semaines.

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