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Nouveau restaurant italien, meilleure spanakopita et sandwich déjeuner ! cover
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Le Podcast du Cuisinomane - Critique restaurant et tuyaux bouffe

Nouveau restaurant italien, meilleure spanakopita et sandwich déjeuner !

Nouveau restaurant italien, meilleure spanakopita et sandwich déjeuner !

10min |23/10/2024
Play
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Description

Je continue de vous dévoiler mes adresses préférées de Montréal ! Je commence par Kouzina Niata, un comptoir grec dans le Mile-End où l’on mange le meilleur spanakopita de la ville, accompagné d’un cappuccino freddo.

Je vous parle aussi de mon sandwich déjeuner préféré à Montréal : celui de Aube Boulangerie.

Ensuite, je fais la critique de La Spada, un nouveau restaurant italien à Saint-Henri, dirigé par le chef Steve Marcone. Montréal avait-elle besoin d’un autre restaurant italien ?

 

Je vous parle aussi du restaurant Le Boulevardier qui n’a jamais eu sa chance de briller depuis la pandémie, mais qui, depuis quelques mois, travaille super bien en devenant une nouvelle destination bistro chic du centre-ville.

Ensuite, pour les amateurs de café, Even Café dans le Mile-Ex est la nouvelle destination café de Montréal.

Enfin, ma bouchée parfaite : tiramisu thé thaï. Savez-vous de quel restaurant je parle ?


Site web : www.lecuisinomane.com

Instagram : https://www.instagram.com/lecuisinomane/

Facebook : https://www.facebook.com/lecuisinomane

Pour me contacter : info@lecuisinomane.com


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Au menu cette semaine, je vous parle d'un nouveau micro-trafacteur montréalais qui a le potentiel de devenir votre café de quartier préféré et d'un nouveau resto au centre-ville qui, depuis quelques mois, travaille très fort pour devenir une destination gastronomique incontournable, autant pour un souper que les lunchs d'affaires. Ma critique resto est le nouveau restaurant La Spada. Est-ce que Montréal avait réellement besoin d'un autre restaurant italien ? Mais avant, place à mes tuyaux bouffe ! Bonjour à toutes et à tous, mon nom est Tommy Dion, l'humain derrière les plateformes sociales Instagram et Facebook Le Cuisinomane, ainsi que le guide de bonnes adresses gourmand lecuisinoman.com. C'est quoi un croissant en cookies ? De rédacteur scientifique à rédacteur de critiques d'astronomique, d'athlète de haut niveau entraînant son corps à athlète du goût et de l'analyse sensorielle, bienvenue à mon podcast où chaque semaine, je vous livre oralement ma critique restaurant, en plus de partager mes récentes découvertes, coups de cœur et tuyaux beaux. Oui, s'il vous plaît. On mange quoi cette semaine ? Bienvenue dans mon univers gourmand. Je crois sincèrement que c'est mon adresse préférée du Maryland. C'est un comptoir café prêt à manger, petite épicerie avec des produits spécialisés et une grande section de plats à emporter à la maison, entièrement grecque. Mais là, tout est vraiment traditionnel grec et tout est fait maison, sur place. Même la pâte phyllo étendue à tous les jours. pas le spanakopita ou le bugatsa. Je parle ici du kudinaniata sur la rue Saint-Viateur. Vous dire à quel point j'aime d'amour cet endroit. Mon petit plaisir, c'est vraiment m'installer sur le bord de la fenêtre en mangeant le meilleur spanakopita de ma vie, qui me chamboule à chaque fois. Pas trop gras, c'est bondé d'épinards et de feta, avec un cappuccino frais d'eau. Emporté à la maison, la moussaka est juste une cloche au-dessus. Kudinaniata, merci d'exister. Pause partenaire ! Prenez plaisir à cuisiner à la maison et être rendu à magasiner un couteau japonais. Je vous offre 10% de rabais sur tous vos achats en ligne chez StaySharp avec le code promo LECUISINOMAN. Je vous conseille vraiment ce petit business local fondé par mon ami Olivier. Je me souviens lorsqu'il a commencé à vendre ses couteaux directement importés du Japon à même sa cuisine. Et bien, quelques années plus tard, voici qu'en plus d'une boutique en ligne hyper garnie de couteaux d'office, de couteaux de chef, d'étuis, de barbecue japonais même, On peut aller le visiter sur place, pas chez lui directement, mais à l'une des deux adresses, soit à Montréal, sur le plateau Mont-Royal ou dans le Vieux-Québec. Ce sont des pros qui vous conseilleront sur le type de couteau que ça vous prend, selon vos besoins et vos habitudes de coupe. Allez donc magasiner sur StaySharp avec mon code promo de 10%. Le Cuisinoman, merci Olivier d'avoir commandé cet épisode. Deuxième tuyau bouffe, direction Hochelaga-Maisonneuve pour manger mon sandwich-déj préféré à Montréal, à la Boulangerie Aube. de la même famille que le hélico, hélicoptère et copilote. Entre deux belles tranches de pain feuilleté, une galette d'œuf, du fromage cheddar jaune, du ballonné top qualité de la boulangerie Édouard et Léo, quelques cornichons, sans oublier la mayonnaise au gochujang qui vient bien enrober et donner un peu de peps à tout ça. Mis à part ce spectaculaire sandwich-déj, la boulangerie Aube est vraiment une destination qui mérite d'être visitée. Non, je ne répondrai pas à la question posée en introduction à savoir si Montréal avait vraiment besoin d'un autre restaurant italien. Je vais plutôt vous laisser faire votre propre avis après vous avoir parlé d'un nouveau restaurant italien, l'Aspada. On est dans le quartier très hip Saint-Henri, à mi-chemin entre le marché Atwater et les Saté Brothers, dans possiblement le local le plus intéressant de cette section de la rue Notre-Dame, faisant le coin avec Rose de Lima. Malheureusement, depuis les dernières années, Il y a une malédiction qui plane ce coin de rue vu la rotation des restaurants depuis les 5 dernières années. Mais cette fois-ci, je crois sincèrement que ce sera le bon. Derrière ce restaurant, on retrouve le chef Steve Marconi, aussi chef du bistrot Amerigo, et le photographe culinaire Scott Usheroff, ce dernier ayant également joué au fourneau dans sa jeune carrière. L'Aspada est une ode à Rome, autant dans le menu que dans la déco, dont on pousse vraiment la caricature. Imaginez ! De l'extérieur, c'est un vrai secret. Les rideaux fermés laissent planer le mystère. Sitôt qu'on entre, on est attaqué vivellement par une déco très surchargée de cadres de tout format sur les murs, sur les poutres. On sent tout de suite l'ambiance vibrante. On sait déjà que la soirée sera bien vivante. L'aspada vient d'ouvrir, mais on sent déjà une arme bien présente. Les serveurs sont en uniforme blanc. Les nappes sont blanches également. Il y a du sérieux sans toutefois se prendre au sérieux. Au menu, Pas de pizza. Le duo Steve et Scott ont voulu amener Rome à Montréal dans l'esprit d'une austérieuse rassembleuse. Vous comprendrez que c'est l'endroit rêvé pour tout amateur et amatrice de pâtes, mais on compte également quelques plats de poisson et de viande grillée, comme un beau saltimbocca qui me faisait grandement de l'oeil, mais dont nos estomacs ont eu le dessus sur nos ambitions. Aussi, qui dit rhum dit soupli, cette sublime croquette de risotto farcie de fromage qui doit s'étirer de tout son long avant de fendre pour terminer sur nos doigts. Je confirme que c'est le meilleur soupli mangé ailleurs qu'à Rome. Sur la même table que les supplis donc, servis avec une sauce tomate texturée qui se mange à la cuillère, les tortellinis in brodo, la focaccia maison servie de tiède et le tartare de thon complètent le premier service. Je disais que c'était le meilleur supplis mangé à Montréal, et bien je vais aussi m'aventurer à dire que ce sont les meilleurs tortellinis in brodo à Montréal. D'une raison dont j'ignore, la pâte est particulièrement fluffy et dodue, puis le bouillon versé à la table pour ne pas surpire les pâtes est... absolument fantastique. Il est clair, juste assez salé pour laisser perler quelques filaments de parmigiano-reggiano. Du bonheur. Le tartare de thon est quant à lui dans la fraîcheur, assaisonné avec un jus d'orange sanguine qui se distingue en bouche, quelques filanières de concombre et de 3 gelées suprêmes de pamplemousse. La focaccia, elle, laisse ses traces d'huile d'olive sur les doigts et est parfaitement assaisonnée. Une première tablée qui, je peux me le permettre, nous emmène... plein la gueule et nous empressent de recevoir la suite. Artichaut avec ragout d'haricots à la romaine, puis choux de Bruxelles façon cachot et pépé. Le ragout fadjoli est spectaculaire, nous laissant des baffes de sapidité et de saveurs complexes à chaque bouchée. Les artichauts, fendus en quartier, auraient pu être davantage al dente, mais je ne vous cacherai pas que cette assiette nettoyée de fond en comble par le restant de focaccia était délicieuse. Toutefois, ce n'est pas le même enthousiasme pour les choux de Bruxelles. Ces derniers trop gras, trop salés, 3-4 morceaux laissent place à la saturation. On passe au suivant. Les choses sérieuses. Parmi la dizaine de choix de pâtes, incluant la trilogie des pâtes romaines étant le Ketupépé, la Matriciana et la Carbonara, c'en est suivi d'une délibération très sérieuse et avons finalement opté pour les bucatini alla vongole, donc ici au palourde, ail, vin blanc, ainsi que les tortellini riz, se dévoilant comme... quatre grosses boucles de pâtes à langue de sèche parties de morue et de flétans déposées sur une sauce crémeuse à la tartinade de saucisses épicées Nduya. Deux en deux. Mention pour les bucatini bongolais dont les pâtes sont cuites à perfection, la sauce bien délayée avec l'eau cuisson, avec une profusion de palourdes, d'ail et des flocons de piment. J'en rêve encore. Suivant les conseils de la maison, le gâteau Red Velvet, aucunement italien, atterrit au centre de la table puis repartira quelques secondes plus tard. à peine entamées, trop sucrées pour nous. On nous amène donc le gâteau tiramisu au goût corsé d'espresso, comme j'aime, qui fut une finalité à la hauteur de notre soirée. L'Aspada, une lettre d'amour à Rome dont on souhaite lire et relire. Malgré quelques eten misse y aller une première fois appelle déjà à la seconde. L'ambiance a tendance à devenir un peu cacophonique, donc prenez bien note. Finalement, est-ce que Montréal avait vraiment besoin d'un autre resto italien ? Eh bien, dès comme ça, je dirais qu'on en veut plus. Ma note pour l'Aspada, 4,3 sur 5. Ma première recommandation cette semaine intéressera davantage les gens qui cherchent souvent des endroits où luncher le midi, pensez lunch d'affaires, au centre-ville. C'est le boulevardier à l'intérieur de l'hôtel Le Germain. Juste avant la COVID, le resto a... complètement été revampé par Zébulon-Perron, mais peu de temps après, on a rapidement tout oublié à cause d'une certaine pandémie. Et, depuis le retour, je dois dire que le magnifique local avait été un peu laissé à lui-même. Mais là, depuis quelques mois, quelque chose d'intéressant se trame. J'ai vraiment senti que toute l'équipe s'était retroussée des manches pour offrir une expérience gastronomique à la hauteur de l'hôtel et du design. Un nouveau chef très talentueux a été engagé, Florimont Anoto. pour faire le boulevardier un restaurant de type brasserie chic, très axé sur les produits locaux. Je vous recommande ensuite un nouveau micro-torréfacteur qui vient de commencer à torréfier son café à même le local dans le Milex. On est du côté très puriste. Pas de café funky, mais plutôt des espressos et des filtres manuels coulés à la perfection. On peut aussi grignoter quelques gourmandises, comme croissant et madeleine, de la pâtisserie Madeleine. Ma bouchée parfaite dévorée cette semaine est le tiramisu au thé Thaï du restaurant thaïlandais Pichai. Vous ne pouvez pas comprendre comment la texture est nuageuse et comment les saveurs du thé Thaï percutent en bouche. Il y a des petites lanières de noix de coco rôties sur le dessus qui se mangent comme des grignotines. Mais honnêtement, ma bouchée parfaite est sans les noix de coco pour apprécier la texture évanescente du tiramisu. Un must à chaque gris. Merci d'avoir été là. On se donne rendez-vous la semaine prochaine pour un autre épisode truffé de belles suggestions et de bijoux gastronomiques à découvrir. Pour mes meilleures adresses à tout moment, rendez-vous sur lequiznoman.com et sur les réseaux sociaux arrobas lequiznoman. notamment sur Instagram où je partage quotidiennement mes découvertes. N'oubliez pas de vous abonner sur mon site web pour devenir membre Cuisinoman et ainsi pour avoir accès aux nombreux privilèges et rabais chez des partenaires gourmands. Ciao !

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Je continue de vous dévoiler mes adresses préférées de Montréal ! Je commence par Kouzina Niata, un comptoir grec dans le Mile-End où l’on mange le meilleur spanakopita de la ville, accompagné d’un cappuccino freddo.

Je vous parle aussi de mon sandwich déjeuner préféré à Montréal : celui de Aube Boulangerie.

Ensuite, je fais la critique de La Spada, un nouveau restaurant italien à Saint-Henri, dirigé par le chef Steve Marcone. Montréal avait-elle besoin d’un autre restaurant italien ?

 

Je vous parle aussi du restaurant Le Boulevardier qui n’a jamais eu sa chance de briller depuis la pandémie, mais qui, depuis quelques mois, travaille super bien en devenant une nouvelle destination bistro chic du centre-ville.

Ensuite, pour les amateurs de café, Even Café dans le Mile-Ex est la nouvelle destination café de Montréal.

Enfin, ma bouchée parfaite : tiramisu thé thaï. Savez-vous de quel restaurant je parle ?


Site web : www.lecuisinomane.com

Instagram : https://www.instagram.com/lecuisinomane/

Facebook : https://www.facebook.com/lecuisinomane

Pour me contacter : info@lecuisinomane.com


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Au menu cette semaine, je vous parle d'un nouveau micro-trafacteur montréalais qui a le potentiel de devenir votre café de quartier préféré et d'un nouveau resto au centre-ville qui, depuis quelques mois, travaille très fort pour devenir une destination gastronomique incontournable, autant pour un souper que les lunchs d'affaires. Ma critique resto est le nouveau restaurant La Spada. Est-ce que Montréal avait réellement besoin d'un autre restaurant italien ? Mais avant, place à mes tuyaux bouffe ! Bonjour à toutes et à tous, mon nom est Tommy Dion, l'humain derrière les plateformes sociales Instagram et Facebook Le Cuisinomane, ainsi que le guide de bonnes adresses gourmand lecuisinoman.com. C'est quoi un croissant en cookies ? De rédacteur scientifique à rédacteur de critiques d'astronomique, d'athlète de haut niveau entraînant son corps à athlète du goût et de l'analyse sensorielle, bienvenue à mon podcast où chaque semaine, je vous livre oralement ma critique restaurant, en plus de partager mes récentes découvertes, coups de cœur et tuyaux beaux. Oui, s'il vous plaît. On mange quoi cette semaine ? Bienvenue dans mon univers gourmand. Je crois sincèrement que c'est mon adresse préférée du Maryland. C'est un comptoir café prêt à manger, petite épicerie avec des produits spécialisés et une grande section de plats à emporter à la maison, entièrement grecque. Mais là, tout est vraiment traditionnel grec et tout est fait maison, sur place. Même la pâte phyllo étendue à tous les jours. pas le spanakopita ou le bugatsa. Je parle ici du kudinaniata sur la rue Saint-Viateur. Vous dire à quel point j'aime d'amour cet endroit. Mon petit plaisir, c'est vraiment m'installer sur le bord de la fenêtre en mangeant le meilleur spanakopita de ma vie, qui me chamboule à chaque fois. Pas trop gras, c'est bondé d'épinards et de feta, avec un cappuccino frais d'eau. Emporté à la maison, la moussaka est juste une cloche au-dessus. Kudinaniata, merci d'exister. Pause partenaire ! Prenez plaisir à cuisiner à la maison et être rendu à magasiner un couteau japonais. Je vous offre 10% de rabais sur tous vos achats en ligne chez StaySharp avec le code promo LECUISINOMAN. Je vous conseille vraiment ce petit business local fondé par mon ami Olivier. Je me souviens lorsqu'il a commencé à vendre ses couteaux directement importés du Japon à même sa cuisine. Et bien, quelques années plus tard, voici qu'en plus d'une boutique en ligne hyper garnie de couteaux d'office, de couteaux de chef, d'étuis, de barbecue japonais même, On peut aller le visiter sur place, pas chez lui directement, mais à l'une des deux adresses, soit à Montréal, sur le plateau Mont-Royal ou dans le Vieux-Québec. Ce sont des pros qui vous conseilleront sur le type de couteau que ça vous prend, selon vos besoins et vos habitudes de coupe. Allez donc magasiner sur StaySharp avec mon code promo de 10%. Le Cuisinoman, merci Olivier d'avoir commandé cet épisode. Deuxième tuyau bouffe, direction Hochelaga-Maisonneuve pour manger mon sandwich-déj préféré à Montréal, à la Boulangerie Aube. de la même famille que le hélico, hélicoptère et copilote. Entre deux belles tranches de pain feuilleté, une galette d'œuf, du fromage cheddar jaune, du ballonné top qualité de la boulangerie Édouard et Léo, quelques cornichons, sans oublier la mayonnaise au gochujang qui vient bien enrober et donner un peu de peps à tout ça. Mis à part ce spectaculaire sandwich-déj, la boulangerie Aube est vraiment une destination qui mérite d'être visitée. Non, je ne répondrai pas à la question posée en introduction à savoir si Montréal avait vraiment besoin d'un autre restaurant italien. Je vais plutôt vous laisser faire votre propre avis après vous avoir parlé d'un nouveau restaurant italien, l'Aspada. On est dans le quartier très hip Saint-Henri, à mi-chemin entre le marché Atwater et les Saté Brothers, dans possiblement le local le plus intéressant de cette section de la rue Notre-Dame, faisant le coin avec Rose de Lima. Malheureusement, depuis les dernières années, Il y a une malédiction qui plane ce coin de rue vu la rotation des restaurants depuis les 5 dernières années. Mais cette fois-ci, je crois sincèrement que ce sera le bon. Derrière ce restaurant, on retrouve le chef Steve Marconi, aussi chef du bistrot Amerigo, et le photographe culinaire Scott Usheroff, ce dernier ayant également joué au fourneau dans sa jeune carrière. L'Aspada est une ode à Rome, autant dans le menu que dans la déco, dont on pousse vraiment la caricature. Imaginez ! De l'extérieur, c'est un vrai secret. Les rideaux fermés laissent planer le mystère. Sitôt qu'on entre, on est attaqué vivellement par une déco très surchargée de cadres de tout format sur les murs, sur les poutres. On sent tout de suite l'ambiance vibrante. On sait déjà que la soirée sera bien vivante. L'aspada vient d'ouvrir, mais on sent déjà une arme bien présente. Les serveurs sont en uniforme blanc. Les nappes sont blanches également. Il y a du sérieux sans toutefois se prendre au sérieux. Au menu, Pas de pizza. Le duo Steve et Scott ont voulu amener Rome à Montréal dans l'esprit d'une austérieuse rassembleuse. Vous comprendrez que c'est l'endroit rêvé pour tout amateur et amatrice de pâtes, mais on compte également quelques plats de poisson et de viande grillée, comme un beau saltimbocca qui me faisait grandement de l'oeil, mais dont nos estomacs ont eu le dessus sur nos ambitions. Aussi, qui dit rhum dit soupli, cette sublime croquette de risotto farcie de fromage qui doit s'étirer de tout son long avant de fendre pour terminer sur nos doigts. Je confirme que c'est le meilleur soupli mangé ailleurs qu'à Rome. Sur la même table que les supplis donc, servis avec une sauce tomate texturée qui se mange à la cuillère, les tortellinis in brodo, la focaccia maison servie de tiède et le tartare de thon complètent le premier service. Je disais que c'était le meilleur supplis mangé à Montréal, et bien je vais aussi m'aventurer à dire que ce sont les meilleurs tortellinis in brodo à Montréal. D'une raison dont j'ignore, la pâte est particulièrement fluffy et dodue, puis le bouillon versé à la table pour ne pas surpire les pâtes est... absolument fantastique. Il est clair, juste assez salé pour laisser perler quelques filaments de parmigiano-reggiano. Du bonheur. Le tartare de thon est quant à lui dans la fraîcheur, assaisonné avec un jus d'orange sanguine qui se distingue en bouche, quelques filanières de concombre et de 3 gelées suprêmes de pamplemousse. La focaccia, elle, laisse ses traces d'huile d'olive sur les doigts et est parfaitement assaisonnée. Une première tablée qui, je peux me le permettre, nous emmène... plein la gueule et nous empressent de recevoir la suite. Artichaut avec ragout d'haricots à la romaine, puis choux de Bruxelles façon cachot et pépé. Le ragout fadjoli est spectaculaire, nous laissant des baffes de sapidité et de saveurs complexes à chaque bouchée. Les artichauts, fendus en quartier, auraient pu être davantage al dente, mais je ne vous cacherai pas que cette assiette nettoyée de fond en comble par le restant de focaccia était délicieuse. Toutefois, ce n'est pas le même enthousiasme pour les choux de Bruxelles. Ces derniers trop gras, trop salés, 3-4 morceaux laissent place à la saturation. On passe au suivant. Les choses sérieuses. Parmi la dizaine de choix de pâtes, incluant la trilogie des pâtes romaines étant le Ketupépé, la Matriciana et la Carbonara, c'en est suivi d'une délibération très sérieuse et avons finalement opté pour les bucatini alla vongole, donc ici au palourde, ail, vin blanc, ainsi que les tortellini riz, se dévoilant comme... quatre grosses boucles de pâtes à langue de sèche parties de morue et de flétans déposées sur une sauce crémeuse à la tartinade de saucisses épicées Nduya. Deux en deux. Mention pour les bucatini bongolais dont les pâtes sont cuites à perfection, la sauce bien délayée avec l'eau cuisson, avec une profusion de palourdes, d'ail et des flocons de piment. J'en rêve encore. Suivant les conseils de la maison, le gâteau Red Velvet, aucunement italien, atterrit au centre de la table puis repartira quelques secondes plus tard. à peine entamées, trop sucrées pour nous. On nous amène donc le gâteau tiramisu au goût corsé d'espresso, comme j'aime, qui fut une finalité à la hauteur de notre soirée. L'Aspada, une lettre d'amour à Rome dont on souhaite lire et relire. Malgré quelques eten misse y aller une première fois appelle déjà à la seconde. L'ambiance a tendance à devenir un peu cacophonique, donc prenez bien note. Finalement, est-ce que Montréal avait vraiment besoin d'un autre resto italien ? Eh bien, dès comme ça, je dirais qu'on en veut plus. Ma note pour l'Aspada, 4,3 sur 5. Ma première recommandation cette semaine intéressera davantage les gens qui cherchent souvent des endroits où luncher le midi, pensez lunch d'affaires, au centre-ville. C'est le boulevardier à l'intérieur de l'hôtel Le Germain. Juste avant la COVID, le resto a... complètement été revampé par Zébulon-Perron, mais peu de temps après, on a rapidement tout oublié à cause d'une certaine pandémie. Et, depuis le retour, je dois dire que le magnifique local avait été un peu laissé à lui-même. Mais là, depuis quelques mois, quelque chose d'intéressant se trame. J'ai vraiment senti que toute l'équipe s'était retroussée des manches pour offrir une expérience gastronomique à la hauteur de l'hôtel et du design. Un nouveau chef très talentueux a été engagé, Florimont Anoto. pour faire le boulevardier un restaurant de type brasserie chic, très axé sur les produits locaux. Je vous recommande ensuite un nouveau micro-torréfacteur qui vient de commencer à torréfier son café à même le local dans le Milex. On est du côté très puriste. Pas de café funky, mais plutôt des espressos et des filtres manuels coulés à la perfection. On peut aussi grignoter quelques gourmandises, comme croissant et madeleine, de la pâtisserie Madeleine. Ma bouchée parfaite dévorée cette semaine est le tiramisu au thé Thaï du restaurant thaïlandais Pichai. Vous ne pouvez pas comprendre comment la texture est nuageuse et comment les saveurs du thé Thaï percutent en bouche. Il y a des petites lanières de noix de coco rôties sur le dessus qui se mangent comme des grignotines. Mais honnêtement, ma bouchée parfaite est sans les noix de coco pour apprécier la texture évanescente du tiramisu. Un must à chaque gris. Merci d'avoir été là. On se donne rendez-vous la semaine prochaine pour un autre épisode truffé de belles suggestions et de bijoux gastronomiques à découvrir. Pour mes meilleures adresses à tout moment, rendez-vous sur lequiznoman.com et sur les réseaux sociaux arrobas lequiznoman. notamment sur Instagram où je partage quotidiennement mes découvertes. N'oubliez pas de vous abonner sur mon site web pour devenir membre Cuisinoman et ainsi pour avoir accès aux nombreux privilèges et rabais chez des partenaires gourmands. Ciao !

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Je continue de vous dévoiler mes adresses préférées de Montréal ! Je commence par Kouzina Niata, un comptoir grec dans le Mile-End où l’on mange le meilleur spanakopita de la ville, accompagné d’un cappuccino freddo.

Je vous parle aussi de mon sandwich déjeuner préféré à Montréal : celui de Aube Boulangerie.

Ensuite, je fais la critique de La Spada, un nouveau restaurant italien à Saint-Henri, dirigé par le chef Steve Marcone. Montréal avait-elle besoin d’un autre restaurant italien ?

 

Je vous parle aussi du restaurant Le Boulevardier qui n’a jamais eu sa chance de briller depuis la pandémie, mais qui, depuis quelques mois, travaille super bien en devenant une nouvelle destination bistro chic du centre-ville.

Ensuite, pour les amateurs de café, Even Café dans le Mile-Ex est la nouvelle destination café de Montréal.

Enfin, ma bouchée parfaite : tiramisu thé thaï. Savez-vous de quel restaurant je parle ?


Site web : www.lecuisinomane.com

Instagram : https://www.instagram.com/lecuisinomane/

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  • Speaker #0

    Au menu cette semaine, je vous parle d'un nouveau micro-trafacteur montréalais qui a le potentiel de devenir votre café de quartier préféré et d'un nouveau resto au centre-ville qui, depuis quelques mois, travaille très fort pour devenir une destination gastronomique incontournable, autant pour un souper que les lunchs d'affaires. Ma critique resto est le nouveau restaurant La Spada. Est-ce que Montréal avait réellement besoin d'un autre restaurant italien ? Mais avant, place à mes tuyaux bouffe ! Bonjour à toutes et à tous, mon nom est Tommy Dion, l'humain derrière les plateformes sociales Instagram et Facebook Le Cuisinomane, ainsi que le guide de bonnes adresses gourmand lecuisinoman.com. C'est quoi un croissant en cookies ? De rédacteur scientifique à rédacteur de critiques d'astronomique, d'athlète de haut niveau entraînant son corps à athlète du goût et de l'analyse sensorielle, bienvenue à mon podcast où chaque semaine, je vous livre oralement ma critique restaurant, en plus de partager mes récentes découvertes, coups de cœur et tuyaux beaux. Oui, s'il vous plaît. On mange quoi cette semaine ? Bienvenue dans mon univers gourmand. Je crois sincèrement que c'est mon adresse préférée du Maryland. C'est un comptoir café prêt à manger, petite épicerie avec des produits spécialisés et une grande section de plats à emporter à la maison, entièrement grecque. Mais là, tout est vraiment traditionnel grec et tout est fait maison, sur place. Même la pâte phyllo étendue à tous les jours. pas le spanakopita ou le bugatsa. Je parle ici du kudinaniata sur la rue Saint-Viateur. Vous dire à quel point j'aime d'amour cet endroit. Mon petit plaisir, c'est vraiment m'installer sur le bord de la fenêtre en mangeant le meilleur spanakopita de ma vie, qui me chamboule à chaque fois. Pas trop gras, c'est bondé d'épinards et de feta, avec un cappuccino frais d'eau. Emporté à la maison, la moussaka est juste une cloche au-dessus. Kudinaniata, merci d'exister. Pause partenaire ! Prenez plaisir à cuisiner à la maison et être rendu à magasiner un couteau japonais. Je vous offre 10% de rabais sur tous vos achats en ligne chez StaySharp avec le code promo LECUISINOMAN. Je vous conseille vraiment ce petit business local fondé par mon ami Olivier. Je me souviens lorsqu'il a commencé à vendre ses couteaux directement importés du Japon à même sa cuisine. Et bien, quelques années plus tard, voici qu'en plus d'une boutique en ligne hyper garnie de couteaux d'office, de couteaux de chef, d'étuis, de barbecue japonais même, On peut aller le visiter sur place, pas chez lui directement, mais à l'une des deux adresses, soit à Montréal, sur le plateau Mont-Royal ou dans le Vieux-Québec. Ce sont des pros qui vous conseilleront sur le type de couteau que ça vous prend, selon vos besoins et vos habitudes de coupe. Allez donc magasiner sur StaySharp avec mon code promo de 10%. Le Cuisinoman, merci Olivier d'avoir commandé cet épisode. Deuxième tuyau bouffe, direction Hochelaga-Maisonneuve pour manger mon sandwich-déj préféré à Montréal, à la Boulangerie Aube. de la même famille que le hélico, hélicoptère et copilote. Entre deux belles tranches de pain feuilleté, une galette d'œuf, du fromage cheddar jaune, du ballonné top qualité de la boulangerie Édouard et Léo, quelques cornichons, sans oublier la mayonnaise au gochujang qui vient bien enrober et donner un peu de peps à tout ça. Mis à part ce spectaculaire sandwich-déj, la boulangerie Aube est vraiment une destination qui mérite d'être visitée. Non, je ne répondrai pas à la question posée en introduction à savoir si Montréal avait vraiment besoin d'un autre restaurant italien. Je vais plutôt vous laisser faire votre propre avis après vous avoir parlé d'un nouveau restaurant italien, l'Aspada. On est dans le quartier très hip Saint-Henri, à mi-chemin entre le marché Atwater et les Saté Brothers, dans possiblement le local le plus intéressant de cette section de la rue Notre-Dame, faisant le coin avec Rose de Lima. Malheureusement, depuis les dernières années, Il y a une malédiction qui plane ce coin de rue vu la rotation des restaurants depuis les 5 dernières années. Mais cette fois-ci, je crois sincèrement que ce sera le bon. Derrière ce restaurant, on retrouve le chef Steve Marconi, aussi chef du bistrot Amerigo, et le photographe culinaire Scott Usheroff, ce dernier ayant également joué au fourneau dans sa jeune carrière. L'Aspada est une ode à Rome, autant dans le menu que dans la déco, dont on pousse vraiment la caricature. Imaginez ! De l'extérieur, c'est un vrai secret. Les rideaux fermés laissent planer le mystère. Sitôt qu'on entre, on est attaqué vivellement par une déco très surchargée de cadres de tout format sur les murs, sur les poutres. On sent tout de suite l'ambiance vibrante. On sait déjà que la soirée sera bien vivante. L'aspada vient d'ouvrir, mais on sent déjà une arme bien présente. Les serveurs sont en uniforme blanc. Les nappes sont blanches également. Il y a du sérieux sans toutefois se prendre au sérieux. Au menu, Pas de pizza. Le duo Steve et Scott ont voulu amener Rome à Montréal dans l'esprit d'une austérieuse rassembleuse. Vous comprendrez que c'est l'endroit rêvé pour tout amateur et amatrice de pâtes, mais on compte également quelques plats de poisson et de viande grillée, comme un beau saltimbocca qui me faisait grandement de l'oeil, mais dont nos estomacs ont eu le dessus sur nos ambitions. Aussi, qui dit rhum dit soupli, cette sublime croquette de risotto farcie de fromage qui doit s'étirer de tout son long avant de fendre pour terminer sur nos doigts. Je confirme que c'est le meilleur soupli mangé ailleurs qu'à Rome. Sur la même table que les supplis donc, servis avec une sauce tomate texturée qui se mange à la cuillère, les tortellinis in brodo, la focaccia maison servie de tiède et le tartare de thon complètent le premier service. Je disais que c'était le meilleur supplis mangé à Montréal, et bien je vais aussi m'aventurer à dire que ce sont les meilleurs tortellinis in brodo à Montréal. D'une raison dont j'ignore, la pâte est particulièrement fluffy et dodue, puis le bouillon versé à la table pour ne pas surpire les pâtes est... absolument fantastique. Il est clair, juste assez salé pour laisser perler quelques filaments de parmigiano-reggiano. Du bonheur. Le tartare de thon est quant à lui dans la fraîcheur, assaisonné avec un jus d'orange sanguine qui se distingue en bouche, quelques filanières de concombre et de 3 gelées suprêmes de pamplemousse. La focaccia, elle, laisse ses traces d'huile d'olive sur les doigts et est parfaitement assaisonnée. Une première tablée qui, je peux me le permettre, nous emmène... plein la gueule et nous empressent de recevoir la suite. Artichaut avec ragout d'haricots à la romaine, puis choux de Bruxelles façon cachot et pépé. Le ragout fadjoli est spectaculaire, nous laissant des baffes de sapidité et de saveurs complexes à chaque bouchée. Les artichauts, fendus en quartier, auraient pu être davantage al dente, mais je ne vous cacherai pas que cette assiette nettoyée de fond en comble par le restant de focaccia était délicieuse. Toutefois, ce n'est pas le même enthousiasme pour les choux de Bruxelles. Ces derniers trop gras, trop salés, 3-4 morceaux laissent place à la saturation. On passe au suivant. Les choses sérieuses. Parmi la dizaine de choix de pâtes, incluant la trilogie des pâtes romaines étant le Ketupépé, la Matriciana et la Carbonara, c'en est suivi d'une délibération très sérieuse et avons finalement opté pour les bucatini alla vongole, donc ici au palourde, ail, vin blanc, ainsi que les tortellini riz, se dévoilant comme... quatre grosses boucles de pâtes à langue de sèche parties de morue et de flétans déposées sur une sauce crémeuse à la tartinade de saucisses épicées Nduya. Deux en deux. Mention pour les bucatini bongolais dont les pâtes sont cuites à perfection, la sauce bien délayée avec l'eau cuisson, avec une profusion de palourdes, d'ail et des flocons de piment. J'en rêve encore. Suivant les conseils de la maison, le gâteau Red Velvet, aucunement italien, atterrit au centre de la table puis repartira quelques secondes plus tard. à peine entamées, trop sucrées pour nous. On nous amène donc le gâteau tiramisu au goût corsé d'espresso, comme j'aime, qui fut une finalité à la hauteur de notre soirée. L'Aspada, une lettre d'amour à Rome dont on souhaite lire et relire. Malgré quelques eten misse y aller une première fois appelle déjà à la seconde. L'ambiance a tendance à devenir un peu cacophonique, donc prenez bien note. Finalement, est-ce que Montréal avait vraiment besoin d'un autre resto italien ? Eh bien, dès comme ça, je dirais qu'on en veut plus. Ma note pour l'Aspada, 4,3 sur 5. Ma première recommandation cette semaine intéressera davantage les gens qui cherchent souvent des endroits où luncher le midi, pensez lunch d'affaires, au centre-ville. C'est le boulevardier à l'intérieur de l'hôtel Le Germain. Juste avant la COVID, le resto a... complètement été revampé par Zébulon-Perron, mais peu de temps après, on a rapidement tout oublié à cause d'une certaine pandémie. Et, depuis le retour, je dois dire que le magnifique local avait été un peu laissé à lui-même. Mais là, depuis quelques mois, quelque chose d'intéressant se trame. J'ai vraiment senti que toute l'équipe s'était retroussée des manches pour offrir une expérience gastronomique à la hauteur de l'hôtel et du design. Un nouveau chef très talentueux a été engagé, Florimont Anoto. pour faire le boulevardier un restaurant de type brasserie chic, très axé sur les produits locaux. Je vous recommande ensuite un nouveau micro-torréfacteur qui vient de commencer à torréfier son café à même le local dans le Milex. On est du côté très puriste. Pas de café funky, mais plutôt des espressos et des filtres manuels coulés à la perfection. On peut aussi grignoter quelques gourmandises, comme croissant et madeleine, de la pâtisserie Madeleine. Ma bouchée parfaite dévorée cette semaine est le tiramisu au thé Thaï du restaurant thaïlandais Pichai. Vous ne pouvez pas comprendre comment la texture est nuageuse et comment les saveurs du thé Thaï percutent en bouche. Il y a des petites lanières de noix de coco rôties sur le dessus qui se mangent comme des grignotines. Mais honnêtement, ma bouchée parfaite est sans les noix de coco pour apprécier la texture évanescente du tiramisu. Un must à chaque gris. Merci d'avoir été là. On se donne rendez-vous la semaine prochaine pour un autre épisode truffé de belles suggestions et de bijoux gastronomiques à découvrir. Pour mes meilleures adresses à tout moment, rendez-vous sur lequiznoman.com et sur les réseaux sociaux arrobas lequiznoman. notamment sur Instagram où je partage quotidiennement mes découvertes. N'oubliez pas de vous abonner sur mon site web pour devenir membre Cuisinoman et ainsi pour avoir accès aux nombreux privilèges et rabais chez des partenaires gourmands. Ciao !

Description

Je continue de vous dévoiler mes adresses préférées de Montréal ! Je commence par Kouzina Niata, un comptoir grec dans le Mile-End où l’on mange le meilleur spanakopita de la ville, accompagné d’un cappuccino freddo.

Je vous parle aussi de mon sandwich déjeuner préféré à Montréal : celui de Aube Boulangerie.

Ensuite, je fais la critique de La Spada, un nouveau restaurant italien à Saint-Henri, dirigé par le chef Steve Marcone. Montréal avait-elle besoin d’un autre restaurant italien ?

 

Je vous parle aussi du restaurant Le Boulevardier qui n’a jamais eu sa chance de briller depuis la pandémie, mais qui, depuis quelques mois, travaille super bien en devenant une nouvelle destination bistro chic du centre-ville.

Ensuite, pour les amateurs de café, Even Café dans le Mile-Ex est la nouvelle destination café de Montréal.

Enfin, ma bouchée parfaite : tiramisu thé thaï. Savez-vous de quel restaurant je parle ?


Site web : www.lecuisinomane.com

Instagram : https://www.instagram.com/lecuisinomane/

Facebook : https://www.facebook.com/lecuisinomane

Pour me contacter : info@lecuisinomane.com


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Au menu cette semaine, je vous parle d'un nouveau micro-trafacteur montréalais qui a le potentiel de devenir votre café de quartier préféré et d'un nouveau resto au centre-ville qui, depuis quelques mois, travaille très fort pour devenir une destination gastronomique incontournable, autant pour un souper que les lunchs d'affaires. Ma critique resto est le nouveau restaurant La Spada. Est-ce que Montréal avait réellement besoin d'un autre restaurant italien ? Mais avant, place à mes tuyaux bouffe ! Bonjour à toutes et à tous, mon nom est Tommy Dion, l'humain derrière les plateformes sociales Instagram et Facebook Le Cuisinomane, ainsi que le guide de bonnes adresses gourmand lecuisinoman.com. C'est quoi un croissant en cookies ? De rédacteur scientifique à rédacteur de critiques d'astronomique, d'athlète de haut niveau entraînant son corps à athlète du goût et de l'analyse sensorielle, bienvenue à mon podcast où chaque semaine, je vous livre oralement ma critique restaurant, en plus de partager mes récentes découvertes, coups de cœur et tuyaux beaux. Oui, s'il vous plaît. On mange quoi cette semaine ? Bienvenue dans mon univers gourmand. Je crois sincèrement que c'est mon adresse préférée du Maryland. C'est un comptoir café prêt à manger, petite épicerie avec des produits spécialisés et une grande section de plats à emporter à la maison, entièrement grecque. Mais là, tout est vraiment traditionnel grec et tout est fait maison, sur place. Même la pâte phyllo étendue à tous les jours. pas le spanakopita ou le bugatsa. Je parle ici du kudinaniata sur la rue Saint-Viateur. Vous dire à quel point j'aime d'amour cet endroit. Mon petit plaisir, c'est vraiment m'installer sur le bord de la fenêtre en mangeant le meilleur spanakopita de ma vie, qui me chamboule à chaque fois. Pas trop gras, c'est bondé d'épinards et de feta, avec un cappuccino frais d'eau. Emporté à la maison, la moussaka est juste une cloche au-dessus. Kudinaniata, merci d'exister. Pause partenaire ! Prenez plaisir à cuisiner à la maison et être rendu à magasiner un couteau japonais. Je vous offre 10% de rabais sur tous vos achats en ligne chez StaySharp avec le code promo LECUISINOMAN. Je vous conseille vraiment ce petit business local fondé par mon ami Olivier. Je me souviens lorsqu'il a commencé à vendre ses couteaux directement importés du Japon à même sa cuisine. Et bien, quelques années plus tard, voici qu'en plus d'une boutique en ligne hyper garnie de couteaux d'office, de couteaux de chef, d'étuis, de barbecue japonais même, On peut aller le visiter sur place, pas chez lui directement, mais à l'une des deux adresses, soit à Montréal, sur le plateau Mont-Royal ou dans le Vieux-Québec. Ce sont des pros qui vous conseilleront sur le type de couteau que ça vous prend, selon vos besoins et vos habitudes de coupe. Allez donc magasiner sur StaySharp avec mon code promo de 10%. Le Cuisinoman, merci Olivier d'avoir commandé cet épisode. Deuxième tuyau bouffe, direction Hochelaga-Maisonneuve pour manger mon sandwich-déj préféré à Montréal, à la Boulangerie Aube. de la même famille que le hélico, hélicoptère et copilote. Entre deux belles tranches de pain feuilleté, une galette d'œuf, du fromage cheddar jaune, du ballonné top qualité de la boulangerie Édouard et Léo, quelques cornichons, sans oublier la mayonnaise au gochujang qui vient bien enrober et donner un peu de peps à tout ça. Mis à part ce spectaculaire sandwich-déj, la boulangerie Aube est vraiment une destination qui mérite d'être visitée. Non, je ne répondrai pas à la question posée en introduction à savoir si Montréal avait vraiment besoin d'un autre restaurant italien. Je vais plutôt vous laisser faire votre propre avis après vous avoir parlé d'un nouveau restaurant italien, l'Aspada. On est dans le quartier très hip Saint-Henri, à mi-chemin entre le marché Atwater et les Saté Brothers, dans possiblement le local le plus intéressant de cette section de la rue Notre-Dame, faisant le coin avec Rose de Lima. Malheureusement, depuis les dernières années, Il y a une malédiction qui plane ce coin de rue vu la rotation des restaurants depuis les 5 dernières années. Mais cette fois-ci, je crois sincèrement que ce sera le bon. Derrière ce restaurant, on retrouve le chef Steve Marconi, aussi chef du bistrot Amerigo, et le photographe culinaire Scott Usheroff, ce dernier ayant également joué au fourneau dans sa jeune carrière. L'Aspada est une ode à Rome, autant dans le menu que dans la déco, dont on pousse vraiment la caricature. Imaginez ! De l'extérieur, c'est un vrai secret. Les rideaux fermés laissent planer le mystère. Sitôt qu'on entre, on est attaqué vivellement par une déco très surchargée de cadres de tout format sur les murs, sur les poutres. On sent tout de suite l'ambiance vibrante. On sait déjà que la soirée sera bien vivante. L'aspada vient d'ouvrir, mais on sent déjà une arme bien présente. Les serveurs sont en uniforme blanc. Les nappes sont blanches également. Il y a du sérieux sans toutefois se prendre au sérieux. Au menu, Pas de pizza. Le duo Steve et Scott ont voulu amener Rome à Montréal dans l'esprit d'une austérieuse rassembleuse. Vous comprendrez que c'est l'endroit rêvé pour tout amateur et amatrice de pâtes, mais on compte également quelques plats de poisson et de viande grillée, comme un beau saltimbocca qui me faisait grandement de l'oeil, mais dont nos estomacs ont eu le dessus sur nos ambitions. Aussi, qui dit rhum dit soupli, cette sublime croquette de risotto farcie de fromage qui doit s'étirer de tout son long avant de fendre pour terminer sur nos doigts. Je confirme que c'est le meilleur soupli mangé ailleurs qu'à Rome. Sur la même table que les supplis donc, servis avec une sauce tomate texturée qui se mange à la cuillère, les tortellinis in brodo, la focaccia maison servie de tiède et le tartare de thon complètent le premier service. Je disais que c'était le meilleur supplis mangé à Montréal, et bien je vais aussi m'aventurer à dire que ce sont les meilleurs tortellinis in brodo à Montréal. D'une raison dont j'ignore, la pâte est particulièrement fluffy et dodue, puis le bouillon versé à la table pour ne pas surpire les pâtes est... absolument fantastique. Il est clair, juste assez salé pour laisser perler quelques filaments de parmigiano-reggiano. Du bonheur. Le tartare de thon est quant à lui dans la fraîcheur, assaisonné avec un jus d'orange sanguine qui se distingue en bouche, quelques filanières de concombre et de 3 gelées suprêmes de pamplemousse. La focaccia, elle, laisse ses traces d'huile d'olive sur les doigts et est parfaitement assaisonnée. Une première tablée qui, je peux me le permettre, nous emmène... plein la gueule et nous empressent de recevoir la suite. Artichaut avec ragout d'haricots à la romaine, puis choux de Bruxelles façon cachot et pépé. Le ragout fadjoli est spectaculaire, nous laissant des baffes de sapidité et de saveurs complexes à chaque bouchée. Les artichauts, fendus en quartier, auraient pu être davantage al dente, mais je ne vous cacherai pas que cette assiette nettoyée de fond en comble par le restant de focaccia était délicieuse. Toutefois, ce n'est pas le même enthousiasme pour les choux de Bruxelles. Ces derniers trop gras, trop salés, 3-4 morceaux laissent place à la saturation. On passe au suivant. Les choses sérieuses. Parmi la dizaine de choix de pâtes, incluant la trilogie des pâtes romaines étant le Ketupépé, la Matriciana et la Carbonara, c'en est suivi d'une délibération très sérieuse et avons finalement opté pour les bucatini alla vongole, donc ici au palourde, ail, vin blanc, ainsi que les tortellini riz, se dévoilant comme... quatre grosses boucles de pâtes à langue de sèche parties de morue et de flétans déposées sur une sauce crémeuse à la tartinade de saucisses épicées Nduya. Deux en deux. Mention pour les bucatini bongolais dont les pâtes sont cuites à perfection, la sauce bien délayée avec l'eau cuisson, avec une profusion de palourdes, d'ail et des flocons de piment. J'en rêve encore. Suivant les conseils de la maison, le gâteau Red Velvet, aucunement italien, atterrit au centre de la table puis repartira quelques secondes plus tard. à peine entamées, trop sucrées pour nous. On nous amène donc le gâteau tiramisu au goût corsé d'espresso, comme j'aime, qui fut une finalité à la hauteur de notre soirée. L'Aspada, une lettre d'amour à Rome dont on souhaite lire et relire. Malgré quelques eten misse y aller une première fois appelle déjà à la seconde. L'ambiance a tendance à devenir un peu cacophonique, donc prenez bien note. Finalement, est-ce que Montréal avait vraiment besoin d'un autre resto italien ? Eh bien, dès comme ça, je dirais qu'on en veut plus. Ma note pour l'Aspada, 4,3 sur 5. Ma première recommandation cette semaine intéressera davantage les gens qui cherchent souvent des endroits où luncher le midi, pensez lunch d'affaires, au centre-ville. C'est le boulevardier à l'intérieur de l'hôtel Le Germain. Juste avant la COVID, le resto a... complètement été revampé par Zébulon-Perron, mais peu de temps après, on a rapidement tout oublié à cause d'une certaine pandémie. Et, depuis le retour, je dois dire que le magnifique local avait été un peu laissé à lui-même. Mais là, depuis quelques mois, quelque chose d'intéressant se trame. J'ai vraiment senti que toute l'équipe s'était retroussée des manches pour offrir une expérience gastronomique à la hauteur de l'hôtel et du design. Un nouveau chef très talentueux a été engagé, Florimont Anoto. pour faire le boulevardier un restaurant de type brasserie chic, très axé sur les produits locaux. Je vous recommande ensuite un nouveau micro-torréfacteur qui vient de commencer à torréfier son café à même le local dans le Milex. On est du côté très puriste. Pas de café funky, mais plutôt des espressos et des filtres manuels coulés à la perfection. On peut aussi grignoter quelques gourmandises, comme croissant et madeleine, de la pâtisserie Madeleine. Ma bouchée parfaite dévorée cette semaine est le tiramisu au thé Thaï du restaurant thaïlandais Pichai. Vous ne pouvez pas comprendre comment la texture est nuageuse et comment les saveurs du thé Thaï percutent en bouche. Il y a des petites lanières de noix de coco rôties sur le dessus qui se mangent comme des grignotines. Mais honnêtement, ma bouchée parfaite est sans les noix de coco pour apprécier la texture évanescente du tiramisu. Un must à chaque gris. Merci d'avoir été là. On se donne rendez-vous la semaine prochaine pour un autre épisode truffé de belles suggestions et de bijoux gastronomiques à découvrir. Pour mes meilleures adresses à tout moment, rendez-vous sur lequiznoman.com et sur les réseaux sociaux arrobas lequiznoman. notamment sur Instagram où je partage quotidiennement mes découvertes. N'oubliez pas de vous abonner sur mon site web pour devenir membre Cuisinoman et ainsi pour avoir accès aux nombreux privilèges et rabais chez des partenaires gourmands. Ciao !

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