undefined cover
undefined cover
121. Endométriose : Pourquoi un diagnostic plus rapide ne changera (malheureusement) rien à ton parcours ? cover
121. Endométriose : Pourquoi un diagnostic plus rapide ne changera (malheureusement) rien à ton parcours ? cover
Positive - Fertilité, émotions, PMA

121. Endométriose : Pourquoi un diagnostic plus rapide ne changera (malheureusement) rien à ton parcours ?

121. Endométriose : Pourquoi un diagnostic plus rapide ne changera (malheureusement) rien à ton parcours ?

20min |26/02/2025
Play
undefined cover
undefined cover
121. Endométriose : Pourquoi un diagnostic plus rapide ne changera (malheureusement) rien à ton parcours ? cover
121. Endométriose : Pourquoi un diagnostic plus rapide ne changera (malheureusement) rien à ton parcours ? cover
Positive - Fertilité, émotions, PMA

121. Endométriose : Pourquoi un diagnostic plus rapide ne changera (malheureusement) rien à ton parcours ?

121. Endométriose : Pourquoi un diagnostic plus rapide ne changera (malheureusement) rien à ton parcours ?

20min |26/02/2025
Play

Description

➡️ DERNIERS JOURS : Découvre maintenant le Booster Eclosion en cliquant ici !


Un test salivaire révolutionnaire pour détecter l’endométriose ? Oui… mais non.


Si cette avancée permet un diagnostic plus rapide, elle ne change absolument rien à la prise en charge des femmes concernées. Toujours les mêmes réponses : pilule, anti-inflammatoires, chirurgie… et un mépris total pour les solutions naturelles qui fonctionnent !


Dans cet épisode, je te dévoile les vraies limites de la médecine conventionnelle et ce que tu peux faire au-delà du diagnostic pour améliorer ta fertilité et réduire tes symptômes.


🎧 À écouter si tu es concernée de près ou de loin par l’endométriose et que tu veux enfin des solutions concrètes !



💡 Pour aller plus loin :


➡️ Programme d'accompagnement

➡️ Programme Survivre aux deux semaines d'attente (post FIV)

Télécharge mon guide offert surwww.positivemindattitude.fr 

………………………………………………… 

Découvre mes livres :

………………………………………………… 

Retrouve-moi sur :


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hello, c'est Mia de Positive Mind Attitude. Après un parcours de plus de 4 ans et demi avant de connaître enfin les joies de la maternité, j'ai décidé d'associer mes compétences professionnelles de thérapeute à mon vécu personnel lié à l'infertilité et la PMA pour accompagner les femmes en désir d'enfant et leur permettre de reprendre le plein pouvoir sur leur fertilité. Si tu veux agir pour ne plus subir, tu es au bon endroit. Que tu sois suivi médicalement ou non, Mes conseils te permettront d'avoir un autre regard sur ton parcours et d'adopter une approche globale pour mettre toutes les chances de ton côté. Ensemble, brisons le tabou de l'infertilité. Si tu connais une femme qui est concernée par le sujet, je t'invite à lui partager cet épisode. Maintenant, installe-toi confortablement et c'est parti pour l'épisode du jour. Endométriose, pourquoi un diagnostic plus rapide ne changera malheureusement rien à ta situation ? Hello, je suis ravie de te retrouver aujourd'hui pour un épisode qui touche vraiment à l'actualité. Je pense que tu n'as pas su passer à côté de cette info, et si c'est le cas, évidemment, rassure-toi, tu vas être informé de tout ce qui se passe. Mais en réalité, c'est vrai que ça touche l'actualité parce que c'est une annonce qui a fait grand bruit. C'est une annonce qui a fait grand bruit et je pense malheureusement que c'est entre guillemets un peu à tort parce que je suis vraiment vraiment vraiment mitigée par rapport à ça et je vais t'expliquer pourquoi. Donc si tu n'as pas suivi l'actualité, je te donne l'info. En gros, il y a un test salivaire qui a été conçu et qui permet de détecter l'endométriose. Ce test a un coût approximatif de plus ou moins 800 euros avec un remboursement sous certaines conditions. Alors clairement, ce que je trouve génial, on ne va pas se mentir, c'est effectivement qu'il y ait quelque chose qui soit mis en place pour favoriser le diagnostic. Donc clairement, je trouve ça super, on est bien d'accord. Maintenant, ma réflexion est plus sur le après. Ok, on te dit que tu as de l'endométriose, ou en tout cas on te le confirme, parce qu'en général quand même, si tu envisages de faire tous ces examens et tous ces tests, c'est que quand même, il y a une suspicion potentielle. Donc, à partir du moment où on te dit oui c'est ça, ok, je veux dire parfois ça peut soulager de savoir enfin ce qu'on a, et ça évidemment je l'entends parce que le critère diagnostique... reste quelque chose de très très très important et je ne veux surtout pas donner l'impression de minimiser ça, on est bien d'accord, c'est très important. Maintenant, là où je suis vachement mitigée, c'est une fois que tu le sais, est-ce que ça va vraiment changer quelque chose pour les femmes qui en souffrent ? La réponse c'est non, hélas, non. Le problème ça n'a jamais été vraiment le diagnostic seul. Alors oui, on s'entend, quand on sait que l'endométriose met plus de 7 ans à être diagnostiquée, enfin... Pour moi, c'est juste une aberration totale. Donc clairement, le diagnostic, c'est la première étape la plus importante, on est bien d'accord. Mais le vrai fond du problème, c'est le manque de solutions qu'il y a derrière. Et donc, en fait, je trouve que oui, c'est vrai, avant, il fallait attendre des années pour être diagnostiqué. Donc voilà, clairement, errance médicale, douleurs incomprises, des examens invasifs, etc. Là, de ce côté-là, évidemment, c'est top. On va peut-être enfin arrêter de dire que c'est dans ta tête. Ça, je suis bien d'accord à... 3000%. Donc oui, c'est une vraie avancée à ce niveau-là. Mais le diagnostic n'est en réalité que la première étape, parce que moi, ce qui m'importe, c'est le après. Malheureusement, le suivi ne va pas changer pour autant, parce que la réponse des médecins est en général plus ou moins assez uniforme. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire qu'on va dire que il faut reprendre la pilule. Ouais, alors ça va masquer les symptômes, mais ça ne va pas franchement t'aider, puisque si tu m'écoutes, c'est que forcément, tu es en désir d'enfant. Donc la contraception, dans ce cas-là, non. Et j'ai envie de dire même, au sens large, non. Tu connais ma position sur le sujet. Quand je vois les hormones qu'il y a là-dedans, je me dis, mon Dieu, non. Encore une fois, c'est bizarre que la pilule pour hommes n'ait jamais été vraiment, je ne veux pas dire inventée, parce qu'il y a des débuts, il y a des choses qui sont là, mais ça n'a jamais été vraiment mis sur le marché. Pourquoi ? Parce qu'on refuserait de donner aux hommes de telles hormones. Par contre, aux femmes, ça ne dérange personne. Donc voilà, la pilule. Pour moi, en tout cas, c'est non sur du long terme, que ce soit en raison de l'endométriose ou non. On ne fait que masquer les symptômes, donc non. On va te donner des anti-inflammatoires, ok, mais de nouveau, on va se contenter de camoufler, mais on ne va pas régler le problème, on ne va pas le prendre à la source. On va te parler de chirurgie, ok, je ne dis pas que dans certains cas, ce n'est pas nécessaire, bien sûr. Ça peut permettre de renettoyer, d'enlever certaines lésions, etc., bien sûr. Mais de nouveau, sans prise en charge globale, en fait, la récidive, elle est quasiment assurée. Donc, ça n'a absolument pas d'intérêt, en fait, dans le sens où... Ce sont des solutions qui sont là, mais des solutions qui sont à court terme. Malheureusement, quand on commence à parler d'approche naturelle, elle est un peu moins, mais quand même encore toujours majoritairement balayée d'un revers de la main, voire par certains parfois même tournées en ridicule, parce que quand on parle d'alimentation, il y a encore énormément de destins qui disent qu'il n'y a absolument aucun lien, qu'il n'y a rien de prouvé. Si, si, en fait c'est prouvé, il y a de nombreuses études qui sont sorties là-dessus, c'est juste que les médecins n'en ont pas connaissance. encore un autre débat. Mais donc, clairement, l'alimentation anti-inflammatoire peut vraiment, vraiment drastiquement diminuer les douleurs. Je le vois au quotidien, déjà à titre personnel, mais évidemment, je ne vais pas juste me contenter de prendre mon cas perso pour en tirer des conclusions. C'est aussi ce que je vois auprès de toutes les femmes que j'accompagne qui ont de l'endométriose, voire une suspicion, ou en tout cas où il y a une pathologie qui est inflammatoire. On modifie tout ça et ça change drastiquement leur quotidien. À côté de ça, bien sûr, Il y a de nombreuses études qui ont été faites sur le sujet. Et en plus, évidemment, de réduire drastiquement les douleurs, ça améliore aussi considérablement la fertilité. Donc oui, effectivement, il y a un lien et ça reste vraiment très important. Quand on parle aussi des compléments alimentaires, énormément disent oui, mais en gros, c'est un effet placebo. Non, il y a de nombreuses études scientifiques sur le sujet qui vont montrer effectivement que certains minéraux vont réduire l'inflammation. certaines vitamines, minéraux, compléments de manière générale vont vraiment considérablement réduire l'inflammation et améliorer la qualité homocytaire parce que c'est aussi une des grosses problématiques de l'endométriose. Mais donc voilà, ce n'est pas pour autant que du jour au lendemain, les médecins vont se mettre à prescrire ça parce qu'on va se dire les choses, ça ne rapporte rien au laboratoire pharmaceutique ou pas grand-chose en tout cas. Et puis évidemment, on va balayer aussi d'un revers de la main le stress, etc. Alors que l'impact du cortisol... sur l'inflammation chronique est là aussi largement étudiée. En fait, des références et des études scientifiques, il y en a des tonnes. Pas forcément encore autant que je le souhaiterais, si on compare certaines analyses. Si on parle, par exemple, de problèmes érectiles, on va trouver des milliers et des milliers de références, des milliers d'études scientifiques. Quand on parle de la santé féminine, tout de suite, il y en a vachement moins quand même. Mais en tout cas, elles existent, elles ont le mérite d'exister, elles ont le mérite d'être là. Et il y a vraiment des études qui sont particulièrement intéressantes. Donc, la grosse problématique, au-delà encore une fois du diagnostic, c'est que, de manière générale, le médical tel qu'on le connaît de façon très classique va rester enfermé dans une vision qui est complètement dépassée et ne propose absolument aucune approche globale. Et donc ça, pour moi... ça reste vraiment, vraiment, vraiment le fond du problème. C'est bien d'opérer, c'est bien de donner certains traitements, etc. Et encore une fois, je ne dis pas qu'il ne faut pas en prendre ou ne pas faire d'opération. Ce n'est pas du tout ce que je dis. Par contre, ce que je dis, c'est que ça ne va pas régler le problème. Donc, il y a besoin vraiment impérativement d'une approche globale. Donc, oui, c'est génial d'avoir cette avancée au niveau de ce test, de la mise en place de ce test. Et encore, on va voir aussi sur du long terme vraiment le taux de fiabilité, etc. Je suis quand même toujours très surprise et intéressée dans le bon sens. Mais j'aime quand même toujours avoir l'esprit critique parce que je ne veux pas prendre ça comme un acquis en se disant « Waouh, c'est génial, c'est révolutionnaire, ça va changer » . Et puis on se retrouve cinq ans plus tard et on va s'apercevoir qu'en fait, il n'y a pas grand-chose qui aura changé dans le fond. Donc le test, le diagnostic, c'est génial. Et en même temps, ce qu'on attend derrière, c'est une transformation dans la prise en charge. Donc... Tu vas me dire, ok, mais imaginons, je sais, c'est confirmé. Eh bien, ce qui va être important, c'est de te dire, mais qu'est-ce que je peux faire au-delà du diagnostic ? Parce qu'on va te confirmer quelque chose que tu soupçonnais 9 fois sur 10 déjà en amont. Et donc, ce qui va être important, évidemment, c'est de travailler sur une alimentation qui est anti-inflammatoire. Il y a d'ailleurs un épisode de podcast que j'ai enregistré avec Fabien Piasco, que je t'invite à aller écouter ou réécouter si tu ne l'as pas déjà. Déjà fait parce que c'est vrai que cet épisode est un épisode pépite. C'est vraiment un épisode extraordinaire parce qu'on partage énormément d'infos. Alors, c'est l'épisode 108. Je t'invite vraiment à aller écouter l'épisode avec Fabien parce qu'on a partagé énormément de conseils pour cette alimentation anti-inflammatoire qu'il a d'ailleurs appelée l'alimentation anti-endométriose où on a parlé évidemment de tout ce qui était sucre, de produits laitiers. On a parlé des bons gras, on a parlé de plein, plein de choses. Donc, c'était vraiment super intéressant. À côté de ça, c'est évident qu'il est nécessaire de soutenir son corps avec des compléments qui sont adaptés. Ça, tu le sais. Alors, attention, je vais quand même mettre en garde aussi parce que je suis la première, évidemment, à parler de complémentation. Parce que je trouve que ça doit vraiment faire partie de l'approche, en tout cas de la solution qu'on met en place. Parce qu'aujourd'hui, malheureusement, l'alimentation, même saine, ne permet pas d'obtenir... tous les bienfaits, en raison de l'industrialisation, de l'utilisation de pesticides, etc. On ne mange plus exactement ce qu'on pouvait manger au début du siècle dernier. Je ne vais même pas remonter à il y a 500 ans, on va juste remonter au début des années 1900. À l'échelle du monde, à l'échelle de la planète, ce n'est pas loin. Mais évidemment, il y a eu une révolution drastique au niveau de l'industrialisation, et malheureusement... La qualité des sols s'est considérablement appauvrie parce qu'on est en train de tuer le sol. Et donc forcément, la qualité de ce qu'on mange est aussi vachement appauvrie. Quand on voit la pollution à la fois de la terre, de la mer, etc., forcément, c'est nous les premiers qui en sommes impactés parce qu'on mange tout ce qui provient de la terre, on mange tout ce qui provient de la mer. Et donc forcément, on est impacté aussi au niveau des pesticides, des perturbateurs endocriniens, etc. C'est catastrophique. Donc clairement, on a besoin de compléments adaptés. Maintenant j'insiste sur « adapter » . Le mot « adapter » a toute son importance. Pourquoi ? Parce que je vois trop de femmes vouloir prendre des compléments et c'est super, mais sans avoir fait d'analyse au préalable. Et du coup on se retrouve avec des compléments qui ne sont pas forcément efficaces parce que pas les bons selon la personne, et où on se retrouve avec des compléments qui ne sont pas correctement dosés. Et ça pose problème aussi parce que ça met du temps aussi à remonter du coup, enfin quand je dis remonter ou diminuer selon la nécessité. C'est vraiment important de se dire, se complémenter, oui, mais pas n'importe comment. On ne joue pas aux apprentis chimistes, on ne joue pas aux apprentis sorciers. La complémentation, ce n'est pas quelque chose qu'on prend à la légère. C'est vraiment important, d'autant plus que certains peuvent avoir des impacts et des interactions au niveau des protocoles PMA. On ne fait pas n'importe quoi avec ça. C'est vraiment super important. Et bien sûr aussi, toute la partie stress, la partie émotionnelle. n'est pas à sous-estimer non plus dans les pathologies inflammatoires, parce que comme je te le disais, évidemment, tout ce qui est, par exemple, le cortisol, eh bien ça va accentuer toute la dimension inflammatoire. Donc on a besoin d'intégrer aussi cette dimension-là dans la prise en charge. Donc tu vois que le diagnostic c'est bien, mais en réalité, à côté de ça, il y a énormément de choses à faire en parallèle. Je vais juste partager un message que j'ai reçu ce matin. Je vais le reprendre ici sous les yeux. Je le fais en direct, c'est vraiment toujours du spontané, mais parce que je trouve ça juste extraordinaire. Je sors un petit peu du contexte de l'endométriose, mais c'est juste pour te montrer la nécessité d'une approche globale. J'ai reçu ce matin un message. d'une jeune femme que j'accompagne dans le cadre du coaching Éclosion et qui a rejoint le coaching vraiment tout récemment et qui m'envoie un message en me disant « Coucou Mia, je te partage ma petite victoire TSH. Il y a deux semaines, ma TSH était de 11,4 et vendredi, elle était de 4,25. » Et dire que l'endocrinologue m'a dit que ça prendrait des mois pour qu'elle commence à redescendre. Et en fait, tu vois, ce message... Je l'adore et je suis vraiment super contente de l'avoir reçu. Alors, je sors du contexte de l'endométriose, mais juste pour te dire une chose, c'est que souvent, les médecins vont te dire, ça va mettre des mois pour faire ci, ça va mettre autant de temps pour faire ça. Mais oui, en fait, ça prend énormément de temps. Pourquoi ? Parce qu'on a une approche qui est segmentée. On a une approche où, en fait, on va se contenter d'appuyer sur peut-être un levier. Et je trouve ça dommage quand on sait qu'avec une approche globale, ça peut aller vachement plus vite. Donc, c'est vraiment important de garder ça en tête. Et tu vois ici, la TSH, on est d'accord, elle n'est pas encore dans les clous. On est bien, bien, bien d'accord là-dessus. Il y a encore des choses à faire. Mais en réalité, déjà, il faudrait que je regarde vraiment sa date d'entrée au sein du coaching d'éclosion. Mais c'est vraiment, vraiment tout récent. Et quand elle m'a rejoint, elle ne savait pas encore qu'elle avait des problèmes de thyroïde. On a mis les choses en place et elle a découvert justement les problèmes de thyroïde. Donc c'est très bien parce qu'on a pu mettre le doigt dessus. Là où d'autres médecins avaient tendance à lui dire oui mais vous êtes jeune parce qu'elle a 27 ans. Et donc les médecins, le corps médical de manière générale lui disait oui mais vous êtes jeune, vous avez le temps. Non, on ne parle pas d'un job, on ne parle pas de postuler à une place, on ne parle pas de ça. Donc l'âge en matière médicale n'a absolument rien à voir là-dedans. Qu'est-ce que je veux dire par là ? Si on lui dit, vous êtes jeune, en gros, continuez à essayer pendant une année entière et puis on se revoit. Oui, sauf que si on ne diagnostique pas qu'il y a effectivement un problème, en une année, je te laisse imaginer l'ampleur, la progression que cette pathologie peut prendre. C'est juste énorme. Donc, on a bien fait de comprendre, on a bien fait de creuser, parce qu'effectivement, il y avait de gros problèmes. D'ailleurs, ça a été pris en charge tout de suite, une fois qu'ils l'ont identifié, donc déjà, c'est bien. Mais à côté de ça, leur approche n'est pas... Encore une fois, que mono... C'est même pas mono-solution, je pourrais même pas dire ça, parce que pour moi, c'est pas une solution. Mais il faut comprendre d'où vient le dysfonctionnement, et il faut le régler. Et là, tu vois, en à peine... Donc là, elle me disait, il y a deux semaines, la TSH était de 11, vendredi, elle était à 4. Donc en deux semaines de temps... On a quasiment divisé par trois son taux de TSH. Donc, c'est juste pour te montrer à quel point le fait de mettre en place une approche globale, ça peut tout changer. Et donc, c'est ça aussi que j'ai envie de te faire prendre conscience. C'est de ça dont j'ai envie de te faire prendre conscience. Parce que c'est pareil ici pour cette prise en charge, de se dire, ben voilà, on a de l'endométriose, ok, on a le diagnostic. Et ça, c'est super encore une fois. Mais derrière, est-ce que vraiment la prise en charge va changer ? À ce jour, la réponse, c'est non. Donc peut-être que dans 3 ans, 4 ans, 5 ans, je refais un nouvel épisode de podcast en me disant c'est fantastique. Mais pardon, je n'y crois absolument pas. Je n'y crois absolument pas parce qu'à ce jour, encore une fois, même s'il y a plein d'études scientifiques, elles n'arrivent pas forcément à la connaissance des médecins. Parce que aussi, ça ne rapporte pas grand-chose de fonctionner différemment. Les compléments alimentaires, même si effectivement ça coûte, ça coûte toujours vachement moins cher que les traitements, soi-disant. que des protocoles médicamenteux, j'entends par là, et encore moins, évidemment, qu'une opération. Et donc, il y a toujours un côté, finalement, business qui est là derrière et on peut le tourner comme on veut. Je pense qu'il est quand même temps de se dire les vraies choses. En tout cas, tu le sais, moi, je n'ai pas de filtre, je n'ai pas de langue de bois et je pense clairement qu'on gagnerait en santé, en énergie, en temps, en tout, que de prendre les choses de façon préventive plutôt que curative, d'autant plus quand on sait à quel point le curatif n'est pas à la hauteur. Donc vraiment, il y a beaucoup de choses à mettre en place. Si tu sens que toi aussi, ça te parle, que tu te dis, en fait, oui, c'est bien, maintenant je sais que j'ai de l'endométriose, mais je veux aller plus loin et je veux vraiment mettre en place une approche globale, je t'invite vraiment à rejoindre le programme d'accompagnement, que ce soit le coaching Éclosion, que ce soit le programme Fertility. Tu auras évidemment toutes les infos pour pouvoir avancer, mettre des choses en place. Arrêtez d'avancer à l'aveugle, en fait, tu auras toutes ces infos. Évidemment, si tu es dans le cadre du coaching l'éclosion, c'est du personnalisé. On est vraiment ensemble, où je vais vraiment creuser, évidemment, sur tout ce qu'il y a moyen de creuser. Et donc, c'est vraiment le moment de te lancer. Si tu hésites, si tu as envie de te dire, ok, là maintenant c'est bon, j'ai assez perdu de temps, eh bien, on va aller vachement plus vite, on va accélérer tout ça. Et surtout, tu vas apprendre à comprendre tout ce qui se joue là derrière. Et crois-moi, tu ne seras pas déçu. Il y a énormément de choses que tu ignores. Même si, et j'insiste, même si tu as un bagage au niveau médical, même si tu as un bagage au niveau, quand je dis médical, c'est médical et ou paramédical, j'accompagne des médecins, j'accompagne des infirmières, j'accompagne des femmes qui sont issues elles-mêmes du milieu médical et qui découvrent énormément de choses parce que ça reste une approche très spécifique, d'accord ? Et que souvent, même si tu as des connaissances d'un point de vue médical qui sont poussées, J'ai envie de te dire, c'est même génial parce qu'on va pouvoir aller encore plus vite parce que tu connais les bases, tu connais plein de choses et donc c'est génial, on va pouvoir aller voir tout ça. Mais ça reste évidemment une approche qui est très spécifique, la médecine fonctionnelle, l'approche globale vraiment de la pathologie, de la fertilité, etc. C'est quand même un terrain très spécifique, ça fait 11 ans que je suis sur le sujet et ça fait 11 ans que je me forme. Donc laisse-moi te dire que j'aurai forcément un coup d'avance et que je pense que même si tu as un bagage... très important derrière toi, je pense que tu vas vraiment être surprise des bons et des liens que tu vas enfin pouvoir faire. Alors que jusqu'ici, il te manquait des éléments au niveau de ton puzzle. Je vais t'aider à le reconstituer et tu vas voir à quel point tout va s'éclairer. Donc, si tu as envie d'être conseillé, si tu as envie d'aller voir plus loin, rejoins évidemment mon accompagnement dès maintenant. Moi, je me ferai un plaisir de t'accompagner. Je me ferai un plaisir vraiment de... te donner les bonnes infos au bon moment parce que, encore une fois, le diagnostic, c'est bien, c'est une avancée, mais ça ne suffit pas. Et ça vaut évidemment que tu sois avec de l'endométriose, un SOPK, une insuffisance ovarienne, avec plein plein de choses. C'est génial, mais je pense qu'il y a moyen de faire mille fois plus et surtout de le faire différemment. Alors si mon discours te parle, n'attends pas, tu viens cliquer sur le lien qui est dans la description de cet épisode et on se retrouve de l'autre côté. Prends soin de toi. Merci d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout. Si tu veux aller plus loin et bénéficier de plus de conseils, télécharge maintenant mon guide offert sur positivemindattitude.fr. Pour encourager ce podcast, merci de mettre une note et ou un commentaire sur ta plateforme d'écoute. Je te dis à très vite pour un prochain épisode.

Description

➡️ DERNIERS JOURS : Découvre maintenant le Booster Eclosion en cliquant ici !


Un test salivaire révolutionnaire pour détecter l’endométriose ? Oui… mais non.


Si cette avancée permet un diagnostic plus rapide, elle ne change absolument rien à la prise en charge des femmes concernées. Toujours les mêmes réponses : pilule, anti-inflammatoires, chirurgie… et un mépris total pour les solutions naturelles qui fonctionnent !


Dans cet épisode, je te dévoile les vraies limites de la médecine conventionnelle et ce que tu peux faire au-delà du diagnostic pour améliorer ta fertilité et réduire tes symptômes.


🎧 À écouter si tu es concernée de près ou de loin par l’endométriose et que tu veux enfin des solutions concrètes !



💡 Pour aller plus loin :


➡️ Programme d'accompagnement

➡️ Programme Survivre aux deux semaines d'attente (post FIV)

Télécharge mon guide offert surwww.positivemindattitude.fr 

………………………………………………… 

Découvre mes livres :

………………………………………………… 

Retrouve-moi sur :


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hello, c'est Mia de Positive Mind Attitude. Après un parcours de plus de 4 ans et demi avant de connaître enfin les joies de la maternité, j'ai décidé d'associer mes compétences professionnelles de thérapeute à mon vécu personnel lié à l'infertilité et la PMA pour accompagner les femmes en désir d'enfant et leur permettre de reprendre le plein pouvoir sur leur fertilité. Si tu veux agir pour ne plus subir, tu es au bon endroit. Que tu sois suivi médicalement ou non, Mes conseils te permettront d'avoir un autre regard sur ton parcours et d'adopter une approche globale pour mettre toutes les chances de ton côté. Ensemble, brisons le tabou de l'infertilité. Si tu connais une femme qui est concernée par le sujet, je t'invite à lui partager cet épisode. Maintenant, installe-toi confortablement et c'est parti pour l'épisode du jour. Endométriose, pourquoi un diagnostic plus rapide ne changera malheureusement rien à ta situation ? Hello, je suis ravie de te retrouver aujourd'hui pour un épisode qui touche vraiment à l'actualité. Je pense que tu n'as pas su passer à côté de cette info, et si c'est le cas, évidemment, rassure-toi, tu vas être informé de tout ce qui se passe. Mais en réalité, c'est vrai que ça touche l'actualité parce que c'est une annonce qui a fait grand bruit. C'est une annonce qui a fait grand bruit et je pense malheureusement que c'est entre guillemets un peu à tort parce que je suis vraiment vraiment vraiment mitigée par rapport à ça et je vais t'expliquer pourquoi. Donc si tu n'as pas suivi l'actualité, je te donne l'info. En gros, il y a un test salivaire qui a été conçu et qui permet de détecter l'endométriose. Ce test a un coût approximatif de plus ou moins 800 euros avec un remboursement sous certaines conditions. Alors clairement, ce que je trouve génial, on ne va pas se mentir, c'est effectivement qu'il y ait quelque chose qui soit mis en place pour favoriser le diagnostic. Donc clairement, je trouve ça super, on est bien d'accord. Maintenant, ma réflexion est plus sur le après. Ok, on te dit que tu as de l'endométriose, ou en tout cas on te le confirme, parce qu'en général quand même, si tu envisages de faire tous ces examens et tous ces tests, c'est que quand même, il y a une suspicion potentielle. Donc, à partir du moment où on te dit oui c'est ça, ok, je veux dire parfois ça peut soulager de savoir enfin ce qu'on a, et ça évidemment je l'entends parce que le critère diagnostique... reste quelque chose de très très très important et je ne veux surtout pas donner l'impression de minimiser ça, on est bien d'accord, c'est très important. Maintenant, là où je suis vachement mitigée, c'est une fois que tu le sais, est-ce que ça va vraiment changer quelque chose pour les femmes qui en souffrent ? La réponse c'est non, hélas, non. Le problème ça n'a jamais été vraiment le diagnostic seul. Alors oui, on s'entend, quand on sait que l'endométriose met plus de 7 ans à être diagnostiquée, enfin... Pour moi, c'est juste une aberration totale. Donc clairement, le diagnostic, c'est la première étape la plus importante, on est bien d'accord. Mais le vrai fond du problème, c'est le manque de solutions qu'il y a derrière. Et donc, en fait, je trouve que oui, c'est vrai, avant, il fallait attendre des années pour être diagnostiqué. Donc voilà, clairement, errance médicale, douleurs incomprises, des examens invasifs, etc. Là, de ce côté-là, évidemment, c'est top. On va peut-être enfin arrêter de dire que c'est dans ta tête. Ça, je suis bien d'accord à... 3000%. Donc oui, c'est une vraie avancée à ce niveau-là. Mais le diagnostic n'est en réalité que la première étape, parce que moi, ce qui m'importe, c'est le après. Malheureusement, le suivi ne va pas changer pour autant, parce que la réponse des médecins est en général plus ou moins assez uniforme. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire qu'on va dire que il faut reprendre la pilule. Ouais, alors ça va masquer les symptômes, mais ça ne va pas franchement t'aider, puisque si tu m'écoutes, c'est que forcément, tu es en désir d'enfant. Donc la contraception, dans ce cas-là, non. Et j'ai envie de dire même, au sens large, non. Tu connais ma position sur le sujet. Quand je vois les hormones qu'il y a là-dedans, je me dis, mon Dieu, non. Encore une fois, c'est bizarre que la pilule pour hommes n'ait jamais été vraiment, je ne veux pas dire inventée, parce qu'il y a des débuts, il y a des choses qui sont là, mais ça n'a jamais été vraiment mis sur le marché. Pourquoi ? Parce qu'on refuserait de donner aux hommes de telles hormones. Par contre, aux femmes, ça ne dérange personne. Donc voilà, la pilule. Pour moi, en tout cas, c'est non sur du long terme, que ce soit en raison de l'endométriose ou non. On ne fait que masquer les symptômes, donc non. On va te donner des anti-inflammatoires, ok, mais de nouveau, on va se contenter de camoufler, mais on ne va pas régler le problème, on ne va pas le prendre à la source. On va te parler de chirurgie, ok, je ne dis pas que dans certains cas, ce n'est pas nécessaire, bien sûr. Ça peut permettre de renettoyer, d'enlever certaines lésions, etc., bien sûr. Mais de nouveau, sans prise en charge globale, en fait, la récidive, elle est quasiment assurée. Donc, ça n'a absolument pas d'intérêt, en fait, dans le sens où... Ce sont des solutions qui sont là, mais des solutions qui sont à court terme. Malheureusement, quand on commence à parler d'approche naturelle, elle est un peu moins, mais quand même encore toujours majoritairement balayée d'un revers de la main, voire par certains parfois même tournées en ridicule, parce que quand on parle d'alimentation, il y a encore énormément de destins qui disent qu'il n'y a absolument aucun lien, qu'il n'y a rien de prouvé. Si, si, en fait c'est prouvé, il y a de nombreuses études qui sont sorties là-dessus, c'est juste que les médecins n'en ont pas connaissance. encore un autre débat. Mais donc, clairement, l'alimentation anti-inflammatoire peut vraiment, vraiment drastiquement diminuer les douleurs. Je le vois au quotidien, déjà à titre personnel, mais évidemment, je ne vais pas juste me contenter de prendre mon cas perso pour en tirer des conclusions. C'est aussi ce que je vois auprès de toutes les femmes que j'accompagne qui ont de l'endométriose, voire une suspicion, ou en tout cas où il y a une pathologie qui est inflammatoire. On modifie tout ça et ça change drastiquement leur quotidien. À côté de ça, bien sûr, Il y a de nombreuses études qui ont été faites sur le sujet. Et en plus, évidemment, de réduire drastiquement les douleurs, ça améliore aussi considérablement la fertilité. Donc oui, effectivement, il y a un lien et ça reste vraiment très important. Quand on parle aussi des compléments alimentaires, énormément disent oui, mais en gros, c'est un effet placebo. Non, il y a de nombreuses études scientifiques sur le sujet qui vont montrer effectivement que certains minéraux vont réduire l'inflammation. certaines vitamines, minéraux, compléments de manière générale vont vraiment considérablement réduire l'inflammation et améliorer la qualité homocytaire parce que c'est aussi une des grosses problématiques de l'endométriose. Mais donc voilà, ce n'est pas pour autant que du jour au lendemain, les médecins vont se mettre à prescrire ça parce qu'on va se dire les choses, ça ne rapporte rien au laboratoire pharmaceutique ou pas grand-chose en tout cas. Et puis évidemment, on va balayer aussi d'un revers de la main le stress, etc. Alors que l'impact du cortisol... sur l'inflammation chronique est là aussi largement étudiée. En fait, des références et des études scientifiques, il y en a des tonnes. Pas forcément encore autant que je le souhaiterais, si on compare certaines analyses. Si on parle, par exemple, de problèmes érectiles, on va trouver des milliers et des milliers de références, des milliers d'études scientifiques. Quand on parle de la santé féminine, tout de suite, il y en a vachement moins quand même. Mais en tout cas, elles existent, elles ont le mérite d'exister, elles ont le mérite d'être là. Et il y a vraiment des études qui sont particulièrement intéressantes. Donc, la grosse problématique, au-delà encore une fois du diagnostic, c'est que, de manière générale, le médical tel qu'on le connaît de façon très classique va rester enfermé dans une vision qui est complètement dépassée et ne propose absolument aucune approche globale. Et donc ça, pour moi... ça reste vraiment, vraiment, vraiment le fond du problème. C'est bien d'opérer, c'est bien de donner certains traitements, etc. Et encore une fois, je ne dis pas qu'il ne faut pas en prendre ou ne pas faire d'opération. Ce n'est pas du tout ce que je dis. Par contre, ce que je dis, c'est que ça ne va pas régler le problème. Donc, il y a besoin vraiment impérativement d'une approche globale. Donc, oui, c'est génial d'avoir cette avancée au niveau de ce test, de la mise en place de ce test. Et encore, on va voir aussi sur du long terme vraiment le taux de fiabilité, etc. Je suis quand même toujours très surprise et intéressée dans le bon sens. Mais j'aime quand même toujours avoir l'esprit critique parce que je ne veux pas prendre ça comme un acquis en se disant « Waouh, c'est génial, c'est révolutionnaire, ça va changer » . Et puis on se retrouve cinq ans plus tard et on va s'apercevoir qu'en fait, il n'y a pas grand-chose qui aura changé dans le fond. Donc le test, le diagnostic, c'est génial. Et en même temps, ce qu'on attend derrière, c'est une transformation dans la prise en charge. Donc... Tu vas me dire, ok, mais imaginons, je sais, c'est confirmé. Eh bien, ce qui va être important, c'est de te dire, mais qu'est-ce que je peux faire au-delà du diagnostic ? Parce qu'on va te confirmer quelque chose que tu soupçonnais 9 fois sur 10 déjà en amont. Et donc, ce qui va être important, évidemment, c'est de travailler sur une alimentation qui est anti-inflammatoire. Il y a d'ailleurs un épisode de podcast que j'ai enregistré avec Fabien Piasco, que je t'invite à aller écouter ou réécouter si tu ne l'as pas déjà. Déjà fait parce que c'est vrai que cet épisode est un épisode pépite. C'est vraiment un épisode extraordinaire parce qu'on partage énormément d'infos. Alors, c'est l'épisode 108. Je t'invite vraiment à aller écouter l'épisode avec Fabien parce qu'on a partagé énormément de conseils pour cette alimentation anti-inflammatoire qu'il a d'ailleurs appelée l'alimentation anti-endométriose où on a parlé évidemment de tout ce qui était sucre, de produits laitiers. On a parlé des bons gras, on a parlé de plein, plein de choses. Donc, c'était vraiment super intéressant. À côté de ça, c'est évident qu'il est nécessaire de soutenir son corps avec des compléments qui sont adaptés. Ça, tu le sais. Alors, attention, je vais quand même mettre en garde aussi parce que je suis la première, évidemment, à parler de complémentation. Parce que je trouve que ça doit vraiment faire partie de l'approche, en tout cas de la solution qu'on met en place. Parce qu'aujourd'hui, malheureusement, l'alimentation, même saine, ne permet pas d'obtenir... tous les bienfaits, en raison de l'industrialisation, de l'utilisation de pesticides, etc. On ne mange plus exactement ce qu'on pouvait manger au début du siècle dernier. Je ne vais même pas remonter à il y a 500 ans, on va juste remonter au début des années 1900. À l'échelle du monde, à l'échelle de la planète, ce n'est pas loin. Mais évidemment, il y a eu une révolution drastique au niveau de l'industrialisation, et malheureusement... La qualité des sols s'est considérablement appauvrie parce qu'on est en train de tuer le sol. Et donc forcément, la qualité de ce qu'on mange est aussi vachement appauvrie. Quand on voit la pollution à la fois de la terre, de la mer, etc., forcément, c'est nous les premiers qui en sommes impactés parce qu'on mange tout ce qui provient de la terre, on mange tout ce qui provient de la mer. Et donc forcément, on est impacté aussi au niveau des pesticides, des perturbateurs endocriniens, etc. C'est catastrophique. Donc clairement, on a besoin de compléments adaptés. Maintenant j'insiste sur « adapter » . Le mot « adapter » a toute son importance. Pourquoi ? Parce que je vois trop de femmes vouloir prendre des compléments et c'est super, mais sans avoir fait d'analyse au préalable. Et du coup on se retrouve avec des compléments qui ne sont pas forcément efficaces parce que pas les bons selon la personne, et où on se retrouve avec des compléments qui ne sont pas correctement dosés. Et ça pose problème aussi parce que ça met du temps aussi à remonter du coup, enfin quand je dis remonter ou diminuer selon la nécessité. C'est vraiment important de se dire, se complémenter, oui, mais pas n'importe comment. On ne joue pas aux apprentis chimistes, on ne joue pas aux apprentis sorciers. La complémentation, ce n'est pas quelque chose qu'on prend à la légère. C'est vraiment important, d'autant plus que certains peuvent avoir des impacts et des interactions au niveau des protocoles PMA. On ne fait pas n'importe quoi avec ça. C'est vraiment super important. Et bien sûr aussi, toute la partie stress, la partie émotionnelle. n'est pas à sous-estimer non plus dans les pathologies inflammatoires, parce que comme je te le disais, évidemment, tout ce qui est, par exemple, le cortisol, eh bien ça va accentuer toute la dimension inflammatoire. Donc on a besoin d'intégrer aussi cette dimension-là dans la prise en charge. Donc tu vois que le diagnostic c'est bien, mais en réalité, à côté de ça, il y a énormément de choses à faire en parallèle. Je vais juste partager un message que j'ai reçu ce matin. Je vais le reprendre ici sous les yeux. Je le fais en direct, c'est vraiment toujours du spontané, mais parce que je trouve ça juste extraordinaire. Je sors un petit peu du contexte de l'endométriose, mais c'est juste pour te montrer la nécessité d'une approche globale. J'ai reçu ce matin un message. d'une jeune femme que j'accompagne dans le cadre du coaching Éclosion et qui a rejoint le coaching vraiment tout récemment et qui m'envoie un message en me disant « Coucou Mia, je te partage ma petite victoire TSH. Il y a deux semaines, ma TSH était de 11,4 et vendredi, elle était de 4,25. » Et dire que l'endocrinologue m'a dit que ça prendrait des mois pour qu'elle commence à redescendre. Et en fait, tu vois, ce message... Je l'adore et je suis vraiment super contente de l'avoir reçu. Alors, je sors du contexte de l'endométriose, mais juste pour te dire une chose, c'est que souvent, les médecins vont te dire, ça va mettre des mois pour faire ci, ça va mettre autant de temps pour faire ça. Mais oui, en fait, ça prend énormément de temps. Pourquoi ? Parce qu'on a une approche qui est segmentée. On a une approche où, en fait, on va se contenter d'appuyer sur peut-être un levier. Et je trouve ça dommage quand on sait qu'avec une approche globale, ça peut aller vachement plus vite. Donc, c'est vraiment important de garder ça en tête. Et tu vois ici, la TSH, on est d'accord, elle n'est pas encore dans les clous. On est bien, bien, bien d'accord là-dessus. Il y a encore des choses à faire. Mais en réalité, déjà, il faudrait que je regarde vraiment sa date d'entrée au sein du coaching d'éclosion. Mais c'est vraiment, vraiment tout récent. Et quand elle m'a rejoint, elle ne savait pas encore qu'elle avait des problèmes de thyroïde. On a mis les choses en place et elle a découvert justement les problèmes de thyroïde. Donc c'est très bien parce qu'on a pu mettre le doigt dessus. Là où d'autres médecins avaient tendance à lui dire oui mais vous êtes jeune parce qu'elle a 27 ans. Et donc les médecins, le corps médical de manière générale lui disait oui mais vous êtes jeune, vous avez le temps. Non, on ne parle pas d'un job, on ne parle pas de postuler à une place, on ne parle pas de ça. Donc l'âge en matière médicale n'a absolument rien à voir là-dedans. Qu'est-ce que je veux dire par là ? Si on lui dit, vous êtes jeune, en gros, continuez à essayer pendant une année entière et puis on se revoit. Oui, sauf que si on ne diagnostique pas qu'il y a effectivement un problème, en une année, je te laisse imaginer l'ampleur, la progression que cette pathologie peut prendre. C'est juste énorme. Donc, on a bien fait de comprendre, on a bien fait de creuser, parce qu'effectivement, il y avait de gros problèmes. D'ailleurs, ça a été pris en charge tout de suite, une fois qu'ils l'ont identifié, donc déjà, c'est bien. Mais à côté de ça, leur approche n'est pas... Encore une fois, que mono... C'est même pas mono-solution, je pourrais même pas dire ça, parce que pour moi, c'est pas une solution. Mais il faut comprendre d'où vient le dysfonctionnement, et il faut le régler. Et là, tu vois, en à peine... Donc là, elle me disait, il y a deux semaines, la TSH était de 11, vendredi, elle était à 4. Donc en deux semaines de temps... On a quasiment divisé par trois son taux de TSH. Donc, c'est juste pour te montrer à quel point le fait de mettre en place une approche globale, ça peut tout changer. Et donc, c'est ça aussi que j'ai envie de te faire prendre conscience. C'est de ça dont j'ai envie de te faire prendre conscience. Parce que c'est pareil ici pour cette prise en charge, de se dire, ben voilà, on a de l'endométriose, ok, on a le diagnostic. Et ça, c'est super encore une fois. Mais derrière, est-ce que vraiment la prise en charge va changer ? À ce jour, la réponse, c'est non. Donc peut-être que dans 3 ans, 4 ans, 5 ans, je refais un nouvel épisode de podcast en me disant c'est fantastique. Mais pardon, je n'y crois absolument pas. Je n'y crois absolument pas parce qu'à ce jour, encore une fois, même s'il y a plein d'études scientifiques, elles n'arrivent pas forcément à la connaissance des médecins. Parce que aussi, ça ne rapporte pas grand-chose de fonctionner différemment. Les compléments alimentaires, même si effectivement ça coûte, ça coûte toujours vachement moins cher que les traitements, soi-disant. que des protocoles médicamenteux, j'entends par là, et encore moins, évidemment, qu'une opération. Et donc, il y a toujours un côté, finalement, business qui est là derrière et on peut le tourner comme on veut. Je pense qu'il est quand même temps de se dire les vraies choses. En tout cas, tu le sais, moi, je n'ai pas de filtre, je n'ai pas de langue de bois et je pense clairement qu'on gagnerait en santé, en énergie, en temps, en tout, que de prendre les choses de façon préventive plutôt que curative, d'autant plus quand on sait à quel point le curatif n'est pas à la hauteur. Donc vraiment, il y a beaucoup de choses à mettre en place. Si tu sens que toi aussi, ça te parle, que tu te dis, en fait, oui, c'est bien, maintenant je sais que j'ai de l'endométriose, mais je veux aller plus loin et je veux vraiment mettre en place une approche globale, je t'invite vraiment à rejoindre le programme d'accompagnement, que ce soit le coaching Éclosion, que ce soit le programme Fertility. Tu auras évidemment toutes les infos pour pouvoir avancer, mettre des choses en place. Arrêtez d'avancer à l'aveugle, en fait, tu auras toutes ces infos. Évidemment, si tu es dans le cadre du coaching l'éclosion, c'est du personnalisé. On est vraiment ensemble, où je vais vraiment creuser, évidemment, sur tout ce qu'il y a moyen de creuser. Et donc, c'est vraiment le moment de te lancer. Si tu hésites, si tu as envie de te dire, ok, là maintenant c'est bon, j'ai assez perdu de temps, eh bien, on va aller vachement plus vite, on va accélérer tout ça. Et surtout, tu vas apprendre à comprendre tout ce qui se joue là derrière. Et crois-moi, tu ne seras pas déçu. Il y a énormément de choses que tu ignores. Même si, et j'insiste, même si tu as un bagage au niveau médical, même si tu as un bagage au niveau, quand je dis médical, c'est médical et ou paramédical, j'accompagne des médecins, j'accompagne des infirmières, j'accompagne des femmes qui sont issues elles-mêmes du milieu médical et qui découvrent énormément de choses parce que ça reste une approche très spécifique, d'accord ? Et que souvent, même si tu as des connaissances d'un point de vue médical qui sont poussées, J'ai envie de te dire, c'est même génial parce qu'on va pouvoir aller encore plus vite parce que tu connais les bases, tu connais plein de choses et donc c'est génial, on va pouvoir aller voir tout ça. Mais ça reste évidemment une approche qui est très spécifique, la médecine fonctionnelle, l'approche globale vraiment de la pathologie, de la fertilité, etc. C'est quand même un terrain très spécifique, ça fait 11 ans que je suis sur le sujet et ça fait 11 ans que je me forme. Donc laisse-moi te dire que j'aurai forcément un coup d'avance et que je pense que même si tu as un bagage... très important derrière toi, je pense que tu vas vraiment être surprise des bons et des liens que tu vas enfin pouvoir faire. Alors que jusqu'ici, il te manquait des éléments au niveau de ton puzzle. Je vais t'aider à le reconstituer et tu vas voir à quel point tout va s'éclairer. Donc, si tu as envie d'être conseillé, si tu as envie d'aller voir plus loin, rejoins évidemment mon accompagnement dès maintenant. Moi, je me ferai un plaisir de t'accompagner. Je me ferai un plaisir vraiment de... te donner les bonnes infos au bon moment parce que, encore une fois, le diagnostic, c'est bien, c'est une avancée, mais ça ne suffit pas. Et ça vaut évidemment que tu sois avec de l'endométriose, un SOPK, une insuffisance ovarienne, avec plein plein de choses. C'est génial, mais je pense qu'il y a moyen de faire mille fois plus et surtout de le faire différemment. Alors si mon discours te parle, n'attends pas, tu viens cliquer sur le lien qui est dans la description de cet épisode et on se retrouve de l'autre côté. Prends soin de toi. Merci d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout. Si tu veux aller plus loin et bénéficier de plus de conseils, télécharge maintenant mon guide offert sur positivemindattitude.fr. Pour encourager ce podcast, merci de mettre une note et ou un commentaire sur ta plateforme d'écoute. Je te dis à très vite pour un prochain épisode.

Share

Embed

You may also like

Description

➡️ DERNIERS JOURS : Découvre maintenant le Booster Eclosion en cliquant ici !


Un test salivaire révolutionnaire pour détecter l’endométriose ? Oui… mais non.


Si cette avancée permet un diagnostic plus rapide, elle ne change absolument rien à la prise en charge des femmes concernées. Toujours les mêmes réponses : pilule, anti-inflammatoires, chirurgie… et un mépris total pour les solutions naturelles qui fonctionnent !


Dans cet épisode, je te dévoile les vraies limites de la médecine conventionnelle et ce que tu peux faire au-delà du diagnostic pour améliorer ta fertilité et réduire tes symptômes.


🎧 À écouter si tu es concernée de près ou de loin par l’endométriose et que tu veux enfin des solutions concrètes !



💡 Pour aller plus loin :


➡️ Programme d'accompagnement

➡️ Programme Survivre aux deux semaines d'attente (post FIV)

Télécharge mon guide offert surwww.positivemindattitude.fr 

………………………………………………… 

Découvre mes livres :

………………………………………………… 

Retrouve-moi sur :


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hello, c'est Mia de Positive Mind Attitude. Après un parcours de plus de 4 ans et demi avant de connaître enfin les joies de la maternité, j'ai décidé d'associer mes compétences professionnelles de thérapeute à mon vécu personnel lié à l'infertilité et la PMA pour accompagner les femmes en désir d'enfant et leur permettre de reprendre le plein pouvoir sur leur fertilité. Si tu veux agir pour ne plus subir, tu es au bon endroit. Que tu sois suivi médicalement ou non, Mes conseils te permettront d'avoir un autre regard sur ton parcours et d'adopter une approche globale pour mettre toutes les chances de ton côté. Ensemble, brisons le tabou de l'infertilité. Si tu connais une femme qui est concernée par le sujet, je t'invite à lui partager cet épisode. Maintenant, installe-toi confortablement et c'est parti pour l'épisode du jour. Endométriose, pourquoi un diagnostic plus rapide ne changera malheureusement rien à ta situation ? Hello, je suis ravie de te retrouver aujourd'hui pour un épisode qui touche vraiment à l'actualité. Je pense que tu n'as pas su passer à côté de cette info, et si c'est le cas, évidemment, rassure-toi, tu vas être informé de tout ce qui se passe. Mais en réalité, c'est vrai que ça touche l'actualité parce que c'est une annonce qui a fait grand bruit. C'est une annonce qui a fait grand bruit et je pense malheureusement que c'est entre guillemets un peu à tort parce que je suis vraiment vraiment vraiment mitigée par rapport à ça et je vais t'expliquer pourquoi. Donc si tu n'as pas suivi l'actualité, je te donne l'info. En gros, il y a un test salivaire qui a été conçu et qui permet de détecter l'endométriose. Ce test a un coût approximatif de plus ou moins 800 euros avec un remboursement sous certaines conditions. Alors clairement, ce que je trouve génial, on ne va pas se mentir, c'est effectivement qu'il y ait quelque chose qui soit mis en place pour favoriser le diagnostic. Donc clairement, je trouve ça super, on est bien d'accord. Maintenant, ma réflexion est plus sur le après. Ok, on te dit que tu as de l'endométriose, ou en tout cas on te le confirme, parce qu'en général quand même, si tu envisages de faire tous ces examens et tous ces tests, c'est que quand même, il y a une suspicion potentielle. Donc, à partir du moment où on te dit oui c'est ça, ok, je veux dire parfois ça peut soulager de savoir enfin ce qu'on a, et ça évidemment je l'entends parce que le critère diagnostique... reste quelque chose de très très très important et je ne veux surtout pas donner l'impression de minimiser ça, on est bien d'accord, c'est très important. Maintenant, là où je suis vachement mitigée, c'est une fois que tu le sais, est-ce que ça va vraiment changer quelque chose pour les femmes qui en souffrent ? La réponse c'est non, hélas, non. Le problème ça n'a jamais été vraiment le diagnostic seul. Alors oui, on s'entend, quand on sait que l'endométriose met plus de 7 ans à être diagnostiquée, enfin... Pour moi, c'est juste une aberration totale. Donc clairement, le diagnostic, c'est la première étape la plus importante, on est bien d'accord. Mais le vrai fond du problème, c'est le manque de solutions qu'il y a derrière. Et donc, en fait, je trouve que oui, c'est vrai, avant, il fallait attendre des années pour être diagnostiqué. Donc voilà, clairement, errance médicale, douleurs incomprises, des examens invasifs, etc. Là, de ce côté-là, évidemment, c'est top. On va peut-être enfin arrêter de dire que c'est dans ta tête. Ça, je suis bien d'accord à... 3000%. Donc oui, c'est une vraie avancée à ce niveau-là. Mais le diagnostic n'est en réalité que la première étape, parce que moi, ce qui m'importe, c'est le après. Malheureusement, le suivi ne va pas changer pour autant, parce que la réponse des médecins est en général plus ou moins assez uniforme. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire qu'on va dire que il faut reprendre la pilule. Ouais, alors ça va masquer les symptômes, mais ça ne va pas franchement t'aider, puisque si tu m'écoutes, c'est que forcément, tu es en désir d'enfant. Donc la contraception, dans ce cas-là, non. Et j'ai envie de dire même, au sens large, non. Tu connais ma position sur le sujet. Quand je vois les hormones qu'il y a là-dedans, je me dis, mon Dieu, non. Encore une fois, c'est bizarre que la pilule pour hommes n'ait jamais été vraiment, je ne veux pas dire inventée, parce qu'il y a des débuts, il y a des choses qui sont là, mais ça n'a jamais été vraiment mis sur le marché. Pourquoi ? Parce qu'on refuserait de donner aux hommes de telles hormones. Par contre, aux femmes, ça ne dérange personne. Donc voilà, la pilule. Pour moi, en tout cas, c'est non sur du long terme, que ce soit en raison de l'endométriose ou non. On ne fait que masquer les symptômes, donc non. On va te donner des anti-inflammatoires, ok, mais de nouveau, on va se contenter de camoufler, mais on ne va pas régler le problème, on ne va pas le prendre à la source. On va te parler de chirurgie, ok, je ne dis pas que dans certains cas, ce n'est pas nécessaire, bien sûr. Ça peut permettre de renettoyer, d'enlever certaines lésions, etc., bien sûr. Mais de nouveau, sans prise en charge globale, en fait, la récidive, elle est quasiment assurée. Donc, ça n'a absolument pas d'intérêt, en fait, dans le sens où... Ce sont des solutions qui sont là, mais des solutions qui sont à court terme. Malheureusement, quand on commence à parler d'approche naturelle, elle est un peu moins, mais quand même encore toujours majoritairement balayée d'un revers de la main, voire par certains parfois même tournées en ridicule, parce que quand on parle d'alimentation, il y a encore énormément de destins qui disent qu'il n'y a absolument aucun lien, qu'il n'y a rien de prouvé. Si, si, en fait c'est prouvé, il y a de nombreuses études qui sont sorties là-dessus, c'est juste que les médecins n'en ont pas connaissance. encore un autre débat. Mais donc, clairement, l'alimentation anti-inflammatoire peut vraiment, vraiment drastiquement diminuer les douleurs. Je le vois au quotidien, déjà à titre personnel, mais évidemment, je ne vais pas juste me contenter de prendre mon cas perso pour en tirer des conclusions. C'est aussi ce que je vois auprès de toutes les femmes que j'accompagne qui ont de l'endométriose, voire une suspicion, ou en tout cas où il y a une pathologie qui est inflammatoire. On modifie tout ça et ça change drastiquement leur quotidien. À côté de ça, bien sûr, Il y a de nombreuses études qui ont été faites sur le sujet. Et en plus, évidemment, de réduire drastiquement les douleurs, ça améliore aussi considérablement la fertilité. Donc oui, effectivement, il y a un lien et ça reste vraiment très important. Quand on parle aussi des compléments alimentaires, énormément disent oui, mais en gros, c'est un effet placebo. Non, il y a de nombreuses études scientifiques sur le sujet qui vont montrer effectivement que certains minéraux vont réduire l'inflammation. certaines vitamines, minéraux, compléments de manière générale vont vraiment considérablement réduire l'inflammation et améliorer la qualité homocytaire parce que c'est aussi une des grosses problématiques de l'endométriose. Mais donc voilà, ce n'est pas pour autant que du jour au lendemain, les médecins vont se mettre à prescrire ça parce qu'on va se dire les choses, ça ne rapporte rien au laboratoire pharmaceutique ou pas grand-chose en tout cas. Et puis évidemment, on va balayer aussi d'un revers de la main le stress, etc. Alors que l'impact du cortisol... sur l'inflammation chronique est là aussi largement étudiée. En fait, des références et des études scientifiques, il y en a des tonnes. Pas forcément encore autant que je le souhaiterais, si on compare certaines analyses. Si on parle, par exemple, de problèmes érectiles, on va trouver des milliers et des milliers de références, des milliers d'études scientifiques. Quand on parle de la santé féminine, tout de suite, il y en a vachement moins quand même. Mais en tout cas, elles existent, elles ont le mérite d'exister, elles ont le mérite d'être là. Et il y a vraiment des études qui sont particulièrement intéressantes. Donc, la grosse problématique, au-delà encore une fois du diagnostic, c'est que, de manière générale, le médical tel qu'on le connaît de façon très classique va rester enfermé dans une vision qui est complètement dépassée et ne propose absolument aucune approche globale. Et donc ça, pour moi... ça reste vraiment, vraiment, vraiment le fond du problème. C'est bien d'opérer, c'est bien de donner certains traitements, etc. Et encore une fois, je ne dis pas qu'il ne faut pas en prendre ou ne pas faire d'opération. Ce n'est pas du tout ce que je dis. Par contre, ce que je dis, c'est que ça ne va pas régler le problème. Donc, il y a besoin vraiment impérativement d'une approche globale. Donc, oui, c'est génial d'avoir cette avancée au niveau de ce test, de la mise en place de ce test. Et encore, on va voir aussi sur du long terme vraiment le taux de fiabilité, etc. Je suis quand même toujours très surprise et intéressée dans le bon sens. Mais j'aime quand même toujours avoir l'esprit critique parce que je ne veux pas prendre ça comme un acquis en se disant « Waouh, c'est génial, c'est révolutionnaire, ça va changer » . Et puis on se retrouve cinq ans plus tard et on va s'apercevoir qu'en fait, il n'y a pas grand-chose qui aura changé dans le fond. Donc le test, le diagnostic, c'est génial. Et en même temps, ce qu'on attend derrière, c'est une transformation dans la prise en charge. Donc... Tu vas me dire, ok, mais imaginons, je sais, c'est confirmé. Eh bien, ce qui va être important, c'est de te dire, mais qu'est-ce que je peux faire au-delà du diagnostic ? Parce qu'on va te confirmer quelque chose que tu soupçonnais 9 fois sur 10 déjà en amont. Et donc, ce qui va être important, évidemment, c'est de travailler sur une alimentation qui est anti-inflammatoire. Il y a d'ailleurs un épisode de podcast que j'ai enregistré avec Fabien Piasco, que je t'invite à aller écouter ou réécouter si tu ne l'as pas déjà. Déjà fait parce que c'est vrai que cet épisode est un épisode pépite. C'est vraiment un épisode extraordinaire parce qu'on partage énormément d'infos. Alors, c'est l'épisode 108. Je t'invite vraiment à aller écouter l'épisode avec Fabien parce qu'on a partagé énormément de conseils pour cette alimentation anti-inflammatoire qu'il a d'ailleurs appelée l'alimentation anti-endométriose où on a parlé évidemment de tout ce qui était sucre, de produits laitiers. On a parlé des bons gras, on a parlé de plein, plein de choses. Donc, c'était vraiment super intéressant. À côté de ça, c'est évident qu'il est nécessaire de soutenir son corps avec des compléments qui sont adaptés. Ça, tu le sais. Alors, attention, je vais quand même mettre en garde aussi parce que je suis la première, évidemment, à parler de complémentation. Parce que je trouve que ça doit vraiment faire partie de l'approche, en tout cas de la solution qu'on met en place. Parce qu'aujourd'hui, malheureusement, l'alimentation, même saine, ne permet pas d'obtenir... tous les bienfaits, en raison de l'industrialisation, de l'utilisation de pesticides, etc. On ne mange plus exactement ce qu'on pouvait manger au début du siècle dernier. Je ne vais même pas remonter à il y a 500 ans, on va juste remonter au début des années 1900. À l'échelle du monde, à l'échelle de la planète, ce n'est pas loin. Mais évidemment, il y a eu une révolution drastique au niveau de l'industrialisation, et malheureusement... La qualité des sols s'est considérablement appauvrie parce qu'on est en train de tuer le sol. Et donc forcément, la qualité de ce qu'on mange est aussi vachement appauvrie. Quand on voit la pollution à la fois de la terre, de la mer, etc., forcément, c'est nous les premiers qui en sommes impactés parce qu'on mange tout ce qui provient de la terre, on mange tout ce qui provient de la mer. Et donc forcément, on est impacté aussi au niveau des pesticides, des perturbateurs endocriniens, etc. C'est catastrophique. Donc clairement, on a besoin de compléments adaptés. Maintenant j'insiste sur « adapter » . Le mot « adapter » a toute son importance. Pourquoi ? Parce que je vois trop de femmes vouloir prendre des compléments et c'est super, mais sans avoir fait d'analyse au préalable. Et du coup on se retrouve avec des compléments qui ne sont pas forcément efficaces parce que pas les bons selon la personne, et où on se retrouve avec des compléments qui ne sont pas correctement dosés. Et ça pose problème aussi parce que ça met du temps aussi à remonter du coup, enfin quand je dis remonter ou diminuer selon la nécessité. C'est vraiment important de se dire, se complémenter, oui, mais pas n'importe comment. On ne joue pas aux apprentis chimistes, on ne joue pas aux apprentis sorciers. La complémentation, ce n'est pas quelque chose qu'on prend à la légère. C'est vraiment important, d'autant plus que certains peuvent avoir des impacts et des interactions au niveau des protocoles PMA. On ne fait pas n'importe quoi avec ça. C'est vraiment super important. Et bien sûr aussi, toute la partie stress, la partie émotionnelle. n'est pas à sous-estimer non plus dans les pathologies inflammatoires, parce que comme je te le disais, évidemment, tout ce qui est, par exemple, le cortisol, eh bien ça va accentuer toute la dimension inflammatoire. Donc on a besoin d'intégrer aussi cette dimension-là dans la prise en charge. Donc tu vois que le diagnostic c'est bien, mais en réalité, à côté de ça, il y a énormément de choses à faire en parallèle. Je vais juste partager un message que j'ai reçu ce matin. Je vais le reprendre ici sous les yeux. Je le fais en direct, c'est vraiment toujours du spontané, mais parce que je trouve ça juste extraordinaire. Je sors un petit peu du contexte de l'endométriose, mais c'est juste pour te montrer la nécessité d'une approche globale. J'ai reçu ce matin un message. d'une jeune femme que j'accompagne dans le cadre du coaching Éclosion et qui a rejoint le coaching vraiment tout récemment et qui m'envoie un message en me disant « Coucou Mia, je te partage ma petite victoire TSH. Il y a deux semaines, ma TSH était de 11,4 et vendredi, elle était de 4,25. » Et dire que l'endocrinologue m'a dit que ça prendrait des mois pour qu'elle commence à redescendre. Et en fait, tu vois, ce message... Je l'adore et je suis vraiment super contente de l'avoir reçu. Alors, je sors du contexte de l'endométriose, mais juste pour te dire une chose, c'est que souvent, les médecins vont te dire, ça va mettre des mois pour faire ci, ça va mettre autant de temps pour faire ça. Mais oui, en fait, ça prend énormément de temps. Pourquoi ? Parce qu'on a une approche qui est segmentée. On a une approche où, en fait, on va se contenter d'appuyer sur peut-être un levier. Et je trouve ça dommage quand on sait qu'avec une approche globale, ça peut aller vachement plus vite. Donc, c'est vraiment important de garder ça en tête. Et tu vois ici, la TSH, on est d'accord, elle n'est pas encore dans les clous. On est bien, bien, bien d'accord là-dessus. Il y a encore des choses à faire. Mais en réalité, déjà, il faudrait que je regarde vraiment sa date d'entrée au sein du coaching d'éclosion. Mais c'est vraiment, vraiment tout récent. Et quand elle m'a rejoint, elle ne savait pas encore qu'elle avait des problèmes de thyroïde. On a mis les choses en place et elle a découvert justement les problèmes de thyroïde. Donc c'est très bien parce qu'on a pu mettre le doigt dessus. Là où d'autres médecins avaient tendance à lui dire oui mais vous êtes jeune parce qu'elle a 27 ans. Et donc les médecins, le corps médical de manière générale lui disait oui mais vous êtes jeune, vous avez le temps. Non, on ne parle pas d'un job, on ne parle pas de postuler à une place, on ne parle pas de ça. Donc l'âge en matière médicale n'a absolument rien à voir là-dedans. Qu'est-ce que je veux dire par là ? Si on lui dit, vous êtes jeune, en gros, continuez à essayer pendant une année entière et puis on se revoit. Oui, sauf que si on ne diagnostique pas qu'il y a effectivement un problème, en une année, je te laisse imaginer l'ampleur, la progression que cette pathologie peut prendre. C'est juste énorme. Donc, on a bien fait de comprendre, on a bien fait de creuser, parce qu'effectivement, il y avait de gros problèmes. D'ailleurs, ça a été pris en charge tout de suite, une fois qu'ils l'ont identifié, donc déjà, c'est bien. Mais à côté de ça, leur approche n'est pas... Encore une fois, que mono... C'est même pas mono-solution, je pourrais même pas dire ça, parce que pour moi, c'est pas une solution. Mais il faut comprendre d'où vient le dysfonctionnement, et il faut le régler. Et là, tu vois, en à peine... Donc là, elle me disait, il y a deux semaines, la TSH était de 11, vendredi, elle était à 4. Donc en deux semaines de temps... On a quasiment divisé par trois son taux de TSH. Donc, c'est juste pour te montrer à quel point le fait de mettre en place une approche globale, ça peut tout changer. Et donc, c'est ça aussi que j'ai envie de te faire prendre conscience. C'est de ça dont j'ai envie de te faire prendre conscience. Parce que c'est pareil ici pour cette prise en charge, de se dire, ben voilà, on a de l'endométriose, ok, on a le diagnostic. Et ça, c'est super encore une fois. Mais derrière, est-ce que vraiment la prise en charge va changer ? À ce jour, la réponse, c'est non. Donc peut-être que dans 3 ans, 4 ans, 5 ans, je refais un nouvel épisode de podcast en me disant c'est fantastique. Mais pardon, je n'y crois absolument pas. Je n'y crois absolument pas parce qu'à ce jour, encore une fois, même s'il y a plein d'études scientifiques, elles n'arrivent pas forcément à la connaissance des médecins. Parce que aussi, ça ne rapporte pas grand-chose de fonctionner différemment. Les compléments alimentaires, même si effectivement ça coûte, ça coûte toujours vachement moins cher que les traitements, soi-disant. que des protocoles médicamenteux, j'entends par là, et encore moins, évidemment, qu'une opération. Et donc, il y a toujours un côté, finalement, business qui est là derrière et on peut le tourner comme on veut. Je pense qu'il est quand même temps de se dire les vraies choses. En tout cas, tu le sais, moi, je n'ai pas de filtre, je n'ai pas de langue de bois et je pense clairement qu'on gagnerait en santé, en énergie, en temps, en tout, que de prendre les choses de façon préventive plutôt que curative, d'autant plus quand on sait à quel point le curatif n'est pas à la hauteur. Donc vraiment, il y a beaucoup de choses à mettre en place. Si tu sens que toi aussi, ça te parle, que tu te dis, en fait, oui, c'est bien, maintenant je sais que j'ai de l'endométriose, mais je veux aller plus loin et je veux vraiment mettre en place une approche globale, je t'invite vraiment à rejoindre le programme d'accompagnement, que ce soit le coaching Éclosion, que ce soit le programme Fertility. Tu auras évidemment toutes les infos pour pouvoir avancer, mettre des choses en place. Arrêtez d'avancer à l'aveugle, en fait, tu auras toutes ces infos. Évidemment, si tu es dans le cadre du coaching l'éclosion, c'est du personnalisé. On est vraiment ensemble, où je vais vraiment creuser, évidemment, sur tout ce qu'il y a moyen de creuser. Et donc, c'est vraiment le moment de te lancer. Si tu hésites, si tu as envie de te dire, ok, là maintenant c'est bon, j'ai assez perdu de temps, eh bien, on va aller vachement plus vite, on va accélérer tout ça. Et surtout, tu vas apprendre à comprendre tout ce qui se joue là derrière. Et crois-moi, tu ne seras pas déçu. Il y a énormément de choses que tu ignores. Même si, et j'insiste, même si tu as un bagage au niveau médical, même si tu as un bagage au niveau, quand je dis médical, c'est médical et ou paramédical, j'accompagne des médecins, j'accompagne des infirmières, j'accompagne des femmes qui sont issues elles-mêmes du milieu médical et qui découvrent énormément de choses parce que ça reste une approche très spécifique, d'accord ? Et que souvent, même si tu as des connaissances d'un point de vue médical qui sont poussées, J'ai envie de te dire, c'est même génial parce qu'on va pouvoir aller encore plus vite parce que tu connais les bases, tu connais plein de choses et donc c'est génial, on va pouvoir aller voir tout ça. Mais ça reste évidemment une approche qui est très spécifique, la médecine fonctionnelle, l'approche globale vraiment de la pathologie, de la fertilité, etc. C'est quand même un terrain très spécifique, ça fait 11 ans que je suis sur le sujet et ça fait 11 ans que je me forme. Donc laisse-moi te dire que j'aurai forcément un coup d'avance et que je pense que même si tu as un bagage... très important derrière toi, je pense que tu vas vraiment être surprise des bons et des liens que tu vas enfin pouvoir faire. Alors que jusqu'ici, il te manquait des éléments au niveau de ton puzzle. Je vais t'aider à le reconstituer et tu vas voir à quel point tout va s'éclairer. Donc, si tu as envie d'être conseillé, si tu as envie d'aller voir plus loin, rejoins évidemment mon accompagnement dès maintenant. Moi, je me ferai un plaisir de t'accompagner. Je me ferai un plaisir vraiment de... te donner les bonnes infos au bon moment parce que, encore une fois, le diagnostic, c'est bien, c'est une avancée, mais ça ne suffit pas. Et ça vaut évidemment que tu sois avec de l'endométriose, un SOPK, une insuffisance ovarienne, avec plein plein de choses. C'est génial, mais je pense qu'il y a moyen de faire mille fois plus et surtout de le faire différemment. Alors si mon discours te parle, n'attends pas, tu viens cliquer sur le lien qui est dans la description de cet épisode et on se retrouve de l'autre côté. Prends soin de toi. Merci d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout. Si tu veux aller plus loin et bénéficier de plus de conseils, télécharge maintenant mon guide offert sur positivemindattitude.fr. Pour encourager ce podcast, merci de mettre une note et ou un commentaire sur ta plateforme d'écoute. Je te dis à très vite pour un prochain épisode.

Description

➡️ DERNIERS JOURS : Découvre maintenant le Booster Eclosion en cliquant ici !


Un test salivaire révolutionnaire pour détecter l’endométriose ? Oui… mais non.


Si cette avancée permet un diagnostic plus rapide, elle ne change absolument rien à la prise en charge des femmes concernées. Toujours les mêmes réponses : pilule, anti-inflammatoires, chirurgie… et un mépris total pour les solutions naturelles qui fonctionnent !


Dans cet épisode, je te dévoile les vraies limites de la médecine conventionnelle et ce que tu peux faire au-delà du diagnostic pour améliorer ta fertilité et réduire tes symptômes.


🎧 À écouter si tu es concernée de près ou de loin par l’endométriose et que tu veux enfin des solutions concrètes !



💡 Pour aller plus loin :


➡️ Programme d'accompagnement

➡️ Programme Survivre aux deux semaines d'attente (post FIV)

Télécharge mon guide offert surwww.positivemindattitude.fr 

………………………………………………… 

Découvre mes livres :

………………………………………………… 

Retrouve-moi sur :


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hello, c'est Mia de Positive Mind Attitude. Après un parcours de plus de 4 ans et demi avant de connaître enfin les joies de la maternité, j'ai décidé d'associer mes compétences professionnelles de thérapeute à mon vécu personnel lié à l'infertilité et la PMA pour accompagner les femmes en désir d'enfant et leur permettre de reprendre le plein pouvoir sur leur fertilité. Si tu veux agir pour ne plus subir, tu es au bon endroit. Que tu sois suivi médicalement ou non, Mes conseils te permettront d'avoir un autre regard sur ton parcours et d'adopter une approche globale pour mettre toutes les chances de ton côté. Ensemble, brisons le tabou de l'infertilité. Si tu connais une femme qui est concernée par le sujet, je t'invite à lui partager cet épisode. Maintenant, installe-toi confortablement et c'est parti pour l'épisode du jour. Endométriose, pourquoi un diagnostic plus rapide ne changera malheureusement rien à ta situation ? Hello, je suis ravie de te retrouver aujourd'hui pour un épisode qui touche vraiment à l'actualité. Je pense que tu n'as pas su passer à côté de cette info, et si c'est le cas, évidemment, rassure-toi, tu vas être informé de tout ce qui se passe. Mais en réalité, c'est vrai que ça touche l'actualité parce que c'est une annonce qui a fait grand bruit. C'est une annonce qui a fait grand bruit et je pense malheureusement que c'est entre guillemets un peu à tort parce que je suis vraiment vraiment vraiment mitigée par rapport à ça et je vais t'expliquer pourquoi. Donc si tu n'as pas suivi l'actualité, je te donne l'info. En gros, il y a un test salivaire qui a été conçu et qui permet de détecter l'endométriose. Ce test a un coût approximatif de plus ou moins 800 euros avec un remboursement sous certaines conditions. Alors clairement, ce que je trouve génial, on ne va pas se mentir, c'est effectivement qu'il y ait quelque chose qui soit mis en place pour favoriser le diagnostic. Donc clairement, je trouve ça super, on est bien d'accord. Maintenant, ma réflexion est plus sur le après. Ok, on te dit que tu as de l'endométriose, ou en tout cas on te le confirme, parce qu'en général quand même, si tu envisages de faire tous ces examens et tous ces tests, c'est que quand même, il y a une suspicion potentielle. Donc, à partir du moment où on te dit oui c'est ça, ok, je veux dire parfois ça peut soulager de savoir enfin ce qu'on a, et ça évidemment je l'entends parce que le critère diagnostique... reste quelque chose de très très très important et je ne veux surtout pas donner l'impression de minimiser ça, on est bien d'accord, c'est très important. Maintenant, là où je suis vachement mitigée, c'est une fois que tu le sais, est-ce que ça va vraiment changer quelque chose pour les femmes qui en souffrent ? La réponse c'est non, hélas, non. Le problème ça n'a jamais été vraiment le diagnostic seul. Alors oui, on s'entend, quand on sait que l'endométriose met plus de 7 ans à être diagnostiquée, enfin... Pour moi, c'est juste une aberration totale. Donc clairement, le diagnostic, c'est la première étape la plus importante, on est bien d'accord. Mais le vrai fond du problème, c'est le manque de solutions qu'il y a derrière. Et donc, en fait, je trouve que oui, c'est vrai, avant, il fallait attendre des années pour être diagnostiqué. Donc voilà, clairement, errance médicale, douleurs incomprises, des examens invasifs, etc. Là, de ce côté-là, évidemment, c'est top. On va peut-être enfin arrêter de dire que c'est dans ta tête. Ça, je suis bien d'accord à... 3000%. Donc oui, c'est une vraie avancée à ce niveau-là. Mais le diagnostic n'est en réalité que la première étape, parce que moi, ce qui m'importe, c'est le après. Malheureusement, le suivi ne va pas changer pour autant, parce que la réponse des médecins est en général plus ou moins assez uniforme. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire qu'on va dire que il faut reprendre la pilule. Ouais, alors ça va masquer les symptômes, mais ça ne va pas franchement t'aider, puisque si tu m'écoutes, c'est que forcément, tu es en désir d'enfant. Donc la contraception, dans ce cas-là, non. Et j'ai envie de dire même, au sens large, non. Tu connais ma position sur le sujet. Quand je vois les hormones qu'il y a là-dedans, je me dis, mon Dieu, non. Encore une fois, c'est bizarre que la pilule pour hommes n'ait jamais été vraiment, je ne veux pas dire inventée, parce qu'il y a des débuts, il y a des choses qui sont là, mais ça n'a jamais été vraiment mis sur le marché. Pourquoi ? Parce qu'on refuserait de donner aux hommes de telles hormones. Par contre, aux femmes, ça ne dérange personne. Donc voilà, la pilule. Pour moi, en tout cas, c'est non sur du long terme, que ce soit en raison de l'endométriose ou non. On ne fait que masquer les symptômes, donc non. On va te donner des anti-inflammatoires, ok, mais de nouveau, on va se contenter de camoufler, mais on ne va pas régler le problème, on ne va pas le prendre à la source. On va te parler de chirurgie, ok, je ne dis pas que dans certains cas, ce n'est pas nécessaire, bien sûr. Ça peut permettre de renettoyer, d'enlever certaines lésions, etc., bien sûr. Mais de nouveau, sans prise en charge globale, en fait, la récidive, elle est quasiment assurée. Donc, ça n'a absolument pas d'intérêt, en fait, dans le sens où... Ce sont des solutions qui sont là, mais des solutions qui sont à court terme. Malheureusement, quand on commence à parler d'approche naturelle, elle est un peu moins, mais quand même encore toujours majoritairement balayée d'un revers de la main, voire par certains parfois même tournées en ridicule, parce que quand on parle d'alimentation, il y a encore énormément de destins qui disent qu'il n'y a absolument aucun lien, qu'il n'y a rien de prouvé. Si, si, en fait c'est prouvé, il y a de nombreuses études qui sont sorties là-dessus, c'est juste que les médecins n'en ont pas connaissance. encore un autre débat. Mais donc, clairement, l'alimentation anti-inflammatoire peut vraiment, vraiment drastiquement diminuer les douleurs. Je le vois au quotidien, déjà à titre personnel, mais évidemment, je ne vais pas juste me contenter de prendre mon cas perso pour en tirer des conclusions. C'est aussi ce que je vois auprès de toutes les femmes que j'accompagne qui ont de l'endométriose, voire une suspicion, ou en tout cas où il y a une pathologie qui est inflammatoire. On modifie tout ça et ça change drastiquement leur quotidien. À côté de ça, bien sûr, Il y a de nombreuses études qui ont été faites sur le sujet. Et en plus, évidemment, de réduire drastiquement les douleurs, ça améliore aussi considérablement la fertilité. Donc oui, effectivement, il y a un lien et ça reste vraiment très important. Quand on parle aussi des compléments alimentaires, énormément disent oui, mais en gros, c'est un effet placebo. Non, il y a de nombreuses études scientifiques sur le sujet qui vont montrer effectivement que certains minéraux vont réduire l'inflammation. certaines vitamines, minéraux, compléments de manière générale vont vraiment considérablement réduire l'inflammation et améliorer la qualité homocytaire parce que c'est aussi une des grosses problématiques de l'endométriose. Mais donc voilà, ce n'est pas pour autant que du jour au lendemain, les médecins vont se mettre à prescrire ça parce qu'on va se dire les choses, ça ne rapporte rien au laboratoire pharmaceutique ou pas grand-chose en tout cas. Et puis évidemment, on va balayer aussi d'un revers de la main le stress, etc. Alors que l'impact du cortisol... sur l'inflammation chronique est là aussi largement étudiée. En fait, des références et des études scientifiques, il y en a des tonnes. Pas forcément encore autant que je le souhaiterais, si on compare certaines analyses. Si on parle, par exemple, de problèmes érectiles, on va trouver des milliers et des milliers de références, des milliers d'études scientifiques. Quand on parle de la santé féminine, tout de suite, il y en a vachement moins quand même. Mais en tout cas, elles existent, elles ont le mérite d'exister, elles ont le mérite d'être là. Et il y a vraiment des études qui sont particulièrement intéressantes. Donc, la grosse problématique, au-delà encore une fois du diagnostic, c'est que, de manière générale, le médical tel qu'on le connaît de façon très classique va rester enfermé dans une vision qui est complètement dépassée et ne propose absolument aucune approche globale. Et donc ça, pour moi... ça reste vraiment, vraiment, vraiment le fond du problème. C'est bien d'opérer, c'est bien de donner certains traitements, etc. Et encore une fois, je ne dis pas qu'il ne faut pas en prendre ou ne pas faire d'opération. Ce n'est pas du tout ce que je dis. Par contre, ce que je dis, c'est que ça ne va pas régler le problème. Donc, il y a besoin vraiment impérativement d'une approche globale. Donc, oui, c'est génial d'avoir cette avancée au niveau de ce test, de la mise en place de ce test. Et encore, on va voir aussi sur du long terme vraiment le taux de fiabilité, etc. Je suis quand même toujours très surprise et intéressée dans le bon sens. Mais j'aime quand même toujours avoir l'esprit critique parce que je ne veux pas prendre ça comme un acquis en se disant « Waouh, c'est génial, c'est révolutionnaire, ça va changer » . Et puis on se retrouve cinq ans plus tard et on va s'apercevoir qu'en fait, il n'y a pas grand-chose qui aura changé dans le fond. Donc le test, le diagnostic, c'est génial. Et en même temps, ce qu'on attend derrière, c'est une transformation dans la prise en charge. Donc... Tu vas me dire, ok, mais imaginons, je sais, c'est confirmé. Eh bien, ce qui va être important, c'est de te dire, mais qu'est-ce que je peux faire au-delà du diagnostic ? Parce qu'on va te confirmer quelque chose que tu soupçonnais 9 fois sur 10 déjà en amont. Et donc, ce qui va être important, évidemment, c'est de travailler sur une alimentation qui est anti-inflammatoire. Il y a d'ailleurs un épisode de podcast que j'ai enregistré avec Fabien Piasco, que je t'invite à aller écouter ou réécouter si tu ne l'as pas déjà. Déjà fait parce que c'est vrai que cet épisode est un épisode pépite. C'est vraiment un épisode extraordinaire parce qu'on partage énormément d'infos. Alors, c'est l'épisode 108. Je t'invite vraiment à aller écouter l'épisode avec Fabien parce qu'on a partagé énormément de conseils pour cette alimentation anti-inflammatoire qu'il a d'ailleurs appelée l'alimentation anti-endométriose où on a parlé évidemment de tout ce qui était sucre, de produits laitiers. On a parlé des bons gras, on a parlé de plein, plein de choses. Donc, c'était vraiment super intéressant. À côté de ça, c'est évident qu'il est nécessaire de soutenir son corps avec des compléments qui sont adaptés. Ça, tu le sais. Alors, attention, je vais quand même mettre en garde aussi parce que je suis la première, évidemment, à parler de complémentation. Parce que je trouve que ça doit vraiment faire partie de l'approche, en tout cas de la solution qu'on met en place. Parce qu'aujourd'hui, malheureusement, l'alimentation, même saine, ne permet pas d'obtenir... tous les bienfaits, en raison de l'industrialisation, de l'utilisation de pesticides, etc. On ne mange plus exactement ce qu'on pouvait manger au début du siècle dernier. Je ne vais même pas remonter à il y a 500 ans, on va juste remonter au début des années 1900. À l'échelle du monde, à l'échelle de la planète, ce n'est pas loin. Mais évidemment, il y a eu une révolution drastique au niveau de l'industrialisation, et malheureusement... La qualité des sols s'est considérablement appauvrie parce qu'on est en train de tuer le sol. Et donc forcément, la qualité de ce qu'on mange est aussi vachement appauvrie. Quand on voit la pollution à la fois de la terre, de la mer, etc., forcément, c'est nous les premiers qui en sommes impactés parce qu'on mange tout ce qui provient de la terre, on mange tout ce qui provient de la mer. Et donc forcément, on est impacté aussi au niveau des pesticides, des perturbateurs endocriniens, etc. C'est catastrophique. Donc clairement, on a besoin de compléments adaptés. Maintenant j'insiste sur « adapter » . Le mot « adapter » a toute son importance. Pourquoi ? Parce que je vois trop de femmes vouloir prendre des compléments et c'est super, mais sans avoir fait d'analyse au préalable. Et du coup on se retrouve avec des compléments qui ne sont pas forcément efficaces parce que pas les bons selon la personne, et où on se retrouve avec des compléments qui ne sont pas correctement dosés. Et ça pose problème aussi parce que ça met du temps aussi à remonter du coup, enfin quand je dis remonter ou diminuer selon la nécessité. C'est vraiment important de se dire, se complémenter, oui, mais pas n'importe comment. On ne joue pas aux apprentis chimistes, on ne joue pas aux apprentis sorciers. La complémentation, ce n'est pas quelque chose qu'on prend à la légère. C'est vraiment important, d'autant plus que certains peuvent avoir des impacts et des interactions au niveau des protocoles PMA. On ne fait pas n'importe quoi avec ça. C'est vraiment super important. Et bien sûr aussi, toute la partie stress, la partie émotionnelle. n'est pas à sous-estimer non plus dans les pathologies inflammatoires, parce que comme je te le disais, évidemment, tout ce qui est, par exemple, le cortisol, eh bien ça va accentuer toute la dimension inflammatoire. Donc on a besoin d'intégrer aussi cette dimension-là dans la prise en charge. Donc tu vois que le diagnostic c'est bien, mais en réalité, à côté de ça, il y a énormément de choses à faire en parallèle. Je vais juste partager un message que j'ai reçu ce matin. Je vais le reprendre ici sous les yeux. Je le fais en direct, c'est vraiment toujours du spontané, mais parce que je trouve ça juste extraordinaire. Je sors un petit peu du contexte de l'endométriose, mais c'est juste pour te montrer la nécessité d'une approche globale. J'ai reçu ce matin un message. d'une jeune femme que j'accompagne dans le cadre du coaching Éclosion et qui a rejoint le coaching vraiment tout récemment et qui m'envoie un message en me disant « Coucou Mia, je te partage ma petite victoire TSH. Il y a deux semaines, ma TSH était de 11,4 et vendredi, elle était de 4,25. » Et dire que l'endocrinologue m'a dit que ça prendrait des mois pour qu'elle commence à redescendre. Et en fait, tu vois, ce message... Je l'adore et je suis vraiment super contente de l'avoir reçu. Alors, je sors du contexte de l'endométriose, mais juste pour te dire une chose, c'est que souvent, les médecins vont te dire, ça va mettre des mois pour faire ci, ça va mettre autant de temps pour faire ça. Mais oui, en fait, ça prend énormément de temps. Pourquoi ? Parce qu'on a une approche qui est segmentée. On a une approche où, en fait, on va se contenter d'appuyer sur peut-être un levier. Et je trouve ça dommage quand on sait qu'avec une approche globale, ça peut aller vachement plus vite. Donc, c'est vraiment important de garder ça en tête. Et tu vois ici, la TSH, on est d'accord, elle n'est pas encore dans les clous. On est bien, bien, bien d'accord là-dessus. Il y a encore des choses à faire. Mais en réalité, déjà, il faudrait que je regarde vraiment sa date d'entrée au sein du coaching d'éclosion. Mais c'est vraiment, vraiment tout récent. Et quand elle m'a rejoint, elle ne savait pas encore qu'elle avait des problèmes de thyroïde. On a mis les choses en place et elle a découvert justement les problèmes de thyroïde. Donc c'est très bien parce qu'on a pu mettre le doigt dessus. Là où d'autres médecins avaient tendance à lui dire oui mais vous êtes jeune parce qu'elle a 27 ans. Et donc les médecins, le corps médical de manière générale lui disait oui mais vous êtes jeune, vous avez le temps. Non, on ne parle pas d'un job, on ne parle pas de postuler à une place, on ne parle pas de ça. Donc l'âge en matière médicale n'a absolument rien à voir là-dedans. Qu'est-ce que je veux dire par là ? Si on lui dit, vous êtes jeune, en gros, continuez à essayer pendant une année entière et puis on se revoit. Oui, sauf que si on ne diagnostique pas qu'il y a effectivement un problème, en une année, je te laisse imaginer l'ampleur, la progression que cette pathologie peut prendre. C'est juste énorme. Donc, on a bien fait de comprendre, on a bien fait de creuser, parce qu'effectivement, il y avait de gros problèmes. D'ailleurs, ça a été pris en charge tout de suite, une fois qu'ils l'ont identifié, donc déjà, c'est bien. Mais à côté de ça, leur approche n'est pas... Encore une fois, que mono... C'est même pas mono-solution, je pourrais même pas dire ça, parce que pour moi, c'est pas une solution. Mais il faut comprendre d'où vient le dysfonctionnement, et il faut le régler. Et là, tu vois, en à peine... Donc là, elle me disait, il y a deux semaines, la TSH était de 11, vendredi, elle était à 4. Donc en deux semaines de temps... On a quasiment divisé par trois son taux de TSH. Donc, c'est juste pour te montrer à quel point le fait de mettre en place une approche globale, ça peut tout changer. Et donc, c'est ça aussi que j'ai envie de te faire prendre conscience. C'est de ça dont j'ai envie de te faire prendre conscience. Parce que c'est pareil ici pour cette prise en charge, de se dire, ben voilà, on a de l'endométriose, ok, on a le diagnostic. Et ça, c'est super encore une fois. Mais derrière, est-ce que vraiment la prise en charge va changer ? À ce jour, la réponse, c'est non. Donc peut-être que dans 3 ans, 4 ans, 5 ans, je refais un nouvel épisode de podcast en me disant c'est fantastique. Mais pardon, je n'y crois absolument pas. Je n'y crois absolument pas parce qu'à ce jour, encore une fois, même s'il y a plein d'études scientifiques, elles n'arrivent pas forcément à la connaissance des médecins. Parce que aussi, ça ne rapporte pas grand-chose de fonctionner différemment. Les compléments alimentaires, même si effectivement ça coûte, ça coûte toujours vachement moins cher que les traitements, soi-disant. que des protocoles médicamenteux, j'entends par là, et encore moins, évidemment, qu'une opération. Et donc, il y a toujours un côté, finalement, business qui est là derrière et on peut le tourner comme on veut. Je pense qu'il est quand même temps de se dire les vraies choses. En tout cas, tu le sais, moi, je n'ai pas de filtre, je n'ai pas de langue de bois et je pense clairement qu'on gagnerait en santé, en énergie, en temps, en tout, que de prendre les choses de façon préventive plutôt que curative, d'autant plus quand on sait à quel point le curatif n'est pas à la hauteur. Donc vraiment, il y a beaucoup de choses à mettre en place. Si tu sens que toi aussi, ça te parle, que tu te dis, en fait, oui, c'est bien, maintenant je sais que j'ai de l'endométriose, mais je veux aller plus loin et je veux vraiment mettre en place une approche globale, je t'invite vraiment à rejoindre le programme d'accompagnement, que ce soit le coaching Éclosion, que ce soit le programme Fertility. Tu auras évidemment toutes les infos pour pouvoir avancer, mettre des choses en place. Arrêtez d'avancer à l'aveugle, en fait, tu auras toutes ces infos. Évidemment, si tu es dans le cadre du coaching l'éclosion, c'est du personnalisé. On est vraiment ensemble, où je vais vraiment creuser, évidemment, sur tout ce qu'il y a moyen de creuser. Et donc, c'est vraiment le moment de te lancer. Si tu hésites, si tu as envie de te dire, ok, là maintenant c'est bon, j'ai assez perdu de temps, eh bien, on va aller vachement plus vite, on va accélérer tout ça. Et surtout, tu vas apprendre à comprendre tout ce qui se joue là derrière. Et crois-moi, tu ne seras pas déçu. Il y a énormément de choses que tu ignores. Même si, et j'insiste, même si tu as un bagage au niveau médical, même si tu as un bagage au niveau, quand je dis médical, c'est médical et ou paramédical, j'accompagne des médecins, j'accompagne des infirmières, j'accompagne des femmes qui sont issues elles-mêmes du milieu médical et qui découvrent énormément de choses parce que ça reste une approche très spécifique, d'accord ? Et que souvent, même si tu as des connaissances d'un point de vue médical qui sont poussées, J'ai envie de te dire, c'est même génial parce qu'on va pouvoir aller encore plus vite parce que tu connais les bases, tu connais plein de choses et donc c'est génial, on va pouvoir aller voir tout ça. Mais ça reste évidemment une approche qui est très spécifique, la médecine fonctionnelle, l'approche globale vraiment de la pathologie, de la fertilité, etc. C'est quand même un terrain très spécifique, ça fait 11 ans que je suis sur le sujet et ça fait 11 ans que je me forme. Donc laisse-moi te dire que j'aurai forcément un coup d'avance et que je pense que même si tu as un bagage... très important derrière toi, je pense que tu vas vraiment être surprise des bons et des liens que tu vas enfin pouvoir faire. Alors que jusqu'ici, il te manquait des éléments au niveau de ton puzzle. Je vais t'aider à le reconstituer et tu vas voir à quel point tout va s'éclairer. Donc, si tu as envie d'être conseillé, si tu as envie d'aller voir plus loin, rejoins évidemment mon accompagnement dès maintenant. Moi, je me ferai un plaisir de t'accompagner. Je me ferai un plaisir vraiment de... te donner les bonnes infos au bon moment parce que, encore une fois, le diagnostic, c'est bien, c'est une avancée, mais ça ne suffit pas. Et ça vaut évidemment que tu sois avec de l'endométriose, un SOPK, une insuffisance ovarienne, avec plein plein de choses. C'est génial, mais je pense qu'il y a moyen de faire mille fois plus et surtout de le faire différemment. Alors si mon discours te parle, n'attends pas, tu viens cliquer sur le lien qui est dans la description de cet épisode et on se retrouve de l'autre côté. Prends soin de toi. Merci d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout. Si tu veux aller plus loin et bénéficier de plus de conseils, télécharge maintenant mon guide offert sur positivemindattitude.fr. Pour encourager ce podcast, merci de mettre une note et ou un commentaire sur ta plateforme d'écoute. Je te dis à très vite pour un prochain épisode.

Share

Embed

You may also like