Speaker #0et bienvenue à toutes d'en pro ce qui te parle le podcast pour les femmes qui veulent se recentrer sur elle je suis amanda professeur de yoga avec une approche de développement personnel dans ce podcast je pars partage avec vous mes connaissances et mes propres expériences, un peu comme une copine qui vous envoie un mémoire vocal, le tout sans chichi. Alors avant d'aller plus loin, sachez que j'ai un petit cadeau pour vous, une to-do list qui vous accompagnera dans ce tout retour à soi. 50 idées d'actions concrètes, le but n'étant pas de toutes les cocher, évidemment, mais simplement de se mettre en mouvement vers soi. Alors c'est parti pour l'épisode du jour, prenez uniquement ce qui vous parle et surtout, laissez le reste. Hello, hello, bonjour à toutes, j'espère que vous allez bien. Je suis ravie de vous retrouver aujourd'hui pour un nouvel épisode et nous allons parler de développement personnel, plus précisément des pièges à éviter dans le développement personnel parce que oui, à mon sens, il y en a quelques-uns. J'en ai recensé au moins dix. Alors vous allez voir que cette liste n'est pas exhaustive. Encore une fois, ça part vraiment... de mon expérience, de mes observations. Et d'ailleurs, à la fin de l'épisode, n'hésitez pas à me dire si vous êtes tombé dans un piège que je n'ai pas cité, parce que ça peut vraiment être utile à tout le monde. Avant de vous citer ces pièges, j'ai envie de vous faire quand même une petite introduction sur le développement personnel. Vous vous rappelez de quoi il s'agit, parce que finalement, on entend développement personnel à toutes les sauces aujourd'hui. C'est très actuel, c'est très dans l'air du temps. Et donc, en fait, le développement personnel, c'est quoi ? Comme son nom l'indique, ça sert à se développer personnellement. Alors moi, il y a une définition que j'aime beaucoup, je ne la connais même pas par cœur, mais c'est quand M. Thomas d'Ansembourg en parle, je ne sais pas si vous le connaissez, c'est un monsieur qui forme à la communication non-violente, qui a écrit un livre « Cessez d'être gentil, soyez vrai » , entre autres. et donc lui il explique que le fait de faire ce travail sur soi pour s'améliorer, pour se sentir mieux, pour être plus en paix, pour mieux communiquer, etc. Et bien finalement, c'est aussi pour être mieux en lien avec l'autre. Et donc, ce n'est plus que du développement personnel dans un sens égoïste du terme, mais c'est vraiment quelque chose qui peut contribuer aussi au bien de tous, en fait, qui peut contribuer vraiment au collectif. et à améliorer aussi nos relations aux autres. Moi, je trouve ça vraiment très beau, et j'aime bien le remettre aussi à l'honneur, parce que c'est vrai qu'il y a beaucoup de croyances autour du développement personnel, comme quoi c'est une pratique un peu égoïste, où on vient se regarder le nombril, et peut-être que ça fait partie d'un des pièges, qu'il y a des personnes qui tombent peut-être un peu dans l'extrême. C'est possible aussi, mais au départ, le développement personnel, c'est vraiment pour ça. C'est vraiment en fait un ensemble d'approches, de techniques, de courants qui permettent l'amélioration et la transformation de soi pour exploiter son potentiel et simplement être heureux en fait. Donc c'est vraiment se connecter à qui on est vraiment, se transformer de façon positive pour se sentir bien, pour se sentir mieux et pour exploiter toutes les parties de nous. qui peuvent servir aussi au monde, vous voyez, donc on n'est pas dans quelque chose de juste être heureux pour ma petite personne, mais justement déployer tout ce qu'il y a en moi qui peut servir. Et ça c'est très différent chez chaque personne aussi, donc ça contribue aussi à l'amélioration, je vous l'ai dit, du bien commun, du collectif, mais en passant d'abord par soi. Alors ça me fait penser à cette petite citation que vous connaissez certainement aussi qui est « Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde » . Alors quand on parle d'amélioration de soi, ben oui, mais de quoi en fait ? Améliorer quoi ? Parce que ça peut mettre la pression aussi à certaines personnes de se dire « Mais attends, qu'est-ce que je dois améliorer chez moi ? » Au final, on est déjà tous parfaits tels qu'on est. On entend beaucoup ça aussi pour le moment qu'il n'y a pas de meilleure version de soi. Moi, la meilleure version de soi, comment je la comprends ? C'est que ça va être la version de soi la plus authentique. c'est-à-dire que c'est la version de soi dans laquelle on se... On se dépouille en fait de toutes ces couches qu'on a accumulées au cours d'une vie, de tous ces... peut-être pas toutes, j'exagère un peu quand je dis toutes parce que je ne pense pas qu'on se dépouille vraiment à 100% un jour, mais qu'en tout cas on peut prendre conscience qu'on porte peut-être certains masques, certaines armures, qu'on a peut-être certains blocages, certaines croyances, barrières mentales qui nous empêchent d'avancer vers cette version expansée de nous. ... et qu'on s'empêche de vivre qui on est vraiment, vous voyez ce que je veux dire ? Et donc ce travail-là, on peut le faire vraiment pour tous les domaines de la vie, en fait. Alors moi personnellement, j'aime bien démarrer de la relation à soi, parce que finalement tout démarre d'abord de soi, donc vraiment sa relation à soi, c'est quoi ? C'est se connaître, connaître ses limites, savoir ce qui nous nourrit, être en lien avec nos besoins, savoir mettre des mots sur nos émotions, connaître un petit peu son fonctionnement interne qui est vraiment propre à chacun, développer cette estime, cet amour de soi qui permet d'être mieux en lien avec les autres. Et puis après, plus on vient travailler sur ce rapport à soi-même, plus on peut aller vers la relation aux autres. Alors... Je ne pense pas que ça se fait vraiment dans un ordre très précis. Je pense que tous travaillent un peu en même temps, mais quand même en mettant une intention de départ sur soi. Et puis, naturellement, ça va aller vers les autres, vers les relations sociales, la relation amoureuse, les relations familiales, toutes les interactions qu'on peut avoir au quotidien. Et puis, de plus en plus, vers la relation au monde, à l'environnement. notre rapport, notre connexion à peut-être quelque chose de plus spirituel aussi, ça peut faire partie de ça. Le développement personnel, il englobe aussi vraiment tout ce qui peut être aussi le rapport à la santé, au bien-être, aussi le rapport aux finances, par exemple. Donc on peut vraiment se développer personnellement dans tous les domaines possibles et imaginables. Moi dans mon approche, je pense que j'accompagne surtout les personnes Dans la relation à soi. Et puis elle directement, je vois aussi qu'il y a par effet ricochet, ça agit dans la relation à l'autre. Et moi, mon dada, c'est vraiment d'accompagner les personnes à se recentrer sur elle. Donc c'est dans ce sens-là que moi, je vois le développement personnel dans mes accompagnements. J'aime bien vous rappeler aussi que le développement personnel, c'est quelque chose de très moderne, de très actuel. Et en effet, pourquoi ? Pourquoi est-ce qu'à l'heure actuelle, il y a tel boom avec ce fameux développement personnel ? Bon, évidemment, la crise du coronavirus n'y est pas pour rien. Tout le monde a été confiné. Et en fait, on a vécu une crise, mais pour la majorité des personnes, en tout cas, certainement les personnes qui m'écoutent. C'était quand même une crise de luxe. Alors je mets quand même entre guillemets parce que je sais qu'il y a beaucoup de personnes qui ont souffert autour de ça et je ne veux pas minimiser les dégâts par rapport à tout ça. Mais c'était une crise de luxe dans quel sens ? Dans le sens où on était confinés, mais dans notre confort. Vous voyez, on était confinés avec des ordinateurs, avec des télévisions, avec à manger, avec tout à notre disposition malgré tout. et donc la différence Avec d'autres types de crises, c'est qu'en fait, on ne peut pas faire du développement personnel si nos besoins primaires ne sont pas d'abord satisfaits. Parce qu'en fait, si vous connaissez un peu, je vais prendre l'exemple de la pyramide des besoins de Maslow, par exemple. Il y a d'abord les besoins physiologiques, donc vraiment les besoins de se nourrir, de boire, de pouvoir... évacuer nos déchets, voilà, vraiment les besoins physiologiques de base. Après, il y a les besoins de sécurité, avoir un toit sur la tête, avoir un lit dans lequel dormir, avoir accès peut-être à l'eau pour se doucher, etc. Et vous voyez, il n'y a pas tout le monde sur la planète qui a déjà accès à ça, même à l'heure actuelle. Et ce que je veux vous dire, c'est que pendant le Covid, la majorité des personnes avaient quand même ça. Et donc là, on peut rentrer en fait dans le haut de la pyramide, où on arrive sur des besoins d'estime, de reconnaissance, des besoins d'appartenance, et puis le besoin vraiment d'accomplissement de soi. Donc en fait, on vit dans une ère aujourd'hui où on a le temps, si vous voulez, de faire ça, de s'occuper de soi, de réfléchir à soi, de réfléchir au sens de la vie. Et quand il y a des périodes de guerre, quand il y a des périodes de disette, on a franchement autre chose à faire. Vous voyez que de commencer à faire du journaling pour dire comment je me sens aujourd'hui ou quelle est ma gratitude du jour, même si peut-être que c'est possible de le faire, mais voilà, il y a d'autres priorités à ce moment-là qui sont de survivre en fait. Donc voilà pourquoi c'est un phénomène très, très moderne, très actuel. et certainement que cette crise du coronavirus a fait aussi... exploser ça et dans un sens c'est tant mieux puisque quand on a le temps et on voit aussi qu'on est une génération qui guérit beaucoup de choses aussi du passé on prend on prend beaucoup le temps de comprendre notre fonctionnement de comprendre l'impact de chacune de nos interactions etc mais dans tout ça eh bien il ya certainement des pièges aussi dans dans lesquelles ne pas tomber, parce que justement, vu que... Vu que c'est en pleine expansion et qu'il y a aussi un excès d'informations autour de ça, et j'en fais peut-être partie, donc j'en suis désolée si c'est le cas, mais justement, je voulais faire cet épisode pour peut-être vous prévenir de certains pièges. Alors, les 10 que j'ai choisis ici, je vous le dis, moi, je suis tombée dans tous, sans exception. Donc, si ça peut vous éviter cette erreur-là pour vous faciliter, en fait, ce chemin qui est censé être un chemin qui est doux, qui est beau, qui est lumineux, qui fait du... bien et qui est, je vous le rappelle, pour améliorer notre vie, pas pour la compliquer. Donc justement, voyons ensemble ces dix petits pièges que j'ai mis en avant pour vous. Alors, le premier piège dont j'ai envie de vous parler, ça va être la surconsommation. Justement, j'étais en train de vous le dire. qu'on vit à une époque où c'est en pleine expansion, on parle de développement personnel à tout vin. Moi je trouve que c'est une bonne chose de faire du développement personnel, mais la surconsommation en elle-même peut devenir un piège dans le sens où on se surcharge d'informations, en plus des informations qui viennent parfois de sources différentes, donc parfois d'approches différentes, et ça vient en fait... créer des courts circuits dans le cerveau, si vous voulez, qui vont faire qu'on a un peu perdu, qu'on a un peu surchargé d'informations. Et en fait, le risque avec ça, avec cette surconsommation, c'est de rester en surface. On emmagasine de la matière, on emmagasine des connaissances, on emmagasine des nouvelles choses, peut-être, ou peut-être des petites prises de conscience. mais qui vont quand même rester en surface et en fait on ne fait pas le travail en profondeur. Ça reste un peu dans la tête si vous voulez, ça ne passe pas par le corps ni par l'intégration dans la vraie vie. Et en plus aujourd'hui, il y a énormément de contenu gratuit. Ce podcast en fait partie, la to-do list que je vous propose en fait partie. Et moi je ne suis qu'une petite goutte dans l'océan, il y a je ne sais pas combien de milliers, si pas des... Des milliards peut-être, en tout cas il y a énormément de contenu gratuit aujourd'hui que ce soit des vidéos YouTube, des podcasts, des ressources à télécharger, etc. Aujourd'hui en fait on a vraiment tout ce qu'on veut gratuitement parce que ça fait partie d'un modèle si vous voulez d'offrir du contenu gratuit, mais aussi pour se faire connaître et puis pour montrer aux personnes notre approche, pour déjà commencer à planter des graines et puis... proposer aux gens, si ça leur dit, d'aller plus loin avec le contenu qui, évidemment, est payant quand on est entrepreneur, qu'on soit thérapeute, coach, peu importe. Mais en fait, ce contenu gratuit qui est là au départ pour commencer à semer des graines, la surconsommation, c'est vraiment de vouloir prendre tout ce contenu gratuit comme s'il suffisait. En fait, vous voyez, comme si c'était ça le chemin. Mais souvent, ce contenu gratuit, il est là, comme je vous le disais, pour planter des graines, pour montrer une approche. Il y a des personnes qui sont déjà satisfaites avec ça. J'ai par exemple dernièrement reçu un mail d'une personne qui m'a dit qu'elle a téléchargé la to-do liste et qu'elle avait coché au moins 8 cases en une semaine et que grâce à ça, elle avait eu des prises de conscience, qu'elle avait pris soin d'elle, elle était allée chez la coiffeuse, etc. Ça lui a fait du bien, mais c'est magnifique en fait, tant mieux. Ce contenu gratuit, il est là pour ça. Mais si vraiment vous voulez faire un travail en profondeur de développement personnel, ce contenu-là ne va pas suffire. Et c'est vraiment quelque chose à distinguer. Et donc parfois, il vaut mieux consommer un peu moins, mais aller au bout de quelque chose. Je vous donne encore un exemple, il y a beaucoup de livres aussi de développement personnel vraiment en veux-tu, en voilà. Je crois que c'est les rayons les plus fournis dans les papeteries, etc. Et c'est pour ça aussi que j'ai sorti le programme de méditation et de journaling sur les accords Toltec, pour pouvoir vraiment intégrer de l'intérieur. Cette sagesse qui est si belle, qui est si complète en seulement cinq petites phrases, cinq accords toltèques qui résument un peu tout. Je trouve que c'est tellement complet. Mais en même temps, souvent, on le lit et puis on l'oublie. Vous voyez, c'est vraiment l'idée de ne pas surconsommer et de consommer un peu moins, mais d'essayer d'aller au bout de quelque chose pour l'intégrer pleinement. Voilà. Alors ensuite. Le deuxième piège dont je veux vous parler, c'est vraiment de la continuité du premier. C'est de vouloir suivre toutes les voies, de vouloir suivre tout le monde et de vouloir tout faire. Donc on est encore un peu dans la surconsommation, mais ici la distinction c'est que c'est vraiment, comme je vous ai dit tout à l'heure, il y a plein de gens qui proposent plein de choses. Chaque personne a peut-être un peu son approche, son courant, sa façon de faire, ses objectifs mis en avant, vous voyez. Et en fait, un des pièges, c'est de vouloir faire tout en même temps. Alors, vous avez déjà entendu cette expression que tous les chemins mènent à Rome. Et c'est vrai. Vraiment, moi, j'ai mon approche à moi. Mais je trouve que l'approche des autres est certainement bien aussi. Mais si tous les chemins mènent à Rome... Pour aller à Rome, il va bien falloir en choisir un, peu importe lequel, puisque tous mènent à Rome, vous voyez. On ne saurait pas les emprunter tous en même temps, sinon qu'est-ce qui se passe ? On est confus et on se perd. Donc ça revient encore pour moi à l'idée précédente de vraiment aller au bout de quelque chose, plutôt que de vouloir essayer toutes les routes. Vous voyez, on va aller à droite, on revient, on va à gauche, on revient, on va au milieu. donc ça pour moi c'est vraiment un des pièges de vouloir faire tout en même temps. Ensuite, eh bien, c'est de rester trop dans sa tête. Encore une fois, je sais que je redis ce que j'ai déjà dit un peu précédemment, mais ça, c'est vraiment un piège quand même bien distinct. Je le vois aussi parfois dans les cours de yoga. Donc, en tout cas, pas spécialement rester que dans sa tête, mais être beaucoup dans sa tête et c'est un piège dans lequel tout le monde tombe et je pense que c'est normal aussi au début quand on apprend des nouvelles choses, qu'on a des déclics etc parfois on veut comprendre mais alors à vouloir trop comprendre on est en train de tout mentaliser et en fait on passe à côté du truc qui est de vivre le moment présent, de sentir ce que ça fait à l'intérieur de soi dans son corps, dans ses émotions de pouvoir prendre du recul avec ça, de laisser les choses un peu processées vous voyez et Et donc, il y a vraiment un des pièges, à mon sens, qui est de vouloir tout mentaliser, tout comprendre, tout faire des schémas et faire des liens entre les trucs, etc. C'est bien de le faire un peu, mais quand c'est trop, ça nous coupe de ce développement personnel et ça nous empêche cette transformation intérieure qu'on désire pour soi, pour son bien-être, pour améliorer sa vie. Donc un des pièges, c'est d'être un peu trop dans sa tête, de chercher à trop mentaliser, et en fait de ne pas le vivre dans le corps, et surtout de ne pas passer à l'action. Parce que c'est bien d'avoir compris quelque chose, que ce soit sur soi, que ce soit sur la vie, que ce soit un déclic. Mais derrière, ce qui compte, c'est de passer à l'action, vous voyez. Imaginez, vous prenez conscience que... que je ne sais pas que vous n'avez pas bien posé vos limites et qu'en fait vous êtes épuisé parce que vos limites sont tout le temps dépassées l'action derrière c'est d'apprendre à mettre ses limites et ça prend du temps, ça se travaille c'est pas toujours facile etc. mais c'est vraiment après pouvoir le faire et la prochaine fois que la limite est dépassée, on prend conscience plus tôt et mettre en place des choses que ce soit une conversation que ce soit C'est souvent ça, en fait, c'est souvent une conversation. Mais voilà, si derrière, il n'y a pas l'action qui va avec la prise de conscience, on reste que dans sa tête et on n'avance pas. Alors ensuite, le prochain piège que j'ai mis en avant, c'est le fait de ne pas faire de pause. Et ça, Dieu sait que je suis la reine pour ça. En fait, on est dans son développement personnel, on apprend des choses sur soi. Au début, c'est un peu comme une révélation, si vous voulez. Moi, j'ai une métaphore que je peux partager avec vous. C'est qu'au début, quand j'ai commencé, moi, j'ai commencé surtout avec une formation, je vous en parle souvent, d'harmonie vitale par la sophrologie, que j'ai faite en... parallèle en même temps que ma formation de prof de yoga. J'avais vraiment les deux approches, l'approche un peu développement personnel avec cette formation Harmonie Vitale par la Sophrologie, une approche très corporelle et libératrice avec le yoga. Et en fait, quand j'ai commencé tout ça, c'est vraiment la métaphore que je peux donner. C'est comme si j'avais avant ça tout le temps un brouillard dans mon cerveau. J'avais... tout le temps le cerveau embrumé, je ne voyais pas clair, il y avait toujours des tempêtes en fait à l'intérieur de moi et c'est comme si ces deux pratiques ensemble s'étaient venues souffler sur les nuages, s'étaient venues faire de la place et rendre de la clarté aussi bien sur moi, sur ma vie, etc. Mais aussi une clarté sur les capacités physiques de mon corps et mes capacités émotionnelles aussi à mettre en place des choses, vous voyez. Donc en fait, ça fait tellement de bien quand on commence tout ça, c'est comme une révélation, on adore, et en fait on devient un peu, comment vais-je dire, on devient un peu trop obsédé en fait par son développement personnel, et on en oublie de faire des pauses. Mais en fait, faire une pause, c'est méga essentiel, et d'ailleurs on parle de ça dans la philosophie du yoga, ça me fait penser à ça. Et vous allez voir, ça paraît assez cohérent, c'est qu'à chaque phase un peu d'évolution, c'est hyper important après d'avoir un plateau qui va permettre d'intégrer tout ce qu'on vient de vivre. Donc vraiment faire des pauses. Une pause, c'est quoi ? C'est quand il n'y a pas cours de yoga et développement personnel, ce n'est pas grave, on fait une pause de deux semaines et ça fait du bien. Et on essaye de ne pas trop penser à ça, on essaye de prendre du recul en fait par rapport à tout ce qu'on a appris. C'est vraiment partir en vacances. Quand on part en vacances, on n'y pense pas. Alors, on y pense toujours un petit peu parce que c'est plus fort que nous, vous voyez. Mais les peaux sont tellement essentielles. Il ne faut pas... Vous savez, il y a aussi cette image de... On ne va pas tous les jours déterrer une plante pour voir si elle prend bien racine, vous voyez. Le développement personnel, c'est quelque chose qui se fait avec douceur, avec lenteur. Et c'est important. de faire ces poses-là pour vraiment intégrer, pour vraiment qu'il y ait ces plateaux qui permettent de bien consolider tout le chemin qu'on vient de faire. Le cinquième point, le cinquième piège que j'ai fait ressortir ici, c'est l'idée d'être trop exigeante, d'avoir des objectifs un peu trop hauts, de vouloir tout régler dans sa vie et d'être trop pressée. Donc en fait, du développement personnel, c'est bien de le démarrer sur base d'objectifs personnels. De vraiment se demander, ok, qu'est-ce que je veux faire ? Vous voyez, par rapport au domaine qu'on est en train de travailler, parfois on met en place des objectifs, des pièges, c'est de mettre des objectifs trop hauts. Pourquoi ? Parce que la théorie des petits pas est hyper importante. En fait, si on se met un objectif trop haut, on va se décourager. Puis surtout, au début, on va avoir plein de motivation. Donc, on va faire plein de choses. On va mettre plein de choses en place. Et puis, on va se dire, j'ai pas atteint mes objectifs. Et en fait, on se sent pire que bien. Et c'est dans ce sens-là que c'est un piège. Parce que je vous rappelle que c'est là pour nous faire du bien. Si votre développement personnel, il vous fait plus de mal qu'autre chose et que vous vous sentez plus mal qu'avant, même s'il peut y avoir des petites fins comme ça de... c'est normal, on fait muer des choses à l'intérieur de soi, mais sur le long terme quand même, c'est là pour vous faire du bien. Donc si vous vous fixez des objectifs trop, que vous êtes trop exigeante, ça va vous causer du tort parce que vous allez vous démoraliser, vous allez vous dire que ça ne sert à rien, que ça ne marche pas, ou pire que ça, vous allez vous dénigrer. En fait, vous voyez, l'estime de soi va en prendre un coup parce qu'on va avoir l'impression qu'on n'est pas capable, qu'on n'a pas réussi, etc. Donc vraiment des objectifs. petit, avancer étape par étape et vraiment se demander je ne sais pas par rapport à tel domaine de vie, tiens comment est ma situation aujourd'hui, comment j'aimerais qu'elle soit, d'accord dans l'idéal et quel est le premier petit pas que je peux faire en avant et puis on prend le temps de se demander comment je vais y arriver etc donc on peut se faire évidemment accompagner pour ça aussi et vraiment y aller petit à petit et Et je trouve que dans les courants qui tournent beaucoup aujourd'hui dans le développement personnel, on entend souvent des trucs du genre « manifester votre vie de rêve » , « sky is the limit » , « le ciel est la limite » , « rien n'est impossible » , « à qui le veut » , « tout le monde le peut » . Ben non, en fait, c'est pas comme ça que ça se passe, tout n'est pas accessible à tout le monde. En tout cas, pas comme ça, en claquant des doigts ou juste en le désirant. Et en fait, le truc que je vous disais au tout début d'épisode, le fait qu'on ait des barrières, des masques, des croyances limitantes, des pensées limitantes, etc. Tout ça, ce sont aussi nos garde-fous. On ne peut pas s'en séparer comme ça juste parce qu'on l'a désiré et parce qu'on a téléchargé un contenu gratuit sur Instagram, vous voyez. C'est vraiment nos croyances, elles sont là pour une bonne raison. Notre égo, il est là pour une bonne raison. En fait, toutes ces parts de nous qui sont un peu, oui, des blocages vers notre épanouissement, ils se sont construits à l'intérieur de nous à un moment donné pour une bonne raison. Donc ça ne se lève pas comme ça en un claquement de doigts et ça prend du temps, ça se fait étape par étape. Et l'objectif final, ce n'est pas de se dépouiller de tout. Donc ça, je vous l'avais dit aussi en introduction. Mais c'est vraiment d'améliorer sa condition pour se sentir mieux. Donc pour moi, un des pièges, c'est d'être trop exigeant, d'avoir des objectifs trop hauts, de vouloir absolument trop régler et surtout d'être trop pressé. Et ça, je le vois aussi. Et par exemple, dans les cours de yoga que je donne, je fais des engagements annuels. Et je me rappelle que l'année passée, j'avais demandé au début de l'année à chaque personne de poser un objectif pour elle, pour son année de yoga. Ça reste un cours collectif hebdomadaire, ce n'est pas non plus comme un accompagnement individuel où on va creuser en profondeur. C'est vraiment un truc cool, vous voyez. On fait une pratique pour soi une fois par semaine, ça fait du bien. Il y a déjà plein de choses qui peuvent se passer à l'intérieur, ne serait-ce que de réguler son système nerveux, par exemple. Et en fait, il y a des personnes qui se mettent des objectifs comme si ce cours-là pouvait les aider à... À la date, des objectifs, voilà, un peu démesurés, vous voyez. Donc, il faut vraiment rester aussi cohérent par rapport à ça et ne pas mettre la barre trop haut parce que sinon, on se met la pression et ça ne fait pas du bien. Le sixième piège, c'est ce que j'ai envie d'appeler la négativité toxique. Mais attention parce que juste après, je vais vous parler de la positivité toxique. Oui, parce qu'il y a les deux. Alors la négativité, en fait je vais commencer par la positivité toxique, parce que ce sera plus parlant de le faire dans ce sens-là. La positivité toxique, c'est quoi ? C'est un peu la dictature du bonheur, vous voyez. Le « Oh, il faut être une petite licorne, tout est beau, tout est magnifique, il ne faut jamais râler. » Et puis surtout, on ne ressent que de la joie et de l'amour. Vous avez déjà vu ça aussi, il y a des courants comme ça de développement personnel. je suis amour Je suis paix, je vibre l'amour, je suis amour universel. Oui, l'amour c'est beau, c'est vrai que c'est quelque chose qui nous fait vibrer haut, c'est quelque chose qui... l'amour remplace la peur, tout ce que vous voulez, mais en fait on est des êtres humains, on a des émotions, on a une vie, il se passe des choses et en fait c'est normal parfois d'avoir des coups de mou, c'est normal parfois d'être fatigué, parce qu'on a aussi un système énergétique à l'intérieur de nous, ... Il suffit qu'on se chope un virus, qu'il fasse un peu plus moche. On en a parlé la semaine passée dans l'épisode sur la dépression saisonnière. En fait, notre énergie, elle ne saurait pas être stable, elle est fluctuante. Nous-mêmes, on est des êtres cycliques aussi, on vit des saisons. Et donc, on ne peut pas être au top niveau tout le temps. Et en fait, la positivité toxique, c'est vraiment ce truc où on vient rejeter son ombre aussi. Parce que, ben oui, on est fait d'amour et de lumière, mais on est fait d'ombre aussi. Et l'idée, comme je vous ai dit, c'est pas de se dépouiller de tout. C'est de faire de son mieux pour se sentir mieux, mais je pense que le fait de se sentir mieux passe aussi énormément par le fait d'accepter ces zones d'ombre qu'on a, et toutes inévitablement, mais aussi d'accepter ces choses plus désagréables qui peuvent se passer à l'intérieur de soi, comme par exemple les émotions qui font partie de nous et qui sont là pour une bonne raison, qui sont des indicateurs, qui sont aussi... Ben juste la preuve qu'on n'est pas des psychopathes, quoi, vous voyez, donc c'est normal d'être triste quand on perd un proche, c'est normal d'être en colère quand on se fait tromper, c'est normal d'être déçu quand quelqu'un n'a pas tenu sa promesse, vous voyez, toutes ces émotions-là, elles sont légitimes et elles sont importantes et c'est important de ne pas les rejeter et c'est un truc qui... pour moi, est un piège dans le développement personnel et quelque chose qui m'horripile d'ailleurs dans le développement personnel, quand on est un peu dans ce monde-là, et qu'un jour on a un coup de mou, parce qu'on est sincère, et qu'il y a quelqu'un qui vient nous dire, oh, mais tu ressens ça avec tout le travail que tu fais sur toi, mais voyons, soit un peu positif, soit un peu... Alors que c'est pas négatif de ressentir des choses, en fait, vous voyez, c'est pas négatif d'être vivant. Donc vraiment, un des piège, voilà, c'est tout. positivité toxique. Alors, juste derrière, je vous parle de la négativité toxique, c'est quoi ? La négativité, ce n'est pas de ressentir des émotions. La négativité, c'est quand on se plaît de tout pour rien. Vous voyez ? En fait, c'est un peu quand on... C'est un peu le fait, oui, d'être pessimiste, mais encore là aussi, ben, parfois, il y a des... Parfois, c'est pas du pessimisme, c'est aussi de la réalité. Vous voyez, ça dépend de quoi on parle, mais La négativité toxique, c'est un petit peu comme on voit que ce qui ne va pas. Vous voyez, on se plaît de tout. Donc se plaindre de toutes ces choses sur lesquelles on n'a pas de prise, les travaux, le temps, je ne sais pas. Vous voyez vraiment les gens qui se plaignent tout le temps de tout, etc. Il y a vraiment une grande différence entre le fait d'accueillir ces émotions, les accepter et les laisser nous traverser. pour simplement qu'elles délivrent leur message et que nous, on puisse avancer. Et le fait de décharger ces émotions sur les autres ou de décharger à qui veut bien entendre tout ce qui se passe à l'intérieur. Et la négativité toxique, c'est aussi le fait, quand on fait ce fameux développement personnel, de commencer à pointer tout ce qui ne va pas. Je pense que c'est un réflexe que beaucoup de personnes ont et que j'ai eu aussi. et de commencer à mettre le doigt sur toutes ces choses négatives, que ce soit chez nous, mais que ce soit aussi chez les autres, ou que ce soit dans la vie, vous voyez. Donc c'est important d'avoir des prises de conscience, et de les considérer pour pouvoir agir dessus, mais de derrière pouvoir faire ressortir aussi ce qu'il y a de bon, et se mettre dans quelque chose de juste et bon pour nous, et de ne pas se laisser tirer vers le bas, vers ces choses négatives. J'espère que vous me suivez. Alors le huitième piège que je vous propose, eh bien ça, ça arrive souvent un peu plus tard quand je pense que ça arrive vraiment un peu plus tard quand ça fait au moins un an ou deux qu'on travaille sur soi avec vraiment avec profondeur. vous voyez quand on n'est pas que dans la surface, quand on va vraiment un peu plus à l'intérieur, il y a quelque chose qui ressort beaucoup chez beaucoup de personnes, c'est un peu... En fait, ce truc où on se rend compte qu'on a évolué, et puis alors, à un moment donné, les personnes se rendent compte que les gens de leur entourage, ben, eux, n'ont pas évolué. Parce qu'en fait, faire du développement personnel, ben, c'est un choix personnel. Et pour moi, le piège, à ce niveau-là, c'est... L'ego spirituel, un petit peu, c'est commencer à se croire supérieur aux autres et se dire, ben moi j'ai fait le job et pas les autres, et commencer à se croire supérieur. Et alors on commence à se dire des trucs du genre, oh moi je vibre haut maintenant, à lui il vibre bas. Ou tomber dans ce truc où on veut absolument changer les autres, et ça part vraiment d'une bonne intention, parce qu'on sent le bien-être que ça nous fait, on se dit « waouh, j'ai enlevé les nuages de mon esprit » . Et donc en fait, on veut que tous les gens qui nous entourent fassent ce chemin-là aussi, sauf qu'on ne se rend pas compte qu'à partir du moment où on se croit supérieur, c'est juste la preuve qu'on ne l'est pas en fait, vous voyez. et aussi à vouloir changer les autres comme ça. On ne se rend pas compte qu'on peut devenir... un espèce de bourreau pour l'autre qui, c'est peut-être pas son choix, son désir, peut-être que la personne, elle n'a pas spécialement d'objectif d'amélioration de soins, qu'elle se sent bien comme elle est, et le fait de venir lui proposer ces injonctions-là, eh bien ça peut venir la bouffer en fait, vous voyez. Donc pour moi, c'est vraiment un des pièges du développement personnel, c'est quand on commence comme ça à se sentir mieux, de vouloir absolument ... convaincre les autres que c'est la solution et qu'il faut le faire absolument comme nous. Et de commencer à ne plus accepter les autres tels qu'ils sont. Vous voyez, et c'est très paradoxal parce que quand on fait ce travail-là, c'est une des premières choses qu'on a envie de mettre en place, c'est de s'accepter soi, de se rendre compte qu'on veut être accepté des autres tels qu'on est vraiment. Mais en fait, après, on n'accepte plus les autres tels qu'eux, ils sont vraiment et de là où ils en sont. Donc pour moi, c'est un des pièges aussi. Le neuvième piège, c'est la comparaison. Enfin, c'est la comparaison. Je vous propose la comparaison. La comparaison, c'est du poison. Et ça aussi, on tombe souvent dedans parce que si on fait, par exemple, des trucs de groupe où il y a des espaces d'échange, etc., eh bien, on va commencer à se comparer, se dire, oh... Mais elle, elle le fait mieux que moi. Je vais donner un exemple. Dans mes cours de yoga, il y a un petit cercle de paroles à la fin, très bref, mais chaque personne a quelques mots à dire. Il y a plusieurs fois des personnes qui viennent me dire, moi je n'arrive pas à dire des choses aussi belles ou aussi profondes. Mais stop, stop, stop. Ne vous comparez pas aux autres. Tout est juste. Chaque personne a son rythme. Chaque personne a son vécu. chaque personne a sa sensibilité, chaque personne a sa façon de s'exprimer, etc. Donc vraiment, ne vous comparez pas. Et pareil sur le truc qui est vraiment le piège du moment, c'est les réseaux sociaux. Donc vraiment, ne vous comparez pas à ce que vous voyez sur les réseaux sociaux, parce que déjà souvent, ce n'est pas la vérité. Sur les réseaux sociaux, on veut montrer... le meilleur, le plus beau, pour dire que c'est possible, mais en fait, on ne sait pas ce que les gens vivent une fois que leur téléphone est éteint. Donc vraiment, ne vous comparez pas. Et pendant ce chemin-là, concentrez-vous sur vous, sur ce que vous, vous vivez. Et ne vous comparez pas aux autres. Je pense que c'est vraiment essentiel. Et enfin, le dernier point, et non des moindres, que je veux mettre ici en avant, à des pièges du développement personnel, c'est de devenir... dépendant, alors que ce soit dépendant au coach dépendant pardon à une application, dépendant à son thérapeute, enfin voilà et en fait vraiment ce truc où en fait vraiment les coachs, les thérapeutes, les accompagnants, voilà quelconque même moi, on est là comme des outils et des personnes qui sont formées pour accompagner les autres mais c'est vraiment comme si nous on allait vous aider à vous mettre sur votre barque. En fait, si vous voulez, on va vous donner les pagaies, on va un peu vous accompagner au début, mais le but, c'est qu'après, vous soyez autonome sur votre chemin, que ce soit une barque, je ne sais pas pourquoi j'ai pris cette métaphore, mais que ce soit une barque, que ce soit une voiture, que ce soit, je ne sais pas, n'importe quel moyen de locomotion, mais c'est vraiment l'idée de vous mettre en route, et après, la personne s'efface. Et vous, vous continuez votre chemin, vous voyez, et je pense qu'il y a énormément de dérives en fait dans ce milieu-là où les personnes deviennent dépendantes et ne sortent en fait jamais. Parce que le but aussi du développement personnel, c'est de se reconnecter à son pouvoir intérieur, vous voyez. Et donc si on commence à devenir dépendant même de l'outil, de l'outil du thérapeute ou de... ou d'une application de quelque chose comme ça, le but, c'est quand même que vous soyez heureux de vous-même. Et tout ça, c'est des outils pour vous aider à vous connaître et à savoir comment prendre soin de vous, etc. Et à vous dépouiller des choses qui vous encombrent pour pouvoir vous réaliser au mieux. Mais ce n'est certainement pas de devenir dépendant. Donc voilà, super important. Après, attention, je ne suis pas en train de dire que... S'il y a des personnes qui ont envie d'aller au cours de yoga, etc., ça fait du bien. Mais par contre, vraiment dans l'accompagnement même individuel ou dans tout ce qui peut être proposé, à un moment donné, c'est important de comprendre que c'est un outil qui va vous aider à vous recentrer sur vous et que vous avez tout à l'intérieur de vous et que vous êtes capable de vous sentir bien après par vous-même. Donc tout ça, ça va vous aider à un moment donné à vous recentrer sur vous. mais la finalité, c'est que vous êtes capable de repartir seule sur votre chemin. Quand je dis seule, ça peut être accompagné de tous vos proches, vous voyez, mais c'est vraiment, pour moi, c'est un des pièges de tomber dans la dépendance et d'avoir l'impression qu'on ne sait plus vivre sans son coach, sans son thérapeute, sans son prof, et de remettre, en fait, le pouvoir de notre vie entre les mains de quelqu'un d'autre. Et là, ça devient même dangereux, je pense. Donc voilà, on est retombé dans un épisode un peu long. Je ne pouvais pas savoir à l'avance que ça prendrait autant de temps de vous raconter tout ceci. J'espère que ça vous a plu. J'espère que ça vous donne envie de faire ce travail sur vous avec peut-être plus de légèreté, de détachement, de lâcher prise. Et ça tombe bien parce que ce sera le sujet de l'épisode de la semaine prochaine, le lâcher prise. Donc voilà, en gros... vraiment prenez soin de vous, faites ce travail sur vous, mais faites-le avec légèreté, n'oubliez pas de mettre du fun dans tout ça, de faire des pauses, et de vous rappeler qu'en fait tout est déjà en vous, et qu'en plus de ça c'est un privilège de pouvoir travailler sur soi, c'est vraiment un privilège, en fait c'est un privilège de luxe d'avoir le temps de faire ça, d'avoir l'énergie, d'avoir les ressources. et voilà c'est vraiment prenons ce développement personnel comme une chance inouïe d'améliorer nos conditions et peut-être même d'améliorer la condition de ceux qui viendront après nous en fait de nos descendants vous voyez mais prenons ça avec un peu plus de recul et de légèreté parce que c'est là pour être beau voilà J'attends vos commentaires dans la description de cet épisode. Je vous dis à tout bientôt. Et voilà, l'épisode du jour est terminé. S'il t'a plu, n'hésite pas à t'abonner, à liker, mettre des étoiles, un petit commentaire et à partager avec une personne à qui ça ferait du bien. Tu sais, ces petites actions permettent de mieux faire connaître ce podcast et ça me fait très chaud au cœur. Alors, je te dis déjà merci. À la semaine prochaine. Et d'ici là... on se retrouve sur Instagram bisous